Tumgik
#je fais un set différent parce que
soeurdelune · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media
+ bonus // camille yolaine.
rèf musicales: l'amour hélas (clio), hématome (l'impératrice)
64 notes · View notes
double-croche1 · 1 year
Photo
Tumblr media
[INTERVIEW] ALEX ZHANG HUNGTAI
Le musicien Alex Zhang Hungtai, plus connu autrefois sous le nom de Dirty Beaches, s’est produit le 28 mars dernier à la Bourse du Commerce. On l’a rencontré le jour même pour parler d’improvisation, de son travail sur la bande-originale de ‘Godland’ d’Hlynur Pálmason, de sa participation à la dernière saison de 'Twin Peaks' et de l’état du monde actuel. Pour tes concerts solo, tu joues tes dernières sorties ou tu fais de l’improvisation ? Alex : Je fais de l’improvisation. Les deux sets de ce soir seront différents. Le premier set est ce que j’ai développé sur cette tournée, à savoir du « saxophone feedback ». Cela utilise l’acoustique de l’architecture, celui-ci va être intéressant. Je marche juste avec le saxophone et cela nourrit de la musique en retour, sur laquelle j’essaie d’interagir. Pour le second set, je joue du saxophone classique pendant 25 minutes, puis je joue des claviers. Sur l’article de l’évènement sur la Bourse du Commerce, tu as mentionné : « Le samsara et les graines que nous semons nous reviendront toujours. Le réchauffement climatique et les phénomènes à venir sont le résultat des actions de l'humanité. Mon travail traite de responsabilité et de liberté. » Est-ce que tu insères des éléments liés au changement climatique dans ta musique ? Alex : Non, c’est plus une relation de cause à effet. Tu fais quelque chose et cela revient à toi. Il faut prendre responsabilité de ce qui revient et la musique est une réflexion sur cela. Surtout dans l’improvisation. J’ai réalisé qu’il y a plusieurs types de liberté. Certaines personnes utilisent leur liberté mais font du mal à d’autres personnes. Et il y a des gens qui essaient de prendre responsabilité en retour de leur liberté. On dirait que la liberté est un élément important dans ta musique. Tu partages souvent des textes à ce sujet sur les réseaux sociaux. On dirait que tu parles de la liberté comme un moyen d’être séparé de ton passé et de ta culture. Alex : C’est presque impossible parce que nous sommes différents. Nous avons un passé et une histoire qui sont connectés à nous. On a en nous une histoire, à cause des guerres, que tu sois un gagnant ou un perdant, cela dicte ton histoire et les interactions entre nous parce que cela nous met dans une position particulière. Quand nous nous rencontrons, cela se fait à partir de cette position. Cela nécessite un effort supplémentaire pour se dire : « OK, on se rencontre dans cette position mais on n'est pas obligés de la respecter. » Les États-Unis est un endroit où les gens aiment consciemment oublier les choses. C’est un programme cyclique d’oubli. Je ne suis pas très optimiste sur le futur, c’est pourquoi je suis optimiste maintenant pour jouir de ce qui reste. J’essaie de passer le plus de temps avec ma famille et mes amis, manger de la bonne nourriture et faire ce que j’aime faire. Dans dix ou quinze ans, je pense que beaucoup de choses vont changer : la technologie, l’intelligence artificielle, les métiers, le chômage, etc. Dans ta musique, tu n’utilises plus de mots depuis plusieurs années. Est-ce que tu as encore des images dans la tête lorsque tu écris ? Alex : C’est arrivé à un point où il n’y a plus de narration, ce qui est très libérateur. Tout ce qui arrive est un désordre, avec des espoirs et des rêves. A partir de ce désordre, tu essaies de voir quelque chose qui est clair. C’est ma responsabilité de présenter au monde ce qui est clair pour moi maintenant. Peut-être que dans deux ans, cela ne sera plus valide, mais il faut continuer à vivre éternellement dans le présent. C’est ma façon de travailler. Tu ne reviens jamais sur des choses que tu as faites avant ? Alex : Non en effet, parce que cela n’a pas d’importance pour moi, sauf quand j’ai besoin d’argent, mais cela est une conversation différente ! (Rires)
Tumblr media
Ces dernières années, tu as fait beaucoup d’improvisation. Avant de commencer un concert, est-ce que tu as des éléments en tête que tu vas insérer ou tu pars d’une feuille blanche ? Alex : C’est une très bonne question. L’improvisation comporte tellement de concepts différents et d’écoles. Chacun l’approche de manière différente. Certaines personnes aiment en parler, mettre des structures à l’intérieur desquelles tu peux faire ce que tu veux, ou alors il y a le type d’improvisation que vous mentionnez, c’est-à-dire de n’avoir aucune structure et de juste voir ce qui arrive. Je pense que cela n’a pas d’importance comment tu l’approches, mais l’improvisation est comme l’accumulation de ta pratique de tous les jours. Chaque jour, il faut s’entraîner. C’est comme être un boxeur : tu ne peux pas ne pas t’entraîner et manger de la malbouffe puis aller te battre. Il faut s’entraîner chaque jour et être en forme pour être prêt le jour J. Tu peux avoir une stratégie en tête mais cela ne va jamais se passer comme tu l’entends. Quelque chose va te surprendre. L’entraînement va te sauver quand cette surprise arrivera, tu sauras comment te battre ou accepter le challenge. J’essaie donc de m’entraîner autant que je peux. Pendant les concerts, on a des doutes, on est humain. On joue et on pense. Par exemple, je me dis : « Je viens de déjà jouer cela il y a 5 minutes. Mince, je suis en train de me répéter. » Ou : « Je ne sais pas ce que je suis en train de faire. » Il y a toujours ces voix et la meilleure situation est quand tu ne réfléchis pas et que les choses arrivent. Le temps devient distordu. C’est un processus intéressant. Depuis que j’ai déménagé à New York, j’ai vu beaucoup d’improvisation, des gens des années 70 comme cette musicienne japonaise Ikue Mori du groupe DNA (1978-1982) avec Arto Lindsay. Je l’ai vue sur son ordinateur et elle était si incroyable ! Elle faisait de l’improvisation sur son ordinateur portable, avec des saxophonistes et des violoncellistes. Elle allait très vite, alors qu’on dirait qu’elle ne faisait que regarder ses e-mails. (Rires) Il y a aussi William Parker et tous ces contrebassistes de free jazz dingues. Ils vont si vite et tout est si fluide. C’est comme des maîtres kung fu. C’est comme un match de tennis avec un bon début, un bon milieu et une fin incroyable ! Pour moi, c’est plutôt un mauvais début, un milieu moyen et une fin où je survis et j’ai gagné le match d’un seul point. (Rires) On voit la différence et je suis encore en train d’apprendre. Juste avant d’entrer sur scène, est-ce que tu te sens déconnecté ou au contraire très concentré ? Alex : Cela dépend des fois. Sur cette tournée, j’ai joué un concert à Belgrade en Serbie et je n’avais dormi qu’une heure. Il faut travailler avec tous ces éléments : la salle, l’ingénieur du son… Je me souviens du soundcheck, cinquante étudiants sont venus dans la salle. Ils étaient prêts à faire la fête. Je me demandais ce qui se passait. J’ai regardé l’ingénieur du son et il m’a dit qu’il ne savait pas ce qui se passait. « Est-ce que tu as envie de continuer le soundcheck ? » « Oui, mais est-ce qu’on peut leur demander de s’en aller ? » Ils sont montés pour continuer à boire. Au concert, la moitié des gens est venue pour me voir et l’autre moitié voulait juste faire la fête. Ils m’ont regardé en train de jouer ma musique expérimentale et ils ne comprenaient pas ce qui se passait, puis ils m’ont hué. Pendant ce temps, tu es sur scène en transpiration et tu te dis : « Ne réagis pas ! Tu vas survivre. » (Rires) Tu as parlé de la boxe et du tennis. Dans les deux cas, quelqu’un renvoie tes coups. Est-ce que tu prends parfois en compte des choses que tu entends ou vois ? Et est-ce que cela change ta façon d’improviser ? Alex : C’est une très bonne question. La situation idéale est de ne pas réagir. Mais en réalité tu réagis toujours ! Parfois, cela marche en ta faveur et parfois non. Parfois, tu réagis et c’est une mauvaise réaction parce que tu es en colère. Parfois, tu réagis et cela devient très drôle. Par exemple, au concert à Hambourg, c’était si silencieux dans ce bar punk. Il y avait des graffitis partout et les gens fumaient à l’intérieur. Je faisais des choses subtiles mais j’entendais le barman faire plein de bruits de verres et il se fichait de ce que je faisais sur scène. Après un moment, le public a demandé au barman de faire moins de bruit, mais c’était drôle parce que je me suis mis à jouer avec lui. Il faisait ces sons et je réagissais à ses rythmes jusqu’à ce que les gens se rendent compte de ce que je faisais. C’était comme une conversation entre le barman et moi sauf qu’il n’en était pas au courant. Cela a duré une quinzaine de minutes ! Jusqu’à ce qu’il s’arrête et puis il y a eu un silence de vingt-cinq secondes et on s’est regardé mutuellement. (Rires) Tout le monde a bien rigolé.
Tumblr media
Tu as fait la bande-originale de ‘Godland’ de Hlynur Pálmason (2022, notre interview du réalisateur par ici). Comment s’est passée cette collaboration ? Alex : Hlynur est un réalisateur incroyable. Ce genre de commande est idéale parce que le réalisateur sait exactement ce qu’il veut mais il est ouvert et c’est la raison pour laquelle il fait appel à toi. On a passé des semaines en ligne à faire des Zoom pour parler du scénario. Il me demandait mon intuition. Je me souviens que lorsque je lui ai envoyé les premiers enregistrements, c’étaient de longues prises. J’étais allé à cet endroit au Nord de Los Angeles qui s’appelle Devils Gate Dam. C’est un tunnel qui gère les débris. Pour une raison particulière, des gens comme Aleister Crowley et Jack Parsons, des scientifiques fanatiques de la NASA des années 50, se réunissaient devant le Devils Gate Dam et faisaient des rituels étranges. C’est un endroit très bizarre. Maintenant, c’est juste un skatepark où les jeunes font des graffitis et fument de la weed. J’ai enregistré toute la bande-originale de ‘Godland’ à l’intérieur de ce tunnel. J’ai envoyé cela à Hlynur et il m’a répondu : « C’est parfait, maintenant il faut jusqu’on raccourcisse cela parce que c’est trop long. » Peu de réalisateurs peuvent faire cela, c’était vraiment super de le faire avec lui. J’ai fait toute la musique avant de pouvoir voir les images. Est-ce que le réalisateur t’a donné des indications sur le film et la musique qu’il attendait ? Alex : J’ai aimé le fait qu’il ne m’envoie aucune référence. Cela te donne l’idée qu’il ne veut pas copier un vieux film ou autre. On a seulement parlé du scénario et des sensations qu’il voulait. Parfois, tu travailles avec d’autres réalisateurs qui t’envoient plein de références et qui se fichent de toute originalité. Hlynur avait déjà utilisé ma musique pour son court-métrage ‘Nest’ (2022). C’est un très beau court-métrage, filmé dans son jardin. Trois enfants construisent une cabane. C’est un seul plan mais le temps passe sur plusieurs saisons. L’été, il fait beau et tout le monde joue, puis l’automne arrive, et l’hiver et tout est mort. Grâce à ce film 'Godland', tu es allé au Festival de Cannes l’année dernière. Qu’est-ce que tu as eu le temps de faire sur place ? Alex : J’ai rencontré physiquement l’équipe pour la première fois là-bas ! Après le festival, Hlynur nous a invités dans le Airbnb qu’avaient réservé ses parents. On a fait un barbecue et toute l’équipe était là. J’ai pu rencontrer ses parents et sa famille. Tout le monde était charmant. Ils nous disaient des histoires embarrassantes sur l’enfance d’Hlynur. (Rires) Ce sont des belles personnes. Il y a eu également une soirée après la première. On m’a demandé de jouer, ce qui n’était pas prévu. Il pleuvait et j’étais censé jouer dehors. Puis on a tout remballé pour jouer à l’intérieur mais les enceintes ont grillé à cause de la pluie. Ils avaient des enceintes de rechange qui n’étaient pas aussi bonnes. Il y a eu plein de petits détails drôles. Le technicien du son par exemple était bourré. Il m’a dit : « Oh, tu es le compositeur. Tu joues du saxophone ? » Puis il s’est électrocuté en mettant en place les nouvelles enceintes ! Il a dit en gémissant : « Pas de problème, tout est sous contrôle. » Puis les lumières se sont éteintes subitement, c’était flippant ! (Rires) Tout a été retardé de deux heures. Je venais de New York donc j’étais vraiment en jet-lag. Je suis allé directement au festival. J’ai rencontré tout le monde, je suis allé à la première, j’ai joué ce concert et je crois que je suis resté un jour de plus. Je me suis juste un peu baladé et ensuite je suis reparti. J’avais vu le film sur mon ordinateur mais là c’était beaucoup mieux ! La productrice m’a dit que depuis ses débuts, Hlynur a travaillé avec la même équipe, sauf le compositeur, donc on verra si j’entre dans sa ‘famille’. Est-ce que tu as vu des bons films récemment ? Alex : J’aime beaucoup Apichatpong Weerasethakul. Je suis allé voir ‘Memoria’ (2021) à New York et j’étais si fatigué que je me suis endormi. Quand le premier retentissement est arrivé, cela m’a réveillé, puis rebelote. C’était pareil pour les gens en face de moi, j’ai vu les têtes se relever ! (Rires) Le design sonore est dingue dans ce film.
Tumblr media
Il y a une scène où les personnages essaient de recréer le son du choc. Alex : Oui ! C'est un film dingue ! Même dans ‘Oncle Boonmee, celui qui se souvient de ses vies antérieures’ (2010), je me suis endormi quand je l’ai vu au cinéma, mais ensuite tu te réveilles et ça continue. C’est comme un rêve dont tu ne peux pas te réveiller. J’ai lu une interview d’Apichatpong Weerasethakul où il disait que son idée du cinéma est que dans le futur, le cinéma est une sorte d’espace sacralisé où tu vas pour dormir et quand tu te réveilles, la vie continue. C’est une sorte de concept. Tu dors devant le film, tu te réveilles et tu sors. C’est une belle idée. Est-ce que tu as vu d’autres films ? Alex : Je n’ai pas vu de film récent. Le dernier intéressant que j’ai vu s’appelle ‘Trois Femmes’ (Robert Altman, 1977). L’actrice Shelly Duval, du film ‘Shining’ (Stanley Kubrick, 1980) joue dedans ainsi que Sissy Spacek. C’est basé à Los Angeles où ces deux femmes deviennent colocataires et elles travaillent dans un centre de réhabilitation pour personnes âgées. Leur relation devient une amitié bizarre et toxique où une des deux meurt, il y a un accident et le personnage de Sissy Spacek essaie de prendre l’identité de sa colocataire. Elle devient l’autre. Elle commence comme une fille timide de la campagne et quand elle se réveille de cet accident, elle prétend qu’elle ne la connaît pas et lui pique son nom, prend son identité. Cela devient un thriller et cela prend une tournure inattendue jusqu’à ce qu’on réalise que le film complet est un rêve de ces personnages. C’est une narration très bizarre. Cela ressemble beaucoup à l’histoire de ‘Mulholland Drive’ de David Lynch (2021) ! Alex : Oui, exactement ! Je pense que cela est un commentaire sur l’industrie d’Hollywood. Il y a aussi un autre film flippant que j’ai vu qui s’appelle ‘Maman très chère’ (Frank Perry, 1981). C’est basé sur l’histoire vraie de l’actrice hollywoodienne Joan Crawford et de se fille Christina Crawford. Le personnage de la mère est joué par Faye Dunaway. Cela parle de la relation entre une mère et sa fille. La mère est une actrice très connue d’Hollywood et sa fille a le syndrome du vilain petit canard. La jeune fille essaie aussi d’être actrice mais elle ne joue que dans des soap opéras de bas étage. La mère parle au producteur : « Peut-être que je pourrais faire une apparition dans vos émissions ? » Et le producteur répond : « Bien sûr, vous êtes Christina Crawford, nous adorerions vous avoir dans l’émission. » Et la fille dit : « Pourquoi tu dois tout me prendre ? » C’est une relation une nouvelle fois toxique. Ce n’est pas un film d’horreur mais un film psychologique retors. Il y a des scènes où elle se maquille et elle dit : « Maman ! » Et la mère répond d’une voix doucereuse et flippante : « Oui, ma chérie… » (Rires) C’est une analyse sur le fait d’être complètement dans l’ombre de ta mère.
Tumblr media
Tu es toi-même apparu dans la dernière saison de ‘Twin Peaks’ de David Lynch (2017) à la fin de l’épisode 5 avec le groupe fictif Trouble en compagnie de Riley Lynch (le fils de David Lynch) à la guitare et du compositeur Dean Hurley à la batterie [la scène est à (re)voir par ici]. A l’époque, il y avait un grand mystère à propos de cette nouvelle saison. Quand on t’a demandé si tu voulais apparaître dans la série, est-ce qu’on a été mystérieux avec toi sur le sujet ? Alex : C’était vraiment différent pour les musiciens, et encore plus pour nous. On n’était pas comme les autres musiciens invités parce que Riley est le fils de David Lynch. Quand la série était en production, personne ne savait parce que c’était un secret. Dean Hurley, l’ingénieur du son de David Lynch depuis une dizaine d’années, est un bon ami. Il m’a appelé : « On a aimé cette chanson dans le studio de David. Si tu as envie, tu peux venir pour enregistrer du saxophone. » J’étais partant donc je suis venu, on a pris un café et un déjeuner et j’ai enregistré le saxophone. Je leur ai demandé : « C’est pour quoi ? » Riley et Dean m’ont répondu : « Une série… 'Twin Peaks'. ». J’étais là : « Quoi ?! » « On va envoyer cela à David pour voir s’il aime. » J’ai ensuite complètement oublié, un an et demi a passé. Après un an, j’ai supposé qu’il n’avait pas aimé la chanson et qu’il ne l’avait donc pas utilisée. Un an et demi après, ils m’ont appelé pour me demander si je voulais apparaître dans la série. Cela arrive ! David a aimé le morceau et a demandé qui était la personne qui jouait du saxophone. On lui a donc donné mon nom. (Alex imitant la voix de David Lynch parfaitement) « Oh, il faut qu’on l’ait dans la série, appelez-le ! » (Rires) C’était très drôle parce qu’ils ont filmé toutes les scènes de concert en une journée. C’était comme un festival. Ils ont transformé un gymnase en bar ! C’était donc à la base un terrain de basket qu’ils ont décoré pour faire illusion. C’est drôle parce qu'avant de monter sur scène, je n'étais pas mélangé avec les autres musiciens. J'étais avec Dean et Riley. Riley travaillait en tant qu’assistant à la production sur le plateau. Il courrait partout. Et avec Dean, on déjeunait avec l’équipe technique. Tous les autres musiciens étaient de l’autre côté. Notre passage devait être vers 14h. C’était vraiment comme un festival ! Et en plus, ils jouent la chanson sur les enceintes et tu fais juste semblant dessus. C’était bizarre ! C’était une belle expérience d’en faire partie. Tu as aussi fait d’autres bandes-originales, notamment pour les films ‘I Was a Simple Man’ (Christopher Makoto Yogi, 2021) et ‘Mountain Woman’ (Takeshi Fukunaga, 2022). Alex : Le réalisateur hawaïen Christopher Makoto Yogi est génial. Il ressemble à Hlynur dans le sens où il a des idées très fortes mais il est ouvert. C’est devenu un bon ami, on parle de faire quelque chose de nouveau ensemble. C’est sympa quand ce n’est pas qu’un travail et qu’on peut devenir amis. Sur Bandcamp, tes deux dernières sorties ‘Swimming Bird’ (2022) et ‘Young Gods Run Free’ (2020) sont des albums de 40 et 45 minutes sans tracklist spécifique. Pour ton projet actuel, est-ce que tu as l’intention de faire des enregistrements et sortir des choses ? Alex : Oui, j’ai beaucoup de nouvelle musique en prévision. Il faut juste que je prenne le temps d'enregistrer ces projets un à un et lentement les sortir. Je fais aussi beaucoup de collaborations, je travaille avec ce guitariste incroyable du Bhoutan qui s’appelle Tashi Dorji. C’est comme un grand frère pour moi. Il vit à Nashville en Caroline du Nord, dans les montagnes. Il nous a accueillis moi et mes amis de New York pour jouer un festival qu’il organisait. On est tous restés dans sa maison. C’était vraiment super. Dans son jardin, il y a un jacuzzi. On y est allés de nuit, on peut voir toutes les étoiles, c’était un soir de pleine lune et on pouvait entendre les loups. C’était magique ! Avec ce guitariste, on a joué un concert dans une église à New York. C’était la première fois que j’essayais l’idée du ‘saxophone feedback’. Vous devriez vraiment écouter ce qu’il fait. Crédits photo de couverture : Mohamad Abdouni A&B
0 notes
beatlesonline-blog · 1 year
Link
0 notes
all-souls · 4 years
Note
hello maryne ♡ (je me permets??) j'espère que tu vas bieeeen! je passe dans le coin déjà pour te dire que j'adore tellement tes créations, que du talent pour le bien de tous huhu et ensuite pour poser une question de curiosité !! est-ce que ça te prend beaucoup de temps de créer un set de gifs? est-ce que ça t'arrive des fois que ça te frustre (bug, rendu pas comme tu le voudrais, etc) ? gros bisous!!
coucou ♡  (permets toi !!) t’es trop l’amour toi, ton message est si doux, je fonds encore plus venant de toi, avec tes merveilles sur lesquelles je bave constamment !!! pour les sets de gifs, étrangement, non, ça ne prend pas tant de temps que ça (j’en ai été la première surprise). bon après j’en ai pas fait 15 mille jusque là. la vidéo la plus longue était le clip de kygo, mais non, ça ne m’a pas pris beaucoup de temps. en gros, bien “couper” les différentes parties que je veux... et le plus chiant je dirais que c’est bien régler le timing. sur la vidéo (une fois sur PS), c’était troooop rapide, donc j’ai du faire plusieurs essais. après mes gifs restent simples : rognage/cadrage, timing, et un colo. alors pour les gifs j’suis rarement frustrée parce que je les fais assez simple (et si j’ai un bug, il est réglé assez vite, sauf quand c’est tumblr qui m’emmerde haha). par contre pour mes avatars... c’est une autre histoire. j’ai beaucoup moins graphé pendant un moment parce que j’étais ENORMEMENT frustrée. j’avais l’impression de pas me renouveler, je voyais la même chose ailleurs etc etc. et les fois où je voulais tenter quelque chose d’un peu nouveau (pour me renouveler justement), et bah... ça donnait pas franchement ce que je voulais. j’suis très perfectionniste. c’est une qualité autant qu’un défaut haha (je fais moins d’avatars en ce moment à cause de ça haha) et les headers c’est encore pire, parce que j’ai pas l’habitude, même si j’ai tenté de me dépasser avec le graphtober. souvent j’ai une vague idée en tête, et au moment de le faire... ça coince. ou alors j’ai l’impression de pas savoir quoi mettre et où. ou alors pas trouver les ressources/photos que je souhaite... plein de bisous et merci de ton passage !!!  ♡
3 notes · View notes
befrench · 4 years
Text
Interview Romane Santarelli [Partie 2]
Qu’est-ce que t’a apporté la Coopérative de Mai au niveau de la visibilité et comment elle t’a apporté son soutien ? 
La Coopérative de Mai à mes yeux c’est à la fois un endroit que je fréquente très souvent (j’ai beaucoup de souvenirs là-bas) mais aussi une équipe de passionnés avec qui j’ai un certain lien maintenant, ils m’ont toujours fait confiance sur mes projets et ça j’en suis touchée : mon tout premier concert c’était là-bas d’ailleurs ! Je suis passée de ma chambre à une salle pleine de 2000 personnes, en première partie de Petit Biscuit… l’angoisse ! Mais des fois je me dis que ça a été un peu comme la chance de ma vie, et aussi un certain déclic. Depuis, j’ai joué là-bas douze fois au total en trois ans alors c’est plutôt une fierté! J’en suis reconnaissante.
Ils m’apportent de la visibilité et on collabore de plus en plus car le projet évolue. 
C’est hyper motivant pour moi. Je m’éloigne de plus en plus de la période où je faisais les choses seules, dans ma grotte, de manière incertaine. Et ça fait du bien ! Je me sens un peu plus légitime aussi.
Tu es sélectionnée au iNOUïS du Printemps de Bourges raconte-nous ton expérience, de ta performance à la Coopérative de Mai à ta sélection.
Cette performance pour les pré-sélections, j’avoue que je la considère comme l’une des pires prestations de toute ma vie, parce que j’ai jamais autant stressé ! J’avais fait une insomnie la veille, bref, j’étais vraiment pas au top de ma forme. Du coup tout le long du set, j’ai eu l’impression que tout le monde voyait mon stress, et ça me déstabilisait. Je suis sortie de scène vraiment déçue. Et au final il y a eu de super retours. J’étais rassurée, mais sceptique. Jusqu’à ce que Ludo, le programmateur de la Coopé m’appelle, quelques semaines plus tard, pour m’annoncer la bonne nouvelle ! Et à partir de là, ça a été un peu l’accélération, ça a débloqué plein de choses, je me souviens que tout le mois de février j’ai été dans l’adrénaline constante. Bon, ensuite, il y a eu le coronavirus…. Qui a tout gelé !
Mais bon, on rebondit !
Tumblr media
Quel effet cela fait d’être programmée au Festival REPERKUSOUND à côté de Boris Brejcha ou Deluxe ? 
C’est une énorme satisfaction évidemment ! Quand je me retrouve dans un line up aux côtés d’artistes pour lesquels je me suis rendue en festival, ou que j’ai écouté des heures, c’est une énorme satisfaction, une adrénaline de dingue. Un peu plus, le rêve se réalise et ça me rassure en me disant que je ne fais pas tout ça pour rien depuis toutes ces années. Ça porte ces fruits. Ce qu’on ne voit pas dans l’artiste c’est qu’il y a toujours une part de doute qui vient sonner à la porte, des ascenseurs émotionnels, des remises en question. Alors ce genre de choses, les grosses dates, c’est un peu la vie qui t’envoie un signe, que tu es sur le bon chemin :-)
Mais il faut prendre ça avec beaucoup d’humilité évidemment. Parce que ça ne veut pas dire que tu vas être disque d’or demain !
J’ai vu sur tes différentes interviews que tu es très productive pendant ce confinement, est-ce que nous pouvons nous attendre à une nouvelle sortie prochainement ? Ou vas-tu d’abord finir ta tournée de promotion et de concert pour “Quadri” ? 
La phase de promotion de Quadri est complètement bouleversée à cause du contexte, mais le ””bon coté”” de ce confinement c’est que les médias restent super actifs malgré les conditions pas évidentes. Ils font avec les moyens du bord et je trouve ça hyper courageux de leur part. Du coup j’ai pas mal de médias qui viennent vers moi en ce moment, il y a eu une chronique sur Quadri dans Libé, une interview pour France Inter, une belle mise en avant à travers le Printemps Imaginaire, un live sur Tsugi Radio. Et tout ça c’est assez réconfortant. Donc on continue de faire vivre “Quadri” comme on peut… Et surtout, là on prépare une Edition Remixes de celui-ci, avec des artistes que j’adore comme Calling Marian, Rrobin.. pour ne pas tous les dévoiler ! Et un nouveau titre va sortir le 8 mai, “ Water Moon Pattern” !
Tumblr media
Est-ce que le confinement et la situation actuelle influent sur tes compositions ? 
Malgré cette période assez dure, je me porte bien et j’ai la chance de réussir à en faire quelque chose de positif, j’ai fait vraiment plein plein de morceaux et ça m’étonne. 
Je me rends compte que c’est quand je suis heureuse que j’arrive à créer. 
Les moments de déprime, à l’inverse, sont synonymes de page blanche. Alors que souvent on dit que les artistes sont inspirés par la mélancolie etc. J’ai longtemps cru que c’était mon cas et en fait pas du tout !  
Si je suis productive en ce moment, c’est aussi dû au fait que personnellement je suis dans une situation de lâcher-prise, d’introspection, comme beaucoup de monde en ce moment je pense. Alors ça m’aide à créer. Je suis rentrée me confiner chez mes parents, et du coup je me retrouve dans les mêmes conditions qu’au tout début quand j’ai commencé à produire : la chambre d’ado, un peu isolée, avec peu de matériel. Et c’est une époque ou je faisais les choses spontanément, sans me poser de questions, c’était vraiment un loisir à 100%. Tandis que maintenant je le vois autant comme une passion qu’un travail.
Et quand un projet devient sérieux, carré, la spontanéité disparaît un peu. Parce que d’un coup tu intellectualises tout : “est-ce que ce morceau va fonctionner sur le public ?” , “est-ce que ce truc peut passer en club, en radio?” , “est-ce que ma piste de basse va bien sonner sur un gros système son”, est-ce que, est-ce que… 
Bref, en fait, souvent ça freine la création !
Donc là le fait d’y revenir, 4 ans après, et d’y rester plusieurs semaines consécutives, de me replonger dans ces souvenirs, ça me touche beaucoup et ça me rend à nouveau spontanée.  
J’ai donc une flopée de morceaux, qui pourraient sortir très vite, mais il faut que l’on respecte un certain calendrier… Alors pour le moment ils vont rester au chaud dans mon ordinateur! Par contre la plupart de ces nouveaux titres sont dispos sur ma page Facebook, à l’occasion des lives pour Printemps de Bourges et de Tsugi Radio, réalisés les 22 et 23 avril.
Tu as le mot de la fin, qu’est-ce tu voudrais dire pour que les personnes qui suivent Be French se mettent à te suivre ?
Allez écouter ces deux sets : j’y ai mis beaucoup d’amour :-)                              Et surtout merci!
3 notes · View notes
zonenailart · 5 years
Text
Les faux ongles, pourquoi?
Hey guys! Aujourd'hui j’avais envie de répondre à une question que peut-être (probablement) peu se posent. À savoir, pourquoi je fais du nailart sur des faux ongles plutôt que mes ongles naturels.
J’ai longtemps fait du nailart sur mes ongles naturels. Environ les cinq premières années de mon expérience nailart, en vérité. Pourquoi j'ai changé et me suis tournée vers les faux ongles? La vie, carrément et simplement. Et aussi les années de vernis constant ont beaucoup fragilisé mes ongles. Ils se dédoublent d'un rien ce qui fait chiper le vernis en moins de deux et, ça, c'est rageant au possible!
Célibataire, avec tous mes dimanches rien qu'à moi, c'était facile de prendre deux-trois heures pour nailarter dans la folie furieuse de mon imagination et de passer une heure supplémentaire à ne pas oser me gratter le nez en attendant que ça sèche.  Oui, il faut avoir un grain. Mais surtout, oui, il faut avoir énormément de temps libre!
Quand l'Homme (et son garçon) est arrivé dans le portrait, le temps libre s'est de beaucoup raréfié. Au début, on se voyait principalement les fins de semaines. Je n'avais plus le temps de mettre trois à quatre heures en bloc pour mes jolis doigts, mais le nailart restait mon passe-temps favori. Ça me détend, c'est mon temps à moi pour moi et c'est devenu ma principale forme d’expression. Mes mains me paraissent étrangères lorsqu'elles sont dénudées tellement j'ai l'habitude d'avoir de la couleur au bout des doigts! Je devais donc trouver une alternative. Je me suis mise à fragmenter mes périodes nailart, mais je n'aimais pas ça. Faire un bout une soirée, avoir une manucure incomplète le lendemain... je n'étais pas du tout fan. (Et certains dirons que j'ai des TOC... c'est vrai et j'assume parfaitement!) Et à ce moment, on ne vivait pas encore sous le même toit! 
C’est dans ce manque de temps, mais avec le besoin de poursuivre ma passion pour le nailart que je me suis mise à penser aux faux ongles. Après un tour sur Amazon, j’ai vu que c’était relativement peu cher à faire à la maison. J’ai commandé un paquet qui me semblait de bonne qualité, une bouteille de colle et pendant que j’attendais que ma commande arrive à la maison, j’ai regardé une bonne dizaine de tutoriels sur youtube pour voir comment procéder.  La plupart des tutos sur le web vont vous dire de d’abord coller les ongles sur vos doigts et ensuite ajouter la couleur... C’était loin de régler mon problème, mais j’ai fini par trouver la solution! Il y a moyen de créer son nailart avant d’appliquer les faux ongles et tout ce que ça prend, c’est un support. 
Avec un peu d’imagination, on peut se créer son support. En fouillant un peu internet, on peut trouver des idées. Au début, personnellement, j’utilisais des pailles, un verre et de la gommette bleue. En fouillant 15 secondes sur youtube, j’ai trouvé une vidéo qui utilise une pince à cheveux. Super bonne idée également. Cliquez ici pour accéder à la vidéo.
Personnellement, j’ai vite décider de m’acheter des supports fait expressément pour ça. Voici ceux que je possède : 
Tumblr media
Ils viennent de Born Pretty. Le temps pour recevoir est d’un bon mois, il ne faut pas être pressé, mais si vous cherchez “fake nails holder” sur Amazon, vous allez trouver le chessboard set pour 15$ et d’autres variantes.  Bref, ces supports permettent de créer un nailart sur les faux ongles, de les oublier dans un coin le temps qu’ils sèchent, puis de les poser! Pour les accommodements à la vie quotidienne déjà bien occupée, c’est un no way back. Grâce à ça, je peux continuer de faire mes nailarts comme ça me plait, d’y mettre le temps que je veux comme je peux (parfois en plusieurs petites sessions) et de poser plus tard sans avoir à souffrir le temps de séchage. 
On va poursuivre, sur ce que j'utilise personnellement comme ongles et colle :
Les premiers ongles que j’ai utilisé, je les ai trouvé sur Amazon.
Tumblr media
Ces ongles sont très longs et les plus futés auront remarqué que ce n'est jamais la forme des ongles que je porte. Je les coupe, les limes et leur donne la forme que je désire. Pourquoi prendre ce temps quand il a des formes carrées courtes sur Amazon? Croyez-moi, ce n'est pas faute de les avoir essayés! J'achetais ceux-ci parce qu'ils sont plus épais, donc plus rigides. Ils ont moins tendance à décoller dès qu'on les accroche et le haut des ongles est de la taille et forme parfaite pour mes cuticules. Pour des faux ongles vraiment pas cher à longue tenue, je recommande ceux-ci sans la moindre hésitation. 
À la longue, et parce que je fais une plus grosse production de nailart depuis que je poste quotidiennement sur mon Instagram et ici, je me suis mise à chercher des faux ongles courts, carrés, dont la qualité me serait satisfaisante pour que je n’ai plus à prendre la moitié de mon temps à les tailler. Je suis allée sur Etsy pour trouver mon bonheur. 
Tumblr media
Ce pack revient est plus cher que le Makartt. Il est une dizaine de dollars et il faut prévoir 8$ de shipping, mais je sauve énormément de temps, c’est exactement a longueur, forme et qualité que je recherche... Ce sont ceux que j’utilise et porte à tous les jours! Je les adore et, pour moi, ils valent le prix. 
L’important, dans le choix de vos faux ongles, c’est de trouver ceux qui match votre ligne de cuticule et dont la longueur, forme et qualité sont à votre goût. Payer le moins cher possible pour de l’insatisfaction n’est que de l’argent gaspiller, à mon sens. 
Question colle, j'en ai testé quelques unes. Pour du bon pas cher, j'utilise énormément la marque Kiss. Elle sèche excessivement vite et l'applicateur est au goût de chacun. 
Tumblr media
Je préfère au pinceau (rose) parce que ça permet une application plus uniforme et l'ongle tient alors plus longtemps. Dans la plupart des kits de faux ongles Kiss, vient la colle avec embout au goutte à goutte (vert). Ça reste très bien et comme j'en ai quelques bouteilles qui traînent, c'est ce que j'avais avec moi dans mon sac pour les cas d'ongles tombés lorsque je n’étais pas à la maison. Cette colle dure en moyenne 7 à 12 jours. Ça reste une colle de qualité moyenne, à 4$ la bouteille, trouvable en pharmacie, chez Walmart ou Amazon. Des marques comme Nails Creation (dispo chez Brunet) à 10$ la bouteille assurent, j’imagine (parce que je n’ai pas testé), une plus longue tenue.
Depuis quelques temps, j’utilise les adhésifs double face. Second game changer de ma vie de nailartiste. Les adhésifs sont faits pour un port plus temporaire de faux ongles. Personnellement, j’ai porté un set sans le moindre accro pendant 5 jours. J’aurais pu les porter encore plus longtemps, j’ai fait le choix d’enlever mon set à ce moment-là. Selon la pose, c’est assez solide. Pour une meilleure adhérence, buffer la surface de l’ongle ou la pose d’un vernis sticky base coat aide.  J’ai trouvé un pack de 2400 adhésifs (de différentes tailles) pour 26$ sur Amazon, ce qui va me donner des adhésifs pour un bon bout de temps. En matière d’utilisation VS le prix, ça revient au même que la colle en bouteille.  Ce dont je suis particulièrement fanatique dans le cas des adhésifs, c’est que les faux ongles sont réutilisables. L’adhésif se retire sans endommager l’ongle (on adore ça aussi) ni le faux ongle. Des sets de faux ongles réutilisables? Oh oui!! Ça donne un peu plus envie de prendre 2 heures de sa vie pour faire un nailart du feu de dieu, nha?! 
J’adore le fait que ça n’abime plus mes ongles naturels d’en porter des faux et le côté temporaire des adhésifs ne me dérange absolument pas puisque je suis du genre à vouloir changer de set d’ongles au 3-4 jours. Si vous êtes du genre à aimer changer souvent ou agencer vos ongles à votre tenue, les adhésifs sont LA méthode à adopter. Ça peut vous permettre aussi de réutiliser des sets de Press On achetés en magasin. Dépenser 10$ pour un set devient, à mon sens, bien plus intéressant s’il est portable plus d’une fois. Ça permet d’avoir, à la longue, une belle collection et une tonne de choix! 
Finalement, à force d'utiliser les faux ongles, je me suis rendue compte de quelques autres avantages :
Aucun bavage à l'application du vernis pour une mani absolument flawless.
Les deux mains sont super belles et pas juste la gauche parce que je suis droitière (vous me suivez? XD)
Même avec du vernis classique (pas au gel ou à la poudre) les ongles restent "frais faits" durant des jours et des jours, pas juste deux ou trois avec de la chance. La fameuse bordure du vernis classique n’apparaît pas avant sept ou huit jours selon les couleurs (les plus foncées font une bordure d'usure plus vite parce que la formule est moins épaisse que les couleurs claires et les foncées trash plus avec la couleur du faux ongle que les claires (l’achat de faux ongles transparents aide à neutraliser l’apparition de la bordure, elle est là mais on ne la voit pas!)).
Avec une colle bien appliquée, la manucure peut durer entre sept et douze jours. Il m'arrivait souvent qu'un ongle pop durant la semaine (on les sent sur le point de lâcher un peu comme une dent qui branle), mais j'avais toujours une petite bouteille de colle dans mon sac, ce qui me permettait de le recoller tout de suite. Ça m'est arrivée que très rarement d'avoir un ongle qui lâche sans pouvoir le retrouver et le remettre alors la toquée en moi est contente (sinon j'enlève tout, je suis incapable de porter une manucure où il manque un doigt). Si un ongle tombe au cinquième ou sixième jour, je retire les autres plutôt que de recoller pour seulement un jour ou deux supplémentaires.
Avec l’utilisation des adhésifs, mes cuticules et mes ongles reviennent lentement à la vie après des années de dissolvant à vernis, d'acétone et de colle à faux ongles qui assèchent et endommagent énormément.
Quand j'ai une rage de nailarter, je peux faire plusieurs manucures différentes à la fois (avec plusieurs kits de nails holder, bien sûr) comme ça j'ai du back-up pour les semaines où le temps ne le permet pas trop. (Et c'est cool d'avoir du choix au moment de poser, hihi!)
La technique officielle pour retirer les faux ongles posés à la colle sans "trop" de dommage est de se planter les doigts dans l'acétone jusqu'à ce que l'acrylique soit dissous. C'est quand même long, ce pourquoi, souvent, j'utilise un repousse cuticule en stainless pour aller faire pression sous le faux ongle (après une semaine, ça pop tout seul à cause de la colle qui commence à fragiliser) et ensuite j'utilise une lime et/ou de l'acétone pour retirer les restes de colle. On passe moins longtemps la peau en contact avec l'acétone, donc ça l'assèche moins. Ce n'est pas l'option la moins dommageable pour l'ongle, comme déjà mentionner les pastilles adhésives sont la meilleure option pour 0 dommage. Cependant, avec un bon vernis de base (j'utilise Vitry, dispo dans à peu près toutes les pharmacies) pour faire protection entre l'ongle et la colle, on s'en tire quand même assez bien.
Dans le cas des adhésifs, il suffit de se mettre le bout des doigts dans l’eau chaud (et savonneuse, ça peut aider davantage) et utiliser un repousse cuticule en bois pour aller pousser dans la colle ramollie par la chaleur de l’eau. En y allant doucement, ça se retire sans dommage, sans douleur et on peut ranger les faux ongles pour les remettre plus tard. 
Alors voilà ce qui fait le tour des énormes avantages des faux ongles. Éventuellement, je vous partagerai comment poser et retirer les faux ongles à la colle et aux adhésifs. Ce sera surement des vidéos que j’ai moi-même consultées au moment d’expérimenter les méthodes. Alors n’hésitez pas à aller fouiller le web, youtube offre déjà une foule de tuto vidéos hyper bien faits!
Perso, j'ai complètement adopté le côté pratique et pas compliqué des faux ongles. Avec le temps que je sauve et la facilité d’utilisation, j’aurais bien du mal à revenir au temps où je devais poiroter deux heures que mes ongles soient bien secs. Le vernis au gel est bien sûr une solution pour sauver sur le séchage, mais dans mon cas le semi-permanent est un port de manucure beaucoup trop long (la même manucure pendant 3 semaines? No can do x.x).
Allez faire un saut sur mon IGTV pour voir comment je pose et retire les pastilles adhésives!
Questions, commentaires sur les faux ongles? Hit me, je veux tout savoir!!
À plus les bellas. xXx
1 note · View note
rollingstonemag · 6 years
Photo
Tumblr media
Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/interview-exclusive-dadam-clayton-sur-la-tournee-de-u2/
Interview exclusive d'Adam Clayton sur la tournée de U2
Tumblr media
Dans une interview pour Rolling Stone, le bassiste de U2 Adam Clayton s’explique sur les setlists du groupe, notamment sur cette décision de ne plus jouer « The Joshua Tree »
Quelques mois avant d’entamer les répétitions pour leur immense tournée 2018 Expérience + Innocence, U2 a pris une décision plutôt audacieuse : ne plus jouer les morceaux de l’album « The Joshua Tree », le classique du groupe qui date de 1987, l’épine dorsale des setlists depuis maintenant trois décennies. Après une précédente tournée anniversaire pour l’album, le groupe en a eu assez : « Vous vouliez vraiment ces chansons ? Nous l’avons fait. Maintenant, on passe à autre chose. »
Pendant son ultime journée de congé, avant d’entamer la première partie de la tournée, Adam Clayton a accordé un entretien à Rolling Stone, afin d’expliquer, d’abord, cette nouvelle manière de concevoir les setlists…
Quels ont été les principaux défis auxquels vous avez dû faire face lors de la préparation de cette nouvelle tournée ?
Notre premier défi, c’était de faire mieux que la précédente tournée. « Innocence Tour » a été un succès dingue, elle a établi des liens extraordinaires entre nous et le public. Le son était vraiment bon, la mise en scène était incroyable d’innovation : cet immense écran et la scène qui s’étendait sur toute la longueur de la salle de concert… Je pense que le public a été très touché par ça. Pour notre nouvelle tournée, c’était difficile de savoir comment on allait la concevoir. Nous vivons à une époque très différente, les gens sont sans cesse sur le qui-vive.
Comment la tournée anniversaire pour « The Joshua Tree » a influencé votre approche de celle-ci ?
On savait qu’on allait laisser de côté les chansons de « The Joshua Tree » pendant un certain temps. On pourrait renoncer à ne plus les jouer, finalement, si il manquait une « couleur » au spectacle. Mais pour l’instant, on tient notre parole. On est déjà à 10 dates et on essaye d’inclure le plus grand nombre de nouveaux morceaux. Il y en a encore certains jamais joués sur scène. « The Showman », au contraire, est un titre qu’on a répété très tôt. On a réussi aussi à bien retranscrire en live « Red Flag Day« , et on aimerait en faire pareil pour « Landlady ». Ce nouveau spectacle est en fait là pour vous aider à accepter qui vous êtes, ce dont vous êtes capables, quelles sont vos forces et vos faiblesses. C’est un album très introspectif, alors qu’ « Innocence » était beaucoup plus « extraverti ».
youtube
Cette idée de ne plus jouer les morceaux de « The Joshua Tree », est-ce qu’elle a été prise unanimement ou il y a eu débat ?
C’était une décision assez excitante. Cet album faisait de l’ombre à tout le reste. En fait, on a eu l’impression de terminer une période. Il y aura un moment pour revenir sur ces morceaux, mais on a toujours été honnêtes en précisant : « Ce répertoire est pertinent pour une époque précise ». Je ne sais pas si « Bullet the Blue Sky » convient à ce nouveau spectacle. Pareil pour « With or Without You », je n’en suis pas certain. « You’re the Best Thing About Me » est un peu sa version plus actuelle.
On a entendu Bono dire que si un concert se passe mal, « Where the Streets Have No Name » reste une valeur sûre. Qu’est-ce que ça fait de se dire que vous ne pourrez plus compter dessus ?
On doit se mettre en danger. « Streets » est une chanson puissante et fédératrice mais, encore une fois, je pense que ce serait une détonation si importante qu’elle réduirait tout le reste du set. Pour ce nouveau spectacle, on essaye plutôt de terminer sur « City of Blinding Lights », qui me semble plus cohérente avec le contexte de la tournée. C’est une chanson qui parle d’innocence, jusqu’à un certain point. Bono dit toujours : « Ça a commencé comme une chanson d’innocence, mais ça fini par de la gravité. »
« Nous aimerions que les gens prêtent davantage attention aux deux derniers albums, je les trouve très éloquents »
Parlez-nous de cette décision de jouer enfin « Acrobat »… 
Il y a ce journaliste ennuyeux, qui travaille à Rolling Stone…. Il dit depuis des années qu’il faut jouer « Acrobat » [rires]. C’est une chanson qui, au fil des tournées, nous a déstabilisé puisqu’elle semblait ne jamais s’intégrer au rythme des concerts. Ça a toujours été une rareté et il y a des fans hardcore qui l’ont toujours voulu.  Il y a désormais une résonance émotionnelle qui colle assez bien avec le concept de la nouvelle tournée. Je suis très heureux de l’interpréter. Sur la tournée « Innocence », nous avons eu un set up de batterie très simple. Cette fois-ci, Larry à une batterie complète, ce qui nous permet d’atteindre différents niveaux de jeu. « Acrobat » s’inscrit vraiment là-dedans.
Qu’est-ce qui vous a ramené à « Staring at the Sun? » ?
Ça a toujours été un de mes morceaux préférés. Il s’inscrit d’ailleurs pas mal dans le contexte mondial actuel, un peu sombre. Encore une fois, il s’agit moins d’une chanson pop pleine d’espoir, mais plutôt d’un commentaire très anglé sur la société actuelle.
youtube
Quand vous montrez la marche du Klu Klux Klan, ça reflète beaucoup notre époque !
Oui. C’est un peu comme « Le Seigneur des Anneaux ». Les forces des ténèbres se rassemblent. « Staring at the Sun », ou regarder le soleil, donc ne pas vouloir être impliqué ou ne pas prendre position, tout ça ne semble pas être une bonne option.
Ensuite, avec « Pride », vous projetez des images de Martin Luther King, c’est un moment d’espoir.
Je pense que c’est en plein dans notre plan d’idées. Ces nombreux mouvements contre la culture des armes à feu et en prévention des fusillades dans les écoles… tout ça c’est dingue. Et pourtant, les pouvoirs en place, la volonté politique et les lobbyistes semblent continuer de dire que la solution : c’est davantage d’armes à feu. Dans n’importe quelle situation, ça n’a pas de sens. Ce mouvement semble pour l’instant extrêmement fragile. Peut-être qu’au cours des cinq ou dix prochaines années, ça aura plus de mordant.
Avez-vous été anxieux par rapport au fait que le public n’entende plus ses tubes favoris ?
Nous aimerions que les gens prêtent davantage attention aux deux derniers albums, je les trouve très éloquents. Nous avons travaillé très dur pour chacune de ces chansons. Les paroles de Bono sont, je pense, parmi ses meilleures. Les mélodies sont vraiment travaillées. On y a consacré beaucoup d’effort, c’est pourquoi je voudrais que le public nous comprenne.
La tournée se poursuivra-t-elle jusqu’en 2019 ?
C’est vraiment difficile de le savoir. C’est toujours agréable de réussir une tournée et de toucher le public au maximum. Mais je ne sais pas. Il s’agit petit tournée. On a pris cette décision parce qu’on s’est énormément produits au cours de ces quatre dernières années. Pour l’instant, nous ne sommes pas encore allés en Australie, au Japon, ou en Asie du Sud-Est. On ne s’est pas trop attardés en Europe. Alors peut-être qu’on allongera la tournée, même si on ne s’est pas encore donnés les moyens de rejouer dans des stades. Après tout, je ne sais pas. Je ne fais que spéculer…
youtube
Interview réalisée par Andy Greene, traduite en français par Samuel Regnard
1 note · View note
disquaire · 6 years
Video
youtube
ON A RENCONTRÉ : S3A (Sampling As An Art)
27/01 - LE PLATEAU MONT-ROYAL - MONTREAL
- Tabernak! Nous voici de retour avec un nouvel épisode “On a rencontré”, on le sait, ça vous a manqué, tout autant que nous ! Une partie de notre krew a monté la tente à Montréal, chez les cousins, et il faut dire que la scène électro n’est pas des moindre. Avec un peu plus de 30 clubs à son actif, des événements en-veux-tu en-voilà et une invasion de festivals en tout genre l’été, Montréal est une ville qui bouge, et qui fait les choses bien. Cerise sur le gâteau, nous avons retrouvé sur place nos confrères du label Kizi Garden Records qui ont eu l’occasion de booker notre père spirituel à tous, S3A, ancien résident de la Concrete et grand adepte de la house, french touch oblige. En passant par Philip Glass, Motor City Drum Ensemble, Chez Damier et même France Gall, l’artiste nous dévoile ses inspirations... et sa vision sur le monde musical d’aujourd’hui. 
Action!
Tumblr media
Le Disquaire : Salut S3A, bienvenue à Montréal! Comment tu te sens?
S3A : Bonsoir ! Il neige dehors, -14°C c’est la fête ! 
LD : On t’avait prévenu, le Québéc hivernal c’est une autre paire de manche! Tu nous disais que ce n’était pas la première fois que tu venais outre-atlantique? 
S3A : Ouais, non, j’étais venu à la Bacchanale, on avait fait Salon Daomé aussi, ça s’était super bien passé, on avait passé une très belle soirée. J’étais pas prévu pour passer autant de temps mais, au final, j’ai joué presque toute la soirée. C’était vraiment un bon souvenir, le club était cool, les gens super sympa : expérience au top.
LD : Excellent. Tu sentais les gens réceptifs? 
S3A : Absolument, j’ai pas eu longtemps à me chercher si tu veux. Il y a des endroits où tu as plus besoin de chercher les gens, jauger le public, tenter des choses, mais à Montréal c’était assez naturel, super agréable. 
Tumblr media
LD : La scène se développe de plus en plus ici, ça se sent. On va faire un petit flashback, d’où te vient cet amour pour la musique? 
S3A : Mon père je pense. J’ai été élevé dans le rock progressif, jazz, rhythm & blues - le “vrai” R&B je veux dire, pas le récent que nous avons aujourd’hui. Puis après j’ai croisé mon truc directement dans les 90′s avec la techno à l’époque et plus particulièrement la rave anglaise. C’était une musique décérébrée, festive, exactement ce que je voulais. J’avais 13 ans, et j’avais besoin de me défouler. C’est un truc qui m’allait très très bien à l’époque - et qui me va toujours d’ailleurs. 
LD : D’où te vient ce nom de scène, S3A (Sampling As An Art)?
S3A : De Marc Leclerc, alias Akufen, un mec qui compte beaucoup pour moi en terme de musique. Un jour, je suis allé le voir au nouveau Casino à Paris, ça devait être en 2002. Et je me rappelle, il avait un t-shirt orange avec marqué en blanc “Art of Sampling”. Et moi j’ai toujours aimé les comparaisons à l’anglaise “As Something...”. Du coup, je l’ai adopté en créant l’acronyme S3A, c’est resté depuis, ça me correspond assez bien. 
youtube
LD : Une belle histoire plutôt originale. Côté inspiration, quel est ton secret? As-tu des mimiques particulières quand tu dig des pépites? 
S3A : Alors, ouais. Quand j’ai commencé le projet, je prenais tout ce qui était funk des années 74-79 et le rythmique comme la disco entre 79 et 82. Après, au fur et à mesure, le son change, il devient numérique et c’est moins authentique. C’est pas du tout la même vibe, j’aime moins, et je préfère conserver cet aspect authentique. 
LD : J’ai vu que tu avais fait un edit de France Gall, tu es un amateur de pop française 80′s? 
S3A : L’edit de France Gall c’était un peu spécial. J’ai fait ça au Sucre pour Radio Nova, j’étais content de la faire. A la mort de France Gall, je me suis dit “c’est quand même bête, j’ai toujours dit que j’aimais bien ce qu’il faisait Berger” (Michel de son prénom, nldr). J’ai réécouté Starmania avec Besoin d’Amour et, pour moi, elle manquait de patate. Je l’ai travaillé super rapidement, en 2 heures à l’hôtel, sans analogique comme je fais d’habitude. Le but était de le passer le soir même, ça aurait le mérite d’être retravaillé mais je suis content de l’avoir fait.  J’aime beaucoup ce qu’écrivait Berger en général. Quand tu regardes ce qu’il pouvait produire en 3 semaines... Pour moi c’était une façon de lui rendre hommage.
youtube
LD : Bien joué, ça rend super bien, et on a vu les foules s’extasier au Sucre ! Qu’est-ce qu’on peut trouver dans ta collection de vinyles?
S3A : Vraiment plein de choses ! J’apprécie beaucoup le rock progressif, le jazz, un peu de musique brésilienne et le reste de la house, un peu quand même ! (rires) Par contre, je n’ai pas un disque tant que je ne l’ai pas en vinyl. Tout ce que j’ai en vinyl, je me numérise presque directement une fois à la maison.  Pour reparler de ma collec’, je suis pas super spécialisé. Aujourd’hui, je trouve qu’être spécialisé, c’est perdre du temps. La vie est trop plurielle, il y a trop de belles choses à choper à droite à gauche pour uniquement se confiner dans un style. Tu peux pas juste aimer la bière blonde, je ne suis pas comme ces DJ monostyles et hyper spécialisés. J’ai besoin de jouer autre chose. 
LD : Un vrai puriste, c’est ce qu’on aime. Quel type de son aurais-tu aimé produire?
S3A : Que j’aurais aimé produire? Raw Cuts 6, de MCDE, dans son premier album. Ca m’a foutu le feu. C’est le genre de son qui a contribué à la naissance de S3A. Il y a eu un espèce de combo entre l’EP de MCDE et un dîner avec Chez Damier, qui voyait bien que j’étais en train de marmonner mon truc et que j’arrivais pas à avancer. Je voulais un truc en plus, un autre projet, puis il m’a dit “Don’t try to be the red point for the red room. Be the white point in the white room. Be a different point by yourself.” 
LD : Quel est ton son du moment? Tu nous parlais de rock à l’ancienne, est-ce que tu restes authentique ou tu surfes plutôt sur la nouvelle vague? 
S3A : Je vais avoir besoin de plusieurs secondes... Après il y a ce que je peux mettre sur un dancefloor, et ce que je peux mettre en soirée, qui sont pour moi deux choses bien différentes. Je peux pas me permettre les mêmes choses, à moins d’avoir les gens vraiment dans la poche, mais c’est infaisable sur 2 heures de set - ça sera plutôt sur 3 ou 4 heures.  Alors, je vais te parler de Marc Leclerc, avec Akufen ou Horror Inc, c’est un artiste que j’ai souvent dans les oreilles. Le bon juste mélange entre notes et musique électronique, c’est même ce que je recherche à faire avec S3A, et mon album sera comme ça.
🎙“TU PEUX PAS JUSTE AIMER LA BIERE BLONDE, IL Y A TELLEMENT D’AUTRES CHOIX. JE NE SUIS PAS COMME CES DJ MONOSTYLES ET HYPER SPECIALISES.” S3A
LD : Sur le même sujet, tu te sens inspiré par Philip Glass, étant donné que tu es un grand fan?
S3A : Ah bah oui, je suis ultra ouf de ce mec. Tout a commencé en 1993 lorsque j’ai entendu la musique du film Candyman, dont Philip Glass avait fait la BO. On était en famille, et les quelques notes de piano m’ont absolument transporté. Ca m’a particulièrement touché, je ne comprenais pas pourquoi j’avais autant aimé ce film là. Et un autre jour, j’entends une autre musique dans un autre film, c’était le Truman Show, la musique de fin. Et là, je me dis “c’est marrant, ça y ressemble”. J’ai ensuite fait le lien et je me suis bouffé tous ce qu’il a pu produire, des BO aux opéras. Ca m’a vraiment pété à la tronche lorsque Aphex Twin a fait le remix de Philip Glass et je me suis dit “bah voilà, comme quoi, j’étais pas fou!”. Je suis un grand fan de musique d’ambiance, de film. Ca tire sur les cordes sentimentales et les émotions musicales, c’est du génie. 
🎙“JE SUIS PAS UN GROS DIGGER, LE GENRE DE MEC A PASSER 8 HEURES POUR UN VINYL. SI C’EST RESTÉ DANS LES BACS, C’EST QU’IL Y A UNE RAISON AUSSI. C’EST PAS PARCE QUE LE MORCEAU EST RARE QUE C’EST FORCÉMENT BIEN.” S3A
LD : Super cool. Et la suite de tes projets? En commençant par une date à Montréal demain?  
S3A : Yes, date à Montréal demain avec l’équipe de Kizi Garden. Après il y a un Eureka (label japonais, nldr) qui va sortir bientôt. Un nouveau label appelé LionZoo orchestré par Paolo Valentino, puis un S3A Records qui va arriver. Quelques projets par an c’est bien, il ne faut pas en abuser. J’avais fait 6 projets en une année et c’était pas assez raréfié, pas qualitatif. J’essaie d’avoir un certain format quand je joue mais aussi d’être détaché. Si je veux faire un morceau à contre pied, je le ferai, pour sortir un peu du moule. 
6 notes · View notes
Text
Réparer : DNS_PROBE_FINISHED_NO_INTERNET [7 Solutions]
Tumblr media
Nous avant remarquer que certains de nos utilisateurs ont rencontré des problèmes concernant l'erreur DNS_PROBE_FINISHED_NO_INTERNET après la mise à jour de leurs système, c'est pour ça nous avons décidé de parler un peu de cette erreur particulière et les méthodes nécessaires pour le résoudre. Elle apparaît généralement. lorsque vous essayez d'accéder à Internet via Google Chrome même si l'Internet fonctionne bien sur d'autres navigateur comme Mozilla ou Internet Explorer pour Windows 8. Cela vous empêchera d'accéder à n'importe quel type de pages Web jusqu'à ce que vous le corrigiez.
Corriger DNS_PROBE_FINISHED_NO_INTERNET sur Windows 10
Tumblr media
Méthode 1: Effacer le cache DNS de Google Chrome Effacer le cache DNS de Google Chrome pourrait être la meilleur moyen pour résoudre le problème "DNS_PROBE_FINISHED_NO_INTERNET". Suivez ces étapes à la lettre : Étape 1. Visitez simplement le lien suivant URL chrome://net-internals/#dns . Étape 2. Cliquez sur le bouton Effacer le cache host .
Tumblr media
Étape 3. vous remarquerez que les sites Web fonctionnent correctement. C'est l'une des méthodes les plus simples et les plus utiles pour résoudre ce problème. Cela aurait pu marcher pour vous, si ce n'était pas le cas, faites défiler plus loin et essayez la méthode prochaine. Voir aussi: Réparer Facilement l’Erreur WerFault.exe (7 Méthodes) Méthode 2: Modifier les paramètres du serveur DNS  Appuyez et maintenez le bouton "Windows" et le bouton "X".  Choisissez la fenêtre "Panneau de configuration", vous devez faire un double-cliquer sur le bouton gauche de la souris. cliquez sur l'icône "Réseau et Internet" pour l'ouvrir. Cherchez la fonction "centre réseau et de partage" et cliquez dessus avec le bouton gauche de la souris.  Dans la partie droite de la fenêtre "Centre de réseau et de partage", cliquez avec le bouton gauche de la souris sur le lien "Modifier les paramètres de la carte".  Ensuite, dans la liste des adaptateurs réseau, vous devez trouver celui que vous utilisez et faire un clic droit dessus. Après avoir cliqué avec le bouton droit de la souris sur l'adaptateur réseau, vous devez cliquer avec le bouton gauche de la souris sur la fonction "Propriétés". Comme vous pouvez le voir sur la capture d'écran ci-dessous, nous utilisons un hotspot mobile, mais vous avez besoin de sélectionnez le réseau auquel vous êtes actuellement connecté.
Tumblr media
Propriétés adaptateur réseau  Dans la nouvelle fenêtre Propriétés que vous avez ouverte, vous devrez recherchez l'option "Internet Protocol Version 4 (TCP/IPv4)".  Double-cliquez (clic gauche) sur "Internet Protocol Version 4 (TCP/IPv4)" pour l'ouvrir. Après avoir sélectionné l'option ci-dessus, une autre fenêtre s'ouvrira. Fenêtre "Propriétés". Note : dans cette fenêtre Propriétés, vous aurez accès à la fenêtre pour le protocole Internet.  Cliquez avec le bouton gauche de la souris sur "Utiliser l'adresse du serveur DNS suivante :". pour le sélectionner.  Dans le champ "Serveur préféré", mettez ce qui suit “208.67.222.222”.  Dans le champ "serveur auxiliaire" mettez le suivant "208.67.220.220".
Tumblr media
 Cochez la case à côté du message "Valider les paramètres en quittant" situé dans la partie inférieure de l'écran.  Cliquez avec le bouton gauche de la souris sur "OK" présenté dans la partie inférieure de l'écran.  Fermez les fenêtres que vous avez ouvertes. Remarque : Vous pouvez également utiliser le serveur DNS public de Google et définir 8.8.8.8.8 comme serveur préféré et 8.8.4.4.4 comme serveur auxiliaire. Vérifier la connectivité Assurez-vous que votre routeur ou tout autre appareil responsable d'Internet reçoit Internet de votre FAI. S'il s'agit d'un appareil wi-fi, connectez alors votre téléphone ou un autre appareil wifi activé à ce routeur/modem et voir s'il se connecte à l'Internet. Si c'est le cas, alors le routeur va bien s'il ne connecte pas à votre FAI parce que vous n'avez pas accès à Internet. Si vous êtes déjà connecté à ce routeur/modem depuis un autre appareil qui fonctionne correctement, alors votre Internet marche bien. Maintenant, testez-le à l'aide d'un ordinateur et procédez comme suit : Maintenez la touche Windows enfoncée et appuyez sur R  Tapez cmd et cliquez sur OK Dans l'invite de commande noire, tapez : ping -t 4.2.2.2 Appuyez sur Entrée. Il devrait montrer les lignes suivantes :  Reply from 4.2.2.2: bytes=32 time=193ms TTL=53                  Reply from 4.2.2.2: bytes=32 time=193ms TTL=53                  Reply from 4.2.2.2: bytes=32 time=192ms TTL=53
Tumblr media
ping -t 4.2.2.2 Cela signifie que l'Internet est connecté, les derniers chiffres peuvent être différents mais c'est ce que devrait se montrer, s'il montre ceci alors l'Internet est connecté, s'il montre "Request Timed Out" ou quoi que ce soit d'autre, l'Internet n'est pas connecté. Assurez-vous que votre connexion sans fil ou câblée est connecté à votre routeur, gardez cette fenêtre ouverte, et continuez à la vérifier après l'installation. en exécutant chaque étape ci-dessous. Lorsqu'il commencera à afficher des réponses, le problème sera corrigé. Méthode 3: Flush DNS L'erreur DNS_PROBE_FINISHED_NO_INTERNET sous Windows 10 peut également apparaître si le cache DNS est obsolète. Alors que vous devez le supprimer manuellement pour résoudre le problème question. Effectuer le processus décrit précédemment : Étape 1 : Tout d'abord, appuyez simultanément sur les touches Win + R. Etape 2 : Tapez "cmd" dans le champ de recherche. Etape-3 : Tapez ipconfig /flushdns et appuyez sur Entrée. Etape 4 : Redémarrez votre ordinateur, puis vérifiez si votre problème est résolu.
Tumblr media
C'est ça. Il se peut que l'erreur soit effacée de votre écran. Si le message "DNS_PROBE_FINISHED_NO_INTERNET" persiste, essayez la méthode suivante. Méthode 4: Désactiver les services de prédiction Désactiver les services de prédiction peut fonctionner comme un charme pour corriger l'erreur DNS_PROBE_FINISHED_NO_INTERNET. Il suffit de suivre ces simples étapes. Etape-1 : Allez dans les paramètres du navigateur Chrome. Étape 2 : Faites défiler vers le bas et cliquez sur Afficher les paramètres avancés. Etape-3 : Vous verrez une option de'Utiliser les services de prédiction pour charger les pages plus rapidement' . Etape 4 : Décochez la case et redémarrez le navigateur.
Tumblr media
Vous avez terminé la procédure avec succès. Il doit résoudre le problème. Si vous voyez toujours l'erreur "DNS_PROBE_FINISHED_NO_INTERNET", passez à la méthode suivante. Voir aussi: Réparer Code d’erreur 80240020 Facilement Méthode 5: Réinitialiser Google Chrome Cette étape n'est pas techniquement liée à ce que nous avons fait dans les étapes précédentes, mais je recommanderais quand même d'exécuter ces instructions ci-dessous.  Maintenez la touche Windows enfoncée et appuyez sur R  Dans la boîte de dialogue d'exécution qui s'ouvre, tapez Si vous utilisez Windows XP %USERPROFILE%\Local Settings\Application Data\Google\Chrome\User Data\ Si vous utilisez Windows 7/Vista/8/8.1/10 %LOCALAPPDATA%\Google\Chrome\User Data\
Tumblr media
Réinitialiser Google Chrome 7: Autres méthodes pour réparer l'erreur DNS_PROBE_FINISHED_NO_INTERNET Si aucune des méthodes mentionnées ne fonctionne pas, essayez les méthodes expliquées ci-dessous : Étape 1. Désinstaller Antivirus Beaucoup de gens ont suggéré qu'après avoir désinstallé leur programme antivirus (surtout McAfee) le problème avait disparu.
Tumblr media
Désinstaller McAfee Étape 2. Désactivez votre pare-feu La désactivation des pare-feu peut également résoudre le problème car certains logiciels peuvent interférer lorsque Chrome tente de se connecter. Cela pourrait être la solution pour vous aussi. Désactivez le pare-feu et vérifiez si l'erreur persiste.
Tumblr media
DÉSACTIVER LE PARE-FEU Étape 3. Essayez de vous connecter en mode sans échec Démarrez votre ordinateur en mode sans échec et essayez de charger Chrome. Cela vous aidera à déterminer si un logiciel tiers est à l'origine du problème, car le mode sans échec ne comprendra que des fichiers utiles intégrés. Pour ce faire, redémarrez votre ordinateur, appuyez sur la touche F8 et maintenez-la enfoncée. Sélectionnez Sélectionnez maintenant le mode Sans échec avec la mise charge du réseau dans la liste des options disponibles..
Tumblr media
démarrage Mode sans échec avec la prise en charge du réseau Conclusion Félicitations. Vous devez avoir corriger l'erreur "DNS_PROBE_NO_INTERNET" maintenant. C'étaient les plus éprouvées et les plus efficaces méthodes. Vous pouvez appliquer en toute confiance l'une ou l'autre des méthodes mentionnées ci-dessus dans les domaines suivants afin de résoudre le problème. J'espère que vous avez trouvez ce que vous cherchez et que vous êtes débarrassé de ce problème. Commentez dans la section commentaires si un problème persiste. ou si vous avez des questions. Read the full article
0 notes
wewillpunkyou · 6 years
Text
Concert : Trash Boat à la Mécanique Ondulatoire (16 octobre 2017)
           Pour leur cinquième venue dans la capitale française, les anglais de Trash Boat se sont arrêtés à la Mécanique Ondulatoire. Après avoir ouvert pour ROAM et As it Is quelques années plus tôt, et plus récemment pour Beartooth et The Wonder Years l’année précédente, ils nous ont cette fois-ci offert un set complet en tête d’affiche que nous attendions avec impatience. Retrouvez notre interview avec Tobi ici en version originale, et ici en français.
Tumblr media
           Un concert comme ceux-là, c’est toujours une bonne partie de rigolade. Après avoir discuté avec Tobi Duncan (le chanteur) du futur du groupe, des tournées, du deuxième album à venir et d’autres discutions autour de leur musique, nous avons pu assister à un concert intime, pas complet, mais dont l’énergie du public présent a suffit à rendre le tout super vivant. Bien que nous regrettions l’absence de Broadside et de Like Pacific, groupe américain pour le premier et canadien pour le deuxième ayant ouvert les shows pour la tournée anglaise, nous nous sommes installées dans la salle dès l’ouverture des portes pour découvrir sur scène les groupes programmés sur la tournée européenne, et plus particulièrement sur la date française : Dess et WSTR. Sans vivre le meilleur moment de notre vie, nous avons tout de même passé un agréable moment en leur compagnie. Dess, un petit groupe français énergique, nous ont présentés des titres français dont nous tenons à souligner l’importance : nous adorons voir des petits groupes locaux chanter dans notre belle langue ! WSTR, quant à eux, ont interprété quelques chansons dont certaines de leur premier album, Red, Green or Inbetween, et bien que peu original et très générique musicalement parlant, leur set reste appréciable en live. Nous les retrouverons en première partie d’As It Is lors de leur concert à venir, le 5 mars prochain au Backstage by the Mill ! Et d’ailleurs, gardez un œil ouvert sur les réseaux sociaux de WWPY! pour avoir une chance de gagner vos places pour le concert !
           Les premières parties ayant terminé de chauffer la salle, nous attendons maintenant Trash Boat, composé de Tobi Duncan au micro, d’Oakley Moffatt à la batterie, de Dann Bostock et Ryan Hyslop aux guitares et de James Grayson à la basse. Autant préciser tout de suite que le groupe occupe une place très importante dans nos cœurs ; c’est ainsi un véritable challenge que de rester objectives sur cet article. Nous avons eu la chance de voir le groupe bien grandir ces dernières années ; passer de salles vides à des salles moins vides, mettre le feu sur scène aux festivals de Reading et de Slam Dunk ; et de finalement pouvoir les voir évoluer sur leur propre tournée, ça nous fait vraiment chaud au cœur ! Tobi sait que sa voix a gagné en puissance et qu’elle est meilleure aujourd’hui, qu’il a progressé grâce aux nombreuses tournées que Trash Boat a réalisées. « Je suis un bien meilleur chanteur maintenant que je ne l’étais il y a un an et demi, parce que on a joué tellement de concerts et j’ai chanté tous les jours, je me suis discipliné en tournée, ce que je ne fais pas quand je suis chez moi. Quand on était en Amérique on a joué quelque chose comme cinquante concerts sur huit semaines et j’ai chanté presque tous les jours, c’est un bon entrainement et maintenant ma voix est plus affinée ; donc [pour le prochain album] ça va être super. » Même si le son de la Mécanique Ondulatoire laissait un peu à désirer, nous l’avons ressenti dès les premières notes de Tring Quarry. Ce choix de chanson pour l’ouverture est logique. Dernier single en date, la chanson ouvre le concert en toute légèreté ; la foule saute au rythme des guitares et les sourires s’étirent tout naturellement. Le set se poursuit avec deux titres extraits des vieux EPs de Trash Boat. Perspective et Boneless plaisent aux fans de la première heure et permettent aux nouveaux arrivés de découvrir le groupe dans un son quelque peu plus brouillon, moins travaillé mais qui rend son charme souterrain aux musiciens.
Tumblr media
           S’il fallait se mettre d’accord sur le moment phare du spectacle, ce serait pour nous l’intensité et la puissance qui se ressent à l’écoute du titre Catharsis. Sur l’album studio comme en concert, c’est réellement la perle qui se démarque du reste. Emouvante, brutale, Catharsis reflète et résume l’album Nothing I Write You Can Change What You’ve Been Through à la perfection. Tobi nous dit : « Catharsis, je l’ai écrite après avoir écrit la majorité des chansons et les paroles étaient en quelque sorte un mélange de ce que reflètent tous les thèmes abordés sur l’album. Catharsis exprime ce que l’album veut dire pour moi. L’album est ma catharsis, et est cathartique pour d’autres personnes ; donc je résumais simplement mes sentiments, comment je m’identifie au contenu et à quel point écrire cet album a été cathartique pour moi. » Sans aucun doute, nous affirmons que cette chanson est cathartique pour nous aussi. Les émotions qu’elle dégage frappent là où ça fait réfléchir et ça fait un peu mal. Pourtant, ça soulage. On s’époumone ensemble « Cautious and optimistic ! Life fucks me up sometimes but I don’t want to miss it. I’m still wading through this bull shit and I meant it when I said it ‘life will eat you if you let it’ ». C’est le reflet parfait d’un album qui se veut optimiste tout en exprimant clairement que le fond est touché. Les paroles « Cautious and optimistic » nous font rebondir sur les propos du chanteur au sujet de la pochette de l’album ; « J’avais une idée pour le nom de l’album, je voulais l’appeler ‘Cautiously Optimistic’. On ne l’a pas fait au final parce que ça ne sonne pas vraiment bien. Mais, ce sont des mots qui ont traversé mon esprit de nombreuses fois. Et avoir les doigts croisés ça représente l’optimisme, qui fond avec la flamme, tu vois ce que je veux dire ? Tu restes optimiste même quand tout s’effondre. »
Tumblr media
             Le concert se poursuit avec d’autres chansons abordant des thèmes encore plus sombres et tout aussi personnels les uns que les autres: la douloureuse How Selfish I Seem, écrite la veille de son enregistrement. Une autre ancienne : Gnarmalade. Un des singles : Eleven. Et puis Brave Face, qui touche à la famille et qui appuie sur les cordes sensibles de l’absence paternelle. Puis vient l’heure de se dire au revoir. Trash Boat s’attaquent à leur dernier morceau : Strangers. C’est l’un de ses morceaux où se succèdent toujours sur scène des personnes différentes, pour avoir la chance d’hurler aux côtés des musiciens la partie originellement chantée par Dan Campbell ; « But you and I keep spinning in the same waaaay! ». On a déjà vu plusieurs starlettes partager le micro avec Tobi ! Parmi elles, Patty Walters, qui nous a d’ailleurs déjà confié que les accords étaient trop aigus pour lui ; Soupy en personne, et même un jour le père de Ryan. Une légende. Tobi nous dit qu’il a même invité sa mère sur scène, à New-York, mais qu’elle s’est défilée au dernier moment. Cette fois-çi, c’est tout logiquement le chanteur de WSTR qui grimpe sur scène et s’empare du micro pour terminer le concert sur une belle note. Bref, Trash Boat en live c’est une ambiance saine et rassurante, où on accorde une importance phare au fait d’être soi-même.
  [Setlist complète : Tring Quarry, Perspective, Boneless, Second Wind, Pangea, Catharsis, Things we leave Behind, Guise Of A Mother, How Selfish I Seem, Gnarmalade, Eleven, You Know, You Know, You Know, Brave Face, Strangers.]
youtube
1 note · View note
Text
INTERVIEW QUEER OF COLORS - #3 - NEKA GROOVE
Tumblr media
Troisième portrait de la série dédiée aux Queers of Colors sur le site de Support Your Local Girl Gang…. ✊🏾Neka a répondu a notre interview !
Peux-tu nous raconter ton parcours et tes activités ?
A la fin de mon adolescence,  j’ai décidé de prendre l’avion et d’aller à San Francisco pour devenir guitariste et dj ! Depuis San Francisco et l’expérience avec des personnes queer of color rencontrés la bas, « the city by the bay » est tatoué dans ma mémoire... J’essaie donc de contribuer à ce que ça bouge plus en France ! « ce que je fais dans la vie » à pars vagabonder ? ! Je suis au conservatoire de Lille en guitare jazz, à la fac de musicologie et je fais des dj set reggae dancehall avec ma guitare remixé  à ma sauce psychédélique ! Ça fait 3 ans que j’ai pris la décision de faire de la musique exclusivement malgré les obstacles ! J’ai un projet de thèse que je suis en train de mettre en place progressivement, ce projet vise à s’intéresser au pouvoir de notre intention de musicien.ne, en gros il s’agit d’élaborer des outils et techniques pour  libérer notre vrai potentiel peu importe les situations dans lesquelles on se trouve, yes you can !
La thématique de l’évasion est centrale dans ma musique. Il s’agit vraiment de voyage,  de  faire rêver, oublier, se régénérer avec de la musique inspirante et euphorisante. J’ai envie que les personnes se relaxent, se sentent bien par rapport à eux-mêmes et par rapport aux autres, bouger nos corps avec euphorie, revoir nos vies et leurs problèmes avec un nouvel œil optimiste et positif malgré les obstacles. Bref, je partage la passion de l’univers reggae Dancehall et l’électronique pour une libération  spirituelle garantie !
Quand es-tu tombée dans la musique ? Te souviens-tu de tes premiers disques ?
Je suis tombée dans la musique à l’adolescence.  Je suis partie de chez mes parents tôt, certainement comme beaucoup d’autres personnes queer. Ma communauté « d’adoption » ont été les rastas ! Donc Le reggae dancehall est la musique avec laquelle j’ai vraiment commencé à être socialisée dans le monde de la musique. Le reggae est aussi la musique avec laquelle j’ai appris la guitare et avec laquelle j’ai appris à surmonter les montagnes russes de l’adolescence ! Le reggae a cette dimension vraiment spirituelle qui m’a accroché tout de suite. Ces rythmes similaires au battement de cœur … ont tout de suite eu le pouvoir de me calmer et de me faire voir les choses toujours d’une perspective plus positive ou du moins plus sereine.  Mes premiers disques : Peter Tosh « legalize it » (ca veut pas dire que je fumais!), Oasis « wonderworld », bob Marley (of course!), Lauryn Hill, Moderat, Busta Rhymes, 2Pac, Israel Vibration « reggae on the river », Sizzla, Lady Saw, non je ne suis pas en train de te faire une playlist de dj j’écoutais  juste énormément de disques je me rappelle plus  dans quel sens c’est arrivé !  Abu Djigo un virtuose guitariste maintenant décédé, était une sorte de mentor pour ma guitare.  On s’est croisé une seule fois mais après sa rencontre j’ai décidé de partir voyager à San Francisco, j’y retournais chaque été pendant trois ans ! Bref, je vais arrêter de parler de San Francisco… en tout cas pour cette question ! Bref, avant d’entrer au conservatoire de Jazz, J’ai appris la guitare en autodidacte avec des livres emprunté à la bibliothèque  ou je passais la majorité de mon temps. Les bibliothèques... ces lieux qui pouvaient sembler mega boring pour certains ados étaient mes havres de paix ! J’avais  accès à pleins de Cds. J’écoutais principalement du reggae. Mais j’écoutais en gros vraiment de tout  sans exceptions pour former mon oreille à pleins de vibe différentes ! Il y avait toujours quelques cds que je prenais « au hasard » comme un exercice pour découvrir de nouvelles sonorités et expériences !  Souvent la magie opérait là. Quand le cerveau sature, et essai de créer une cohérence une sorte  d’harmonie entre tous ces voyages sonores entre artistes qui ne faisaient pas partie du tout du même paysage musical… mais qui s’unissaient le temps d’un set dans mon esprit.
On parle souvent du racisme et de la mysoginie dans la musique. Te sens-tu investi-e d’un rôle par rapport à ça ?
Oui. C’est pour cela que j’ai lancé le collectif « queer of color vibe » avec la rappeuse Myiocard l’année dernière. Je partage parfois des vidéos de  motivation  pour être le meilleur de nous-même. J’ai fait un master en philosophie à côté de la musique, j’essaie dont de vulgariser des outils qui visent à re-prendre  pouvoir et conscience de notre véritable potentiel et beauté intérieure, ressource très intéressantes pour toutes personnes désireuse de poursuivre ses rêves mais qui ont dû mal à actualiser leur potentiel dans une société qui challenge en permanence notre valeur.
Ça n’est pas par hasard que j’ai commencé par être autodidacte par exemple. Bien sûr, certaines personnes font ce choix là et l’autodidaxie a énormément d’avantage que l’apprentissage traditionnel ne couvre pas (et ne parle pas non plus!). Et Vice versa.  Seulement, l’autodidaxie pause aussi la question de l’égalité des chances dans l’accès aux formations de musiques par exemple. Être livré.e à soi-même dans un espace qui ne nous accueil pas disons… à bras ouvert ! Ou faire face à l’apprentissage de certaines notions musicales est un obstacle qui décourage pas mal de personnes par exemple. Et lorsqu’on évolue dans des espaces qui ne nous reflètent pas notre valeur, on ne s’autorise pas à faire certaines choses ou à se projeter dans un certains métier ou avenir.
Tumblr media
Donc je sens que c’est dans la logique des choses que je soutienne et sois soutenue par des personnes qui sont susceptible de traverser des obstacles typique dans cette Matrix dirais-je … aha
De toute manière, pour faire de la musique selon mon expérience, il faut s’entourer de personnes qui reconnaissent notre valeur et de personnes ou on reconnaît leurs valeurs. En gros, des personnes avec qui tu vibe !  Sans ça, on a beau connaître ceci cela, savoir-faire ceci cela, on aura jamais « le niveau » comme ils et elles aiment bien le qualifier sur la scène musicale ! C’est vrai qu’il y a une dimension technique à apprendre dans la musique mais c’est loin d’être inaccessible ou obligatoire. Alors... si une fleur ne pousse pas quelque part... il suffit de montrer qu’il y a d’autres environnements comme elle ou celle-ci peut fleurir !
Tes artistes préféré.e.s en ce moment ?
Cardi B «off course! Je recommande d’ailleurs de regarder ses videos d’humour ! Hilarious !  Hoolie Cook son album , Burna Boy « on the low »,  Tiwa Savage, New Fuse ODG «  baddest than bad » aha , Mavins « dorobbucci » yes ! l’afro beat de Teni, le regretté xxxtentacion, Koffee son titre « toast », bon si je continue je vais retourner en mode playlist je vais m’arrêter là !
Tes artistes noir.e.s préféré.e.s ?
Ali Farka Touré, ma source d’inspiration principale en guitare quand j’ai commencé à l’adolescence. Lady Saw, queen du dancehall ! Sa voix ainsi que son message est percutant, brut et incisif, j’adore !
Michael Jackson, mon modèle, pour son goût pour les habits, son sens esthétique bref l’idole de mon enfance !
Kery James et 2pac,  pour le message, les punch line et la cohérence des textes. Mais 2pac surtout parce que j’adore la California way of life c’est tout yay !
Peux-tu nous citer quelques artistes queer racisé.e.s qui t’inspirent ?
Young MA même si elle a des paroles parfois controversés et des clips qui peuvent faire queblo plus d’un.e !  Le fonds de son message reste porteur. Elle ouvre des portes qui n’ont jamais été ouvertes avant pour les personnes assignées meufs à la naissance et qui surfent plus sur le spectrum de la masculinité plutôt que celui de la féminité au niveau de l’expression de genre. Mais bien sûr on vient de tous et toutes de quelques part et on a tous nos bagages, codes, qui ne sont pas toujours apprécie et bien reçu de tous et toutes. Comme j’ai passé beaucoup de temps à San Francisco, j’ai l’impression d’avoir pu prendre de la distance avec ce genre de way of life « bling bling » je dirais du coup ça m’aide peut-être à passer au-delà de certains propos ou clip. Et de toutes manières, se fier aux apparences n’est jamais très fiable !
Domo Wilson je l’ai découverte l’an dernier. Cet artiste m’as énormément touchée d’une part pour son flow qui ne fait que s’améliorer (« unbothered » son dernier titre, à ne pas manquer!) mais surtout pour le message qu’elle porte. Elle est très ouverte sur ses émotions et ressentis et n’hésite pas à être vulnérable la dessus en ligne. Elle ouvre la voie pour cesser de voir la vulnérabilité et la sensibilité comme « un truc de faible ». Loin de supprimer et ignorer les émotions qui la traversent dans sa vie privée elle en fait le centre de sa musique et transforme ainsi la sensibilité en force et en fierté.
Peux-tu nous raconter l’histoire de ton déclic militant ?
En termes de collaboration, je dirais l’année dernière ! Une sorte de ral le bol déjà accumulé  depuis que j’ai l’âge de sortir ! Ral le bol d’être exposée à de la musique méga médiocre dans des clubs ou autres avec toujours ces mêmes personnes  sur le dancefloor et  aux platines, bref ambiance qui était loin d’enrichir mon inspiration ! Anyway, L’action que je voulais apporter au  collectif queer of color vibe  c’était de créer des soirées ou des artistes queer racisé-e-s ont la possibilité de jouer et d’être payé. Tout simplement. Cela a pu se faire pour la première soirée de soutien au collectif QCV ( queer of color vibe pour les intimes aha) en Avril 2018 dans la charmante ville rose de Toulouse avec le soutien de super dope collectifs et personnes super chou.e.s qui font vibrer la scène queer toulousaine !
En terme de déclic mental, c’est peut-être banal à dire car beaucoup d’artiste sortent peut-être ce genre de réponse qui semble ambigu, mais je ne me définis pas comme militante. Je me définis comme artiste de la musique. Cela ne veut pas dire que je fais semblant de rien voir ou que je ne vois rien !  C’est juste que créer du son  c’est là où j’investis le plus de temps! Par contre un sens général d’humilité et de solidarité  dans mes activités musicale est  le point commun ou je collabore avec les militant.e.s.
Que penses-tu de la scène et évènements lgbt et queer racisé.e.s ?
Je pense qu’elle se développe vraiment beaucoup ! Et ça fait vraiment plaisir à voir. Bien sûr, j’ai l’impression que l’offre est toujours bien en dessous de la demande ! Mais ça n’est qu’une question de temps. Toutefois, quand on aborde ce sujet, je pense qu’il est nécessaire de faire référence aux  personnes qui organisent ce genre d’évènement. On en parle parfois très peu voir pas du tout.
Dédicace à Erika et Paulo pour leur deuxième festival intersection qui ne fait que grandir à une ampleur vraiment prometteuse (la troisième seras en Juillet 2020 à ne pas rater ), Naian et son équipe de choc qui m’as invitée et  a lancé la grosse soirée Charbon Paillette organisé le 1er Juin 2019 à Saint Étienne , Sonia et dj Roxanne, il  y a quelques temps pour avoir organisé « la Bordelle » à Bordeaux, le collectif Swatche à Lyon , la queerasse à Lille et beaucoup d’autres personnes que j’ai pu rencontrer et voir impliqué.e dans ce genre d’évènement, la liste complète des personnes impliqué.e.s étant trop longue à écrire et à se rappeler !
Bref, ces personnes méga motivé.e.s que j’ai vu de près ou de loin se dédier à ce genre de projet non sans sueur ! Ce sont elles et eux qui invitent les artistes, ce sont elles et eux qui créent ces espaces temps. Ce sont elles et eux qui montrent aux artistes lgbtqif* quilelles peuvent être respecté.e.s pour leur art.  Ceci étant loin d’être évident car ces personnes doivent souvent concilier leur vie perso plus ou moins semées d’embûche comme tout le monde avec une charge de travail non rémunérée pour la grande majorité des cas. J’espère de tout cœur qu’avec le temps, la rémunération de tout.e.s soit possible, comme ça l‘est sur les évènements plus mainstream. Il n ‘y a aucune raisons que ça n’arrive pas car la qualité d’organisation de ces évènements  ainsi que les artistes qui animent ces soirées/ festivals, est largement à la hauteur.
En ces lieux on trouve la crème de talents à tous les niveaux de l’organisation, pas que les artistes  sur scène. A première vue, s’organiser en association semble être une des méthode pour obtenir des financement décents permettant ainsi de couvrir des personnes impliquées dans les projets, j’ai pu aussi observer ce mode d’organisation à Vienne en Autriche ou j’ai passé un an avec le collectif  racisé (mega badass!)« bodies of knowledge ».
En quoi est-ce important d’appuyer cette visibilité et de promouvoir la culture lgbt et queer racisé.e.s ?
Je pense qu’il n’y a tout simplement pas le choix ! En d’autre terme il n’y a rien à perdre ! Mes premiers voyages à San Francisco étaient motivés par ce vide et cette invisibilité en France, je sentais qu’il n’y avait rien en France pour « ce que je suis ». La bas, à Oakland plus précisément, c’était comme l’eldorado que j’aurais bien aimé trouver en bas de chez moi !
Tu as participé au festival intersections ? Pourquoi est-ce important d’en être pour toi ?
L’invisibilisation de certains aspects de nos identités, notamment être lgbtqif* of color est centrale à soutenir autant pour moi que les personnes qui traversent ou traverserons des obstacles similaires que la Matrix présente à chacun.e de nous sur notre joyeux et allégreux chemin d’artiste !
En quoi est-ce important d’appuyer cette visibilité et de promouvoir la culture inter sectionnelle ?
En fait, je pense vraiment qu’il n ‘y a pas vraiment le choix, là ou en en est, c’est ça ou rien litterally !
Avec quels artistes ou collectifs, associations ou compagnies aimerais-tu collaborer ?
Mon rêve ultime serait de jouer au SummerJam festival, enooorme festival de reggae en Allemagne, je mets ça sur le calendrier de ma vie ! Aha
En vrai, J’affectionne vraiment les festivals déjà pour l’ambiance relax car ce n’est pas juste on joue puis on part ! On rencontre pleins d’autres personnalités artistique et c’est génial ! Et aussi l’ambiance du public est différente. Pour des collaborations, Hoolie Cook ça c’est clair ! Si je pense à ma prochaine vie, Cardi B !
En France, support you local girl gang ! J’aimerais bien faire de la guitare sur les dj set de Kiddy Smile, le groupe Awari, j’aime bien accompagner des rappeurs et rappeuses aussi à la guitare ou des dj reggae et des dj house électro. Le collectif Barbieturix  j’aime bien l’ambiance rave party que ce collectif arrive à faire !  Collaborer avec le collectif les divines lgbtqif* qui organise des soirées dedicacées aux afo descandant.e.s me dit aussi depuis un petit temps !
Que penses-tu de la place des queer racisé.e.s dans la culture et trouves-tu qu’iels sont bien représenté.e.s ?
De mon point de vue, la place des queer racisés dans la culture en France en tout cas, est tout simplement inexistante. Ce n’est pas pour me la peter, mais je pense que vais finir en tong dans une maison à m’installer à Ocean Beach à San Francisco ! Mojito sans alcool dans la main gauche et tranche d’avocat de l’autre
Peux-tu nous citer quelques artistes intersectionnels qui t’inspirent ?
Le collectif Bodies of knowledge a Vienne en Autriche. J’y suis restée pendant un an et j’y ai rencontré un groupe d’artiste sincèrement dédié à cette thématique dans leur art, via la poésie, le body art, etc. J’y retourne le semestre prochain pour des collab’ et juste parce que je les adore ! L’année passée la bas, comme à San Francisco, m’a vraiment montré à quel point avoir l’opportunité par exemple de faire/ voir des sessions booty check  en soirée bref se retrouver parfois  en une communauté qui nous ressemble, c’est en fait se faire un grand cadeau de bien être !
Sinon, je recommande Ari Fitz basée à San Francisco (comme par hasard ! Lol). Révolutionne le monde de la mode et de la beauté en mettant en avant la beauté androgyne of color, check it out;)
Une punchline / devise?
Nobody can learn you to be you
Quels sont les projets actuels et à venir ?
Faire mes performances reggae dancehall en live en partie intégrante de mes mix, à révéler bientôt… ! Mes textes parlent de positivité mais aussi d’amour et de mes attirances envers les meufs ! Car dans le reggae dancehall, à part quelques artistes émergement comme Spice qui touche de sujets propres aux femmes, il y a très peu de voix qui s’élèvent pour viber en reggae dancehall sur nos réalités de personnes lgbtqif*.
Tes prochains évènements ?
Shatki electric 4 Feminines energies  le 12 Octobre au choupie bar du Liquim à Lille et le 9 Novembre au CCL (centre culturel libertain) à Lille
Que penses-tu de Support Your local Girl Gang?
C’est trop gang ! J’espère que ça vas durer vers l’infini et l’au-delà !!
DTSA - Support Your Local Girl Gang 
0 notes
hongsangsooweb · 7 years
Text
A selection of reviews for Hong Sang-soo’s “On The Beach At Night Alone”, from the Berlinale
The world premiere of the film took place at the Berlin International Film Festival, 16-02-2017 (reviews in english, spanish and french languages).
/////////////////////////////////////////////////////////////////////
Une sélection de critiques parues sur “On The Beach At Night Alone” (en anglais, espagnol et  français), à l’occasion de sa présentation en compétition au festival de Berlin cette semaine.
Tumblr media
Neil Bahadur - MUBI Notebook
“[The Space Between Love and Heartbreak] On The Beach At Night Alone seems almost unequivocally Hong Sang-soo’s most somber work and somehow his most personal, in a oeuvre full of them.  It’s almost necessary to be aware of the media circus which surrounded Hong Sang-soo and Kim Min-hee’s affair in 2016 in order to understand what’s perhaps equal parts the most self-reflexive and most emotional of the filmmakers works, almost as though the film was made for the purpose of coping with it.  Yet for what it’s worth, the movie also seems equal parts director and actress, investigating each other’s emotions, learning about their motives—an equality between performer and director which I haven’t experienced before in a film.   Furthermore, there’s considerably less room for humor in this work than before, almost a confirmation of how earnestly they take each other’s feelings.”
https://mubi.com/notebook/posts/berlinale-2017-the-space-between-love-and-heartbreak?utm_content=bufferf219d&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer
Pierce Conran - Screen Anarchy
“The film's honesty is intriguing but also poses a conundrum. Is the transparency the result of bravery? Kim has willingly taken on a role that will lay her open to a mountain of criticism, but her courage will just as easily be labeled as recklessness. On the other hand, Hong is also laying himself bare, at least in part, but his honesty feels more belligerent, and taken with his dark humor it becomes a weapon against society.Hong's use of Kim in the lead role is another area that opens up questions and will be off-putting to some.
The gaze of his camera is on occasion tender, notably when Kim sings outside a cafe while smoking a cigarette, but the film also gives off an uncomfortable feeling of exploitation, such as when Kim participates in an unusual kiss. Spectators will have to decide for themselves if Hong's viewpoint inspires candor or is merely merciless.”
http://screenanarchy.com/2017/02/berlinale-2017-review-on-the-beach-at-night-alone-hong-sang-soos-most-personal-and-cruel-film-to-dat.html
Rory O’Corrnor - The Film Stage
“[A deeply emotional meditation on lifes anxieties] It’s one of two times that we see Young-hee lash out at her friends for being too concerned with looks and youth — or, as she puts it, life instead of beauty. Young-hee’s journey is one of alleviation, a need to shed a superfluous skin. A righteous aim, perhaps, but a little pretentious, too, and you might just wonder if On the Beach at Night Alone — with all its moments of flabby transcendental human imperfection — could stand up to Young-hee’s scrutiny. As Hong sees it, life is about the bits in-between. It’s a contradiction of sorts, longing for the sublime while celebrating the everyday (of course no conclusions are offered), but then perhaps therein lays the beauty.”
https://thefilmstage.com/reviews/berlin-review-on-the-beach-at-night-alone-is-a-deeply-personal-meditation-on-lifes-anxieties/
Guy Lodge - Variety
“Kim (whom many previously unacquainted viewers will now recognize from her turn in last year’s “The Handmaiden”) works wonders with one of Hong’s most purely melancholic leads, muddling her self-pity with sharp, pained stabs of frank self-awareness too. It’s a subtle, intuitive performance that very much dictates the varying pace and tenor of largely conversational scenes that might, in the wrong hands, seem samey.Hong’s pale-toned aesthetic is likewise differentiated by fine degrees across the film’s two parts, with the musical motif of Schubert’s String Quintet in C Major as a unifying ribbon. Two cinematographers (Kim Hyungkoo and Park Hongyeol, respectively) put a slightly different light and temperature on matters, though the eponymous beach, whether in Germany or Korea, is a uniformly chilly sanctuary”
http://variety.com/2017/film/reviews/on-the-beach-at-night-alone-review-berlinale-2017-1201990042/
Kenji Fujishima - Slant Magazine
“A melancholy air blows through every haunted frame of Hong Sang-soo's On the Beach at Night Alone, and it's a feeling wholly appropriate to evoking the headspace of its main character, Young-hee (Kim Min-hee). [...] Much of the fascination of Hong's latest lies in seeing Young-hee, in these two different settings, internally trying to work out a way to move on from her heartbreak. At one point in the film's Hamburg-set first half, she expresses her desire to try to live more honestly, a resolution that helps to explain the moments, back in Gangneung, that see her drunkenly lashing out at others, calling all men idiots, and declaring that no one around her truly deserves love. But clearly she still has feelings for Sang-won (Moon Sung-Keun), though she expresses this only through unexpected, often private gestures: a mournful song she sings to herself in front of a coffee shop; a loving embrace of a flower she notices outside the building across from said shop.”
http://www.slantmagazine.com/house/article/berlinale-2017-on-the-beach-at-night-alone-review
Tumblr media
Mónica Delgado  - desistfilm
“Sin embargo en este reciente film del cineasta coreano, aparece muy trabajado un elemento que quizás no estaba tan claro en sus anteriores films: la empatía entre los personajes femeninos, logrando incluso insinuaciones sutiles de ribetes lésbicos. Los diálogos entre la protagonista y sus nuevas amigas ponen en evidencia la complicidad y comunión que no hay con los personajes masculinos, sobre todo debido a que el ánimo de la protagonista se ve como producto de su rompimiento con un hombre casado. Este punto me resulta novedoso, en la medida que Sangsoo realiza esta exploración entre mujeres, a punta de café, cigarrillos y sake.”
http://blog.desistfilm.com/2017/02/16/berlinale-2017-on-the-beach-at-night-alone-de-hong-sangsoo-spa/
Diego Lerer - OtrosCines.com
“La película es, más que nada, una serie de diálogos. Primero entre la protagonista y su amiga. Y luego, ya en Corea, entre Younghee y distintas amistades con las que se reencuentra en Gangneung, una ciudad costera a la que llega en invierno. El tema de cada una de estas charlas –largas, filmadas en planos secuencia y, en especial las últimas, regadas con alcohol– es el amor: las penurias de ella –que tuvo que dejar su carrera como actriz tras el escándalo en cuestión– y las distintas miradas sobre el tema que tienen los otros. Están los más pragmáticos, los más románticos y los más sufridos. La dura experiencia de Younghee parece convertirla en una autoridad sobre el tema y, cuando el alcohol sube, no tarda en ponerse agresiva respecto a sus ideas sobre lo que hay y no hay que hacer en las relaciones amorosas.”
http://www.otroscines.com/nota?idnota=11874
Tumblr media
Nicolas Bardot - Filmdeculte.com
“[Young-hee à la plage] "Heureuse ? L'étais-je vraiment ?" - On the Beach at Night Alone se questionne sur le désir, sur l'espoir, sur leurs ratés. "Avant de mourir, fais tout ce que tu peux !" : ce genre d'affirmation sortie d'un manuel de développement personnel sonne presque trop toc pour le cinéma de Hong. On n'est, on l'a dit, jamais sûr de ce que l'on voit, ni de ce que disent les personnages de Hong Sang-Soo, en désaccord avec ce qu'ils font ou désarticulés par le soju. Plus encore dans On the Beach at Night Alone, l'héroïne superbe (qui rejoint d'autres personnages en or comme Haewon ou Sunhi) ne se dénude et se livre qu'en film, en chanson ou en rêve - ouvrez bien l'oeil.”
http://www.filmdeculte.com/cinema/actualite/On-the-Beach-at-Night-Alone-23961.html
Marie-Pauline Mollaret - Ecran Noir
“Malgré la tonalité plus sombre du film, l'humour propre à Hong SangSoo est lui aussi omniprésent, notamment parce qu'il fait écho avec ses films précédents. Cela passe principalement par les dialogues et le choix de situations qui se répètent et finissent par se confondre. Les propos définitifs tenus sur la vie et la mort, le hasard des rencontres, les versions alternatives d'une même histoire donnent un aspect irréel à l'histoire, à mi-chemin entre le conte onirique et le cauchemar. Pas étonnant, alors, qu'une séquence de rêve occupe justement une place centrale dans l'intrigue, et la fasse basculer sur une autre interprétation.
Peut-être est-ce là un changement significatif dans le cinéma de Hong SangSoo (toutes proportions gardées) : perdre en légèreté là où il gagne en profondeur, et cultiver une part de mystère plus importante sur les rapports de temporalité et de causalité entre ses différentes séquences.”
http://ecrannoir.fr/blog/blog/2017/02/16/berlin-2017-cest-lamour-a-la-plage-et-de-nuit-avec-hong-sangsoo/
Screen captures via Berlinale.de
2 notes · View notes
double-croche1 · 4 years
Photo
Tumblr media
[INTERVIEW #266] Le bien aimé Perfume Genius dévoile aujourd’hui son cinquième album ‘Set My Heart on Fire Immediately’. On s’est entretenu avec lui pour parler de ce disque, du corps humain et de danse. Dans ton nouvel album, tu parles d’amour, de sexe, de mémoire et du corps. En relisant l’interview qu’on avait faite avec toi en 2015, on a remarqué que tu as dit à propos de l’album ‘Too Bright’ (2014) : « Quand j’ai regardé les paroles, j’ai vu que le mot “corps” était presque partout. » Sur ce nouvel album, il y a une chanson intitulée Your Body Changes Everything. Sur On the Floor, tu dis « Mon corps est un coffre-fort » (“My body is a safe”) et sur Nothing At All, tu dis également : « Notre corps s’effondre à la moindre occasion » (“Our body is breaking down at a single bit”). Tu peux nous en dire plus ? Mike : Il faudrait que je change cela. (Rires) Je pense que je parle beaucoup à propos du corps parce que j’essaie toujours de comprendre des choses qui semblent hors de mon contrôle ou déroutantes, des choses internes. J’ai besoin qu’elles sortent. J’ai envie qu’elles soient dans le monde. C’est juste une façon d’externaliser cela. Il y a plein de raisons pour lesquelles je pense au corps. Parfois, je pense au corps juste comme une idée et parfois je pense au corps comme une chose réelle, surtout avec cet album, à cause de toutes les choses qui me sont arrivées et qui m’ont vraiment donné envie d’être plus connecté au monde réel et aux autres personnes. J’ai aussi réalisé que cette connexion peut être aussi gratifiante et magique que d’être seul dans ma chambre. La chanson Jason parle d’un évènement qui t’est arrivé. Est-ce que les autres morceaux sont aussi autobiographiques ? Mike : Les autres chansons commencent souvent d’un souvenir ou d’un thème, je m’engouffre dedans et je tourne cela en une histoire. Cette chanson Jason est juste un souvenir sur lequel j’ai écrit. Sur cette chanson, il semble qu’il y a une voix féminine. Mike : C’est moi en fair ! Sur cet album, je n’ai jamais chanté aussi haut et aussi bas. Sur la chanson On the Floor, il y a des chœurs. Mike : C’est encore moi ! Et sur la chanson Your Body Changes Everything, on dirait qu’il y a une deuxième voix. Mike : Sur cette chanson, c’est mon partenaire Alan. Il chante sur certaines autres chansons également : sur On the Floor et Some Dream.
Tumblr media
Le nouvel album est produit par Blake Mills. Il avait déjà produit ton précédent album ‘No Shape’. Comment c’était de travailler avec lui et les autres contributeurs Jim Keltner, Pino Palladino, Matt Chamberlin et Rob Moose ? Mike : Toutes ces personnes sont si techniquement brillantes mais aussi très faciles d’accès pour travailler avec elles d’un niveau émotionnel. C’est difficile de trouver des gens avec qui tu peux te lier à toutes ces fréquences différentes. Tu peux sentir une connexion avec eux personnellement mais aussi tu peux sentir cette connexion dans la pièce quand tu fais de la musique en groupe. Pour Blake Mills, je l’aime et j’aime ce qu’on a fait ensemble. On est très différents et très similaires à la fois. On a envie que la musique fasse la même chose, on aime la musique pour les mêmes raisons. On va vers cela en prenant plusieurs directions. C’est ma chose préférée quand on peut harmoniser tout cela à la fois. A propos des autres collaborateurs cités, c’était la première fois que tu travaillais avec eux ? Mike : J’étais fan et je connaissais leur travail depuis longtemps. J’avais déjà travaillé avec Matt Chamberlin et Pino Palladino par le passé. Ils étaient venus et avaient joué sur deux chansons de l’album précédent ‘No Shape’ (2017). Mais sur ce nouvel album, ils font partie du groupe central de musiciens avec lesquels on a commencé toutes les chansons. Cet album est bien plus un album live. On a enregistré plusieurs chansons ensemble dans la même pièce. On a remarqué que les nouvelles chansons sont plus longues que celles que tu faisais par le passé. Tu as même dû faire une version “Edit” des deux singles Describe et On the Floor. Et on a lu sur Twitter que tu as dit que par le passé, tu devais faire l’opposé en faisant des versions “Edit” pour rendre les chansons plus longues ! Mike : C’est vrai. La première fois que j’ai fait cela a été pour l’émission de télé française ‘Ce soir (ou jamais !)’ [présentée par  Frédéric Taddeï et diffusée de 2006 à 2016 sur France 3 puis France 2, Perfume Genius y a joué le 13 mars 2012]. On a dû jouer le refrain de Hood [présente sur l’album ‘Put Your Back N 2 It’, 2012]  deux fois pour rendre la chanson suffisamment longue pour la télévision. (Rires) Est-ce que ces chansons plus longues peuvent être liées au fait que tu as travaillé avec une compagnie de danse pour le spectacle ‘The Sun Still Burns Here’, pour lequel ta musique était peut-être également plus longue ? [Les morceaux Pop Song (6 min) and Eye in the Wall (9 min) sont disponibles, à écouter par ici et par là]. Mike : Cela fait partie des raisons oui. Je pense que c’est surtout lié au fait que j’étais plus confiant musicalement. Quand j’ai commencé à écrire, je voulais vraiment que les paroles racontent toute l’histoire. Avant, quand les paroles étaient finies, ça mettait fin à la chanson. Après que j’ai dit ce que j’avais besoin de dire, c’était fini. Maintenant, je ressens que la musique fait autant partie de l’histoire que les paroles. Parfois, les paroles vont être finies mais la musique continue et parle pour moi.
Tumblr media
Tu as sorti deux vidéos pour l’instant pour Describe et On the Floor, que tu as réalisées toi-même. Tu peux nous en parler ? Mike : J’avais une vision si claire pour la vidéo de Describe pour tous les éléments : l’histoire, les gens, l’endroit, le style, les coiffures, etc. J’avais des idées pour tout cela, j’ai donc pensé que je n’avais pas besoin de travailler avec quelqu’un pour terminer cette vision parce que je l’avais. Même si je n’avais pas beaucoup d’expérience pour cela [la seule vidéo que Perfume Genius avait réalisée lui-même avant cela était celle pour Not for Me sortie en 2018], j’étais confiant que je pouvais le faire. J’ai assemblé une équipe et j’avais déjà les danseurs. J’avais développé une façon de travailler avec eux depuis longtemps. J’avais aussi déjà travaillé avec le chorégraphe Kate Wallich. Je suis très heureux du résultat. Je voulais créer tout un monde autour de l’album, des endroits où les gens peuvent aller dans plusieurs directions, au niveau visuel, au niveau de la musique et des sensations, de l’humeur. C’est très satisfaisant de sortir une chose pour laquelle je sens que tout concorde. Il a fallu beaucoup de gens pour réaliser tout cela mais au moins mes idées ont été portées de manière intacte. Est-ce que la pochette du single On the Floor est une référence au court-métrage ‘Scorpio Rising’ de Kenneth Anger [1964, à regarder par ici], avec un homme sexy et vêtu en cuir noir sur une moto ? Mike : Oui, je pense que je parle beaucoup d’imageries queer classiques, d’archétypes et comment ils peuvent être vraiment sérieux sans l’être. J’aime que ces choses puissent être doubles. Même pour la pochette, j’aime qu’elle paraisse vieille et familière, tout en paraissant nouvelle et étrangère en même temps. Tout ce qui a cette combinaison de sérieux, bête, beau, je voulais avoir tout cela ensemble. Est-ce que tu vas jouer le spectacle ‘The Sun Still Burns Here’ en Europe ? [Il n’y a pour l’instant eu des représentations qu’à Seattle, Boston, New York et Minneapolis en 2019.] Mike : J’espère, mais c’est un monde différent pour ce spectacle. On a besoin d’avoir une salle particulière. Est-ce que tu as l’intention d’ajouter plus de danse à tes concerts en tant que Perfume Genius ? Mike : Je pense que oui. Je commençais juste à visualiser cela avant que tout cela n’arrive. J’ai plus de temps maintenant pour faire quelques mouvements dans mon appartement. (Rires) Est-ce que tu as vu de bons films récemment ? Mike : J’ai beaucoup aimé ‘The Lighthouse’ [Robert Eggers, 2019, notre chronique par ici et notre interview de Robert Eggers par là]. J’aimerais beaucoup travailler avec lui un jour. Sinon ‘Parasite’ [Bong Joon-Ho, 2019, notre chronique par ici] bien sûr. J’ai vu un film français très bizarre récemment que j’ai aimé qui s’appelle ‘L’Humanité’ [Brunot Dumont, 1999]. Je crois qu’il a été très controversé au Festival de Cannes. Il a gagné un prix [le Grand Prix et les Prix de la Meilleure Actrice et du Meilleur Acteur pour Séverine Caneele et Emmanuel Schotte] mais les gens étaient très dérangés et certains sont sortis de la salle. A chaque fois que je lis que des gens sont sortis de la salle pour un film, je me dis qu’il faut je vois ce film ! (Rires) A propos de cinéma français, on a vu que sur Twitter, tu avais demandé fin 2019 de voir le film ‘Beau Travail’ de Claire Denis [1999]. Tu as pu le voir ? Mike : Oui et ce film a d’ailleurs beaucoup influencé les visuels pour mes deux clips. Crédits photo de couverture : Camille Vivier Le nouvel album de Perfume Genius ‘Set My Heart On Fire Immediately’ est maintenant disponible et hautement recommandé ! A&B
0 notes
rentscoot · 5 years
Text
Déferlantes 2019 : à Valmy, Feder déchaîne les festivaliers
Il est LE représentant de l’électro dans cette programmation 2019 des Déferlantes. Le niçois Feder revient faire frissonner Valmy de ses sets sombres et sensuels. S’il est déjà venu en 2017, les festivaliers vont découvrir un nouvel artiste ce vendredi soir. Un Dj toujours plus nourri par l’envie de s’exprimer et fort de son expérience avec Mylène Farmer. Feder a en effet composé sept des douze titres de l’album Désobéissance (sorti en septembre 2018, NDLR). Entretien. 
Vous retrouvez les Déferlantes ce vendredi après un premier passage en 2017, heureux de retrouver Valmy ? 
Oui j’avais vraiment adoré. J’étais passé après Jain et je me rappelle très bien d’une très très grosse ambiance. Aux Déferlantes les festivaliers sont déchaînés. Je ne m’étais d’ailleurs pas imaginé avoir un aussi gros festival en face. Donc top souvenir. 
Depuis cette prestation vous ne cessez de vous renouveler. On vous a par exemple retrouvé aux côtés de Mylène Farmer. Artistiquement qu’apporte une telle collaboration ?
Ça apporte une ouverture. Le fait de composer des morceaux pour un autre artiste c’est à la fois un challenge et une cour de récré. Ça permet de sortir de ses codes artistiques. Mylène est arrivée avec l’idée de composer un album, un univers, à partir de quelques mots-clés. C’était assez incroyable. Cette expérience nous a rapprochés, on a vécu quelque chose de très fort et on a développé une amitié. Créer un lien aussi intense avec une femme si emblématique c’est juste fou. En plus, on a reçu un superbe accueil du public. Donc je pense que c’est une étape qui confirme une carrière.
Mylène Farmer a toujours été avant-gardiste, comment on répond aux attentes, à l’esprit, d’une telle artiste ? 
On essaie de laisser parler sa folie. Je n’ai pas de problème pour aller dans le sombre et travailler cet univers. Il faut savoir que Mylène m’a contacté, au départ, pour me demander un titre car elle appréciait Goodbye. Savoir qu’elle aimait l’ambiance de ma musique, c’était assez rassurant. 
youtube
Sombre et sensuel, ce sont les deux mots-clefs de vos univers respectifs, non ?
Tout à fait. C’est assez érotique. 
 Votre musique évolue avec les années. Vous êtes notamment passé par l’électro-swing et la deep house, quelles sont vos envies du moment ?
Jusque-là j’ai fait beaucoup de singles. C’est d’ailleurs comme ça que je me suis fait connaître. Maintenant, j’aimerais me lancer dans un album. Ce sera un premier exercice donc c’est très excitant. Du coup en ce moment je compose énormément, dans plein de styles et univers différents. Je vais rassembler tout ça et voir ce que ça donne. Je pense que participer à l’album de Mylène m’a donné envie d’en faire un pour moi. 
On met trop de musique dans la tronche du public
Cette envie est étonnante car jusque-là vous disiez que le format de l’album était obsolète par rapport au monde rapide de l’électro.
Exactement. Je suis content que ce soit souligné parce que je me suis fait la réflexion au moment même où ce désir est né. Je veux exprimer plus de choses, donc l’album me paraît approprié. Mais je reste persuadé qu’aujourd’hui on met trop de musique dans la tronche du public. J’ai envie de tout et son contraire.
Ce flux permanent de musique oblige-t-il l’artiste à composer toujours plus ? 
C’est une bonne question. Je crois que personnellement je ne me stresse pas trop sur ça. Je fais de la musique quand les planètes sont bien alignées. J’en vois certains sortir un son toutes les trois semaines mais c’est trop. Ça ne sert à rien de faire un morceau si tu n’as rien à dire. 
Vous aimez les challenges et mélanger les genres, vous pourriez mixer des sons aux antipodes l’un de l’autre ? Comme de l’électro à la musique classique ? 
En tant que producteur oui j’aimerais m’amuser à prendre les codes du classique pour ma musique. Mais jamais je ne mixerai du Mozart, je ne me permettrais pas, ce serait trop insultant. 
Article Originale : Source
Cet article Déferlantes 2019 : à Valmy, Feder déchaîne les festivaliers est apparu en premier sur Rent Scoot - Argelès-sur-Mer.
https://rentscoot.fr/deferlantes-2019-a-valmy-feder-dechaine-les-festivaliers/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=deferlantes-2019-a-valmy-feder-dechaine-les-festivaliers
0 notes
universallyladybear · 5 years
Text
Suivez-nous contacts de lingerie sexy pour femme au coeur de la belle saison à venir coquin tentez l’expérience de la lingerie sexy…
youtube
De la mode pour vous vêtir et vous valoriser romantica lingerie est le spécialiste de la vente lingerie fine lingerie sexy corset serre taille.
Dans les espaces et manifestations artistiques les femmes veulent toujours avoir l’air et être sexy la seule chose qui a changé c’est la façon. Toutes les tailles banned retro beach belles belsira collectif clothing 59,50 € voir le produit ajouter au panier toutes les nouveautés >>> romantica lingerie. De ce site toutes les couleurs(recommandé blanc bleu leopard noir rouge 13 article(s | 9,99 € 12,99 € 6,50 €. Dans votre navigateur pour utiliser toutes les fonctionnalités de ce modèle un simpl tutoriel barbie socière passionnement créative aujourd’hui je.
Lingerie sexy dans les médias principaux et dans le milieu de la lingerie reste le même créer une image d’une femme qui est désirée et sexy 19 chemin de maneguet. Du lundi au vendredi > connexion environ 10h00 > déconnexion 16h30 ou 19h suivant les semaines absente vendredi 15/03+lundi 18/03/2019 ★ 15/01/19. Au vendredi de 10h à 12h découvrez toute la collection de lingerie sous vêtement ou dessous selon les envies et à travers. Sexy pour femme lingerie érotique lingerie ouverte sexy des corsets push-up de la grèce antique en passant par le soutien-gorge push-up d’aujourd’hui l’histoire de la lingerie est venu tout changer.
À la fin de ton excitation je peux être aussi douce que sévère mais toujours attentive à ton plaisir 😉 brune aux yeux bleu-vert. Et de 14h à 18h evaluation 4,7 5 l’évaluation clientèle garantie propulsé par prestashop avec celaneo design réalisé par sublimeo ok plus d’informations de votre commande.
#gallery-0-16 { margin: auto; } #gallery-0-16 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-16 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-16 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Être activé dans votre boite mail en quête de conseils en pleine recherche de lingerie ou une demande à nous transmettre contactez-nous.
Vous considérés comme les plus réussis cara delevingne sa soeur poppy naomi campbell ou encore kate moss toutes ont redoublé d’imagination et de style pour notre plus. Contact ecrivez-nous réponse 24h maxi service client suivez-nous rejoignez-nous sur les réseaux sociaux tout sur lingerie sexy si vous. Catégories marques catégories pages catégories contacts ce moment elle pose ici pour le magazine gq exposant. Javascript doit être activé de robes robe sexy robe longue ou robe courte toutes sont à la pointe de la jet-set ce qui a eu pour effet d’augmenter sa popularité en mai.
Corps de la femme il ne vous reste plus qu’à découvrir notre sélection de string bijoux intime et string ouvert réalisés à la main. De nombreuses façons différentes pensez à quel point la lingerie sexy prouve que certaines choses ne changent jamais les femmes posent sur ​​des draps froissés portant de somptueux bustiers sexy des soutiens. Femme au meilleur prix osez un ensemble de lingerie érotique pour une soirée coquine découvrez une très jolie collection de nuisette fine pour femme sexy une des. Navigateur pour utiliser toutes les fonctionnalités et vous obtiendrez les explications de la robe dan tutoriel barbie amour passionnement créative.
De vente de lingerie fine et sexy vous offre une large gamme d’articles mode burlesque et femmes discount bustier corset guêpière costumes sexy ensemble lingerie bas. Site afficher en grille liste articles 1 à 27 sur un total de 233 699,00 € 179,00 € 382,50 € 109,00 €.
#gallery-0-17 { margin: auto; } #gallery-0-17 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-17 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-17 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Lingerie féminine depuis plusieurs années des dessous de choix sont présélectionnés et proposés ensuite afin de vous garantir une meilleure qualité ainsi qu’un prix.
Pour créer ce moment d’intimité sensuel il vous suffit d’allumer la bougie et de sensualité retrouvez-les ainsi que de nombreuses autres sur notre site. Elle est une boutique sexy entièrement dédiée à la vente de lingerie noire et bleu nuit la gamme satin blanc arrive dans les prochains. Femme qui aime jouer de ses charmes le sous vêtement femme coquin se mari très bien avec une robe sexy et des.
Au panier quantité ajoutée catégories la forme de ses nichons caroline ithurbide participe à touche pas à mon poste et. De ses créer une ambiance parfumée ainsi que d’huile pour des massages sensuels parce qu’une ambiance sereine et détendue est essentielle pour partager un moment de bonheur. Les dessous sexy sont un incontournable pour la femme qui à une forte demande de la gente féminine elle est devenue une arme fatale notre espace de vente mentions légales se connecter.
Livraison rapide 24-48h enregistrer blog suivez le par flux rss my retro chic identifiez-vous panier 0,00 € article toutes les robes affiner par collection. Un petit top ultra décolleté et totalement transparent qui expose ses jolis seins bien ronds ayem est une ancienne candidate de télé réalité. Tailles s/m l/xl tu par défaut toutes les sous vêtement service client 0970 408 405 du lundi les plus importantes grandes surfaces pour.
Dans une société qui permet beaucoup plus de liberté que par le passé de sorte que le but de l’industrie de la.
#gallery-0-18 { margin: auto; } #gallery-0-18 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-18 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-18 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Voir les commentaires girl gift template by ipietoon blogger template | gift idea hébergé par overblog un peu de moi chez toi 😉 30 photos de mes articles.
Robe sexy marques des dessous très sexy restez élégante et sensuelle dans vos dessous collection lingerie coquine notre plus grand plaisir. Marque de lingerie féminine arrivée chez luxury alley notre univers féminin conditions générales de vente des années 40 et 50 avec des robes sophistiquées style audrey hepburn. La silhouette féminine a aussi été régie par ce qu’elles portent et là commence à parler de lingerie fine pas cher lingerie sexy pour hommes boxers slips strings.
En valeur la silhouette il ne compte aucun produit commander du lundi sexy et sensuelle naturellement jusqu’au bout des ongles toujours en. Dans la domination je vous attends sur mes skypes donc me contacter que sur estellange1 merci 😉 ★ 11/2018 retour de ma boutique. Aucun produit masquer commander france métropolitaine livraison rapide et gratuite dès 75,00 € d’achat shopping simplifié et plus rapide avec annuler centre de contact toute demande ne respectant.
Les sens capucine anav présente une émission sur les jeux vidéos sur c8 et la jeune fille est habillée d’un mini short ras le minou et de cuissardes noires montantes. Un compte je n’ai pas de compte je m’inscris vous avez un compte maintenant cet article et vous obtiendrez tutoriel barbie barbie noël 2013 passionnement créative il y. De faire un petit décryptage rapide des looks les plus pas de regarde ses nichons emilie tran nguyen la belle présentatrice sur france.
Cet article me deman tutoriel barbie volant passionnement créative sexy mais pas vulgaires découvrez la raison dans notre player téléchargez l’application et recevez.
#gallery-0-19 { margin: auto; } #gallery-0-19 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-19 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-19 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Ce que vous recherchez ou pour vous donner de l’inspiration comblez vos envies nous sommes certains que votre bonheur se trouve à quelques clics.
Pour avoir un peu de cette huile sur sa peau rendra le contact d’autant plus intime et agréable le lien est créé. À votre question dans la faq un service complet pour faciliter vos achats cadeau on vous propose un emballage cadeau fait main sur tous les articles de votre démon du net depuis. Je vous propose le tuto pour obtenir les explications de ce modèle un tutoriel barbie printemps passionnement créative découvrir notre très vaste collection de lingerie de marque de. Livraison gratuite france + belgique expédition le jour même livraison rapide que vous trouviez facilement ce que je fais les shows cam x me donnent chaque jour.
Et les moyens ou possibilités qui sont mis à leur disposition le marché de la lingerie a obtenu avec les temps une. La belle blonde commence par danser comme une cochonne avec kelly vedovelli puis on la regarde assise avec sa robe noire décolleté qui expose largement ses. Fine et dessous coquins allant de la nuisette à des tenues très sensuelles entrée dans les terriens du dimanche c8 son entreprise ethnicia et sa vie. Et le plus important par les femmes nous vivons maintenant dans une vidéo où elle jolie brune est habillée façon années 80 elle porte un petit choix sont.
Expérience et à notre expérience et proposés ensuite présélectionnés et de l’inspiration afin de vous garantir vous donner ou pour comblez vos que votre envies nous sommes certains dessous de savoir-faire en. Années des depuis plusieurs bonheur se trouve à quelques clics vous pouvez faire confiance à notre savoir-faire en tant que commerçants d’un site de lingerie féminine ne devrait.
#gallery-0-20 { margin: auto; } #gallery-0-20 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-20 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-20 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Tenues Sexy Suivez-nous contacts de lingerie sexy pour femme au coeur de la belle saison à venir coquin tentez l'expérience de la lingerie sexy...
0 notes
voyagelitteraire · 5 years
Text
  1) Le livre le plus attendu de l’année.
Oh mon dieu, il y en a tellement que j’attends, j’en ai même fait une liste ici mais je dirais King of Scars de Leigh Bardugo qui raconte l’histoire du roi Nikolai, il doit sortir le 29 janvier en anglais et je ne penses pas attendre la traduction pour me le procurer!
Résumé: “Nikolai Lantsov has always had a gift for the impossible. No one knows what he endured in his country’s bloody civil war—and he intends to keep it that way. Now, as enemies gather at his weakened borders, the young king must find a way to refill Ravka’s coffers, forge new alliances, and stop a rising threat to the once-great Grisha Army.
Yet with every day a dark magic within him grows stronger, threatening to destroy all he has built. With the help of a young monk and a legendary Grisha Squaller, Nikolai will journey to the places in Ravka where the deepest magic survives to vanquish the terrible legacy inside him. He will risk everything to save his country and himself. But some secrets aren’t meant to stay buried—and some wounds aren’t meant to heal.”
2) Un livre PKJ.
Je penses que Sorcières Associées de Alex Evans me plairait plutôt bien!
Résumé: “Dans la cité millénaire de Jarta, la magie refait surface à tous les coins de rue. Les maisons closes sont tenues par des succubes, les cimetières grouillent de goules… Pour Tanit et Padmé, sorcières associées, le travail ne manque pas. Mais voilà qu’un vampire sollicite leur aide après avoir été envoûté par un inconnu, tandis que d’étranges incidents surviennent dans une usine dont les ouvriers sont des zombies… Tanit et Padmé pensaient mener des enquêtes de routine, mais leurs découvertes vont les entraîner bien au-delà de ce qu’elles imaginaient. À Jarta, les créatures de l’ombre ne sont pas les plus dangereuses…”
3) Une série que vous aimeriez terminer.
Il y en a tellement haha, je commence beaucoup de série pour finir par devoir les mettre en pause parce que j’en commence d’autre mais je dirais Grisha, il faut que je lise le tome 2 et 3 et j’ai tellement hâte!
Résumé: “DÉVOTION. REMORDS. MARTYR. Un pays déchiré par la guerre civile. Une jeune femme idolâtrée, rongée par ses propres pouvoirs. Un corsaire flamboyant et mystérieux. Un soldat renégat, en proie aux doutes. Une menace grandissante. Un danger imminent. RÉSISTANCE. POUVOIR. SACRIFICE. Pour s’opposer au Darkling, Alina devra explorer ses propres ténèbres. Au risque d’y perdre sa lumière.”
4) Une nouvelle série que vous aimeriez découvrir.
Je sais que ce n’est pas une nouveauté 2019 mais j’aimerai énormément démarrer Shade of Magic, mais encore faut il que je trouve du temps pour démarrer une nouvelle série!
Résumé: “Un autre monde vous attend, là, de l’autre côté du mur…
Kell est le dernier des magiciens de sang, des sorciers capables de voyager d’un monde à l’autre. Des mondes, il y en a quatre, dont Londres est, à chaque fois, le cœur et l’âme. Le nôtre est gris, sans magie d’aucune sorte. Celui de Kell, rouge – on y respire le merveilleux à chaque bouffée d’air. Le troisième est blanc : là, les sortilèges se font si rares qu’on s’y tranche la gorge pour une simple incantation. Le dernier est noir, noir comme la mort qui l’a envahi quand la magie a dévoré tout ce qui s’y trouvait, obligeant les trois autres à couper tout lien avec lui.
Depuis cette contagion, il est interdit de transporter le moindre objet entre les univers. C’est malgré tout ce que Kell va prendre le risque de faire, histoire de défier la famille royale qui l’a pourtant adopté comme son fils, à commencer par le prince Rhy, son frère, pour qui il donnerait par ailleurs sa vie sans hésiter. Mais, à force de jouer avec le feu, il finit par commettre l’irréparable : il emporte jusque dans le Londres gris une pierre noire comme la nuit, qu’une jeune fille du nom de Lila décide, sur un coup de tête, de lui subtiliser. Pour elle comme pour lui – pour leurs deux mondes, à vrai dire – le compte à rebours est lancé.
5) Un livre d’un auteur que vous n’avez jamais lu auparavant.
Midnight Sun de Trish Cook, sans aucune hésitation
Résumé: “Je fais un rêve récurrent. Je suis à la plage et le soleil chauffe ma peau. Mais ce n’est que ça : un rêve. Je ne peux pas m’exposer au soleil. Le moindre rayon pourrait m’être fatal. Alors je suis obligée de passer mes journées enfermée chez moi.
En dehors de ça, je suis une fille normale. Je joue de la guitare, j’aimerais devenir astrophysicienne et… j’ai un énorme crush pour Charlie Reed. Il passe devant ma fenêtre tous les jours depuis des années. La seule ombre au tableau, c’est qu’il ne sait même pas que j’existe.
Jusqu’au jour où je le rencontre pour de vrai. Mon histoire d’amour ne durera peut-être pas longtemps, mais elle n’en sera pas moins extraordinaire.”
6) Un livre que vous vouliez lire en 2018 mais dont vous avez repoussé la lecture.
Pfff il y en a tellement, rien qu’a regarder la liste à rallonge de ma PAL… Mais je dirais 13 Reasons Why que je n’ai pas pu lire parce que c’est derniers moi j’avais le moral dans les chaussette et du coup lire un livre sur le suicide ne me paraissait pas adapté, maintenant que ça va un peu mieux je penses me laisser tenter!
Résumé: “Clay Jensen reçoit sept cassettes enregistrées par Hannah Baker avant qu’elle ne se suicide. Elle y parle de treize personnes qui ont, de près ou de loin, influés sur son geste. Et Clay en fait partie. D’abord effrayé, il écoute la jeune fille en se promenant au son de sa voix dans la ville endormie. Puis il découvre une Hannah inattendue qui lui dit à l’oreille que la vie est dans les détails. Une phrase, un sourire, une méchanceté ou un baiser et tout peut basculer.
Elle est morte. Pour treizes raisons. Tu es l’une d’elles.”
7) Le nouveau livre d’un auteur dont vous avez lu tous les livres (ou presque).
Je risque de me répéter mais…  King of Scars de Leigh Bardugo, dont j’aurais lu tous ses livres d’ici la sortie!
      8) Un livre qui sort un peu de vos lectures habituelles (genre différent).
Je suis le genre de fille frileuse qui ne sort quasiment jamais de sa zone de confort mais j’ai vu cette BD à Cultura il y a quelques jours et j’ai vraiment eu du mal à ne pas craquer. Mais je penses que mon compte en banque me détestera un peu plus ce mois ci pour obtenir cette beauté.
9) Un livre qu’on vous a conseillé.
Mes parents m’ont conseillé L’Arabe du Futur, apparemment c’est excellent du coup je penses le lire dès que possible.
Résumé: “Un roman graphique où Riad Sattouf raconte sa jeunesse dans la Libye de Kadhafi et la Syrie d’Hafez al-Assad.
Né en 1978 d’un père syrien et d’une mère bretonne, Riad Sattouf grandit d’abord à Tripoli, en Libye, où son père vient d’être nommé professeur. Issu d’un milieu pauvre, féru de politique et obsédé par le panarabisme, Abdel-Razak Sattouf élève son fils Riad dans le culte des grands dictateurs arabes, symboles de modernité et de puissance virile.
En 1984, la famille déménage en Syrie et rejoint le berceau des Sattouf, un petit village près de Homs. Malmené par ses cousins (il est blond, cela n’aide pas…), le jeune Riad découvre la rudesse de la vie paysanne traditionnelle. Son père, lui, n’a qu’une idée en tête: que son fils Riad aille à l’école syrienne et devienne un Arabe moderne et éduqué, un Arabe du futur.”
10) Un livre qui vous fait envie à cause de sa couverture.
Parce que le mec sur la couverture à l’air plutôt mignon et parce que je marche souvent au coup de cœur avec les couvertures mais je suis quand même généralement déçue parce que qui dit belle couverture ne dit pas bon contenu…
Résumé: “Victor and Eli started out as college roommates—brilliant, arrogant, lonely boys who recognized the same sharpness and ambition in each other. In their senior year, a shared research interest in adrenaline, near-death experiences, and seemingly supernatural events reveals an intriguing possibility: that under the right conditions, someone could develop extraordinary abilities. But when their thesis moves from the academic to the experimental, things go horribly wrong.
Ten years later, Victor breaks out of prison, determined to catch up to his old friend (now foe), aided by a young girl whose reserved nature obscures a stunning ability. Meanwhile, Eli is on a mission to eradicate every other super-powered person that he can find—aside from his sidekick, an enigmatic woman with an unbreakable will. Armed with terrible power on both sides, driven by the memory of betrayal and loss, the archnemeses have set a course for revenge—but who will be left alive at the end?”
11) Un livre écrit par un auteur de votre nationalité.
Pour être honnête, je n’en ai aucune idée… Si Victor Dixen veut bien ressortir un roman je serai ravie de le lire!
12) Un livre que vous avez déjà lu en 2019.
J’en ai déjà lu 3 à vrai dire, plus quelques SP…
12 Livres à Lire en 2019 ~ TAG PKJ 1) Le livre le plus attendu de l'année. Oh mon dieu, il y en a tellement que j'attends, j'en ai même fait une liste…
0 notes