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#vivre rire aimer
reidiot · 1 year
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i mean i hate myself sometimes and there are mornings when i wake up wishing that i didn't, but really it's not that deep because at the end of the day i'm proud of myself for getting that duolingo streak so vivre rire aimer och hej då putas
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I'm on new meds now, I'm feeling things I've never felt before
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autumnalmess · 5 months
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Obsessed with fantine saying "je voulais rire, aimer et vivre" in the french version of Les mis because it means 'I wanted to laugh, love and live'. She was really just a live laugh love girlie
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coolvieilledentelle · 8 months
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Je te souhaite du temps   Je ne te souhaite pas tous les dons possibles. Je ne te souhaite que ce que la majorité ne possède pas : Je te souhaite du temps pour te réjouir et rire, Si tu l’utilises bien, tu en tireras grand profit.   Je te souhaite du temps pour ton oeuvre et ta pensée, pas seulement pour toi-même, mais aussi pour en donner. Je te souhaite du temps, pas pour te presser et courir, mais le temps de pouvoir être content.   Je te souhaite du temps, pas seulement pour le laisser s’écouler. Je souhaite qu’il t’en reste, Pour t’émerveiller et te fier, au lieu de le regarder sur ta montre passer.   Je te souhaite du temps pour toucher les étoiles, et du temps pour grandir, c’est-à-dire pour mûrir. Je te souhaite du temps pour espérer à nouveau et aimer. Remettre à plus tard est insensé.   Je te souhaite du temps pour te retrouver, Pour vivre chaque jour, chaque heure avec félicité. Je te souhaite aussi du temps pour pardonner. Je te souhaite d’avoir le temps d’exister!   Elli Michler
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jeanchrisosme · 7 months
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Parle moi de tes silences, de ce que tu n’as jamais dit à personne.. Montre moi des morceaux de ton âme que personne n’a jamais vu avant.. Des bouts de toi que tu caches, des souvenirs que tu gardes au fond de toi, des secrets dont tu as honte, des endroits dont tu es le seul à connaître.. Parle moi de cette personne qui t’a blessée au point que tu ne saches plus respirer, de celle qui t'a appris à vivre, et de celle qui t’a appris à aimer.. Parle moi de ton premier amour, de ses yeux, de son sourire.. Raconte moi tes fous rires, tes larmes, tes cris, les cicatrices qui font que tu es qui tu es.. Parle moi de ta chanson préférée, de celle qui fait ressurgir de mauvais souvenirs, de celle qui te motive, et celle qui fait battre ton cœur plus vite.. Parle moi, dis moi tout sur toi, je veux tout savoir, je veux te connaître mieux que tout le monde, mieux que toi même.. Sois avec moi la personne que tu es quand tu es seul dans ton lit le soir quand il n’y a personne pour te juger..
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orageusealizarine · 5 months
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COMMENT être pleinement vivante ?
Vous m'avez dit laisse tomber les concours et les livres, sors des bibliothèques (s'il te plaît) et de l'amour du dix-neuvième siècle : ne te prostitue pas pour de l'argent (et je sais combien tu en aurais envie, d'épouser n'importe quel.le riche pour son argent seulement), abandonne l'idée du confort et ose, viens, rencontre-moi, allons où tu voudras
Vous m'avez dit d'écrire, de me mettre à nu, de sécher mes larmes et de continuer de rire et de danser, vous m'avez dit des silences qui furent comme des coups de poignard anonymes et des tremblements ; tu m'as dit VIS, JE T'EN PRIE, tu m'as dit à quel point la réalité était un courage et que mon écriture avait toute l'exigence de la violence,
Et vous m'avez dit et répété que mes mots déchiraient, déchiraient ce réel auquel j'en veux tant, étaient plus forts, plus forts - mes mots à moi ; vous m'avez nimbée de je ne sais quelle oracle ; je me suis désertée de ma propre enveloppe : je me suis faite à l'image de n'importe quel miracle.
Vous m'avez dit combien au mot "bonheur" je répondais "réalité", comme si, comme si cette réalité était la condition du bonheur (puisqu'il n'y a pas de bonheur imaginé - il n'y en a qu'un seul, grandiose, qui se vit à l'instant même), oui, tu m'as dit à quel point j'étais intransigeante et je tapais des pieds, à quel point mon propre ego me faisant mal : tu m'as dit sors de ta prison - est-ce que j'étais folle, enfermée ou si j'étais libre de mes mouvements, qu'est-ce qui m'empêchait de courir, partir ?
Vous m'avez dit ose, vis, sois
Pleinement -
Et je suis
Plus grande que mes malheurs - une esthète, une œuvre d'art, délicate et généreuse - mieux : rayonnante
Et je serai - chaleureuse, altruiste, pleine de santé, tonique, je plongerai mes mains dans la terre - amicale - mes yeux ont la beauté des étoiles - magnifique la vie que je voudrais répandre sur tous ceux qui m'entourent
Tremblante, ma voix amoureuse, dans les parcs et les magasins, tant et trop de délicatesse - la feuille à peine détachée de l'arbre, légère, légère, tourbillonnante
Je voudrais m'offrir, je voudrais m'offrir - à toutes les belles âmes qui meurent de froid, donner toute ma beauté et la richesse de mon être - ça serait vivre !
Être encore autre chose qu'un soleil, et plus réelle qu'un astre - ma chaleur et mes enthousiasmes à donner - tout ce qui brille dans mon cœur, tout ce qui déborde, ce que mes bras ne peuvent contenir et encore toute mon âme
Je voudrais tout offrir, tout, tout donner, répandre des morceaux de moi, le meilleur de ma chair, le plus clair de mes mots, le plus pur de mes baisers et ma tendresse et ma sensibilité - j'ai tout et tant à embrasser et la largesse de mon cœur à contenter, à déverser, à ravir,
Mes yeux à ras bords de toutes les merveilles de la terre - que j'aime et que j'aime et que j'aime
Et vous - que je voudrais tant aimer
Pour oser, pour vivre, pour être - dans la clarté du jour, la majesté des soirs, toute la beauté qui m'étreint - pour vous dire mon ivresse d'être en vie, le bonheur qui est encore autre chose et qui n'a rien d'un mystère
Buvez-moi comme un alcool - si seulement, si seulement mon extase pulsante, vibrante, vivante vous prenait à vous aussi - vous parvenait de n'importe où et d'ailleurs...
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nos-nouveaux-espoirs · 9 months
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à toi
Je me le promets. Je me le promets pour de vrai.
Je me promets de te laisser partir. Je me promets de te laisser t’en aller, comme tu me l’as demandé.
Cela fait des semaines, des mois, plus d’une année que je mène une lutte contre moi-même, entre le cœur et la raison. Quand l’un te veut auprès de lui, l’autre me supplie de te laisser partir. De te laisser appartenir au passé, là où tu as existé et brillé si fort qu’un futur sans toi me semble impossible.
Oui, on s’est aimé fort, si fort, peut être un peu trop fort pour ce monde qui a pourtant besoin de douceur et de calme. Les tempêtes ne peuvent pas durer éternellement, elles ne doivent être là qu’un temps. Et toi tu as été là, tout près de moi, à raviver la flamme et l’essouffler l’instant d’après.
Je ne t’en veux pas. Nous avons fait du mieux que nous pouvions pour nous aimer correctement. Nous avons affronté des tempêtes trop violentes, trop destructrices, qui ont surement eu raison de nous. Mais au-delà de tout, c’est nous-même que nous avons dû affronter. Toi et moi, tes blessures et les miennes. Deux cœurs qui s’aiment, mais qui s’aiment mal.
Je n’oublierai jamais à quel point tu m’as rendu heureuse. A quel point t’avoir rencontré a bouleversé mon existence car il n’y a qu’auprès de toi que je me sois sentie aussi vivante. Tu m’as appris à sourire, à rire comme jamais je n’avais pu le faire avant toi. Tu as été mon oxygène, et sans aucune difficulté je peux le dire ; tu as été ma raison de vivre. Quand tout mon monde s’est écroulé, je n’avais plus que toi, je ne voyais que toi. Tu m’as redonné de l’élan quand je ne savais plus courir, tu m’as redonné des raisons de rire quand je me terrais dans le silence.
Jamais je n’oublierai les sentiments que j’ai éprouvé pour toi, à quel point ils étaient forts et intenses et de quelle manière j’aurais tant voulu continuer à t’aimer. Souvent je pense à ce qu’on aurait pu être si on avait lutté encore un peu plus contre la vie. Mais la réalité, c’est que cette séparation était nécessaire pour nous permettre de nous connaître, pas en temps que couple, mais en tant que personne. Toi avec toi, moi avec moi.
Car en dépit de tout l’amour que tu m’as apporté et de tous les sourires que j’ai pu t’adresser, je me souviens maintenant des larmes, des cris, de mon cœur qui s’est brisé à maintes reprises quand je voyais notre amour se détruire sans que nous puissions faire quoique ce soit pour stopper sa chute. Nous n’étions pas assez fortes pour lutter contre ça, ou peut-être que nous ne devions finalement pas être « la personne ». Peut-être que le bonheur est ailleurs. Auprès d’une autre âme, auprès d’un autre cœur, auprès d’un autre corps.
Ces mots sont durs à écrire et pourtant, je me dois de les accepter. Parce qu’ils reflètent ta réalité. Tu es partie, tu es partie quand je te suppliais de rester. Tu m’as laissé seule alors que j’avais tant besoin de toi. Tu m’as dit que je n’étais peut-être pas l’amour de ta vie, et que tu n’arrivais plus à me considérer comme tel. Tu m’as dit que tu revenais sur toutes tes paroles car elles avaient été prononcées quand tu m’aimais encore. Sans rien dire, tu venais de tout dévoiler. Tu ne m’aimais plus, tu ne m’aimes plus. Ta vie est ailleurs, auprès d’une autre, alors que j’attends inlassablement ton retour, me persuadant que tu ne fais pas partie de ces âmes à chuchoter des promesses sans les penser au plus profond de ton être. Mais la réalité c’est que tu es comme ça. Tu fais partie de celles-là.
Je ne t’en veux pas d’avoir tourné la page. Je m’en veux d’avoir été assez folle de toi pour croire que tu aimais de la même manière que moi. Parce que quoiqu’il arrive, quoiqu’il puisse se passer, c’était toi, ça l’est et ça l’aurait toujours été. Car tu aurais toujours été mon choix. Toi.
Mais je me promets de me choisir, cette fois. Quand toi tu ne l’as pas fait, quand toi tu m’as délaissé et que tu as décidé de t’en aller. Je me promets de me choisir assez fort pour ne pas oublier à quel point notre histoire, certes passionnelle, était accompagnée de trop d’orages.
Pour me rappeler toutes ces fois où tu n’as pas su me faire confiance. Toutes ces fois où tu me croyais capable d’entretenir de l’ambiguïté avec mes plus proches amis. Toutes ces fois où tu m’as demandé de changer, de cesser de me comporter comme je l’avais toujours fait avec eux. Toutes ces fois où tu ne m’as pas soutenu quand j’en avais le plus besoin, car ta peur du changement et de l’évolution étaient plus importantes que ma construction personnelle. Me rappeler de toutes ces fois où tu m’as fait me sentir comme une moins que rien car ta jalousie était justifiée, car fouiller dans mes affaires était banalisé, car ne pas me faire confiance alors que je te donnais tout n’était pas suffisant. Toutes ces fois où tu m’as fait sentir que j’étais un poids parce que je ne respirais pas la joie de vivre comme toi tu le faisais. Parce que j’étais anxieuse, rêveuse, et que je me questionnais sur ma propre existence. Toutes ces fois où j’aurais eu besoin que tu me soutiennes mais où tes blessures prenaient toute la place.
Pour toutes ces fois où je me suis sentie mal d’être qui j’étais, je me promets de me choisir, cette fois. Tu ne seras plus ma priorité. Tu ne seras plus ma fatalité. Si la vie doit se faire sans toi, elle se fera. Je ne quémanderai plus ton amour, je ne chercherai plus ton attention, je n’attendrai plus rien de toi, ni ta bienveillance, ni ton souci, ni ton amour. Je tournerai la page, et comme toi un jour, je me dirai « je ne l’aime plus ».
Tu resteras toujours au creux de mon âme, parce que tu as pris un bout de mon cœur en t’en allant. Mais j’arriverai à penser à toi sans m’effondrer parce que tu n’es plus là. J’accepterai que tu ais eu ta place dans ma vie à ce moment précis, mais que tu ne dois plus en faire partie.
Et puis, si un jour nos chemins se recroisent, je souhaite que ce soit dans de meilleurs conditions, pour une meilleure vie.
Mais je me promets de ne plus attendre ce moment. Je me promets de ne plus t’attendre, mon amour.
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Tu vois, mon ami, le monde se divise en deux catégories, il y a ceux qui ânonnent le "sellezéceux" (ou le "àtoutezéàtousse") de la novlangue, et ceux qui désirent apprendre à parler français. Apprendre à parler correctement sa propre langue est le premier moment du système immunitaire… Pour eux, il y a la langue, toujours verte, de Victor Hugo:
«Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.
Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.
Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,
C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans nœud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s'écroule en nuage ;
Ceux qu'on ne connaît pas, ceux qu'on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L'ombre obscure autour d'eux se prolonge et recule ;
Ils n'ont du plein midi qu'un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhova,
Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ;
Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, cœurs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !»
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anna-el-le · 2 months
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Elle m’a regardé me noyer dans mes larmes et m’a prise dans ses bras en me chuchotant à l’oreille ces tendres mots : « ça va aller, et je le sais parce que de toutes ces fois où la vie t’a frappé, tu t’es toujours relevée. À chaque fois que tu es tombée peu importe la raison, tu t’es toujours relevée. Et ça ne veut pas dire que c’est facile, tu n’aurais jamais dû vivre tout ça, et pour tout ça je suis désolée. T’as pas de cœur non, t’as un tout petit diamant à la place et ça, peu le savent. Je serais toujours là pour te rappeler à quel point t’es courageuse et merveilleuse, et ce monde est tellement mieux avec une Anna dedans. »
Mon cœur est pris en otage par un ouragan, j’apprends à avancer seule, de nouveau, mais tout va bien, j’ai séché mes larmes, je ruisselle de l’intérieur. Je suis totalement effondrée, je pleure tous les soirs dans mon lit en me demandant pourquoi tout ce que j’effleure se brise, pourquoi tous ceux que j’aime s’en vont. Mais ça va aller. J’ai plié bagage, mis toute une maison en carton et on est partis, tous les trois, se recentrer sur ce qu’il nous reste : nous. Nous reconstruire une bulle d’amour, nous aimer plus fort que pendant cette dernière année tumultueuse. J’écris ça depuis ma nouvelle terrasse, les étoiles scintillent, la lune est pleine, mes yeux pleins de larmes tant il me manque. Passons, un jour après l’autre, après l’orage, l’arc en ciel, et puis le soleil.
Il me tarde d’entendre des rires éclater aux quatre coins de la maison. Il me tarde de construire de nouveaux souvenirs dans ce petit coin, nous contre vents et marées. Only. Mes petits mecs, mes trésors, mes cœurs de beurre, vos bouilles et vos cous jusqu’à la fin de ma vie, je vous aimes à la folie.
Par pitié, ayez une Phil dans vos putains de vie, elle a séché absolument toutes les larmes lâchées depuis une semaine, elle a serré ma main si fort jusqu’à la fin du dénouement.
Et toi ma Thaïs, que je t’aime, loin des yeux (de nouveau) mais si près de mon cœur, je veille sur vous.
Mes étoiles brillent.
J’aime pas être seule, mais j’en ai pas peur. Par contre, vivre sans toi, oui ça, ça me fait flipper.
23.02 / 23:02.
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gai2024 · 2 months
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Un été inoubliable
La beauté de la saison la plus chaude de l'année est incomparable, et cet été-là... oh, cet été était définitivement inoubliable. Tout a commencé avec l'anticipation des mois qui se terminaient, des valises faites et des rêves se réalisant sous le ciel bleu immaculé et le soleil qui reflétait la lueur dorée dans le cœur des aventuriers.
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Le voyage a commencé avec un kaléidoscope de paysages qui passait à travers la vitre de la vieille voiture qui, malgré ses bruits et ses caprices mécaniques, était la capsule temporelle qui nous transportait dans un univers parallèle où les soucis quotidiens n'existaient tout simplement pas. Les chansons jouées étaient la bande originale d'un film d'été, où chaque chanson mélodieuse portait en elle la promesse de moments éternels.
La destinée? Un petit village côtier accueillant, dont les plages étaient des franges de pure magie baignées par l'océan. Chaque grain de sable, chaque coquillage sur le rivage, chaque vague déferlant avec une force délicate sur la plage était une invitation à recommencer, à inspirer quelque chose de nouveau. C'était comme si le temps avait son propre rythme, une sorte de cadence paisible qui apaisait l'âme.
Et c’est là, dans la douceur des après-midi langoureux et des nuits étoilées, que les amitiés se sont renforcées. Les rires partagés à l'ombre des cocotiers, les jeux et défis improvisés que seul le détachement des routines permet, les saveurs tropicales qui se marient parfaitement avec la brise marine... Tout a contribué à construire la tapisserie d'expériences que l'on en viendrait à appeler " le meilleur été de notre vie."
L'amour donnait également un air de grâce, d'une manière aussi naturelle qu'un coucher de soleil qui teinte le ciel d'une palette incroyablement vibrante. Les amours estivales sont faites de différentes matières, tissées avec la lumière dorée du soleil et la liberté du vent qui ne connaît pas de frontières. Et même si toutes ne durent pas au-delà de la saison, leur saveur est ravivée à chaque vague qui embrasse la plage dans un éternel retour.
Il y a eu aussi des moments d'introspection : les promenades solitaires le long de la plage à l'aube, quand le soleil répète ses premiers accords à l'horizon et que la brise porte encore la fraîcheur de la nuit qui s'en va. Dans ces moments-là, des conversations silencieuses avec soi-même étaient possibles et la mer devenait la meilleure auditrice des confidences et des rêves.
Alors que le mois d'août touchait à sa fin, la nostalgie commençait déjà à projeter son ombre, mais c'était une ombre douce, car chaque souvenir était déjà enregistré dans des couleurs vives, prêtes à être consultées lorsque le froid des autres saisons soufflerait à travers les feuilles mortes du futur. jours. .
Cet été inoubliable nous a appris à vivre, à aimer, à être libres. Il a montré que le bonheur est fait d'instants et que la beauté de la vie réside souvent dans la simplicité : une baignade dans la mer, un sourire partagé, la chaleur du soleil sur la peau.
Lorsque les sacs ont été refaits et que la vieille voiture nous a ramenés à la maison, nous avons compris que quelque chose en nous avait changé. Nous étions chargés non seulement de souvenirs, mais aussi d'une expérience qui nous avait transformés. Ainsi, chaque été porterait ensuite un peu de cette magie, une flamme éternelle qui nous réchaufferait avec le souvenir de jours d'un été absolument inoubliable.
Suivre sur Instagram: @mylife.usa2024
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mrlafont · 4 months
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Des vœux ? Je veux continuer le travail que j'ai entamé. Je veux que Dieu ne me casse pas de trop — mais tout n'est-il pas que justice ?... Je veux, oui, je veux continuer le travail que j'ai entamé. En juin prochain je serai enfin libre, libéré du monde de la scolarité, de la formation, pour de vrai et cette fois-ci j'espère pour de bon. Il était temps. La trentaine est là, toute proche, déjà. Et j'ai perdu du temps quoi que les autres me disent. Mais c'était mon destin. J'ai évité le pire. Je n'ai peut-être pas fini de l'éviter. Car la vie est tout, et pour certains, pour moi entre autres, éprouvante, angoissante — un combat à mort. Les questions que je me pose deviennent de plus en plus pratiques, mais le fond reste existentiels. La question de se projeter à deux, de fonder un foyer, le flou quant à où vivre, quant à où travailler. La difficulté de ne pas s'oublier, soi, dans le couple, car le couple est un monstre et le mythe d'Aristophane est tenace. Une tendance naturelle veut que l'on se perde dans l'autre. S'y prémunir exige dignité, confiance en soi et rigueur d'esprit. Et puis, bien sûr, au milieu de tout ça, le doute, sur tout. Et si, au final, je n'étais pas davantage ? Et si je ne serais pas mieux seul ? Et si ce n'était pas elle ? Et si ce n'était pas le bon métier pour moi ? Et si, et si ? Mais je sais maintenant tordre le cou aux doutes, je n'en ai plus très peur. La majorité des gens vivent sans douter, sans trop se remettre en question, et ils meurent comme ça. La plupart des gens ne prévoient rien dans leur vie. Il y a une vague qui nous emporte et que nous devons apprendre à aimer, car cette vague c'est nous-même, poussée par la vie. Nous avons en notre possession quelques leviers d'actions, à nous de les trouver, à nous de les actionner si le cœur nous en dit. Le tout c'est de s'aimer, et s'aimer c'est s'accepter. Tout ça pour dire quoi ? Pas grand chose. Pour faire court, ou pas, oui, j'ai des vœux, quand même, non pas des résolutions, car elles sont déjà prises (deux mois sans alcool ni tabac et des années d'introspection et de tentatives pour devenir meilleur), des vœux, j'aimerais, justement, mieux aimer, me faire davantage confiance, cesser de prendre les choses trop au sérieux, cesser, en fait, d'avoir peur, et ne jamais perdre de vue, à toute instant, la gaieté, le rire, la vie qui est toujours et à chaque instant possible. Et je souhaite à tous la même chose pour cette nouvelle année et celles à venir.
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Tu sais, si tu creuses un peu plus, derrière mes sourires et mes rires, tu trouveras tout ce que je n'ose pas dire et faire. Tout ce que j'aurais dû dire mais que je n'ai pas osé faire par peur de blesser et de me blesser. A l'intérieur ça gronde de non-dits, de larmes et de tristesses refoulés. A l'intérieur c'est aussi des projets non aboutis par peur de ne pas être à la hauteur, d'être jugés, critiqués. Au fond tu t'y retrouveras, parce que, tu sais aussi bien que moi, que tu y resteras toujours. Tu trouveras des fantômes de mon passé. Des personnes que j'ai du mal à lâcher. Tu verras et tu entendras l'écho de mes larmes qui s'accentue à chaque personne qui part de ma vie. Tu découvriras que, par peur d'être trahie et de souffrir, je n'arriverais pas à nouer de vraies amitiés. Mais surtout tu verras bien que malgré ça, mon cœur en décide autrement. Il s'attache toujours plus vite et donneras beaucoup TROP de lui. Je ne sais pas faire sans lui et je le remercie de me faire vivre la meilleure chose dans la vie même si j'en ai peur : aimer. Tu t'en apercevras que je suis une battante, que je ne lâche rien, que je ne lâche pas prise. Mais tu sais, je ne te le cache pas, tu verras vite que je suis ma propre pire ennemie. Je me pourrie moi-même. Je réfléchis trop, repasse en boucle un avis ou une critique sur moi. Je suis mon propre piège. Mon propre tourment. Mais ne t'inquiète pas, tu verras que je suis quelqu'un qui aime rire. Chaque rire que je réussis à donner à mes parents, me donne une joie infini. Je crois que je commence à accepter mes défauts. Je crois que je commence à lâcher prise sur moi-même. Tu sais si tu cherches dans mes souvenirs, tu verras que mon corps en a baver, qu'il a vécu un enfer que je ne souhaite à personne. Des mains l'ont détruit en le touchant sans consentement. Après ça, chaque fois que je me regardais dans un miroir c'était un chaos de larmes et de souffrances. J'ai mis tellement de mois avant de réussir à me regarder intégralement. Chaque douche était un supplice. Mais tu y verras aussi des mots, des phrases gravés à jamais dans ma tête. Malheureusement, j'ai commencé à réussir à leur donner moins de valeurs et de poids au cours de mes 24 ans. Tu sais, je croyais qu'être anormal et différent était une vraie anomalie, une maladie qui s'accroche et te faire devenir un lépreux auprès des autres. Mais tu sais maintenant, j'adore être différente. J'aime être une anomalie. Maintenant, ce n'est plus quelque chose qui me fait souffrir mais qui m'apaise. J'aime être moi-même, avoir la vie que j'ai, d'avoir vécue mes combats, mes traumas avec ma famille comme alliés. J'assume pleinement de ne pas avoir la même vision des choses que les autres, de ne pas avoir les mêmes rêves, de physiquement avoir des défauts. C'est terminé de laisser les autres m'atteindre et de les laisser faire mes propres choix. Plus le temps passe, plus je sors de ma propre prison. J'enlève mes propres chaines et je vis tout simplement en m'aimant, en me soutenant dans mes projets. J'aime tout de ma vie.
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encoreunevie · 2 years
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Aimer
Ce soir je me sens seule. J'ai l'impression qu'il me manque quelque chose, ou plutôt quelqu'un. Une personne avec qui rire, parler, discuter de sa journée. Un partenaire de tous les instants. Un soutien, une épaule. Un visage à contempler, des lèvres à embrasser et qui m'embrassent, des bras à enlacer et qui m'enlacent. Une belle âme avec qui passer ma nuit, avec qui faire l'amour jusqu'à ne plus en pouvoir. Il me manque un amour. Un de ceux qui illuminent le visage des gens, qui leur donne une raison de vivre et d'exister.
Il me manque un regard amoureux. Des yeux dans lesquels me plonger.
Il me manque un coeur à aimer.
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deshommesetdesmots · 9 months
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3 ans plus tôt.
En ce deuxième jour sans toi j’ai les yeux tantôt sec, tantôt noyés de larmes. Je ne sais plus dire pourquoi je pleure. Est-ce de tristesse ? De colère ? De manque ? Ou de solitude ? 
Est-ce tout ça à la fois? Je ne sais plus. 
Je ne vois pas de souvenirs mais, par flaches, il me reviens des sensations. Une odeur, une couleur, un souffle… J’ai l’impression de laisser tanguer mon corps au rythme de la tempête que tu as provoqué, résignée. Je ne me bat pas, je ne fais que ressentir passivement la douleur des émotions qui disparaissent. 
Je ne veux pas me souvenir, je veux tout oublier, je veux remonter le temps et ne jamais avoir commencé cette histoire insensée. Je ne veux plus y croire si fort. Je ne veux plus t’aimer. 
Je marches en titubant, c’est la puissance des vagues qui fait ça. J’entends ta voix et je trébuche. Je vois tes yeux et je vacille. Je sens ton parfum et je m’effondre. 
Je ne suis plus que ça : une coquille pleine de vagues monstrueuses, qui se fracassent contre ma peau. J’aimerais me noyer pour m’endormir et ne plus t’aimer mais il n’y a pas assez d’eau dans les larmes. 
Alors je suis assise là et je vois mon corps qui n’a plus l’air d’être mon corps, et forcément, j’y vois le tiens, emboité au miens comme s’il était fait pour ça. Alors je n’en veux plus de ce corps je veux qu’il disparaisse, je veux que les vagues l’emportent loin pour ne plus jamais voir qu’il y manque le tiens. Je veux rétrécir et devenir si petite que je finirai aspirée par le moindre courant d’air. Je m’envolerai loin. Si loin qu’on ne pourra plus m’atteindre.
Je n’arrive pas à aimer cette vie que tu as rendue si injuste. Cette vie que tu as montré du doigt. Cette vie trop dure pour toi, dans laquelle tu m’as laissé seule. Je dois vivre chaque jour avec cette vie dont tu n’as pas voulu en essayant d’oublier à quel point c’est dur. Mais sans toi c’est impossible. Il n’y a plus de soleil, il fait tout le temps nuit.
J’ai envie de te détruire pour ce que tu m’as fait. Je veux que tu souffres autant que je souffre. Je veux te fracasser contre un mur, je veux t’éclater le crâne sur le trottoir, je veux te gifler si fort que tu en perdras une dent. Je veux te démolir et je veux te serrer contre moi si fort que tu ne pourras plus jamais partir. 
Ne plus te voir à ma droite au réveil est un choc permanent, alors je dors sur le canapé. J’ai mal au dos et je te déteste encore un peu plus de me faire subir ça. Je ne t’entends plus rire dans le silence alors je met du bruit tout le temps, j’allume YouTube et je branche l’enceinte. Je n’écoute pas, ce n’est qu’un vacarme qui me défonce le crâne, et je t’en veux encore un peu plus de me faire subir ça. Entre chaque chanson, entre chaque vidéo, les 30 secondes de silence me suffisent à m’effondrer. 
Ça ne fait que deux jours et je n’en peux plus, je ne veux pas me réveiller demain.
- Blanche, récit de survie 1.
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jeanchrisosme · 3 months
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Cette vie est faite pour aimer, partager, apprendre, sourire, attentionner, pardonner, rire, câliner, aider, danser, s'émerveiller, guérir et encore plus aimer. Je choisis de vivre la vie de cette façon...
Steve Maraboli
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the-swan · 11 months
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♡ STORYTIME :: a lie within a dream
CHAPTER 01. peaceful sleep
— et elle chante, Ash, comme si les mots n'en seraient jamais suffisant. de ses doigts à pincer les cordes, de son archet à glisser contre l'instrument : violoncelle ,, comme seul réel ami. vibre les sonorités ,, les muses lui en avaient offert : talent des plus précieux ! seule réussite, sur les terres escarpées.
"again and again ! play ! Ash !"
de ses mains à ne jamais devoir être abîmées, enfant sur laquelle l'on avait tout misé : car de sa seule passion ,, les maladresses en semblaient toujours sournoises. et malgré les blessures, et malgré les efforts, à tuer son petit corps, elle souriait ! celle à être amoureuse des notes idylliques.
CHAPTER 02. farewell, nerverland
— rire angélique, merveille de l'univers ,, elle voltige, sautille sur les pavés, fleurit comme bien trop sage. innocence dans l'âme, naïveté à vouloir en croire bonté dans tous : Ash, elle en suivait les papillons dans la rue, s'arrêtait pour en sentir les fleurs sauvages, comme si tous les maux sur ses épaules n'en étaient que chaos dans quelques uns de ses rêves. et de ses gentillesses toujours trop mélodieuses, à vouloir vivre le jour le jour sans ne plus en être emprisonnée : elle en attrapait les étoiles, de ses paumes, pour pouvoir les protéger à leur tour.
CHAPTER 03. love me like this
tw. violence conjugale ,, coups et blessures
— et dans les contes, les princesses douces et délicates en trouvaient toujours leur prince. sourire à mourir, cœur à s'éteindre. quand elle avait cru, en ses mots. à lui avoir offert tous ses sourires, les lueurs s'en étaient éteintes, dans son regard.
et de ses coups,,
à mourir :
sous ses yeux.
d'un amour sincère ! quand de fin de lycée, tout n'en avait été qu'illusion perfide : jeu bien mené, ficelles à l'avoir suspendue dans les tréfonds des Enfers. car d'une possessivité extrême face à ses douceurs altruistes, les coups étaient venus en redessiner son corps. de quelques galaxies, de quelques étoiles, là, ici : à toujours en afficher sourire sur ses lippes, pour tout dissimuler. à ne rien dire, se taire ! jusqu'à ce que les joues inondées par les pleurs en reçoivent les bénédictions des cieux. protégée de tout un monde : personne n'avait rien vu ! et elle en était effrayée ,, de chaque geste que l'on venait à lui adresser : comme par instinct de survie, face aux cruautés du monde. réactions automatiques, quand délaissée par le démon pour une autre proie ,, les poumons revenaient à fleurir presque trop doucement.
CHAPTER 04. the swan
— court sur scène, de ses délicatesses si merveilleuse ,, sylphide à se faire fraîcheur de vivre : quand sur scène, elle rayonnait. fierté de ses parents, à trop souvent l'ignorer quand elle n'en brillait pas derrière son instrument, elle venait à en aimer chacun des instants où les doigts en caressaient son violoncelle. à l'enlacer, le chérir, comme réelle personne. personnification : de ses romances inventées ! à rêver comme mélodrame de quelques baisers contre ses joues.
Saint Saens :: à la refaire naître.
quand comme un cygne, d'une blancheur aux puretés qui lui en collaient à l'épiderme, elle en était iconique ! connue, là, pour sa bonté infernale ! quand entre banquets et soirées organisées, elle en était toujours au planning ! de son petit corps trop frêle ,, à rayonner. comme pour en cacher, que les étages n'en étaient pas si élevés par rapport à d'autres.
qu'importe ,,
quand chaque jour :
en étaient requiem fleuris.
CHAPTER 05. starlight parade
tw. harcèlement
— et sur son dos, instrument à se balader ! elle sourit à tout le monde, en vient en aide à tous ceux dans le besoin. bonne poire, Ash ! car de quelques travaux, joueuse incroyable : dans ce conservatoire, sa place n'en est que futile. mais elle aime si sentir entourée ! de quelques visages familiers. douceur d'un temps, à côté des concerts réalisés.
à être :
pantin de certains.
car elle en était trop gentille ,, pour en laisser de marbres ceux aux alentours. entre déclarations factices, pour en voir ses réactions, demandes toujours plus saugrenues, comme pour la tester. il y avait parfois les sarcasmes et les petites bousculades ! celles que l'on accuse de pacifique : quand les jeux n'en étaient pas sains. là, entre les couloirs, entre les salles de répétitions. à lui voler son archet, détraquer son métronome ,, quelques mots sur les partitions : ô jamais vraiment mélodieux. et pourtant, Ash, soleil à briller : elle en avait capturé tous ses rayons sans y faire attention !
and they will just get over it one day.
alors à supporter : à en avoir l'habitude. petite poupée à se jouer du monde, à sembler naïve et beaucoup trop bête ,, à pourtant savoir, au fond, que le monde n'en aimait tout simplement pas ceux qui en essayaient d'être heureux.
CHAPTER 06. mad world
tw. pression psychologique
— famille renommée ,, quand papa en était directeur d'une école de musique très fermée, que maman en était professeure au conservatoire. à devoir être princesse parfaite : quand les doigts à s'en abîmer, elle devait jouer, encore et encore, jusqu'à ce que les harmonies en soient divines, jusqu'à ce que le public en pleure. et d'un petit nom, dans le spectacle, famille invitée à de nombreuses cérémonies et divers évènements, à emmener derrière eux, petite muse à briller : elle était celle à rassembler ! Ash. de ses sourires, de ses délicatesses, à s'être faite un nom !
bousculée :
par de nombreux ,,
regards.
quand de quelques mécènes parfois trop vicieux, à se produire ((trop)) souvent, pour son fin corps : elle s'en épuisait souvent ! car les menaces pleuvaient, à ne pas savoir ce qui en adviendrait de sa passion si de ses parents contrariés, elle n'en atteignait pas les Paradis virtuoses. et du haut de leur 82ème étage ,, ô à ne pas en atteindre les sommets ,, il n'y en avait pourtant que désirs à briller, chez ses parents. loin, de celle qui n'en aimait que sa liberté de jouer de son instrument.
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