#la meilleur fin

[88ecoamiraty]

La fin d’une série ou d’un film

Je me demande pourquoi ont s’attend toujours à ce que la fin d’une série ou d’un film soit le meilleur moment;  alors que souvent ont est déçues, c’est probablement parce que les gens ont de moins en moins d’imagination pour écrire la fin, soit c’est une fin trop inattendu qui cause des déceptions et surtout perturbe, soit c’est une fin trop prévisible et qui ennuie.

Il faut idéalement une fin Bien écrite c’est à dire peut être avec à la fois des évènements attendus par les spectateurs mais à la fois des surprises qui rendent le tout intéressant; que ce soit une fin heureuse ou une mauvaise fin. Surtout  : Mieux vaut un cliché bien écrit que quelque chose d’original et de mal écrit.

il serait bien que les écrivains trouvent une bonne idée de fin qui mettent le spectateur ravie et détendu et non une fin trop frustrante ou faite à l’arrache, le principale est qu’elle bien écrite et travaillée, et intéressante oui car quand on fini une série ou un film il est mieux que cette fin si attendu soit parfaite et qu’elle soit mémorable et nous aide à nous détachés sainement de tout ça à la fois =) !!! voilà voilà.

Donc je dirait que une fin qui se laisse deviné tout en étant inattendu est l’idéale. Mais je serait ravie d’avoir l’avis des intéressés !

#La fin d'une série ou d'un film #pourquoi on s'attend toujours à ce que la fin soit le meilleur moment de la série #La fin #les fins #séries #films #la fin incroyable #la meilleur fin #la meilleur fin de série #comment écrire la meilleure fin #écriture #scénario #Fin #fin d'une histoire #écrire une bonne fin #mon avis #idées #idée #fin série réflexion #juste pour aider certains #trouvez la fin parfaite #fin mauvaise ou bonne donnez une bonne écriture! #bonne écriture #manque d'imagination pour la fin #imagination #la fin des séries #finale #scénario final #scénario de fin #cliché

[randomnameless]

Je sais que Jerry a le sang de Rhea et est supposé avoir vécu très longtemps mais plus j'y repense, moins j'ai l'impression que cela à eu de l'importance dans 3 Houses puisque Billy ayant 21 ans, cela veut dire que sa romance avec Citrus a eu lieu dans le siècle où l'histoire à lieu.

Peut-être que ça fait jaser la police Twitter (ou X ? Mais bon, la police du X, c'est un petit peu osé lol) parce que Jerry était beaucoup plus vieux qu'elle quand ils se sont mariés et je ne sais quelle autre foutaise...

Le fait que Jerry soit vieux c'est pour teaser le mystère des Emblèmes et des Dragons, mais le jeu s'en fout alors bon...

Je note quand même que malgré le fait que Jerry a pu voir le débuts de l'alliance, le seul truc qu'il trouve à faire dans le scénario c'est de glisser du "Rhea caca" à chaque occasion, et ajouté à ça Nopes qui en remet une couche en disant que Rhea lui a sauvé la vie il y a 300 ans...

Le gars est pépouze avec l'idée que sa cheffe ait plus de 300 ans, se met de teinture et prétend mourir pour réapparaitre sous une fausse identité et ne vieillit pas d'un iota comparé à lui qui n'est aussi plus un Humain quelconque, non ça nickel pas de soucis, mais par contre quand bébé ne pleure pas (mais est bien vivant et est en bonne santé malgré son absence de pouls, m'enfin le gars a plus de 300 ans et vit dans un monde où les gens font des boules de feu en tapant dans leurs mains, bonjour le réalisme, mais là apparemment on repart sur de la médecine similaire au monde moderne, et va que Rhea n'a pas vacciné bébé Billy contre le tétanos parce qu'elle est vraiment maléfique !) là c'est la fin des haricots, Rhea est louche et mijote quelque chose, en deux mots comme en cent : "Rhea caca".

Ça ne tient pas deux secondes si on veut croire que Jerry est quelqu'un de sérieux, mais ces jeux étant ce qu'ils sont, parfois j'ai l'impression que le but c'est de pousser/raconter/faire dire par les personnages le contraire de ce qu'il se passe ou ce qu'on voit, sauf que les dedelstans sont tombés dans le "piège" à pieds joints !

Et on se retrouve avec cette duologie foireuse.

Perso, l'histoire de Jerry et ses 300 ans bien tapés, perso, ça ne me fait ni chaud ni froid, sauf par rapport au personnage de Rhea, qui se fait abandonner/trahir, encore une fois (dans l'ordre c'est la première !), par une des rares personnes qu'elle pouvait considérer comme un allié pendant 300 ans.

Je sais que je n'en ai pas la meilleure opinion, mais se barrer comme il l'a fait me fait un peu douter de sa conduite si jamais Rhea lui avait révélé la vérité sur les oreilles pointues voire même sur Citrus, est ce que Jerry se serait enfui plus tôt pour rejoindre le complot des Hresvelg-Agarthais (?) contre les oreilles pointues ?

#fodlan nonsense #french post #Anon #replies #Il aurait tellement de choses à raconter mais au lieu de ça #Le perso fait juste du rhea caca #Sauf à la fin pour encore une fois teaser le moment phare #Où le joueur se rend compte que c'est Dedel qui fait de la merde depuis le début #Mais bon #Ces jeux c'est vraiment... #Une expérience ratée dans le meilleur des cas #Un travail de groupe avec deux guignols et un sérieux qui essaie de rendre l'exposé #Mais qui ne peut pas effacer les parties des guignols #Et dans le pire des cas un essai non transforme de KT pour entrer dans la franchise

[culturefrancaise]

On est là, on croit qu’à la vingtaine on est encore cool, et un jour on se retrouve à regarder des vidéos d’organisation de cuisine et de lavage professionnel de tapis absolument dégueulasses, et ça nous détend. On rêve d’avoir une machine à laver et de la place pour cuisiner et vos amies viennent d’avoir un enfant ou essaient déjà d’en avoir un deuxième. Et là on essaie de se faire des amis à la fac mais eux nous paraissent trop jeunes. Sauf que les gens de notre âge nous paraissent plus vieux. Pas de doute : les 30 ans approchent...

#childless #la fin de la vingtaine #si c'est ça la meilleure décennie de ma vie alors à quoi bon que je sois née #c'était une décennie remplie de pauvreté et de souffrance #telle est la vie des hommes : quelques joies très vites effacées par d'inoubliables chagrins #il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants

[superiorkenshi]

Heuuuuhhh... Tu fais accepter les requêtes encore pour l'ask game ? J'espère demander G10 Mozart et H10 Salieri (désolé si mon français est très mal)

Ton français est bon j'ai tout compris y a pas de soucis!

Voilà Mozart et Salieri !

(Aussi si tu es plus confortable en anglais hésite pas je comprend parfaitement l'anglais!)

#kenshi's art #kenshi's ask #mozart #salieri #mozart l'opera rock #mor #mozalieri #antonio salieri #wolfgang amadeus mozart #art ask game #le meilleur pout la fin comme toujours j'ai envie de dire! #ça change du Kaamelott qui commence sérieusement a me lassé un peu a force! #j'ai adoré faire cet ask <3 #je dois dessiné plus de mor #aussi sae si tu passe par la coucou ne t'inspire jamais de ce dessin pour ecrire des horreur #stp #love you #eclipsedshadowk

[ordalya]

Cette semaine, j'ai vu 2 fournisseurs différents au boulot. Il y avait 3 femmes sur 4 intervenants. Ça fait du bien de discuter avec autre choses que des bonhommes de temps en temps. Et ça me fait dire que pour mon prochain boulot, j'aimerais bien avoir des collègues et des chefs qui ont une meilleure répartition homme/femme.

Parmi le groupe de travail régulier où les chefs sont là, je suis la seule femme (sur 10 participants !), sur les techniciens, 2 femmes sur 7. Ça ne me dérangerait pas que la répartition soit plus équilibrée. Il y en a un qui veut faire réunion sur réunion ; un autre est tellement fort en délégation que je ne sais pas ce qu'il fait de son temps libre ; y en a un autre qui ne dit rien et un autre encore qui dort, seulement réveillé quand on parle €€€. Parfois quand ils sont tous en forme, la réunion tourne à celui qui a la plus grosse, tout en disant des âneries.

#bref. #j'ai discuté 2 h de produits chimiques et de solutions concrètes #j'ai un rdv pour un test d'ici la fin des congés 💪 #j'avance ! #j'ai failli glisser au détour de la conversation : vous n'engagez personne par hasard ? ca me dit bien de sortir de mon trou perdu :) #mais pour une première rencontre c'est peut être pas la meilleure façon de donner une bonne image

[cookie-nigel-dolan]

Pacôme Thiellement : Les stars ont meilleur goût mortes que vivantes

#youtube #pacôme thiellement #les stars ont meilleur goût mortes que vivantes #blast #lost highway #vertigo #la fin du film #david lynch #video #film

[maddiesbookshelves]

A Natural History of Dragons, by Marie Brennan

The memoirs of Lady Trent narrate the life and research of Isabella Trent, world-renowned naturalist now an old woman, whose wit and humor are merciless towards imbeciles. In the first tome, Isabella, first as a young girl and then a young woman, challenges class and period conventions to satisfy her scientific curiosity and accompany her husband on an expedition in search for dragons in Vystrana...

I was scared that the memoirs format was going to be boring to read, but it was actually the best way to tell the life story of a woman who has lived so many adventures, I really liked it. The good thing about memoirs is that it allowed Isabella's personality to shine, especially her humor, and to have some hindsight on what happened. The teases about future events that she reveals later in the series really make you want to read what's next

Volume 1 introduces themes and ideas that I thought were fleshed out better later in the series, and what I considered as small flaws (a lot of things were repeated so many times I started thinking "yeah, okay, I get it") are way less prominent

As for Brennan's worldbuilding, it's deceptively simple at first glance (Victorian era but make it fantasy), but actually had so many details that make it extremely rich. Everything is inspired by countries/cultures from the real world, but Brennan mixed a lot of them and I thought it was really well executed. And the further along you get in the series, the more details sprinkled in the first 3 books come together to form the final picture. When I got to the end of book 4, I wanted to scream because of how delightful and well put together the reveals were

French version under the cut

Les mémoires de lady Trent racontent la vie et les recherches d'Isabelle Trent, naturaliste mondialement connue et désormais vieille dame, dont l'esprit et le style empreints d'humour s'avèrent sans pitié pour les imbéciles. Dans le premier volume, Isabelle, petite fille puis jeune femme, brave les conventions de sa classe et de son temps pour satisfaire sa curiosité scientifique et accompagner son mari lors d'une expédition à la recherche des dragons de Vystranie...

J'avais peur que le format des mémoires soit un peu ennuyant à lire, mais en fait c'était la meilleure façon de raconter la vie d’une femme qui a vécu autant d’aventures, j’ai beaucoup apprécié. L'avantage des mémoires c'est que ça permettait au personnage d'Isabelle de nous dévoiler sa personnalité, notamment son humour, et d'avoir du recul sur certains évènements. Les références à des évènements qu'elle nous dévoile plus tard dans la série donnait vraiment envie de lire la suite

Le tome 1 introduit des thèmes et des idées que j’ai trouvées mieux développées dans les tomes suivants, et ce que je considérais comme de petits défauts (pas mal de choses sont répétées de nombreuses fois donc au bout d’un moment je me disais "oui, c’est bon, j’ai compris") sont beaucoup moins présents

En ce qui concerne le monde créé par Brennan, il paraît relativement simple au premier abord (époque victorienne mais version fantasy), mais en réalité, énormément de détails le rendent extrêmement riche. Tout est inspiré de pays/cultures du monde réel, mais mélange pas mal de trucs et j’ai trouvé que c’était très bien fait. Et au plus on avance dans la série, au plus les détails disséminés dans les ~3 premiers tomes s'emboîtent et le tableau final se précise. Quand je suis arrivée à la fin du tome 4 j'avais envie de hurler tellement les révélations étaient croustillantes et bien amenées

#the memoirs of lady trent #lady trent #a natural history of dragons #memoirs of lady trent #marie brennan #books #book series #book reviews #booklr #booklr community #book recs #book recommendations

[heyiwrotesomethings]

salut j'espère que vous allez bien j'adore vos histoires de lecteur shinobu x et je voulais vous demander si vous pouviez faire une histoire de lecteur shinobu x fem où kanae n'est pas mort et shinobu a son vrai caractère et que pendant l'histoire, shinobu et le lecteur sa rivale pour voir qui est le meilleur tueur de démons ou juste le meilleur dans l'ensemble, qu'ils se taquinent constamment mais que shinobu a toujours une longueur d'avance sur le lecteur et que d'une manière ou d'une autre ils finissent en couple à la fin (merci donc beaucoup si vous acceptez ma demande et sachez que vous êtes mon écrivain shinobu préféré <3)

You’re My (Sparring) Partner

Shinobu Kochou x She/Her Reader

A/N: I don’t know any French so I hope Google Translate didn’t let us down too bad. Quick plot introduction: Kanae lived, Shinobu’s her good ol’ grouchy self, and she and reader are always competing to see who is better. Some bumps in the path before they finally end up together because Shinobu is stubborn. Thank you for the request. Espérons que vous apprécierez! Word Count: 4,340

“I killed two demons last night.” (Y/n) shared with a bit of pride over breakfast that morning, subtlety looking over the rim of her cup at Shinobu as she drank, before putting the cup back down with a quiet click. “I made very clean cuts too, that’s what you said, right? Kanae-sama?”

A quiet laugh left Kanae’s lips before she nodded, “Yes, you certainly are improving. I’m very proud.”

Shinobu rolled her eyes, her teeth lightly grinding together before she added, “Well my record in one night is four. Two isn’t that impressive.”

“Oh yeah, well—“

“Shinobu, (Y/n), please no bickering at the table. It’s a little early to be playing this game, don’t you think?” Kanae sighed.

“It’s not a game, Neesan.” Shinobu refuted, matching (Y/n)’s glare.

This rivalry had been going on for years. Ever since Shinobu finally accepted that she wasn’t fit for Flower Breathing and decided to cultivate her own breathing style and (Y/n) had wormed her way in to train under Kanae as a Tsuguko, the spot that should have been Shinobu’s by all accounts. It had left the girl bitter and looking for just about any excuse to show (Y/n) how much better she was than her. Even now as a Hashira herself, she still hadn’t been able to quite let go of that initial disappointment and start a new chapter.

Of course, (Y/n) didn’t take Shinobu’s challenges sitting down. She had earned her spot within the Butterfly Estate, but the only one who remained unconvinced was the one person she wanted to impress almost more than the Flower Hashira herself.

Ever since (Y/n) had met Shinobu, she hadn’t thought of her as anything short of brilliant. She took every curve ball life had thrown her way and found a way to hit a home run every time. Not able to decapitate demons, she made a special poison that could kill them anyway. Not suited for the more mainstream breathing techniques, she created her own. Not to mention her speed and mastery over Total Concentration Breathing Constant was nothing to sneeze at either.

To be acknowledged and accepted by Shinobu was all she really wanted and she was willing to do anything to prove her worth. She would compete with Shinobu until she earned her respect.

“Yes, it’s a very serious matter, Master.” (Y/n) agreed, smirking at Shinobu’s scowl.

“Well then take it outside. You are making poor Kanao nervous and I’m sure the other girls don’t appreciate the hostility brewing between you two either.” Kanae said, motioning to the group of girls around the table who did indeed just wanted to eat their breakfast in peace.

“Fine.” Shinobu’s hands slapped against the table as she got up. “I could go for a spar, how about you? Or are you still too sleepy from being up past your bedtime?”

“I recall you waiting up to greet me last night. So I’m sure we have the same advantage.”

“As if I was waiting for you. I had questions for my sister about our medicinal ingredient supply shipments.”

They bickered and taunted each other, even nudging and shoving each other as they made their way out the door. Kanae gave another tired sigh.

“Why can’t those two just get along?”

***

Shinobu flung a wooden sword at (Y/n) who was luckily paying enough attention to catch it before it smacked her in the face and quick enough to immediately retaliate.

“Readysetgo!” Thwack!

It was a dirty tactic to begin a spar without allowing enough time to at least get in a proper starting stance, but Shinobu had anticipated the swipe and blocked it easily.

“Can’t even catch me off guard properly.” Shinobu taunted.

“Who said I trying to?” (Y/n) asked with faux innocence, blocking Shinobu’s counter strike, “I gave you fair warning. Did you feel like I was trying to catch you off guard? In that case, maybe I did catch you a bit off guard after all. My apologies.”

Shinobu sneered, then jumped back. With the weight behind Shinobu’s block gone, (Y/n) was suddenly pushing back against nothing but air. She stumbled forward as Shinobu advanced, turning sharply behind her, wooden sword already swinging towards its intended target.

(Y/n) had been burned by that little maneuver once before and she wasn’t going to give Shinobu the satisfaction of a second. She continued to fall forward, kicking her legs up into the air when her hands came in contact with the ground. She could feel the displacement of air roll over her back, Shinobu had followed through with her strike and missed!

With all the force (Y/n) could muster, she torpedoed on her palms, attempting to catch Shinobu’s face with her foot, but Shinobu quickly cocked her head to the side and dropped her sword to the ground so she could brace her hands at (Y/n)’s ankle and knee. With a smirk, she twisted (Y/n)’s leg, and kicked out (Y/n)’s arms from under her, forcing her to the ground completely.

Before (Y/n) could attempt to scramble to her feet, Shinobu planted her foot firmly to the center of her back.

“That was an entertaining little display.” Shinobu cooed. “Where did you pick that up from? Weird boar boy?”

“Just get off of me already.” (Y/n) groused, she attempted to hit Shinobu’s ankle, but was not quite flexible enough to do more than brush against the offending foot.

“I didn’t hear you say you concede.” Shinobu knelt down, one knee in the dirt by (Y/n)’s side, foot still on the disgruntled Tsuguko’s back. She cupped a hand around her ear and got in real close, “Say it nice and loud so I can hear you, okay?”

So humiliating! (Y/n) stormed through the mansion after her devastating defeat to lick her wounds in peace. Shinobu always seemed to be one step ahead of her! Of course she was a Hashira, more skilled and practiced than (Y/n) was, but as a Tsuguko to the Flower Hashira, she should be able to last more than five minutes with Shinobu in a spar!

“Hey, everything okay in there?” Kanae had knocked on the door, “I see Shinobu is gloating again.”

(Y/n) opened the door to let Kanae in. Then she flooped back down on her bed and sighed.

“Master, please don’t take this the wrong way, but can’t you train me any harder? Or at least teach me all of your sister’s weaknesses?”

Kanae giggled, taking a seat on the edge of (Y/n)’s bed, “I don’t think that would be very fair. She would be angry with me for weeks, maybe longer. She can sure hold a grudge. As for training, I can only teach you so much… especially now that I have these Mount Natagumo spider slayers that are in need of a rigorous medication program in order to return to normal. I just don’t have the time to train you any more strenuously than I already do.”

“Oh…” though (Y/n) was already laying flat against the bed, she somehow seemed to sink further with her mounting disappointment.

“But there is something we could possibly do while Shinobu and I work on healing the spider slayers.”

(Y/n) perked up a bit, “What?”

“Mitsuri, the new Love Hashira. We got to become aquatinted at the last meeting. She’s a very sweet girl. It would probably do you both some good to train together. It would give Mitsuri a jumpstart on teaching experience and you would get tutelage from another Hashira. Seems like a win-win, doesn’t it?”

“Can you really set that up, Kanae-sama?” (Y/n) was sitting up now, much more excited.

“I don’t see why not. I’ll write her a letter an ask her if she’s busy. She can stay with us for a couple of days and over see your training until the spider slayers are more obviously on the mend.”

“Thank you, Kanae-sama!”

Things might just start looking up! She’d show Shinobu just how strong she could become!

***

Mitsuri was very sweet, almost too sweet. If (Y/n) wasn’t such a well-disciplined Tsuguko, they wouldn’t have gotten anything done. But for as green of a Hashira as Mitsuri was, she was incredibly strong! Maybe even more so than Kanae. Her actual teaching could use work, but (Y/n) felt like she was learning a lot and it was only the first day of three that Mitsuri would be available. She was going to really give Shinobu a run for her money the next time they decided to cross swords. Speaking of,

“Kanroji-san, what are you doing here?” Shinobu had happened by an open door and heard (Y/n) laughing, looking up from the stack of patient files she had in her arms, she had not expected to find her sparring with Mitsuri of all people.

“Oh, hi Shinobu!” Mitsuri loosened her hold on (Y/n) to wave at Shinobu, “Kanae asked me to help pick up on (Y/n)’s training while you guys are working hard with all of your new patients. I’d say things are going pretty well so far!”

“Surprise attack!” (Y/n) tried to pull Mitsuri to the ground. Mitsuri bent forward a little bit, but mostly stood her ground.

“Hey!” Mitsuri giggled, quickly switching the hold to put (Y/n) on the ropes instead, tickling (Y/n)’s sides to make her laugh and beg for mercy.

Shinobu wasn’t sure what it was, but she was not a fan of this new development. (Y/n) never laughed with her like that when they sparred… and why would she! Shinobu didn’t give a damn beyond adding another win to the score board. But they did look like they were having fun… getting along so quickly after only just meeting too… ARGH!

“Try not to go too hard on (Y/n), Kanroji-san. She’s fragile.”

(Y/n) gave Shinobu an annoyed look, “I am not. Kanroji-san can be as rough with me as she needs to be if I’m ever going to be a Hashira one day too.”

“That’ll be the day, won’t it?” Shinobu grumbled.

“I’m sure you’ll make a great Hashira one day (Y/n)! It would be so nice to get to see you more often.” Mitsuri beamed.

“That would be great!”

“That would be great.” Shinobu mocked under her breath as she walked away, the sound of the other girls laughter grating against her ears.

When she re-entered the infirmary and slammed the papers down on the table, Kanae looked up and observed her sister.

“What has you all broody?”

“I’m not broody.”

“If you say so…”

Kanae refocused her attention to the wiggly spider slayer in her arms. It was hard getting them to swallow their medication without giving them her full attention.

“Why didn’t you ask me to help (Y/n) with her training?” Shinobu suddenly spoke up after a few minutes.

“Hm? I figured you would rather do literally anything else. Besides, you’re helping me take care of all these new patients… Did you want to help (Y/n)?”

“No.” Shinobu answered hurriedly. “I just don’t think she and Mitsuri are taking the training seriously is all.”

Kanae looked at Shinobu from the corner of her eye and took note of her disgruntled expression. Such a cute, pouty frown. Kanae moved in to the next patient, a smile growing across her face as a sense of clarity came over her. She wondered just how long her stubborn little sister could hold out before her jealousy overtakes her pride.

Apparently the very same day.

“Kanroji-san, her stance is all wrong, see?” Shinobu had butted in between the two of them after Kanae had sent her off to eat lunch, but of course she could not simply walk past Mitsuri and (Y/n) when she had noticed (Y/n) stance was so blatantly off-balance.

“Oh! I guess you’re right Shinobu.” Mitsuri agreed.

“Stand with your feet further apart.” Shinobu mumbled, kicking (Y/n)’s foot further out, then twisting (Y/n)’s waist and adjusting the way she held her arms up and her grip around the practice sword.

Honestly, (Y/n)‘s stance was perfectly acceptable without Shinobu’s knit picking, but Shinobu had to find some excuse to put space between (Y/n) and Mitsuri. Why that was? She didn’t dwell on an answer.

“There, you feel that pull?” Shinobu asked and (Y/n) blinked back to life, having had gone somewhere else as Shinobu had gently pushed her body into place.

“Uh, yeah. Yeah, I feel it.”

“Good.”

Shinobu looked for every opportunity she could to step in. Only stopping when Kanae came looking for her and scolded her for letting Aoi’s lunch for her grow cold. She did end up eating with (Y/n) and Mitsuri though, which was good because… well, just because!

She squeezed between them at the table, getting gradually more annoyed as they talked over her head. She did manage to find one way to get (Y/n) to remember she was sitting right beside her.

“You have rice on your face.”

She reached out to brush her thumb over (Y/n)’s chin, coming away with a couple grains of rice.

(Y/n) blinked and subconsciously lifted her hand to her chin where her skin still tingled from Shinobu’s brief touch, “Oh… thanks.”

“You two are so cute!” Mitsuri sighed dreamily, “How long have you guys been together?”

Both (Y/n) and Shinobu’s heads snapped towards Mitsuri.

“We are not together!” They shouted in unison, startling Mitsuri.

“Ehh, really? I could have sworn… Just they way you two acted around each other today, I thought you might be a couple. I’m sorry if I made it awkward.”

“I’d rather cut off my own hands.” Shinobu scoffed, then she was startled by a heavy thump beside her as (Y/n)’s fists hit the table.

“Do you really have to go that far?” (Y/n) hissed, shooting up to her feet, “I’m so sorry the idea of being with me sounds so awful to you that you’d rather mutilate yourself. If you really hate me that much, then why don’t you leave me the fuck alone!”

“Well, you don’t exactly make it easy, do you?” Shinobu snapped back before she could think better of it, as was the risk being as hotheaded as she tended to be. She regretted it very soon after.

“All I ever wanted was for you to acknowledge me, to praise me just once instead of shooting me down. I thought competing with you was the only way to make you see me, but it only seemed to make things worse between us.”

She quickly rubbed beneath her eyes to catch any stupid tears that slipped over her resolve.

“Well, I know now that it will never happen so I’ll stay out of your way as long as you stay out of mine. And that means quit budging in on my training with Mitsuri!”

(Y/n) took Mitsuri by the arm and Mitsuri gave Shinobu an apologetic look, taking the rest of her plate with her as (Y/n) dragged her off.

“That probably couldn’t have gone worse if you tried.”

Shinobu snapped her attention to the other set of doors that lead outside. They slid open to reveal Kanae, who simply waltzed in as if she hadn’t been eavesdropping pretty much the whole time.

“What does it matter?” Shinobu spoke sharply, “I’ll finally have some peace around here.”

“You could have had a perfectly peaceful three days while Mitsuri was keeping her busy, but you couldn’t even last one without her.”

“Oh great, you thought we liked each other too, didn’t you?”

“If you would stop getting in your own way for a minute, you’d know it’s true. You two have always been trying to prove yourself to each other in some way, just not always the best way. Like it or not, you are each other’s drive to do better.”

Shinobu opened her mouth to argue, but Kanae have gave her a warning look before continuing on,

“I hope you two will realize your being silly and work this out before too long. If anyone here really needs peace from your overstayed rivalry, it’s me,” she teasingly ruffled Shinobu’s hair, “For now, I need your help back in the infirmary.”

With an annoyed grunt, Shinobu followed Kanae back to the infirmary. All the while she ranted within her mind. Everyone in this mansion was delusional. The only feelings she had for (Y/n) were ones of annoyance. But when she passed by the open door near the infirmary again and saw (Y/n) and Mitsuri cuddled up together in the grass, her heart betrayed her mind by pounding against her chest. Almost as if to burst right between her ribs and flop in the grass until it finally reached its destination. If Shinobu wouldn’t go to (Y/n), it would reach her on its own.

“Keep walking, Shinobu~” Kanae lightly warned, “If you want your peace, you must leave them be.”

Shinobu grit her teeth and continued off to the infirmary despite her heart’s protests. This is what she wanted, her heart would just have to deal with it.

***

The healing of the spider slayers was going much slower than anticipated. To Shinobu’s very much internal dismay, Kanae had asked Mitsuri if she could stay just a few days more, maybe a whole other week. For a moment, Shinobu thought things would finally go back to normal because Mitsuri simply couldn’t get anymore time away, but then Kanae suggested she take (Y/n) with her to keep training her until the spider slayers were closer to being cured.

To Shinobu’s dismay, both Mitsuri and (Y/n) found the idea favorable and the left together sometime that afternoon when Shinobu was busy making more stupid spider medicine.

“You seem to be grinding those herbs extra hard,” Kanae had noted, “I’m sorry, had I known you wanted to see them off, I would have come to get you, but you wouldn’t want to miss out on any peace and quiet, wouldn’t you?”

Damn her, Shinobu thought. It didn’t matter if she got to see (Y/n) off or not. She’d be back before she knew it, and in a way she was right, but not in the way she wanted to be.

Only two nights after (Y/n) had left with Mitsuri, she was being carried back in by the frantic Hashira that had taken her, bloody and unresponsive.

“I’m so sorry, Kanae!” Mitsuri cried, “I got distracted during the mission and didn’t notice right away that (Y/n) had been lured into an ambush pursuing a fleeing demon. She fought them off as long as she could before I could get to her, but… I feel awful! I didn’t know what to do, will she be okay?”

“Sit, Mitsuri,” Kanae soothed, “you got her here as fast as you could, that’s what matters. Let me take it from here—“

Shinobu pushed passed Kanae to (Y/n)’s cot, “This isn’t the time for talk, we need to get to work, now!” She demanded angrily.

“Shinobu,” Kanae warned, “if you want to help, you have to calm down. You won’t do her any good if you let your brashness cut corners.”

Shinobu continued to peer down at (Y/n)’s battered body and try as she might to quiet her boiling rage to a simmer, she could not. She was furious. Furious at the demons, even Kanae and Mitsuri to a lesser extent, but most of all she felt angry with herself. If she wasn’t so attached to her pride and stubbornness, maybe none of this would have happened. Maybe her last words to (Y/n) wouldn’t have been so harsh. What if she died before Shinobu could apologize?

“Shinobu, leave.” Kanae made the difficult call upon seeing her sister’s wide-eyed distress, but Shinobu shook her head, refusing to let go of (Y/n)’s hand.

Kanae exhaled sharply, there was no time for this. She wasn’t going to lose her Tsuguko because of her sister’s guilty hovering.

“Shinobu,” the harsh tone made Shinobu flinch, “out. I promise to let you back in once I’ve administered proper care. Mitsuri, take her out with you please.”

Shinobu numbly allowed Mitsuri to lead her away, keeping her eyes on (Y/n) until a Kakushi closed the door behind them. Unwilling to stray any further, Shinobu slid to the ground opposite the infirmary, and waited. Straining her hearing for any hint of what was going on beyond the door.

“You care about her a lot,” Mitsuri spoke up softly after a few long minutes of silence, “why haven’t you told her?”

If that wasn’t the million dollar question… Shinobu kept silent.

“Well, don’t worry. Kanae is going to get her all fixed up and then you can tell her all the things you wanted to say, okay?”

What did Mitsuri know? Shinobu thought bitterly. Shinobu saw that gash on her forehead, that deep wound in her belly, no one could say with one hundred percent certainty that (Y/n) would recover from this.

“You should practice what you want to say.” Mitsuri said, hoping to distract Shinobu from her dark thoughts, “I’ll talk through it with you, if you want. I’m rooting for you guys.”

Part of Shinobu wanted to tell Mitsuri to mind her own business, but she really did need the help if she was going to go through with this properly. So she took a deep breath, and took a step in the right direction.

When Kanae came out of the infirmary hours later, Shinobu and Mitsuri rocketed up from the floor and before they could bombard Kanae with questions, she held up her hands and said,

“She’s going to be okay. You can go see for yourselves.”

And when Shinobu rushed to (Y/n)’s side, she definitely did look better already. Blood washed away, wounds expertly stitched, clean bandages and clothes. Shinobu hunkered down in the chair by her bedside, scooting it as close to the bed as she could before taking (Y/n)’s hand and holding between her own.

Kanae smiled and shook her head. It was a very rude awakening, but at the very least Shinobu was heading in the right direction now. She went to rest knowing (Y/n) would be well looked after.

***

When (Y/n) awoke, the harsh light burned her eyes so she quickly shut them as soon as she opened them. Her body felt heavy and stiff. She couldn’t even wiggle her fingers. Well, none on her left hand anyway. She couldn’t remember the demons doing anything that would warrant a cast over her hand, but there was too much going on to process every injury fully, she imagined. It was weird how warm and sweaty the cast had made her hand though. It was a little uncomfortable.

(Y/n) tried to flip to her side instead of laying flat on her back, but found she was too weak to do it and groaned quietly. The ‘cast’ around her hand constricted in a light squeeze and a soft voice hushed her. Kanae, she assumed. Kanae must be with her, holding her hand. That made sense. Oh, her poor Master. It must have been hard to see her like that.

She tried to open her eyes again, blinking several times before she could even hold a squint. Though her vision was still a bit blurry, it was clearly not Kanae by her bedside. No, it was… was it really Shinobu?

“(Y/n), you’re awake.” Shinobu sounded so relieved that (Y/n) wasn’t so sure she had actually woken up.

“You’re holding my hand.” She blurted. No filter with her head injury apparently.

“Do you want me to stop?” Shinobu asked awkwardly, no bite whatsoever, nor true embarrassment at getting caught. She just seemed… shy, maybe a little uncertain.

“No… it’s fine.” Though she would have liked to air out her hand a little, she didn’t want to risk Shinobu getting offended and breaking whatever spell had come over her.

“I, I have a lot I need to say to you. Will you hear me out?”

Though (Y/n) was nervous, she nodded, managing to free her fingers to wrap them over Shinobu’s hand that cradled her own beneath the other. Shinobu took in a shaky breath, than began as she and Mitsuri had practiced.

***

One Month Later

“You aren’t back to full strength yet, don’t be so discouraged.” Shinobu spoke softly to (Y/n) as she helped her up from the cushy training room floor.

“But still,” (Y/n) pouted, hugging Shinobu and looking for further comfort once she was on her feet again, “I wanna beat you just once, is that so much to ask for?”

“Put those puppy eyes away. We both know you wouldn’t be satisfied if I just let you win.” Shinobu said, rubbing (Y/n)’s back.

“No, it would still be satisfying. The only real reason you won’t let me win is because you’re too proud of your flawless record of beating me to the ground.”

“Don’t say it like that.”

“But it’s truuue.” (Y/n) nuzzled her nose into Shinobu’s neck, making her laugh, “kiss me and make me feel better?”

“I guess I can give you that much.”

Shinobu coaxed (Y/n)’s face out of her neck with her hands on either side of her face and brought her in for kiss. She had only meant for it to be a short one, but (Y/n) had made it difficult to want to pull away, not that Shinobu really minded all that much. Not until she found herself suddenly pinned to the ground at least.

“I win!” (Y/n) grinned.

“No you don’t,” Shinobu frowned, “this wasn’t a match.”

“I didn’t actually say I forfeited, remember? This match is still on, baby!”

“Then my position still stands, you haven’t won anything yet,” Shinobu struggled against (Y/n)’s hold until she was nearly red in the face, but still she didn’t budge, “don’t you know cheaters never prosper?”

“All is fair in love and war, my dearest Shinobu.” (Y/n) giggled. “Are you gonna forfeit yet?”

Shinobu snuck her hands up (Y/n)’s back, making her shiver, she chuckled darkly, the same competitive glint in her eyes as always as she pulled the her girlfriend down to her lips.

“You wish.”

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[cineclub84]

Pulsions, 1980

Kate Miller souffre de fantasmes érotiques si vivaces qu’elle a du mal à faire la part du rêve et de la réalité. Un matin, elle se rend chez son psychiatre, Robert Elliot, pour lui parler de ses déceptions sexuelles avec son mari. En se rendant au musée, Kate séduit un homme qui l’emmène dans son appartement pour y passer la nuit. Le lendemain matin, en prenant l’ascenseur pour quitter l’immeuble, Kate est atrocement assassinée à coups de rasoir par une femme blonde portant de grosses lunettes noires.

Liz Blake, une call-girl de haute volée, est témoin du crime : elle a aperçu la tueuse au rasoir. Le jour suivant, au commissariat de police se retrouvent le docteur Elliot, Peter Miller, le fils de Kate, et Liz Blake. Tous les soupçons retombent sur Liz. Dans les jours qui suivent, la call-girl est traquée par la tueuse blonde, mais Peter réussit à la sauver in extremis. Le fils de Kate, spécialiste en électronique, met au point une caméra qui lui permet de découvrir que la tueuse est une patiente du docteur Elliot. Afin de découvrir le nom de la malade, Liz essaie de charmer le psychiatre afin de dérober son carnet de rendez-vous…

Sous forme d'hommage à Hitchcock, Brian de Palma nous livre avec "Pulsions" un thriller angoissant et à mon sens l'un de ses tous meilleurs long-métrage. De Palma reprend la trame narrative du chef d'oeuvre d'Hitchcock "Psychose", mais ne tombe pas dans le copié collé en livrant une oeuvre incontestablement très personnelle. Le réalisateur américain a un faible pour les marginaux qu'il exploite une nouvelle fois dans "Pulsions". De Palma a l'art de mettre en scènes des personnages atypiques et habituellement stigmatisés, dont il fait ressortir le meilleur, en attachant beaucoup d'importance à ne pas porter de jugement sur eux. On pense naturellement tout de suite à Nancy Allen qui interprète une prostitué mais aussi au personnage de Kate Miller, une mère de famille en apparence bien sous tout rapport qui refoule ses pulsions pour justement ne pas être marginalisé à son tour. "Pulsions" est un film qui met en scène des personnages, dont les actes sont jugés moralement condamnables par la société, mais que De Palma présente paradoxalement comme les être les plus humains dans une société décharnée et hypocrite. Le film est donc en ce sens porteur d'un message intéressant et propose en plus de véritables séquences de tension très réussies (la scène du musée est exceptionnelle à ce niveau là). On est pris au jeu du début à la fin, régalé par un film aussi juste dans sa mise en scène que dans son écriture. De Palma s'amuse en rendant cet hommage au maitre du suspense et livre un film pleinement abouti à ne pas manquer.

Dressed to Kill (1980) ORIGINAL TRAILER

#Dressed To Kill #Pulsions #Horror #Horreur #Thriller #Usa #Usa Movies #America Movies #Movies #Movie #Film #Cinema #Cinephile #brian de palma #Michael Caine #Angie Dickinson #Nancy Allen #Keith Gordon #Dennis Franz #David Margulies #Brandon Maggart #Mary Davenport #Pino Donaggio #1980 #80s #Youtube

[lisaalmeida]

Il existe un espace gelé dans notre coeur où nous défendons la meilleure partie d'entre nous par peur qu'elle soit découverte et détruite, mais en fait nous attendons aussi que quelqu'un la fin, brise cette glace et nous réchauffe.

Il y a des murs intérieurs énormes qui se agrandit devant un geste de pure tendresse.

Massimo Bisotti

[perduedansmatete]

des fois le destin: je disais à julie en buvant nos bières avant le concert que je m’étais toujours vu vivre seule et pas en coloc car vivre avec des inconnus m’angoissait et que connaissant mes amis il y avait des chances que ça ne le fasse pas au quotidien avec eux sauf une de mes meilleures amies avec qui ça avait le potentiel de marcher parce qu’on avait une énergie assez similaire mais qu’elle venait de déménager au fin fond de la campagne du 91 et qu’elle s’y sentait bien car elle n’entendait que les oiseaux et le clocher de l’église au loin sauf que plot twist:

(j’ai dit oui quand tu veux)

[submissivegayfrenchboy]

27 / 01 / 2024

🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵

Juste une petite histoire inspirée de la photo.

HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon ami @tidodore2

HUMILIÉ PAR UN MAÎTRE TWITTER #4

ALPHAGODHARRY

- UN PATRON OU UN MAÎTRE ? -

PARTIE PAR submissivegayfrenchboy

Le sublime jeune maître AlphaGodHarry regardait son moche esclave lécher ses pieds, amusé et dégouté.

MAÎTRE ALPHAGODHARRY : "C'est bien larbin t'as rappliquer vite, maintenant mes pieds attendent ta langue !"

PARTIE DE tidodore2

ESCLAVE : "Oui maitre ! Merci de m'avoir installé une niche près de votre bureau. C'est un tel honneur de pouvoir ramper à vos divins pieds dès que j'entends la cloche 🛎 !"

PARTIE DE submissivegayfrenchboy

MAÎTRE ALPHAGODHARRY : "D'ailleurs je pense que le mieux serait de te virer et t'engager comme lécheur de pieds attitré."

PARTIE PAR tidodore2

ESCLAVE : "Oh non, pitié maitre ! Si je perd mon emploi, je vais me retrouver à faire les poubelles dans la rue pour survivre 😨 Il me faut un minimum de salaire pour vivre!"

PARTIE DE submissivegayfrenchboy

MAÎTRE ALPHAGODHARRY : "Oui tu as raison, t'auras un minimum de salaire. Tu sera payé moins cher que les nettoyeurs de chiottes, ça devrait suffire vu que tu es seul. Étant donné que t'es si moche que personne veut de toi. Et puis si tu dois vraiment faire les poubelles, bah c'est ta vie pauvre con ! 😈"

PARTIE DE tidodore2

ESCLAVE : "Merci beaucoup maitre ! Un nettoyeur de chiotte doit se faire au moins 450 euros par mois, ça sera largement suffisant pour que je paye mon minable appartement !!!"

PARTIE DE submissivegayfrenchboy

MAÎTRE ALPHAGODHARRY : "Oui et puis tu pourras toujours emménager dans un appartement plus petit. Je suis sûr que tu pourrais vendre plusieurs objets pour avoir un peu d'avance. Allez, suce mes orteils pendant que j'appelle le boss."

PARTIE DE tidodore2

ESCLAVE : "C'est que..je vis déjà dans seulement 25m2... Mais je pourrais sans doute me passer de certains meubles et trouver encore plus petit !"

L'esclave suce les orteils en regardant son nouveau maitre AlphaGodHarry avec admiration pendant qu'il téléphone au patron.

PARTIE DE submissivegayfrenchboy

MAÎTRE ALPHAGODHARRY : "Sinon je peut toujours installer une cage dans une de mes armoires. Mon caleçon sale serait ta couverture, mes chaussettes seraient ton oreiller. Et le matin tu serais mon chauffeur pour aller au travail."

ESCLAVE : "Vous avez raison, maître, ça sera peut être mieux. De toute façon, je n'aurai pas le temps d'aller chez moi si je dois passer mon temps à faire votre ménage et à vous sucer les pieds, maître."

L'esclave n'avait pas perdu son emploi, mais son salaire servait de loyer, bien qu'il vivait sous le lit de son maître AlphaGodHarry ou dans son placard.

Vivre au service de son maître AlphaGodHarry était sa meilleure décision. Rien n'obligeait le maître à déclarer qu'il vivait avec son esclave, ce qui lui permit de garder l'appartement à son nom afin de faire vivre son esclave dans la menace qu'il le vire de chez lui en tout légalité.

L'esclave fit donc preuve d'une grande soumission envers son maître et devint expert en léchage de pieds.

FIN DE L'HISTOIRE

Lien du compte Twitter de AlphaGodHarry

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🇬🇧🇺🇲 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲

A short story inspired by the picture. 😉

PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2

HUMILIATED BY A TWITTER MASTER #4

ALPHAGODHARRY

- A BOSS OR A MASTER? -

PART BY submissivegayfrenchboy

The gorgeous master AlphaGodHarry looked at his ugly fag, disgusted.

ALPHAGODHARRY : "It's good flunkey you came back quickly, now my feet are waiting for your tongue!"

PART OF tidodore2

SLAVE: "Yes master! Thank you for setting up a kennel for me near your desk. It's such an honor to be able to crawl at your divine feet as soon as I hear the bell 🛎!"

PART OF submissivegayfrenchboy

MASTER ALPHAGODHARRY : "Besides, I think it would be best to fire you and hire you as a regular footlicker."

PART BY tidodore2

SLAVE: "Oh no, have mercy master! If I lose my job, I'll find myself scavenging in the street to survive 😨 I need a minimum salary to live!"

PART OF submissivegayfrenchboy

MASTER ALPHAGODHARRY : "Yes you are right, you will have a minimum salary. You will be paid less than the toilet cleaners, that should be enough since you are alone. Since you are so ugly no one wants you. And then if you really have to do the trash, well it's your life poor idiot! 😈"

PART OF tidodore2

SLAVE: "Thank you very much master! A toilet cleaner must make at least 450 euros per month, that will be more than enough for me to pay for my shabby apartment!!!"

PART OF submissivegayfrenchboy

MASTER ALPHAGODHARRY : "Yes, and then you can always move into a smaller apartment. I'm sure you could sell several items to get a head start. Come on, suck my toes while I call the boss."

PART OF tidodore2

SLAVE: "It's because.. I already live in only 25m2... But I could probably do without some furniture and find something even smaller!"

The slave sucks toes watching his new master AlphaGodHarry in awe as he phones the boss.

PART OF submissivegayfrenchboy

MASTER ALPHAGODHARRY : "Otherwise I can always install a cage in one of my closets. My dirty underpants would be your blanket, my socks would be your pillow. And in the morning you would be my driver to go to work."

PART BY submissivegayfrenchboy

SLAVE: "You're right, master, it might be better. Anyway, I won't have time to go home if I have to spend my time doing your housework and sucking your feet, master. "

The slave had not lost his job, but he gave his salary to pay his rent, even though he lived under his master's bed or in his closet.

Being in the service of his master, AlphaGodHarry, was his best decision. Nothing required the master to declare that he lived with his slave, which allows him to keep the apartment in his name in order to support his slave with the threat that he will legally kick him out of his home. The slave therefore showed great submission to his master and became an expert in foot licking.

END OF THE STORY

Link of AlphaGodHarry's Twitter account

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@faggotdreams @fagsworshipalphas @faggotscometoworship @feet-supreme @leftprogrammingroadtripdean @gayhopefullove @feetslavefeet @faggotscometoworship @faggotdirt

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[chifourmi]

Je lui ai finalement envoyé des messages vocaux. J'ai pas voulu attendre de voir ma psy parce que c'était trop long et j'avais envie de passer à autre chose. Attention, j'ai bien réfléchi à ce que je disais et comment je le disais. J'ai bien fait d'attendre une semaine avant de revenir vers lui. Grâce à ça j'avais beaucoup plus de recul, je n'étais plus dans la colère et l'émotion. J'ai tout écrit hier et j'ai attendu le lendemain pour relire et modifier. Ensuite j'ai tout lu dans des messages vocaux. Puis j'ai fermé la conv. Je ne m'attends à rien, je ne m'attends pas à ce qu'il les écoute ou à ce qu'il réponde. Mon but principal était de me débarrasser de tout ça. Ça ressemble à un monologue ce que je lui ai envoyé. Quand je lui parle de mes incompréhensions, je fais juste des hypothèses et je lui dis qu'il n'est pas obligé de répondre. En fait je pense que je préférerais même qu'il ne réponde pas. Je veux juste qu'il prenne en compte ce que je lui dis. J'ai cette naïveté de croire que ça pourra le faire réfléchir et évoluer. Mais en vrai depuis l'appel qu'on a eu, je sens qu'il est assez mature et ouvert pour entendre ce que j'ai à lui dire. Sinon je ne me serais pas battue et j'aurais lâché l'affaire.

À la fin, je lui fais un vrai bel adieu pour tout bien clôturer. Ça me tenait à cœur pour que tout ça se finisse aussi bien que ça a commencé. J'ai pas envie d'avoir de la rancœur envers lui, je ne veux retenir que le positif. Puis au final les torts sont partagés. Je lui souhaite le meilleur 🤍

(25/05/2024)

[ouvrierhv]

les ouvriers sont au dressage le chef gueule sur un gars pour lui donner l ordre d aller chercher du materiel celui qu a la brouette c est le plus con pas capable de poser les paves comme y faut il est bon qu a aller chercher le sable. le meilleur c est le tondu a blanc il est obeissant fier d etre soumis a son chef disponible 24/24 pour travailler. les gars ont ordre de montrer les semelles de leurs chaussures de securite. a la fin de la journee le conard qu a la brouette sera puni il devra lecher les semelles de tous ses collegues putin je voudrai bien prendre la punition a sa place

[coolvieilledentelle]

Les pensées positives du matin sont le meilleur départ pour le voyage vers le côté ensoleillé de la vie..petit café… sourires.. une belle journée de fin aout s'annonce... Soyez heureux chers amis

[e642]

Quelque chose que j'ai toujours été fière d'avoir et de garder en moi c'est ma vision de l'amour. Au sens large du terme. Bien qu'il y ait eu une rupture, des temps d'errance, des angoisses existentielles, la relation de mes parents qui s'érode, j'ai toujours su faire la part des choses. Tous les schémas existent. L'amour se decline de manière infinie ou en tout cas autant qu'il y a d'être humain présent sur cette planète. Je n'ai jamais cessé d'être profondément convaincue que ce sentiment est rare, qu'il évolue et qu'il peut annihiler beaucoup de choses. J'ai toujours été honnête avec moi et ma manière d'aimer, je sais que je peux aimer énormément, et sur le temps. Je sais que je peux trouver quelqu'un exceptionnel autant de temps qu'il me montre qu'il l'est. Je sais qu'une personne peut me suffire et que je pourrai passer ma vie à la découvrir sans jamais me dire que j'en aurai fait le tour. Je sais que je peux vouloir des projets, des choses précises, intimes avec quelqu'un sans pour autant savoir si je saurais les calquer sur quelqu'un d'autre si je venais à perdre cette personne. Je sais que l'amour que je peux donner est unique et spécifique. Je sais que je n'aurai jamais de place pour avoir plusieurs amours comme ça en même temps, autrement dit, je sais que je ne pourrai jamais concevoir de relation ouverte et c'est pas grave. Je sais que je suis capable de ne voir qu'une personne et seulement elle, pas dans le sens obsédant du terme mais suffisant. Le couple, et surtout sa fin n'est plus quelque chose qui m'angoisse au point d'y penser chaque jour. Je sais que ce n'est pas grave de ne plus aimer et surtout être aimée. Mais j'ai la sensation foudroyante que je serai en capacité d'aimer une même personne toute une vie et pas uniquement parce que je suis habituée à l'aimer. Je sais aussi que la majorité des gens ne sont pas prêts à être aimé toute une vie. Car ça fait peur maintenant d'aimer bien une seule personne quand tu sais que tu pourrais aimer mal plusieurs autres personnes. C'est un aspect qualitatif que je me sais personnel et rare mais qui me rassure. Ce n'est pas le cas de tout le monde. C'est pas un défaut pour autant. Mais je ne pense pas un jour me lever, après des années de couple, et me dire que je regrette de n'avoir aimé qu'une personne pendant toutes ces années (si la relation et la personne en valent le coup évidemment). Je sais aussi que je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui avait cette vision des choses. Ça ne me fait plus peur. J'attire juste mon attention sur le fait que je me crois être capable de me dévouer émotionnellement et amoureusement à la même personne sur un temps indéfini. Je sais que je rencontrerai des gens qui partiront pour ça précisément, pour cette appréhension de l'amour vrai et durable. Cette peur de se dire que même si on a vécu des belles années avec quelqu'un, on aurait pu rencontrer et avoir tellement de vies entre temps. Je pense seulement que si on pense à toutes les vies qu'on s'empêche d'avoir pour chaque infime choix qu'on fait, alors c'est là que les regrets naîtront. Ils naîtront de l'indécision et de la frustration de se dire qu'au fond, le meilleur peut-être partout. C'est vrai. Le pire aussi. Est-ce vraiment la recherche constante du meilleur qui nous satisfait ou le maintien du bon ?