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#Sylvie Tanette
timriva-blog · 3 months
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Manuel Vilas : « L’écrivain ne prend pas parti, il pose des questions et c’est au lecteur de les résoudre »
L’auteur espagnol dresse un beau portrait de femme libre qui collectionne les amant·es mais aime pour toujours son mari décédé. Rencontre autour d’un texte qui mêle questions intimes, philosophiques et politiques. Écrit par Sylvie Tanette Irène, veuve richissime, multiplie amants et amantes car dans le plaisir elle connaît parfois la sensation, fugace, de retrouver son mari décédé. Il s’appelait…
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les-toupies-h · 3 years
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Sylvie Tanette
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carraways-son · 3 years
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Michaëla était si belle, pareille à la mer quand le soleil se lève, une éternité calme qu'on aime contempler chaque jour.
Sylvie Tanette, Maritimes.
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heleniah · 5 years
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Un Jardin en Australie
Un Jardin en Australie
Sylvie Tanette
Au début des années 30, en Australie, Ann et son mari choisissent de vivre loin de leurs familles, dans une petite maison au milieu du pays. Rapidement, la jeune femme se prend de passion pour l’horticulture et décide de faire un jardin incroyable en dépit des conditions climatiques.
De nos jours, Valérie et son mari, des français expatriés, ont racheté la maison abandonnée depuis…
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revuedepresse30 · 5 years
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Trois romans coups de cœur pour l'été 
Du Tuff de Paul Beatty, satiriste prophétique de l'avénement de Donald Trump, à La Ligne de fracture de Jesmyn Ward où deux frères jumeaux noirs sont englués dans le Deep South ségrégationniste en passant par L'Age difficile d'Henry James disséquant les sentiments contradictoires de l'aristocratie britannique, les éditions 10/18 confirment leur appétence pour la littérature anglo-saxonne.
Tuff de Paul Beatty
traduit de l’anglais (E.-U.) par Nathalie Bru, 408 p., 8,40 €
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Si un ex-présentateur de téléréalité misogyne et raciste a pu conquérir la Maison Blanche, a priori, il n’y a plus vraiment de raison de s’étonner en matière de politique américaine. Right ? D’ailleurs, on n’a presque pas tiqué en lisant Paul Beatty imaginer la campagne électorale de Winston “Tuffy” Foshay, dealer d’East Harlem devenu, sur un coup de tête, candidat à la gouvernance de son district. Mais, aujourd’hui, ce qui nous épate dans ce roman écrit en 2000 par Beatty – ce satiriste acerbe de l’Amérique désunie récompensé du Man Booker Prize en 2016 – c’est sa dimension adroitement prophétique. Il y a dix-neuf ans, il pouvait y avoir quelque chose de comique à découvrir les ambitions municipales d’un ex-taulard cinéphile, fils de Black Panther, conseillé par un rabbin et dont le programme se résume à vouloir transformer son quartier en lieu où “les citoyens pourraient s’en donner à cœur joie, se droguer, baiser, rien branler et tout péter”. A présent, ça ne semble même plus grotesque. Make East Harlem Great Again ! Léonard Billot
L’Age difficile de Henry James
traduit de l’anglais (E.-U.) par Michel Sager, 528 p., 8,80 €
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"Tout est différent de ce que c’était", fait remarquer la jeune Nanda, 18 ans, à la fin du roman. Car dans cet Age difficile, Henry James (1843-1916) montre le monde en train de se transformer. Publié en 1899, le livre nous plonge dans l’aristocratie britannique. La mère de Nanda cherche à la placer dans la bonne société en lui trouvant un mari, mais craint que sa fille ne lui fasse de l’ombre dans son salon. Construit tout en dialogues, le roman montre le regard lucide que pose la jeune fille sur ses contemporains, ses désirs d’indépendance et son cheminement vers l’âge adulte. L’auteur de Portrait de femme décrit avec subtilité les mille sentiments contradictoires qui animent les êtres et analyse aussi l’hypocrisie et la perfidie de la haute société londonienne et les changements de la fin du XIXe siècle. Sylvie Tanette
Ligne de fracture de Jesmyn Ward
traduit de l’anglais (E.-U.) par Jean-Luc Piningre, 336 p., 8,10 €
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Dans le premier roman de l’auteure du Chant des revenants, toutes les thématiques qui la travaille sont déjà présentes. Ligne de fracture met en scène deux frères jumeaux noirs de 18 ans, dans le sud profond des Etats-Unis. Ils traînent une histoire familiale douloureuse et semblent ne pas avoir d’avenir. Jesmyn Ward, née dans le Mississippi, s’attache depuis toujours à dépeindre la vie saccagée de jeunes ruraux noirs ou métis. Et sa phrase poétique nous plonge dans l’ambiance particulière de sa région natale. Avec une auteure comme Brit Bennett, elle est aujourd’hui une des nouvelles voix importantes à s’être saisie de la question noire et la seule femme à avoir remporté deux fois le National Book Award. Sylvie Tanette
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“Pour un féminisme de la totalité” : le libéralisme, ennemi des femmes http://mobile.lesinrocks.com/2017/05/23/livres/pour-un-féminisme-de-la-totalité-le-libéralisme-ennemi-des-femmes-11946639/ La lutte pour les droits des femmes peut être à la base d’une révolution radicale. Sous la tutelle d’Angela Davis, un recueil de textes analyse le fonctionnement des mécanismes d’oppression. S’inquiétant de la façon dont la notion de droit des femmes peut être utilisée par des islamophobes, Félix Boggio Ewanjé-Epée, Stella Magliani-Belkacem, Morgane Merteuil et Frédéric Monferrand, auteurs de la revue en ligne de théorie marxiste Période, ont rassemblé une dizaine de textes, anciens ou inédits, pour aborder de façon globale l’instrumentalisation du féminisme par le pouvoir dans les sociétés capitalistes. Et la résistance qu’il faut y opposer. Le recueil analyse en particulier les formes de sexisme inhérentes au monde libéral. La sociologue Sara Farris se penche sur les fondements socio-économiques de l’islamophobie. Elle constate que “la hausse dramatique des flux de migration féminine est due en grande partie à la demande croissante de travailleurs dans le secteur des soins, notamment en Europe”.   Pourtant, poursuit-elle, le débat public est “dominé par une stratégie discursive insidieuse qui a tendance à obscurcir l’importance de ces femmes en tant que travailleuses domestiques et les représente plutôt comme victimes de leur propre culture”. Prolongeant cette réflexion sur les liens entre libéralisme et oppression des femmes, l’universitaire Kevin Floyd s’inquiète du matériel biologique marchandisé – ovocytes, tissu fœtal – fourni par des populations de femmes pauvres, et du développement de la gestation pour autrui, “réalisée dans le Sud pour de riches consommateursstériles du Nord”, qui constitue une forme de travail genré et racialisé “dans des régions du globe où les opportunités d’effectuer un travail salarié s’évaporent”. Le féminisme instrument fondamental de la convergence des luttes Un point de vue partagé par la militante féministe et sociologue Johanna Brenner, pour qui “la prostitution contemporaine est liée au capitalisme néolibéral mondial (…)  Dès lors, il est important que les féministes qui s’intéressent aux prostituées rejoignent les luttes des femmes qui, dans le monde, se battent pour des réformes agraires, pour des changements dans le droit de la famille, pour les droits des travailleurs(euses).” C’est en cela que le féminisme peut être vu comme l’instrument fondamental de la convergence des luttes, à condition qu’il ne soit pas au service d’une idéologie dominante. En un mot il est temps, pour les auteurs, de rendre au féminisme sa vocation révolutionnaire primordiale : renverser un ordre des choses supposé immuable. Pour un féminisme de la totalitécollectif, sous la direction de Félix Boggio Ewanjé-Epée, Stella Magliani-Belkacem, Morgane Merteuil, Frédéric Monferrand (Editions Amsterdam. collection Période), 424 pages, 20 € Par Sylvie Tanette
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78682homes · 5 years
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« Un jardin en Australie » de Sylvie Tanette 78682 homes
http://www.78682homes.com/un-jardin-en-australie-de-sylvie-tanette
« Un jardin en Australie » de Sylvie Tanette
Pour son deuxième livre, Sylvie Tanette invente un jardin où se concentre l’existence de ses personnages.
homms2013
#Informationsanté
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timriva-blog · 1 year
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« Les Rives de la mer douce » de Laura Alcoba, écrire après une dictature
Son enfance en Argentine durant la dictature, le silence imposé, la résistance organisée entre femmes. Autant de sujets au cœur du nouveau roman de Laura Alcoba. Écrit par Sylvie Tanette C’est comme si on entrait dans les coulisses d’un travail d’écriture. Laura Alcoba a raconté dans plusieurs romans autobiographiques son passé de petite fille née en Argentine sous la dictature, ses parents…
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timriva-blog · 1 year
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La place des femmes et de la jeunesse en Iran dans l’œil de trois autrices
Comment écrire et publier librement dans un Iran contemporain où la censure fait rage ? Les textes de Mahsa Mohebali, Nasim Marashi et Aliyeh Ataei, traduites en français pour la première fois, témoignent de leur courage.  Francesca Mantovani./Gallimard Écrit par Sylvie Tanette L’automne dernier, nos écrans ont été envahis d’images saisissantes venues d’Iran : des manifestantes retiraient…
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revuedepresse30 · 5 years
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Du Tuff de Paul Beatty, satiriste prophétique de l'avénement de Donald Trump, à La Ligne de fracture de Jesmyn Ward où deux frères jumeaux noirs sont englués dans le Deep South ségrégationniste en passant par L'Age difficile d'Henry James disséquant les sentiments contradictoires de l'aristocratie britannique, les éditions 10/18 confirment leur appétence pour la littérature anglo-saxonne.
Tuff de Paul Beatty
10/18, traduit de l’anglais (E.-U.) par Nathalie Bru, 408 p., 8,40 €
Si un ex-présentateur de téléréalité misogyne et raciste a pu conquérir la Maison Blanche, a priori, il n’y a plus vraiment de raison de s’étonner en matière de politique américaine. Right ? D’ailleurs, on n’a presque pas tiqué en lisant Paul Beatty imaginer la campagne électorale de Winston “Tuffy” Foshay, dealer d’East Harlem devenu, sur un coup de tête, candidat à la gouvernance de son district. Mais, aujourd’hui, ce qui nous épate dans ce roman écrit en 2000 par Beatty – ce satiriste acerbe de l’Amérique désunie récompensé du Man Booker Prize en 2016 – c’est sa dimension adroitement prophétique. Il y a dix-neuf ans, il pouvait y avoir quelque chose de comique à découvrir les ambitions municipales d’un ex-taulard cinéphile, fils de Black Panther, conseillé par un rabbin et dont le programme se résume à vouloir transformer son quartier en lieu où “les citoyens pourraient s’en donner à cœur joie, se droguer, baiser, rien branler et tout péter”. A présent, ça ne semble même plus grotesque. Make East Harlem Great Again !
Léonard Billot
L’Age difficile de Henry James
10/18, traduit de l’anglais (E.-U.) par Michel Sager, 528 p., 8,80 €
"Tout est différent de ce que c’était", fait remarquer la jeune Nanda, 18 ans, à la fin du roman. Car dans cet Age difficile, Henry James (1843-1916) montre le monde en train de se transformer. Publié en 1899, le livre nous plonge dans l’aristocratie britannique. La mère de Nanda cherche à la placer dans la bonne société en lui trouvant un mari, mais craint que sa fille ne lui fasse de l’ombre dans son salon. Construit tout en dialogues, le roman montre le regard lucide que pose la jeune fille sur ses contemporains, ses désirs d’indépendance et son cheminement vers l’âge adulte. L’auteur de Portrait de femme décrit avec subtilité les mille sentiments contradictoires qui animent les êtres et analyse aussi l’hypocrisie et la perfidie de la haute société londonienne et les changements de la fin du XIXe siècle.
Sylvie Tanette
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Ligne de fracture de Jesmyn Ward
10/18, traduit de l’anglais (E.-U.) par Jean-Luc Piningre, 336 p., 8,10 €
Dans le premier roman de l’auteure du Chant des revenants, toutes les thématiques qui la travaille sont déjà présentes. Ligne de fracture met en scène deux frères jumeaux noirs de 18 ans, dans le sud profond des Etats-Unis. Ils traînent une histoire familiale douloureuse et semblent ne pas avoir d’avenir. Jesmyn Ward, née dans le Mississippi, s’attache depuis toujours à dépeindre la vie saccagée de jeunes ruraux noirs ou métis. Et sa phrase poétique nous plonge dans l’ambiance particulière de sa région natale. Avec une auteure comme Brit Bennett, elle est aujourd’hui une des nouvelles voix importantes à s’être saisie de la question noire et la seule femme à avoir remporté deux fois le National Book Award.
Sylvie Tanette
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revuedepresse30 · 4 years
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Dans la bibliothèque de Constance Debré : ces livres qui disent je
La Vie matérielle de Marguerite Duras 
L’univers durassien cristallisé dans ce recueil de courts textes qui évoquent ses thèmes de prédilection et sa vie personnelle.
“Ce livre n’a ni commencement ni fin. Il n’a pas de milieu.” Ainsi Marguerite Duras parlait de La Vie matérielle. Né d’entretiens avec l’écrivain et réalisateur Jérôme Beaujour, publié en 1987 alors que la romancière a plus de 70 ans, il s’agit d’un recueil de courts textes qui sont autant d’émouvantes confessions. Trente-trois ans après, ce petit livre est d’une valeur inestimable pour qui veut entrer dans l’univers durassien. L’autrice de L’Amant évoque son travail littéraire et cinématographique, revient sur les thèmes récurrents de son œuvre et aborde frontalement différents aspects intimes de sa vie, dont l’alcoolisme. Des personnages apparaissent, comme des fantômes : Lol V. Stein, Anne-Marie Stretter, le Vice-Consul. Elle raconte la genèse de plusieurs de ses livres et tente d’expliquer l’inexplicable : ce qu’est l’écriture dans sa vie. Lointains souvenirs d’enfance, paysages et rencontres, réflexions sur la sexualité ou le temps qui passe, instantanés de sa vie à Trouville, le livre est porté par les phrases de Duras, lapidaires et nues.   Sylvie Tanette
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La Vie matérielle (Folio), 192 p., 6,90 €
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revuedepresse30 · 4 years
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Bilan livres 2019 : le top 10 des critiques littéraires
Nelly Kaprièlian
Le Ghetto intérieur de Santiago H. Amigorena (P.O.L)
Rouge Impératrice de Léonora Miano (Grasset)
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Nino dans la nuit de Simon et Capucine Johannin (Allia)
L’avenir de la planète commence dans notre assiette de Jonathan Safran Foer (Editions de l’Olivier)
Encre sympathique de Patrick Modiano (Gallimard)
Le Nom secret des choses de Blandine Rinkel (Fayard)
77 de Marin Fouqué (Actes Sud)
Sérotonine de Michel Houellebecq (Flammarion)
Occident de Simon Liberati (Grasset)
Mon année de repos et de détente d’Ottessa Moshfegh (Fayard)
Sylvie Tanette
Le Ghetto intérieur de Santiago H. Amigorena (P.O.L)
Rouge Impératrice de Léonora Miano (Grasset)
Ordinary People de Diana Evans (Globe)
La Tentation de Luc Lang (Stock)
La Chambre de l’araignée de Mohammed Abdelnabi (Actes Sud)
Les Confidences de Marie Nimier (Gallimard)
Rappeler les enfants d’Alexis Potschke  (Seuil)
Pas dupe d’Yves Ravey (Minuit)
Ce qu’elles disent de Miriam Toews (Buchet/Chastel)
Antonia – Journal 1965-1966 de Gabriella Zalapì (Zoé)
Léonard Billot
Rouge Impératrice de Léonora Miano (Grasset)
Nino dans la nuit de Simon et Capucine Johannin (Allia)
Archives des enfants perdus de Valeria Luiselli (Editions de l’Olivier)
Ames de Tristan Garcia (Gallimard)
Les Echappées de Lucie Taïeb (Editions de l’Ogre)
Les Chemins de désir de Claire Richard (Seuil)
Par les routes de Sylvain Prudhomme (L’Arbalète/Gallimard)
77 de Marin Fouqué (Actes Sud)
Comme une version arty de la réunion de couture de Cookie Mueller (Finitudes)
Carnets clandestins de Nicolás Giacobone (Sonatine)
Yann Perreau
Je ne reverrai plus le monde d'Ahmet Altan (Actes Sud)
Dans la fureur du monde de Chris Kraus (Flammarion)
L’Empreinte d'Alexandria Marzano-Lesnevich (Sonatine)
La Vie lente d'Abdellah Taïa (Seuil)
Rouge Impératrice de Léonora Miano (Grasset) 
Crac de Jean Rolin (P.O.L)
L’Ami de Sigrid Nunez (Stock) 
Je reste roi de mes chagrins de Philippe Forest (Gallimard)
La tempête qui vient de James Ellroy (Rivages) 
Sérotonine de Michel Houellebecq (Flammarion)
Gérard Lefort
77 de Marin Fouqué (Actes Sud)
Les enfants vont bien de Nathalie Quintane (P.O.L)
La Source de l’amour-propre de Toni Morrison (Christian Bourgois)
Papiers de Violaine Schwartz (P.O.L)
Encre sympathique de Patrick Modiano (Gallimard)
La Vache de Beat Sterchi (Zoé)
Une Vie de homard d’Erik Fosnes Hansen (Gallimard)
Confession téméraire d’Anita Pittoni (La Baconnière)
Mon ancêtre poisson de Christine Montalbetti (P.O.L)
Le karaté est un sport de combat d’Harry Crews
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