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#banalité
dorianmathay · 10 months
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[Watson:]"En jetant un regard sur mes notes des soixante-dix et quelques affaires dans lesquelles j'ai, pendant les huit dernières années, étudié les méthodes de mon ami Sherlock Holmes, j'en trouve beaucoup qui sont tragiques, quelques-unes comiques et un grand nombre tout simplement étranges, mais il n'y en a aucune qui soit banale ; car travaillant, comme il le faisait, plutôt par amour de son art, que par esprit de lucre, il refusait de s'associer à toute recherche qui ne présentait pas une certaine tendance à l'extraordinaire et même au fantastique." in:(A.) CONAN DOYLE.La bande mouchetée.(The Adventure of the Speckled Band).trad.:(L.)Maricourt,(M.)Le Houbie. éd.André Martel.1947.96pp+table+catalogue. 02/1994.Librio,texte intégral. p9.
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idereahellyeah · 2 years
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Pass the happy! When you receive this list 5 things that make you happy and send this to 10 of the last people in your notifications😙✨
- Le bruit de la pluie
- L'odeur des pieds de ma chienne
- Un verre d'alcool après une rude journée
- Les retours de karma
- Donner le sourire à un patient
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nibelmundo · 1 year
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Christiane Taubira, Frivolités
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dooareyastudy · 2 years
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Coucou,
tu en penses quoi de Juan Branco ?
Qui ça mdr ?
J'ai vaguement entendu parler de lui il y a quelques années. Un avocat qui écrit des bouquins et aussi une petite célébrité des réseaux sociaux, je crois ? Je ne sais pas du tout s'il s'est illustré récemment pour quelque chose en particulier (ce qui pourrait expliquer la question).
Je n'ai, très honnêtement, aucune opinion au sujet de ce personnage ! :)
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homomenhommes · 3 months
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derrière la paroi embué de la banalité de chacun, il peut y avoir une source d'émerveillement
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peutetreplusblog · 3 months
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C’était pour un trajet jusqu’à Paris
Je ne voulais pas prendre la route tout seul.
Et puis, avec le prix des énergies, cela devient du luxe de voyager seul en voiture.
Je l’ai prise à l’heure de rendez-vous, quasiment à la minute près.
Une belle femme, tant mieux, c’est toujours plus agréable, pour moi, qu’un gros barbu ventru et transpirant.
Quelques petites banalités dans notre discussion, sur un ton très sympathique, presque à parler de la pluie et du beau temps et de l’inflation.
Elle avait une jupe, un chemisier blanc et un gilet. En arrivant, elle portait également une sorte d’imper qu’elle a posé sur le siège arrière.
Étant prudent sur la route, et aussi par respect, j’ai surtout regardé la route devant moi, et me suis retourné très rarement vers elle…
Jusqu’à ce stop, à ce carrefour, où il fallait que je m’assure qu’il n’y avait pas véhicule arrivant de la gauche, puis de la droite…
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lisaalmeida · 4 months
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La fièvre de mon corps et le battement de mon cœur harassé et le frissonnement de mes membres, c’est le contraire d’un incident, car ce n’est rien d’autre, rien d’autre que mon amour pour toi, oui, cet amour qui m’a saisi à l’instant où mes yeux t’ont vue, ou, plutôt, que j’ai reconnu, quand je t’ai reconnue toi...
L'amour n’est rien, s’il n’est pas de la folie, une chose insensée défendue et une aventure dans le mal. Autrement c’est une banalité agréable, bonne pour en faire de petites chansons paisibles dans les plaines. Mais quant à ce que je t’ai reconnue et que j’ai reconnu mon amour pour toi, – oui, c’est vrai, je t’ai déjà connue, anciennement, toi et tes yeux merveilleusement obliques, et ta bouche et ta voix avec laquelle tu parles, – une fois déjà, lorsque j’étais collégien, je t’ai demandé ton crayon, pour faire enfin ta connaissance mondaine, parce que je t’aimais irraisonnablement, et c’est de là, sans doute, c’est de mon ancien amour pour toi que ces marques me restent...
Je t’aime, je t’ai aimée de tout temps, car tu es le Toi de ma vie, mon rêve, mon sort, mon envie, mon éternel désir... Et je m’en ficherais, je me fiche de tous ces Carducci et de la République éloquente et du progrès humain dans le temps, car je t’aime !.
La Montagne magique,
Thomas Mann.
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ekman · 5 months
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Tu sais, France, je ne sais plus trop quoi te souhaiter à l’orée de quatre nouvelles saisons. On ne va pas se mentir, toi et moi. On se connait depuis bien trop longtemps pour verser dans les banalités d’usage. Nous savons tes vérités car nous avons fait l’état des lieux. Ce n’est pas brillant, reconnaissons-le. Ça l’est d’autant moins que la somme des boulets et des tumeurs qui ralentissent ton pas et minent ta santé prend maintenant plus de place que ta propre géographie. Déficits économiques abyssaux, remplacements physique et génétique de ta population d’origine, destruction ou réécriture de ton récit historique, pression croissante d’occupants hostiles et sous-formatés, disparition ou corruption des institutions, absence de direction et de décision politiques, effacement progressif et programmé des libertés publiques et individuelles, flicage et répression des populations natives, mansuétude judiciaire pour les exogènes, matraquage médiatique permanent... je pourrais en ajouter quelques autres wagons, mais à quoi bon ?
L’année écoulée a vu son lot de victimes physiques et morales grossir comme jamais depuis la dernière guerre – qui n’était en réalité que l’avant-dernière. La population française, je veux dire celle que l’on appelle maintenant “de souche” car à peu près leucoderme et vaguement chrétienne, n’a jamais été aussi divisée. Non sur des idées ou des opinions de politique générale, pas non plus sur la meilleure façon d’accomoder le bœuf bourguigon ou d’ouvrir une bouteille de Gevrey-Chambertin, mais sur l’attitude à adopter à l’heure du grand vautrage. Faut-il continuer à pousser son maigre avantage comme le bousier son bousin, le tête baissée, le verbe bas ? Doit-on ne plus se préoccuper que des intérêts du premier cercle, le seul qui compte encore, celui qui n’a de valeur que privée ? Est-il possible d’envisager une fuite salvatrice vers une terre encore civilisée ? Ou alors doit-on cultiver l’insouciance en espérant l’éclaircie, ce qui revient à développer un certain (mauvais) esprit en préparant les mouchoirs ? Les Français, selon leur caractère, leurs intérêts, leur degré d’espérance, suivent leur pente. En tout état de cause, qui qu’ils soient, ils se retrouveront tous au creux de la bonde, sur le côté gauche du vaste évier de l’Histoire.
Bonne année quand même, ma vieille et chère France !
J.-M. M.
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e642 · 10 days
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J'ai toujours trouvé ça difficile de faire un compliment à quelqu'un. Pas difficile dans le sens réussir à trouver quelque chose de positif et le dire. Non. Trouver la chose dont la personne en face a besoin. Parce qu'en réalité, on dit merci à tous les compliments certes mais pas tous résonnent ou font plaisir. Plus il est détaillé, personnalisé et ciblé sur l'insécurité d'une personne, plus il fait plaisir. Je trouve que l'art de complimenter demande, en somme, de connaître particulièrement bien la personne à qui on s'adresse. C'est, comme pour beaucoup de choses, une question de finesse et de détails. Peu de personne sont bonnes à ce jeu. Elles n'en comprennent pas forcément les tenants et aboutissants je pense. Complimenter c'est saisir le doute, la douleur du moment, le pourquoi du manque de confiance au vol. C'est cueillir l'essence de la dévalorisation de soi. Comme pour un cadeau, même principe, si tu sais ce qu'il se passe précisément dans la tête de la personne à une période précise, si tu fais l'effort de lui trouver ou dire quelque chose sur mesure, alors l'effet sera différent. Même si c'est agréable et mélioratif, un compliment peut tomber tellement à côté qu'on peut en venir à se demander si la personne en face de nous nous connaît, nous a écouté, nous a compris. C'est pour ça que, finalement, très peu de compliment me touche parce que la première moitié concerne des banalités, des politesses et l'autre moitié, concerne la maladresse. Je n'en reçois pas tant que ça non plus, mais je saurais citer les 3 qui m'ont le plus marquée dans ma vie tant c'était juste au moment prononcé. Un bon compliment implique de sentir le regard intéressé et appuyé de l'autre sur nous. C'est la joie de sentir qu'on est regardé, écouté, scruté finement. Et les meilleurs sont sûrement ceux qui caressent nos insécurités les plus enfouies et dont il nous arrive de peiner à en avoir conscience.
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Si l’homme oublie qu’il est le porteur de la parole, il est foutu, le langage est pour lui le danger des dangers, l’éclair qui l’aveugle et le foudroie, lui révèle qu’il est perdu dans la banalité des mots usuels, dans le commun de la langue sociale, dans le verbiage des médias…
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iranondeaira · 1 year
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Pour moi ne comptent que ceux qui sont fous de quelque chose, fous de vivre, fous de parler, fous d'être sauvés, ceux qui veulent tout en même temps, ceux qui ne bâillent jamais, qui ne disent pas de banalités, mais brûlent, brûlent, brûlent comme un feu d'artifice.
Jack Kerouac
- Sur la route
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aurevoirmonty · 15 days
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Et nous crevons par la blague, par l'ignorance, par l'outrecuidance, par le mépris de la grandeur, par l'amour de la banalité, et le bavardage imbécile.
Gustave Flaubert
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orageusealizarine · 17 days
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des déclarations d'amour... je n'en fais pas, j'en fais peu. des déclarations d'aimer. lettres mortes aux émotions. des déclarations de vie, des lettres de désir, des murmures d'amour. des promesses de douceur, des baisers d'attendrissement, des élans de reconnaissance.
tout. tes mains. tes yeux. tes lèvres. tes cheveux. tes pieds. tes épaules. tes paumes. ton ventre. ton visage. ton sexe. ta tendresse. - c'est pas très original. énumérer tout ce que je t'aime. et en perdre le style, en trembler tous mes mots... mais même en écrivant médiocrement, je t'aime.
même en étant l'ombre de nous-mêmes et même en perdant l'ivresse de nos échanges et même encore en étant en-deçà de ce que tu m'as fait être. plus que moi-même - entre tes mains, tes mots. et même entre mes larmes et même dans mes sourires bêtes
et même indigne de ta bonté, même innocente, même pure - dans mes banalités ou même quand grâce à toi j'atteins ma sainteté... : je t'aime.
c'est pauvre, c'est plat, c'est stéréotypé - de te dire que je t'aime. en mots si simples. du mauvais goût. et je pourrais te le dire de mille autres façons, dans un registre plus lyrique, avec plus de poésie ou d'extraordinaire, mais ce serait mentir - encore.
aimer est médiocre et banal. alors je ne déclare pas d'amour. je ne dis pas t'aimer, je n'en fais pas des lettres, ni des discours exaltés. et pourtant, je devrais. quand bien même tu n'aimes pas l'ordinaire. quand bien même puisque je t'aime.
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fle4bxg · 8 months
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sous-le-saule · 10 months
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Ce que cache un masque
J’aperçois peu de choses à travers les deux fentes découpées dans le bois, mais l’ampleur de vos huées me dit que vous êtes venus en nombre. Toujours populaires, ces exécutions publiques, n’est-ce pas ? Et vous avez amené vos enfants, je les entends aussi. J’imagine ce que vous leur dites, en les serrant fort dans vos bras. « Regarde, tu n’as plus rien à craindre, ils l’ont attrapé. Ils vont le tuer et tu pourras à nouveau jouer dehors sans avoir peur. »
Et vous aussi, vous pourrez l’oublier, cette peur qui vous saisissait aux tripes dès qu’un de vos marmots ne rentrait pas à l’heure pour le diner. Vous pourrez à nouveau les laisser gambader sans surveillance. L’assassin va bientôt se balancer au bout d’une corde. Quel dommage que le masque dont il est affublé vous prive de la délectation de ses grimaces d’agonie !
Et vous d’imaginer le visage terrifiant qui vous est caché. Vos enfants doivent se représenter quelque croque-mitaine. Vous, adultes, me prêtez sans doute un faciès atrocement déformé, à peine humain, le genre de visage qui condamne à être montré du doigt, chassé à coups de pierres. Un visage qui met en garde. « Les enfants, ne vous approchez pas de ce type ! »
Qui, parmi vous, comprend que c’est là la raison d’être de cette tradition ? Vous demandez-vous seulement pourquoi les coupables des meurtres les plus atroces ne sont exhibés que masqués ?
C’est pour vous rassurer, braves gens. Je ne peux être qu’un monstre. Vous n’avez rien en commun avec moi. Le Mal est aisément identifiable. Et inscrit dans un individu dès la naissance, puisqu’il a façonné ses traits.
Je suis au regret de vous dire que mon visage est des plus ordinaires. Je pourrais être votre voisin, votre père, votre ami d’enfance. Je pourrais être vous. Vous pourriez être moi.
La banalité, voilà ce que cache le masque.
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helshades · 11 months
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Helllo, est-ce que attirer l'attention de l'onu dans le cas du petit Nael peut servir à quelque chose ? à quoi ? ce n'est pas un jugement j'ai vu ça passer sur les réseaux mais je n'ai pas trop compris... merci
Ça ne servirait strictement à rien, bien sûr — le jeune Nahel qui roulait sans permis et s'est rendu coupable de refus d'obtempérer a subi une fin certes similairement tragique à celle de Zyed et Bouna, les célèbres saints martyrs de la gauche caviar depuis 2005, mais sorti des banalités d'usage sur la peine obligée des proches, on se demande pourquoi ce qui relève d'un triste fait divers se voit aussitôt monté en épingle chaque fois que le mort se trouve être un-jeune-des-quartiers. Y compris par une Gauche se répandant en flagellations extatiques sur le compte d'un macchabée ayant été, de son vivant, diversement fréquentable, alors que l'on ne peut pas dire qu'elle se remue beaucoup les miches pour les victimes de la violence ordinaire des banlieues métropolitaines...
Je tourne en boucle mais j'aimerais bien qu'on m'explique où se trouvaient ces bonnes gens au moment où la famille de Zineb Redouane tentait d'obtenir justice pour le meurtre de cette douce octogénaire marseillaise. Il était où, le lumpenproletariat des Quartiers Nord, pour mettre le feu à ses poubelles et piller les petits magasins habituellement achalandés par leurs familles ? Parce que « la banlieue » ne s'en prend jamais au Bourgeois en ses rues mais à son propre habitat, chose que je ne comprendrai sans doute de ma vie. Après, le contribuable paie les pots cassés, le vote R.N. monte chez tous les riverains non-portés sur la vente de mauvaises herbes devant des écoles, et de nouvelles mesures liberticides sont implémentées contre les vrais rebelles du système dans l'indifférence générale.
Je ne suis pas Nahel.
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