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#Gi Ju-bong
olivierdemangeon · 3 years
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ROUGH PLAY (2013) ★★☆☆☆
ROUGH PLAY (2013) ★★☆☆☆
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Hotel by the River (Hong Sang-soo, 2018)
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davidhudson · 5 years
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Happy 64th, Gi Ju-bong.
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asiancinemareviews · 6 years
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My Dear Enemy (Meotjin Halu)
My Dear Enemy (Meotjin Halu)
Language: Korean Director: Yoon-ki Lee Running time: 123 min Release year: 2008 Cast: Jeon Do-Yeon, Ha Jung-Woo, Hye-ok Kim, Oh Ji-Eun, Kim Young-Min, Kim Jung-Ki, Yeong-jin Shin, Gi Ju-Bong, Choi Il-Hwa
Movie Review: “My Dear Enemy” is one of those rare films, like “Lost in Translation” or “Adrift in Tokyo”, that’s able to say so much with so little. The film stars two of South Korea’s most in…
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junkielee · 6 years
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[Film Review] Right Now, Wrong Then (2015)
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English Title: Right Now, Wrong Then Original Title: Ji-geum-eun-mat-go-geu-ddae-neun-teul-li-da Year: 2015 Country: South Korea Language: Korean Genre: Drama Director/Writer: Hong Sang-soo Music: Jeong Yong-jin Cinematography: Park Hong-yeol Cast: Jeong Jae-yeong Kim Min-hee Ko Ah-sung Yoon Yeo-jeong Yoo Joon-sang Gi Ju-bong Choi Hwa-Jeong Seo Young-hwa Rating: 8.4/10
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A meta-meet-cute diptych…
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olivierdemangeon · 3 years
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EMPIRE OF LUST (2015) ★★★★☆
EMPIRE OF LUST (2015) ★★★★☆
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olivierdemangeon · 4 years
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  Quatre amis d’enfance voient leurs routes se séparer après le lycée. Deux poursuivent leurs études à l’université tandis que les deux autres deviennent des gangsters de clans rivaux.
    “Chin-gu” (친구), ou “Friend” pour la distribution internationale, est un film d’action dramatique sud-coréen datant de 2001, écrit et réalisé par Kwak Kyung-taek, à qui l’on doit également “The Classified File” (2015). Les acteurs principaux Yu Oh-seong, qu’on a pu voir dans “The Great Battle” (2018), Jang Dong-gun, qu’on a pu voir dans “No Tears for the Dead” (2014), Seo Tae-hwa, qu’on a pu voir dans “Norigae” (2012), et Jung Woon-taek, qu’on a pu voir dans “City of Damnation” (2008). Ce métrage est paru le 31 mars 2001 en Corée.
L’histoire proposée par “Friend” nous invite à suivre la vie de quatre amis d’enfance : Joon-seok (Yu Oh-seong), le chef du groupe dont le père est un puissant patron de la mafia ; Dong-su (Jang Dong-gun), bras-droit de Joon-seok, dont le père est un entrepreneur de pompes funèbres, Jung-ho (Jung Woon-taek) le clown de la bande ; et Sang-taek (Seo Tae-hwa), qui s’avère être un étudiant exemplaire. Enfants, ils jouent ensemble, au collège, ils font les 400 coups, et au lycée les destins commencent à se mettre en place, Joon-seok et Dong-su étant les petits caïds de leur établissement scolaire. Après avoir obtenu leur diplôme, Sang-taek et Jung-ho partent pour l’université, laissant leurs deux autres camarades s’engager dans des gangs mafieux. Les années passent, Joon-seok et Dong-su sont désormais opposés et une animosité se fait de plus en plus forte, au grand désespoir de Sang-taek et Jung-ho, qui sont désormais cantonnés à être des spectateurs passifs de la rivalité grandissante…
“Friend” est considéré par beaucoup de passionnés comme l’un des premiers classiques à sortir de la nouvelle vague coréenne. Il semble avoir fait ses preuves par rapport à bon nombre de ses contemporains à la même époque. À un moment donné, il fut le film coréen le plus rentable de tous les temps et a mérité, à juste titre, un tas de prix lors de divers festivals et autres cérémonies dédiées au cinéma. Ce film se démarque immédiatement de la plupart des films de l’époque où il a été tourné, en installant son récit dans les rues de Busan plutôt que dans la métropole animée de Séoul. Cela donne un aspect et une sensation uniques allant jusqu’à une forte implication des acteurs, utilisant le dialecte local.
Kwak Kyung-taek, qui endosse ici la double casquette de scénariste et de réalisateur, a précisé que son film était semi-autobiographique, et cela donne une dimension passionnelle au récit de son premier long-métrage. Passion qui n’était plus aussi présente dans ses films suivants, tels que les thrillers d’action “Typhoon” (2005) et “Eye for an Eye” (2008). Il n’était donc guère surprenant qu’en 2009, il soit revenu vers les personnages de ce premier film, donnant une suite intitulée “Friend 2, The Great Legacy” que je souhaite visionner rapidement dans la foulée de ce premier opus.
“Friend” s’inscrit dans un rythme plutôt modéré avec plusieurs scènes explosives. Les événements sont racontés à intervalles réguliers, 1976, 1981, 1984, 1990, et sont présentés par le personnage incarné par Jung Woon-taek, avec une certaine nostalgie en regardant ainsi les années passer. Cette narration ne sert pas seulement à faire avancer l’histoire, elle permet également au spectateur de s’immerger dans les émotions d’une personne qui regarde en arrière avec probablement les regrets qui l’accompagnent. À mi-parcours, les personnages campés par Yu Oh-seong et Jang Dong-gun, prennent une orientation dans leur vie qui se présente comme étant plus sombre que celle des deux autres, qui veulent rester concentrés sur leurs études. Inévitablement, les mondes de deux protagonistes ayant décidé d’œuvrer dans les gangs, sont nettement plus violents. Cette violence est dépeinte de manière brutale et s’achèvera dans la mort d’un des personnages principaux dans une séquence singulièrement féroce et brutale.
D’une manière générale, les valeurs de production du film sont tout à fait acceptables pour un film d’une vingtaine d’années. La photographie présentée par Hwang Gi-seok est d’un très bon niveau. Le cinéaste marque bien les différentes périodes en multipliant les visuels et en gardant quelques lieux symboliques en référence, comme l’établissement mortuaire du père de Dong-su. La bande originale a été confiée à plusieurs compositeurs. En effet, Choi Man-sik, Choi Sun-sik, Im Ju-hui, Choe Seung-yeon, Oh Hye-won, et Luc Baiwir ont oeuvré de concert pour proposer l’accompagnement musical du film. Différentes sonorités viennent accompagner chaque période de manière significative. Enfin, le montage délivré par Park Gok-ji, offre un bon équilibre entre les passages violents et la mise en place de la relation de plus en plus délétère entre les deux principaux protagonistes. Rappelons que ce cinéaste œuvre dans le septième art depuis 1987 et qu’il a déjà plus de 100 métrages à son actif.
En conclusion, “Friend” est un bon film d’action fortement pigmenté par le drame à la sauce gangster. Le métrage dispose d’une histoire classique mettant en avant les distanciations qui s’installent en fonction des choix de vie des protagonistes. Le rythme est modéré, le récit est fluide et la narration est linéaire, en dehors de la scène de fin, qui nous ramène au début du film. La photographie est de bonne qualité, la bande originale est plaisante et le montage est maîtrisé. La distribution offre de bonnes prestations, et bien que le récit est sur quatre personnages, le focus se place essentiellement sur deux d’entre eux, permettant à Yu Oh-seong et Jang Dong-gun de sortir du lot. L’ensemble reste agréable à regarder malgré le poids des années…
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    FRIEND (2001) ★★★☆☆ Quatre amis d'enfance voient leurs routes se séparer après le lycée. Deux poursuivent leurs études à l'université tandis que les deux autres deviennent des gangsters de clans rivaux.
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olivierdemangeon · 4 years
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  Une unité de la police criminelle enquête sur une série de crimes crapuleux en mettant une pression sur l’ensemble des gangs du secteur.
    “Wild Card” est un thriller policier sud-coréen datant de 2003, à qui l’on doit également “The Divine Weapon” (2008). Les acteurs principaux sont Jung Jin-young, qu’on a pu voir dans “Svaha: The Sixth Finger” (2019), Yang Dong-geun, qu’on a pu voir dans “Rough Play” (2013), Han Chae-young, qu’on a pu voir dans “The Influence” (2010), Gi Ju-bong, qu’on a pu voir dans “The Battleship Island” (2017), Kim Myung-kook, qu’on a pu voir dans “Proof of Innocence” (2015), et Kim Yoon-ah, qu’on a pu voir dans “The Wonder Years” (2007).
L’histoire proposée par “Wild Card” nous invite à suivre l’inspecteur Oh Young-dal (Jung Jin-young), policier expérimenté, et son partenaire, Bang Je-su (Yang Dong-geun), un peu plus jeune. Leur unité se voit confier l’enquête sur un meurtre violent dans le métro. Alors qu’ils progressent lentement dans leurs investigations, d’autres homicides voient le jour, mettant toute l’équipe sous pression. Les policiers vont mettre la pression sur leurs réseaux d’indics afin d’identifier les auteurs de cette série d’assassinats. Malgré leurs efforts, la solution va cependant venir de la police scientifique qui va parvenir à mettre un nom sur une empreinte.
Le scénario concocté par Lee Man-hee et Shin Geun-ho est particulièrement intéressant, notamment par rapport au développement des personnages. Dans “Wild Card” on s’intéresse principalement aux policiers. Les antagonistes, quant à eux, sont au nombre de quatre, et c’est notamment leur leader, Kim Min-ki (Seo Jae-kyeong) qui se présente comme un psychopathe, tuant les gens avec une boule en acier, ressemblant fortement à une boule de pétanque, montée au bout d’une sangle. Côté policier, on se focalisera sur Oh Young-dal, le plus expérimenté du duo qu’il forme avec Bang Je-su. Cet inspecteur chevronné est dans la tourmente après avoir abattu un suspect, les services internes enquêtant sur lui. Bang Je-su est plus jeune, plus énergique, plus fougueux. Le script met l’accent sur les échanges entre les personnages, avec des dialogues vraiment accrocheurs, des situations drôles sans être trop burlesques.
D’une durée de 114 minutes, l’édition signée par Kim Hyeon permet d’obtenir un métrage relativement bien équilibré entre les scènes d’action et les différentes conversations. Comme je le soulignais précédemment, les dialogues sont très bien travaillés, portant aussi bien sûr des points importants de l’enquête et donc de l’intrigue, que sur des échanges anodins, qui relèvent des relations entre collègues, mais avec une véritable pointe d’humour et de décontraction. L’histoire est présentée en linéaire et s’inscrit dans un univers contemporain. “Wild Card” s’ouvre sur une course-poursuite, où l’on peut voir Bang Je-su courser un délinquant sur une grande distance. Ce dernier est alors bêtement arrêté, car Oh Young-dal l’attend en bout de course avec son véhicule. Le métrage s’achève sur une scène similaire, avec les deux collègues sur les talons d’un criminel à travers les rues commerçantes… Bien que la fin soit ouverte, aucune suite n’a vu le jour.
Les valeurs de productions pour “Wild Card” sont tout à fait respectables pour un métrage datant d’il y a presque deux décennies. La photographie proposée par Byun Hee-sung offre de nombreuses scènes de nuit, les meurtriers étant des noctambules et l’ensemble des informateurs de la police œuvrant dans le monde de la nuit. La bande originale orchestrée par Jo Seong-woo est succulente, mêlant des sonorités classiques avec des musiques contemporaines, rythmées et modernes. La distribution offre de très bonnes prestations, et c’est bien naturellement que Bang Je-su et Oh Young-dal qui se détachent par leurs performances. Cependant, de nombreux seconds rôles livrent des personnages bien marqués.
En conclusion, “Wild Card” est un bon film policier disposant d’une histoire simple, d’une intrigue classique et d’un développement attractif. Le scénario positionne le focus les personnages, principalement côté police. Le rythme est cohérent, le récit est fluide et la narration est linéaire. La photographie offre une multitude de scène de nuit, la bande originale est très sympathique et l’édition est très satisfaisante. La distribution offre d’honorables prestations. L’ensemble est engageant et divertissant tout en étant suffisamment inattendu pour ne pas dire prenant de bout en bout.
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    WILD CARD (2003) ★★★☆☆ Une unité de la police criminelle enquête sur une série de crimes crapuleux en mettant une pression sur l'ensemble des gangs du secteur.
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olivierdemangeon · 5 years
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  Un champion de Taekwondo décide d’abandonner définitivement sa carrière de combattant afin de s’occuper pleinement de sa fille. Mais des organisateurs de combats libres veulent absolument qu’il participe à un combat truqué. Pour l’inciter à participer, ils vont kidnapper sa fille bien-aimée…
    C’est dans le cadre de notre « Challenge Steven Seagal » que nous avons visionné ce film. Il s’agit du dix-huitième long-métrage de l’acteur dans sa filmographie.
“Clementine” est un film dramatique d’action sud-coréen, datant de 2004, réalisé par Kim Du-yeong, à qui l’on doit également “Live or Die” (2003). Les acteurs principaux sont Lee Dong-jun, qu’on a pu voir dans “Charisma” (1996), Steven Seagal, qu’on a pu voir dans “Belly of the Beast” (2003), Kim Hye-ri, qu’on a pu voir dans “The Legend of Evil Lake” (2003), Eun Seo-woo, qu’on a pu voir dans “Phone” (2002), Gi Ju-bong, qu’on a pu voir dans “The Spy Gone North” (2018), et Lim Ho, qu’on a pu voir dans “Secret Love” (2010).
Dans les premières minutes, on est amené à croire qu’on est face à un film sur les arts martiaux sportifs, avec un champion de Taekwondo. Mais rapidement, celui-ci décide de raccrocher le kimono, pour devenir inspecteur de police. Il enquête sur des salles de jeux illégales. On bascule, croit-on, dans le film policier. Que nenni, Kim (Lee Dong-jun) se fait virer des forces de l’ordre, car son comportement est trop agressif et ses interrogatoires trop musclés. Le film bascule alors dans une forme de drame. Sa-rang (Eun Seo-woo), la fille de Kim, est omniprésente dans sa vie, et bientôt, il va devoir la confronter à la vérité concernant sa mère, qu’elle croyait morte lors de l’accouchement. Dans le même temps, des promoteurs véreux veulent organiser un combat truqué entre Kim et Jack Miller (Steven Seagal), le champion en titre du combat en cage. Ils ne vont pas hésiter à kidnapper Sa-rang afin de faire pression sur Kim pour qu’il accepte leurs conditions…
Alors il faut être bien clair, les personnages sont tout simplement ridicules. Et la distribution est faible, ce qui n’arrange rien. Lee Dong-jun incarne un homme colérique qui pense que la seule manière de régler un conflit, c’est par les coups-de-poing. Il se lamente sur son sort à travers l’alcool plutôt que de s’occuper de sa fille. C’est d’ailleurs plutôt la petite SaRang qui s’occupe de son père. C’est son héros, elle veut même se marier avec lui quand elle sera plus âgée. Bien que vendu comme étant un film de Steven Seagal, ce dernier doit totaliser une dizaine de minutes à l’écran, ce qui s’apparente à une escroquerie. Son personnage est totalement caricatural, et sa prestation en terme d’arts martiaux est lamentable, de plus, on peut nettement se rendre compte qu’il est doublé pour cette phase technique, notamment les coups de pied.
D’une durée de 100 minutes, on fini par trouver le temps très long devant ce métrage. Les scènes dramatiques sont tirées en longueur ce qui devient pénible. La petite fille à qui on a dit que sa mère était décédée lors de son accouchement, le père à qui on a dit que sa compagne était décédée, la mère a qui on a dit que son compagnon s’était tiré et que son enfant n’avait pas survécu… Le tout orchestré par la grand-mère maternelle, qui a filé le nouveau-né à un organisme de placement, mais le père de l’enfant qui est venu récupérer l’enfant in extremis…. Pfff, ça saoule ! Essentiellement parce que c’est très mal joué et qu’on allonge les pleurs, les déchirements, pour conclure le tout par un happy end digne des téléfilms d’après-midi sur M6.
En conclusion, “Clementine” est un piètre film dramatique disposant d’une histoire médiocre, d’une intrigue simpliste et d’un développement brouillon. Le rythme est moyen à lent selon les séquences, le récit est désordonné par endroits et la narration fait appel à quelques flashbacks. La photographie est malingre, la bande musicale est flasque et l’édition est confuse. La distribution offre de bien piètres prestations. Un métrage à éviter ou à offrir à sa belle-mère adorée…
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    CLEMENTINE (2004) ★☆☆☆☆ Un champion de Taekwondo décide d'abandonner définitivement sa carrière de combattant afin de s'occuper pleinement de sa fille.
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olivierdemangeon · 5 years
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  Un inspecteur de police découvre que sa sœur a été victime d’un tueur en série. Arrêté et condamné, l’auteur des crimes devient cependant la cible d’un individu qui semble vouloir se venger…
    Origine du film : Corée du Sud Réalisateur : Son Yong-ho Scénariste : An Young-jin Acteurs : Kim Sang-kyung, Kim Sung-kyun, Park Sung-woong, Jo Jae-yoon, Kim Eui-sung, Gi Ju-bong, Yoon Seung-ah, Oh Dae-hwan, Hyun Sung, Ji Sang-hyuk, Choi Hyun-wook Musique : Koo Ja-wa , Ahn Hyeon-jin Genre : Drame, Policier, Thriller Durée : 103 minutes Date de sortie : 12 mars 2015 (Corée) Année de production : 2015 Sociétés de production : Cine Guru Distribué par : Kidari ENT Titre original : Salinuiroe / 살인의뢰 Notre note : ★★★★☆
    “Salinuiroe” (살인의뢰), ou “The Deal” pour la distribution internationale, est un thriller policier sud-coréen datant de 2015, réalisé par Son Yong-ho, qui signe là son premier long-métrage. Les acteurs principaux sont Kim Sang-kyung, qu’on a pu voir dans “The Tower” (2012), Kim Sung-kyun, qu’on a pu voir dans “The Prison” (2017), Park Sung-woong, qu’on a pu voir dans “The Tooth and the Nail” (2017), Jo Jae-yoon, qu’on a pu voir dans “Inside Men” (2015), Kim Eui-sung, qu’on a pu voir dans “The Truth Beneath” (2016), Gi Ju-bong, qu’on a pu voir dans “The Battleship Island” (2017), et Yoon Seung-ah, qu’on a pu voir dans “Method” (2017).
L’inspecteur de police Tae-soo (Kim Sang-kyung) comprend que le suspect, Gang Chun (Park Sung-woong), dans une simple affaire de délit de fuite, est le tueur en série qu’il recherche, soupçonné de plusieurs meurtres. Mais peu de temps après sa victoire, Tae-soo réalise que sa sœur cadette, Soo-kyung (Yoon Seung-ah) a été la dernière victime de Gang-chun. Ce dernier est condamné à la peine de mort, mais refuse de révéler où se trouvent les corps des victimes, laissant Tae-soo et son beau-frère Seung-hyun dévastés. Trois ans plus tard, Tae-soo enquête sur le meurtre d’un chef de gang lorsque, à sa grande surprise, il trouve des preuves que Seung-hyun (Kim Sung-kyun) est le principal suspect. Alors qu’il creuse plus profondément, Tae-soo apprend que l’ancien chef du gang impliqué dans l’affaire, se trouve désormais dans la même prison que Gang-chun…
Dès lors que l’on introduit le concept du tueur en série dans une intrigue, il y a forcément du malheur, et donc une dimension dramatique. Impossible de ne pas trouver des victimes. Quand il y a des victimes, il y a des personnes dont la vie est perturbée, brisée, anéantie. “The Deal” est donc, aussi, une histoire profondément dramatique. Deux personnes se retrouvent fortement impactées par le meurtre de Soo-kyung (Yoon Seung-ah). Son mari, Seung-hyun (Kim Sung-kyun), qui, pour ajouter de la peine à la peine, prend conscience que son épouse allait lui annoncer qu’elle était enceinte. Son frère, Tae-soo (Kim Sang-kyung), inspecteur de police, qui n’aura pas pu savourer longtemps le fait d’avoir arrêté, presque par hasard, l’auteur des crimes en série qui secouaient Séoul.
Un malheur de cette dimension ne peut qu’altérer la vie de ceux qui en sont touchés. Seung-hyun va choisir la voie de la vengeance en mettant en place un stratagème complexe lui permettant d’accéder au meurtrier de son épouse. Dans le même temps, Tae-soo va tenter de l’en empêcher, bien qu’il aimerait, lui aussi, assouvir sa soif de vengeance. Le scénario concocté par An Young-jin possède la bonne dose de complexité afin que le spectateur reste en permanence captivé par le développement du métrage. La mise en scène signée par Son Yong-ho permet d’installer une atmosphère de tension.
La photographie délivrée par Lee Jong-youl, offre une belle variété de plans, usant d’un classique, la pluie, à laquelle on associe les meurtres. Les scènes d’action sont variées, courses-poursuites, agressions de femmes, arrestations musclées, et combats entre prisonniers. La violence graphique est très réaliste, ce qui pourrait heurter les plus sensibles. La bande originale, orchestrée par un duo composé de Koo Ja-wa et d’Ahn Hyeon-jin vient intelligemment accompagner les moments clés du récit.
La distribution offre de très bonnes prestations, et l’histoire se focalise sur trois personnages. Ce sont donc Kim Sang-kyung, Kim Sung-kyun et Park Sung-woong qui disposent des rôles principaux. Ce dernier, que j’apprécie tout particulièrement, dispose plus précisément du rôle du principal antagoniste de l’histoire. L’acteur offre un personnage hautain, froid, et fortement perturbé, c’est le moins que l’on puisse dire. De mon point de vue, Park Sung-woong vole la vedette à ses camarades, acteurs, de par la dimension singulière et psychotique qu’il donne à son personnage. Malheureusement, Yoon Seung-ah, qui bénéficie du seul rôle féminin principal, ne dispose que d’un temps de jeu limité, étant la dernière victime en date du tueur en série.
En conclusion, “The Deal” est un très bon thriller policier disposant d’une histoire singulière, d’une intrigue haletante et d’un développement énergique et violent. Le rythme est efficace, le récit est légèrement entortillé et la narration est linéaire. La photographie est agréable, la bande originale vient harmonieusement mettre l’accent sur les passages importants de la trame principale et l’édition permet d’obtenir un métrage captivant sur une durée de 103 minutes. La distribution offre de très bonnes prestations. L’ensemble, bien que singulièrement violent, s’avère être enthousiasmant avec petite pointe d’originalité…
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    THE DEAL (2015) ★★★★☆ Un inspecteur de police découvre que sa sœur a été victime d'un tueur en série. Arrêté et condamné, l'auteur des crimes devient cependant la cible d'un individu qui semble vouloir se venger...
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olivierdemangeon · 6 years
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    Synopsis : Il y a quinze ans, la fille de Ha Kyung a été kidnappée, et bien qu’elle ait payé la rançon, la petite fut tuée. Ha Kyung ne s’en remet pas, et lorsque le détective Chung Ho vient lui annoncer que l’affaire arrive à prescription, elle le supplie d’essayer de trouver le coupable pendant les quelques jours restants…
Origine du film : Corée du Sud Réalisateur : Jeong Keun-seob Scénariste : Jeong Keun-seob Acteurs : Uhm Jung-hwa, Kim Sang-kyung, Song Young-chang, Jo Hee-bong, Lee Jun-hyeok, Park Chul-min, Gi Ju-bong, Oh Dae-hwan Musique : Koo Ja-wann, Ahn Hyeon-jin Genre : Action, Policier, Mystère Durée : 2 heures Date de sortie : 16 mai 2013 (Corée) Année de production : 2013 Sociétés de production : Miin Pictures Distribué par : Finecut, Next Entertainment World Titre original : Mongtajoo / 몽타주 Notre note : ★★★★☆
Notre commentaire : “Montage” est un thriller coréen datant de 2013, écrit et réalisé par Jeong Keun-seob, qui signe là son premier long-métrage. Les acteurs principaux sont Uhm Jung-hwa, qu’on a pu voir dans “The Last Day” (2009), Kim Sang-kyung, qu’on a pu voir dans “The Tower” (2012), Jo Hee-bong, qu’on a pu voir dans “The Pirates” (2014), Gi Ju-bong, qu’on a pu voir dans “The Office” (2015), et Park Chul-min, qu’on a pu voir dans “Memories of War” (2017).
Selon toutes vraisemblances, et depuis qu’on regarde régulièrement des films coréens, le thriller est un genre que les cinéastes du pays du matin calme affectionnent tout particulièrement. Ça tombe bien, Laurence et moi, nous sommes fans. Il faut avouer que durant cette dernière décennie, nous avons été gâtés dans ce registre de la part des coréens. Pour citer quelques exemples invoquons “The Chaser” (2008) de Na Hong-jin, “No Mercy” (2010) de Kim Hyeong-jun, “Cold Eyes” (2013) de Cho Ui-seok, ou encore “The Inside Man” (2015) de Woo Min-ho. Une belle diversité de sujets, pour du suspense d’une excellente qualité. À tel point que je vais probablement éditer prochainement un Top 10 des meilleurs thrillers coréens.
Nous voici donc face à ce “Montage” datant déjà d’il y a quelques années. Et très honnêtement, dès les premières minutes du métrage, on se rend compte qu’on est en présence d’un très bon film. On est littéralement happé par l’histoire. Le scénario est d’une qualité remarquable. L’histoire nous invite à suivre l’inspecteur Cheong-ho (Kim Sang-kyung) qui se retrouve à enquêter sur un enlèvement d’enfant dont la méthodologie est similaire à une ancienne affaire vieille de 15 ans, et où le kidnappeur avait disparu sans laisser de traces alors que l’enfant avait trouvé la mort. Parallèlement, la mère de la première victime, Ha-kyung (Uhm Jung-hwa) poursuit ses propres investigations suite à la fermeture définitive du dossier concernant son enfant. Bientôt, les recherches de ces deux personnes vont converger vers une seule personne, qui apparaît pourtant elle-même comme une victime.
Petit à petit, on découvre que l’inspecteur Cheong-ho, qui s’était fortement impliqué dans la recherche de l’enfant disparu quinze ans plus tôt, est fortement marqué par son échec, ayant promis d’arrêter le suspect, et surtout, n’ayant pas pu sauver l’enfant. Il est persuadé que cette nouvelle affaire est l’œuvre de la même personne, et s’avère donc particulièrement motivé pour appréhender l’auteur des faits. Cependant, Jeong Keun-seob, le scénariste-réalisateur, nous balade de fausses pistes en cul-de-sac. Les preuves s’accumulent, mais les faits ne s’emboîtent pas dans le schéma qui se dessine pour les enquêteurs.
C’est bien entendu dans la dernière partie que tous les éléments vont se mettre en place, telles les pièces d’un puzzle avec un turn-over absolument magnifique que nous n’avons absolument pas vu venir. Outre, sa mise en scène, Jeong Keun-seob, propose une superbe photographie, jouant d’ailleurs avec des flash-backs qui peuvent dérouter dans le déroulement de l’histoire, mais qui prennent tout leur sens, dès lors que les explications arrivent lors de l’ultime segment du métrage.
De la distribution, ce sont essentiellement les prestations d’Uhm Jung-hwa et de Kim Sang-kyung qu’il faut retenir. La première incarne cette mère éplorée, qui souffre depuis quinze années de ne pas voir l’affaire concernant la mort de sa fille élucidée. Bien que discrète durant une partie du film, sa performance est totalement remarquable et la scène où elle découvre le corps de son enfant décédé est absolument poignante. Le second incarne un inspecteur de police écrasé par le poids de son échec dans cette affaire précédemment évoquée. Dès lors qu’il prend conscience que cette nouvelle histoire d’enlèvement est liée à son ancienne affaire, il décuple de volonté, faisant preuve d’une grosse détermination, au point de se mettre en porte-à-faux avec sa hiérarchie et ses collègues. L’acteur offre une solide prestation, avec force et émotion.
En outre, le réalisateur Jeong Keun-seob ainsi que l’actrice Uhm Jung-hwa ont obtenu plusieurs nominations pour des cérémonies de remise de prix, mais seul Uhm Jung-hwa s’est vu récompenser dans la catégorie “Meilleure Actrice” et notamment lors des 50e Grand Bell Awards, équivalent coréen des Oscars. Ce métrage a, par ailleurs, rapporté près de 12 millions d’euros.
En conclusion, “Montage” est un savoureux thriller disposant d’une histoire et d’une intrigue particulièrement prenantes. Le développement des personnages est habilement construit et le suspense court durant la quasi-intégralité du métrage. La construction du récit n’est pas pleinement linéaire, ce qui peut créer une forme de confusion qui se disperse cependant dans la dernière partie du film. La distribution offre de très bonnes prestation, mais Uhm Jung-hwa et Kim Sang-kyung livrent d’excellentes performances dans leur rôle respectif. La photographie est très plaisante et la bande originale permet d’accentuer les moments forts du métrage. Un divertissement de premier plan que l’on ne peut que conseiller aux fans de thrillers.
  Bande-annonce :
MONTAGE (2013) ★★★★☆ Synopsis : Il y a quinze ans, la fille de Ha Kyung a été kidnappée, et bien qu'elle ait payé la rançon, la petite fut tuée.
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olivierdemangeon · 7 years
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  Synopsis : Kim Byeong-gook, employé d’une grande entreprise, décime sa famille et disparaît sans laisser de trace. L’inspecteur Jong-hoon interroge les collègues de travail de Kim mais ceux-ci restent évasifs, en particulier Mi-rae, une stagiaire qui semble cacher quelque chose. L’inspecteur découvre que les caméras de surveillance ont filmé Kim Byeong-gook revenir au bureau juste après le massacre… mais jamais en ressortir. Où le tueur se cache-t-il ? Alors qu’une véritable psychose s’abat sur les employés, le bureau est le théâtre d’événements mystérieux.
Origine du film : Corée du Sud Réalisateur : Hong Won-chan Scénariste : Choi Yun-jin Acteurs : Go Ah-sung, Park Sung-woong, Bae Seong-woo, Kim Eui-sung, Ryu Hyun-kyung, Park Jung-min, Oh Dae-hwan, Choi Byung-mo, Gi Ju-bong Musique : Kim Tae-seong Genre : Mystère, Thriller Durée : 1 heure et 51 minutes Date de sortie : 27 août 2015 Année de production : 2015 Sociétés de production : Film Blossom Distribué par : Little Big Pictures Titre original : Office / Opiseu / 오피스 Notre note : ★★★★☆
Notre commentaire : “Office” est un thriller mystérieux sud-coréen datant de 2015, réalisé Hong Won-chan, à qui l’on doit le scénario de “The Chaser” (2008). Les acteurs principaux sont Go Ah-sung, qu’on a pu voir dans “The Host” (2006), Park Sung-woong, qu’on a pu voir dans “A Violent Prosecutor” (2016), Bae Seong-woo, qu’on a pu voir dans “Bedevilled” (2010), Kim Eui-sung, qu’on a pu voir dans “Dernier Train pour Busan” (2016), et Ryu Hyun-kyung, qu’on a pu voir dans “Intimate Enemies” (2015).
Cela étant dit, “Office” pourrait également être considéré comme un slasher, le film s’ouvrant et se fermant sur une tuerie. Mais comme les coréens savent le faire, cette violence, même si elle va rebuter un certain nombre de spectateurs, n’est là que pour renforcer le récit. En outre, même si cette violence est majoritairement délivrée par arme contondante (marteau et couteau dans le cas présent), elle est plus suggérée que réellement montrée.
L’histoire proposée par “Office” nous invite donc à suivre Lee Mi-rye, incarné par Go Ah-sung, actrice qui incarnait la petite fille nommée Park Hyun-seo, qui se faisait enlever par le monstre aquatique dans “The Host” (2006), une employée de bureau qui voit ses collègues de travail péter les plombs les uns après les autres. Mais un mystère de plus en plus pressant se fait sentir au sein de l’entreprise.
Le film est clairement une critique des méthodes de travail qui se sont généralisées dans l’univers des nombreuses offices qui se sont développées au Japon et en Corée. L’univers professionnel déborde largement sur tous les autres aspects de la vie, l’esprit, la vie privée jusque dans les maisons. Des méthodes qui amène l’employé à faire précéder son boulot sur toute autre chose. Un espace où chaque responsable met la pression sur ses subordonnés, allant jusqu’à l’humiliation. Le stresse accumulé peut conduire à des problèmes cardiaques, nommé Tako Tsubo au Japon, souvent associé à du boulot effectué en open space.
L’intrigue très forte de “Office” se déroule dans cette ambiance et raconte une histoire d’un espace de travail monolithique à la limite de l’esclavagisme que la majorité des sociétés multinationales ont connue. La France elle-même a connu une période où certaines grandes entreprises avaient cherché à mettre en place ce type de méthode de management dans leurs équipes, et on a pu voir un nombre impressionnant d’employés se donner la mort. Dans ce métrage, les personnages de Lee Mi-rye (la stagiaire) et de Kim Byeong-gook (le meurtrier) fusionnent dans une interprétation métaphorique. Les deux personnages suivent le même cheminement conduisant au burn-out.
Ce métrage navigue donc astucieusement entre plusieurs genres. On retrouve l’enquête policière à travers le personnage de Jong-hoon, interprété par Park Sung-woong. L’aspect thriller est articulé autour de l’atmosphère particulière qui règne durant presque tout le film, où l’on se demande où est donc caché Kim Byeong-gook (Bae Seong-woo) et quelle est donc son interaction avec Lee Mi-rye (Go Ah-sung). La mise en scène nous amène même à nous demander s’il ne s’agit pas d’une seule et même personne. L’aspect est horrifique par la manière dont certains des protagonistes sont tués.
“Office” a été proposé en avant-première lors du Festival de Cannes en 2015 dans la section Midnight Screenings. Le film a rapporté 3 millions de dollars de recette au box-office. En outre, il a également obtenu différentes nominations prix lors de cérémonies dédiées au cinéma.
En conclusion, “Office” est un très bon thriller disposant d’une histoire originale mettant à mal le système de management de certaines entreprises, où seule la quête des profits et autres bénéfices comptent. Le développement est astucieux, faisant appel à différents genres tels que le drame, le suspense, le mystérieux, le crime. Le rythme est plaisant et l’ambiance est tendue. La distribution offre de très bonnes prestations.
  Bande-annonce :
OFFICE (2015) ★★★★☆ Synopsis : Kim Byeong-gook, employé d’une grande entreprise, décime sa famille et disparaît sans laisser de trace.
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