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#il sigillo azzurro
lamangasserie · 2 years
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Bilan de mes lectures de l'été
Quel drôle d’été ce fut pour moi. J’ai été prise par mes nombreuses pensées introspectives, par des rendez-vous médicaux assez pénibles et par un bon gros rhume. Je n’avais pas le cœur à être trop active que ce soit sur ce blog ou sur ce bon vieux Twitter. Malgré tout, j’ai bien envie de vous faire part de mes pensées quant à mes lectures de cet été ! Vous avez peut-être déjà constaté que j’avais lu Daruchan de Lemon Haruna, titre autour duquel j’ai écrit un article. C’est d’ailleurs un article plus en relation à ces pensées évoquées plus haut qu’à Daruchan, mais passons. Ce fut tout de même un été assez riche en lectures. Voilà quelques mots sur certaines de ces lectures !
On commence avec Ao no Fuuin de Chie Shinohara. Ce manga fut pré-publié dans le magazine shojo Sho-comi entre 1991 et 1994. Inédit en France, il est sorti en Italie au début des années 2000 sous le titre de Il sigillo azzurro chez Star Comics. J’ai lu l’intégrale, en onze tomes.
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Soko vient de déménager à cause du travail de son père et se voit contrainte de commencer une nouvelle vie. Les choses ne vont pas bien pour elle, elle se sent comme malade dans ce nouvel environnement. Un nouvel élève fait lui aussi son apparition dans les couloirs de son nouveau lycée. Il s’agit d’Akira et il est là pour tuer Soko dans laquelle s’incarne Soryu, la reine des Oni de la famille de l’Est et dévoratrice d’êtres humains. Mais la mort de Soko est-elle l’unique moyen de sauver la race humaine face à la menace que représente Soryu ?
J’ai beaucoup aimé Ao no Fuuin ! Sa grande force, c’est son rythme effréné. C’est un manga extrêmement captivant dont il est difficile de terminer un tome sans vouloir continuer avec le suivant. Il n’y a aucun temps mort, on saute de problématiques en problématiques, de surprises en surprises. Les onze tomes qui constituent le récit s’enchaînent à vitesse grand V, on ne voudrait que ça ne s’arrête jamais ! Avec Ao no Fuuin, Chie Shinohara nous fait aussi une belle démonstration de sa maîtrise de la narration graphique. Notamment sur de beaux moments d’horreur où elle maîtrise avec justesse l’art de la page suivante. On tourne une page et on est face à une horreur sans nom. Ou encore, du coin de l’œil, on aperçoit une traînée de sang dont on remonte la piste au fur et à mesure des cases. C’est peut-être exécuté de manière assez simpliste, comme un lourd silence avant un screamer au cinéma mais il n’en reste pas moins que c’est très efficace ! Ao no Fuuin est aussi un manga surprenant de par son côté mature, à la tension sexuelle bien pesante. Si on pouvait s’attendre à une romance pudique, que nenni ! Les plaisirs de la chair ne sont jamais bien loin entre Soko et Akira. De plus, ennemis par essence, ils s’aiment malgré tout ;  de quoi rajouter une couche de tension entre les amoureux ! Par contre, il y a bien une chose que l’on peut reprocher à ce manga, c’est son côté « over the top ». C’est too much, c’est abusé. Le manga est truffé de retournement de situation toujours plus énormes, et ce jusqu’au bout. Parfois, on aurait envie d’en pouffer de rire tellement ce n’est plus crédible. Mais après tout, pourquoi pas ? Le manga nous prépare à tant d’éventualités qu’il faut savoir faire avec ces nombreuses révélations. Pour conclure, c’est un manga facile d’accès, simple mais efficace et qui vous entraînera tout de suite dans son sillage. Je recommande à quiconque voudrait vivre onze tomes d’adrénaline shojo !
On continue avec ma lecture des tomes 3 et 4 d’A Sign of Affection de suu Morishita. C’est un manga pré-publié dans le magazine shojo Dessert depuis 2019 et publié chez nous par Akata.
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Yuki est une étudiante qui, comme beaucoup d'autres, construit son quotidien autour de ses amis, des réseaux sociaux et de ce qu'elle aime. Mais quand un jour, dans le train, elle croise un jeune homme qui voyage à travers le monde, son univers va être chamboulé : ce dernier, bien que trilingue, ne connaît pas la langue des signes. Pourtant, très vite, il manifestera pour elle un intérêt bien particulier… Comment réagira-t-elle face à ce camarade d'université entreprenant et communicatif ?
A sign of affection décrit avec pudeur et simplicité l'histoire d'amour entre une jeune femme sourde et un grand voyageur. à n'en pas douter, les personnages de ce manga ne manqueront pas de vous émouvoir !
(résumé de l’éditeur)
Comme déjà évoqué sur Twitter, A Sign of Affection est un coup de cœur. Dans ces tomes, les amoureux avancent sur la route de l’amour, avec dans le tome 3 un véritable virage sur cette route. Ce manga continue de faire battre mon cœur de fangirl ! Yuki est toujours aussi adorable et le manga nous offre toujours plus de moments tout doux. On continue aussi les moments assez sensuels avec beaucoup de délicatesse exprimée dans les mains grâce à un découpage et une narration qui prend le temps. A Sign of Affection continue aussi à me plaire car il évite le côté pédagogique sur la surdité. Les choses expliquées s’inscrivent avec naturel dans le récit et les bonus. La romance reste bien au cœur du récit. Je regrette peut-être juste un peu le manque d’un réel bouleversement notamment avec le personnage d’Oshi, ami d’enfance de Yuki qui est clairement jaloux d’Itsuomi. J’espère aussi que les tomes suivants apporteront plus de voyage et de réponses quant au tatouage d’Itsuomi sur le doigt. J’avoue mourir de curiosité quant à ce tatouage ! Vivement que je lise la suite !
On enchaîne avec les trois derniers tomes, donc 8 à 10, de Complément Affectif de Mari Okazaki. C’est un manga qui fut pré-publié dans la revue josei Feel Young entre 2004 et 2010 et sorti chez nous par Akata à l’époque Delcourt.
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Minami Fujii, 27 ans, travaille dans une agence publicitaire. Investie, elle en vient à délaisser sa vie sentimentale, stable en apparence. Son compagnon la quitte ; Fujii est à un tournant de sa vie. Elle va se réfugier dans son travail en s’y impliquant toujours plus. Elle s’impliquera alors aussi davantage avec ses collègues, masculins comme féminins, et traversera les heurts de la vie à leur côté.
Je dois bien l’avouer: j’ai du mal à suivre les héroïnes de Mari Okazaki. J’ai du mal à saisir qui elles sont, comment et pourquoi elles agissent et réagissent comme elles le font. Je ne me sens absolument pas proche d’elles malgré les problématiques que l’on partage. Je ne sais pas pourquoi. Est-ce que je suis encore trop jeune ? Est-ce que je suis juste trop différente d’elles ? Peu importe, j’ai tout de même pu apprécier ces derniers tomes de Complément Affectif. Fujii semble enfin avoir trouvé une certaine stabilité avec son compagnon. Bien sûr, la route n’est jamais parfaitement lisse et cette stabilité rencontre encore bien des obstacles. Les ambitions professionnelles de chacun, évidemment, comme toujours dans le manga, mais aussi des évènements inattendus. Le tome 9 fut particulièrement bouleversant, tout est remis en cause, jusqu’à l’existence même. « Et si… sans qu’on en ait conscience… le sol sous nos pieds… pourrissait lentement ? Je n’y avais... jamais pensé. ». La fin, surprenante, m’a amplement satisfaite, Fujii trouve enfin la paix intérieure dont elle avait besoin après des années de tumulte. Malgré la distance entre les héroïnes de Mari Okazaki et moi-même, Complément Affectif est un titre dont il ne faut pas passer à côté. Rien que pour l’univers et le talent de narration de l’autrice, uniques en leurs genres.
On termine avec une découverte faite au détour d’internet: Real Clothes de Satoru Makimura. Il est sorti dans le magazine josei YOU entre 2006 et 2011 et est inédit chez nous. J’ai les cinq premiers tomes, sur treize.
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Amano Kinue est vendeuse dans le rayon matelas d’un grand magasin. Elle s’y plaît et elle est douée. Mais peut-être trop douée… Elle attire l’œil de la responsable de l’offre prêt-à-porter féminin et s’y voit transférer du jour au lendemain. D’abord déboussolée, elle finira par prendre ses marques et se découvrir une nouvelle facette d’elle-même.
C’est un manga qui a pour univers celui de la mode donc forcément, je me devais de le lire ! Real Clothes est une très bonne surprise. En premier lieu car il n’aborde pas la mode sous le prisme de la création, du design mais sous celui du retail. Puis en second lieu car le personnage principal est une jeune fille qui ne rêve absolument pas de mode. Et j’aime beaucoup le personnage de Kinue. Plutôt timorée au début, elle découvre sa propre force au fur et à mesure des tomes, face aux challenges qu’elle rencontre autant dans sa vie professionnelle que personnelle. En travaillant dans ce nouvel univers, elle sort de la torpeur dont elle avait fait un nid à l’abris de tous les risques. J’aime ce genre de personnages qui découvrent au fond d’eux une force de caractère qu’ils n’imaginaient pas. Les épreuves que surmonte Kinue ne sont pas faciles et ce se font souvent dans la douleur, mais j’aime qu’elle se révèle à elle-même mais aussi à nous, lecteurs. Dans un sens, c’est un personnage encourageant ! C’est un manga qui montre bien que sortir de sa zone de confort est difficile sur le moment mais permet de nous révéler à nous-même et est bénéfique sur le long terme. Le manga aborde aussi les relations que nous entretenons avec les autres, sous couvert des défis que rencontre Kinue dans son travail. En plus d’être un manga passionnant et qui en apprend sur le monde de la mode, c’est un manga qui pousse à la réflexion sur qui nous sommes. Il me tarde de lire la suite des aventures de Kinue !
J’ai aussi lu d’autres mangas durant cet été...
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De haut en bas, de gauche à droite: l’intégrale en onze tomes de Niji-iro Tohgarashi de Mitsuru Adachi, les tomes 4 et 5 d'Escale à Yokohama de Hitoshi Ashinano, le tome 2 de Papa Told Me de Nanae Haruno (mon tome annuel, rendez-vous en 2023 pour le dernier), le tome 2 de Mobuko no Koi de Akane Tamura, le tome 2 de Mordue de toi de Nao Hinachi, le tome 8 de Tokimeki Tonight de Koi Ikeno (en italien), les deux premiers tomes de The Night Beyond The Tricornered Window de Tomoko Yamashita (sur lequel vous pouvez lire un super article sur le blog Club Shojo), le tome 8 de Nekomix Genkitan Toraji de Yumi Tamura et enfin la suite de mon webtoon du moment, See You In My 19th Life de Lee Hey.
C’est tout pour moi aujourd’hui ! Je vous invite à me dire à votre tour, sur Twitter, vos lectures les plus marquantes de cet été ! Si vous avez aimé cet article, n’hésitez pas à le partager autour de vous. À la prochaine !
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lamilanomagazine · 29 days
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Trieste: Meritato sigillo trecentesco a Guido Barbazza, già Presidente e AD di Wartsila Italia
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Trieste: Meritato sigillo trecentesco a Guido Barbazza, già Presidente e AD di Wartsila Italia. Nel Salotto Azzurro Municipale il sindaco Roberto Dipiazza ha consegnato il Sigillo Trecentesco della Città di Trieste a Guido Barbazza, già Presidente e Amministratore Delegato di Wärtsilä Italia S.P.A. Presenti alla cerimonia anche il presidente dell'Autorità di Sistema Portuale del Mare Adriatico Orientale, Zeno D'Agostino, il presidente e amministratore delegato di Samer & Co. Shipping Spa, Enrico Samer e un nutrito gruppo in rappresentanza della Wärtsilä Italia S.P.A. "Guido Barbazza è una persona con cui ho trascorso dei momenti straordinari, come l'arrivo della British American Tobacco Italia a San Dorligo della Valle. Con grande amicizia ti consegno il Sigillo Trecentesco della Città di Trieste", con questo parole il sindaco Roberto Dipiazza ha accolto Guido Barbazza, già Presidente e Amministratore Delegato di Wärtsilä Italia S.P.A. Guido Barbazza ha ringraziato il Sindaco e la città di Trieste per il riconoscimento importante. "Questo riconoscimento mi ha ricordato il lavoro svolto insieme alle istituzioni locali e al gruppo di Wärtsilä Italia S.P.A. che ho avuto l'onore di presiedere e con cui ho risolto tante situazioni difficili, riuscendo a trasformarle in opportunità". Guido Barbazza, Senior Business Executive con approccio visionario che, grazie alla poliedrica esperienza maturata in aziende multinazionali nei settori industriale, energia, marittimo e dei servizi, e alla naturale attitudine e sensibilità, ha colto opportunità al di fuori degli schemi tradizionali, fornendo soluzioni innovative per l'ottimizzazione delle strategie aziendali. Presidente e Amministratore Delegato di una grande azienda italiana e Vice-Presidente di Divisione di un grande gruppo multinazionale con 18.000 dipendenti. Chariman e Consigliere di Amministrazione di società italiane ed estere. Solido track record nel raggiungimento e superamento dei target prefissati, gestendo attività in responsabilità totale di "Profit & Loss", "End 2 End" per volumi di fatturato fino a 700 M€, con personale fino a 2.500 unità e con EBIT fino al 20%, con il motto "Mission is possible!". Leader e comunicatore naturale - relatore a seminari, conferenze e lezioni universitarie - specialista in change management, trasformazione ed evoluzione, con una particolare attenzione all'innovazione. Consulente e auditor per acquisizioni di società in Olanda, Canada, Danimarca, negli Stati Uniti d'America e a Singapore.  ... #notizie #news #breakingnews #cronaca #politica #eventi #sport #moda Read the full article
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libroazzurro · 2 years
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È PIÙ SACRO VEDERE CHE CREDERE - IL NODO
 Dopo avere fatto l’amore, stanchi di dirsi parole, e di avervi fatto brillare per un momento, instabile come il vento, il segreto manifesto che scioglie, che lega ogni cosa attraverso i rapporti e il metro con cui vengono percepite dall’anima; stanchi ormai di farsi domande, e ottenere risposte, e infine di sapere tutto, le donne e gli uomini, in paradiso, usano disegnare nella sabbia, o nell’aria, una stella: è a sei punte, sigilla fermamente ciò che muta di continuo, e lega nella lotta e nell’amore per sempre ciò che è opposto. Questo sigillo può essere rappresentato anche da un nodo.
 Nell'immagine una elaborazione grafica del nodo de "Il libro azzurro", così come viene descritto nel romanzo "Lo splendore".
 Testo di Pier Paolo Di Mino.
Ricerca iconografica a cura di Veronica Leffe.
https://www.libroazzurro.it/index.php/note/e-piu-sacro-vedere-che-credere/437
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muccamuffa · 4 years
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Nessun cielo ha mai avuto il suo azzurro, nessun vento la musica del suo maestrale, nessuna luna la sua magia, nessuna casa è mai stata casa, mai più come la mia isola! Quel sigillo come una bolla che marca l’appartenenza, come un orgoglio portato sulle spalle, come un faro per illuminare la strada del ritorno. Un sigillo d’amore, impresso nel sangue. E io torno, torno ogni volta che posso. A bagnarmi i piedi, a ritrovare le mie radici, a sentirmi a casa. La casa che è ancora lì, nella mia isola. L’isola che mi è casa.
Giorgia Satta - Sardegnasoprattutto.com
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Patente di Nobiltà di Don Josef Manuel de Campos y Velazquez
Manoscritto miniato su pergamena, Madrid, 8 Agosto 1780, in formato in folio, mm. 312×213, 36 carte non numerate vergate in nitida ed elegante calligrafia cancelleresca in inchiostro nero, sigla autografa di certificazione al margine inferiore di ogni foglio, testo dentro grande cornice con ricche decorazioni in azzurro entro doppia filettatura rossa, 6 iniziali miniate in oro ed inchiostri policromi, nomi e decorazioni in oro, un grande albero genealogico miniato ripiegato, stemma miniato a piena pagina con due leoni rossi affrontati e controrampanti ad un albero, altro foglio miniato con il nome in oro, entro ovale, del dignitario che controfirma la patente, Don Vicente de Villasenor y Acuna, attorniato da bandiere, navi, motivi allegorici e stemma, in alto lo stemma in bianco e nero del Re Carlo III, in fine firme degli scrivani della cancelleria reale di Madrid e sigillo del loro Collegio incollato, esemplare in ottimo stato, legatura coeva in pelle bruna, cornice ornata in oro sui piatti, al centro grande intarsio esagonale, con pelle marezzata avana con diametro a dentelle in oro, comparti con fregi fitomorfi in oro al dorso, lacci di chiusura, fogli di guardia marmorizzati policromi. 
SOURCE http://www.minervaauctions.com/aste/asta116/38102-manoscritto-miniato-patente-di-nobilta-di-don-josef-manuel-de-campos-y-velazquez/
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calypsoffcowt · 6 years
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“Tu sei un mago, Ace”
Fandom: One Piece
Iniziativa: Questa storia partecipa al “Playing with magic” a cura di Fanwriter.it!
Numero Parole: 2012
Prompt/Traccia: Libero
  Rouge sapeva che quel giorno prima o poi sarebbe arrivato e lo temeva come nient’altro.
Era come una scadenza che si avvicinava inesorabile e alla quale lei sapeva che non avrebbe potuto sottrarsi per quanto l’avesse voluto.
Da un paio di mesi ormai era costantemente all’erta.
Appena sentiva il postino che si avviava sul vialetto, correva alla porta per essere la prima a prendere la posta, anche se sapeva che non aveva senso: ciò che temeva non sarebbe arrivato in quel modo.
Spesso scostava le tende leggere delle finestre per poter guardare fuori, scrutava il cielo alla ricerca di un segno, un indizio, qualcosa che determinasse l’inizio di quel piccolo incubo personale.
Quando la sera si metteva a letto si ripeteva in mente più e più volte il discorso che avrebbe fatto anche se, lo sapeva, quando sarebbe giunto davvero il momento fatidico non se lo sarebbe ricordato.
Ormai era agosto inoltrato, le giornate si stavano facendo più corte e il caldo torrido stava lasciando un po’ di respiro rimpiazzato da temperature più piacevoli.
Quando la sera tornava a casa dal lavoro ormai il cielo si era fatto un po’ più scuro e, a volte, era possibile vedere già le prime stelle che trapuntavano al volta.
Come faceva ogni volta, anche quella sera uperò il cancelletto del suo giardino, percorse il vialetto, raggiunse la porta, infilò la chiave nella toppa ed entrò.
-Ciao, Makino! Sono a casa!- urlò in direzione della cucina mentre appoggiava la borsa all’attaccapanni e si sfilava le scarpe col tacco che indossava da ore e ormai non sopportava più  per rimpiazzarle con le ciabatte decisamente più comode.
-Buona sera signora Portuguese!- rispose la ragazza dai capelli verdi affacciandosi alla porta e rivolgendole un sorriso gentile.
Rouge l’aveva scelta come babysitter di suo figlio proprio per quello, perché nonostante fosse giovane aveva un forte istinto materno, era dolce e premurosa, sensibile e cortese. Visto che lei era sempre impegnatissima con il lavoro e suo marito non c’era più desiderava che suo figlio passasse del tempo con una persona simile.
-Come è andata oggi?- le chiese raggiungendola in cucina e annusando il profumino che proveniva dalle pentole che contenevano la cena che la ragazza aveva preparato anche per lei.
-Tutto bene- rispose lei girando il sugo con un cucchiaio di legno –Siamo andati al parco dove c’erano anche Perona e Drake. Ace ha giocato tutto il giorno con loro-
La donna sorrise, contenta di sapere che il figlio si divertiva anche in quelle giornate estive e anche quando lei lavorava tutto il giorno e non poteva stare con lui.
-Dov’è adesso?- chiese poi guardandosi intorno alla ricerca del moretto, aspettandosi di vederlo stravaccato sul divano del salotto a guardare i cartoni o a giocare con la play, oppure di vederlo arrivare di corsa dalle scale per salutarla e abbracciarla.
-È di sopra- rispose distrattamente Makino guardando l’orologio –Se è tutto posto io andrei- disse poi tornando a concentrarsi su di lei.
-Certo Makino, grazie. Ci vediamo domani- le rispose la donna mentre già si avviava all’ingresso verso le scale che conducevano al piano superiore.
Aveva una strana sensazione.
Salì le scale lasciando scorrere le dita sottili sul corrimano di legno fresco che le causarono piccoli brividi lungo la schiena.
Il primo piano era buio, dalla porta semichiusa della camera di Ace giungeva una luce fioca, probabilmente generata della lampada che il bambino aveva sul comodino.
-Tesoro- lo chiamò con un sorriso sulle labbra mentre appoggiava una mano sulla porta e la spingeva delicatamente per aprirla.
All’interno della stanza trovò Ace, suo figlio, con la sua canottiera gialla e pantaloncini blu ancora sporchi di terra a causa del pomeriggio di giochi al parco, seduto sul suo letto che reggeva in mano un foglio che scrutava con curiosità.
Sentendola entrare sollevò il capo e puntò i suoi occhi colmi di interesse sulla madre.
-Ciao mamma- la salutò con un rapido sorriso –Cos’è questa?- domandò poi mostrandole il foglio che teneva in mano, un foglio di pergamena ingiallita che mostrava le due pieghe classiche di una lettera.
Rouge sentì il sangue gelarle nelle vene e per un attimo le manco il respiro.
Strabuzzò gli occhi e si guardò intorno. Sul materasso, accanto al bambino, stava una busta stracciata che riportava il sigillo di Hogwarts.
-Dove l’hai presa?- gli domandò con un sorriso nervoso, sperando di riuscire a non far trasparire la sua apprensione dal suo tono di voce.
Il moro alzò le spalle in un gesto noncurante.
-Era sul davanzale- disse indicando con il pollice la finestra della sua camera che stava dalla parte opposta rispetto alla porta –Ed è indirizzata a me-
-Signora Portuguese!- giunse la voce di Makino dai piedi delle scale –Io vado! Ci vediamo domani!-
Ma la donna non rispose, lo sguardo ancora fisso sul figlio e la lettera che teneva in mano.
-Ciao Makino!-
La voce del morò la ridestò dal suo stato di trance.
-Ciao Makino, grazie- disse, con poca convinzione.
Sentì il rumore della porta d’ingresso che si chiudeva alle spalle della giovane babysitter e il silenzio calò sulla casa che, unito alla penombra della camera, le conferiva un’atmosfera cupa.
-Mamma- Ace chiamò la madre che ancora non si era mossa dalla sua posizione e continuava a guardarlo con gli occhi spalancati e il viso pallido –C’è qualcosa che non va?-
La donna prese un profondo respiro e rilasciò andare l’aria chiudendo gli occhi nel tentativo di ritrovare la calma.
-Cosa c’è scritto, Ace?-
Il bambino tornò a guardare il foglio con un sopracciglio alzato.
-Non capisco bene. Dice che sono stato ammesso a una scuola di magia e stregoneria di Hog… Hogwa..- fece il bambino, faticando a leggere la parola sconosciuta.
-Hogwarts- intervenne la madre in suo aiuto.
-Sì- fece lui –E poi c’è un elenco di libri e materiali che dovrei comprare- fece lui sollevando nuovamente lo sguardo sulla madre –Ma dev’essere uno scherzo- disse –La magia non esiste. E poi sulla busta oltre all’indirizzo di casa nostra c’è scritto anche il piano della mia camera- disse indicando l’involucro appoggiato accanto a lui –Sarà stato uno scherzo di Satch!-
Rouge sospirò pesantemente, poi si fece coraggio ed entrò nella stanza per sedersi di fianco al bambino.
Gli fece una dolce carezza sulla guancia e gli diede un bacio sulla fronte dal quale però lui tentò di scostarsi lievemente. Era già nella fase in cui le troppe smanceria lo imbarazzavano.
La madre sorrise tra sé pensando a quanto il suo bambino stesse crescendo e l’arrivo di quella lettera ne era un ulteriore indizio.
Era sicuramente un sorriso amaro.
-C’è una cosa di cui non ti ho mai parlato, tesoro- disse in tono basso.
-Cosa?- domandò lui ingenuamente.
-Ricordi le favole che ti raccontavo quando eri piccolo? Le favole che nessuno dei tuoi amici conosceva?-
-Sì!- rispose il bambino sorridendo –“Il mago e il pentolone salterino” e “Baba Raba e il cappo ghignante”-
-Esatto- disse lei.
-Gli altri non le conoscono perché le hai scritte tu quelle storie-
La donna scosse la testa –Non è proprio così-
Il moretto la guardò inclinando il capo di lato con un’espressione perplessa in volto.
-Quelle fiabe me le raccontava mia mamma quando io ero piccola. Non te ne ho mai parlato ma io vengo da un posto… speciale-
Rouge proprio non sapeva come dire quello che stava per dire senza apparire totalmente pazza agli occhi del figlio.
-Un posto in cui quelle favole sono molto meno favole di quanto sembri, sono quasi realtà-
Una strana luce illuminò gli occhi di Ace e lei decise di proseguire.
-In questo posto, o meglio, tra queste persone esiste la magia. Esistono le bacchette, le scope volanti, le pozioni magiche, creature mitologiche e tante altre cose-
La donna volse lo sguardo per la stanza e vide un piccolo aereoplanino di carta azzurro nascosto solo per metà sotto l’armadio. Mosse una mano nella sua direzione, muovendo l’indice verso l’alto e quello si alzò da terra e svolazzò per la stanza prima di atterrare sulla sua mano protesa in avanti.
Ace spalancò la bocca, sorpreso da quanto aveva appena visto.
-Che trucco hai usato?- le chiese concitato.
La donna rise.
-Non c’è nessun trucco, Ace. Io sono una maga, una vera maga-
Il bambino si voltò a guardarla con gli occhi carichi di stupore e confusione.
-E tu, piccolo mio, sei un mago-
Il moretto sembrò paralizzarsi per qualche istante, poi, con lentezza inesorabile, scese dal letto, si girò verso il suo comodino, aprì il cassetto e ne estrasse una candela.
La donna corrucciò la fronte domandandosi cosa ci facesse suo figlio con una candela in camera sua.
Il bambino si voltò nuovamente verso di lei, la guardò per un attimo, poi strinse lo stoppino tra pollice ed indice e quando lo liberò una piccola fiammella apparve in cima alla candela.
-Mi sono accorto qualche giorno fa che riesco a farlo- spiegò lui guardandola –Non sapevo cosa fosse ma pensavo fosse qualche fenomeno strano. Non pensavo fosse magia-
Rouge sorrise.
-E invece lo è. I tuoi poteri stanno venendo fuori ed è alla tua età che si inizia a frequentare la scuola di magia per imparare ad usare questi poteri: Hogwarts- disse indicando la lettera che era rimasta abbandonata sul materasso accanto a lei.
-Dov’è questa scuola?- chiese lui.
-Qui, fuori Londra-
Il bambino alzò un sopracciglio.
-Quindi non è un posto speciale? Quello in cui c’è la magia-
Rouge scosse il capo –In realtà i maghi esistono in tutto il mondo, ma ci nascondiamo dagli altri-
-Perché?- chiese subito lui.
-Perché non tutti sono in grado di usare la magia, e non sappiamo come potrebbero reagire quelli senza poteri se sapessero che esiste-
Il bambino non disse nulla e anche la madre decise di tacere, aspettando pazientemente che lui metabolizzasse quell’informazione così importante che avrebbe cambiato la vita di entrambi.
-Anche papà era un mago?- chiese lui con un’espressione seria in volto.
La madre annuì lentamente.
-E non è morto in un incidente d’auto, vero?- chiese ancora.
-No- rispose lei.
Rouge cambiò leggermente posizione, in ansia per ciò che stava per rivelare.
-Qualche anno fa c’era un mago molto potente e molto cattivo. Tuo padre era un auror… Una specie di poliziotto, e gli dava la caccia. Ma un giorno, purtroppo, non ce l’ha fatta. E stato sconfitto da lui-
Il bambino abbassò il capo.
-Perché non mi hai mai detto niente?-
Anche la donna abbassò lo sguardo.
-Dopo che tuo padre è morto mentre ero ancora incinta di te non ho più voluto saperne niente del mondo magico, della magia, di tutto quel mondo che in qualche modo mi ricordava lui. Così sono fuggita, ho smesso di usare il cognome di tuo padre e ho iniziato una vita segreta come babbana-
Il bambino la guardò incuriosito.
-I babbani sono quelli senza magia- sorrise lei.
Con un gesto della mano invitò Ace a tornare a sedersi accanto a ei. Lui ubbidì e lei gli passò un braccio intorno alle spalle.
-Ma sapevo che un giorno sarebbe arrivato questo momento, che avresti scoperto che sei un mago e che io ti avrei raccontato tutta la vera storia-
Il bambino rimase in silenzio a fissarsi i piedi per qualche secondo, poi tornò a guardare la madre.
-Anche io saprò far volare le cose?- le chiese con un sorriso.
Lei rise –Certo, e anche molto di più-
Il giorno dopo Rouge non andò a lavoro, prese Ace e lo portò a Diagon Alley dove comprarono tutto il necessario per la scuola: ingredienti, libri, calderoni, bacchetta e anche una scopa. Era sicura che, prima o poi, anche lui avrebbe seguito le orme del padre che era stato il capitano della squadra di quidditch.
Il primo settembre lo accompagnò al binario 9 e ¾ della stazione di Londra per prendere il treno espresso per Hogwarts. Rimase sulla banchina a guardarlo mentre la salutava dal finestrino con un sorriso a trentadue denti, sventolando una mano e avvolto nella sua toga scolastica.
Quando il treno era ormai lontano e invisibile alla vista una lacrima scese lungo la guancia della donna.
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my-claudio-gobbi · 4 years
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di Paolo Allegri
La storia del turf è ricca di grandi femmine, da Andreina a Sceptre, da Kincsem a Allez France. Eroine belle e leggere in un galoppo che scava solchi, costruisce trionfi e leggende. Come quella dell’ungherese Kincsem, 54 corse senza perdere mai. Nessuna però ha una storia suggestiva come quella di Pretty Polly, la saura della vecchia Inghilterra.
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Nelle foto. A sx Pretty Polly in tarining. A dx la cavalla nel dipinto di George Paice
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Una metamorfosi straordinaria la sua, da brutto anatroccolo a candido cigno dal portamento regale. Arriva in Inghilterra dopo essere cresciuta in Irlanda. La genealogia non è da urlo, qualcosa in pista il padre Gellinule aveva fatto vedere ma la madre era stata una cavalla da ostacoli e neppure di prima. Pretty Polly si mostra al suo nuovo allenatore Peter Gilpin come una cavalla dal carattere pigro, scontrosa e intrattabile. Solo una stella in fronte ne rende meno sgradevole l’aspetto. Nei lavori di preparazione sonnecchia, resta apatica in fondo al gruppo quando i compagni di scuderia galoppano allegri su e giù dalla collina di Warren Hill. Un giorno le mettono nel box accanto al suo un pony di nome Joey. Di notte la puledra svogliata e quel piccolo cavallino si trasmettono nitriti che significano affetto e tenerezza, voglia di non separarsi mai.
Una mattina Gilpin decide di far lavorare Pretty Polly con Delaunay, la grande speranza della scuderia per le classiche. La saura dalla stella in fronte, che ha trovato il suo amico del cuore in quel pony, appare trasformata. Pretty Polly vola, è un’autentica furia, ha vinto la sua pigrizia. Si è spogliata del torpore che la teneva prigioniera. Il mantello si è fatto lucido, adesso brilla di riflessi oro. È il momento di debuttare in una corsa vera. L’inseparabile Joey l’accompagna alla partenza e all’aprirsi delle gabbie nell’ex brutto anatroccolo scatta una scintilla. È il là ad un galoppo esplosivo. Il profilo di Pretty Polly corre veloce sulla pista e non si ferma mai. Vengono i trionfi giovanili nelle Middle Park, dove St. Amant futuro dominatore del Derby di Epsom si deve arrendere, e nelle Cheveley Park. Fuoriclasse immensa, Pretty Polly sigla un grande slam leggendario: sono sue a tre anni in una suite imperiale le Mille Ghinee, le Oaks e il St. Leger, la Triplice Corona delle Femmine.
Dopo ogni trionfo la saura volante indugia quasi a reclamare l’ovazione della folla. Si guarda intorno a cercare quel pony che l’accompagna ad ogni partenza. E con il quale scambia nitriti, messaggi teneri che allontanano la paura del temporale quando la notte rovescia acqua sui prati d’Inghilterra. I cavalli hanno sentimenti meravigliosi. Forse restano sempre un po’ bambini. E scrivono favole. Come quella di Pretty Polly e del suo amico pony, ancora viva, indelebile nella memoria dopo un secolo.
La famiglia di Pretty Polly attraverso Molly Desmond è presente nella linea femminille di uno dei più grandi galoppatori della storia, il fascinoso Brigadier Gerard, allenato da Dick Hern e montato sempre da Joe Mercer. Vinse le Duemila Ghinee del 1971 sconfiggendo Mill Reef, il futuro derbywinner di Epsom e laureato dell’Arc. In autunno allungò sul miglio e un quarto delle Champion Stakes di Newmarket, successo che bissò nella stagione 1972. Quella fu l’ annata della sua consacrazione del “Brigadiere” con il sigillo sul tracciato di Sandown Park sui 2000 metri delle Eclipse Stakes ribadito dal vertice assoluto delle King George VI and Queen Elizabeth Stakes sul miglio e mezzo di Ascot, La grande qualità di Brigadier, un grande e scultoreo baio, gli veniva da Phalaris e da Prince Chevalier. Il secondo, attivo a metà degli anni Quaranta, faceva parte di quella dinastia dei Principi ben rappresentata dal padre Prince Rose, sire anche di Princequillo, da cui Round Table e di quel Prince Bio dal quale discendono Sicambre, Northern Light e il nostro Sedan, portacolori della Razza Ticino che vinse il Derby alle Capannelle nel 1958 battendo Tiepolo e Peveron. Quel Nastro Azzurro che auguriamoci di veder disputare appena l’emergenza epidemiologica cesserà e il profumo dell’erba, i cavalli al tondino, le casacche colorate dei fantini, accompagneranno di nuovo le nostre domeniche. Sognando ancora felicità.
Pretty Polly e il Kentucky Derby
Il Wood Memorial Stakes del 2019, è stato vinto dal figlio di Curlin, Irish War Cry di 3 ½ lunghezze da Battalion Runner. Come si comporta nel Derby del Kentucky dovremo ancora aspettare tre settimane, ma se vince, sarà davvero una vittoria notevole.Per la prima volta nella storia, un cavallo della leggendaria famiglia Pretty Polly avrebbe preso Run for the Roses.
    Pretty Polly: una leggenda infinita. Di Paolo Allegri (foto) di Paolo Allegri La storia del turf è ricca di grandi femmine, da Andreina a Sceptre, da Kincsem a Allez France.
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Maglie calcio Argentina poco prezzo 2019
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Prevalentemente bianco, la maglia Argentina 2019 presenta solo due strisce blu cielo sul davanti e sul retro, con un effetto di pennellata piuttosto unico applicato a loro.
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Il colletto, che è rotondo, ei polsini delle maniche del kit Copa America Argentina 2019 sono entrambi blu scuro. Le strisce Adidas, che si trovano sulle spalle, sono di un blu brillante.
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Un sigillo in rilievo con lo stemma della Repubblica Argentina è posto su una delle maniche.
È dotato di pantaloncini blu scuro con le 3 strisce poste sul retro in azzurro e bianco.
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clickalepic-blog · 5 years
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Oslo (AFI: /ˈɔzlo/[1]; pronuncia norvegese [²uʃlu]: pronuncia[?·info], nel dialetto di Oslo [ùʂɭu][2] – conosciuta anche come Christiania dal 1624 al 1878 e come Kristiania dal 1878 al 1924) è una città del nord Europa ed è la capitale e la più grande città della Norvegia. Con una popolazione di circa 669 060 abitanti (2017), accoglie il 12% circa della popolazione norvegese. Secondo le leggende nordiche, Oslo fu fondata attorno al 1048 dal re Harald Hardråde. Recenti spedizioni archeologiche hanno trovato reperti funerari cristiani antecedenti all'anno 1000, dimostrando che il luogo era popolato già da tempo. Le celebrazioni del millenario di Oslo si sono comunque tenute nel 2000. L'origine del toponimo è abbastanza oscura. Mentre il suffisso "-lo" significa molto probabilmente "porto" o "banchina", "os" potrebbe avere molte connotazioni, incluse alcune anche dal pantheon mitologico, una collina. È stata considerata come capitale da quando Haakon V salì al trono (1299-1319); questi fu il primo re a risiedere permanentemente nella città. Egli iniziò anche la costruzione della fortezza Akershus. Lo stemma di Oslo è in realtà la versione moderna di un antico sigillo medievale della città, risalente al Trecento circa. Il disegno del sigillo si basa sulla leggenda di San Halvard, il santo patrono di Oslo, e rappresenta il santo vestito con una tunica rossa, cappa ed elmo, seduto sopra un trono di leoni e nelle mani i suoi attributi: una ruota di mulino e delle frecce. Ai suoi piedi, accostata, una donna nuda. Sullo sfondo, un cielo azzurro con quattro stelle dorate. (presso Oslo, Norway) https://www.instagram.com/p/BuG7SDXBduT/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=11hngdsskmx8l
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𝑪𝒉𝒂𝒓𝒍𝒊𝒆 — 𝑍𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑜
Lo Zaffiro deve probabilmente il suo nome al termine greco sappheiros, ossia “azzurro”, oppure dall’ebraico sappir, il cui significato è “la cosa più bella”. La tipica colorazione blu di questa pietra è data da inclusioni di ematite e rutilo anche se, in natura, ne esistono molte varietà di diverso colore. Ogni varietà di Zaffiro presenta qualità e proprietà differenti ma tutte sono considerate Pietre della Saggezza. Non a caso gli antichi chiamavano questo minerale “la pietra di Saturno”. In astrologia e mitologia antica, infatti, Saturno è il “Vecchio Saggio” corrispondente all’Arcano Maggiore dei Tarocchi “L’Eremita”. Questo raffigura il cammino iniziatico che il mistico compie superando le prove che la vita gli pone davanti. Acquisisce, così, saggezza ed esperienza spirituale. In passato si pensava che possedere degli Zaffiri fosse segno di bontà, magnanimità, fedeltà e comando. Gli antichi greci indossavano lo Zaffiro quando si recavano a ricevere gli auspici dell’oracolo di Delfi, santuario di Apollo (precedentemente della Madre Terra Gea), perché ritenevano questa pietra connessa al dio e quindi capace di rendere più semplice la comprensione della volontà Divina. Secondo la leggenda era proprio questa pietra a rendere la bella Elena di Troia così amata e desiderata. Con lo Zaffiro era stato creato anche il famoso anello del Re Salomone sul quale era intagliato il sigillo che gli permetteva di controllare i demoni. Inoltre, sia i negromanti che le streghe adoravano questo minerale perché amplificava la loro capacità di ascoltare gli oracoli dei defunti e compiere altri prodigi. Secondo la moderna Cristalloterapia lo Zaffiro è una pietra di astuzia e potere spirituale e portatrice di prosperità. Rende l’individuo meno dispersivo, spingendolo a concentrarsi sui propri obiettivi e perseguirli. Inoltre, sprona al cambiamento degli aspetti della propria vita che non si gradiscono. Ispira calma, serenità, fede, amore per la verità ed è un valido aiuto per la cura dei disturbi psicologici. Lo Zaffiro Blu, in particolare, apre i canali psichici favorendo la canalizzazione di informazioni, stati visionari e di trance e cerimonie sciamaniche per la trasmutazione energetica. È molto interessante notare che lo Zaffiro, il Rubino, il Topazio e lo Smeraldo sono considerate quattro pietre preziose per eccellenza e allo stesso tempo simboleggiano con i loro colori e le loro virtù i poteri dei quattro elementi. I chakra associati a questa pietra sono quello del Plesso della Gola, ovvero, il Vishudda e il Terzo Occhio, ovvero, l’Ajna. I pianeti collegati sono, invece, Saturno e il Sole.
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lamilanomagazine · 1 month
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Trieste: il vicesindaco Serena Tonel ha consegnato il Sigillo Trecentesco della città all'Amar - associazione malattie respiratorie Fvg.
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Trieste: il vicesindaco Serena Tonel ha consegnato il Sigillo Trecentesco della città all'Amar - associazione malattie respiratorie Fvg. In occasione del ventennale della nuova Pneumologia Triestina a 40 anni dall'apertura dell'ospedale di Cattinara, il Comune di Trieste ha conferito all'Associazione per le malattie respiratorie Amar Fvg il Sigillo Trecentesco. Il prestigioso riconoscimento è stato consegnato dal vicesindaco, Serena Tonel al Presidente di Amar Fvg, Stefano Decolle nel Salotto Azzurro del Comune di Trieste. Presenti alla cerimonia anche l'assessore regionale alle Autonomie locali, funzione pubblica, sicurezza e immigrazione, Pierpaolo Roberti, il direttore SC Pneumologia ASUGI, Marco Confalonieri e il già presidente del Comitato di Gestione dell'allora USL n. 1 "Triestina", Giuseppe Pangher. "E' una giornata importante per Amar Fvg ed è anche un'occasione per ringraziare tutti i volontari che offrono la loro opera. Un ricordo va al primo Presidente dell'Amar, Sergio Petrosino e alla sua lungimiranza. Trieste è sempre stata speciale per il connubio ricerca scientifica e cura delle persona, il tendere alle cure innovative delle persone è un privilegio che avviene grazie alla presenza di persone come Marco Confalonieri, direttore SC Pneumologia ASUGI, motivo di orgoglio per la nostra città e per il nostro sistema sanitario. Oggi consegniamo ad Amar Fvg il Sigillo Trecentesco della Città di Trieste, in occasione del 20° anniversario, che non vuole rappresentare il punto di arrivo ma il punto di partenza per i prossimi 20 anni e anche oltre di attività", ha detto il vicesindaco Serena Tonel. "Durante il periodo del Covid il settore della pneumologia è stato uno dei più coinvolti ed ha dimostrato quanto il nostro sistema sanitario abbia dei limiti sulle forniture dei materiali. Per questo motivo il Comune di Trieste e la Regione FVG sostengono il settore delle scienze della vita nel campo delle innovazione, insieme all'apporto delle associazioni di volontariato. Le sinergie tra pubblico e privato ci aiutano a fornire risposte alle esigenze dei nostri cittadini", ha concluso il vicesindaco Serena Tonel. Il Presidente di Amar Fvg, Stefano Decolle ha voluto ricordare le persone che in questi 20 anni hanno contribuito alla crescita dell'Associazione, volontari e presidenti: oltre a Sergio Petrosino, Alberto Gasperini, Domenico Romeo, Bruno Salotto e Micol Brusaferro. Ha concluso ringraziando il già presidente del Comitato di Gestione dell'allora USL n. 1 "Triestina", Giuseppe Pangher. che portò a compimento il l'ospedale di cattinara. Amar FVG è un'associazione di volontariato senza scopo di lucro che da oltre vent'anni è vicina ai malati e al tempo stesso combatte le malattie respiratorie facendo rete con altre associazioni, dando supporto alla ricerca scientifica, fornendo attrezzature di avanguardia, aiutando chi si occupa dei malati e dei loro famigliari. A Trieste nel gennaio 2003 nasce ufficialmente l'associazione di volontariato per le malattie respiratorie fondata da un gruppo di pazienti, medici e cosiddette "persone di buona volontà". Il primo Presidente è stato Sergio Petrosino, sensibilissimo e amato vice-questore di Trieste, che poi ci lascerà a causa di una gravissima e progressiva malattia polmonare che causa insufficienza respiratoria irreversibile. L'associazione è inizialmente solo triestina (si chiamava ATMAR), ma poi con la creazione dell'Azienda sanitaria universitaria giuliano-isontina (ASUGI) allarga il suo ambito e ora comprende anche i territori di Gorizia e Monfalcone (per questo dal 2020 la T nel nome sparisce e viene aggiunto FVG). Le attività svolte dall'Associazione in oltre 20 anni di vita sono state molteplici: ascolto dei malati respiratori, organizzazione di gruppi di mutuo-aiuto, facilitazioni per la riabilitazione respiratoria per malati con disabilità respiratoria, acquisto di attrezzature per la terapia respiratoria per pazienti (per es. concentratori portatili di ossigeno), finanziamento alla ricerca sulle malattie respiratorie, erogazione di borse di ricerca e di borse di studio, acquisto di attrezzature mediche per supporto alle attività di diagnosi e cura della struttura complessa Pneumologia, organizzazione di convegni su temi di salute pubblica, organizzazione di manifestazioni educazionali e di prevenzione per la cittadinanza (giornata del respiro, partecipazione a marce non competitive, ecc). AMAR è un'associazione di volontariato senza scopo di lucro che vuole essere vicina a chi è malato in un apparato vitale come quello respiratorio e al tempo stesso combattere le malattie respiratorie facendo rete con altre associazioni, dando supporto alla ricerca scientifica, fornendo attrezzature di avanguardia, aiutando chi si occupa dei malati e dei loro famigliari. Nel 2022, in una serata con Massimo Ranieri al Teatro Rossetti gremito di cittadini, AMAR è stata premiata dall'Associazione Commercianti di Trieste con la Rosa d'Argento per l'attività svolta durante la pandemia COVID-19.... #notizie #news #breakingnews #cronaca #politica #eventi #sport #moda Read the full article
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italianaradio · 5 years
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Verso Euro 2020: l’Italia di Mancini non brilla ma vince ancora
Nuovo post su italianaradio https://www.italianaradio.it/index.php/verso-euro-2020-litalia-di-mancini-non-brilla-ma-vince-ancora/
Verso Euro 2020: l’Italia di Mancini non brilla ma vince ancora
Verso Euro 2020: l’Italia di Mancini non brilla ma vince ancora
L’ItalMancini vince ancora nonostante un po’ di sofferenza. In Armenia finisce 3-1 per gli azzurri il match valido per le qualificazioni ai prossimi Europei. Nel primo tempo armeni in vantaggio con Karapetian, poi pareggia Belotti. In chiusura di prima frazione di gioco padroni di casa ridotti in 10 uomini per l’espulsione dello stesso Karapetian: un doppio giallo troppo severo per lui. A seguire, Belotti si divora il raddoppio. Nella ripresa l’Italia piazza l’uno-due decisivo proprio nel momento migliore dell’Armenia: il primo gol in azzurro del romanista Lorenzo Pellegrini e ancora un sigillo firmato dal granata Belotti chiudono il conto.
L’analisi e la cronaca del primo tempo. Come detto, non è stata un’Italia brillante. Nonostante tutto, la Nazionale è riuscita a portare a casa la quinta vittoria di fila nel girone che vale l’accesso a Euro 2020. E la qualificazione adesso è ancor più vicina. L’Armenia di capitan Mkhitaryan, acquisto last minute della Roma nel calciomercato estivo, spaventa gli azzurri nelle fasi iniziali portandosi in vantaggio grazie alla sua arma migliore: il contropiede condotto a grande velocità, ma, viene presto ripresa da Belotti, che appoggia in rete una bella palla servitagli da Emerson. L’esterno mancino del Chelsea è stato tra i migliori in campo. Nel recupero del primo tempo l’episodio contestato dai padroni di casa e che aiuta molto l’ItalMancini: l’autore del gol armeno espulso per una presunta gomitata a Bonucci durante un contrasto aereo. Espulsione eccessiva, un evidente errore dell’arbitro tedesco Daniel Siebert. Ricordiamo che in queste partite non c’è la Var.
La ripresa sorride agli azzurri. I ragazzi del “Mancio” ribaltano la gara nel secondo tempo anche grazie alla superiorità numerica. Mkhitaryan va a fare la punta nell’Armenia. Mancini al 61′ toglie Chiesa per inserire Pellegrini. E’ la mossa vincente. Il centrocampista giallorosso infatti è subito decisivo con un colpo di testa. Primo gol in Nazionale per lui. Poco dopo ancora Belotti segna il 3-1, ma si vede negare la doppietta personale per un tocco finale del portiere avversario: quindi, autorete di Hayrapetyan sul tiro del “Gallo”. La palla rimbalza prima sul palo e poi sulla schiena del portiere. In attesa di Finlandia-Italia in programma domenica 8 settembre alle 20.45, la classifica del raggruppamento vede sempre l’Italia al comando del gruppo a punteggio pieno con 15 punti. Euro 2020 ormai è dietro l’angolo.
L’ItalMancini vince ancora nonostante un po’ di sofferenza. In Armenia finisce 3-1 per gli azzurri il match valido per le qualificazioni ai prossimi Europei. Nel primo tempo armeni in vantaggio con Karapetian, poi pareggia Belotti. In chiusura di prima frazione di gioco padroni di casa ridotti in 10…
Fabio Camillacci
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purpleavenuecupcake · 5 years
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Manovra: ok alla Camera. Approvata tra l'ira delle opposizioni e il rischio di rimpasto di governo
(di Massimiliano D'Elia) La manovra da 31 miliardi ieri ha ottenuto il sì della Camera alla terza “chiama" su altrettanti passaggi parlamentari. La fiducia ha incassato 327 sì 228 no e un astenuto. L'ultimo passaggio oggi sempre alla Camera ha avuto 313 voti a favore e 70 contrari. Entro il 31 il testo andrà al Quirinale per la firma del presidente della Repubblica Sergio Mattarella Giuseppe Conte è "molto soddisfatto" dell'approvazione del testo. Ora "facciamo entrare in vigore le norme", ha aggiunto Conte. Mentre il ministro dell'Economia Giovanni Tria ha sottolineato: "La Manovra economica approvata dal Parlamento è quella che tutti abbiamo voluto". M5s: "Questa è una Manovra scritta dal popolo e per il popolo" - "Questa è una Manovra scritta dal popolo e per il popolo". Lo ha affermato a Montecitorio il deputato Francesco Silvestri (M5S) prima del voto, aggiungendo che "non esiste libertà se non c'è giustizia sociale: come possono essere liberi cinque milioni di poveri, i pensionati colpiti dalla Fornero ed i truffati dalle banche?". "Noi non tagliamo le pensioni a nessuno se non a qualche pensionato d'oro. Abbiamo alzato le minime, eliminato una volta per tutte i vitalizi e rispettato l'impegno della quota 100. La legge Fornero era una ingiustizia ed andava superata adesso", ha rilevato elencando le misure della legge e ribadendo che "non c'è nessuna tassa sulle utilitarie e sulle auto già acquistate". "Quali maggiori tasse? Stiamo rilanciando un Paese. Le abbiamo aumentate alle grandi banche e alle assicurazioni per redistribuire la ricchezza dall'alto verso il basso". Forza Italia e Lega ai ferri corti Se non ricordo male l'ultimo governo Monti lo appoggiò Forza Italia e la macelleria sociale che è iniziata con quel governo è partita proprio dalla legge Fornero che oggi proviamo a correggere". Lo ha detto Riccardo Molinari della Lega a Montecitorio. E' la risposta a quanto ha detto sabato Giorgio Mulè di Forza Italia - "la votate con il nostro disprezzo" - e oggi ha detto l'altro azzurro Roberto Occhiuto: "Questa è una manovra che non serve all'Italia, ma è contro l'Italia e contro gli italiani: aumenterà le tasse e porterà il Paese in recessione". "Quando tagliò le pensioni la Fornero pianse. Voi avete fatto la stessa identica cosa senza versare una lacrima", ha aggiunto, con una stoccata alla Lega: "La manovra è stata fatta affidando le chiavi della politica economica al M5S che non vuole sviluppo e ricchezza ma vuole solo alimentare odio ed invidia sociale". M"Approvata in rigor mortis la legge di Bilancio Made in Europe che ha esautorato il Parlamento con un autentico festival della bugia in aula, gli italiani sanno già che cosa li aspetta: più tasse a imprese e lavoratori, un prelievo forzoso dalle tasche dei pensionati, meno aiuti a chi sta indietro e la certezza di avere più debiti per tutti". Sono le parole di Giorgio Mulè, deputato di Forza Italia e portavoce dei gruppi azzurri di Camera e Senato. "Fi ha lottato con tutti i mezzi in Parlamento - ha aggiunto Mulè -, ora la lotta si trasferisce nelle piazze dove grazie alla guida di Silvio Berlusconi sapremo riportare il centrodestra alla guida del Paese mettendo fine all'incubo dell'esecutivo contronatura gialloverde". Analisi della manovra e gli effetti dal 2019 Peccato che solo un terzo dei provvedimenti partiranno dal 1° gennaio, scrive il Sole24Ore. Le altre quelle “bandiera” dei due soci di maggioranza del governo, reddito di cittadinanza e quota 100 per le pensioni partiranno in seguito ad ulteriori decreti e vari  tagliandi di  Bruxelles.  Per quota 100 e reddito di cittadinanza ci sarà, quindi, un decreto unico a gennaio. Difficoltà, invece, si registrano per i provvedimenti relativi agli investimenti, indennizzi ai risparmiatori, web tax e assunzioni nella Pubblica Amministrazione. E’ di fatto la manovra più controversa di sempre. Ha ottenuto l’approvazione in Aula al fotofinish in attesa di ottenere oggi da Montecitorio il sigillo definitivo ad appena 24 ore dal limite massimo per evitare l'esercizio provvisorio di bilancio. Rallentate quindi sette misure chiave della manovra: dalla traduzione operativa con un decreto delle risorse convogliate nei maxi-fondi per pensioni e reddito di cittadinanza alla parziale rivalutazione degli assegni pensionistici fino alla piena efficacia sia del nuovo condono fiscale per chi ha l'Isee fino a 20mila euro, sia del meccanismo "bonus-malus" per l'acquisto di nuovi autoveicoli non inquinanti. Insomma un percorso ad ostacoli che si intravede sempre più in salita. Dopo la manifestazione di venerdì dei sindacati, a quanto pare oggi presenti in Aula, contro il taglio dell'indicizzazione all'inflazione delle pensioni, ieri è toccato all'Anci puntare l'indice contro gli effetti della manovra, sostengono che per i Comuni c'è il rischio di un aumento delle tasse e di una riduzione dei servizi.  Il tutto mentre il Pd ha proseguito la protesta davanti a Montecitorio contro le misure del Governo e Silvio Berlusconi che tuonava di "dilettanti e pauperisti" annunciando una mobilitazione a gennaio dei "gilet azzurri" in tutte le piazze d'Italia. Anche il presidente della Repubblica Sergio Mattarella parlerà della controversa manovra nel discorso di fine anno, la cui durata sforerà di poco i dieci minuti. Secondo alcune fonti parlerà del valore del Parlamento mentre è esclusa l'ipotesi di una lettera di richiamo insieme alla promulgazione della legge di bilancio. Per Sergio Mattarella sono state settimane di tensione e si pensa che nel discorso agli italiani si soffermerà sull'importanza di aver scongiurato le sanzioni della Commissione Ue e di essere rimasti nel perimetro delle regole europee e costituzionali ma in questo ambito potrebbe far riferimento a come siano stati compressi “obtorto collo” i tempi e i passaggi del dibattito parlamentare sul bilancio.  IL riferimento è al maxi-emendamento andato avanti a tappe più che forzate, senza dare la possibilità a deputati e senatori di esaminare un testo che più di ogni altro incide sulla vita reale degli italiani.  Nel frattempo si è alzato un polverone sulla possibilità di rimpasto al governo. Chi rischia di più sono il ministro delle infrastrutture e trasporti Danilo Toninelli e quello della salute Grillo. Accenni sono stati fatti anche verso il dicastero della Difesa, dove il ministro Elisabetta Trenta non sarebbe gradita dalla base del movimento. Tutto è rinviato dopo le elezioni europee di fine maggio, quando la Lega, sondaggi alla mano, dovrebbe certificare il superamento sul M5S. Salvini, quindi, chiederà il conto. Read the full article
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pangeanews · 4 years
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“A una vita senza limite sono rivolti sentimento e sguardo”. Quando Goethe ci consegnò Oriente
Goethe sembra sempre sapere tutto. Mentre si occupa di mineralogia traduce la Vita di Benvenuto Cellini; mentre studia Spinoza e abbozza il Wilhelm Meister, è il 1784, “scopre, sia nell’uomo, sia negli animali, la presenza di un osso intramascellare”. Tra osso e verso non c’è differenza, il morso è medesimo, al millimetro: Goethe è il punto di giunzione tra poesia e scienza, filosofia e biologia. È come se volesse convogliare tutto il vivente nelle sue vene, in una sovrana impresa di sintesi. Tutto va conosciuto, appreso, catalogato. Non tanto riferito – riscritto, piuttosto.
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Quando, nel 1814, si avvia a scrivere il Divan, stordito dal genio del poeta persiano Hafez, nato cinquecento anni prima, si comporta come uno studioso, ammette che i secoli sono futili, lo scintillio di un’ape. “Un solo potente vortice sgretola e travolge passato e presente, si solleva, si espande, precipita… L’Eufrate straripa nel Reno, il Mediterraneo dilaga all’improvviso confondendosi dentro al Mar Rosso e al Mar Nero… Le lingue, i libri, le figure, le storie del mondo si ammassano alla rinfusa nella smisurata, irrequieta memoria di Goethe” (così Ludovica Koch in Il Divano Occidentale Orientale, Bur, 1990). Il poeta, ora, è il punto di sintesi tra Oriente e Occidente, l’innesco: le tradizioni vengono rifatte, tutto è l’istante, il punto è abitare la rivelazione, stare nella sua accecante spirale di luce.
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L’opera immane di Goethe – risolta con avida freschezza, come sempre, con il demonico genio di chi conosce il fruscio del verbo, la trasparenza del lamento – ha termine nel 1819, l’anno in cui il poeta, alla fine di agosto, compie 70 anni. Ha avuto varie vite, Goethe, ormai: ha scritto I dolori del giovane Werther e Le affinità elettive, ha pubblicato, qualche anno prima, Teoria dei colori e ha appena risolto il Viaggio in Italia. Tra poco procederà nel progetto definitivo, il Faust. Il compito che si è dato Goethe è quello, come sempre, di “riunificare”: la sapienza persiana si orienta nella lingua tedesca, “e quel che un tempo si era separato/ poteva nuovamente amarsi” (Ritrovarsi). La chiave è l’eros prima che la mente, perché si apprende amando. Goethe, in effetti, non si crede meno di un dio.
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Il Divan è opera dalla felicità meridiana, solare, non certo irenica – il poeta, sempre, irrita, anche quando è azzurro – ma sapienziale. Questa dal “Libro del malumore” (cito il ‘Meridiano’ Mondadori che raduna Tutte le poesie di Goethe, a cura di Roberto Fertonani, 1997), s’intitola Tranquillità d’animo del viandante.
Di quanto è spregevole nessuno mai s’affligga, perché è il potere, qualunque cosa ti si dica.
Nel male spadroneggia per il suo profitto, e col bene si regola del tutto a suo arbitrio.
Viandante – a tale distretta tu ti vorresti opporre? Vortice e mota secca, lasciali girare e farsi polvere.
Goethe non imita: mette fiamme nel remoto, lo rinnova. Nel “Libro delle massime” – i riferimenti sono i proverbi biblici, la sapienza egizia, i detti apodittici islamici – la poesia si stempera in dottrina, in dono miliare, amuleto morale. “Brava gente, non turbatevi!/ Chi non sbaglia sa quando altri sbagliano;/ solo chi sbaglia è sulla giusta via,/ il loro retto agire sa che cosa sia”. La vitalità (“Sei al riparo finché vivi”) si adempie nell’adesione alle cose della terra, dove le pietre danzano e i fiumi vanno compresi come un rotolo biblico. “Splendidamente l’Oriente/ varcò il Mediterraneo./ Solo chi ama e conosce Hafis/ sa che cosa Calderón ha cantato”.
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Non c’è gioco in Goethe, né il giogo dell’orientalismo, in festoni ottocenteschi, un carnevale a palmeti e giugulari coraniche per stupire i funzionari di Francoforte o i duchi intubati di noia. Goethe sa che la sapienza si maschera, agisce nell’evocazione, ossifica le scintille. La poesia, infine, è un preludio ad Est.
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Nel saggio Per una migliore comprensione Goethe riassume la storia dei grandi poeti persiani, di cui è il regista più che il prosecutore: Firdusi e Enweri, Nizami (“Grande è la grazia, infinita la varietà”) e Rumi (“cerca con la dottrina dell’unità, se non di soddisfare almeno di dissolvere ogni anelito, di indicare che da ultimo ogni cosa si immerge e si trasfigura nell’essere divino”), Hafis (“i suoi componimento… scrutano da lontano i misteri del divino”) e Saadi. Ama l’idea del principe che si circonda di poeti, arde per l’era in cui le conoscenze astronomiche collimavano con quelle liriche, quando addestrare un ghepardo richiedeva la stessa pazienza del teologo perché unica è l’ascesa. La morale la conficca tra le bocche di un eloquente ambasciatore persiano a Pietroburgo: “La sciabola è bella a vedersi, ma i suoi effetti sono sgradevoli. Un uomo dal pensiero retto stabilisce rapporti con gli estranei, il malvagio si aliena anche i vicini… Nel mondo si acquista una fama buona o cattiva, si può scegliere fra le due, e poiché ciascuno deve morire, buono o malvagio che sia, felice colui che ha preferito la gloria del virtuoso”.
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Poi, certo, Goethe, sempiterno giovane, è travolto da eros per compiere il Divan, perché è amore a muovere l’arazzo verbale. Il “Libro di Suleika” è dedicata a Marianne von Willemer, “bella di una bellezza esotica, calda e soda, vivacissima di spirito, pronta d’intuito, impetuosa di natura” (così Giuseppe Gabetti), figlia di un fabbricante di strumenti musicali, attrice e ballerina, sposata a un banchiere, amico e mecenate del poeta. Marianne – che aveva fatto folle d’amore Clemens Brentano – conosce Goethe nel 1800, ma è dal 1815 che i due si frequentano assiduamente. Lei ha trent’anni, il poeta 65: fu un amore mentale, anzi, lirico, in una quinta d’Oriente, babilonese, nel senza tempo della letteratura. Lui l’aveva chiamata Suleika, s’era fatto suo amante, attraversava i secoli con la dignità di un angelo; lei accettò il dono gratuito e squillante del più grande tra i poeti. “E ora con una tensione lancinante/ si cerca chi è fatto l’uno per l’altro,/ e a una vita senza limite/ sono rivolti sentimento e sguardo…/ A creare il mondo non sia più Allah/ siamo noi che lo vogliamo creare”. Questo gioco d’astri e di specchi (“Uno specchio ho avuto in sorte,/ e mi piace guardarvi,/ come se portassi al collo l’ordine/ dell’imperatore con un duplice astro”) è speculare alla crudeltà dello scherzo poetico: fino a che punto si mente, scrivendo? Non fu supina al genio, Marianne: la vicinanza di Goethe le ispirò versi di orfica potenza. “Marianne si spegne nel 1860, portando con sé il ricordo di una dedizione di altri tempi. Possiamo immaginare che si sia commossa quando avrà saputo che, pochi giorni prima di morire, Goethe aveva pensato a lei” (Roberto Fertonani). Goethe fa ingresso tra gli inaccessibili, sa che il poeta, svelando, tradisce. Così, nel “Libro del coppiere”, si rivela, “Il poeta invano è discreto:/ far poesia è di per sé tradimento”. D’altronde, solo tradendo si confermano le forme, lasciando un viso ne rendi imperituro il sigillo. (d.b.)
*In copertina: Johann Heinrich Wilhelm Tischbein, “Goethe nella campagna romana”, 1787
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tmnotizie · 6 years
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Porto d’Ascoli, 12.5.2018
  PORTO D’ASCOLI-ATLETICO GALLO COLBORDOLO 2-0
Porto d’Ascoli: Di Nardo, Antonelli, Trawally, Gabrielli (38’ Schiavi), Ciotti, Sensi, Leopardi, Rossi, Rosa (65’ Lanzano), Minnozzi (81’ Bucchi), Renzi (86’ Gregonelli). All. Alfonsi
Atletico Gallo Colbordolo: Bacciaglia, Bellucci (71’ Fraternali), Nobili G., Nobili A., Paoli T., Mistura, Stambolliu (69’ De Angelis), Tonucci (76’ Ferrini), Bartolini, Sensoli (50’ Paoli E.), Battisti. All. Mariotti
Arbitro: Sacchi di Macerata
Marcatori: 19’ Minnozzi; 26’ Minnozzi
Ammoniti: 33’ Tonucci (A); 91’ Di Nardo (P)
Espulsi: 60’ Leopardi (P); 95’ Nobili A. (A)
Spettatori: 500 circa – Calci d’angolo: 8-2 per l’Atletico Gallo Colbordolo
Recuperi: 5 minuti nel p.t.; 7 minuti nel s.t.
  “La qualità che fa la differenza”: così – parafrasando lo slogan di uno sponsor del Porto d’Ascoli – possiamo definire Matteo Minnozzi. Perché è proprio il re dei cannonieri dell’Eccellenza Marche 2017-18 a mettere il sigillo sulla finale play-off di questo appassionante campionato con una doppietta siglata nella parte centrale del primo tempo. I padroni di casa sono entrati in campo forti di due risultati su tre per passare il turno ma non per questo hanno rinunciato al proprio gioco fatto di aggressività sui portatori di palla fin dai primi minuti e di ricerca della profondità proprio per risaltare le qualità del suo fromboliere. Dall’Atletico Gallo di mister Mariotti, invece, ci si aspettava forse un atteggiamento diverso, specie nel primo tempo, avendo un solo obiettivo, ossia la vittoria. È ovvio che poi, nella ripresa, sotto di due reti e dal quarto d’ora anche con un uomo in più, si sono riversati tutti all’attacco ma ormai la frittata era fatta. Recuperare due reti in un campo dalle dimensioni ristrette che facilita chi si deve difendere, non è facile per nessuno; se poi ci mettiamo che sulla propria strada hanno trovato anche una saracinesca al posto della porta, il gioco è fatto: infatti oggi il portiere Di Nardo era in giornata di grazia e quando non poteva arrivarci con le mani, ci metteva i piedi o la faccia (oltre al palo che in un’occasione lo ha aiutato). In sintesi, vittoria comunque meritata del Porto d’Ascoli che ora nel primo turno degli spareggi nazionali se la vedrà con il Classe, squadra di una frazione di Ravenna di circa 2000 abitanti: l’andata in Romagna il prossimo 20 maggio, il ritorno al “Ciarrocchi” la domenica successiva. È il primo passo per un sogno chiamato Serie D.
Passiamo alla cronaca: partono forte i padroni di casa che aggrediscono gli avversari in tutti i settori del campo e la prima occasione capita all’8’ a Gabrielli il quale, imbeccato frontalmente da Minnozzi, cerca di sorprendere Bacciaglia con un colpo di testa all’indietro che sfuma davvero di poco fuori. Un minuto dopo è Minnozzi a vincere un rimpallo a centrocampo e ad involarsi solo verso la porta ma al momento del tiro si fa stregare dall’estremo portiere ospite che para a terra. Al 14’ la partita poteva prendere una piega diversa. Infatti, nel primo vero affondo dell’Atletico un perfetto lancio del capitano Thomas Paoli mette Battisti solo davanti a Di Nardo ma il suo “canto libero” si infrange sul braccio teso alzato d’istinto dal numero uno di casa. Bravura del portiere o errore dell’attaccante? Diciamo che in questi casi la percentuale è perfettamente a metà. Passata la paura, gli uomini di Alfonsi si ributtano all’attacco: dapprima al 17’ Renzi ribatte a rete al volo dal limite una corta respinta della difesa ma la sfera termina fuori; poi, due minuti dopo, Minnozzi approfitta di una punizione al limite dell’area per “uccellare” Bacciaglia con un perfetto tiro a foglia morta. Grande tripudio sugli spalti con gli spettatori che, ancora una volta, si beano le giocate di questo giovane classe 1996 davvero interessante, anche oggi seguìto da osservatori di diverse società di Serie C. Al 26’ il bomber bianco-azzurro mette il sigillo alla partita: Leopardi batte lungo sul secondo palo una punizione sulla tre quarti destra (concessa forse un po’ troppo generosamente per una presunta trattenuta rilevata dal primo assistente), Sensi – pur sbilanciato – riesce a rimettere di testa per Minnozzi il quale, a pochi metri dalla porta, si gira e segna il 2-0. In termini pugilistici sarebbe stato un uno-due che avrebbe steso l’avversario. Ma l’Atletico Gallo non vuole fare la fine del toro nell’arena e prova a reagire: al 28’ va vicino a riaprire la partita con una punizione dello specialista Thomas Paoli che sfila a pochi centimetri dal palo. L’incontro, proprio come voleva il Porto d’Ascoli, si addormenta e l’ultimo sussulto del primo tempo si registra al 50’ (5 minuti di recupero!) con un’altra punizione, battuta dai trenta metri sempre da Minnozzi: il suo tiro, questa volta di potenza, si schianta sulla traversa per ricadere poi in campo tra le braccia del portiere.
Nella ripresa, come già detto, la squadra pesarese cambia atteggiamento, e non poteva essere diversamente e già al 48’ va vicina al gol: Thomas Paoli batte un angolo dalla destra, irrompe sul primo palo Bellucci che di testa devia in rete, Di Nardo con il piede rimette in corner. Al quarto d’ora si fa espellere ingenuamente capitan Leopardi (e sarà un’assenza pesante nelle prossime due partite), in una situazione di parapiglia generale assolutamente mal gestita dall’inadeguato arbitro Sacchi di Macerata (non nuovo a queste prestazioni davvero mediocri, ma nonostante tutto, premiato con la finale play-off… potenza del cognome!): la successiva punizione del solito Paoli attraversa tutta l’area di rigore senza che nessuno tocchi il pallone che sfila fuori di poco. Non riuscendo ad entrare in area, i “galli” pesaresi ci provano dalla lunga distanza, dapprima al 64’ con Tonucci (Di Nardo la tocca quel tanto che basta per deviarla sul palo) e poi al 67’ con Giacomo Nobili (in questo caso l’estremo bianco-azzurro respinge con i pugni). Al 70’ gli uomini di Alfonsi rompono l’assedio con un contropiede ben orchestrato da Minnozzi il quale, dopo una sgroppata di 40 metri, arriva in area ed appoggia al meglio appostato Renzi ma la sua conclusione è da dimenticare. Di Nardo e Tonucci si rendono protagonisti di due giocate tra il 73’ ed il 74’: prima il numero uno di casa devia in angolo con un po’ di fortuna un insidioso tiro dal limite del centrocampista rosso-blu, poi – dal successivo corner battuto come sempre da Thomas Paoli – ribatte ancora in corner un suo colpo di testa. Al 76’ registriamo l’ultima occasione per gli ospiti: sempre da un tiro della bandierina battuto questa volta dalla parte opposta dal neo entrato Fraternali, si inserisce bene in area Mistura ma il suo colpo di testa termina alto di poco. Da questo momento fino al termine non si è visto più un tiro in porta o quasi; qualche sostituzione, un ammonito (Di Nardo per perdita di tempo) ed un espulso tra gli uomini di Mariotti per un fallo di  “frustrazione” di Andrea Nobili fino all’ultima occasione, al 96’, del Porto d’Ascoli: sempre in contropiede Bucchi riesce ad imbeccare Rossi, il quale si smarca del suo diretto avversario e tira fuori di poco.
Finisce così una partita che rispecchia in pieno la classifica finale del campionato: il Porto d’Ascoli, secondo dietro al Montegiorgio (in tribuna c’era il suo allenatore Massimo Paci a vedere l’incontro: che voglia riportare nella sua squadra il talentino Minnozzi visto che lo scorso anno ha giocato la seconda parte del campionato proprio con i rossoblu fermani?), si appresta ora – per la prima volta nella sua storia calcistica iniziata nel 1963 – a disputare quegli spareggi nazionali che in passato hanno dato il pass per la Serie D a molte squadre marchigiane tra cui, recentemente, Truentina Castel di Lama, Grottammare, Castelfidardo e, lo scorso anno, Fabriano Cerreto. In bocca al lupo!
I migliori in campo, secondo il nostro modesto parere, sono stati Di Nardo, Trawally e Minnozzi per i padroni di casa e Thomas Paoli e Battisti per l’Atletico Gallo.
  COMMENTI
Sante Alfonsi (Porto d’Ascoli)
Nel primo tempo abbiamo disputato una bella partita, proprio come l’avevamo preparata, chiudendola subito. La ripresa è stata un po’ più sofferta ma era prevedibile visto che di fronte c’era una signora squadra come l’Atletico Gallo alla quale vanno i miei complimenti per l’ottimo campionato disputato. Adesso occorre concentrarsi e prepararsi per il doppio appuntamento con il Classe. Avanti tutta!
  Gastone Mariotti (Atletico Gallo Colbordolo)
Oggi ci abbiamo provato, mi ero raccomandato con i ragazzi di tenere viva la partita, portandola il più a lungo possibile. La prima vera occasione in realtà è stata nostra e se segnavamo chissà come sarebbe andava a finire. Sono deluso soprattutto per i miei giocatori, meritavano qualcosa di più; e due gol di scarto – per quello che si è visto oggi – mi sembrano un po’ troppi. Comunque in bocca al lupo al Porto d’Ascoli.
  Michele Rossi
Testo © dell’Autore e dell’Editore
Nella foto © di Benedetto Marinangeli, le squadre all’ingresso in campo
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