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#géométrie sacrée
timelessfineries · 3 months
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Boucles d'oreilles africaines zouloues en perles de rocaille jaunes et multicolores ::: Timeless Fineries
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esoterique-fr · 5 months
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La Géobiologie présentée par Géobioenenergies aux Ateliers Pleine Lune à Lannion
Nous vous emmenons à la découverte de la Géobiologie, présentée par Géobioenergies aux Ateliers Pleine Lune à Lannion, dans les Côtes d’Armor en Bretagne. https://youtu.be/Iy4qC6_iw-I%20 Géobioénergies fait découvrir la géobiologie Au cours de cette conférence captivante, Emmanuel Ferraro de chez Géobioenergies a pu sensibiliser et informer les participant.es quant aux impacts des phénomènes…
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Hypnotisante cette sublime danse de la géométrie sacrée !
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jakez19 · 9 months
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Géométrie Sacrée @dansletriangledete et @monasteredesaugustines 
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L’Ethique est un livre direct. Pas d’introduction ou de préface. Spinoza n’explique pas où il veut en venir. Ça commence brut avec des définitions. Comme un livre de mathématique. Comme les Eléments de géométrie d’Euclide, la même façon de faire, le même style. Un langage univoque, dans un vocabulaire compliqué tiré de la philosophie d’Aristote. On a juste un titre : l’Ethique. Et ce titre on l’oublie assez vite tellement on doit réfléchir pour déchiffrer les premières propositions. Tellement on lit mot à mot, en revenant en arrière, en relisant plusieurs fois. Tellement on s’épuise et on ne comprend rien.
Alors pour faciliter, on va tricher un peu, je vais te donner la fin tout de suite. C’est effectivement un livre d’éthique. Ça dit qu’on s’accomplit dans sa vie grâce à l’amour universel. Dis comme ça, ça fait cucul. Je t’entends goguenarder mais Spinoza a paré cette éventualité. Déjà tu n’es pas censé le savoir. Il ne t’a rien dit. Et à peine le livre commencé, mine de rien, il est déjà en train de le prouver. Non pas en s’appuyant sur tel ou tel chapitre de tel ou tel livre sacré, mais en dépliant devant tes yeux d’une manière extrêmement méthodique les lois de la nature. Et à la fin, tu trouveras ça évident et très beau, comme quelque chose qui était caché sous ton nez. Il sera beaucoup question de Dieu, mais à aucun moment il sera question de religion.
Spinoza est un homme paradoxal. Issu d’une famille juive sépharade portugaise d’origine espagnole, il fait des études à Amsterdam pour devenir rabbin. Il lit l’hébreu et l’araméen. Il est nourri par les grands penseurs juifs et arabes. Mais il n’a pas les idées comme tout le monde sur la religion, et il est frappé d’hérésie. Exclu de la communauté juive à vie. Spinoza rejette la pratique courante de la religion et la considère comme une superstition qui n’a pour objectif que la servitude des fidèles. La pire de toute selon lui : l’Islam des Turcs de son temps. Pourtant l’Ethique à plusieurs moments résonne comme un livre soufi.
Spinoza, exclu de sa communauté, apprend le latin et se familiarise avec la science européenne et la philosophie politique. Or, le savoir en Europe connaît une crise. La science a prouvé que la Terre est ronde, qu’elle tourne autour du Soleil, qu’elle n’est pas au centre de la création, que son mouvement obéit à des lois mathématiques. La religion ne peut plus raconter n’importe quoi. La nouvelle physique réfute aussi la philosophie d’Aristote, qui était la référence dans les universités. En philosophie politique, Grotius et Hobbes entre autres s’intéressent aux droits naturels. Un siècle plus tard, les droits naturels deviendront les droits de l’homme. Peu à peu, les penseurs découvrent que les lois de l’univers ne sont pas du tout celles que décrivent les religions.
Descartes est le philosophe le plus lu par Spinoza. Bousculé par la crise du savoir européen, Descartes remet en doute radicalement l’ensemble de tout ce qui est écrit dans des livres et tout ce qu’il a appris. Comme une maison qu’on voudrait changer complètement, il vide tout, il fait un grand ménage, il casse les murs. Il en vient à douter du monde tel qu’il le perçoit. A la fin, il ne lui reste qu’une certitude : si je doute c’est que « je pense », et « si je pense » c’est que « je suis ».
Comme Descartes, Spinoza ne veut plus régler la conduite de sa vie sur des livres saints, ou sur les enseignements de vieilles barbes ignorantes, mais sur la science et la logique. Comme Descartes il veut également partir d’une base solide. Mais là où Descartes va se défaire de ses certitudes pour s’arrêter à la seule certitude qui lui reste : « je suis », Spinoza va suivre un autre chemin. Il va directement se demander, par déduction : qu’est-ce que c’est « ce qui reste » ?
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monsieurdomingui · 1 year
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L’Ethique est un livre direct. Pas d’introduction ou de préface. Spinoza n’explique pas où il veut en venir. Ça commence brut avec des définitions. Comme un livre de mathématique. Comme les Eléments de géométrie d’Euclide, la même façon de faire, le même style. Un langage univoque, dans un vocabulaire compliqué tiré de la philosophie d’Aristote. On a juste un titre : l’Ethique. Et ce titre on l’oublie assez vite tellement on doit réfléchir pour déchiffrer les premières propositions. Tellement on lit mot à mot, en revenant en arrière, en relisant plusieurs fois. Tellement on s’épuise et on ne comprend rien.
Alors pour faciliter, on va tricher un peu, je vais te donner la fin tout de suite. C’est effectivement un livre d’éthique. Ça dit qu’on s’accomplit dans sa vie grâce à l’amour universel. Dis comme ça, ça fait cucul. Je t’entends goguenarder mais Spinoza a paré cette éventualité. Déjà tu n’es pas censé le savoir. Il ne t’a rien dit. Et à peine le livre commencé, mine de rien, il est déjà en train de le prouver. Non pas en s’appuyant sur tel ou tel chapitre de tel ou tel livre sacré, mais en dépliant devant tes yeux d’une manière extrêmement méthodique les lois de la nature. Et à la fin, tu trouveras ça évident et très beau, comme quelque chose qui était caché sous ton nez. Il sera beaucoup question de Dieu, mais à aucun moment il sera question de religion.
Spinoza est un homme paradoxal. Issu d’une famille juive sépharade portugaise d’origine espagnole, il fait des études à Amsterdam pour devenir rabbin. Il lit l’hébreu et l’araméen. Il est nourri par les grands penseurs juifs et arabes. Mais il n’a pas les idées comme tout le monde sur la religion, et il est frappé d’hérésie. Exclu de la communauté juive à vie. Spinoza rejette la pratique courante de la religion et la considère comme une superstition qui n’a pour objectif que la servitude des fidèles. La pire de toute selon lui : l’Islam des Turcs de son temps. Pourtant l’Ethique à plusieurs moments résonne comme un livre soufi.
Spinoza, exclu de sa communauté, apprend le latin et se familiarise avec la science européenne et la philosophie politique. Or, le savoir en Europe connaît une crise. La science a prouvé que la Terre est ronde, qu’elle tourne autour du Soleil, qu’elle n’est pas au centre de la création, que son mouvement obéit à des lois mathématiques. La religion ne peut plus raconter n’importe quoi. La nouvelle physique réfute aussi la philosophie d’Aristote, qui était la référence dans les universités. En philosophie politique, Grotius et Hobbes entre autres s’intéressent aux droits naturels. Un siècle plus tard, les droits naturels deviendront les droits de l’homme. Peu à peu, les penseurs découvrent que les lois de l’univers ne sont pas du tout celles que décrivent les religions.
Descartes est le philosophe le plus lu par Spinoza. Bousculé par la crise du savoir européen, Descartes remet en doute radicalement l’ensemble de tout ce qui est écrit dans des livres et tout ce qu’il a appris. Comme une maison qu’on voudrait changer complètement, il vide tout, il fait un grand ménage, il casse les murs. Il en vient à douter du monde tel qu’il le perçoit. A la fin, il ne lui reste qu’une certitude : si je doute c’est que « je pense », et « si je pense » c’est que « je suis ».
Comme Descartes, Spinoza ne veut plus régler la conduite de sa vie sur des livres saints, ou sur les enseignements de vieilles barbes ignorantes, mais sur la science et la logique. Comme Descartes il veut également partir d’une base solide. Mais là où Descartes va se défaire de ses certitudes pour s’arrêter à la seule certitude qui lui reste : « je suis », Spinoza va suivre un autre chemin. Il va directement se demander, par déduction : qu’est-ce que c’est « ce qui reste » ?
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couleur-comme · 1 year
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timelessfineries · 5 months
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Boucles d'oreilles africaines de tradition zouloue ::: Timeless Fineries
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astrologietarologie · 2 years
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💫Au delà des pierres en elles mêmes, je suis passionnée par le fonctionnement énergétique de la lithotherapie. J'ai fait de nombreuses recherches sur ce sujet, essayant de comprendre comment elles pouvaient nous être d'une si grande aide, et comment créer un socle de connaissances structurées, au delà du tout intuitif parfois un peu limité. 💫Un des points que j'utilise dans mon quotidien sous différents aspects est la géométrie sacrée et les ondes de forme. Pour les pierres il s'agit d'un outil précieux, amplifiant l'effet de celles-ci, permettant de diriger leurs effets de manière pertinentes. Les ondes de forme ne sont pas destinées uniquement à la géobiologie, la radionique, et la radiesthésie. 💫Une onde de forme est l'énergie émise par une forme particulière, de par sa structure, qu'elle soit physique ou ethérique. L'objet émet en fonction de sa forme des radiations électromagnétiques qui auront un impact sur l'éther, dans l'espèce et ainsi sur les objets ou organismes présents dans l'environnement. 💫Pour vous citer un exemple, les pyramides possèdent leur propre mécanique de diffusion. 💫L'ingénieur André Bovis fut le premier à étudier ses priorités, suite à la découverte d'animaux momifiés dans la pyramide de Khéops (sans processus d'embaumement). 💫C'est au sein de la chambre du roi, creusée dans les pyramides, et reproduite en miniature dans des pyramides en pierre, que l'énergie s'accumule, environ à 3 cm au dessus de la base. Elle fonctionne par la récupération de l'énergie cosmique (par le haut du triangle) et redistribuée à la base mais également en sens inverse : captation des énergies par sa base et rediffusion par le haut. 💫Il existe d'autres outils notamment les formidables solides de Platon souvent taillés dans du cristal de roche. Je vous en parlerai bientôt. 💫À partir du moment où l'a ces connaissances, leur utilisation peut être bien plus adéquate. Imaginez poser 3 cm au dessus de la base de la pyramide, à l'intérieur, votre nom et un souhait ?
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art-vortex · 6 months
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(via Coussin avec l'œuvre « "Symétrie transcendante" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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deanpoetrymusicart · 2 years
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Coucher de soleil sur l'Ile saint Louis et géométrie sacrée dans le ciel 🙏🏾. Art Conscience Paris #art #conscience #paris #consultation #rendezvous #bellesoiree (at Quais de l'île Saint Louis) https://www.instagram.com/p/CddK6YYNJD7/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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jakez19 · 2 years
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oeufs-de-yoni · 2 years
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Mala Flower of love and tenderness - Rose quartz and rhodonite oeuf-de-yoni.com
Mala Flower of love and tenderness is a traditional handmade natural stone necklace. It can be made of labradorite, amazonite and all other beads with multiple benefits and virtues. The Tibetan mala is very present in the buddhism as well as the rituals of protection. Natural stone jewelry, it allows to open the chakras. Your custom mala bracelet is made by myself according to the information you have provided. "Your mala will be unique.
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L’Ethique est un livre direct. Pas d’introduction ou de préface. Spinoza n’explique pas où il veut en venir. Ça commence brut avec des définitions. Comme un livre de mathématique. Comme les Eléments de géométrie d’Euclide, la même façon de faire, le même style. Un langage univoque, dans un vocabulaire compliqué tiré de la philosophie d’Aristote. On a juste un titre : l’Ethique. Et ce titre on l’oublie assez vite tellement on doit réfléchir pour déchiffrer les premières propositions. Tellement on lit mot à mot, en revenant en arrière, en relisant plusieurs fois. Tellement on s’épuise et on ne comprend rien.
Alors pour faciliter, on va tricher un peu, je vais te donner la fin tout de suite. C’est effectivement un livre d’éthique. Ça dit qu’on s’accomplit dans sa vie grâce à l’amour universel. Dis comme ça, ça fait cucul. Je t’entends goguenarder mais Spinoza a paré cette éventualité. Déjà tu n’es pas censé le savoir. Il ne t’a rien dit. Et à peine le livre commencé, mine de rien, il est déjà en train de le prouver. Non pas en s’appuyant sur tel ou tel chapitre de tel ou tel livre sacré, mais en dépliant devant tes yeux d’une manière extrêmement méthodique les lois de la nature. Et à la fin, tu trouveras ça évident et très beau, comme quelque chose qui était caché sous ton nez. Il sera beaucoup question de Dieu, mais à aucun moment il sera question de religion.
Spinoza est un homme paradoxal. Issu d’une famille juive sépharade portugaise d’origine espagnole, il fait des études à Amsterdam pour devenir rabbin. Il lit l’hébreu et l’araméen. Il est nourri par les grands penseurs juifs et arabes. Mais il n’a pas les idées comme tout le monde sur la religion, et il est frappé d’hérésie. Exclu de la communauté juive à vie. Spinoza rejette la pratique courante de la religion et la considère comme une superstition qui n’a pour objectif que la servitude des fidèles. La pire de toute selon lui : l’Islam des Turcs de son temps. Pourtant l’Ethique à plusieurs moments résonne comme un livre soufi.
Spinoza, exclu de sa communauté, apprend le latin et se familiarise avec la science européenne et la philosophie politique. Or, le savoir en Europe connaît une crise. La science a prouvé que la Terre tourne autour du Soleil, qu’elle n’est pas au centre de la création, que son mouvement obéit à des lois mathématiques. La religion ne peut plus raconter n’importe quoi. La nouvelle physique réfute aussi la philosophie d’Aristote, qui était la référence dans les universités. En philosophie politique, Grotius et Hobbes entre autres s’intéressent aux droits naturels. Un siècle plus tard, les droits naturels deviendront les droits de l’homme. Peu à peu, les penseurs découvrent que les lois de l’univers ne sont pas du tout celles que décrivent les religions.
Descartes est le philosophe le plus lu par Spinoza. Bousculé par la crise du savoir européen, Descartes remet en doute radicalement l’ensemble de tout ce qui est écrit dans des livres et tout ce qu’il a appris. Comme une maison qu’on voudrait changer complètement, il vide tout, il fait un grand ménage, il casse les murs. Il en vient à douter du monde tel qu’il le perçoit. A la fin, il ne lui reste qu’une certitude : si je doute c’est que « je pense », et « si je pense » c’est que « je suis ».
Comme Descartes, Spinoza ne veut plus régler la conduite de sa vie sur des livres saints, ou sur les enseignements de vieilles barbes ignorantes, mais sur la science et la logique. Comme Descartes il veut également partir d’une base solide. Mais là où Descartes va se défaire de ses certitudes pour s’arrêter à la seule certitude qui lui reste : « je suis », Spinoza va suivre un autre chemin. Il va directement se demander, par déduction : qu’est-ce que c’est « ce qui reste » ?
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