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#fredrik akesson
rainingmusic · 1 year
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Opeth - Next of Kin
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tobiasistheworst · 4 years
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📷: @nyabananamoon
Fick celebert besök i butiken av Ghost (Tobias Forge), Opeth (Fredrik Åkesson) & Candlemass (Mats "Mappe" Björkman) idag🤘. #officialopeth #opeth #candlemass #candlemassdoom #ghost #thebandghost #rock #metal #musik #nyabananamoon #skivbutik #örebro #vinyl #cd #film #nyöppning
From ~7 August 2020.
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guttersnarls · 4 years
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Fredrik Åkesson (Opeth) Making Music with Marshall 
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nofatclips · 4 years
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In My Time Of Need by Opeth from the live album Garden of the Titans (Opeth Live at Red Rocks Amphitheatre)
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suchaflurryflurry · 5 years
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favorite lyrics from 2019 albums i like ↳ in cauda venenum // opeth 
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metaladdicts · 2 years
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OPETH's FREDRIK ÅKESSON Plays Guitar ON Upcoming GHOST Album
OPETH’s FREDRIK ÅKESSON Plays Guitar ON Upcoming GHOST Album
Tobias Forge has revealed that OPETH‘s Fredrik Åkesson is playing guitar on GHOST‘s upcoming studio album, Impera, which will be released on March 11 via Loma Vista/Concord. Forge said about creative process in an interview with Loudwire: “…I’m a little bit of a jack of all trades when it comes to actual playing. I’m an able drummer, a bass player, an able guitar player, but I’m not a…
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kenpiercemedia · 3 years
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Opeth Announces Fall 2021 Co-Headline Tour with Mastodon
The Press Release: Sweden’s iconic rock/metal titans OPETH will return to North America this fall for a tour with fellow masters of prog-metal MASTODON. Announced today, the bands will embark with special opening guests ZEAL & ARDOR on a two-week tour kicking off in Asheville, NC on November 16th and wrapping in Denver, CO on December 5th. Tickets go onsale Friday September 17 at 10am local…
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fanyvandoom · 7 years
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Opeth
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lock-howl · 7 years
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OPETH Have 12 New Songs Ready for Next Album
Opeth guitarist Fredrik Akesson shared an update on the band’s new album – which will mark their 13th studio effort and the follow-up to 2016’s Sorceress – telling FaceCulture:
“We’re very much into the demoing. I’ve recorded a lot of solos so far. And Mikael [Akerfeldt, guitar/vocals] has almost already written 12 songs for the new album, so we have more material than enough for an album. But I…
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chileanskies · 7 years
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Opeth en Teatro Nescafé de las Artes, Chile - Miércoles 5 de abril de 2017 [CLSK Galería] https://chileanskies.com/2017/04/opeth-en-teatro-nescafe-de-las-artes-chile-miercoles-5-de-abril-de-2017-clsk-galeria/
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rainingmusic · 3 years
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Opeth - Heart in Hand
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ascella-star · 7 years
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nuclearblastuk · 5 years
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nofatclips · 4 years
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The Garroter by Opeth from the album In Cauda Venenum (English Version)
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thomas-bernier-blog · 6 years
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L’extrême droite en Suède :  une ascension quasi inévitable
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              ( © TT News Agency/Fredrik Sandberg via REUTERS)
Les élections législatives du 9 septembre en Suède n’ont pas permis aux Démocrates (SD), le parti d’extrême droite du pays, d’atteindre leurs objectifs dans les urnes avec une troisième place derrière le parti social-démocrate et les modérés de droite. Cette montée en puissance spectaculaire a semé le trouble au sein d’un paysage politique suédois largement contesté.
En ce dimanche 9 septembre, la Suède attendait son verdict. Elle pouvait passer d’ici quelques minutes dans le cercle fermé des pays européens basculant du côté des extrêmes. Le tremblement de terre n’allait toutefois pas se produire, les Démocrates ne récoltant que 17.53% des suffrages. Un demi-échec pour son leader Jimmie Akesson, qui durant toute la campagne, n’a cessé d’appuyer son discours sur les disparités sociales et l’immigration pour espérer atteindre la barre symbolique des 20%. Cela a presque fonctionné.
A l’amorce des résultats, les doutes s’étaient emparés de tous, de Stockholm à Malmö. Jamais auparavant, la Suède n’avait vécu une telle situation. D’autant que contrairement à ses voisins européens, le pays n’a pas forcément basculé dans les politiques d’austérité et d’ultralibéralisme. Il a même souvent été vanté comme un modèle de cohésion sociale. Mais les piliers se sont effrités ces derniers mois. En cause, des inégalités sociales de plus en plus fortes au sein des campagnes, un système de santé périclite, des combats dans les banlieues qui ont fait 40 morts en 2018 d’après le Ministère de l’intérieur, et l’arrivée massive de demandeurs d’asile, près de 300 000 au total depuis 2015. Un record en Europe rapporté au nombre d’habitants.
Face à l’émergence de ces problèmes, le gouvernement social-démocrate est resté sans solution. Une aubaine pour l’extrême droite qui, dans ce contexte, a construit ses promesses électorales en exploitant les ratés de la majorité. Pourtant, le parti de la tulipe bleue n’a pas toujours possédé une flatteuse réputation en Suède. A sa création en 1988, de nombreux membres entretenaient des liens incestueux avec les milieux racistes et suprémacistes blancs. Puis, au fur et à mesure des années, les Démocrates ont tenté de rompre avec leur passé sulfureux. Force est de constater qu’aujourd’hui, ce travail interne a payé. Et Jimmy Akesson n’est pas étranger à cette réussite.
Jimmie Akesson, gendre idéal de l’extrême droite suédoise 
« C’est un leader qui a su exploiter la crise sociale du pays pour emmener son parti le plus haut possible expliquait Wojtek Kalinowski, auteur de « Le Modèle Suédois » sur RTL le 10 septembre le modèle de providence qui faisait la force du pays s’est dégradé. Lorsqu’on analyse sociologiquement les électeurs de l’extrême droite, ce sont généralement des personnes perdantes, précarisées, et plutôt dans le bas de l’échelle des revenus. » En place depuis 2006, alors qu’il n’avait que 26 ans, Jimmie Akesson, cheveux gominés, barbe soignée, a tout entrepris pour que les Démocrates deviennent un parti de premier ordre. Il a ainsi écarté tous les « moutons noirs », issus pour certains des SS Allemands lors de la Seconde Guerre Mondiale et changer le symbole, auparavant une torche guerrière, en une tulipe bleue et jaune. Objectif, donner une image policée du parti, tout en conservant ses idéaux. « C’est quelqu’un qui, pendant la campagne électorale, n’a cessé d’ancrer son discours autour de l’immigration confesse Maxime, étudiant en Erasmus, il disait aux immigrés : « si vous voulez vous intégrer, il faudra que vous appreniez notre langue et que vous vous imprégniez de notre vision. Dans le cas inverse, vous ne serez pas les bienvenus. Ses discours ont eu un écho retentissant sur les réseaux sociaux. » 
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           ( © TT News Agency/Fredrik Sandberg via REUTERS)
En 2014, le leader des Démocrates avouait à la télévision suédoise « être sceptique vis-à-vis de l’immigration », ajoutant à son argumentaire qu’enfant, il avait été victime de jeunes réfugiés qui l’avaient traité de « Suédois sanguinaire. » Au-delà de l’aspect politique, la notoriété de Jimmie Akesson s’est construite aussi par sa proximité : « il est perçu comme une personne ordinaire par certains qui voient les autres politiciens comme des acteurs ayant un rôle à jouer », analysait Karin Svanborg-Sjövall, responsable du think tank libéral Timbro au Parisien le 8 septembre. « C’est un homme au charme fou acquiesce Maxime il est parvenu à élargir sa base électorale en siphonnant les indécis des partis de gauche ou de droite grâce ses idées et surtout, car il a peut-être une vision que beaucoup de Suédois veulent entendre. » 
Maxime, étudiant en Erasmus : « il est parvenu à élargir sa base électorale en siphonnant les indécis de gauche et de droite. »
A l’instar de certains dirigeants eurosceptiques, Jimmie Akesson est l’un des rares zélateurs d’un « Swexit » en Suède : « je souhaite que nous renégocions les termes de notre adhésion à l’Union Européenne et que le peuple ait le dernier mot lors d’un référendum » disait-il le 17 août en meeting. Il en a même fait son tableau de marche dans les derniers jours de campagne, malgré un certain isolement politique, y compris au sein de son parti, pas toujours d’accord avec ce positionnement. Car un éventuel départ empêcherait de facto, l’exportation du marché suédois vers l’Union Européenne.
Si les législatives n’ont pas eu donc le succès attendu, elles augurent aux Démocrates de Jimmie Akesson un futur séduisant. Dans les votants, beaucoup de couches sociales différentes : jeunes, ouvriers, fonctionnaires, tous las d’un gouvernement suédois balbutiant sa politique.
Un peuple qui voit rouge
« La Suède vit actuellement un climat similaire à celui que la France a connu pendant la présidentielle : la tentation des extrêmes » explique Maxime. En effet, et comme un peu partout en Europe, les doutes ont envahi les différentes régions du pays. « Avant tout le monde avait du travail ! Il n'y avait pas de voitures qui brûlaient ! » déplorait un ouvrier interrogé par France Info à Stockholm. « La Suède a disparu ! Des gens qui pensent comme moi, il y'en a partout ici. » Désabusés, abattus et terrifiés, de nombreux suédois se sont dirigés vers l’extrême droite, tordant le cou à l’idée que le pays est ouvert et tolérant : « tu sens qu’ils ne sont pas tous très sereins lorsqu’on leur parle d’immigration » complète Maxime. De fait, la Suède a rejoint un concert des nations qui, ces derniers mois, ont été frappées par la fièvre extrémiste : la Hongrie, l’Autriche, la République Tchèque, l’Allemagne, la Finlande ou encore la Pologne. Un phénomène devenu récurrent, à tel point qu’aujourd’hui en Suède, il est plus facile de miser sur le prochain pays touché par la vague extrémiste que sur un hypothétique retour en sélection de Zlatan Ibrahimovic. Résultante d’une politique européenne globale défectueuse.  
Au point que la Suède s’y est invitée avec la montée quasi inévitable des Démocrates. Un nouveau chapitre qu’elle aurait aimé ne jamais écrire dans son livre d’histoire. Son avenir politique désormais, se conjugue aussi avec l’extrême.
Thomas Bernier 
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