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#féminisme
les-larmes-d-eros · 3 months
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Photos par Danae Char
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feministsylvie · 7 days
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N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devrez rester vigilantes votre vie durant. 
— Simone De Beauvoir, Le deuxième sexe
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NOTE DE LECTURE : Lait et miel. Rupi Kaur. 2017
Voici un recueil de poésie dont j'avais tellement entendu parlé et qui mérite tellement le succès qu'il a reçu.  J'ai découvert la première partie : souffrir, comme un coup de poing dans le ventre, et je ne m'y attendais pas. C'est une blessure lointaine et profonde et l'autrice trouve les mots justes pour parler de violence et de silence. Elle ouvre sa douleur à la poésie.  La deuxième partie : aimer, m'a rappelé combien cette émotion peut être encore si proche de souffrir. C'est une sentiment espéré et impossible dont elle parle comme de fusion et de consolation, comme le sont les amours toxiques.  A partir de la troisième partie : rompre, pour se libérer et s'affirmer. Là c'est l'amour propre qui est évoqué, voire revendiqué avec l'acceptation de soi dans sa singularité.  Enfin, la dernière partie : guérir, prend un autre ton, lait et miel, pour aller vers la résilience et la confiance. La poésie est finalement sublime et salvatrice, pour la poétesse comme pour ses lectrices.  C'est donc un très beau recueil de poésie, et qui m'a beaucoup touchée, une poésie simple et accessible, contemporaine et universelle, féministe et libre, comme ses vers.
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itsdanielaasblog · 9 months
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Saalut tout le monde ! Welcome back to itsdanielasblog 😊
Aujourd’hui j’aimerais bien parler d’un sujet sur lequel je me questionne depuis quelques temps : la féminisation des noms de métiers. Pour commencer, il faut bien se demander quel est le pouvoir de la langue dans la perception humaine : un exemple que je trouve très puissant en matière concerne la tribu Himbas. Cette tribu namibienne n’a que cinq mots pour décrire les couleurs : la conséquence est la complète différence de perception des couleurs mêmes. En effet, le manque de distinction entre les mots pour « vert » et « bleu » mène à l’impossibilité de distinguer les deux couleurs. Cette réalité confirme l’ « hypothèse de Sapir Whorf », qui soutien – brièvement – que les représentations mentales dépendent des catégorie linguistique et que, donc, la façon dont on perçoit le monde dépend aussi de la langue qu’on utilise.
Là, après avoir constaté l'importance de la langue, il faut s’interroger sur qu’est-ce que c’est le genre linguistique même. Le genre dans la langue est l’exemple le plus évident de la dichotomie linguistique homme/femme et est souvent lié aux anciens Grecs et surtout à Protagoras ; le « genre » concernait la division des noms grecs dans les trois différentes classifications : masculin/féminin/neutre. Dans les langues indo-européennes, le genre des noms n’a rien à voir avec le signifié, mais avec la forme : un élément important est, par exemple, la terminaison des mots.  Déjà pendant le Moyen Âge on parlait de certaines profession au féminin comme dans les cas d’ « inventeure », « chirurgienne », « commandante » – ou, plus souvent, des substantifs féminisés par l’intermédiaire du suffixe « -esse », comme dans « venderesse ». Ce phénomène s’est amplifié au XIXe siècle, avec l’avènement de l’âge industriel ; il s’est accéléré depuis le début du XXe siècle, où les nécessités sociales liées au premier conflit mondial ont amené les femmes à exercer des activités jusqu’alors réservées aux hommes. La question du genre dans la langue dans l'histoire moderne remonte au XVIIème siècle avec Vaugelas qui, en 1647, a introduit la règle « le masculin l’importe sur le féminin » étant le masculin le genre le plus noble. Est-ce qu’on parlait de noblesse grammaticale ou sociale ? Je crois que c’est déjà une bonne question de départ ! Mais Vaugelas n’était pas le seul (bien suuur) : déjà Bouhours avait soutenu sans réserve Vaugelas, mais c’est avec Beauzée qu’on se rend compte que le sujet est aussi social et pas que linguistique : il soutenait que le masculin est plus noble à cause de la supériorité du mal sur la femelle. Même Maurice Druon, ex-secrétaire perpétuel de l’Académie française, a défendu l’idée que les noms de fonction devraient être masculins « puisqu’en français, l’espèce homme, ou le genre humain si l’on préfère, est masculin ».
En 1998, la Commission générale de terminologie et de néologie a publié le Rapport sur la féminisation des noms de métier, fonction, grade ou titre dans lequel elle ne s’oppose pas à la féminisation des noms de professions mais manifeste son désaccord avec la féminisation complète. Parmi ceux qui s’occupent de la problématique de la féminisation en France, la place la plus importante a été prise par la Commission de féminisation qui a travaillé de décembre 1983 à février 1986.
On peut donc soutenir que la féminisation des noms de métier n’est pas un problème du XXIème siècle !  
L’Académie française s’en est occupée en 2019, moment dans lequel on a reformulé le dictionnaire, en le pensant – aussi – au féminin. Ça a été le moment où on a reconnu la version féminine de la plupart des noms de métiers. Cet effort intellectuel nait d’une prise de conscience collective : il faut reconnaitre aux femmes une place dans la langue ainsi que dans la société. Toutes les évolutions qui vont dans cette direction peuvent être envisagées : ça suffit qu’elles ne contreviennent pas aux règles élémentaires et fondamentales de la langue. Ce n’est pas possible, donc, de changer ou bien de « bouleverser le système de la langue ».
D’un point de vue linguistique, il est possible de féminiser presque tous les substantifs, en particulier les substantifs désignant les professions. Dans le lien que je vous ai laissé en pièce jointe il y a quelques exemples de règles utilisées par l’Académie française !
Mais pourquoi est-il si important féminiser les noms de métiers ?
On peut contextualiser ce thème dans le domaine du sexisme langagier : selon les études de Michard, le sexisme du langage est caractérisé par la dévalorisation généralisée des termes de genre féminin et par l’exclusion, l’invisibilisation des femmes dans les discours en raison de la fausse valeur générique du masculin. Le sexisme langagier se nourrit de même de la méconnaissance de l’effet des rapports de pouvoir sur les processus de symbolisation et des représentation socio-cognitives et idéologiques qui en résultent. La féminisation des noms dans le sexisme langagier, se présente comme une valorisation de ce qui d’habitude est dévalorisé : l’utilisation du masculin en tant que spécifique (mâle) représente la tentative de rétablir la symétrie linguistique. Dans cette perspective, il faut aussi prendre en considération le concept de masculin générique : le féminin s’oppose au masculin en tant qu’humain, sous-entendant le genre féminin comme humain relatif. Par contre, la féminisation des noms peut jouer le rôle opposé : ça pourrait conduire à la dé-humanisation de mots en soi, en les représentant seulement pour le genre exprimé. Pour autant, la question qui se pose est : faut-il féminiser ou humaniser ? 
Pour revenir aux métiers, la notion absolue de profession ou de fonction est formalisée par le masculin sans différence de sexe : cependant, si on utilise des féminins dans ces exemples, le sens femelle envahit celui de profession ou de fonction, le relativise, le restreint, le dévie. Ce procès peut conduire à l’effacement complet de la fonction/profession et arrive à signifier « épouse ».
Pour conclure, on peut expliquer la volonté de féminiser comme une tentative de suivre une évolution sociale qui est marquée par l’accès des femmes à des métiers ou à des positions hiérarchiques dont elles avaient été longtemps écartées. Citons Marie-Jo Mathieu et Jean-Marie Pierrel: « la féminisation n’est ni une mode passagère, ni un programme politique, mais une revendication fondamentale, essentielle, existentielle de tout individu dans notre société : ce qui n’est pas nommé n’existe pas ».
J’ai cherché à résumer les questions fondamentales concernant la pratique de la féminisation des noms de métiers, qu’est-ce vous en pensez ? On en parle dans les commentaires !
P.S. L’usage est une réalité complexe : certains points de résistance doivent être pris en compte. Les raisons qui, en certains cas, s’opposent à la féminisation ne peuvent pas être a priori considérées comme irrecevables.
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femsolid · 4 months
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Quel plaisir :) T'imagines si au lieu de se taper des hommes de droite sur tous les plateaux de télé on avait des féministes de gauche à chaque fois ? J'aurai pas vendu ma télé peut-être...
Le trouduc qui croit que la présomption d'innocence ça veut dire qu'on a pas le droit d'accuser les hommes et qui fait du mansplaining a une avocate LOL remballé.
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francepittoresque · 6 months
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3 novembre 1793 : Olympe de Gouges est guillotinée sur ordre du Tribunal révolutionnaire ➽ http://bit.ly/Olympe-Gouges Célèbre auteur de la "Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne" et considérée comme une des pionnières du féminisme français, elle se signale d'abord par des écrits royalistes, avant de se faire républicaine deux ans plus tard, après l’évasion de Louis XVI arrêté à Varennes
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histoire-glitchienne · 8 months
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Petite pensée brouillon : féminisme et tueurs en série
Les années 70 représentent un tournant historique: pensées new-age, liberté sexuelle, féminisme… Néanmoins, c’est également durant cette période que les tueurs en série ont commencé à pointer le bout de leur nez . Alors que les femmes osent enfin sortir seules la nuit, les Autorités leur demande de ne pas se promener seule sous peine de croiser Ted Bundy au coin d'une rue. Sans vouloir minimiser le danger d'une telle rencontre, ne s'agirait-il pas d'un prétexte pour confiner les femmes à la maison et de les conditionner par la peur ? Toutefois, Il semblerait que ces évènements ont, au contraire, pousser les femmes à lutter davantage contre la violence des hommes. Nous pouvons nous demander si ce phénomène de tueurs en série commettant des crimes principalement sexuels n'aurait pas eu une influence, autre que la peur, sur les féministes américaines ? Ne se sont-elles pas dit qu'au lieu d'éviter le danger en s'imposant des restrictions, ne valait-il pas mieux l'affronter. D'autant plus, que céder à la peur, c'est également avouer que les femmes ont besoin des hommes pourse protéger Ted Bundy est un monstre, certes. Mais qui dit que tous les autres pères de famille sont sains d'esprit?
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culturefrancaise · 5 days
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Quand les femmes eurent le droit de voter
"Quand les femmes eurent le droit de voter" sur https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-pieds-sur-terre/quand-les-femmes-eurent-le-droit-de-voter-1905941 via @radiofrance
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les-larmes-d-eros · 3 months
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Photo par Danae Char
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jloisse · 2 months
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« Le féminisme libéra les femmes de la dignité naturelle de leur sexe et les transforma en homme inférieurs. »
— Francis Parker Yockey, Imperium (1948)
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NOTE DE LECTURE : Le bal des folles. Victoria Mas. 2019
J'appréhendais un peu de commencer ce roman qui trainait dans ma pile à lire depuis des mois, car je connaissais globalement la teneur de l'histoire et la folie, ça fait peur.  Or j'ai débuté avec aisance le récit de Victoria Mas, auquel j'ai accroché facilement malgré les éléments de surnaturel qui en font l'intrigue : Eugénie, l'héroïne, est médium et communique avec des esprits, sans qu'à aucun moment ne soit envisagé le délire. Le parti pris de l'autrice est bien d'effacer la frontière de la vie et de la mort, de la folie et de la norme pour évoquer uniquement des femmes qui souffrent, et pour lesquelles la folie est le seul moyen de défense contre des traumas et/ou une société maltraitante.  C'est donc une fiction qui prend le ton d'un engagement féministe pour dénoncer les violences du patriarcat : les proxénètes, les abuseurs, les menteurs, les voyeurs, les médecins, les pères, et les hommes en général de ce XIX siècle parisien.  Dans ce premier roman, Victoria Mas réussit à la fois à décrire l'ambiance sociale et les découvertes médicales de cette époque tout en tenant le fil de sa narration autour des personnages d'Eugénie, l'internée et de Geneviève, l'intendante du célèbre neurologue Charcot, qui étudie les maladies nerveuses et autres hystéries.  L'histoire d'Eugénie et de Geneviève, de Louise, de Thérèse et toutes les autres femmes internées à la Salpétrière est extrêmement touchante, humaine et sensible, passant d'un instant à l'autre du côté des parias, le plus souvent et malheureusement pour entrer à l'hôpital d'ailleurs... sans plus d'espoir d'en sortir. Ainsi Le bal des folles a reçu un très bel accueil lorsqu'il est sorti, lui, ce qui montre bien que le message de fond est bien passé. Tant mieux ! 
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stup1dv4mpire · 8 months
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chaque fois qu'on déshabille une femme pour en un produit, c'est moi que l'on déshabille. c'est moi que l'on étale. c'est moi que l'on méprise. c'est moi que l'on désir. c'est moi que l'on critique. c'est moi que l'on acheté. c'est moi que l'on commande par téléphone. c'est moi que l'on paye par chèque ou en espèces. c'est moi que l'on offre en pâture aux désirs de hommes.
agnes varda, réponse de femmes (1975)
"each time a woman is undressed to sell a product... it's me they undress. me they display. me they despise. me they desire. me they criticise. me they buy. me they order by phone. me they pay by check or cash. me they offer as fodder for men's desires."
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lesoleilseranoir · 10 months
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Malencontreux claquement de porte
dans un couloir néon
j’ouvre des yeux blancs comme
deux phares dans la brume du sommeil
et le myocarde hurlant
QU’A-T-IL ENCORE FAIT
je suis à deux milles trois cents
cinquante cinq kilomètres là
où il ne fait plus jamais jour mes nuits
sont tourmentées au-delà des continents par
ce père qui de sa paume dure m’a donné
ce que j’ai de meilleur et ce que j’ai
de plus violent
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plexussolaire · 8 months
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Celle qui aime trop
J’écoute le podcast “Mes 14 ans.” J’en suis à l’épisode 10 où elle raconte qu’elle est en couple avec un garçon qui n’est pas amoureux d’elle, mais amoureux de son ex. Elle explique qu’en fait, elle est devenu son plan cul, qu’il reste avec elle pour ça, que c’est clair entre eux, mais qu’elle ne se l’avoue pas. Elle essaye de le reconquérir. Et elle énumère les règles qu’elle se donne pour ne pas paraître dépendante ou amoureuse, elle énumère tous les comportements qu’elle met en place pendant des mois, sans succès, pour le reconquérir quoiqu’il arrive, et reprendre le contrôle. Mais le contrôle, c’est quelque chose qu’on ne reprend pas dans cette situation. Par contre, qu’est-ce qu’il est épuisant de contrôler chacun de ses mots, chacun de ses gestes, pour trouver la posture qu’il attend, pour devenir la personne dont il retombera amoureux.
J’ai trouvé une fois ce visage, et je n’ai pu le porter que quelques heures : c’était monstrueux.
J’ai hésité à mettre ce podcast pendant que je dessinais. Je sais pourquoi j’ai irrésistiblement envie de l’écouter jusqu’au bout. Mon adolescence bat dans mon coeur comme une boule au ventre. Je suis cette gamine amoureuse qui couche pour l’amour, qui couche pour le lien, alors que celui-ci devrait être défait au plus vite, pour sa sécurité et son amour propre. Malgré tout ce que je me raconte sur le mal que ce garçon m’a fait, sur son emprise, qui était réelle, puisqu’il ne me laissait jamais partir et qu’il n’était pas bienveillant avec moi, il est important de s’avouer que j’étais bien trop jeune pour tant de mépris. Je ne savais pas me défendre, je n’avais pas les outils pour comprendre ce qui était bien pour moi et ce qui ne l’était pas. Tout cela était des couleurs qui se traversaient et se fondaient entre elles. Il aurait fallu partir plutôt qu’être utilisée, et partir où ? Tout était si flou et embrouillé, que je ne m’étais même pas rendu compte de ça, même à 30 ans, que moi aussi, j’étais devenu un plan cul, et que ça avait duré deux ans. Je ne m’en étais même pas rendu compte. Je l’aimais, ou du moins j’aimais atrocement ce qu’il m’avait fait ressentir quand j’étais encore à conquérir. Et je voulais qu’il se rende compte qu’il éprouvait encore cela, par tous les moyens. Mais de déesse vaporeuse et lointaine, je me suis abîmée jusqu’à devenir une ombre.
Je comprends sa détresse qui en moi est encore vive. J’ai vécu comme elle la première fois qui s’est faite un peu tôt certes, mais avec la bonne personne. Ce que j’ai vécu trop tôt c’est la violence d’un plan cul non désiré, d’une non exclusivité subie, au moment où je croyais encore très fort à l’amour avec un grand A. Trop jeune pour avoir le coeur et l’estime écrasés, sans autres bras qui me serrent pour me calmer et m’aimer autrement. Sans les juger suffisant, peut-être. On sous-estime parfois les blessures profondes d’un amour adolescent, mais celui-ci me revient souvent en rêve, et n’épuise pas les questions. Comment aurais-je pu m’en sortir ? Aurait-il été préférable de ne pas vivre cela ? Comment aurais-je pu empêcher toute la souffrance immense qui me pèse encore 15 ans plus tard ?
N'est-il pas un jour nécessaire de tomber à la ramasse pour savoir ce que ça fait ?
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nos-vies-avant · 22 days
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"Je préfère prendre soin de mon mari (et ma famille) que prendre soin de clients." 👨‍👩‍👦 💕
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jaimelire-france · 2 months
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"Princesses de science" est un roman féministe et avant-gardiste de l'écrivaine française Colette Yver.
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