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#voisin de palier
coquelicoq · 1 year
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can't tell if my neighbor and i are flirting right now. if we are, we're doing a pretty bad job of it. part of that is probably that i keep reading over what i'm writing and going oh no, that sounds flirty! delete.
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magicarpedore · 2 years
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Mes voisines gueulardes du dessus qui font une soirĂ©e musique Ă  fond et fenĂȘtre ouverte un soir, les voisins du dessous qui font soirĂ©e karaokĂ© musique et cordes vocales Ă  fond le lendemain soir.
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roxannebee · 2 months
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Ma nouvelle BD s'intitule La Panne et elle est NUMÉRIQUE !!!
Dans une cage d'escalier oĂč l'obscuritĂ© aiguise l'imagination, une Ă©lectricienne dĂ©barque avec ses outils et rĂȘvasse sur chaque palier. Qui n'a jamais eu envie d'observer discrĂštement ce qui se passe derriĂšre les portes fermĂ©es, de dĂ©couvrir l'intimitĂ© d'inconnus partageant un immeuble ? Chez les voisins, l'herbe a toujours l'air plus verte, plus confortable, parfaitement Ă©thique, bio et recyclĂ©e ! Pourtant, si l'on cherche un peu, il n'est pas impossible qu'on Ă©claire certaines zones d'ombres. 
Elle se lit, se clique et se scrolle chez la Collection RVB (et c'est po cher du tout)
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cestmoiquand · 6 months
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Mes voisins de palier ont un corgy, beaucoup trop chou !!!
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amertumedelamer · 5 months
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Ce dessin, scannĂ© le 25 novembre 2017, a Ă©tĂ© offert Ă  un colocataire de l'Ă©poque, Ă  Bruxelles. J'ignore son devenir actuel, s'il a rencontrĂ© l'intĂ©rĂȘt dĂ©sirĂ©, s'il a pu susciter, au moins en le dĂ©couvrant, une once de joie... Yvan Ă©tait mon voisin de palier du dernier Ă©tage de cette maison de maĂźtre du quartier EuropĂ©en. Je doute fort qu'il trouvera ce post, mais voici pour l'histoire.
Aucun rapport avec l'image, mais étant à court de fichiers jugés comme valables à partager, je ressors ce vieux vin d'ùge en divan, pour souhaiter ici une divine année, ou tout comme. Bonne année, quoi.
En espérant avoir su faire simple et élégant... un peu comme cette endive qui se pavane sans complexe dans ce chic environnement.
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clhook · 2 years
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je suis allée livrer des livres à une vieille dame ce matin et elle m'a dit "vous avez vu j'ai plus mon petit chien je l'ai fait piquer et puis ma voisine de palier est morte cette semaine crise cardiaque, moi ça me rassure parce que les deux autres voisins étaient déjà décédés et ma copine me disait attention bernadette jamais deux sans trois ! là maintenant ça fait trois donc je suis tranquille" ok madame je vais y aller hein
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reiynm · 10 months
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Bien le bonjour! J'espĂšre que tu vas bien 😊 Et wsh!! J'adore trop ton visual novel?? <3 Je dirais pas que je crush sur ton oc mais
.. enfaite si je crush grave sur lui!! En plus il n'a pas l'air trop mĂ©chant, je suis sĂ»re que je pourrais le changer mdr
Bonjour!!
Contente que mon gars te plaĂźt :D Mdrrr je te souhaite bonne chance l'ami. MĂȘme si il est assez calme (si j'ose dire) "et qu'il ne fait que te kidnapper" ça veut pas dire que les autres qui t'entour son sain et sauf!! xD [SPOIL] Un nouveau personnage sera lĂ : le voisin de palier :3 Y/N ne risque rien, mais lui
.. ;D
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crown-of-serpents · 8 months
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Les Enfants des Vergers
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TW : mention de consommation de stupéfiants Botanomancie : plantes, bois, terre Zoomancie : métamorphose et communication, télépathie
FĂȘtes et Coutumes
FĂȘtes
Anniversaire de mariage des dirigeants actuels : Anniversaire de mariage des dirigeants actuels. CĂ©lĂ©brĂ© selon le dĂ©sir des chefs. 8 avril : NUITS ANIMALES. Lors de la premiĂšre nouvelle lune de printemps, les Enfants des Vergers passent la nuit Ă  la belle Ă©toile Ă  Ă©couter et communier avec la faune nocturne. Cela leur permet de recharger leur Ă©nergie. 4 mai : FÊTE DES ROSES. Les bĂątiments de Green Bank se parent de roses de toutes les couleurs. Un grand mĂąt est plantĂ© au milieu du quartier et les jeunes Enfants des Vergers, aprĂšs avoir bu un thĂ© altĂ©rant leur perception du monde, se mettent Ă  danser en rondes de diffĂ©rentes tailles autour de celui-ci jusqu'Ă  ce qu'un.e seul.e reste encore debout. Iel est alors revĂȘtu.e d'une tenue faite de roses et est Ă©lu.e Roi ou Reine des Roses ce qui est considĂ©rĂ© comme une bĂ©nĂ©diction. Cette fĂȘte est ouverte aux jeunes de tous les covens et chacun peut y assister. 19 aoĂ»t: OFFRANDE DES RÉCOLTES. Les Enfants des Vergers font dons des prĂ©mices de la terre, c'est Ă  dire des premiĂšres rĂ©coltes animales et vĂ©gĂ©tales de la saison, sur un autel en hommage Ă  Anthearia et Zoia. Les membres du Coven se repaissent ensuite d'un grand festin. Rappel : Les Enfants des Vergers cĂ©lĂšbrent Ă©galement le premier jour de chaque saison (en particulier le printemps), le Nouvel An et l'Honneur aux AncĂȘtres.
Coutumes
Les unions mixtes (un.e botanomancien.ne, un.e zoomancien.ne) sont trĂšs courante dans ce coven. Elles favorisent l'entente entre les diffĂ©rent.e.s sorcier.Ăšre.s, et forment une base solide au coven. A la naissance d'un enfant, la tradition veut que les parents botanomanciens accrochent une couronne de fleurs Ă  la porte tandis que les zoomanciens font passer le message Ă  travers les animaux, souvent des oiseaux. Les voisins et amis viennent ainsi fĂ©liciter la famille. Pour les couples mixtes, les deux traditions sont observĂ©es. Beaucoup d'entre elleux sont vĂ©gĂ©tarien.e.s ou vegan, par respect pour les animaux qui les entourent au quotidien. Iels ont Ă©galement tendance Ă  manger uniquement des lĂ©gumes de saison pour ne pas forcer la nature Ă  s'adapter Ă  leurs goĂ»ts. Il est courant que les botanomancien.ne.s prĂ©parent des potions aux vertus hallucinogĂšnes pour communier spirituellement avec l'esprit de la nature. Iels partagent ensuite leurs expĂ©riences dans des soirĂ©es autour d'un feu de camp, ou d'une cheminĂ©e en cas de mĂ©tĂ©o dĂ©favorable. Lorsque lea zoomancien.ne a environ dix ans, iel doit suivre un rite de passage trĂšs particulier qui lui permet de ne faire plus qu'un avec son coven et de dĂ©velopper sa perception du monde animal. A l'aube, iel se rend au coeur de la forĂȘt, pour s'asseoir prĂšs d'un Ă©norme rocher. Iel restera ainsi sans bouger jusqu'au crĂ©puscule, en attendant que les animaux du coin s'habituent Ă  sa prĂ©sence. L'Ă©preuve est rĂ©ussie si l'enfant parvient Ă  apprivoiser au moins un animal. Cette Ă©preuve a gĂ©nĂ©ralement lieu en Ă©tĂ©, et les familiers ne sont pas autorisĂ©s. Il est possible en cas d'Ă©chec de recommencer autant de fois qu'iel le souhaite, jusqu'Ă  ce qu'iel atteigne le Palier 2 de sa magie. Auquel cas, l'Ă©preuve ne lui est plus accessible.
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“Puisqu'il faut que quelqu'un se dĂ©voue
 quitte Ă  me faire quelques nouveaux amis
 je vais me rĂ©pĂ©ter : il n'y a pas eu dans toute l'Europe occupĂ©e, de citoyens plus enclins au « balançage » que les französichs. DĂ©lateurs, anonymographes, faisant la queue dĂšs potron-minet aux guichets des Kommandantur, dĂ©nonçant les tapeurs de faux tiquets, les fraudeurs d'Ă©toiles jaunes ou tout simplement le voisin de palier qui venait de recevoir du jambon d'Auvergne, ou la petite blonde d'en face qui « ne voulait rien savoir ». Il paraĂźt qu'Ă  la fin, les fritz ne dĂ©cachetaient mĂȘme plus enveloppes. Les services Ă©taient saturĂ©s.
Tout ça n'est pas bien grave. Des remarques, c'est tout. Je ne rĂȘgle pas de comptes. J'en veux Ă  personne. Je pardonne tout. Pour que tout soit bien net, j'ajouterais mĂȘme ceci : je prĂ©fĂšre les lĂąches aux hĂ©ros. Les premiers sont fragiles, friables, inquiĂȘts, en final assez dĂ©munis. Les seconds me font franchement peur. Ils ont presque toujours un pistolet chargĂ© dans la tĂȘte, un meurtre qui mijote au bain-marie quelque part dans leur cerveau plein de rĂȘves d'exploits.
Le hĂ©ros d'alors Ă©tait ce genre de type qui vous flinguait un soldat allemand dans le mĂ©tro. Bravo, bravo ! Mais le lendemain une affiche rouge informait la population que cinquante hotages avaient Ă©tĂ© fusillĂ©s contre le mur de la SantĂ©. Vous auriez pu ĂȘtre un de ces otages. Pensez-y avant d'applaudir. On peut Ă©chapper aux mouchards, beaucoup plus rarement aux hĂ©ros. Personnellement, je me souviens d'avoir toujours fait trĂšs gaffe aux uns comme aux autres. Pas causant. Au bistrot, par exemple, ou dans la queue devant l'Ă©picier, lorsqu'un de mes bouillants compatriotes exhaltait les succĂšs militaires de la Wermarcht, je ne me serais jamais avisĂ© de le contredire, approuvant au contraire quitte Ă  « en remettre ». Les lieux publics Ă©taient pleins, comme ça, de provocateurs qui passaient par lĂ , vous glissaient un petit mot, guettaient la rĂ©ponse et vous envoyaient au poteau. Beaucoup sont morts, des gens bien innocents d'avoir rĂ©pondu Ă©tourdiment Ă  leur concierge. La RĂ©sistance aurait-elle fait plus de mal que de bien ? Question Ă  ne pas poser mĂȘme trente-cinq ans aprĂšs. Mais j'ai toujours eu un sens innĂ© de ce qu'il ne faut pas Ă©crire. Ca dĂ©range les « paranoĂŻaques ».
Des annĂ©es plus tard, on peut toujours raconter qu'on a abritĂ© des parachutistes anglais, zigouillĂ© des feldwebel, niquĂ© des « souris grises », rendu Himler maboul Ă  force de malice. Mais lorsqu'on est dans la mouise, il y va un peu diffĂ©remment. Et nous y Ă©tions ! Pour subsister, nous autres (je parle des enfants du quartier ) n'ayant pas le privilĂšge d'opĂ©rer dans le marchĂ© noir, d'exporter des mĂ©taux non ferreux, ni de construire le mur de l'Atlantique, ni de diner chez les Abetz, on volait des vĂ©los. Combien ? J'ai oubliĂ©. Des cycles pas toujours pimpants qu'on Ă©changeait chez les commerçants « honnĂȘtes » contre de la margarine, quelques litres de pinard trafiquĂ©, ou mieux encore, de ces boissons bizarres, qui s'appelaient des trucs comme « Kina roc », des elixirs qui vous dĂ©gringolaient tout droit dans les godasses, parfois aussi contre des Gauloises piquĂ©es par des types qui travaillaient Ă  la RĂ©gie. Tout le monde volait un petit peu. Fallait bien.”
Michel Audiard, Paris-Match n° 1525, 18 août 1975.
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we-can-be-heroes · 6 months
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Y’a mon voisin de palier raciste qui est en train de passer son meilleur coup de fil assis dans les escaliers, j’aimerai sortir mais j’ai TELLEMENT la flemme de le voir đŸ€Š !
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quentinbidaud22-23 · 2 years
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POST 1
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L'aventure de madame Muir, Joseph L. Mankiewicz 1947 Une histoire d'amour entre une femme et un fantĂŽme, une vieille maison sur une falaise. Incontournable.
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Mon oncle, Jacques Tati 1958 La rencontre poĂ©tique de deux mondes, l'ancien et le moderne. Des personnages attachants. Cela pourrait ĂȘtre un poĂšme de PrĂ©vert, mais c'est un film de Tati.
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L'année derniÚre à Marienbad, Alain Resnais 1961 Un immense jardin à la française, un colossal escalier, Delphine Seyrig et Giorgio Albertazzi qui ne cessent de rejouer la scÚne d'un rendez-vous manqué. Un chef-d'oeuvre qui gardera son mystÚre à jamais.
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Judex, Georges Franju, 1963 Digne des romans feuilletons du XIXe siĂšcle, un justicier mystĂ©rieux qui s'attaque au banquier malhonnĂȘte. Des combinaisons noires, des intrigues, des masques en forme d'oiseau.
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Les lĂšvres rouges, Harry KĂŒmel, 1971 La suite vampirique de Marienbad, Delphine Seyrig en comtesse immortelle buvant le sang des pensionnaires d'un hĂŽtel d'Ostende.
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La montagne sacrée, Alejandro Jodorowsky, 1973 Délire hypnotique et fou, conte alchimique dans lequel les maßtres des neufs planÚtes devront gravir la montagne sacrée pour trouver la réponse savoureuse au grand mystÚre de l'existence.
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Céline et Julie vont en bateau, Jacques Rivette, 1974 Deux sorciÚres solaires errant dans le Paris des années 70. Une maison mystérieuse, des numéros de magie. Un film à regarder à l'endroit ou à l'envers, éveillé ou endormi.
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Complot de famille, Alfred Hitchcock, 1976 Le dernier film d'Hitchcock, une fausse voyante et un chauffeur de taxi à la recherche d'un diamant volé. Un film du dimanche soir.
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Stalker, AndreĂŻ Tarkovski, 1979 Un voyage Ă  travers des paysages de science fiction dĂ©labrĂ©s portĂ© par une musique sublime. Une sorte de rĂȘve.
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The Fog, John Carpenter, 1980 Une malédiction s'abat sur une ville de Nouvelle-Angleterre. Un brouillard vert fluorescent duquel émerge des fantÎmes. Une animatrice de radio tente de sauver les habitants depuis un phare isolé. Un film glacial et génial.
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Fitzcarraldo, Werner Herzog, 1982 Un homme passionné d'opéra entreprend de faire passer un bateau par dessus une montagne en pleine jungle amazonienne. On ne saurait le décrire autrement.
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Et vogue le navire, Federico Fellini, 1983 Un film comme un roman, au début du XXe siÚcle, des personnages hauts en couleurs embarquent à bord d'un paquebot afin de rendre hommage à une célÚbre cantatrice.
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Paris, Texas, Wim Wenders 1984 Un homme qu'on croyait mort sort du désert et retrouve peu à peu les vestiges de sa vie passée. Une sorte de mirage porté par une musique sublime.
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Phenomena, Dario Argento, 1985 Un film d'horreur comme on n'en fait plus. Un adolescente qui parle aux insectes sur les traces d'un tueur en série. Jennifer Connelly invoquant une nuée de mouches, scÚne culte.
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Les ailes du désir, Wim Wenders 1987 Un trÚs grand film de Wim Wenders. Un ange tombe amoureux d'une acrobate de cirque et décide de devenir mortel. Une promenade dans le Berlin des années 80. Peter Falk se frottant les mains dans la brume matinale. Incontournable.
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Prince des ténÚbres, John Carpenter, 1987 Le film d'horreur le plus terrifiant. Un groupe de scientifiques découvre que l'Eglise a caché au monde le fait que Dieu n'existe pas. A sa place, une entité ténébreuse qui va bientÎt se libérer. Vous ne vous regarderez plus jamais dans un miroir sans penser à ce qui vous attend de l'autre cÎté...
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Drugstore Cowboy, Gus Van Sant, 1989 Une petite bande de camés braque des pharmacies pour se défoncer. Leur chef décide de se ranger mais le passé ne s'oublie pas facilement. Un conte étonnamment léger. Une apparition de William Burroughs dans toute sa majesté.
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Meurtre mystĂ©rieux Ă  Manhattan, Woody Allen, 1993 Un couple farfelu mĂšne l'enquĂȘte sur la mort de leur voisine de palier. Le New York des annĂ©es 90, des rebondissements, et Anjelica Huston au faĂźte de sa gloire en auteur de romans policiers.
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La citĂ© des enfants perdus, Jean-Pierre Jeunet, 1995 Dans une citĂ© portuaire verdĂątre, des enfants disparaissent. Un savant fou tente vainement de voler leurs rĂȘves. Un film gĂ©nial, complĂštement glauque et immersif. Des costumes incroyables de Jean-Paul Gaultier. Un monde en soi.
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Dead Man, Jim Jarmush, 1995 William Blake tue un homme par erreur et prend la fuite, accompagné de l'indien Nobody, qui le prend pour l'esprit du célÚbre poÚte anglais. Un récit initiatique tout bonnement génial, bercé par les improvisations de Neil Young à la guitare. Le meilleur rÎle de Johnny Depp. Une apparition éclair de Robert Mitchum dans son dernier rÎle.
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The pillow book, Peter Greenaway, 1996 La fille d'un cĂ©lĂšbre calligraphe, devenue mannequin, recherche un homme capable de lui Ă©crire un compliment sur toute la peau. Elle finit par devenir elle-mĂȘme calligraphe et dĂ©cide d'Ă©crire un livre sur le corps de son amant. Un film sublime.
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La légende du pianiste sur l'océan, Giuseppe Tornatore, 1998 Un bébé est retrouvé dans la cale d'un paquebot. Devenu adulte, ainsi qu'un pianiste légendaire, il se mesure aux plus grands musiciens de son temps mais n'a jamais posé le pied à terre. Un conte magistral et bouleversant.
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Mulholland Drive, David Lynch, 2001 Un rĂȘve, un cauchemar. Une femme amnĂ©sique, aidĂ©e par une actrice en herbe, part Ă  la recherche de son identitĂ©. Un film porteur d'un mystĂšre insondable. A voir et Ă  revoir Ă  l'infini.
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La famille Tenenbaum, Wes Anderson, 2001 Une famille de génies, disloquée par des querelles intestines, tente de se retrouver. Un vrai poÚme visuel, drÎle et touchant. On aimerait vivre dedans.
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Kill Bill, Quentin Tarantino, 2003 Un chef d'oeuvre absolu. Le personnage d'Uma Thurman en guerriĂšre vengeresse que rien ne pourra arrĂȘter, figure allĂ©gorique mue par une force supĂ©rieure. Les cinq points et la paume qui font exploser le coeur.
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The Fall, Tarsem Singh, 2006 Un homme alitĂ© dans un hĂŽpital raconte une histoire Ă  une petite fille. En Ă©change, elle dĂ©robe pour lui des ampoules de morphine. Et le conte se mĂȘle Ă  la rĂ©alitĂ©. Visuellement grandiose et Ă©blouissant. Une scĂšne d'ouverture mĂ©morable.
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The Fountain, Darren Aronovsky, 2006 Trois histoires entremĂȘlĂ©es pour n'en former qu'une seule, celle de la recherche de la vie Ă©ternelle. Des scĂšnes se dĂ©roulant dans le plan astral, toutes d'or en fusion et d'extase mystique. A couper le souffle.
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Melancholia, Lars Von Trier, 2011 Une planĂšte s'approche dangereusement de la terre et s'apprĂȘte Ă  l'engloutir. Deux soeurs, deux entitĂ©s contraires, se dirigent en silence vers la fin du monde. Une expĂ©rience totale portĂ©e par des symphonies sublimes et des tableaux de Bruegel.
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Only Lovers Left Alive, Jim Jarmush, 2013 Un couple de vampires sublimes portent sur le monde un regard désabusé. Sur fond de rock indé lancinant, à travers Détroit ou Tanger, la décadence d'une communauté en train de disparaitre.
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Les Garçons Sauvages, Bertrand Mandico, 2017 Un groupe de jeunes garçons commet un crime impardonnable. Ils sont condamnés à accompagner en mer un capitaine étrange et colérique. Un voyage vernien, totalement organique et sensuel. A la croisée de William Burroughs et de l'ßle au trésor, de Cronenberg et du club des cinq.
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antoinesaisset · 1 year
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Be brave, proud and confident more and more each second, each minute, each day.
Bonjour Gerhardt, Bravo ! Tu as rĂ©ussi Ă  parler Ă  ta voisine de palier, je suis fier de toi, tu Ă©tais paniquĂ© intĂ©rieurement mais tu as eu le courage de le faire. C'est peut-ĂȘtre pas grand chose mais je vois que tu oses et tu t'imposes, continue sur cette lancĂ©e et tu vas prendre une vraie confiance en toi chaque jour. Crois en toi et continue Ă  travailler sur toi, ton travail et tu atteindras tes objectifs. Plonge la tĂȘte en arriĂšre, les yeux fermĂ©s, les bras levĂ©s.
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verver · 1 year
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MAUVAIS GENRES
Épisode 29
En accord avec ses collÚgues parisiens Ray lança un appel à témoins avec la photo de la suspecte et un numéro d'appel.
Les renseignements parvenus, avaient situé Dana dans un arrondissement de Paris bien précis. Les services de police avaient trÚs vite localisés l'adresse de la suspecte . Ray partit avec une équipe légÚre à l'adresse indiquée.
Il sonna à la porte , pas de réponse, il tambourina à la porte comme un dingue en criant :
- police ouvrez !
La voisine de palier, la jeune Sonia , ouvrit sa porte et intervint :
- il n'y a personne dans cet appartement !
- Elle est oĂč madame Dana x ?
- Ils sont partis, il y a quinze jours dit Sonia
- Ils sont partis oĂč ? demanda Ray , il ajouta que la femme Ă©tait suspectĂ©e de plusieurs dĂ©lits.
- je ne sais pas oĂč ils sont partis , j'ai juste une adresse qu'ils m'ont laissĂ©.
Sonia donna un bout de papier avec une adresse dessus. Ray la donna à un de ses collÚgues présent à la porte et lui dit :
- vérifie l'adresse et téléphone, demande au bureau de le faire !
L' autre policier s'exécuta en s'éloignant, Sonia reprit la conversation :
- ce n'est pas possible c'est un couple avec deux enfants en bas Ăąges, ça demande d'ĂȘtre disponible Ă  plein temps , madame n'avait pas beaucoup le temps de commettre des dĂ©lits et son mari travaillait toute la journĂ©e.
- qu'est-ce qu'il faisait ?
- il était architecte ! et sa femme l'aidait à faire les décors sur son ordinateur ici et elle s'occupait des enfants.
Ray resta dubitatif.
La fille avait raison , ça paraissait improbable d'assassiner des gens pour ce couple . Il demanda :
- Ils ont quel Ăąge les enfants ?
- Cinq ans environ
Ray resta perplexe , il ruminait : cinq ans ! ils ont eu le temps de faire des conneries avant .
Sonia continua :
- vous savez ! ils étaient bien occupés tous les deux entre leurs boulots et les enfants, parfois je les gardais comme ça ils avaient la soirée de libre .
Ça leurs permettaient de souffler un peu , de se retrouver, de sortir , ou simplement de faire une promenade.
- d'accord ! dit Ray et vous ? vous ĂȘtes lĂ  depuis quand ?
- je suis arrivé il y a a peu prÚs cinq ans
- Ah ! bien ! dit Ray conforté dans son idée que le
couple avait du faire leurs conneries bien avant l'arrivée des enfants .
Ray lui fit signe de ne pas bouger et il s'approcha de son collÚgue partit aux renseignements. Son collÚgue lui dit que cela sonnait dans le vide qu'il n'y avait pas de numéro à l'adresse indiquée.
Les coordonnées laissés par le couple se situaient au Cambodge. Ray et ses collÚgues prirent congé en disant à Sonia qu'elle restait à la disposition de la police . Ray dit à ses collÚgues :
- cette histoire va finir en eau de boudin , il faudra voir avec l'ambassade du Cambodge pour l'adresse. A mon avis le couple s'est fait la malle .
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vpary · 2 years
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J'entends rĂ©guliĂšrement depuis mon appartement un bruit de fond, un genre de bourdonnement, de sifflement un peu aiguĂ« Ă  une frĂ©quence absolument constante. Parfois il s'arrĂȘte pendant quelques dizaines de minutes avant de reprendre. C'est de jour comme de nuit, tous les jours.
Ça ressemble Ă  un bourdonnement Ă©lectrique ou le fonctionnement d'un Ă©quipement Ă©lectromĂ©nager, par exemple le bruit d'un voisin qui passe l'aspirateur. J'ai dĂ©jĂ  essayĂ© de couper l'Ă©lectricitĂ© de mon appartement au panneau, et aussi de couper la chaudiĂšre, mais ça n'arrĂȘte pas le bruit. On m'a dit qu'il n'y avait pas de VMC dans cet immeuble, mais j'ai bien des aĂ©rations dans cuisine et salle de bains donc il y a forcĂ©ment un systĂšme de ventilation ?
Je l'entend depuis chez moi mais aussi sur les paliers de plusieurs Ă©tages au-dessus et en-dessous de chez moi. Je ne l'entend plus en-dessous du 3Ăšme Ă©tage. Les quelques voisins Ă  qui j'en ai parlĂ© me disent soit ne pas l'entendre soit l'entendre depuis le pallier mais sans jamais n'y avoir prĂȘtĂ© attention avant. Ça m'Ă©tonne Ă©normĂ©ment car le bruit est assez intense surtout le soir et la nuit !
J'en ai parlé à mon proprio et à la copro mais ils ne font rien, le problÚme est trop vague selon eux et apparemment personne d'autre ne s'est plaint...
J'ai pu l'enregistrer avec mon téléphone, évidemment ce genre de micro ne capte pas grand chose mais on l'entend un peu si on met le son à fond avec des écouteurs :
Avec le bruit : spectrogramme
Comment je peux faire pour identifier la cause et surtout, faire bouger le syndic de copropriété pour qu'il essai au moins de faire quelque chose ! Quels spécialistes ou techniciens je peux appeler pour m'aider ?
merci
_________________________
https://droit-finances.commentcamarche.com/forum/affich-7778344-bruit-vibrations-sourdes-et-infrasons-en-continu#answers
https://droit-finances.commentcamarche.com/forum/affich-8473233-bruit-sourd-de-moteur-et-vibrations-dans-les-murs#answers
https://droit-finances.commentcamarche.com/forum/affich-5526291-bruit-or-not-bruit#answers
https://www.m-habitat.fr/pac/caracteristiques-pac/nuisances-sonores-dues-a-une-pompe-a-chaleur-3280_A
https://ma-solution-chauffage.viessmann.fr/conseils-contre-les-nuisances-sonores-dune-pompe-chaleur
https://www.lenergietoutcompris.fr/actualites-conseils/la-pompe-a-chaleur-de-mon-voisin-fait-du-bruit-quels-sont-mes-recours-contres-ces-nuisances-47885
Mesure d'ondes
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leafromtree-blog · 2 years
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Couvert de sang
C’est comme un terre plein central, couvert de sang. Tu n’as pas idĂ©e de l’impression que ça fait sur l’esprit. Une tĂąche brune, moite. VoilĂ  Ă  quoi ressemble le cerveau de Gabriel en ce moment. Il a honte, il se sent coupable. Il est recouvert de mortadelle. Il dĂ©lire
 
Il n’y a pas si longtemps, il occupait encore un « poste ». Il Ă©tait chef de rayon chez Super U. Une certaine position sociale. Pas dĂ©gueu pour un fils d’ouvrier. Maintenant il dort sur le trottoir. 
Une goutte de sueur tombe
 un chat dĂ©guerpi. 
« Tu t’es pris pour qui, toi ? DĂ©gage d’ici »  lui crie un flic. 
Il n’y a pas si longtemps, il aurait passĂ© son chemin devant un clodo comme lui, l’aurait mĂȘme pas vu. 
Et dans quelques temps, il s’en foutra lui aussi, des gens de la rue. Il aura retrouvĂ© un « poste », une pitance, une place dans la sociĂ©tĂ©. Il aura oubliĂ© tout ça. L’expĂ©rience actuelle ne lui donnera pas plus de compassion pour eux. Au contraire. Il les mĂ©prisera sans doute plus. Car il aura de nouveau acquis ce dĂ©goĂ»t. Ce goĂ»t des choses propres, qui vous Ă©loigne de la chair et du sang, qui vous Ă©loigne de l’odeur de la souffrance, qui fait qu’elle vous rĂ©vulse. 
BientÎt, il sera de nouveau sur le palier. Il saluera sa voisine avant de rentrer dans son appartement seul, et de manger sa baguette avec du brie. 
Mais pour l’instant, il est dans le camp des loosers. Il est tombĂ© en dĂ©suĂ©tude. Plus d’intĂ©rĂȘt pour lui. Moi j’en ai. Il me paraĂźt intĂ©ressant. Son visage est creusĂ©, il a du vĂ©cu. Des histoires pleins les yeux. Je vous le prĂ©sente. C’est Gabriel. Il est encore vivant, et il vit sous les gouttiĂšres. Alors un instant, avant de continuer votre chemin, prenez notice de la courbe de son dos, du creux sous ses yeux, de ses mains rugueuses. Dites-vous, un instant, que cela pourrait trĂšs bien vous arriver. Mais ne m’écoutez pas, passez votre chemin, et oubliez tout cela. Ca ne vous arrivera pas. 
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lepartidelamort · 10 days
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AprĂšs le pĂšlerinage (2/2)
Église contre GynĂ©cĂ©e
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Cette photo n’est pas issue du pĂšlerinage Paris-Chartres, pas mĂȘme d’un pĂšlerinage d’Europe de l’Ouest. Comment le savoir ? Les dames sont bien habillĂ©es. Il existe encore par chez nous des hommes suffisamment tartes pour s’enorgueillir de la « libertĂ© europĂ©enne » donnĂ©e aux femmes, modĂšle Ă  dĂ©fendre coĂ»te que coĂ»te contre celui des Barbares disent-ils, mais avec les muscles des autres. La Civilisation rĂ©duite Ă  la galanterie prĂ©pare sa mort comme jadis la Bretagne de 1913 Ă©tait rĂ©duite au « matriarcat psychologique » juste avant de pĂ©rir tout entiĂšre Ă  Dixmude. La galanterie s’avĂšre toujours mondanitĂ©, servilitĂ©, recherche masquĂ©e de quelque gratification par voie oblique. Son salaire est la domestication des hommes, la fĂ©minisation des hommes, l’assujettissement des hommes.
Nous apprenons que nos voisins de palier imposent le voile Ă  leurs femmes, filles, mĂšres, et que ces dames reçoivent une gifle lorsqu’elles dĂ©passent les bornes. Jules Ferry, ce surmoi en nous inoculĂ© par injection obligatoire, juge que cela est fort barbare. Mais lorsque ces mĂȘmes voisins de palier apprennent que nos femmes, filles, mĂšres, par la « libertĂ© europĂ©enne », par la « galanterie », ont libertĂ© de mƓurs, ont droit de librement dĂ©shonorer leur famille, de ruiner par divorce leurs maris, ils jugeront que cela est fort barbare. Et qui des deux partis aura raison ? La perpĂ©tuation des gĂ©nĂ©rations, l’équilibre psychique des pĂšres (rĂ©duits par tribunaux au statut de payeurs de pension privĂ©s de droit), la stabilitĂ© des mƓurs, la transmission des gĂšnes, sont toutes quatre des fonctions vitales au corps social, mais tellement amoindries que le pronostic vital est engagĂ©...
Sommaire :
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L’éducation
AprĂšs le pĂšlerinage, la marche s’arrĂȘte, on rentre chez soi et le culte devient statique. On fait quoi, maintenant ? À peine aurez-vous fait un mouvement dans le sens de l’idĂ©al chrĂ©tien que viendront jusque dans vos bras non pas les fĂ©roces soldats, prĂ©dateurs extĂ©rieurs connus et dĂ©clarĂ©s de la religion (eux se contentent de regarder et de ricaner), mais le phĂ©nomĂšne interne des grosses dames tartuffes de paroisse (GDT), les aide-curĂ© qui ont le doigt en l’air, les mĂšres furieuses en surpoids et leurs maris chapons empressĂ©s, les cantiniĂšres Ă  deux quintaux trĂšs fiĂšre du rata de midi, les empotĂ©es de la rue d’Ulm qui disent « maman » pour parler de leur mĂšre alors que leur mĂšre n’est pas dans la piĂšce. C’est l’énorme et aberrant problĂšme ecclĂ©sial de fĂ©minisation, et la pire de toutes, une fĂ©minisation graisseuse, palabreuse, bordĂ©leuse, impotente mais cramponnĂ©e Ă  tous les aspects clĂ©s : mise en relation, Ă©ducation, carnets d’adresses, recommandation pour un poste, examen de potentiel mondain, validation, placement de table. Dans chacun de ces domaines c’est toujours quelque drĂŽlesse Ă©chappĂ©e de cure thermale qui commande, cela dans une jouissance des commĂ©rages d’embrasure, des « mises au point » et des leviers secrets d’une bassesse, d’une mesquinerie inimaginables.
Dans toute organisation, le relĂąchement des standards produit la mĂšre intrusive, la mĂšre intrusive produit des effĂ©minĂ©s passifs et des virils retirĂ©s du jeu, qui Ă  leur tour mĂ©nagent davantage d’espace aux intrusions de la mĂšre intrusive. MĂ©canique souterraine qui provient de la Synagogue et qui n’a rien Ă  faire dans l’Église. DĂ©faillance fatale dans un monde tout tournĂ© vers « celui qui sait s’affirmer », arrĂȘt de mort de la gĂ©nĂ©ration.
Premier poste : la catastrophique Ă©ducation scolaire chrĂ©tienne, y compris la soi- disant Ă©cole privĂ©e hors-contrat, en rĂ©alitĂ© la planque des bourges trouillards qui fuient la racaille... mais bientĂŽt rattrapĂ©s par le rap qui lui traverse les murs et les classes sociales. Des Ă©coles ? Des concessions au GynĂ©cĂ©e. L’école hors-contrat est la vĂ©ritĂ© en actes des idĂ©aux mondains. Tenue par d’importantes dondons hurleuses et petits prĂ©cieux effĂ©minĂ©s, entiĂšrement dĂ©bilitante, rĂ©publicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive, c’est une Ă©cole autoritaire, oui, mais par procĂ©dĂ©, sans ce tact que confĂšre le vĂ©cu sensible (vibration que les enfants mĂȘme jeunes perçoivent trĂšs bien chez les adultes qui leur parlent). Une Ă©cole bienveillante, oui, mais par mondanitĂ©, maternante et castratrice et toujours nimbĂ©e de la lĂąche crainte du jugement des mĂšres, seules vĂ©ritables directrices (par proxy de leur enfant roi), les dĂ©sastreuses mĂšres quadras dĂ©musclĂ©es Ă©touffant des soupirs de porteur d’eau mĂȘme pour monter dans la voiture tant leur digestion perpĂ©tuelle pĂšse lourd son quintal d’inertie graisseuse. L’éducation chrĂ©tienne actuelle mĂȘme trĂšs-trĂšs-tratra est une maniĂšre de se raconter des histoires entre administrateurs « membres du haut conseil » chevaliers de la dĂźnette complĂštement cocufiĂ©s et fĂ©minisĂ©s. Ils ont trop lu, trop ressassĂ© le Moyen Âge, trop visitĂ© de monastĂšres dĂ©truits en s’extasiant sur le plan alors que la guide devant eux avait des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais, ces faux-culs, le concret des choses alors qu’il est lĂ  devant eux, lĂ  en train de leur hurler en cinĂ©ma muet combien grossiers sont les trucages.
Nous n’aimons pas la maniĂšre d’enseigner actuelle. Ce n’est pas la religiositĂ© pĂ©pĂšre du mythique abbĂ© de Torcy, le rĂ©confortant « ça va aller » du CurĂ© de campagne aguerri et taiseux, trĂšs au courant de la condition humaine, surtout de la masculine. C’est l’estomac inquiet d’Ambricourt qui ne conçoit de puretĂ© que par souffrance « rĂ©demptrice » pendant que l’invasion dĂ©contractĂ©e se goberge sur ses scrupules, c’est le pathos effĂ©minĂ©, Ă©motionnel des talas cocufiĂ©s, contractĂ©s, heurtĂ©s, remplis de bibelots. Insensibles aux notions de circulation fluide des ondes, ils sont des aliĂ©nĂ©s de la beautĂ©, des Ă©trangers aux choses de l’intuition. Ils font des sermons quand il faut faire des enfants.
Leurs prises de parole inopportunes tombent mal Ă  propos, gaffes inconscientes de l’incongru et faiblard « chef » qui ne sait pas gĂ©rer, qui veut gĂ©rer, qui veut ĂȘtre « respecté », l’homme effĂ©minĂ©. AmenuisĂ©, il a jouĂ© de sa faiblesse comme d’une dispense « à titre trĂšs exceptionnel » pour monter dans les grades, puis une fois parvenu, se conduit en tyran. Cela trĂšs analogue avec le modus operandi de certains envahisseurs, qui ne sont aujourd’hui forts que de notre pitiĂ© d’hier et se croient arrivĂ©s par eux-mĂȘmes. Ainsi de la sociologie du quartier du TrocadĂ©ro. Ainsi des terrains de foot urbain. Canaille, racaille, mĂȘme combat.
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Voulez-vous Ă©duquer les adolescents ? L’éducation des jeunes europĂ©ens en milieu multiculturel violent de Laurent Ozon, tout est dans ce fascicule de quatre pages. À l’opposĂ©, les dĂ©solantes dondons Ă©ducatives avec leur furie de vengeance inassouvie, avec leur stupĂ©fiante muflerie de poissonniĂšre hurleuse n’ont pas leur pareil pour dĂ©molir Ă  vie les jeunes filles et les jeunes garçons de bonne race qui leur sont confiĂ©s. Quelques annĂ©es scolaires de leur rĂ©gime et vous obtenez ces petits adolescents procĂ©duriers trouillards qui ne savent ni qui ils sont ni ce qu’ils doivent faire, ces maussades jeunes filles gĂątĂ©es qui apostasieront sans scrupule Ă  la premiĂšre contrariĂ©tĂ©. Ils et elles n’auront connu de l’éducation religieuse qu’une mise en conformitĂ© toute scolaire avec une sĂ©rie d’exigences sous la pression de « maĂźtresses » catastrophiques. L’éducation religieuse, la vraie, dure toute la vie, et l’épĂźtre aux Corinthiens prĂ©cise que les dames ne sont pas du tout qualifiĂ©es pour l’enseigner.
Quelle volontĂ© mĂąle peut subsister dans un enfant aprĂšs une dizaine d’annĂ©es scolaires Ă  obĂ©ir Ă  ces grasses dondons protestataires ? Quelle force, quelle radicalitĂ©, quelle Ă©nergie, quelle estime de soi, peuvent encore vivre dans un enfant psychologiquement abusĂ© par ces usurpatrices ? La rĂ©ponse arrive 10 ans plus tard lors des premiĂšres confrontations physiques Ă  la racaille et Ă  la gent fĂ©minine amatrice de racaille. Ce jour-lĂ , quand vient cette heure de vĂ©ritĂ©-lĂ , il n’y a plus la maĂźtresse, « dame respectĂ©e » pour rendre les comptes des rĂ©sultats de sa formation, elle qui Ă©tait « trĂšs gentille ». On paie toujours trĂšs cher nous les hommes la dĂ©fĂ©rence mondaine envers les dames « trĂšs gentilles ». Il faut toujours se mĂ©fier des gens que l’on tolĂšre par gĂȘne et pitiĂ©. À la premiĂšre occasion, ils se vengeront de votre patience Ă  leur Ă©gard sans gĂȘne ni pitiĂ©.
La chrĂ©tientĂ© c’est le gymnase, pas le gynĂ©cĂ©e. Quant Ă  la Vierge Marie, l’Évangile nous enseigne qu’elle Ă©tait voilĂ©e, calme, taiseuse, priante, soumise... et radieuse. Alors que veulent au juste tous ces pachydermes Ă  prier Marie ? Qu’y a-t-il entre elles et Elle ? Entre la quantitĂ© (de kilos) et la qualité ? Puisque Marie Ă©tait mince, et pudique, et taiseuse, pourquoi invoquent-elles Dieu par son intercession ? Si Marie est leur modĂšle que ne modĂšlent-elles pas leur silhouette, vĂȘtement, langage, sur l’exemple dont elles se rĂ©clament ?
Pour rappel voici comment le Christ, notre modĂšle Ă  imiter, s’adresse aux dames lorsque celles-ci prĂ©tendent s’impatroniser dans sa vie : « Qu’y a-t-il entre toi et moi ? », ou « Va-t-en et ne pĂȘche plus », ou encore « Ne me touche pas ». VoilĂ  un ton autrement plus sĂ»r que le cafouillage de « galanterie » de nos chefs tratras lorsqu’ils s’adressent Ă  la bonne du curĂ©. Vous transigez sur la primautĂ© des hommes en religion ? Vous transigerez sur tout par rĂ©percussion, par dominos psychologiques. Toutes les rĂ©alitĂ©s visibles sont appuyĂ©es les unes sur les autres dans un monde invisible. Tout le monde comprend trĂšs bien les avertissements des lĂ©gendes : HĂ©lĂšne de Sparte, les Sabines. Mais trĂšs peu assument d’agir en consĂ©quence d’oĂč certains ennuis hĂ©las connus.
Nous avons grandi dans les annĂ©es 1990 sous une propagande venimeuse contre les pĂšres, dĂ©signĂ©s comme alcooliques, abusifs, distributeurs de coups de ceinture. Nous n’avons pourtant rien vu de tel, nulle part, en dix ans de travail en Ă©cole privĂ©e Ă  tout connaĂźtre des familles inscrites. Nous n’avons vu partout et toujours que la mĂšre abusive, la mĂšre mauvaise, la mĂšre indigne, la mĂšre dĂ©shonorante, la mĂšre hurleuse, la mĂšre dĂ©gueulasse de manƓuvres, la mĂšre cinglĂ©e, profiteuse, destructrice, et qui se fout absolument des consĂ©quences de ses actes, entiĂšrement protĂ©gĂ©e par les tribunaux et cĂ©lĂ©brĂ©e par les mĂ©dias.
Les choses les plus sĂ©rieuses en matiĂšre d’éducation commencent exactement lorsque l’éducation scolaire vient de finir et que l’enfant devenu adulte construit son avenir seul dans un monde moitiĂ© indiffĂ©rent moitiĂ© hostile. Toutes ces Ă©coles Ă  la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modĂšle franc-maçon vieux de 150 ans, quand la seule voie porteuse, tracĂ©e par Thomas Arnold, consiste à forger le caractĂšre dans une stricte sĂ©paration garçons/filles, loin des dĂ©sastreuses mĂšres surtout, dans une ascĂšse de Grec ancien tranquille, dans une apologie de la Providence, de la famille nombreuse, de la xĂ©nĂ©lasie et de l’excellence. Dans le chant, le sport, le discernement professionnel dĂšs 13 ans, dans la mise Ă  l’épreuve par « devoirs » comme dans la scĂšne Homework, dans Fight Club. Forger le caractĂšre signifie employer le tempĂ©rament naturel de l’enfant pour le bien commun : la Nature lui a donnĂ© de naĂźtre, Dieu lui a donnĂ© de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre.
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En l’état actuel des choses que feront ces gamins une fois leur Ă©ducation finie, une fois au pied du mur pour « choisir des Ă©tudes » aprĂšs des annĂ©es de crĂ©tinisation sous chapons et maĂźtresses ? Quelle est l’espĂ©rance de vie de l’ñme chrĂ©tienne d’un garçon de 18 ans logĂ© en rĂ©sidence Ă©tudiante d’une ville lointaine pour y « faire une Ă©cole de commerce » ? Et d’une fille ?
L’école privĂ©e tratra est comme le pĂšlerinage de Chartres, elle s’aligne sur les exigences des nouveaux entrants qui veulent s’asseoir Ă  la table toute prĂȘte pour eux, se croyant lĂ©gitimes parce qu’ils ont seulement payĂ©. Ainsi en est-il des paysans envahis par les nĂ©oruraux, de la France par les squatteurs, des civilisĂ©s par les barbares. Le pĂšlerinage de Chartres est une mini-sociĂ©tĂ© sauvĂ©e des annĂ©es 60 noyĂ©es sous le DĂ©luge et qui est en train de recommencer les catastrophes des annĂ©es 60.
Nous sommes tellement pĂ©tris par Mammon que nous en avons oubliĂ© comme la Providence prend soin de nous. N’est-ce pas une chose trĂšs angoissante que de voir des jeunes de bonne race mais sans gravitĂ©, sans religion, chercher en ESC [Ă©cole supĂ©rieure de commerce, NDLR] la voie la plus propice Ă  leur faire vite « engranger du fric » ? Les aventures du cadre Berthier dans le film Une Ă©poque formidable disaient dĂ©jĂ  tout. L’immense triche de « faire carriĂšre », de « viser les hauts salaires » lorsqu’elle est Ă©tendue Ă  une classe d’ñge va forcĂ©ment dĂ©multiplier l’immigration de bas salaires. La muflerie ESC de prĂ©tendre au titre de « cadre » pour encadrer, pour superviser ceux qui travaillent et jamais faire soi-mĂȘme le travail porte en germe la pompe aspirante par importation massive de profiteurs qui vont bĂącler le travail, Ă©cƓurer les travailleurs du sol par bas salaire et les clients du sol par bas travail. Un peuple ? Un troupeau de cadres. UniversitĂ©s remplies « d’étudiants Ă©trangers » aspirants cadres. Tous d’accord pour cette attitude quasi mĂ©taphysique : faire faire le travail par d’autres et s’enorgueillir de cela.
Le travailleur Ă  son compte, autonome, l’ostrĂ©iculteur, le plombier, le carreleur, ces gens-lĂ  sont les vrais crĂ©ateurs de richesse, les apporteurs utiles de valeur ajoutĂ©e. Et quelle misĂšre leur font la police, les normes, le stationnement, le fisc

Le juste chĂątiment pour avoir prĂ©tendu par des Ă©tudes encadrer les autres, c’est de devenir soi-mĂȘme un prĂ©caire du tertiaire surdiplĂŽmĂ© incapable, n’encadrant personne, et doublĂ© dans la mĂ©chante compĂ©tition sociale par des ouvriers qualifiĂ©s bien payĂ©s dĂšs leurs 25 ans.
Le jeûne
Quelle est la plus belle pĂ©riode de l’annĂ©e liturgique ? C’est le CarĂȘme. On finit toujours par penser comme on vit. Nous pensons beaucoup plus clairement une fois dĂ©lestĂ©s de nos excĂ©dents graisseux par un salutaire effort de privation. À force d’accommodement, d’adoucissement, d’enrobage fĂ©minin de toutes les prescriptions d’ascĂšse que reste-t-il Ă  cet effort religieux ? Le jeĂ»ne deux fois par an (l’Avent et le CarĂȘme) n’est plus qu’un jeĂ»ne annuel. Ce jeĂ»ne est lui-mĂȘme rĂ©duit Ă  deux ou trois jours d’obligation considĂ©rĂ©s jeĂ»nĂ©s sur quarante, et encore ces jours exceptionnels comprennent-ils chacun un repas et deux collations... Bref il n’y a plus de jeĂ»ne Ă  moins de se forcer un peu.
« La guerre spirituelle » ! Propice trouvaille de nos comtesses de l’impossible qui ne tiennent pas la faim deux journĂ©es de suite. L’esprit et les actes.
Le jeĂ»ne obligatoire est comme un tamis qui permet de trier le bon grain de l’ivraie. Sagesse du calendrier catholique traditionnel : les jours maigres, les jours gras, nous donnent de manger un jour sur deux chaque semaine. C’est un objectif rĂ©aliste, offert chaque annĂ©e Ă  qui veut l’atteindre. La pratique religieuse est une course de fond spirituelle, et pourtant trĂšs physique. Il y a ceux qui courent... Et il y a les « pĂšlerins non marcheurs », comme on dit. On verra bien si les Grosses Dames Tartuffes (GDT) de paroisse, toujours pressĂ©es de parler, auront perdu chacune leurs 30 kilos surnumĂ©raires entre le mercredi des Cendres et le samedi Saint pour mesurer en actes la ferveur dont elles se rĂ©clament... Et qu’elles prĂȘchent aux autres ! Il faut cesser la servilitĂ©, la phrasĂ©ologie diplomatique effĂ©minĂ©e romagnole. Intimer le respect Ă  ces Grosses Dames Extraverties (GDE) et si elles se prĂ©tendent dĂ©votes quand mĂȘme, on les autorisera Ă  revenir le samedi matin munies d’échelles de 15 mĂštres pour enlever les toiles d’araignĂ©es des vitraux afin de vĂ©rifier leur ferveur, ce ne sera pas du luxe vu l’état dans lequel sont laissĂ©es les chapelles.
Ces deux moines remettent les idĂ©es en place et replacent les actes rĂ©els au bout des idĂ©es. Que leur dire Ă  part un grand merci pour l’exemple qu’ils donnent ? (vidĂ©o en anglais non sous-titrĂ©e)
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La dame du ressentiment
En matiĂšre de gestion de ses filles du sol avant mariage, un pays envahi dispose de deux options : le couvent ou le bar Ă  putes. La majoritĂ© des envahis trouve la seconde option plus conforme Ă  leur sens de l’honneur, nous pas.
La nature nous avertit assez en la personne des jeunes filles : ravissantes Ă  dix-huit ans, combien sont mĂ©connaissables dĂšs leurs vingt-cinq ans passĂ©s ? Et Ă  trente ans, Ă  quarante ans ?... La jeune fille tournĂ©e vieille fille est une saccageuse redoutable qu’il faut tenir Ă  distance par la technique des hommes de cour du XVIIe siĂšcle, hommes « polis et durs », sans quoi elle vous pourrira la vie.
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Ce que l’on a pu nous tourmenter par le concept d’homme du ressentiment ! Comme quoi nous serions « dans la haine », que le sous-homme s’agiterait peut-ĂȘtre en nous. Fabuleux cadenas de fermeture de gueule pour esclave Ă  basse estime de soi inhibĂ© par philosophie du soupçon. Si ces esclaves veulent respirer Ă  nouveau, je leur dirais d’ĂȘtre impitoyables envers la dame du ressentiment. Ces jeunes filles tournĂ©es vieilles filles qui vivent pour se venger de leur propre sottise, ces corps dĂ©bilisĂ©s mais tyrans absolus, ces impotentes d’avoir bouffĂ© mais qui rebouffent encore, ces enfoncĂ©es dans le mur qui refusent de se rĂ©former, ces difformitĂ©s exemptĂ©es de sport par « dispense trĂšs exceptionnelle »  n’ont pas Ă  souiller mĂȘme une seule seconde la vie de la jeunesse chrĂ©tienne.
Nulle religion, nulle tradition n’est possible, n’est imaginable, qui ne commence par chĂątier sans pitiĂ© tous ces quinquagĂ©naires gynĂ©cĂ©es crasseux graisseux grotesques, qui ne commence par chasser loin, trĂšs loin, ces dangereux Majin-Bou Ă  ventouse chercheuse, Ă  bien rosser, Ă  bien fouetter les prĂ©tentions de ces limaces mĂ©taphysiques rampant sur nos mansuĂ©tudes en pĂ©riode de chĂŽmage aggravĂ©, Ă  bien rabattre le sale caquet preneur de confiance de ces trĂšs coĂ»teuses hurleuses bouches inutiles dĂ©voreuses de fric, rumineuses de seume, recracheuses de discordes inextinguibles sur braves gens qui ne remontent jamais la chronologie des Ă©vĂ©nements.
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Pour retrouver la vie religieuse proprette, joviale et simple de notre enfance, quel strigile sera assez prĂ©cis pour racler les suints huileux exsudĂ©s des pores de ces oisives batraciennes sudoripares Ă©puisĂ©es d’agiter leur Ă©ventail ? Quel grattoir, quel papier de verre, quelle paille de fer sera assez rĂȘche pour poncer jusqu’à l’arasement les dĂ©pĂŽts verdĂątres laissĂ©s par la crue de ces marĂ©cages putrĂ©fiĂ©s ? Quelle juste proportion de vinaigre et de soude produira une rĂ©action chimique assez effervescente pour dĂ©tartrer cet ignoble enduit, pour lisser ce crĂ©pi de studio marseillais hĂ©rissĂ© sur nos fresques de Giotto ? Pour quelle granulomĂ©trie de quelle pierre ponce rĂąpeuse, pour quel degrĂ© de rugositĂ© abrasive faudra-t-il opter lors du grand dĂ©capage qui nettoiera une fois pour toutes l’épandage solidifiĂ© des lisiers de porcherie projetĂ©s par ces truies hurleuses, bonnes qu’à saccager, qu’à bĂąfrer, qu’à digĂ©rer des passe-droits exceptionnels, vautrĂ©es dans leur purin de certitudes ? Quel rinçage final, quelle purgation, quelle cure de lavement par eau de Vichy multipliĂ©e par Saint-Yorre-Chasseresse-d’impuretĂ©s saura dĂ©boucher l’occlusion, dĂ©tacher ces mollusques fossilisĂ©s sur parois hospitaliĂšres, histoire que l’on chie ces corps Ă©trangers pĂȘle-mĂȘle aux ordures pour de bon, que l’on tire enfin la chasse, que l’on se relĂšve finalement soulagĂ©s d’une tonne, leur tonne qui vivait sur nous, et que l’on passe Ă  autre chose ?
Nos jacasseurs sur Vatican Double, quand il cherchent les coupables, les dignitaires de la trĂšs compĂ©tente hiĂ©rarchie catholique, remontent toujours Ă  Adam jamais Ă  Ève, ils voient Borgia, jamais Syna. Puis, quand ils comprennent tout de mĂȘme que c’est de ce cĂŽtĂ©-lĂ  que le mal est entrĂ© dans le monde, ils se rĂ©tractent apeurĂ©s : « Tout compte fait ne cherchons point de coupable ! Le mal est fait ? Tant pis ! DĂ©sormais il nous faut aller de l’avant, hardis petits boy-scouts ! », entendez en avant vers l’Afrique, le GynĂ©cĂ©e et le Wesh-Versaillais. « Ah ! tiens, toi tu es costaud tu vas nous aider, tiens ! ». Et la Grosse Dame Extravertie (GDE) dĂ©signe au gentil Thomas 100 kilos de brol Ă  transporter, pour tester s’il sera lui aussi soluble dans le GynĂ©cĂ©e.
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Le monde claque des dents ? Je prétends que le transsexualisme mondain est indexé sur le mélange des garçons et des filles dans les églises chrétiennes. Et sur les reprotoxiques ! Mais la mixité est un reprotoxique social, un perturbateur, un inhibiteur, un empoisonneur autant redoutable que le plastique alimentaire. La tradition consiste à séparer pour mieux préparer la rencontre. Le monde claque des dents ? Le monde est irrespirable à proportion des baissages de froc de tous ces sels de la terre affadis.
La place-de-la-femme
On connaĂźt les pĂ©chĂ©s de paresse, de gloutonnerie, les sept pĂ©chĂ©s capitaux. Eh bien il faut rajouter le pĂ©chĂ© de connerie, qui procĂšde par accumulation de superflu. Comme on meurt peu Ă  peu d’asphyxie au monoxyde de carbone on peut pĂ©rir de brol, de graisse, de bavardage, de bibelots, de saccade, de heurts, de concession. La graisse c’est l’accumulation de fausse monnaie dans l’économie du corps, c’est l’inflation, c’est la dĂ©valuation de soi-mĂȘme. Vive la politique d’austĂ©rité ! Et honte au laisser-aller, honte publique.
Jeunes convertis, mĂ©fiez-vous des bobonnes du curĂ©. Vous horripilez, sans vous en douter, ces sacs Ă  ressentiment. Elles ne peuvent avaler le reproche que vous leur faites Ă  votre insu, ni le digĂ©rer, ni rien digĂ©rer d’ailleurs d’oĂč leurs rumination de coups bas, leurs commĂ©rages gastro-Ɠsophagiens par renvois acides, et leurs excĂ©dents inĂ©vacuĂ©s qui les contraignent Ă  se porter elles-mĂȘmes deux fois en soufflant comme des vaches mĂ©thaniĂšres.
Aller Ă  la messe nous est parfois pĂ©nible, nous n’aimons pas toujours cela, mais qu’importent nos Ă©tats d’ñme passagers. Nous y allons par devoir, pour « rendre nos respects » au MaĂźtre de nos vies chaque semaine. Ces statues sont dĂ©sespĂ©rantes, ce carrelage noirĂątre est dĂ©sespĂ©rant, ce marron mobilier XIXe siĂšcle est dĂ©sespĂ©rant, ce sont lĂ  des choses acquises, trĂšs bien. Complaisance dans la mĂ©diocritĂ©, dictature des gougnafiers sur les esthĂštes, chants dĂ©musclĂ©s dans les aigus, accompagnements bĂąclĂ©s, neurasthĂ©nie flottante, tout cela est connu, trĂšs bien. Pourtant, il faut accepter cet agenda, cet ordo, et il portera des fruits.
Mais en des temps de dĂ©natalitĂ© publique, la seule grande Ă©preuve en matiĂšre religieuse, et tous les dĂ©bats « RĂ©publique contre islam » l’ont assez montrĂ© depuis les annĂ©es Dantec chez Ardisson, c’est la place de la femme, la tenue de la femme, les droits de la femme. Tous nos divorcĂ©s, ruinĂ©s, cocufiĂ©s, porteurs de matrones, rĂ©ceptacles Ă  hurlements, encaisseurs d’affronts, Ă©pongeurs de dettes
 ne savent se cabrer vraiment que sur un point (eux si douĂ©s pour transiger), ne savent rĂ©criminer contre IsmaĂ«l que sur une ultime ligne de dĂ©fense, et c’est ?
 C’est la place-de-la-femme, ah ! ah ! Le Tradi est accrochĂ© Ă  l’omnipotence de sa cantiniĂšre « chrĂ©tienne » de 500 kilos en legging pĂ©rorant ses exigences, il y tient comme Ă  la messe, beaucoup plus qu’à la messe. Pour lui, il n’est de sociĂ©tĂ© chrĂ©tienne pensable que sous forme d’un gynĂ©cĂ©e de bavasseuses dans un dĂ©cor de bibelots et de fleurs en plastique, grignotant des biscuits sucrĂ©s avec le chauffage Ă  fond et la buĂ©e sur les vitres, son esprit ne conçoit pas de rĂ©alisation plus aboutie de la chrĂ©tientĂ© triomphante.
Il est trĂšs normal que la question cruciale soit la femme en des temps d’apostasie et de stĂ©rilitĂ© massive puisque la religion est une ingĂ©nierie sociale de perpĂ©tuation d’un peuple et la femme la garante de la prodigalitĂ© du peuple, de l’honneur du peuple, de la stabilitĂ© du peuple. Est-ce vraiment trop espĂ©rer pour nos jeunes : la jeune fille europĂ©enne Ă  marier, chrĂ©tienne, bien Ă©levĂ©e, bien habillĂ©e, et c’est tout.
Le sens du combat, c’est la continuitĂ© du peuple français de souche. Il suppose l’honneur du peuple par la vertu des jeunes filles ; la catastrophe a commencĂ© lorsque les FDS ont rejetĂ© ces protections de leur identitĂ© par esprit de rĂ©pulsion envers une pudeur traditionnelle soudain vendue comme expression d’arriĂ©ration orientale.
La putification tranquille n’est pas europĂ©enne mais anti-europĂ©enne et mise en place comme telle, c’est du miel attracteur de mouches, excitateur d’agressions, pour le pillage d’un peuple qui ne comprend rien parce qu’il persiste Ă  vivre envahi aussi libĂ©ralement que lorsqu’il vivait libre.
Il y a davantage que l’honneur de la jeune fille dans sa pudeur vestimentaire, c’est l’honneur de son nom de famille, et au-dessus encore se trouve l’honneur du peuple c’est-Ă -dire la continuitĂ© incorrompue des gĂ©nĂ©rations du peuple dans le temps. Nous aimons regarder les filles mais entre hommes civilisĂ©s, de la mĂȘme race que les filles regardĂ©es, et souverains sur un territoire. Les jeunes Français chrĂ©tiens idĂ©alistes, privĂ©s de leur alter-Ă©gale, se jettent dans le sĂ©minaire et c’est une catastrophe pour les gĂ©nĂ©rations futures. Il est beaucoup plus crucial par les temps qui courent de devenir pĂšre de famille de douze enfants.
DĂšs lors qu’une religion admet que la femme religieuse puisse jacasser tĂȘte dĂ©couverte en public, faire carriĂšre, engueuler l’homme « d’égal Ă  Ă©gal », c’est que tout est fini. Quelle que soit la prĂ©tendue croissance du nombre d’inscrits, ce sera une croissance par la honte. Une telle faute Ă  un tel endroit en une telle Ă©poque, aprĂšs tous les vivants avertissements reçus depuis mille ans, aprĂšs tous les traitĂ©s de philosophie pratique qui ont tant insistĂ© sur ce point (Plutarque, Ovide, Aristophane, JuvĂ©nal, Tertullien, Chrysostome)... est une transgression qui engage l’intĂ©gritĂ© mĂȘme des souches raciales du peuple emmenĂ© dans le ravin par mauvais bergers.
La femme religieuse de 25 ans qui « s’interroge sur sa foi » avec des mots de vidĂ©o TikTok (« comment se rebooster sa foi ? »)
 n’a rien compris, n’a rien Ă  faire dans un pĂšlerinage religieux traditionnel et ceux qui l’y tolĂšrent, vendent Ă  crĂ©dit ce pĂšlerinage au monde avant de se faire racheter Ă  bas prix et ficher dehors Ă  leur tour.
Qu’est-ce donc que la place-de-la-femme, si l’on ĂŽte l’écriteau sous la peinture d’art abstrait ? Quel rĂ©sidu Ă  sec demeure aprĂšs Ă©vaporation des mots d’explication ? Probablement le pĂšlerinage 2024. Comment alors « rĂ©pondre de l’espĂ©rance qui est en nous » (1Pi3:15) face aux Mormons, aux Amish, aux tĂ©moins de JĂ©hovah, et mĂȘme aux religions non chrĂ©tiennes qui en matiĂšre de vĂȘtement se tiennent cent fois mieux que nous ? Tout ce chemin tradi pour se conformer finalement au degrĂ© d’élĂ©gance d’une prĂ©sentatrice de KTO TV, avec pour doctrine une page du journal La Croix. Les dondons de paroisse, ces excellents Ă©pouvantails placĂ©s devant les baptistĂšres pour en interdire l’accĂšs aux convertis sĂ©rieux, si elles sont laissĂ©es en paix, Ă©gareront par leur seule prĂ©sence les derniers dĂ©sirs de conversion.
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La honte
 la honte. J’ai honte. Quel spectacle Ă  vous faire rentrer sous terre de honte que la sans-gĂȘne dame palabreuse et sa version jeune ,la « tradi en jean » donnĂ©e en pĂąture au monde. Si telle est la tradi, que sera la moyenne ? C’est dĂ©shonorer la vraie foi, c’est se dĂ©shonorer soi-mĂȘme, c’est dĂ©shonorer les hommes religieux. ZĂ©ro conscience de soi, zĂ©ro sens du groupe. Cette honte absolue : lorsque les moines tonsurĂ©s du Barroux, ces saints hommes, sont forcĂ©s de cĂŽtoyer trois jours durant cette pouillerie de hurleuses en sueur beuglant des chansons de colo, sans personne pour oser formuler une objection.
Personne n’oblige ces futures GDE Ă  venir dans un pĂšlerinage religieux traditionnel. Ceux qui les y admettent sont les vrais salopards de l’affaire, il est vrai. Si ces « chefs » avaient un tout petit peu de courage face au monde, ils restreindraient le pĂšlerinage Ă  5 000 personnes propres plutĂŽt qu’à 15 000 touristes. C’est toujours le nombre et « l’ouverture » aux bas standards qui perdent les causes nobles. Voulez-vous retrouver le fameux sens du sacré ? C’est simple. Commencez par parler comme Ă  l’entrĂ©e d’une Ă©glise orthodoxe. « Pas de voile ? Pas de jupe longue ? Tu n’entres pas ici ». Cela calmera les ardeurs de plus d’une instagrameuse.
Incapables de faire respecter les apparences extĂ©rieures mĂȘme pour soixante minutes dans l’enceinte sacrĂ©e d’une Ă©glise lors de l’office le plus saint de la semaine, ces « chefs » seraient les dirigeants lĂ©gitimes de milliers de jeunes chrĂ©tiens ? MĂȘme sĂ©parer les hommes des femmes Ă  l’église, ce tout petit signe vĂ©rifiable de respect du sacrĂ© qui permet Ă  un adolescent de voir l’autel devant lui quand il prie et non le cul d’une dinde, cela aussi ils l’ont laissĂ© gĂącher dans le pĂȘle-mĂȘle foutoir « évolué » de leurs goĂ»ts invertis. Et quand sonnera l’heure des comptes, invertis et divertis, oĂč seront vos convertis ?
Tout ce trop connu foutoir de bourgeois-bordel antiphysique « pas fixĂ© sur le matĂ©riel » doit ĂȘtre dĂ©mantelĂ© intĂ©gralement avec ses pourvoyeurs. Six dĂ©cennies de palabres vaticandaires sur la liturgie comme ci ou comme ça ont fait diversion : Ă  force de regarder l’autel on ne voyait plus la dĂ©gradation de l’assistance. Notre idĂ©al esthĂ©tique religieux ? Des corps minces sous des vĂȘtures nettes, des visages graves, trĂšs au courant du tragique de la vie et de la condition de l’homme français en France, des personnes frugales sur lesquelles un parasite ne trouvera rien Ă  manger, des vies sobres toutes de rusticitĂ© avec l’extĂ©rieur, toute de douceur avec l’intĂ©rieur.
La forme
Tout ce qui est frugalitĂ© diĂ©tĂ©tique, soin et restriction du langage, voile, modestie du vĂȘtement, ascĂšse de l’emploi du temps sont des standards d’intelligence de la vie quotidienne, des techniques de contention de la forme pour la maintenir, la muscler, la former Ă  subsister beaucoup avec peu d’apport. La rusticitĂ© rĂ©vulse nos tendances naturelles au plaisir, mais le plaisir est un dissolvant puissant, alors que le travail lorsqu’il est bien menĂ©, est encore plus agrĂ©able que le plaisir. Moyens de supporter la rusticité ? D’abord l’état d’esprit du zĂšle religieux, la conscience de l’invasion, le fanatisme pour un idĂ©al de beautĂ©. Puis investir ou dĂ©penser l’argent mais ne pas le thĂ©sauriser, pratiquer le chant, les travaux physiques, la crĂ©ation, l’action concrĂšte sur les choses, le sport, la baignade, le massage. Se parfumer, porter des vĂȘtements choisis, manger moins mais mieux, avec un service parfait Ă  table. Petites rĂ©crĂ©ations.
Si vous transigez sur la form,e peut-ĂȘtre garderez-vous dans certains cas la foi en vous-mĂȘmes, mais au-dehors de vous, l’exemple vivant que vous rendez portera tĂ©moignage contre votre foi, abaissĂ©e Ă  proportion de l’abaissement de vos standards. « Fi du regard des gens ! », direz-vous... Pardon ce n’est pas vous qui serez souillĂ© mais l’honneur de la foi que vous croyez reprĂ©senter correctement. L’exemple catastrophique des matrones de paroisse et autres dĂ©jetĂ©s a six dĂ©cennies d’éloquence derriĂšre lui : ce ne sont pas eux-mĂȘmes qu’ils minent mais l’ĂȘtre collectif et le rayonnement extĂ©rieur de l’ĂȘtre collectif. Ils n’ont qu’à paraĂźtre pour repousser les indĂ©cis, fatiguer les candidats, inhiber les convertis, Ă©cƓurer les braves gens, confirmer les infidĂšles, rassurer les athĂ©es, et, comble de la catastrophe, retourner les jeunes qui pourraient faire de belles familles chrĂ©tiennes pour les pousser dans la stĂ©rilitĂ© eux aussi, dans l’inversion, dans l’apologĂ©tique adverse, etc.
La forme sans ascĂšse se dĂ©grade ; qui ne se rĂ©forme pas en permanence se dĂ©forme. Le combat spirituel consiste Ă  se rĂ©former soi-mĂȘme chaque jour toute la vie.
DĂšs lors l’Église se dĂ©peuple, la dĂ©mographie française baisse, l’invasion se rĂ©pand. L’ascĂšse et la rusticitĂ©, le voile et le clanisme, bref l’esprit de clĂŽture sont les seuls rapports au monde fructueux en temps d’invasion. Ceux qui ne comprennent pas cela se condamnent Ă  dispersion, Ă  dilatation de mousse expansive : aprĂšs l’illusion de l’ivresse vient la dĂ©pression du rĂ©veil et de la casse Ă  rembourser, des embrouilles Ă  rĂ©gler.
Plus de frontiĂšres ? ClĂŽture. En pĂ©riode de frontiĂšre sĂ»re point besoin de clĂŽture. Or les vingt millions de vrais Français qui restent dans le pays vivent dans leur majoritĂ© encore comme s’ils Ă©taient protĂ©gĂ©s par une frontiĂšre, d’oĂč leurs ennuis, hĂ©las : filles menacĂ©es ou « consentantes » (pire), pĂšres dĂ©shonorĂ©s, garçons isolĂ©s, personnes ĂągĂ©es recluses, enfants maternĂ©s, etc.
1660 : l’Europe catholique sombre dans le bibelot, l’angelot, le mobilier Contre- RĂ©forme pendant que l’AmĂ©rique, sobre et vĂȘtue de noir commence son essor. Dans l’Église, seule la longue tradition est restĂ©e sobre. La tonsure des moines du Barroux. Les Beaux chants dans les graves (Credo III, Gloria IX, Lauda Sion, Veni Sancte), la liturgie, l’étiquette, un restant d’ordre. Et pour l’avenir ? Le vĂȘtement hiĂ©ratique dont le scoutisme de notre jeunesse a fourni les standards intemporels nous aide Ă  concevoir un vĂȘtement laĂŻc rĂ©gi par les critĂšres d’un uniforme. Quittez cet habit et d’autres le revĂȘtiront selon leur culture.
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Patrick Buisson Ă©tait l’un de ceux qui avait le mieux compris l’ingĂ©nierie sociale de la religion de l’Alcoran. L’ismaĂ©lisme est l’impression en creux des vices blancs : fanatisme contre neurasthĂ©nie, honneur par les femmes contre soumission par les femmes, cocufieur contre cocufiĂ©, prolifĂ©ration contre stĂ©rilitĂ©, tranquillitĂ© contre anxiĂ©tĂ©, famille contre individu, etc. L’ismaĂ©lisme est un signe que personne ne veut lire. La rĂ©action d’orgueil athĂ©e Ă  l’ismaĂ©lisme accentue les vices des Blancs : « Eux pas d’alcool ? Eh bah nous, alcoolisme, ah ah ! Eux pas de porc ? Eh bah nous, charcuterie industrielle nitritĂ©e, ah ah ! Eux pas d’érotisme ? Eh bah nous, filles ouvertes et pornographie, ah ah ! Eux familles nombreuses ? Eh bah nous stĂ©rilité », etc. Tout faux.
Revenons Ă  nos chefs tratras. Ont-ils obtenu sur le plan de la diplomatie clĂ©ricale interne, en quarante ans, une seule victoire sur les modernos ? OĂč sont les miracles promis ? OĂč en est la « lame de fond », la reprise en main promise par les nouveaux contingents de « prĂȘtres pour l’Église » des paroisses dĂ©peuplĂ©es ? Les pires saccageurs archĂ©o-maçons ont tout dĂ©truit devant vous jour aprĂšs jour et vous n’avez rien fait. Pas une seule fois vous n’avez organisĂ© de rendez-vous surprise avec un « évĂȘque » attendu en bas de son local, ou seulement sa confrontation avec les fidĂšles Ă©cƓurĂ©s, pour qu’il assume en pleine lumiĂšre cette fois.
Toujours, c’étaient ces « textes », ces « documents produits en rĂ©ponse à  », le dĂ©troussage par le prestige du baratin et des « procĂ©dures prĂ©vues » quand la conduite des brebis est une chose physique trĂšs concrĂšte, dans laquelle les points de droit canon ne servent qu’à occuper l’adversaire courbĂ© sur des paperasses pendant qu’il se fait rafler tout le terrain, lĂ , devant lui, autour de lui. D’immenses lacunes de la clĂ©ricature en temps d’invasion la laisse toute hĂ©bĂ©tĂ©e : qu’est-ce que la race ? Qu’est-ce que la race blanche surtout, et d’oĂč vient-elle ? Le caractĂšre rĂ©cessif des gĂšnes clairs est-il une thĂ©ophanie des dogmes du pĂ©chĂ© originel et de l’immaculĂ©e conception ? Quels sont les droits particuliers des Blancs, notamment français, au sein d’une Église qu’ils ont plus que largement contribuĂ© Ă  bĂątir ?
Mais le docteur en droit canon Ă©tait, je m’en souviens, tout enorgueilli d’ĂȘtre invitĂ© par l’histoire Ă  se prononcer sur la validitĂ© de tel sous-synode, sur la teneur, sur la valeur hors-cathĂšdre de tel clin d’Ɠil... Il Ă©tait gras, et lent, il allait de plus en plus vers le gras et le lent, champion des bonnes maniĂšres Ă  table, aux solennels dĂźners de trĂšs sĂ©rieux manieurs de dĂźnette, il Ă©tonnait les convives grosses dames par sa vertu de patience, d’obĂ©issance, il devait l’emporter, c’était certain, au nom de l’avenir de l’intelligence, lui le trĂšs savant, trĂšs lent, trĂšs tratra prĂ©lat. Quinze annĂ©es ont passĂ© qui ont digĂ©rĂ©, oubliĂ© ces cabotinages.
Quant Ă  ce tratra directeur d’école, par exemple, il « ne voyait pas le problĂšme » d’affubler son Ă©tablissement d’une Ă©quipe pastorale entiĂšrement africaine. En apparence, monsieur le directeur restaurait hardiment l’enseignement chrĂ©tien viril. En rĂ©alitĂ©, la jeunesse europĂ©enne sous sa responsabilitĂ© apprenait en toute confiance Ă  s’agenouiller devant des Noirs et Ă  ouvrir la bouche pour communier, point, et monsieur le directeur n’y voyait nulle bizarrerie, ceci malgrĂ© cinquante ans d’invasion, agression, colonisation, aprĂšs quarante ans de mĂ©tissage industriel sous propagande de guerre, aprĂšs trente ans de pornographie ciblĂ©e, aprĂšs trente ans de hagra sur les babtous, ceci en pleine affaire Black Lives Matter, mais vraiment aucune obscĂ©nitĂ© ne pouvait Ă©veiller de sursaut vitaliste chez ce membre sec de la confrĂ©rie des bĂ»ches. Lui et tant d’autres chefaillons sont intrinsĂšquement des bourgeois pĂ©pĂšres, des puceaux de la rue qui mĂ©prisent le terrain rĂ©el. D’oĂč leurs gaffes grossiĂšres, d’oĂč le panneau en grands caractĂšres dans l’entrĂ©e, « PROGRAMME DE LA TOURNANTE DES SERVICES », agrĂ©mentĂ© d’un supplĂ©ment « SAMEDI ÉRECTION DU PILASTRE DE CALVAIRE ».
Les générations futures
DerniĂšres choses. « Les AmĂ©ricains ceci, les AmĂ©ricains cela », disent-ils
 D’abord, l’AmĂ©rique, ils n’y sont jamais allĂ©s. Une seule paroisse amĂ©ricaine recĂšle dix fois plus de saints inconnus que l’ensemble de nos crasseux palabreurs ceinture noire de casuistique. Et puis d’une maniĂšre Ă©clatante, irrĂ©futable, les catholiques amĂ©ricains sont les plus consĂ©quents, les mieux Ă©duquĂ©s, les mieux habillĂ©s, ils engendrent les familles les plus jolies, les plus proprettes, les plus capables de toute l’Église universelle. Cherchez-vous un modĂšle de sociĂ©tĂ©, une ingĂ©nierie sociale catholique qui ait connu quelques succĂšs, une Ă©ducation du caractĂšre qui sache former des chrĂ©tiens forts et des chrĂ©tiennes gracieuses ? Cherchez en AmĂ©rique, lieu des erreurs mondaines, donc lieu des exemples chrĂ©tiens rĂ©gĂ©nĂ©rants.
La religion est le vĂ©hicule d’un peuple Ă  travers le temps. Un peuple a donc un intĂ©rĂȘt Ă  garder sa religion. Les vertus sont invisibles, les formes sont visibles, ensemble elles garantissent la soliditĂ© du vĂ©hicule Ă  travers le temps. La religion relie la crĂ©ature Ă  son CrĂ©ateur et propose d’atteindre un idĂ©al cĂ©leste par un idĂ©al terrestre.
Les hommes peuvent bien se faire autant qu’ils le veulent des prĂ©dicateurs Ă©rudits, des exĂ©gĂštes, des docteurs, des « hommes de science », des savants, des frĂšres prĂȘcheurs
 Les hommes peuvent s’agiter autant qu’ils le veulent, s’ils sont cĂ©libataires, le vĂ©hicule n’avance pas. Seule l’union avec une femme permet au vĂ©hicule de traverser le temps, par la naissance des enfants. C’est cela qui a aiguillĂ© certains thĂ©ologiens vers une comparaison de la rencontre de l’homme et de Dieu avec la rencontre de la femme et de l’homme : en somme, l’Alliance, c’est le mariage monogame et monothĂ©iste ; la femme, lorsqu’elle est la bonne, c’est Dieu, puisqu’elle vous choisit, vous sauve, qu’elle connaĂźt vos secrets, que vous travaillez pour elle, qu’elle vous juge, et que par la maternitĂ© elle vous ressuscite.
Mais trĂȘve d’hypothĂšses romantiques. En sociĂ©tĂ© multiculturelle, la « guerre des berceaux » est le vrai nom de la sociĂ©tĂ©, guerre dont l’issue repose sur l’ingĂ©nierie sociale que dĂ©veloppe telle ou telle religion et l’on sait depuis les annĂ©es 60 libanaises que la religion chrĂ©tienne entretient dans ce domaine une lĂ©gĂšretĂ© catastrophique : chastetĂ© des hommes et libertĂ© des femmes, indiffĂ©rence dĂ©vorĂ©e par l’athĂ©isme et le sunnisme, manipulĂ©e par le talmudisme, massacrĂ©e par la loge, la fĂ©conditĂ© chrĂ©tienne parvenait bientĂŽt Ă  peine au renouvellement des gĂ©nĂ©rations. L’accĂšs Ă  la bourgeoisie qui suppose une prĂ©Ă©minence de la carriĂšre sur la famille achevait de tout dĂ©truire.
Les enfants appartiennent aux seuls pĂšres. Ils sont portĂ©s par les mĂšres, confiĂ©s aux mĂšres, parfois Ă©levĂ©s en partie par elles mais n’appartiennent ni Ă  l’État ni Ă  la mĂšre, ni aux tribunaux, ni aux francs-maçons, ils appartiennent aux pĂšres seuls jusqu’à leur majoritĂ©.
Nous goĂ»tons au suprĂȘme, la beautĂ© physique. L’excellence de la crĂ©ature est l’indice de l’excellence du CrĂ©ateur. Mais cette beautĂ© physique est pour nous ; c’est-Ă -dire que monsieur Durand Ă©pouse mademoiselle Dupuis, qu’il n’y a pas de « marchĂ© ouvert » au tout-venant, pas de rencontre laissĂ©e au hasard de prĂ©dations externes et de libĂ©ral haussement d’épaules alors que c’est le point le plus capital d’une vie, dans la chaĂźne des vies, dans le temps. Et pour que monsieur Durand Ă©pouse Ă  18 ans mademoiselle Dupuis et lui fasse vingt enfants, nous ne reculons devant aucun moyen, nous les prenons tous, surtout ceux qui font sursauter nos « cathos » tranquilles : zĂ©ro Ă©cran, vĂȘture de mormon pour les filles et rĂ©gime de spartiate pour les garçons, habitat modĂšle Orania et enseignement modĂšle Martinerie multipliĂ© par internat de Sarlat 1920. Garde du langage, cours de dialectique, de langues Ă©trangĂšres, de lutte et de boxe, d’athlĂ©tisme, de bricolage et d’esthĂ©tique fonctionnelle de l’habitat. Les enfants aiment l’éducation exigeante car ils aiment ĂȘtre pris pour des adultes, mais pour cela il faut les dĂ©barrasser de leurs catastrophiques mĂšres.
Nos plus beaux souvenirs de vacances, enfant ? Le scoutisme, loin de tout, sur les routes et par les champs, en France, il y a longtemps, quand on chantait Les Cosaques. C’est suffisant pour demeurer fidùle toute une vie ? Si Dieu veut ! Et avec ces lignes de Gustave Thibon, nous n’aurons plus rien à craindre.
« Restez Ă  jamais fidĂšle – contre l’univers entier et surtout contre vous-mĂȘmes – Ă  ce que vous avez entrevu et dĂ©sirĂ© durant les heures les plus pures de votre vie. »
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LounĂšs Darbois
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