Tumgik
#c'était un très bon film
demimoon · 3 months
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hello hello :)
je viens de finir le vdf (je pleure ralala)(c'était génial vraiment, une des meilleures séries que j'ai regardé) et je vais parler de mes persos préférés même si tout le monde s'en fout🤸🏻‍♀️
et on va faire un petit top 3
en 1 c'est Renard bon c'est pas très original tout ça MAIS juste je l'adore
en 2 Judith olalala elle est absolument géniale, son personnage est incroyablement bien écrit et Justine le Pottier joue tellement bien je trouve omg (ARGH je me prends pour une critique de cinéma mais je suis qui)(bon bref Judith a jamais dans mon cœur)(et elle est très très très très jolie gay panic)
eeeet en 3 c'est Clothilde (j'adore les personnages "secondaires" mdr)(BREF) je trouve que le personnage est super, j'adore sa façon de tailler les gens eheh (et elle est beaucoup trop belle gay panic ep2)(fun fact j'ai failli avoir le même prénom voilà 👍)
voilà maintenant je cours regarder le film hihi🤸🏻‍♀️✨
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Alors,
Petit point lecture et serie.
J'ai commencé la serie Fallout d'Amazone. Pour ce qui ne connaissent pas c'est une adaptation d'une tres vieille serie de jeux vidéo (1994, au mon dieu je suis vieille) qui, pour faire simple, est un jeu de role dans un univers post apo : le monde s'est arrêté au niveau culturelle et politique aux années 50,gros conflit entre les USA et la Chine jusqu'à ce que pleins de bombes atomiques viennent faire des bisous à toutes les grandes villes.
200 ans plus tard les USA sont une terre radioactive et désolée ou des gens survivent comme ils peuvent. Certains abri antiatomiques ont permis a des groupes de survivrent sous terre pendant des générations sans trop savoir ce qui se passent a l'exterieur. Le jeu était violent, tres libre niveau choix moraux et c'était tres bien. C'est un jeux qui m'avait beaucoup beaucoup marqué pour son univers.
Du coup la serie repose sur exactement les même bases et c'est une série que je n'attendais pas du tout du tout du tout du tout du tout du tout.
Car en fait les adaptions en film ou serie de jv il y en a déjà eu pas mal et c'était pas souvent top top (pas de budget, pas d'écriture, on considère que la cible est un ado debile de 14 ans). Donc je n'en attendais rien. J'etais légitimement en droit de me dire que la serie serait tres gentille niveau moralité (des gentils tout gentils, des méchants tout mechants, on tappe pas sur les enfants toussa), sans trop de violence ou quelque chose de trop "propre".
J'ai commencé a regardé et en fait c'est une très bonne surprise. Niveau effet speciaux ils ont fait le bon choix : pas trop de budget donc on fait pas semblant d'en avoir. Un peu de FX et le reste en effet reel.
Il y a de la violence. Dont de la violence gratuite, car dans cet univers il n'y a pas de raison qu'il n'y en ai pas. Le personnage principal n'est pas une princesse, elle est ultra naive mais c'est justifié mais si il faut découper une tete a la tronçonneuse ( oui oui) elle souffle un coup, sort un "oki doki" et vroum vroum.
Parce ce que dans ma méfiance j'avais oublié quelque chose : la serie The last of Us a montré qu'on pouvais faire une adaptation de jv sans que ce soit comique ou pour enfant, qu'on pouvait essayer de fairz ca aec serieux.
Donc, je n'ai pas fini la serie donc pas d'avis définitif mais pour l'instant j'ai l'impression qu'on ne se moque ps de moi et qu'on me parle pas comme une debile quand je regarde donc ca me vas.
Niveau lecture je suis (encore) en train de (re) lire Les annales de la compagnie noire, une longue serie de romans qui racontent les perigrinations d'une troupe de mercenaires. Les perso ne sont pas des gentils, ceux qui les engagent non plus, ceux qu'ils combattent encore moins. Il y a plus de morts que dans un marriage à Westeros d'autant que l'histoire se deroule sur quelques dizaines d'annes.
Et voila ti pas qu'une nouvelle m'arrive : une adaptation en jeu de role papier est en préparation !
C'est pas beau tout ça ?
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chifourmi · 5 months
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Le premier vrai porno que j'ai regardé appartenait à mes parents !
Je vous resitue le contexte. J'ai 13 ou 14 ans. On était aux prémices d'internet donc tu mettais littéralement 15mn à afficher une IMAGE, et bon t'avais toujours les films érotiques le samedi soir sur M6 puis sur les chaînes de la TNT très tard mais bon c'était sur la télé du salon donc moyen. Mais un jour, je cherchais je sais plus quoi dans un placard en hauteur, et je tombe malencontreusement sur une VHS (ouais à l'ancienne de fou je suis pas jeune c'est bon) un peu suspecte. J'étais seul tout l'aprem donc je la mets (lol) dans le lecteur. C'était un porn à l'ancienne, avec beaucoup de poils, du cuir et des moustaches. Et je me souviens TRÈS spécifiquement d'une scène où l'actrice se rentre la tige d'une rose dans la teuch ça m'a marqué à vie je me suis dit mais WTF les adultes c'est quoi votre problème sérieux ??
Superbe entrée dans le monde du sexe mdr
N'empêche il fallait être motivé pour voir du porno à l'époque
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profenscene · 1 year
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Mercredi 17 mai
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Dans le dessin animé Utena, il y a ce moment qui se répète dans chaque épisode. L'héroïne doit gravir, marche après marche, un escalier en haut duquel l'attend un combat. La musique qui l'accompagne m'a toujours paru sinistre. Du synthé bien 90's, des chœurs à la fois graves et aigus.
Quand j'étais adolescent, j'ai cru que ce serait comme ça, ma vie. Difficile et triste. J'aimais pas trop mes semblables, alors. Et quand j'ai découvert ce qu'était la vie sentimentale adolescente, ça m'a paru rajouter de la souffrance. Je ne voulais pas de ça. Je partais du principe que c'était obligatoire et que les autres faisaient ça parce que c'était obligé. Qu'il fallait éprouver du déplaisir mais sourire.
Un ou deux ans et je pige que ce n'est pas ça, le souci. Le souci, c'est que j'aime les garçons, pas les filles. Et d'un coup, l'escalier me semble bien plus haut. Bien plus emberlificoté. Brutalement, je suis devenu cet être fictif qu'on s'amuse à balancer vers les autres pour les insulter : le pédé, la tapette, la fiotte. On reçoit cette effigie avec un rire de dégoût et on la rebalance à d'autres. On ne s'est pas fait grand-mal, on sait qu'on n'est pas cet hideux pantin.
Sauf que je le suis.
On est dans les années 90. On parle davantage "des homosexuels". Mais avec prudence. Comme si on ignorait encore s'il faut accepter le mot, le bannir, le traiter avec compassion, commisération ou sévérité. Je regarde avec terreur "Ceux qui m'aiment prendront le train", en compagnie de mes parents. "Ce doit être tellement, tellement difficile." entends-je. L'homosexualité, dans ce film, est complexe, claustrophobe, inévitable. Je frissonne. Ce sera ça ma vie. Pas totalement, je le sais, je suis pas idiot. Mais il va y avoir un germe de nuit, de souffrance. Ce sera le tronc d'où pousseront les branches de ma vie.
J'habite dans de petits villages. Pas vraiment le moyen de parler. Et puis, socialement, je suis hyper maladroit et renfermé. Je rêve. Je tente d'analyser. Est-ce que c'est parce que mon premier 45 tours, c'était les Rita Mitsuko ? Que quand j'étais môme, je voulais être davantage Viviane que Merlin ?
Ça recouvre tout le reste de gris. Je ne veux pas passer ce manteau qui est le mien. Alors je décide que la vie sentimentale, je la dissimulerai aussi longtemps que possible. C'est cool, ça fait de moi un bon élève, un étudiant assez brillant.
Heureusement, le monde, autour de moi, change. Des gens luttent, très fort. Je n'aurai pas participé à ce combat. Paralysé et ignorant.
Utena, ce sera le symbole de ces rayons de lumière générés par des humains qui auront lutté pour que, pas à pas, nous puissions commencer à exister. Une jeune fille veut devenir un prince pour sauver une princesse captive. Il existe des fictions comme celles-ci, il existe d'autres manières d'envisager l'existence. Et petit, à petit, extrêmement doucement, je vais découvrir que tout n'a pas à être gris, hostile et tordu. Dans les derniers épisodes d'Utena, ils remplacent l'escalier par un ascenseur qui monte vite, de plus en plus vite, vers l'action, vers l'essentiel, vers le combat dont dépend la vie des deux héroïnes.
Mon histoire m'appartient, il est tout à fait possible - probable - que personne n'éprouve la même chose que moi.
Il n'empêche.
Il n'empêche que j'ai désormais les possibilités physiques et intellectuelles de me battre, pour que ces droits, qui m'ont été attribués par d'invisibles et héroïques présences, soient préservés et amplifiés. Pour que plus jamais on ne pense que la vie sentimentale n'est qu'une souffrance ajoutée à celles que l'on combat déjà. Pour que plus jamais un adolescent ne referme silencieusement sur lui le couvercle d'un cercueil de tristesse ou d'indifférence.
Pour que personne ne meure d'éprouver ce que j'ai éprouvé.
Et cette volonté, il ne se passe pas un jour sans qu'elle n'enflamme ce que je suis.
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swedesinstockholm · 6 months
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15 août
j'ai passé deux heures à marcher à travers la ville dans un état de désillusion complète ce soir, non pas de désillusion, d'illusion justement, je voulais dire delusion, delusional, delulu comme disent les jeunes américains, r. m'a écrit à quatre heures du matin pendant qu'il faisait une insomnie alors qu'il dormait dans une tente avec sa fille plantée dans le jardin de sa mère et y avait un orage et il entendait la musique des voisins et il arrivait plus à se rendormir et c'est à MOI qu'il a écrit of all people, il me demandait comment ça allait avec mon film, il pensait à moi et à mon film à quatre heures du matin dans une tente avec sa fille, comment je suis sensée ne pas être complètement delulu?
ce matin en lisant ses messages j'ai senti la joie couler partout dans mon corps et j'ai essayé d'en localiser la source, quelque part dans le thorax, au milieu, c'est là que je le sens quand je me sens aimée. même s'il m'aime pas amoureusement, il m'aime quand même. et quand je vivais encore dans l'illusion et que j'espérais passer un été d'amour avec lui à bruxelles, ça s'est peut être pas passé comme je l'espérais, mais finalement je suis quand même un peu en train de passer un été d'amour avec lui, amour à l'eau plate et à distance mais amour quand même. amour amour amour dans mon coeur ce soir pendant ma promenade, j'écoutais des trucs pop en m'imaginant les chanter avec sa fille chez lui pendant que je lui prépare des gâteaux dans la cuisine par exemple une tarte à la myrtille et on fait des petites chorégraphies et on chante en criant la chanson de caroline polachek et évidemment r. finit par tomber sous mon charme. delulu level 1000. je dois vraiment faire très attention.
à part ça je suis restée un bon quart d'heure accoudée à une balustrade qui surplombait la vallée et c'était vraiment bien de regarder quelque chose qui n'était pas mon écran d'ordinateur, tout ce vert, toute cette réalité, même si j'étais à moitié perdue dans mes fantasmes à l'intérieur de ma tête.
16 août
à chaque fois que j'écris avec r. avant de me coucher j'arrive pas à m'endormir après et j'arrive pas à me concentrer sur mon livre non plus. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine et d'abord ça m'a vexée mais toutes mes jérémiades sur r. là c'est plus possible, même sur tumblr. on a regardé le nouvel épisode de how to ce soir et puis à onze heures il a dit bon je vais au lit mais on a encore passé trois quarts d'heures à s'écrire et il a évoqué notre future performance et le fait d'avoir ça dans notre futur commun, un peu comme une garantie qu'il va pas disparaître du jour au lendemain, qu'il veut rester là, qu'on va se revoir, ça me donne un très grand sentiment de sérénité. ça me rassure. même si en réalité c'est pas du tout une garantie, il peut tout à fait changer d'avis du jour au lendemain. il a changé de photo de profil sur whatsapp, heureusement il met que des photos où il est moche. je me demande s'il le fait par égard pour moi.
dans le nouvel épisode de how, john wilson mentionne sa rupture avec sa copine et j'étais honteusement satisfaite qu'il se retrouve seul comme moi. mais je parie que même lui ne voudrait pas de moi. j'ai l'impression d'avoir franchi un cap dans ma relation avec mon physique, que toute ma vie je me suis voilé la face et que je me suis enfin rendu compte que j'étais moche. peu importe l'angle sous lequel on me tourne, je suis moche, c'est un fait, c'est comme ça et je peux rien y faire. je comprends pas pourquoi ça m'a pris autant de temps pour sortir de mon illusion d'être un peu mignonne, ou au moins d'avoir un charme atypique. hier j'ai essayé de mettre du rouge à lèvres mais c'était encore pire. maintenant quand je vois des moches ça me rassure, j'ai l'impression qu'on fait partie de la même communauté des moches, je suis pas seule, on est des millions. des gens au physique disgracieux. vraiment disgracieux, pas comme gaëlle obiégly, cette impostrice.
17 août
jenna lyons dans real housewives of new york a ravivé mon feu de lesbienne qui dormait quelque part dans mon bas ventre et c'est fantastique. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine mais elle a manifestement jamais vu jenna lyons marmonner des remarques sarcastiques tout en se goinfrant d'oreos périmés et de pringles au caviar dans real housewives of new york. rien de rédhibitoire là-dedans. j'ai lu qu'elle avait une maladie génétique qui fait qu'elle a des taches et des marques sur sa peau et qu'elle a pas de cils ni de sourcils et qu'elle a des trous dans ses cheveux et que ça a détruit sa confiance en elle parce qu'on la harcelait à l'école et qu'au début de sa carrière chez j. crew elle se trouvait affreuse sur les photos parce qu'elle avait pas encore trouvé son style, et puis elle a commencé à portes des grandes lunettes pour se camoufler derrière et des tenues qui montrent très peu de peau et elle attachait systématiquement ses cheveux en les plaquant en arrière pour cacher les trous et c'est devenu son style signature. elle dit qu'elle montre jamais ses jambes parce qu'elles ont des taches et de la cellulite et pendant une seconde je me suis dit est-ce que je devrais faire comme elle et cacher mes imperfections (non mais quel mot) et ne jamais montrer mes jambes moi non plus? mais non. je préfère être du côté de celles qui assument leurs imperfections (ce MOT), ou du moins qui essaient. même si ça "m'avantage pas." même si parfois je me demande si je devrais pas mettre plus de soin à "m'avantager." faire des efforts pour trouver un look qui "m'avantage," comme elle, pour me donner plus confiance en moi. un look qui me donne de la tenue, une consistance, une colonne vertébrale redressée. un look clean et net. sharp.
elle raconte aussi que sa mère avait le syndrome d'asperger et qu'elle avait pas d'amis et que donc elle lui avait jamais appris comment on se faisait des amis, comment ça fonctionnait, et qu'elle aussi elle avait du mal à se faire des amis, qu'elle savait toujours pas vraiment comment on faisait, qu'elle partait toujours du principe que les gens n'avaient pas envie de passer du temps avec elle et que donc elle attendait que ça vienne d'eux, pour ne pas prendre le risque du rejet. et j'ai pensé à maman, qui a peu d'amis elle aussi, même si elle a pas du tout asperger, et je me suis demandé si ma vie sociale maigrichonne venait de là. alors je me demande, est-ce que je peux encore apprendre à devenir sociable? est-ce qu'un jour j'aurai des vrais amis qui habitent à proximité de chez moi ET que j'ai envie de voir?
18 août
j'ai encore passé une heure sur whatsapp avec r. chaque soir je le fais se coucher de plus en plus tard, je rigolais toute seule avec les jambes en l'air en lisant ses messages et il me disait qu'il avait littéralement éclaté de rire quand j'avais dit un truc on se fait mourir de rire mutuellement et c'est merveilleux. j'ai lancé un concours de noms pour notre groupe inspiré par les feutres de bingo américains et puis il m'a fait un long message vocal pour m'expliquer qu'il adorait ma façon d'écrire sans accents ni majuscules et parfois quand il me dit certains trucs il me donne l'impression d'être quelqu'un de sage et de bon conseil, quelqu'un qui a de l'expérience de vie. de la bouteille. j'aime bien cette expression. c'est quoi cette sorcellerie? il m'a cassé ma relation avec mon physique mais en contrepartie il me fait voir d'autres facettes de moi que je vois absolument jamais.
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lilias42 · 7 months
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Résumé de la journée :
Finir de boucler complètement le billet du jour 1 de la week des OC de FE
Finir de lire le super chapitre de Ladyniniane ! (si vous ne l'avez pas encore lu, foncez !)
Retomber sur une fic d'AO3 de Rodrigue / OC avec de l'ABO mais, plutôt bien écrite et touchante et la relire
tomber sur un joli dessin qui renvoie vers une fic, alors, tenté de la lire malgré les tags... douteux on va dire et du fait que je me méfie du Dim*lix à force. Après tout, la précédente aussi était une ABO et elle était très bien et touchante
Se dire après le premier segment du premier chapitre : bon, ça sent un peu mauvais mais bon, Rodrigue gère de fou en étant le père de l'année de loin prêt à tout pour protéger Félix, même mentir à Lambert (ce qui le menace de mort) pour le protéger et puis bon, c'est inspiré de la Belle aux Bois Dormants, Dimitri est très creepy mais bon, il va apprendre sa leçon et être moins contrôlant et possessif, le dessin de fin est assez rassurant dans ce sens et pour les éléments qui me dérange, j'aurais qu'à sauter les parties concerné
Finir dans cet état en se rendant compte que c'est inspiré du conte original, pas du film Disney, et que l'auteur y va à fond dans le glauque :
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Allez se laver les yeux à l'acide et relire la fic avec Rodrigue, une partie du chapitre de Ladyniniane (Vigdis et Félix ! 💙), et la mienne pour faire passer le gout de pourri
Peaufinez les détails pour le billet de demain pour bien oublier
C'est quand que demain arrive ????!!!! C'est de la triche si je poste maintenant le billet avec l'excuse "oups ! Désolé ! C'est le décalage horaire !"
Moralité de la journée :
La fic de Ladyniniane est géniale, foncez la lire
Faut vraiment que je me remette sur mes fic avec la famille Fraldarius au centre, elles me manquent
C'était ma journée pour tomber sur des supers Rodrigue et tant mieux vu que c'est mon personnage préféré avec son fils !
Je dois arrêter de donner des chances aux Dim*lix, je tombe TOUJOURS sur des trucs glauques et angoissants, et mêmes quand c'est des trucs mignons, c'est que Félix s'en prend plein la figure dans son caractère
C'EST QUAND QUE LA WEEK OC FE COMMENCE ???? JE VEUX DEJA Y ÊTRE !!!! ON PEUT COMMENCER TOUT DE SUITE ???!!!
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jeviensdevoir · 6 months
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Je rajoute Kenny de Anurag Kashyap que j'ai trouvé incroyable !
Mars express ( c'est un film d'animation français, je ne sais pas trop si c'est ton genre mais bon ) de Jérémie Périn
Salut à toi,
merci pour ces propositions. Je n'en connais aucun mais je checkerai dès que ça sort quelque part.
J'ai un copain qui était au FEFFS et normalement il devrait livrer des articles sur les films qu'il a vus pour notre site http://www.cinetrange.com
Bon, le site est un peu moribond et on est un peu long à la détente !
Mars Express j'en ai entendu parler et ça m'intriguait. Après j'ai confondu de Jérémy, je croyais que c'était Jérémie Clapin qui avait réalisé "J'ai perdu mon corps" en animation aussi et que j'avais trouvé très cool. Mais c'est pas lui du coup !
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perduedansmatete · 1 year
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je suis enfin allée voir mon kiné après trois mois à le ghoster j'avais l'impression de revoir un ex après très longtemps c'était trop bizarre comme moment j'exagère même pas puis je suis rentrée chez moi sous une pluie torrentielle qui s'intensifiait au fil du temps évidemment j'ai pas de parapluie je l'ai jeté il y a genre deux jours parce qu'il était troué de partout et qu'une araignée y avait élu domicile et fait des bébés d'ailleurs bref j'avais mon casque sur les oreilles et ma playlist de déprimados que je ne pouvais pas changer car mon téléphone allait se noyer si je le sortais plus de dix centièmes de seconde de mon sac du coup je me suis dit que ça serait bien si je me mettais à pleurer comme dans un film avec les gouttes d'eau qui affluaient sur mon visage ça aurait été stylé puis personne aurait vraiment su si c'était la pluie ou bien le chagrin mais j'étais pas assez triste et désespérée pour mettre ce plan à exécution donc j'ai juste continué de marcher une bonne vingtaine de minute comme ça sous le regard empli de pitié des passants qui devaient me prendre pour une goutière humaine bref j'ai bien mérité un bon bain mais non ahah je peux pas car mes canalisations sont infestées de méchantes bactéries qui peuvent donner la légionellose et je sais absolument pas ce que c'est mais ça me fait pas envie du tout du coup je vais attendre de sécher par terre en regardant le mur c'est bien aussi
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istadris · 1 year
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Est-ce que tu as vu Super Mario bros le film, toi aussi ? Si oui, verdict stp ? 👀
J'étais au cinéma dès le premier jour !! Je n'en ai pas encore parlé pour l'instant parce que je veux éviter les spoilers pour les gens qui doivent encore attendre. Mais en français ça devrait aller héhé.
Pour faire simple, j'avais une grande peur en allant voir ce film : que la hype et l'enthousiasme des derniers moi s'effacent parce que le film s'avérait être médiocre, ou pas, ennuyeux.
Et ça ne s'est pas avéré être le cas !!
Dans l'ensemble, j'ai quelques critiques du film (pas assez de mon chouchou, telle ou telle relation pas aussi développée que possible...), et elles pointent presque toutes vers le même problème : il aurait fallu 10 à 30 minutes supplémentaires de film pour laisser a tout le monde le temps de souffler.
Les chansons de pop étaient bizarres mais ne me dérangeaient pas trop...jusqu'à ce que j'apprenne qu'ils avaient composé plusieurs musiques originales pour les mêmes scènes, et ELLES ÉTAIENT PARFAITES ?? POURQUOI LES AVOIR REMPLACÉES ??
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Sérieusement j'attends l'édition spéciale du DVD où ils utilisent les vraies musiques, ou j'espère qu'un fan va le faire, et aussi un director's cut où ils mettent les scènes qui ont l'air d'avoir été coupées au montage.
MAIS A PART ÇA.
J'ai adoré ce film!!!!
C'était drôle pour tous les publics sans recourir à des blagues à Minions, c'était fun comme un vrai jeu Mario, et surtout, l'élément central du film, la relation entre Mario et Luigi, étaient superbes 👌 chacune de leurs scènes étaient excellentes et je veux plus jamais entendre quelqu'un dire que Mario n'aime pas Luigi (même si ceux qui disent ça de base sont des idiots aveugles).
Chaque personnage avait des moments de gloire, c'était sympa, c'était un univers riche introduit de manière organique malgré les éléments de jeu vidéo, j'ai passé un très bon moment et je retournerai le voir.
Il y a des éléments qui me font un peu pencher la tête en mode "hmmm..." mais ça ne m'a pas empêché d'apprécier le film. J'avais des attentes, et pour la plupart elles ont été remplies, et pour le reste, c'était un film Mario : je peux lui pardonner ses défauts tant que je passe du bon moment devant et qu'il m'inspire.
J'espère vraiment une suite maintenant !! Après un tel début, ça promet !
(Ah et aussi : il y en a qui disent que ce film a tué le Bowuigi ...MAIS LES GENS!!! REGARDEZ CE QU'ON A EU !! ET REGARDEZ LES ÉLÉMENTS À PARTIR DESQUELS ONT PEUT BÂTIR !!!)
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pauline-lewis · 9 months
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J'ai toujours eu l'intuition que j'aurai, dans le fond, toujours un peu 13 ans
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Je me souviens du regard de Kirsten Dunst sous ses paupières lourdes —
Je me souviens que j'avais 16 ou 17 ans quand j'ai vu le film pour la première fois, je me souviens que j'avais probablement l'âge de la plus grande des sœurs Lisbon, et que pourtant la scène de Virgin Suicides qui m'avait le plus frappée c"était celle où l'on voit la plus jeune des adolescentes, Cecilia, dire au psychiatre
"Obviously doctor you've never been a 13-year-old girl."
(J'ai toujours eu l'intuition que j'aurai, dans le fond, toujours un peu 13 ans)
Je me souviens que je voyais, pour la première fois, que quelqu'un comprenait ce qu'il y avait de meurtri tout au fond du fond de ce cœur d'adolescente que nous nous traînions ensuite pour toujours (et les regards et les attentes et les corps et la chose de l'enfance qu'on nous enlève brutalement et qu'on ne récupère jamais même en essayant mille fois).
Je voyais la tendresse mais aussi l'agressivité avec laquelle Sofia Coppola filmait ça — les bracelets en plastique qui cachent les coupures et qui menacent de tremper dans le punch et la voix de Cecilia (ces bracelets en plastique scotchés, j'y ai pensé si souvent), sa voix nette, son regard profond. J'avais le sentiment que Sofia Coppola n'essayait pas d'adoucir quoi que ce soit parce qu'elle aussi, elle savait.
(Relisant le journal de mes 13 ans chez mes parents j'ai ressenti un mélange de honte et de douleur face à la brutalité des sentiments, bons comme mauvais — j'ai arrêté d'écrire un journal après l'adolescence et je me suis racontée autrement — mais je me suis rappelé en lisant mes mots que beaucoup ne savent pas, en effet, ce que ça fait d'être une ado de 13 ans et que même moi, sans le vouloir, je l'ai souvent oublié)
Je me souviens — et pourtant je n'étais pas une adolescente blonde aux cheveux longs, pas une sœur Lisbon en somme, pas une Sofia Coppola non plus — je me souviens que même si on ne parlait pas de female gaze à l'époque, entre nous, nous avions compris que ce film racontait quelque chose que nous n'avions encore jamais vu. Ce film filmait différemment le désir silencieux. Les mains qui se touchent, se frôlent. L'urgence, aussi.
(Sur des feuilles de papier nous essayions alors de recopier les différentes écritures qui apparaissent au début de film et sur nos platines CD nous écoutions la musique d'Air qui ne ressemblait alors à rien de ce que nous connaissions — et quelque part j'ai continué toute ma vie à m'envelopper de ces mêmes sons vaporeux)
Je me souviens que ce film racontait aussi une forme de version années 70 de cette manière que nous avions de parler en chansons. Les sœurs Lisbon communiquent avec leurs voisins et passent des disque au téléphone — nous on vivait pour les musiques qu'on aimait et on recopiait des paroles de chansons dans nos statuts MSN. Cela formait des conversations irréelles pourtant plus vraies que tout ce que nous essayions de dire avec nos propres mots. Ce film racontait soudain l'étrangeté absolue d'habiter le corps en mouvement d'une adolescente dans un monde qui méprise nos passions, nos chuchotements et nos secrets. On apprend à être des femmes comme ça — mais dans un endroit très précieux on continue, parfois, à parler en chansons et en statuts MSN.
Ce que Virgin Suicides avait compris de nous c'était aussi — que nous faisons des montagnes des petits moments, nous avions comme cette compréhension profonde de l'importance de l'immédiat. Et ce n'était pas ridicule mais beau.
Quand j'ai revu le film c'est encore une fois la scène qui m'a le plus touchée, celle où les garçons lisent le journal de Cecilia. Ce journal qui consigne des dizaines de petits riens — les larmes de Lux, les arbres, les gestes. Les garçons ont l'air de donner corps à ses phrases avec une forme d'incompréhension mais Sofia Coppola, elle, met en images ces instants volés au temps avec une fantaisie qui n'existe que dans cette séquence. Une licorne, des paillettes. C'est une ode courte aux petits instants, ceux que Cecilia voit, et à l'esthétique de l'adolescence qui s'effleure du bout des doigts comme les flacons observés dans la salle de bain par un invité. Dans la séquence du journal, la voix off des garçons disparaît au profit de celle de Cecilia et c'est l'une de mes idées préférées — une manière de nous dire qu'au ton amusé des garçons la réalisatrice préfère la profondeur de l'adolescente.
Et quand on revoit ce film, adulte, on se souvient de quelque chose que l'on avait trop longtemps oublié.
Lisant plus tard le roman d'Eugenides (qui a inspiré le film) je serai déçue de la place que les personnages masculins prennent dans la narration. Pour moi ils n'existent pas, expulsés à la marge. Dans le regard de Sofia Coppola ils sont, mais peut-être que j'extrapole, très secondaires.
Peut-être que c'est la manière dont mon regard de jeune femme tout juste sortie de l'adolescence a corrigé le film. Et je continue, par fidélité, à lui faire honneur. J'oublie leurs scènes et leur fascination ne m'intéresse pas.
Lisant le journal de Cecilia, l'un des garçons demande : "How many pages can you write about dying trees ? Relisant mon journal, je retrouve trois pages consacrées à une remarque anodine faite par une camarade de classe, de longues vexations tournées dans tous les sens. Je me dis que c'est parce qu'elle a capturé exactement ce sentiment-là que ça que j'ai gardé pour Sofia Coppola une forme de loyauté aussi bizarre qu'éternelle. À la vie, à la mort.
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pascal-et-sarah · 5 months
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Séance du mercredi 2023-11-15
Deux semaines de suite avec une newsletter de cinéma incroyable mais vrai. On va essayer de garder le rythme/
On aime les fesses on aimes les abdos, bref on aime les gens tout nus!
Magic Mike XXL - Internet - 1h55 - 💪🤠🇺🇸🩲
Alors là attention c'est du film d'auteur intellectualisant, pas vos trucs habituels où on est juste là pour regarder des gens se déhancher en petite tenue... J'rigole.
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Si vous avez raté le premier, pas de soucis étant donné que c'est grosso modo le même film. Mike ancien stripteaseur (joué par Channing Tatum ancien stripteaseur, vous l'avez?) a du mal à faire tourner son entreprise de déménageur (pas) bretons. Ses copains avant de passer à autre chose parce qu'ils prennent de l'âge se rendent à une convention de striptease pour un baroud d'honneur. Du coup Mike va se joindre à eux parce qu'on aime bien les gens musclés et la sueur. S'en suit un roadtrip d'environ 2h à travers l'ouest américain afin de recruter des gens et de trouver des idées. Comme le premier en dehors des scènes de danses (très très chastes pour un film sur le striptease) qui sont bien filmées le film oscille entre... Oubliable et navet. Visiblement Tatum a un truc à raconter sur la fin de l'innocence de l’Amérique mais en réalité c'est assez peu intéressant à regarder. On a principalement vu ce film pour se préparer au troisième volet réalisé par Steven Soderbergh ce qui fait au moins lever un sourcil. 5/10
Oh une pièce de théâtre
Mon crime - Canal+ - 1h42 - 🔫🇫🇷🎭
Si comme moi vous avez été élevé dans une famille de cinéphiles en France il y a de bonnes chances que vous ayez vu un film de François Ozon. Le réalisateur de 56 ans est quand même auteur d'environ 50 films (si le mot environ vous fait tiquer parlez en avec moi vous découvrirez le monde fascinant des crédits) dont 8 femmes, la piscine... Ici on adapte une pièce de théâtre sur des thèmes féministes. On lève une oreille pour en savoir plus.
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Face a un parterre de stars plus ou moins ancienne (Danny Boon, Luccini, Isabelle Huppert...) deux jeunes actrices (Nadia Tereszkiewicz et Rebecca Marder) crèvent l'écran. L'histoire assez vaudeville à base de cliché sur l'appropriation d'un crime ne casse pas trois pattes à un canard mais se lève suivre. Le vrai problème est que s'agissant de l'adaptation d'une pièce il ne se passe pas grand chose. En dehors des 3-4 scènes présentent dans la bande annonce on n'est jamais face à un vrai suspens et on regrette que le film ne démarre jamais vraiment. Bref ça aurait pu être vraiment bien, au final c'est pas si mal.
6/10
Que c'est long messieurs que c'est long...
Killers of the Flower Moon - Cinéma - 3h26 - 🤠🇺🇸₹
Martin Scorcese malgré ses obsessions un peu malsaine pour les gangsters et les criminels a été un grand réalisateur. La question maintenant qu'irrémédiablement il se rapproche de la fin de sa carrière, l'est-il encore?
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Après avoir pondu pour Netflix un film de 3h29 au delà du caricatural (Robert de Niro 76 ans rajeunit numériquement jouant un jeune homme de 20 ans, ridicule et risible) démontrait que le rôle de producteur est essentiel dans le cinéma américain (par exemple pour ramener un film de 3h29 qui n'a rien à dire à un film de 2h disons). Ici on repart sur plus de 3h mais au cinéma avec un scénario adapté d'un super bouquin de David Grann et ça change tout.
Déjà c'est le premier film que j'ai vu en iMax (grande salle, grand écran) et c'était un bon choix. La photo est incroyable, les images de l'ouest américains s’enchaînent comme autant de tableaux. Le scénario est une "simple" observation du mal absolu puisque l'on suit une conspiration de petits bras visant à extorquer un peuple déjà exploité de la chance qu'il a eu. Di Caprio, acteur fétiche de Scorcese joue avec les dents très serrées ce qui pendant une bonne heure est assez déroutant. Mais on rentre dans le film et surtout pour la seule raison qui fait qu'on retourne au cinéma, pour retrouver cette sensation, on voyage et on s'oublie dans un univers.
7/10
À la semaine prochaine, regardez des films et parlez m'en qu'on rigole un peu.
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mel-et-ses-histoires · 8 months
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Donc, le film Donjons et dragons : l'honneur des voleurs, est un film réalisé par J.F. Daley et J. Goldstein qui ont déjà travaillés ensemble sur deux autres films. Ils ont également (et surtout) bossés en tant que scénaristes, acteurs ou producteurs.
Mais D&D késékesé ?
A la base c'est un jeu de rôle papier, c'est à dire un jeu de société où des joueurs interprètent des personnages au cours d'une histoire qu'ils coconstruisent avec celui qui la racompte, le maitre du jeu.
Vous avez joué au jeu du loup garou de Tiercelieu ? Techniquement c'est un jdr.
Et on va pas se mentir les jdr auxquels vous pouviez jouer à la fin des années 90/début 2000 quand vous etiez au lycée c'était beaucoup D&D parce que c'était le plus populaire / le seul survivant à une époque où les jdr tombaient complètement dans l'oublie.
Mais les rolistes de l'époque c'était pas des ados boutonneux aux cheveux gras avec des posters dark fantasy au dessus du lit et qui pouvaient pas faire deux mètres sans Ventoline ? Si. Tout à fait.
Clairement si vous voulez être dans la bande des gens à part (rappelez vous à l'époque le mec cool c'était le fort en sport) le jdr c'était un moyen parfait, et si vous vouliez vraiment parler à personne vous n'aviez qu'à amener un jeux de carte à collectionner (Magic, pokemon, as you wish).
Alors des filles il y en avait, on va pas faire semblant, mais on va pas mentir non plus on était pas très nombreuses.
Et globalement le jdr c'est fantastique. C'est une liberté totale qui est pas simple à expliquer, c'est des nuits blanches pizza / jus de fruits en rigolant, c'est vivre des aventures en restant bien cachée derrière sa fiche de perso de demi-elfe magicienne aux cheveux verts.
Mais aujourd'hui ce n'est plus hier !
Aujourd'hui tout ce qui était culture de niche (bd, film de super hero, marvel, harry potter, toussa) est juste devenu la pop culture, et depuis quelques années le jdr est revenu en flèche avec le retour des jeux de sociétés pour des publics plus adultes.
Du coup, D&D le film ?
Alors déjà il faut savoir que c'est le 4eme film D&D, mais clairement si vous n'avez pas vu les 3 premiers ce n'est pas grave, du tout. Ou alors soyez bourrés.
Bon ok mais du coup D&D le film ?
Alors déjà qu'est ce que j'en attendais de ce film ?
Franchement à la base rien du tout. La bande annonce faisait très "gardien de la galaxie au moyen Age" et ça m'agaçait.
Parce que ce que j'aurais souhaité c'est un seigneur des anneaux, un film qui me respecte, qui ne cherche pas à faire prout prout pour me faire rire et qui fait semblant de restpecter un peu son matériel de base et son public.
Sauf que !
Sauf que la bande annonce imagine ce que le public aime, et la bande annonce à imaginé que le public était con et n'aimait pas être respecté et ne réclamait qu'un film rigolo pas difficile à suivre façon gardien de la galaxie (ces films sont cons c'est pas de ma faute).
Résultat la bande annonce est mensongère.
Oui il y a de l'humour mais au final assez peu. Et non les personnages ne sont pas débiles.
Donc, D&D le film ! (c'est long ou pas pour arriver enfin au sujet ?)
Le film raconte comment un voleur coquin mais sympathique va vouloir monter un dernier gros coup pour récupérer un artéfact magique pouvant ressusciter son épouse. Malheureusement tout part en pistaches, il finit en prison, ses pensées tournés vers son épouse mais aussi vers sa fille qu'il laisse derrière lui. Apres s'être échappé il rejoindra un ancien membre de son groupe de voleur pour retrouver sa fille avant de se retrouver embrigader dans ni plus ni moins qu'un complot mondial (ou presque, disons continental).
Alors déjà c'est beau. La mise en scène n'a rien de spécial, il n'y a pas de symbolisme dans le cadrage ou l'agencement des plans mais c'est efficace, et certaines scènes sont assez jolies.
Les personnages sont sympathiques, et ils le sont parce que ce sont des archétypes avant d'être des personnages. Le paladin n'est pas juste un gars en armure tout gentil. C'est un gentil qui dégouline, qui vous caresse la joue en vous disant au revoir et qui est juste absolument fantastique. La méchante est très méchante, le méchant est cynique et l'assume et on à un putain de grasgon ! (c'est un dragon mais qui est gras).
Et si ce sont des archétypes c'est parce que ce film est une très bonne adaptation du jeux de rôle, à savoir qu'on dirais une partie de jdr, les plans sont foireux, les personnages ne sont pas héroïques, les règles du jeux sont moqués dans certains dialogues, bref l'ambiance générale est très bonne.
Coté adaptation il y a beaucoup d'ester eggs, le plus souvent tres discret, sans en faire des caisses (et c'est très bien). Par exemple le jeune femme cornu, qui est une druidesse et qui est un des meilleurs perso ? A aucun moment du film on ne vous dit que c'est une sorte de demi-diable. On voit ses cornes, sur un plan (peut etre deux) on voit qu'elle a une queue et ça s'arête là !
De la même manière le magicien du groupe prend une petite pincée de perlimpimpim avant de lancer le moindre sort. Et on ne vous expliquera pas dans le film que c'est normal, que la magie c'est des formules mais aussi des ingrédients toussa. Pourquoi on ne l'explique pas ? Parce que les personnages qui vivent dans cet univers connaissent ces choses et n'ont donc aucune raison de les expliquer.
C'est de l'ester eggs discret qui laisse deviner que l'univers est super large et c'est très bien.
Bon parfois les ester eggs sont plus grossiers et font un peu name dropping, ça aurait pu être mieux.
Niveau effet spéciaux c'est top, rien à dire, pas d'avalanche de sorts toutes les deux secondes mais quand ils sont là c'est tres propre.
Le ton général est sympa aussi, il y a un peu de violence, on est pas dans un disney (gros gros big up à la scène final avec le Ours-hiboux) et si la fin est assez convenu on a vu bien pire. Les personnages ont droit plus ou moins à leur petit développement personnel, avec certains moments touchants pour une en particulier.
Coté défaut le film s'arrête peu, les personnages sont toujours en action, à appliquer un plan ou à tenter de réparer une catastrophe mais ils n'ont visiblement pas le droit de se poser 5 minutes sans payer une taxe. De plus si la méchante est très méchante sa motivation manque un peu de consistance, être méchante est un moyen, pas un objectif.
Et puis sinon... ben c'est tout.
C'est un film que je rêverais avec plaisir et je vous le recommande.
Des questions ?
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chifourmi · 10 months
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Du coup je suis allée voir le Pixar "Elémentaire" et comme j'aime trop faire ça, voici ma petite critique.
Avec spoils, attention.
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J'ai trouvé que les persos étaient très caricaturaux. D'un côté on a Flam qui est impulsive et qui s'énerve pour pas grand-chose et de l'autre Flack qui est super sensible et qui pleure pour RIEN. J'ai eu du mal à m'attacher à eux parce qu'ils sont vraiment présentés comme ça, sans nuances.
Les sujets étaient tellement clichés, la fille qui va reprendre le magasin familial mais qui n'est plus sûre de le vouloir après et l'amour impossible entre les 2 personnages. Puis il y avait énormément de morales à 2 balles. "Qui a le droit de te dire ce que tu dois faire?" ouiiii c'est vraiiii maiiis booon aucune subtilité dans le message, c'est juste chiant à entendre parce qu'on l'a déjà entendu des tonnes de fois...
Puis le film dénonce le racisme mais ça m'a mise mal à l'aise la manière dont ils l'ont fait. La famille de Flack qui paraît bien éduquée, ouverte, inclusive, accueillante (avec quand-même un oncle raciste) et la famille de Flam qui est super impulsive et qui rejette systématiquement les aquatiques. J'ai l'impression que c'est dénoncer le racisme en étant raciste? Fin vachement caricatural encore une fois en tout cas.
Aussi c'était vraiment TROP cucul la plupart du temps mais ça restait quand-même mignon. Mais très mielleux quand-même.
La scène qui m'a vraiment fait ressentir quelque chose c'était lorsque Flam fait le geste traditionnel pour dire au revoir à son père, le message était tellement beau et puissant et la musique qui passait à ce moment-là était magnifique. Cette scène était vraiment parfaite.
Sinon au niveau de la forme, c'était très beau visuellement mais je suis d'accord avec ceux qui disent que c'est dommage que Pixar ne prenne pas plus de risques dans l'animation. C'est toujours de la 3D parfaite. Il n'y a pas vraiment de patte artistique. Les éléments sont représentés comme ils seraient pensés et représentés par tout le monde, c'est un peu dommage mais évidemment c'est pas le truc le plus important que je reproche au film et là c'est vraiment chercher la petite bête.
Dernier point négatif : le doublage français évidemment. Ils auraient dû garder la version initiale qui était avec de vrais doubleurs et non pas des acteurs.
Bon ma critique est très négative mais ça restait quand-même un bon film dans l'ensemble!!! Good vibes, frais et regardable! Mais vraiment pour les enfants pour le coup, je trouve. Selon moi, c'est juste qu'il n'est pas mémorable. Je suis un peu déçue parce que j'avais espoir que Pixar se rattrape mais ce n'est toujours pas le cas :(
(30/06/2023)
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swedesinstockholm · 5 months
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23 novembre
premier jour de mon futur fertile et navigable, j'ai passé la journée à transformer mon poème d'hier en poème sonore sur garageband, c'est encore plus addictif que photoshop ce truc, si j'avais pas commencé à sentir la fatigue vers minuit j'y serais encore. j'ai téléchargé audacity en complément je m'amuse trop. et quand j'aurai un synthé et un micro, alors là, trop envie de faire une pièce sonore longue, bizarre, avec une histoire, plein de samples, des trucs d'émission américaines, mes chansons, etc. tellement de possibilités!! trop bête qu'y ait cette histoire de job et d'argent qui vienne foutre la merde. dans mon poème je dis je veux pas travailler, comme dans marrons glacés, c'est ma catch phrase pas très catchy, dans la version sonore je la crie et j'ai mis un écho dessus et on dirait rebeka warrior qui crie dans le sang dans mes veines. le jour de mon anniversaire elle mixait seins nus à paris, comme dans ma chanson, rebeka rebeka j'crois qu'je suis jalouse de toi moi aussi j'veux être dj les seins à l'air les bras musclés. j'en pouvais plus de regarder les vidéos en boucle en pensant à ce qu'aurait pu être ma soirée d'anniversaire.
ce matin j'ai ouvert les stories de r. et je l'ai vu sur scène avec sa guitare en train de faire yeaaaaaheaaheaaheaaheaaayeaaaaahhheaaah d'une voix aigue avec plein de vibes en pointant le public du doigt et puis pendant que j'étais en train de lui écrire il s'est mis en live et après une courte hésitation j'ai cliqué dessus et à chaque fois qu'il levait la tête de sa guitare pour regarder la caméra j'avais l'impression qu'on était en tête à tête et que c'était moi qu'il regardait, j'étais presque gênée toute seule derrière mon téléphone. je suis allée prendre une douche brûlante pour me défouler en hurlant STOP LOOKING AT YOUR FUCKING PHONE HE'S NEVER GONNA LOVE YOU BACK JUST FACE IT en reprenant les mêmes vibes en priant pour que personne ne soit en télétravail dans les environs. j'étais épuisée en sortant de la douche. ça me fait mal mais en même temps ça me fait rire, depuis le début ma relation avec lui me fait rire, il est drôle il me trouve drôle et il me rend drôle. je peux pas être dépressive avec lui. ce soir dans la cuisine en remuant le chou rouge je me disais qu'il était l'équivalent humain d'une chanson d'animal collective. ils m'aidaient à passer l'hiver quand j'étais au lycée. est-ce que r. m'aide à passer l'hiver? on est même pas en hiver encore. peut être qu'il m'aide à la fois à passer l'hiver et il me donne envie de mourir. l'un n'empêche pas l'autre.
bon à part ça ce soir avant de manger mon chou rouge aux pommes dégueulasse parce qu'il a cuit trop longtemps et que j'ai oublié le vinaigre parce que j'étais trop occupée à penser à animal collective et à r. pour cuisiner correctement, je suis tombée sur un post de l'actrice canadienne kelly mccormack qui parle de ses études à oxford et de son grand tour d'italie en 2018 quand elle souffrait d'une maladie respiratoire et que son médecin au canada lui a dit de changer de climat, alors elle a vidé son compte en banque et elle est partie plusieurs mois en italie comme les étudiants d'oxford au 18e siècle puis les poètes anglais et les romantiques allemands au 19e, ce qui a déclenché toute une série de questions existentielles dans mon esprit, à commencer par: what is it all for? où je vais? est-ce qu'il faut aller quelque part? est-ce qu'il faut construire quelque chose?
kelly mccormack faisait du sport de haut niveau quand elle était plus jeune, je crois, et puis elle est devenue actrice, elle a réalisé un film, ou elle l'a écrit je sais plus, et maintenant elle fait des études à oxford. elle veut tout faire et elle fait tout. elle y va. elle se lance. et si moi je meurs après avoir passé ma vie sur le canapé à regarder par la fenêtre à écrire dans mon journal et à fabriquer des trucs mineurs à l'ordinateur, est-ce que c'est grave? je veux dire, what does it matter? en sachant que j'aurai adoré chaque matinée passée sur ce canapé à traficoter dans mon petit monde? à la fin, est-ce que ça compte ce qu'on a fait, combien de choses on a accompli, ou on s'en fout? ou ce qui compte vraiment, c'est le plaisir qu'on a pris à faire les choses qu'on a faites, même si c'était juste rester assise sur le canapé à regarder par la fenêtre à écrire un journal et à traficoter sur un macbook? c'est pas une raison pour continuer à passer mes journées sur le canapé jusqu'à la fin de mes jours parce que je suis manifestement en train de péter un câble, mais ça m'aide au moins à dédramatiser tout ce que j'ai pas fait jusqu'à maintenant. parce que, sans vouloir être trop mindfulness cringe, tout ce qui compte vraiment c'est de faire de son mieux pour apprécier le maintenant, non? j'arrête pas de le perdre de vue ça. je suis trop perfectionniste à grande échelle. une fois ma psy de y a six ans m'avait dit qu'on était sur terre pour être heureux.se et j'avais intérieurement secoué la tête en me disant n'importe quoi celle-là elle vit dans quel monde, mais maintenant je vois.
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ernestinee · 2 years
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Bon. C'était un peu le bazar avec les appareils photos aujourd'hui.
J'apprends vers 11h que ma patiente de 13h ne vient pas, pcq canicule et festival qui rend la circulation insupportable. Moi heureuse, parce que j'allais juste pour elle, je me dis que c'est l'occasion d'aller à Bruxelles faire développer les films.
Je rembobine le mien et... Rien. Ça tourne tout seul, aucune résistance. J'ouvre le dos et le film était tranquillou dans sa petite cartouche ronde. Apparemment il aurait été mal chargé. Entendez que j'ai laissé cette responsabilité à l'homme et qu'il n'a pas suffisamment engagé le film pour qu'il reste bien mis.
Ne t'inquiète pas, je me suis vengée sans le faire exprès.
Bref, je râle, je dis que je vais à Bruxelles quand même, remplir ce film et zut à la fin. Je le charge, je m'assure qu'il avance bien, je ferme le dos, et voilà. J'avais 3h pour faire 36 photos et amener le film au labo.
Homme me dit "beh on prend mon film pour le développer aussi". Il fait ses 4 photos restantes. Il se met en tête de rembobiner son film et... Bloqué. Son appareil est un Zenit. Une sorte de tank russe hyper balèze, incassable, de presque 1kg. C'est une édition de 1980, sortie exprès pour les jeux olympiques de Moscou, il y a d'ailleurs le logo des JO sur l'appareil. Bref, retenons "incassable".
Je dis "attends tu sais bien, faut forcer un peu avec le gros russe" (c'est son petit nom) je force un peu parce que j'ai plus de force que lui dans mes doigts. Et ça tourne, ça tourne, ça tourne, avec un bruit bizarre. Mais ça tourne puis je sens que le film arrive au bout.
Au bout de sa vie.
En tournant, j'ai ARRACHÉ TOUTES LES PETITES ENCOCHES DU FILM AVEC LES DENTS EN MÉTAL DE L'APPAREIL.
Hum.
Du coup lui très nerveux intérieurement mais très zen par rapport à moi, il me dit "Bon bah on est quitte ?"
Bon du coup Bruxelles c'était joli, je me suis garée en bordure de ville (bon plan, le parking ceria à Anderlecht), j'ai fait des photos du béton pour changer du touristique, j'ai rejoint le centre en métro, je suis passée par des endroits que je ne connaissais pas du tout, entre Congrès et Nord, j'ai fait 20000 pas, j'ai mangé un donburi, j'ai bu du thé à la rose et du citron pressé, j'ai mangé un merveilleux, et je suis repassée faire des courses.
On est quitte.
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