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#costume albanais
lord-bajromi · 28 days
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lonesomemao · 6 months
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LE VENT AMOUREUX DE MINUIT
Premier ministre Albanais
Costume bleu à l'ONU
Propos contre le représentant russe
Bonne tradition albanaise applaudie
Ibis Bleu athée ou croyant
Le Mur de Krypton n'existant plus
Son pays essence bleue antinazie en Europe
Son peuple s'est libéré de lui même
Durant la seconde guerre
Tyrana Ocre rêverie d'aigle
Jeudi 21 septembre 2023
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vizu-al · 3 years
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Chants Des Shquipetars Du Kosmet - 1957   
This vinyl cover of Albanian folk songs from Kosovo, sung by the great Nexhmije Pagarusha could help understanding the status of the Albanians in Yugo. A photo of a Serbian dance/costumes, four song titles very badly misspelled by a Serbo-Croatian editor                    
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jack-arnavut · 3 years
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Gli Albanesi rappresentati dal Barone Otto Magnus von Stackleberg, nel “Costumes & Usages des Peuples de la Grèce Moderne dessinés sur les lieux…, Paris, Senefelder & Formentin pour Marino, ca. 1828.”
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Janissaire de Jannina, dessiné par le baron de Stackelberg.
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Officier Albanais, dessiné par le baron de Stackelberg.
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arbenia · 7 years
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Jean-Léon Gérôme (1824-1904) The Albanian Paintings of the French Orientalist Jean-Léon Gérôme
The French painter Jean-Léon Gérôme (1824-1904) was born in Vesoul and studied in Paris under Paul Delaroche (1797-1856). In 1856, he journeyed to Egypt with his friend, the sculptor Auguste Bartholdi (1834-1904) – who was later to design the Statue of Liberty in New York – and was captivated by the colours and scents of the Orient. This visit was decisive for Gérôme’s subsequent success as an Orientalist painter, and the Albanians played a major role in it. Egypt, which like Albania was part of the Ottoman Empire at the time, was under the rule of the Albanian dynasty founded by Mehmed Ali Pasha (1769-1849), and a sizeable Albanian colony, including many janissary troops, had settled on the banks of the Nile. Gérôme was fascinated by their swagger, the flash of their weapons and their brilliant costumes, in particular by the swirl of their characteristic white Albanian fustanellas. He continued to paint Albanian figures for years thereafter. The following is a selection of some of Léon Gérôme’s Albanian paintings. For further information, the reader may consult Luan Rama’s book Les Albanais de Léon Gérôme / Shqiptarët e Léon Gérôme (Tirana 2016).
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periplekosovar · 6 years
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Premiers pas
Le projet était simplissime : passer deux jours à Pristina pour prendre le pouls du pays, glaner des idées pour épaissir notre mince bagage documentaire. Nous avions pour notre voyage esquissé peu d'exigences : randonner pour la moitié du temps dans les montagnes du Sud puis de l'Ouest et pour le reste naviguer à l'instinct. On ne pouvait menu plus allégé. Cela semblait très simple. Il nous suffisait de trouver l'office de tourisme, le bureau d'une association nationale de randonnée et d'organiser le tout sur place puisqu'à distance le manque d'informations compliquait la donne. Mais voilà, le Kosovo recèle plein de charmes mais les structures touristiques n'est pas le point fort du pays. Finalement, le voyage n'en a été que plus intense.
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L'hôtel en centre ville nous laissait le loisir de déambuler. Le soir d'abord, pour le premier contact, la capitale transpirait de vivacité. Les vitrines des boutiques scintillaient des paillettes des robes de soirées exposées sous le jeu des phares d'une circulation désordonnée conjugués aux pâles réverbères. L'avenue piétonne Néné Téresa  accueillait les déambulations nocturnes rituelles dans les Balkans. Les gens vont et viennent d'un pas lent, vêtus soigneusement, se croisent, se recroisent. C'est une véritable parade où chacune et chacun se montre sur son meilleur jour. Des affiches reproduisant ma statuette semblaient me souhaiter la bienvenue. Au bout de l'avenue, un concert se jouait. La musique envahissait l'espace dans un mélange de tonalités orientales et de rythmes contemporains. J'étais là, j'étais bien, j'étais de retour. Les premières bières, le premier repas fait de crudités et de qebapa, la version albanaise des cevapi, les premières hésitations entre mirëdita et dobar ban, faleminderit et hvala, les bonjours et mercis en albanais et serbes. Au Kosovo, les mots se choisissent avec précaution pour ne pas sembler choisir un camp plutôt que l'autre, ne pas froisser, ne pas mettre les pieds dans le plat. Il vaut mieux souvent faire un détour par l'anglais ou l'allemand avant d'être certain de la langue à utiliser, même pour les formules les plus simples, celles qui justement permettent de rentrer en contact.
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Au matin, la ville palpitait encore avec ses empreintes ottomanes et ses teintes modernistes. Les rues du bazar apparaissaient sans queue ni tête avec une succession d'étals de fruits, de vêtements, d'objets du quotidien, de cigarettes, de CD, sans ordonnancement apparent. Aux terrasses de la multitude de cafés, des consommateurs, en majorité des hommes, étiraient le temps leur tasse à la main, discutant et parlant encore. A l'une d'elle, je dégustais mon premier macciato, café crème délicieux qui fait recette au Kosovo. Des minarets s'échappaient les appels à la prière.  L'avenue Néné Téresa avait revêtu sa tenue diurne, la foule éclaircie marchait moins lentement. Notre quête de l'office de tourisme s'avérait vaine. Il avait fermé tout comme le bureau de l'association de randonnée. Un jeune homme dépité dans un office dédié à l'information culturelle européenne nous l'avait dit en précisant qu'il ne savait pas pourquoi, qu'il était désolé, que c'était ainsi. Je l'ai rassuré d'un sourire, son dépit le rendait triste. Et puis, ce n'était pas bien grave, un peu plus loin le Musée du Kosovo saurait sans doute nous délivrer les clés d'un pays
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Sur la façade du beau bâtiment, Ibrahim Rugova, premier président du Kosovo érudit et pacifiste, nous saluait en photo. Un guide vint à notre rencontre, nous proposant une visite. Elle se fit en anglais, presque chuchotée, presque sur le ton de la confidence pour nous dévoiler les trésors des vitrines du néolithique jusqu'à aujourd'hui. Il était visiblement ému de raconter son pays à travers les objets exposés. Tant et tant que lorsqu'il m'a dit que je ne pouvais prendre en photo  Hyjnesha, la déesse sur le trône, je n'ai pas insisté. Je lui ai confié à mon tour que j'étais heureuse de la voir car je l'avais en reproduction dans mon salon. Trouvée en 1955 lors de fouilles près de Pristina, elle était l’emblème de la ville, la preuve que le pays trouvait ses racines loin très loin, aux confins de la Dardanie, de l'Illyrie, bien avant les grecs et les romains. Les bijoux, poteries, fioles pour les parfums ou amphores pour le vin reflétaient il est vrai beauté et raffinement. Étonnement, peu de choses sont exposées sur la période ottomane, sur les luttes de l'époque et les batailles épiques dont celle du Champ des Merles, événement et lieu sources de revendications nationalistes serbes comme albanaises.  Il y a juste quelques costumes, des scènes de vie quotidienne reconstituées. Un musée ethnographique est censé en dire plus, mais il est en partie en travaux. Tout au long de ce voyage, poussée par la curiosité, je ne cesserai de tenter de visiter des musées ethnographiques en vain. Ils étaient fermés ce jour là ou temporairement ou définitivement.
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Très vite dans le musée du Kosovo arrivent les armes. Anciennes, elles sont ouvragées, décorées. Plus récentes, elles sont effrayantes par les souvenirs qui restent d'une guerre télévisée. Elles ont l'air pourtant archaïque. Des uniformes de « héros » sont exposés, portés par ceux que des statues martiales honorent un peu partout dans le pays. L'émotion du guide semble monter d'un cran lorsque nous arrivons à la salle consacrée à Ibrahim Rugova. Sa célèbre écharpe rouge voisine avec un stylo, une montre, des lettres manuscrites. Son visage sage est reproduit sur les murs. Je décroche encore un sourire lorsque je demande s'il est vrai que c'était un homme de lettres. Et puis, dans une vitrine, trône le courrier de Georges Bush présentant ses condoléances au peuple kosovar. Le décès du premier président du Kosovo a été vécu comme un drame national. Les Etats-Unis sont vénérés pour leur rôle dans l'accession à l'indépendance. Bill Clinton possède son avenue et sa statue salue les arrivants à l'entrée de la ville. Madeleine Albright figure en bonne place sur les photos exposées dans la dernière salle du musée, celle consacrée à la naissance de la République du Kosovo. Bernard Kouchner est sur le cliché des personnalités internationales présentes pour l'avènement. Les drapeaux des pays qui ont reconnu l'indépendance sont rassemblés. Il en manque à l'appel, le Kosovo n'a pas d'existence pour 35 états. Le drapeau français figure en bonne place, mais il manque en Europe celui de l'Espagne, de la Grèce et de la Roumanie. Le guide nous salua donc comme des amis.
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Nous poursuivons notre visite de la ville avec dans ma besace de nouvelles questions. En parcourant les rues de Pristina je m'interrogeais sur mon attrait pour les villes, les pays condamnés à la résilience. C'est si beau de sentir cet élan de vie qui sourd des cicatrices laissées par l'histoire. Il surnage ce parfum d'urgence à vivre, de gaieté et de gravité. Nous arrivons dans un lieu où voisinent l'église orthodoxe, inachevée sous le coup de la discorde, le clocher effréné de la cathédrale Mère Térésa, dont les bancs s'ornent d'un aigle effrontément albanais, et l'apparente disgracieuse bibliothèque nationale. Dans ce conflit des apparences, c'est cette dernière qui l'emporte, recelant dans son enceinte une beauté qui se dévoile à qui pousse la porte. Elle est sans doute là la plus jolie des résiliences, dans la quiétude de la connaissance. J'ai appris depuis que dans l'exposition que consacre le MOMA de New York à l'architecture yougoslave, elle figure en bonne place.
Pristina nous avait ouvert l'appétit. Tant pis si notre collecte d'informations s'avérait minuscule. Le pays attendait nos pas, saurait les accueillir. La décision était prise, nous partions vers le Sud et le massif du Sarr.
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Voyage ou voyage initiatique ?
Le départ pour l’Asie centrale est maintenant tout proche : tous les indicateurs sont au vert – mon état de santé est correct, le matériel prêt, les informations nécessaires rassemblées, le paquetage fait !
Je dois vous l’avouer, je suis excité comme une puce. Du moins depuis mardi dernier, quand on m’a dit que tout était OK après prise de sang et IRM (à l’hôpital Lariboisière ou j’ai passé 18 heures qui mériteraient tout un article sur le mauvais fonctionnement de nos hôpitaux, mais passons). Cet état presque euphorique ne me ressemble pas ! Généralement, les jours précédant un départ je suis plutôt angoissé et je me dis que ça serait bien d’avoir un peu plus de temps devant moi pour faire encore ci ou ça. Pas cette fois-ci. En fait, je me sens prêt et j’ai juste envie que ça commence ! Mais pourquoi cet état ?
Deux choses sans doute. Tout d’abord, le Great Himalayan Trail m’a « désinhibé » en quelque sorte. C’était une aventure vraiment en dehors des sentiers battus et puis c’était la première fois que je marchais aussi longtemps (40 jours). Au début, je me demandais si on allait trouver le chemin, si on allait résister à l’effort physique, si on allait trouver de la nourriture, bref, j’avais des doutes. Et puis ça a été ! Bien sûr, avec les difficultés que je vous ai racontées ici même sur ce blog, mais on a réussi à aller jusqu’à Salleri et traverser le tiers du Népal. Alors comme j’ai un esprit de compétition et que j’aime les défis, je me dis que je peux aller plus loin encore ! Je DOIS repousser mes limites. Bien sûr Tania n’est pas avec moi et ça va être plus dur de tout faire tout sans elle, sans compter la solitude qui va me peser. Mais je me dis que je vais y arriver et j’ai envie de me dépasser !
Ensuite, la seconde raison est plus personnelle encore. Je pensais n'avoir aucune ambiguïté avec mes origines. Je me considérais juste citoyen français, ouvert aux autres cultures, normalement curieux et point ! Las ! Plus ce voyage en Asie centrale se rapproche, plus je me rends compte à quel point je cherche mes origines. Par exemple, les musiques turques et iraniennes traditionnelles me sont les plus proches après l'albanaise, les paysages de cette partie du monde me font littéralement rêver, l’architecture turque ou persane est pour moi la plus belle, la cuisine de ces pays, la plus délicieuse qui soit et dans la langue turque ou persane je retrouve les mots de mon enfance. Mais pourquoi maintenant ? Et alors même que je n’ai jamais été au Kosovo, d’où vient mon père ? Et pourquoi chérir quelque chose de familier en Asie alors que mon père était albanais, qu’il suffirait de me rendre dans les Balkans, d’y faire un voyage approfondi. Justement je ne sais pas. Peut-être que c’est une manière détournée de chercher mes origines, que je n’ose pas réellement appréhender, tant mon père s’est montré froid et violent durant mon enfance. La relation que j’ai eue (ou justement que je n’ai pas eue ?) avec lui  m’a fait rejeter en bloc toute la culture albanaise et par là même la moitié de mes origines. Confusément, je sens qu’il est venu pour moi le temps de me réconcilier avec tout cela – sans rien oublier bien sûr. Le multiculturalisme, que je défends depuis toujours dans notre société, est inscrit en mon for intérieur de par mon ascendance mais aussi de par les choix que j’ai fait, au premier desquels celui d’épouser une vietnamienne et de renouveler ainsi le brassage des identités.
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Costumes traditionnels féminins albanais.
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lord-bajromi · 1 year
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En Albanie, un patriote incite ses compagnons a lutter contre Turcs"-
Le Pelerin N° 1795-1911
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lord-bajromi · 1 year
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Bajraktar Prek Cali 
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lord-bajromi · 1 year
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Roza Anagnosti 
Toka jonë (Hysen Hakani, 1964)
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lord-bajromi · 2 years
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lord-bajromi · 1 year
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lord-bajromi · 1 year
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lord-bajromi · 1 year
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lord-bajromi · 1 year
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lord-bajromi · 1 year
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