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#les gens savent ce qui est bon ou pas on n'a pas besoin d'être traités comme des enfants
dolentsnows-archive · 2 years
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claudehenrion · 3 years
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Notre roman national - ( I ) : une richesse partagée
  Une mode mortifère et inexplicable est de s'interroger (en négatif, air du temps oblige !) sur les limites, l'utilité et l'exactitude de notre ''roman national''. Dans leur folie destructrice, nos iso-Savonarole progressistes oublient que pour porter un jugement sur notre Nation et son histoire, il faudrait au moins la ou les connaître, ce qui implique qu'existeraient des programmes qui le prévoient, des professeurs qui l'enseignent, et surtout un gouvernement qui aurait enfin compris que, lorsque souffle en tempête le vent du large, une nation est un havre... à condition qu'elle soit  rassemblée autour d'une histoire partagée, à transmettre pour la perpétuer. Cette richesse se nomme ''notre héritage'' et leur haine prouve son importance...
Ma génération a eu la chance (et sans doute a-t-elle été la dernière), d'avoir été guidée dans l’enfance par des instituteurs de l'ancien temps, survivants --parfois gravement gazés-- de la guerre de 14-18 et dignes fils des ''Hussards noirs de la République''. Au delà de leurs préférences et de leurs opinions personnelles, ils savaient parfaitement ce qu'ils devaient à la monarchie et à ses serviteurs (nos rois, mais aussi Colbert, Richelieu, Sully, et tant d'autres), à la Révolution de 1789, à l'Empire, à la République... et à notre héritage chrétien commun (que beaucoup ne partageaient sans doute pas, mais aucun de leurs élèves n'en a jamais rien su). C'est évidemment eux qui avaient raison, contre les cuistres d'aujourd'hui, diplômés sans connaissances, titrés sans culture et militants sans causes, qui ne savent qu'étaler leur propre nullité et leur incompréhension dramatique d'un monde qu'ils imaginent être à l'image de leurs partis-pris et de leur néant culturel... et autre.
Un des drames certains de la pensée politique (?) française se cache dans une instrumentalisation de l'Histoire dans le but (parfois non reconnu) de politiciens incultes et d'universitaires préformatés, d'effacer ‘’notre’’ Histoire de France, pour la remplacer par des bribes d'histoires réinventées, décousues, et sans lien ni entre elles ni avec ce qui s'est réellement passé. Il faut noter que ces nouvelles histoires sont toutes infiniment plus ''re-brodées'' que celles qui avaient été rejetées comme ''peut-être pas exactement vraies'', et que toutes sont beaucoup moins crédibles. La raison invoquée pour ce bricolage déculturant ? ''Il faudrait --affirment les cuistres sans expliquer pourquoi-- promouvoir les mémoires concurrentes des différents peuples vivant sur le sol français'' (sic !). On ne voit pas la raison de ce sabordage, mais c'est chez eux idée fixe... (Au passage, on se demande d'ailleurs pourquoi écarter les mémoires et la culture de tous les touristes qui nous rendent visite ?).
La mode est donc aux ''mémoires concurrentes'' des différents peuples présents à un instant ''T'' sur le sol français, ratatiné à un ''Hexagone'' sans épaisseur. Et tant pis pour elle si la vaste majorité silencieuse ne se reconnaît plus du tout dans ce relativisme culturel et dans cette ‘’promotion de la diversité’’ des minorités, au détriment du récit national cher aux français, qui avait l'avantage d'être fédérateur et plutôt plus exact que les digressions partisanes qui ont pris sa place. Mais les habitants historiques n'ont qu'à ''être dans le vent''... au lieu de s'arc-bouter sur l'exactitude de leur joli ''roman national'' que quelques cuistres qui n'ont pas la plus petite idée de ce dont ils parlent ont jugé bon de ''dézinguer", sans qu'aucun avantage ne soutienne cette démarche. Ils ont cassé des programmes scolaires cohérents et structurés et les ont remplacé par... rien, mais un ‘’rien’’ qui tend à la négation de la France ! Ce faisant, ils ont porté un coup grave à un de nos besoins (et un de leurs cauchemars) : la Nation, sur laquelle tant de bêtises ont été proférées, depuis Mitterrand, qui voyait en elle... l’explication de toutes les guerres !
Pour ces historiens-histrions ennemis de l'Histoire, le chapitre ''colonial'' français a récemment été à nouveau propulsé aux tout premiers rangs, sous une version romancée dans le néo-style ''woke'' qui ne peut apporter que pleurs et grincements de dents : on a toujours tort de mentir ! Mais les gens de gauche ont un besoin irrépressible de ''déconstruire'' (et c'est même une de leurs caractéristiques, que rappelle majestueusement leur hymne, ''l'Internationale''), et notamment notre roman national, au nom d'un douteux ''réalisme idéologique'' qui fait de tout peuple colonisateur le responsable exclusif des malheurs des peuples colonisés, avant et après. Les horreurs, les  manques, les vices de forme antérieurs à la colonisation sont ignorés, voire niés : ils n'entrent pas dans leur horrible schéma, si réducteur. En revanche, tout ce qui s'est passé 50 ou 60 années après l'Indépendance est systématiquement attribué au ''fait colonial''. Les français, par exemple, sont réputés responsables de tout ce qui est arrivé de mauvais (car il n'y a que du mauvais, le bon étant porté, on ne sait comment, à leur débit aussi !) dans leurs ex-colonies des lustres après leur indépendance... ce qui est un témoignage de plus du mépris de la gauche pour la vérité et la logique. En fonction de quoi les ''identitarismes'' qui gangrènent nos quartiers perdus ne sont imputables qu'à ceux qui en sont les vraies victimes. Il paraît que c'est évident... mais on se demande bien pour qui !
C'est presque devenu un besoin, dans les groupuscules d'extrême gauche (qui, fort heureusement, ne se comptent plus que par centaines de cagoules... mais sont traités par la ''Justice'' (sic) et les médias comme s'ils étaient des torrents humains, déferlant contre le ''Mal''... même si  leur système de non-pensée a fait une faillite absolue. Car qui peut, de bonne foi (et quel que soit son rang dans la hiérarchie républicaine, progressiste et déconstructrice) prétendre que la fin de l'esclavage, la fin des grandes épidémies qui décimaient et au-delà des populations entières, la fin aussi des maladies handicapantes (j'ai des souvenirs précis (et tristes) de centaines d'aveugles pour cause de glaucome qui survivraient en mendiant), la fin des luttes tribales, des razzias et des transferts forcés de populations... n'a pas été de pair avec la construction d'équipements industriels, hospitaliers, ferroviaires, routiers, portuaires, d'écoles, de barrages... toutes choses typiques de la culture occidentale qui n'avaient donc jamais existé ni été envisageables, jusque là...  
Comme tout était plus simple quand les mots avaient encore un sens -qui était le leur- et quand la folie restait cantonnée dans les asiles ! Croyez-vous que le bon sens est perdu à jamais ou que nous le retrouverons... un jour ? Nous vivons une immense révolution du rapport à l'Histoire : pendant des millénaires, le passé (et donc les ''anciens'', pétris d'expérience), a été été objet de dévotion. Puis vers la fin du XVIIIè, seuls se sont mis à compter le Présent et le Progrès (ce qui est tout-à-fait antinomique, mais nos faux gourous ne l'ont même pas vu !), la Révolution et l'esprit révolutionnaire. Aujourd'hui, c'est plus grave encore, car c'est l'espoir qui disparaît au fur et à mesure que les gens se rendent compte qu'il n'y a plus de futur qui fasse envie : tout nous incite à verser dans une temporalité et une immédiateté orphelines : plus de passé et pas de futur... donc pas de présent ! Il faut dire qu'il est si terne et si désespérant, ce présent, qu'on le regrette à peine... (à suivre)
H-Cl.
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loseromega · 2 years
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Quand, les rares fois où je sors de mon trou à rat, il m'arrive de croiser ce genre de femme Alpha, l'omega que je suis court dans un bistrot, commande un café avant de filer aussitôt aux toilettes pour astiquer mon micropénis avec son image gravée sur mon microcerveau . En me branlant, je l'imagine m'ordonner de baisser mon pantalon bon marché devant elle. J'imagine son fou rire et ses commentaires humiliants. Je l'imagine me demander de tirer sur mon asticot et de gicler en son honneur. En pleine rue. Elle, assise sur un banc, moi, debout, le pantalon et le caleçon sur les chevilles. Heureusement, à cette heure, la rue est déserte dans ce quartier chic et elle en profite pour s'amuser à humilier le loser de prolo qui n'a rien à faire ici. Elle a raison : ce monde n'est pas et ne sera jamais le mien. C'est un territoire interdit pour les losers omega. Je l'imagine encore me demander d'éjaculer dans ma main libre et exiger que je lèche mon propre sperme, ce que je fais, soumis devant tant d'autorité et de supériorité. Puis je l'imagine se lever et se diriger en ricanant vers un SUV de luxe, style Mercedes, BMW, ou Porsche, signe extérieur de richesse et de son statut d'Alpha bourgeoise, puis s'installer au volant. Avant de fermer la portière, elle se tourne vers moi et me lance : "Vu ton allure et comment tu es sapé, gros branleur à petite bite, je suppose et j'espère que tu es pauvre ? Genre au R.S.A. ou autres saloperies que je finance avec mes énormes impôts pour des assistés de merde dans ton genre... Tu veux un petit billet pour rémunérer le show hilarant que tu viens de m'offrir et pouvoir boucler ta fin de mois sans crever la dalle ?"
MOI : Oui, Madame. C'est gentil, Madame. Merci, Madame ! Et... en plus, vous avez raison, Madame. Je n'ai presque rien pu me payer à manger depuis trois jours, Madame... Et je n'ai personne pour m'aider, Madame... Encore merci, Madame !
Elle a un rictus aussi amusé que cruel.
ELLE : Désolée, loser, avec mon mari, on dîne dans un cinq étoiles très cher ce soir, donc tu comprends bien, intelligent comme tu en as l'air, que je ne peux pas me permettre de faire la charité à un rebut social de ton espèce. Dans mon monde, un sou est un sou et la générosité est aussi mal vue que le F.I.S.C... En plus, je n'ai pas de monnaie, juste huit cartes de crédits et des billets de 200 et de 500... HA HA HA !!! Je ris, mais, je ne plaisante pas, pauvre minable...
Sur quoi elle claque sa portière et démarre sans m'avoir donné un centime. Je la comprends tellement... JE NE VAUX PAS UN CENTIME, PUISQUE JE NE VAUX RIEN, PIRE, MOINS QUE RIEN, COMME TOUT BON LOSER OMEGA. Les Alpha riches comme cette cruelle Déesse savent mieux juger de la vraie valeur des chose et des gens que les prolos omega comme moi. Pendant que sa voiture s'éloigne, le goût de âcre de mon sperme persistant dans ma bouche, je l'imagine conduire le sourire aux lèvres, en train de mouiller sa culotte de soie et de dentelle d'excitation du fait de ma honte, de mon micropénis, de mon humiliante branlette forcée et du sadisme de son mépris de classe. Les crèves-la-faim l'excitent sexuellement... J'entre de nouveau en érection, à peine deux ou trois minutes après mon éjaculation, tant l'humiliation est puissante. Et pour une omega, rien n'est plus bandant que d'être traité comme une merde, étant donné qu'il en est une. Ce n'est que bon sens et justice.
Dieu bénisse et enrichisse davantage cette Alpha dont l'avarice et le cynisme l'honorent. Un omega qui brûle ne mérite même pas qu'on lui pisse dessus pour éteindre les flammes. Si j'avais le R.I.B. de cette Déesse ultrafriquée, je lui virerai chaque moi une partie de mes maigres allocations, quitte à mourir de faim pour ELLE et ce qu'elle représente, au-delà de son intimidant sex-appeal. Oui, je rêverais de verser une offrande mensuelle à cette méprisante Alpha qui n'a nul besoin de mes pièces jaunes de raté de la vie... Je me vois me masturber frénétiquement en effectuant les virements sur son compte chaque mois, pensant au nombre de repas que je vais devoir sauter pour honorer ce tribut hors de mes moyens. C'est comme ça depuis toujours, cela dit : les riches s'enrichissent sur le dos des pauvres et c'est très bien comme ça. Apha et omega, n'oublions pas !
Pour finir, les yeux fixés sur la photo, je prie pour le bonheur de cette Déesse et pour mon jouissif appauvrissement en son hommage. Et je baise les pieds du mâle Alpha qui a le privilège vertigineux de lui faire l'amour et de la faire jouir comme jamais je n'ai pu faire jouir une femme.
Et de ce fantasme, je vais faire une réalité et me priver de bouffer d'emblée : je vais de ce pas brûler mon seul billet de 50 euros et je ne plaisante pas. Amen, Déesse.
WORSHIP THE RICH, FUCK THE POOR !!!
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ambipolis · 4 years
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Mercredi 5 août 2020
Ce que Malika Sorel a écrit en 2015
Ancien ingénieur d'affaires et de recrutement de cadres de PME, aujourd'hui membre du Haut Conseil à l'intégration, Malika Sorel a passé ses dix premières années en France, avant de suivre ses parents en Algérie où elle suit sa scolarité. Après avoir terminé l'école polytechnique d'Alger, elle revient en France, où elle suit le troisième cycle de Sciences po. En 2007, elle publie : le Puzzle de l'intégration et les Pièces qui vous manquent (Mille et une nuits). Elle y explique que la question de l'immigration-intégration doit être traitée globalement et non plus de façon sectorielle, qu'il faut cesser d'octroyer la nationalité française à des personnes qui ne sont pas prêtes, psychologiquement et moralement, à l'assumer, et s'appliquer, en revanche, à faire respecter la loi française par tous, sans exception.
FB *
Pourquoi avez-vous écrit ce livre ? Les émeutes de 2005 m'ont poussée à écrire ce livre parce que je me sentais responsable de n'avoir, alors, rien dit. Moralement, mais aussi sur le plan affectif, je ne supportais plus cette injustice vis-à-vis du peuple français : les Français sont bâillonnés, et quand ils osent s'exprimer, on leur fait un procès en racisme ou en xénophobie alors qu'ils veulent simplement préserver leur identité. Mes origines me permettaient peut-être, de dire que la véritable victime de l'immigration est le peuple français.
Vous parlez beaucoup du rôle délétère de la «repentance». 
Non seulement pour les Français, mais pour les immigrés eux-mêmes. Le rôle des élites françaises a toujours été déterminant dans l'instrumentalisation de l'histoire. La décolonisation a traumatisé tout le monde, soit ! Mais il devrait tout de même être possible, cinquante ans après des drames partagés, de traiter sereinement du passé, avec ses ombres et ses lumières, au lieu de renier son histoire en se laissant enfermer dans la dialectique culpabilisation-victimisation. Or, c'est malheureusement ce qui se passe. Le discours dominant ne parle que des « horreurs » de la colonisation, et plus personne n'écoute le peuple français, qui est pourtant le plus légitime pour parler objectivement des problèmes engendrés par l'immigration. De surcroît, transformer les Français de souche en bourreaux, n'a fait qu'injecter le poison de la haine dans le cœur des enfants issus de l'immigration. La France s'autodétruit sans rendre service aux immigrés, puisqu'on attribue leurs erreurs, ou encore leur manque d'investissement, à la société. Une excuse facile qu'ils reprennent pour ne pas assumer leurs responsabilités. A partir du moment où l'on enferme des gens dans le rôle de victimes, on leur envoie le signal que tout leur est dû. Or, cela n'est pas vrai. La France fait beaucoup pour les immigrés et leurs descendants, et ceux-ci ont encore énormément à faire pour se rapprocher des Français de souche européenne, en particulier les Maghrébins et les Africains dont la culture reste très éloignée de celle de leur pays d'accueil. Il fallait d'emblée être ferme et affirmer que nos valeurs fondamentales ne changeraient pas. On a fait l'inverse. Dans ces conditions, il est naturel qu'ils développent de moins en moins d'efforts pour respecter les normes collectives françaises. Ils sont convaincus que celles-ci vont changer pour s'adapter à eux. Il faut aussi dire aux populations d'origine étrangère tout ce que l'Etat fait pour elles. L'argent qui est injecté dans tous les domaines : c'est ainsi qu'on aidera les enfants de l'immigration à se construire le socle de reconnaissance sans lequel rien d'harmonieux ne sera jamais possible. Ce n'est pas en se flagellant qu'on fera aimer la France aux enfants et aux adolescents des banlieues. Bien au contraire. Notre comportement relève parfois de la psychiatrie !
Pourquoi l'idée de « discrimination positive » est-elle dangereuse à vos yeux ?
Parce que c'est une escroquerie. L'intégration n'est pas un ascenseur automatique, mais un parcours semé d'obstacles ! L'idée que l'on puisse progresser dans la société de manière passive est absurde. C'est un engagement sur plusieurs générations, la famille entière doit s'engager autour du projet éducatif. Aujourd'hui, beaucoup d'élèves ne font plus rien. Il faut arrêter de les bercer de mensonges ! Pour réussir, il faut se prendre en main. Et puis la « discrimination positive » est injurieuse pour les immigrés eux-mêmes : on part du principe que les gens issus de l'immigration n'y arriveront pas seuls parce que les Français les détesteraient. C'est zéro pointé sur toute la ligne. Quand vous travaillez dans une équipe, il faut acquérir sa légitimité auprès des autres. Si vous n'avez pas respecté le même processus de sélection, c'est impossible. Pour devenir légitimes, les personnes issues de l'immigration doivent se plier aux mêmes exigences que les autres.
Vous êtes également très sévère avec la Halde !
Elle joue un rôle d'exaspération et de crispation entre les groupes. Elle passe le plus clair de son temps à exacerber les tensions en disant que les gens issus de l'immigration sont victimes de notre société, alors que c'est l'ignorance des codes sociaux et culturels qui empêche les jeunes d'être recrutés. Cela avait été parfaitement mis en évidence par l'analyse d'entretiens d'embauche auxquels la sociologue Jacqueline Costa-Lascoux avait assisté. Le fait qu'on accepte d'eux ce qu'on n'accepterait jamais des autres ne fait que les enfermer dans leurs propres codes culturels. J'ajoute que je prends comme une bonne nouvelle. La mise sous tutelle de la Halde. Mais il faut, à terme, qu'elle disparaisse. Le système judiciaire français est là pour traiter des vraies affaires de discrimination. On n'a nul besoin d'une institution qui participe, vraisemblablement sans le vouloir, à dresser les gens les uns contre les autres.
Qu'opposer, alors, aux doctrines que vous dénoncez ?
Rien d'autre que le modèle d'intégration républicain qui fonctionnait très bien ! On doit accueillir les gens dans la communauté française et non l'inverse. Ils doivent respecter le système français. Si on avait fait ça, on aurait suscité le désir d'intégration. Mais comment y parvenir quand on injecte 200.000 nouveaux entrants par an dans une société déjà en proie à des difficultés majeures ? C'est irresponsable, grave et fondamentalement dangereux. Il est évident que là réside le défi des prochaines années : si l'on continue comme aujourd'hui, nous irons vers des troubles majeurs. Trop de gens arrivés récemment n'éprouvent plus le besoin de respecter la loi de la République, et reconstituent leurs sociétés d'origine sur le territoire français. Si rien n'est fait pour y mettre un terme, la pression va devenir rapidement intenable.
Quelles pressions, justement, exercent ces sociétés reconstituées ?
Dans les cultures maghrébines et africaines, le groupe prend possession de l'individu. Or, plus la société est déstructurée et permet des accommodements, plus les membres des groupes mieux structurés sont tentés de bafouer les règles françaises, qu'on peut défier à moindre risque. La culture de l'école de la République que les enfants ramènent à la maison est aussitôt rejetée parce qu'elle ne correspond pas aux normes culturelles d'origine. Le racisme anti-blanc est une réalité. L'insulte suprême utilisée, c'est "céfranc". Les professeurs nous le disent : être sérieux en cours, c'est déjà, pour certains, vouloir devenir français : une honte, car assimilé à une traîtrise. Les bons élèves sont, de ce fait, de plus en plus soumis à des pressions par les enfants issus de la même origine culturelle. Le fait que les institutions françaises, la police et l'école soient attaquées n'est évidemment pas anodin. Or , on continue à excuser les auteurs de ces attaques, à les déresponsabiliser en invoquant leurs conditions sociales. Ces mêmes populations, avec des conditions sociales nettement inférieures, ne se comportent pas ainsi dans leur pays d'origine. C'est bien la preuve que l'attitude de notre société a joué un rôle déterminant dans l'apparition des problèmes que nous connaissons.
Vous accusez le droit du sol. Pourquoi ?
Devenir français est un processus qui doit être personnel, car il faut être prêt à assumer d'inscrire ses propres descendants dans un nouvel arbre généalogique qui n'est pas celui de ses ascendants biologiques et culturels. Il y a là, une véritable rupture, très difficile à assumer. C'est pourquoi, aujourd'hui, pour une multitude de raisons, peu de gens ont le désir de devenir français. Ils prennent les papiers parce qu'ils savent que c'est le sésame avec lequel ils n'auront plus jamais faim. Ils sont honnêtes et l'avouent : - " je ne suis pas français, j'ai juste les papiers ! " C'est la classe politique, dans son ensemble, qui ment et occulte ce que signifie l'identité française. La communauté française reste pour l'instant silencieuse, car elle est bâillonnée, mais, comme dans tous les pays du monde, elle n'est pas prête à accepter comme françaises des populations étrangères à son identité. Il y a aujourd'hui, en France, une négation fondamentale du droit des Français à être français.
Quelle distinction faites-vous entre insertion et intégration ?
L'intégration, c'est le fait d'assumer l'héritage du peuple français, de porter soi-même les valeurs et les principes des Français, de les transmettre à ses propres enfants. Il y a une forte dimension affective et morale. On ne peut pas exiger cette étape, elle est trop personnelle, trop intime. En revanche, l'insertion est absolument non négociable, c'est le respect des règles et lois de la société. Nombre de ces règles sont tacites. Elles ne sont pas nécessairement inscrites dans des lois. L'insertion dans la société française constitue une étape indispensable avant l'intégration dans la communauté nationale française. C'est ce que ne respecte pas le droit du sol.
L'une des plus grandes erreurs a été, selon vous, de dégrader l'apprentissage de la langue et de la culture française. Pourquoi ?
L'école de la République a un savoir à transmettre, qui crée un référentiel commun à tous les enfants. La langue est un passeport culturel pour naviguer dans la société française. On les a empêchés de pouvoir le faire en revoyant nos exigences sans cesse à la baisse. Pis, l'école s'est mise à verser dans le relativisme culturel, et même à leur transmettre des éléments de leur référentiel culturel alors que, c'est bien la seule chose que leurs familles leur transmettent. Aimer une langue est un tremplin pour aimer un peuple. Au travers de la langue, des textes de littérature et aussi des contes et des chansons enfantines, c'est bien la culture qui est transmise. Aujourd'hui, dans les rues, dans les cours d'école, on ne parle plus français. C'est un signe, sans équivoque, du réel refus d'intégration. Sans compter qu'un enfant qui ne peut s'exprimer et se faire comprendre du fait de la pauvreté de son langage a une plus grande propension à devenir violent. Commençons donc par accentuer l'effort sur la maternelle et sur les premières classes de l'école primaire, en réduisant les effectifs par classe et en mettant l'accent sur la transmission de la langue. Revoyons aussi le circuit des allocations. Il faut impérativement que cet argent aille, en priorité, au projet éducatif, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. A chaque rentrée scolaire, au lieu de remettre aux parents un chèque qui, souvent, sera envoyé dans le pays d'origine, donnons un cartable, des cahiers et des livres directement à l'enfant.
Que pensez-vous de la déchéance de nationalité ?
Il faut la mettre en place, et il faut cesser de donner la nationalité française à tout le monde. Les gens qui risquent aujourd'hui la déchéance de nationalité n'auraient jamais dû l'obtenir. Il faut vraiment que les politiques s'occupent de toutes ces questions très rapidement. Beaucoup, parmi eux, sont habités par la peur car les populations de l'immigration leur apparaissent comme ayant facilement recours à la violence. Il va pourtant falloir avoir le courage de traiter toutes les dimensions de ce sujet. C'est dans l'intérêt de tous. Notre société est chaque jour plus déstabilisée. C'est la cohésion nationale qui est désormais en jeu ! Tout accepter met la France par terre ! Et, si nos dirigeants acceptent que l'Education Nationale enseigne l'arabe dans nos écoles comme certains de nos politiciens le demandent, la France sera foutue et disparaitra sous la domination de l'islamisme !
Malika SOREL
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savoir-entreprendre · 6 years
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Entrepreneur : 7 qualités qui distinguent les véritables leaders De Bossy Poseurs
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Entrepreneur et CultureIQ recherchent les meilleurs cultures à haut rendement pour figurer sur notre liste annuelle. Vous pensez que votre entreprise a ce qu'il faut? Cliquez ici pour commencer. Être un entrepreneur à succès n'a pas nécessairement de vous un leader succès fait pas. Un véritable grand leader comprend les nombreux facteurs différents qui viennent avec les principaux autres et vise à aider les autres à atteindre leurs objectifs. Les dirigeants sont toujours se développent et agissent comme des visionnaires pour leur organisation. Les grands leaders inspirent et permettent à leur équipe de faire le meilleur travail possible. Voilà un défi de taille, mais en tant que leader, vous devez être à relever le défi. Il ya beaucoup de différents styles de leadership, cependant, tous les dirigeants partagent sept traits de base: Intégrité. La valeur de l'intégrité comme un leader vertu fondamentale est inestimable. Quand vous dites ce que vous voulez dire et ce que vous dites, les gens vont vous faire confiance implicitement et répondent généralement en nature. En tant que leader, il est important de relever la barre haute en modélisant personnellement une norme de vérité qui démontre vos plus profondes valeurs morales et reflète la mission de votre entreprise. Associés: six piliers de la construction de votre intégrité Passion. Les gens veulent travailler avec les dirigeants qui se soucient vraiment sur le travail qu'ils font et croient de tout coeur qu'ils font une différence positive dans le monde. Vous devez donner l'exemple et obtenir des compétences de gestion qui inspirent les autres à vous rejoindre dans la construction d'une grande entreprise. Les entrepreneurs qui incarnent cette vision dans leur vie de travail au jour le jour véhiculent cette excitation à ceux avec qui ils travaillent, qui à son tour tirer de l'énergie de leur engagement. Votre travail consiste à maintenir un environnement de travail heureux et continuer à mener votre équipe avec passion et enthousiasme. Reddition de comptes. Les dirigeants prennent l'entière responsabilité de leurs actions, ainsi que la performance de ceux qu'ils supervisent. Ils favorisent un tout-pour-un-et-un pour tous atmosphère qui reconnaît les contributions de tous les membres de l'équipe et fournit un système de soutien mutuel forte. Les dirigeants mènent par l'exemple, en gardant leur parole et veiller à ce que tout le monde a les ressources dont ils ont besoin pour être à leur meilleur. Connexe: édification de la responsabilité pour créer une entreprise en Unstoppable Délégation. Les grands leaders apprennent à connaître leurs membres de l'équipe et le bien, et ce faisant, ils savent qui fait quoi mieux, et font confiance à leurs employés de faire du bon travail. Micromanagers, d'autre part, sont à l'opposé des dirigeants parce qu'ils gardent des enfants et passent leur temps à vérifier tous les détails plutôt que de regarder la grande image. Acquérir des compétences particulières de chacun de sorte que vous pouvez tirer parti de ces atouts au profit de votre entreprise, vous libérant de se concentrer sur la vision qui prendra votre entreprise au niveau suivant. Créativité. "Si elle est pas cassé, ne le répare pas» est un concept terriblement obsolète. Dans le vingt et unième siècle le monde de l'évolution technologique et le marché rapide, vous allez tomber derrière si vous n'êtes pas aller de l'avant. Le nouveau mantra est l'amélioration constante de vos produits ou services. En tant qu'entrepreneur, vos décisions seront faire ou casser votre entreprise. Faire preuve de créativité et de solliciter des idées de votre équipe qui peut aussi apporter leurs idées brillantes à la table. Communication. Les dirigeants sont des visionnaires, et votre travail en tant qu'entrepreneur est d'apporter votre vision de la vie. Il est une chose de tenir cette vision dans votre tête, mais peu importe comment il peut être clair pour vous, votre idée ne deviendra réalité que si vous l'exprimer clairement à ceux dont peuvent vous aider à faire ce souhait devienne réalité. Rencontrer régulièrement et de donner à chacun avec qui vous travaillez instructions claires. Louange et récompenser chaque fois qu'ils se rencontrent et dépasser vos attentes. Respect. Le point d'être un leader est de ne pas être à la tête du pôle de pyramide ou de totem. Au contraire, il est de créer une entreprise prospère qui améliore la vie des gens. Patrons égoïstes qui considèrent leurs employés comme des rouages ​​de la machine interchangeables ne changent pas le monde. Efforcez-vous de faire preuve d'empathie et de traiter vos collègues de travail et des collègues la façon dont vous voulez être traité. Valeur et le respect entre eux, et à leur tour, ils vous respecteront. Les grands leaders sont faites, pas né. Ils deviennent extraordinaires grâce au travail acharné, la détermination et le courage, avec une pincée de ces traits communs. Considérez-vous comme un leader, agissent alors comme l'un, et de vos limites sont illimitées. Read the full article
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claudehenrion · 5 years
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Finalement... Macron est-il de gauche... ou de gauche ?
  Au delà du ''ni... ni...'' qu'il s'est lui-même donné comme absence de limite (''je suis oiseau, voyez mes ailes... Je suis souris, vivent les rats !'' écrivait la Fontaine) pour ''ratisser large'', on peut se demander dans quelle catégorie de la pensée politique évolue Emmanuel Macron, qui fait voter des lois très à gauche et tourne le dos à notre Histoire pour nous entraîner vers les sombres rivages inconnus de la mondialisation et de la multi-culture (cette chimère mortelle) grâce au soutien des anciens électeurs de la droite la plus classique. Il semble important d’essayer (c’est un minimum) de comprendre… vers quoi nous entraîne notre ‘’je m’en fichisme’’.
  De nos jours, les ''brevets de fréquentabilité'' des idées, des personnes ou des références, et les permissions d'être reçu à la télévision sont distribués par  une sorte de ''camarilla'' officieuse (gourous sans message, journalistes ratés et hommes politiques incultes, tous ''de gauche'', évidemment), fille par PMA de l'ancienne ''Intelligentzia''. Hors d'elle, point de salut : vous êtes un paria (mal) toléré sur les plateaux, ou une erreur de casting, et dans les deux cas, vous serez traité avec le mépris et la morgue de ceux qui savent -et qui savent qu'ils ont raison !
  Dans le monde changeant où son absence d'idées permanentes nous force à vivre, la Gauche se définit donc, d'abord et avant tout, comme une catégorie politique autoproclamée qui promeut un imaginaire du ''mouvement''. C'est elle qui détermine le sens du progrès, le sens de l'Histoire et la dynamique de la modernité.. et être de Gauche, c'est donc être moderne et progressiste (c'est la même chose), c'est se croire nécessaire, essentiel et insurmontable. ''De Gauche'', vous êtes assuré d'avoir raison puisque vous représentez (et même : vous êtes) le mouvement. La question qui se pose est alors : ''mais le mouvement... vers quoi ?''.
  D'abord vers le mouvement lui-même, pour le mouvement : qui n'avance pas recule, affirme l'homme de Gauche, contre toute loi physique ! Et ensuite ''dans le bon sens'', puisque c'est lui qui définit ce qui est progrès, ce qui est moderne, ce qui est émancipation et, en gros, le bon et le mauvais : n'a-t-il pas ''le monopole du cœur'' ? Et enfin ''vers le bonheur'', puisque une des missions que se donne l'Homme de gauche consiste à déconstruire tout ce qui structure la vie sociale et la nature, rebaptisées routine, tradition, habitude, passé, ou identité, toutes notions éminemment incompatibles avec le fait de devoir changer en permanence. Mais ''déconstruire'' est une mission sacrée, car le bonheur à venir (?) d'une humanité redéfinie ne pourrait se trouver que dans le mouvement permanent vers un homme nouveau. Tout est dans les couplets de l'Internationale. Il suffit de les lire.
  En Macronie, le péché mortel est de ralentir le mouvement, et les principaux obstacles à cette envolée lyrique vers des utopies (dont on sait, devant les échecs de toutes les tentatives qui ont eu lieu, qu'elles ne sont que des dystopies) sont donc la chrétienté et ses valeurs, et la civilisation occidentale qui en découle directement. Et la meilleure manière de s'attaquer à ces ennemis, conservateurs par essence puisqu'ils ne voient pas que des avantages à bouger pour bouger, c'est de tourner le dos aux anciens paradigmes dits ''de gauche'' (l'économie, le social, l'identitaire) et de ne garder que des paradigmes nouveaux : le multiculturel, le nomadisme, la diversité, et le ''sociétal'' qui permet de mettre bas les fondements et les structures du monde ancien. Nous sommes en plein dans ce processus-fou de la déconstruction de tout... et de son remplacement (?) pas ''infiniment pire''...
  Et nous revenons, digression faite, au cœur de notre sujet : Emmanuel Macron est effectivement un chantre du  modernisme, de ce qu'il appelle ''progrès'' (qui l'est très rarement)... et contre tous les conservatismes. Nettement à gauche lui-même, il a oublié l'histoire de la gauche et il ne s'intéresse plus aux prolétaires (qu'il abandonne à une soi-disant ''extrême droite'' rebaptisée ''populiste'' pour souligner le mépris où il la tient), ni aux pauvres, ni aux laissés pour compte, ni à ceux qui ont du mal à suivre. Ses ''Hommes nouveaux'' seraient bien plus proches des musulmans (qui vont l'aider, s'imagine-t-il dans son immense naïveté, à chasser le christianisme), des migrants (sans racines, par définition), des entrepreneurs (qu'il croit être ''ceux qui foncent sans savoir où''... et là aussi, il se trompe lourdement) et de ceux qui n'ont ni croyance affirmée, ni appartenance claire, ni système de référence structuré, ni esprit critique prononcé... bref tous ceux qu'il imagine pouvoir participer à son entreprise d'un homme nouveau, sans racines, ni patrie, ni frontières et sans foi (donc -la violence croissante en témoigne-  sans loi...).
  L'échec programmé d'un tel ''non-système'' est déjà dans son acte de naissance : à partir du moment où on (se) raconte que ''la France renierait sa tradition d'accueil si elle restreint l'immigration''... on sous-entend que la seule façon de demeurer fidèle à son identité nationale se trouverait dans un ''sans-frontiérisme'' qui fait de l'absence d'identité... la seule identité acceptable ! La jeunesse et le manque d'expérience du Président lui ont fait croire qu il suffirait de  fixer un horizon, et d'annoncer à l'avance la bonne réponse.. pour que les citoyens éclairés, les seuls qui importent, se rallient à ce panache de fumée blanche...  Au début, peut-être...
  Dernier point à avoir en tête, à propos du positionnement politique de Macron (le vrai, pas celui qu'il revendique : après tout, c'est un homme politique ! Il n'est pas là pour dire la vérité !) : être de Gauche, c'est avoir raison même lorsqu'on se trompe (à gauche, on ne se trompe que pour de bonnes raisons, c’est connu !).   Les gens de ma génération ont vécu cet énorme dévoiement de la pensée en ‘’live’’, en des temps où ''il valait mieux avoir tort avec Sartre que raison avec Aron'', comme osait l'écrire l'affreux Jean Daniel dans les années noires du cauchemar rouge... Que de mal ont pu faire ces sinistres ''compagnons de route''...
  Je lisais hier dans La Croix, dont la ligne éditoriale est pourtant très ''correcte'', politiquement, un résumé de cette problématique et une réponse à la question posée : ''A la fin des discussions sur le projet de Loi sur la Bioéthique, il y a de quoi être découragé : deux années de débats s'achèvent sans que la trajectoire du texte ait été un tant soit peu modifiée par rapport à ce qui avait été énoncé initialement. Ni les discussions ni les débats n'ont changé quoi que ce soit, et seul l'engagement d'écouter poliment a été tenu''. Outre que c'est exactement le processus qui se met en place à propos des retraites, on est là devant la plus ''à gauche'' de toutes les pratiques du macronisme triomphant : comme il a raison... il ne doit pas prêter attention à ce qui ne va pas dans le sens qui a été décidé une fois pour toutes, puisque ce ne peut être que le bon. C'est symptomatique : aucun homme de droite ne serait capable d'une telle démarche, ce qui prouverait, si besoin était, que les Philippe, les Darmanin et tous les autres renégats de la fausse droite n'ont jamais vraiment eu ''le cœur à droite'', CQFD.
  L'affaire semble donc entendue, et la messe (laïque) dite : pathologiquement progressiste, farouchement contre les conservateurs, ''fana'' des bricolages dits sociétaux, ennemi déclaré des cathos, de notre Histoire et de notre culture (qui n'existe même pas, pour lui !).... on ne voit pas bien ce qu'attendent de bon les ''idiots utiles'' (comme les appelait Lénine) qui ont abandonné leurs idées de droite au profit de... rien. Et c'est, une fois encore, le grand Chesterton qui avait raison : ''Le monde est de nouveau en marche... mais il marche dans l'autre sens !''.
H-Cl.
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