Tumgik
#cédric riester
pendwelling · 2 days
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Lord Juliette's guard dogs!! 🌷
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aroacehanzawa · 22 days
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Blazing fires in golden spires (AO3)
When the Third Wheel Strikes Back
Cédric Riester/Jesse Venetiaan/Christelle de Sarnez
1,207 words
Night falls in the Lord's House of Blanquer as two knights fight over a sleeping prince. (Canon-adjacent alternate scene set during the chapter 166 pyjama party.)
General audiences, canon compliant, spoiler-free fluff, extremely self-indulgent cozy sleepover vibes (Christelle POV)
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milkbreadtoast · 9 months
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OMG AUG 13 HAPPY BIRTHDAY CÉDRIC RIESTER 🥹🥹🥹🫶❤️‍🔥❤️‍🔥❤️‍🔥
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Personas do Cédric Riester
Eu dei um nome/apelido para cada personalidade/reação do nosso querido porquinho ambulante e super expressivo.
Cédric; Sadie; Escrodric (Escroto + Cédric) Mercie (diminutivo de Mercedes)
........
Um dia eu irei escrever detalhadamente....
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claudehenrion · 5 years
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Un constat inquiétant : Lawrence Peter avait raison !
  Rappel : le principe dit “de Peter” (que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître...) est une “loi empirique” qui avait été énoncée en 1970 par Lawrence J. Peter et Raymond Hull dans un ouvrage éponyme qui a longtemps tenu la vedette dans les conversations professionnelles et les dîners en ville. Selon ce principe, “dans une organisation, tout employé tend à s'élever à son niveau d'incompétence”,  ce qui entraîne que, ’‘avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d'en assumer la responsabilité’’. Pendant des décennies, cette belle idée a servi à brocarder les gens qui avaient atteint leur niveau d'incompétence. Depuis, elle est devenue le symbole du népotisme et de la technocratie dévastatrice…
  Il y a pratiquement toujours eu, ici ou là (ou, pour être plus précis : ici ET là !) des dirigeants d'entreprise et des hauts fonctionnaires pour lesquels personne ne pouvait avancer un seul argument soutenant la nomination, la promotion et la situation… voire le maintien dans des sinécures la plupart du temps injustifiables puisque injustifiées : le “népotisme” est en fait un mal qui remonte aux tous premiers balbutiements des structures sociales. Alors, me direz-vous, pourquoi y consacrer un “billet” aujourd'hui ? Mais tout simplement parce que cette maladie frappait jusqu'ici des sociétés et des époques où ses conséquences n'étaient pas connues dans leur immensité, alors que les structures de notre Etat-Moloch actuel les rendent bien visibles. La théorie, mille fois chantée, prétend que la circulation facile des informations devrait rendre impossible la pratique honteuse de ce mal, éradiqué…  mais il y a loin, de la théorie à la réalité : rarement la nomination et la promotion d'incompétents a atteint son niveau actuel, qui frôle la perfection !
  La semaine dernière, une fois de plus, le “mur du Çon” a été franchi avec la nomination à un rang iso-ministériel du néfaste Delevoye, un superbe prototype de girouette malfaisante, “l'homme qui retourne sa veste plus vite que son ombre”.     Ce faux “droitier contrarié” totalement gaucho-compatible et vice-versa, “chiraco-sarkozyen-hollando-macroniste” par absence de convictions, a servi sans état d'âme des maîtres pour lesquels il a dit, fait et soutenu n'importe quoi et son contraire : les ors de la République justifient tous les revirements… et il a donc a occupé absolument tous les postes possibles ou pas, où il a démontré de manière non-empirique que le Principe de Peter était une Loi inattaquable, une loi organique de notre république en voie de ‘’bananiérisation’’. Sa gestion calamiteuse des 700 000 signatures de la pétition contre la mariage pour les gays a révélé qui il était !
  Rarement nos Républiques ont-elles sacrifié à ce jeu mortifère avec un tel excès que “macrone consule’” ( = Macron étant au pouvoir… en mauvais latin). Et pourtant, sous le règne de Hollande, la promotion d'incapables ‘’avait atteint de tels sommets qu'on croyait avoir touché le fond’’ : souvenez-vous d’Ayrault, de Valls ou de Cazeneuve, ces nuls absolus. Les gouvernements, sous Hollande, étaient des florilèges de toutes le formes de nullité : haineuse avec Peillon, vicieuse avec Taubira, menteuse avec Sapin, prétentieuse avec Montebourg, verbeuse avec  ’'Jack’’ Lang ou vénéneuse avec la démoniaque Najjat Valaud-Belkacem (qui était la démonstration à elle toute seule, de l'absolue exactitude du Principe de Peter).   On pensait impossible de tomber plus bas dans les nominations à des postes importants de gens dont la seule compétence est de n'avoir pas une seule des qualités nécessaires ? Mais sous la mandature de Macron, il semble qu'une règle incontournable soit de chercher, pendant des jours et des semaines, le pire candidat possible pour tout poste à pourvoir… Devant la capacité de notre Président à dénicher LA “wrong person” pour chaque “wrong place”, il y a de quoi s'extasier, son triomphe ayant été un mois pour finir avec... Castaner à l’Intérieur !
  Car ce n'est vraiment pas la vox populi (et moins encore la vox Dei, ça, c'est une certitude !) qui a sorti un Edouard Philippe de “derrière les falots” : pour trouver un nul de cette dimension (“pu qu'y sont grands, pu qu'y sont bétes”, disait Madame Pipelet !), il faut remonter à Mauroy, à Fabius ou à Ayrault ! Certains (mal pensants, pour sûr), pensent même que ces quatre “cavaliers de l'Apocalypse” (vous savez… ceux qui détruisent tout, sur leur passage), pourraient être des francs-maçons !  (NDLR : “Les gens sont méchants !”, aurait commenté le cher Fernand Raynaud).
  De manière peu surprenante, Macron se sent très attiré par tout “plus nul que lui”, et il n'a donc pas de mal à faire le plein de candidatures : chapître “nullités en marche”, la macronie est un réservoir sans fond ! On a donc vu surgir du néant une armée d'ectoplasmes diaphanes dont pratiquement personne ne sait le nom, trois ans plus tard… (Vous trouvez que j'exagère ?. Alors citez m'en 5, avec nom, prénom, et titre exact du poste “inoccupé”. Je serais bien surpris si epsilon pour cent des lecteurs de ce blog y arrivent. Ou bien… faites le test autour de vous !).
  Comme il reste vrai que “le diable se cache dans les détails”, c'est à tous les niveaux et pour tous les postes que cette chasse aux incapables est menée… et avec succès, à en juger par les résultats effroyables que l'on connaît ! Mais la raison pour laquelle j'en parle, en cette fin d'un été qui a été si riche en mauvaises nouvelles et si prometteur en catastrophes annoncées, c'est que l'actualité vient de nous révéler les noms des indésirables que Jupiter (décidément plus “capituleur” que “Capitolin” !) nous impose, pour les quelques années qui viennent… ce qui, partant de la situation catastrophique où (5 + 2 = 7) “sept ans de malheur” hollando-macronien nous ont plongés, interdit à notre pays de n'être plus jamais… la France… pas plus d'ailleurs que l'Europe ne court le risque de n'être plus jamais… l'Europe. Car quand un Delevoye ou un Moscovici, après tant d'autres, touchent le jack pot. (et nous le fond du gouffre), la situation peut être qualifiée de “grave’' !
  Avez-vous déjà réfléchi que l'avenir de nos enfants est entièrement entre les mains d'une Marlène Schiappa (NDLR : ce nom n'a, en italien, qu'un seul sens : le nul, ou l'idiot. C'est un cas où les motifs de l'émigration ont été clairs : la recherche de l'anonymat ! Seul ennui : depuis, ’'ça n'a pas sauté une génération” !), d'une Agnès Buzyn, de Silbeth N'diaye, de Nicole Belloubet, d'Elizabeth Borne,  d'Emmanuelle Wargon, de Muriel Pénicaud, la reine du bafouillage ou de Brune Poirson dont chaque intervention démontre qu'elle devrait s'appeler “Blonde”… Côté hommes, c'est “aussi pire’' : ce grand benêt de Bruno Lemaire et de son co-rénégat Gérald Darmanin (’'Ministre de l'Action” -sic !-. C'est-y pas beau, ça, Madame ?), Denormandie et Lecornu, Cédric O (dont on aimerait connaître l’'histoire), et le déconstructeur Franck Riester, que personne n'aimerait avoir à sa table (NDLR : “successeur de Malraux’' ! Vous rendez-vous compte de l'ampleur de la chute ?)… Pas un seul de ces nuls n'a la moindre expérience ni la moindre réussite à son actif, et ils ne sont là que pour répéter les paroles du Chef, sans tout piger (mais ce ne sont pas les seuls, dès qu'il parle culture ou Histoire de France).
  Ces super-nuls prennent en rafales des décisions épouvantables (qu'ils affublent de ’'progressistes’', pensant les faire passer) qui engagent le futur… alors qu'ils sont incapables de maîtriser et d'assumer le présent, si ce n'est en rodomontades, toutes perverses à terme… En me relisant, je suis surpris de ne pas retrouver avec un rang ministériel le regretté (?) Benalla, auto-promu depuis ’'super-expert en espionnage et en sécurité”..(titre qui s'obtient en rouant de coups de poings un couple immobilisé par les forces d'un certain ordre). Mais je me rends compte que j'ai aussi oublié le dangereux (autant qu'il est illettré) Castaner, ce “Tonton Cristobal” dont la nomination à un poste quelconque (et surtout Sinistre de l’Intérieur et des cultes… MDR !) est une insulte à l'Histoire de France (encore un dont des populistes mal-intentionnés font un franc-maçon ! Ah ! Les fake-news !)
  Le niveau d'autres pays ou des institutions européennes est-il une excuse à cette course à la nullité qui mène la France à sa perte ? Même pas… car malgré le néant-sur-pattes qu'est le transparent Donald Tusk, malgré les performances insoutenables de Jean-Claude Junker (à qui une imbibition chronique fait voir des éléphants roses dès 9 h du matin et qui racontait ses discussions ‘’avec les dirigeants des autres galaxies” (sic ! Les vidéos sont disponibles sur le Net), le degré de “nullitude” des autres acteurs ne saurait être une excuse à la présence répétée sur nos ondes d'un Attali ou d'un Minc, qui n'ont jamais fait une seule prévision qui se soit réalisée… quand ce n'est pas celle d'un Laurent Ruquier, ce maître-à-ne-pas-penser des cons : le Principe de Peter ne connaît pas de limites !
. La nullité triomphante qui s’affiche autour de nous fait que les parisiens risquent d'hériter, après le cauchemar tous azimuts du règne de la Hidalgo, d'un délire masochiste, avec Jean François Grivaud ou des algorithmes-réponse-à-tout de Cédric Villani… Le principe de Peter est le seul mode de recrutement de nos élites délitées, c'est certain, Cette punition aura-t-elle une fin, un jour ? Et si oui… quand ? Mon Dieu, ayez pitié de nous… Faites que ce soit le plus vite possible !  
H-Cl.
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LA COMPOSITION DU GOUVERNEMENT
Edouard Philippe - Premier ministre.
Marc Fesnau - Ministre auprès du premier ministre, chargé des relations avec le parlement.
Sibeth NDiaye - Secrétaire d'État auprès du premier ministre, porte-parole du Gouvernement.
Marlene Schiappa - Secrétaire d'État auprès du premier ministre, chargee de l’egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte conre les discriminations.
Sophie Cluzel - Secrétaire d'État auprès du premier ministre, chargée des personnes handicapées.
Francois de Rugy - Ministere de la transition ecologique et solidaire.
Elisabeth Borne - Ministre auprès du ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire, chargée des Transports
Brune Poirson - Secrétaire d'État auprès du ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire
Emmanuelle Wargon - Secrétaire d’État auprès du ministre d’État, ministre de la Transition écologique et solidaire
Nicole Belloubet - Ministere de la justice
Jean-Yves Le Drian - Ministre de l’Europe et des Affaires etrangeres
Jean-Baptiste Lemoyne - Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères.
Amélie de Montchalin - Secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, chargée des Affaires européennes.
Florence Parly - Ministere des Armees 
Geneviève Darrieussecq - Secrétaire d'État auprès de la ministre des Armées.
Agnès Buzyn - Ministre des Solidarités et de la Santé
Christelle Dubos - Secrétaire d'État auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé.
Adrien Taquet - Secrétaire d'État auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé.
Bruno Le Maire - Ministre de l'Économie et des Finances
Cédric O - Secrétaire d'État auprès du ministre de l’Économie et des Finances et du ministre de l’Action et des Comptes publics, chargé du Numérique
Agnès Pannier-Runacher - Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances
Muriel Pénicaud - Ministre du Travail
Jean-Michel Blanquer - Ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse.
Gabriel Attal - Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse.
Gérald Darmanin - Ministre de l'Action et des Comptes publics
Cédric O - Secrétaire d'État auprès du ministre de l’Économie et des Finances et du ministre de l’Action et des Comptes publics, chargé du Numérique
Olivier Dussopt - Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Action et des Comptes publics
Christophe Castaner - Ministre de l’Intérieur
Laurent Nunez - Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur
Frédérique Vidal - Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation
Jacqueline Gourault - Ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales
Sébastien Lecornu - Ministre auprès de la ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, chargé des Collectivités territoriales
Julien Denormandie - Ministre auprès de la ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, chargé de la Ville et du Logement
Annick Girardin - Ministre des Outre-mer
Franck Riester - Ministre de la Culture
Didier Guillaume - Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation
Roxana Maracineanu - Ministre des Sports
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localbizlift · 5 years
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Twitter reverses stance and allows ad encouraging you to vote in France
Political ads on social networks have become a lot more complicated in France after the French parliament passed the so-called “fake news law” in late 2018. But the French government didn’t expect Twitter to refuse an ad telling you to register to vote for the European election in May.
Among other things, the fake news law says that you can’t run a political ad without complying to a new set of rules. For instance, social networks have to display who is paying for those campaigns. Social networks also have to say how much money they receive for those campaigns.
As Next INpact noted, Twitter updated its terms of service on February 1 to say that all political campaigning ads are forbidden in France.
Maybe Twitter isn’t ready yet to display this information. Maybe Twitter thinks public interest campaigns related to an election are political ads. But there’s one thing for sure — Twitter can refuse any ad on its own website.
But the minister of culture, the minister of digital and the minister of the interior all complained about Twitter’s decision… on Twitter.
Il faut mettre fin à l’irresponsabilité des plateformes : @Twitter fait mine de ne pas comprendre une loi permettant simplement une meilleure information des citoyens en période électorale… alors que @facebook a décidé de l’appliquer, en anticipation, dans tous les pays ! https://t.co/b3PzSZhE6i
— Franck Riester (@franckriester) April 2, 2019
Le vote est sacré. Il est inacceptable qu’une campagne du gouvernement pour l’inscription sur les listes électorales soit bloquée par une plateforme. Je recevrai les dirigeants de @twitter europe dans les heures à venir. https://t.co/JySyN9mGfv via @Le_Figaro
— cedric_o (@cedric_o) April 2, 2019
La priorité de Twitter devrait être de combattre les contenus faisant l'apologie du terrorisme. Pas les campagnes incitant à s’inscrire sur les listes électorales d'une république démocratique. Ce sujet sera abordé jeudi avec les GAFA lors du G7 des ministres de l'Intérieur.
— Christophe Castaner (@CCastaner) April 2, 2019
This morning, Cédric O, the newly appointed digital minister, talked with Twitter executives to convince them to change their mind. And it worked — Twitter has updated its terms of service and this decision could have broader consequences in other European countries.
A Twitter spokesperson sent me the following statement:
Promoting and protecting the integrity of #EUelection2019 is a core part of our mission for the next few months. That includes encouraging voter participation. Following enactment of the “Manipulation de l’information” law, we decided to prohibit all issue based advertising targeting France, which included Get Out The Vote type campaigns. Following consideration, we have now decided to allow campaigns aimed at encouraging voter participation. We are please to make this clarification and will continue to promote and protect the integrity of the #EUelection2019 conversation in the coming months.
I interviewed Cédric O yesterday and he thinks terms of service give too much power to social networks. “When Facebook updates its terms of service, it has regulatory effects — it nearly becomes legislation — for 2 billion people,” he said. Maybe it’s time to end the big lie of terms of service.
How France’s new digital minister plans to regulate tech
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pmsocialmedia · 5 years
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Twitter reverses stance and allows ad encouraging you to vote in France
Political ads on social networks have become a lot more complicated in France after the French parliament passed the so-called “fake news law” in late 2018. But the French government didn’t expect Twitter to refuse an ad telling you to register to vote for the European election in May.
Among other things, the fake news law says that you can’t run a political ad without complying to a new set of rules. For instance, social networks have to display who is paying for those campaigns. Social networks also have to say how much money they receive for those campaigns.
As Next INpact noted, Twitter updated its terms of service on February 1 to say that all political campaigning ads are forbidden in France.
Maybe Twitter isn’t ready yet to display this information. Maybe Twitter thinks public interest campaigns related to an election are political ads. But there’s one thing for sure — Twitter can refuse any ad on its own website.
But the minister of culture, the minister of digital and the minister of the interior all complained about Twitter’s decision… on Twitter.
Il faut mettre fin à l’irresponsabilité des plateformes : @Twitter fait mine de ne pas comprendre une loi permettant simplement une meilleure information des citoyens en période électorale… alors que @facebook a décidé de l’appliquer, en anticipation, dans tous les pays ! https://t.co/b3PzSZhE6i
— Franck Riester (@franckriester) April 2, 2019
Le vote est sacré. Il est inacceptable qu’une campagne du gouvernement pour l’inscription sur les listes électorales soit bloquée par une plateforme. Je recevrai les dirigeants de @twitter europe dans les heures à venir. https://t.co/JySyN9mGfv via @Le_Figaro
— cedric_o (@cedric_o) April 2, 2019
La priorité de Twitter devrait être de combattre les contenus faisant l'apologie du terrorisme. Pas les campagnes incitant à s’inscrire sur les listes électorales d'une république démocratique. Ce sujet sera abordé jeudi avec les GAFA lors du G7 des ministres de l'Intérieur.
— Christophe Castaner (@CCastaner) April 2, 2019
This morning, Cédric O, the newly appointed digital minister, talked with Twitter executives to convince them to change their mind. And it worked — Twitter has updated its terms of service and this decision could have broader consequences in other European countries.
A Twitter spokesperson sent me the following statement:
Promoting and protecting the integrity of #EUelection2019 is a core part of our mission for the next few months. That includes encouraging voter participation. Following enactment of the “Manipulation de l’information” law, we decided to prohibit all issue based advertising targeting France, which included Get Out The Vote type campaigns. Following consideration, we have now decided to allow campaigns aimed at encouraging voter participation. We are please to make this clarification and will continue to promote and protect the integrity of the #EUelection2019 conversation in the coming months.
I interviewed Cédric O yesterday and he thinks terms of service give too much power to social networks. “When Facebook updates its terms of service, it has regulatory effects — it nearly becomes legislation — for 2 billion people,” he said. Maybe it’s time to end the big lie of terms of service.
How France’s new digital minister plans to regulate tech
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un-enfant-immature · 5 years
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Twitter reverses stance and allows ad encouraging you to vote in France
Political ads on social networks have become a lot more complicated in France after the French parliament passed the so-called “fake news law” in late 2018. But the French government didn’t expect Twitter to refuse an ad telling you to register to vote for the European election in May.
Among other things, the fake news law says that you can’t run a political ad without complying to a new set of rules. For instance, social networks have to display who is paying for those campaigns. Social networks also have to say how much money they receive for those campaigns.
As Next INpact noted, Twitter has updated its terms of service on February 1st to say that all political campaigning ads are forbidden in France.
Maybe Twitter isn’t ready yet to display this information. Maybe Twitter thinks public interest campaigns related to an election are political ads. But there’s one thing for sure — Twitter can refuse any ad on its own website.
But the minister of culture, the minister of digital and the minister of the interior all complained about Twitter’s decision… on Twitter.
Il faut mettre fin à l’irresponsabilité des plateformes : @Twitter fait mine de ne pas comprendre une loi permettant simplement une meilleure information des citoyens en période électorale… alors que @facebook a décidé de l’appliquer, en anticipation, dans tous les pays ! https://t.co/b3PzSZhE6i
— Franck Riester (@franckriester) April 2, 2019
Le vote est sacré. Il est inacceptable qu’une campagne du gouvernement pour l’inscription sur les listes électorales soit bloquée par une plateforme. Je recevrai les dirigeants de @twitter europe dans les heures à venir. https://t.co/JySyN9mGfv via @Le_Figaro
— cedric_o (@cedric_o) April 2, 2019
La priorité de Twitter devrait être de combattre les contenus faisant l'apologie du terrorisme. Pas les campagnes incitant à s’inscrire sur les listes électorales d'une république démocratique. Ce sujet sera abordé jeudi avec les GAFA lors du G7 des ministres de l'Intérieur.
— Christophe Castaner (@CCastaner) April 2, 2019
This morning, Cédric O, the newly appointed digital minister talked with Twitter executives to convince them to change their mind. And it worked and this decision could have broader consequences in other European countries.
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Promoting and protecting the integrity of #EUelection2019 is a core part of our mission for the next few months. That includes encouraging voter participation. Following enactment of the “Manipulation de l’information” law, we decided to prohibit all issue based advertising targeting France, which included Get Out The Vote type campaigns. Following consideration, we have now decided to allow campaigns aimed at encouraging voter participation. We are please to make this clarification and will continue to promote and protect the integrity of the #EUelection2019 conversation in the coming months.
I interviewed Cédric O yesterday and he thinks terms of service give too much power to social networks. “When Facebook updates its terms of service, it has regulatory effects — it nearly becomes legislation — for 2 billion people,” he said. Maybe it’s time to end the big lie of terms of service.
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reseau-actu · 5 years
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Alors que le gouvernement envisage de sortir l'injure et la diffamation de la loi de 1881 sur la liberté de la presse, syndicats et sociétés de journalistes, collectifs et associations alertent les parlementaires sur l'entrave à la liberté d'informer que constituerait une telle réforme.
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Tribune. L’enfer est pavé de bonnes intentions. Sous le prétexte de lutter contre les «discours de haine» sur Internet, le gouvernement envisage de sortir l’injure et la diffamation de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, pour faire rentrer ces délits de presse dans le droit pénal commun. Annoncée par la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, confirmée par le ministre de la Culture, Franck Riester, cette réforme porterait un coup extrêmement grave à la liberté de la presse, garantie par ce texte fondateur de la liberté d’expression.
Sortir la diffamation de la loi de 1881 reviendrait à vider de sa substance cette loi, et à remettre en cause le principe fondamental de ce texte selon lequel, en matière d’expression, la liberté est le principe et le traitement pénal son exception. Aujourd’hui, les délits de presse sont jugés essentiellement par des sections spécialisées, comme la 17e chambre à Paris, considérée comme «la chambre de la presse». Faire basculer les délits de presse dans le droit pénal commun reviendrait à contrecarrer les acquis de la jurisprudence en matière de droit de la presse, qui permet aux journalistes de faire valoir leur bonne foi en démontrant le sérieux de leur enquête, devant des magistrats spécialisés.
Comparutions immédiates
Cette réforme aurait pour conséquence de fragiliser l’enquête journalistique, en facilitant les poursuites aujourd’hui encadrées par le délai de prescription de trois mois, et une procédure très stricte, volontairement protectrice pour les journalistes. A l’heure des intimidations, rendre possibles des comparutions immédiates pour juger les journalistes enverrait un message extrêmement fort aux groupes de pression divers et variés, aux ennemis de la liberté, à tous ceux qui ne supportent pas la contradiction et ne rêvent que d’une presse et des médias aux ordres.
Ce gouvernement a-t-il un problème avec la liberté de la presse ? Il semblerait que oui. La transposition de la directive européenne sur le secret des affaires, votée par cette majorité, a ouvert une nouvelle voie aux lobbies, un nouvel outil dans l’arsenal juridique pour multiplier les procédures-bâillons. La loi fake news, qui intime au juge des référés de «dire la vérité» en quarante-huit heures, et élargit encore les prérogatives du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), porte en elle les germes de la censure. Et le projet annoncé de réforme de l’audiovisuel annonce un nouveau renforcement des compétences du CSA sur le champ de l’information. Faut-il le rappeler ? Cet organisme dont les membres sont nommés par le pouvoir politique n’a rien d’une instance indépendante.
Enfin, les récentes déclarations du secrétaire d’Etat au numérique, Cédric O, malgré son rétropédalage sur la création d’un conseil de l’ordre des journalistes, sont plus qu’inquiétantes.
Violences policières et déni
Dans la logique d’une dérive répressive qui remonte à 2015 et la loi renseignement, déjà attentatoire à la protection des sources des journalistes, garantie par la loi de 1881, cette nouvelle menace arrive dans un contexte très inquiétant pour la liberté d’informer en France. Depuis le 17 novembre et le début du mouvement des gilets jaunes, les violences exercées contre des reporters de terrain, condamnées par les organisations syndicales, n’ont suscité de ce gouvernement qu’indignation sélective et inaction: indignations contre les violences de certains manifestants, déni des violences policières exercées en marge des manifestations contre des photographes et/ou vidéastes couvrant le mouvement social. On ne compte plus les journalistes bousculés, matraqués, gazés, blessés par des tirs de LBD ou des éclats de grenades de désencerclement, le matériel de protection confisqué, les appareils photos cassés. Et les arrestations aux relents arbitraires. Les nombreux signalements à l’IGPN d’incidents divers n’ont pas, à ce jour, été suivis d’effets.
Protection des sources malmenée
Enfin, ces dernières semaines, la tentative de perquisition des locaux de Mediapart, et les auditions de huit journalistes par les services de la DGSI dans le cadre des Yemen Papers, et de «l’affaire Benalla» ont démontré que la protection des sources des journalistes, pierre angulaire de la liberté de la presse, était une notion étrangère au ministère public et niée par les pouvoirs publics. Rongée par une précarité galopante, malmenée par une partie des employeurs qui ne respectent pas le code du travail et la convention collective des journalistes, la profession n’a pas besoin de muselière. Elle réclame au contraire un respect de son statut, des conditions de travail et des moyens dignes de sa mission d’information du public, de nouveaux outils pour renforcer son indépendance, sa crédibilité, et reconquérir la confiance du public, à l’heure de la concentration des médias, du tout-numérique, et du tout-info-en-continu. Elle réclame de vraies mesures pour garantir le pluralisme des médias.
Nous, représentants des syndicats de journalistes, des sociétés de journalistes, des sociétés de rédacteurs, des collectifs et des associations, journalistes permanents ou rémunérés à la pige, photographes, vidéastes, titulaires d’une carte de presse ou non, nous dénonçons l’ensemble de ces atteintes à la liberté d’informer, et mettons en garde les parlementaires sur les dangers d’une réforme de la loi de 1881.
Signataires : les syndicats de journalistes SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes et SGJ-FO ; les sociétés de journalistes (SDJ) de TV5 Monde, RFI, France 2, France Culture, FranceInfoTV, M6, Premières Lignes, 20 Minutes, Challenges, les Echos, le Figaro, BFM TV, Télérama, Courrier international, RTL, RMC, LCP, le Parisien, France Info, France 24, France 3 National, TF1, France Inter, l’Express, la Tribune, le JDD, Paris Match, Mediapart, de l’Agence France Presse (AFP) ; la Société des journalistes et du personnel de Libération ; la société des journalistes de LCI, la Société des personnels de l’Humanité ; les Sociétés de rédacteurs (SDR) de l’Obs, France Soir, Europe 1 ; la société civile des journalistes de Sud Ouest ; l’Association de la Presse judiciaire (APJ), l’Association des journalistes de l’information sociale (Ajis), l’Association des journalistes économiques et financiers (Ajef), l’Association des journalistes scientifiques de la presse d’information (AJSPI), l’Association des journalistes Nature et Environnement (AJNE), l’Association des journalistes européens (AEJ); la Société civile des auteurs multimédia (SCAM) ; l’Union des photographes professionnels ; les collectifs Informer n’est pas un délit, YouPress, les Incorrigibles, Extra Muros, Profession: Pigiste, le collectif des collectifs Ras la plume; les clubs de la presse de Bretagne, de Lyon et de sa région, d’Occitanie.
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topdiyhub · 5 years
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Political ads on social networks have become a lot more complicated in France after the French parliament passed the so-called “fake news law” in late 2018. But the French government didn’t expect Twitter to refuse an ad telling you to register to vote for the European election in May.
Among other things, the fake news law says that you can’t run a political ad without complying to a new set of rules. For instance, social networks have to display who is paying for those campaigns. Social networks also have to say how much money they receive for those campaigns.
As Next INpact noted, Twitter updated its terms of service on February 1 to say that all political campaigning ads are forbidden in France.
Maybe Twitter isn’t ready yet to display this information. Maybe Twitter thinks public interest campaigns related to an election are political ads. But there’s one thing for sure — Twitter can refuse any ad on its own website.
But the minister of culture, the minister of digital and the minister of the interior all complained about Twitter’s decision… on Twitter.
Il faut mettre fin à l’irresponsabilité des plateformes : @Twitter fait mine de ne pas comprendre une loi permettant simplement une meilleure information des citoyens en période électorale… alors que @facebook a décidé de l’appliquer, en anticipation, dans tous les pays ! https://t.co/b3PzSZhE6i
— Franck Riester (@franckriester) April 2, 2019
Le vote est sacré. Il est inacceptable qu’une campagne du gouvernement pour l’inscription sur les listes électorales soit bloquée par une plateforme. Je recevrai les dirigeants de @twitter europe dans les heures à venir. https://t.co/JySyN9mGfv via @Le_Figaro
— cedric_o (@cedric_o) April 2, 2019
La priorité de Twitter devrait être de combattre les contenus faisant l'apologie du terrorisme. Pas les campagnes incitant à s’inscrire sur les listes électorales d'une république démocratique. Ce sujet sera abordé jeudi avec les GAFA lors du G7 des ministres de l'Intérieur.
— Christophe Castaner (@CCastaner) April 2, 2019
This morning, Cédric O, the newly appointed digital minister, talked with Twitter executives to convince them to change their mind. And it worked — Twitter has updated its terms of service and this decision could have broader consequences in other European countries.
A Twitter spokesperson sent me the following statement:
Promoting and protecting the integrity of #EUelection2019 is a core part of our mission for the next few months. That includes encouraging voter participation. Following enactment of the “Manipulation de l’information” law, we decided to prohibit all issue based advertising targeting France, which included Get Out The Vote type campaigns. Following consideration, we have now decided to allow campaigns aimed at encouraging voter participation. We are please to make this clarification and will continue to promote and protect the integrity of the #EUelection2019 conversation in the coming months.
I interviewed Cédric O yesterday and he thinks terms of service give too much power to social networks. “When Facebook updates its terms of service, it has regulatory effects — it nearly becomes legislation — for 2 billion people,” he said. Maybe it’s time to end the big lie of terms of service.
How France’s new digital minister plans to regulate tech
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pendwelling · 6 months
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When the Reader Strikes Back
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sheminecrafts · 5 years
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Twitter reverses stance and allows ad encouraging you to vote in France
Political ads on social networks have become a lot more complicated in France after the French parliament passed the so-called “fake news law” in late 2018. But the French government didn’t expect Twitter to refuse an ad telling you to register to vote for the European election in May.
Among other things, the fake news law says that you can’t run a political ad without complying to a new set of rules. For instance, social networks have to display who is paying for those campaigns. Social networks also have to say how much money they receive for those campaigns.
As Next INpact noted, Twitter updated its terms of service on February 1 to say that all political campaigning ads are forbidden in France.
Maybe Twitter isn’t ready yet to display this information. Maybe Twitter thinks public interest campaigns related to an election are political ads. But there’s one thing for sure — Twitter can refuse any ad on its own website.
But the minister of culture, the minister of digital and the minister of the interior all complained about Twitter’s decision… on Twitter.
Il faut mettre fin à l’irresponsabilité des plateformes : @Twitter fait mine de ne pas comprendre une loi permettant simplement une meilleure information des citoyens en période électorale… alors que @facebook a décidé de l’appliquer, en anticipation, dans tous les pays ! https://t.co/b3PzSZhE6i
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La priorité de Twitter devrait être de combattre les contenus faisant l'apologie du terrorisme. Pas les campagnes incitant à s’inscrire sur les listes électorales d'une république démocratique. Ce sujet sera abordé jeudi avec les GAFA lors du G7 des ministres de l'Intérieur.
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This morning, Cédric O, the newly appointed digital minister, talked with Twitter executives to convince them to change their mind. And it worked — Twitter has updated its terms of service and this decision could have broader consequences in other European countries.
A Twitter spokesperson sent me the following statement:
Promoting and protecting the integrity of #EUelection2019 is a core part of our mission for the next few months. That includes encouraging voter participation. Following enactment of the “Manipulation de l’information” law, we decided to prohibit all issue based advertising targeting France, which included Get Out The Vote type campaigns. Following consideration, we have now decided to allow campaigns aimed at encouraging voter participation. We are please to make this clarification and will continue to promote and protect the integrity of the #EUelection2019 conversation in the coming months.
I interviewed Cédric O yesterday and he thinks terms of service give too much power to social networks. “When Facebook updates its terms of service, it has regulatory effects — it nearly becomes legislation — for 2 billion people,” he said. Maybe it’s time to end the big lie of terms of service.
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Political ads on social networks have become a lot more complicated in France after the French parliament passed the so-called “fake news law” in late 2018. But the French government didn’t expect Twitter to refuse an ad telling you to register to vote for the European election in May.
Among other things, the fake news law says that you can’t run a political ad without complying to a new set of rules. For instance, social networks have to display who is paying for those campaigns. Social networks also have to say how much money they receive for those campaigns.
As Next INpact noted, Twitter updated its terms of service on February 1 to say that all political campaigning ads are forbidden in France.
Maybe Twitter isn’t ready yet to display this information. Maybe Twitter thinks public interest campaigns related to an election are political ads. But there’s one thing for sure — Twitter can refuse any ad on its own website.
But the minister of culture, the minister of digital and the minister of the interior all complained about Twitter’s decision… on Twitter.
Il faut mettre fin à l’irresponsabilité des plateformes : @Twitter fait mine de ne pas comprendre une loi permettant simplement une meilleure information des citoyens en période électorale… alors que @facebook a décidé de l’appliquer, en anticipation, dans tous les pays ! https://t.co/b3PzSZhE6i
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This morning, Cédric O, the newly appointed digital minister, talked with Twitter executives to convince them to change their mind. And it worked — Twitter has updated its terms of service and this decision could have broader consequences in other European countries.
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Promoting and protecting the integrity of #EUelection2019 is a core part of our mission for the next few months. That includes encouraging voter participation. Following enactment of the “Manipulation de l’information” law, we decided to prohibit all issue based advertising targeting France, which included Get Out The Vote type campaigns. Following consideration, we have now decided to allow campaigns aimed at encouraging voter participation. We are please to make this clarification and will continue to promote and protect the integrity of the #EUelection2019 conversation in the coming months.
I interviewed Cédric O yesterday and he thinks terms of service give too much power to social networks. “When Facebook updates its terms of service, it has regulatory effects — it nearly becomes legislation — for 2 billion people,” he said. Maybe it’s time to end the big lie of terms of service.
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toomanysinks · 5 years
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Twitter reverses stance and allows ad encouraging you to vote in France
Political ads on social networks have become a lot more complicated in France after the French parliament passed the so-called “fake news law” in late 2018. But the French government didn’t expect Twitter to refuse an ad telling you to register to vote for the European election in May.
Among other things, the fake news law says that you can’t run a political ad without complying to a new set of rules. For instance, social networks have to display who is paying for those campaigns. Social networks also have to say how much money they receive for those campaigns.
As Next INpact noted, Twitter has updated its terms of service on February 1st to say that all political campaigning ads are forbidden in France.
Maybe Twitter isn’t ready yet to display this information. Maybe Twitter thinks public interest campaigns related to an election are political ads. But there’s one thing for sure — Twitter can refuse any ad on its own website.
But the minister of culture, the minister of digital and the minister of the interior all complained about Twitter’s decision… on Twitter.
Il faut mettre fin à l’irresponsabilité des plateformes : @Twitter fait mine de ne pas comprendre une loi permettant simplement une meilleure information des citoyens en période électorale… alors que @facebook a décidé de l’appliquer, en anticipation, dans tous les pays ! https://t.co/b3PzSZhE6i
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This morning, Cédric O, the newly appointed digital minister talked with Twitter executives to convince them to change their mind. And it worked — Twitter has updated its terms of service and this decision could have broader consequences in other European countries.
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Promoting and protecting the integrity of #EUelection2019 is a core part of our mission for the next few months. That includes encouraging voter participation. Following enactment of the “Manipulation de l’information” law, we decided to prohibit all issue based advertising targeting France, which included Get Out The Vote type campaigns. Following consideration, we have now decided to allow campaigns aimed at encouraging voter participation. We are please to make this clarification and will continue to promote and protect the integrity of the #EUelection2019 conversation in the coming months.
I interviewed Cédric O yesterday and he thinks terms of service give too much power to social networks. “When Facebook updates its terms of service, it has regulatory effects — it nearly becomes legislation — for 2 billion people,” he said. Maybe it’s time to end the big lie of terms of service.
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fmservers · 5 years
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Twitter reverses stance and allows ad encouraging you to vote in France
Political ads on social networks have become a lot more complicated in France after the French parliament passed the so-called “fake news law” in late 2018. But the French government didn’t expect Twitter to refuse an ad telling you to register to vote for the European elections in May.
Among other things, the fake news law says that you can’t run a political ad without complying to a new set of rules. For instance, social networks have to display who is paying for those campaigns. Social networks also have to say how much money they receive for those campaigns.
As Next INpact noted, Twitter has updated its terms of service on February 1st to say that all political campaigning ads are forbidden in France.
Maybe Twitter isn’t ready yet to display this information. Maybe Twitter thinks public interest campaigns related to an election are political ads. But there’s one thing for sure — Twitter can refuse any ad on its own website.
But the minister of culture, the minister of digital and the minister of the interior all complained about Twitter’s decision… on Twitter.
Il faut mettre fin à l’irresponsabilité des plateformes : @Twitter fait mine de ne pas comprendre une loi permettant simplement une meilleure information des citoyens en période électorale… alors que @facebook a décidé de l’appliquer, en anticipation, dans tous les pays ! https://t.co/b3PzSZhE6i
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Le vote est sacré. Il est inacceptable qu’une campagne du gouvernement pour l’inscription sur les listes électorales soit bloquée par une plateforme. Je recevrai les dirigeants de @twitter europe dans les heures à venir. https://t.co/JySyN9mGfv via @Le_Figaro
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La priorité de Twitter devrait être de combattre les contenus faisant l'apologie du terrorisme. Pas les campagnes incitant à s’inscrire sur les listes électorales d'une république démocratique. Ce sujet sera abordé jeudi avec les GAFA lors du G7 des ministres de l'Intérieur.
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This morning, Cédric O, the newly appointed digital minister talked with Twitter executives to convince them to change their mind. And it worked and this decision could have broader consequences in other European countries.
A Twitter spokesperson sent me the following statement:
Promoting and protecting the integrity of #EUelection2019 is a core part of our mission for the next few months. That includes encouraging voter participation. Following enactment of the “Manipulation de l’information” law, we decided to prohibit all issue based advertising targeting France, which included Get Out The Vote type campaigns. Following consideration, we have now decided to allow campaigns aimed at encouraging voter participation. We are please to make this clarification and will continue to promote and protect the integrity of the #EUelection2019 conversation in the coming months.
I interviewed Cédric O yesterday and he thinks terms of service give too much power to social networks. “When Facebook updates its terms of service, it has regulatory effects — it nearly becomes legislation — for 2 billion people,” he said. Maybe it’s time to end the big lie of terms of service.
How France’s new digital minister plans to regulate tech
Via Romain Dillet https://techcrunch.com
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