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#satoru makimura
classic-shoujo · 13 days
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Ai no Aranjuez (1978) by Satoru Makimura
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shoujo-memory · 5 months
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Ai no Aranjuez by Makimura Satoru
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sekaiichi-happy · 1 year
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Real Clothes ✿ vol. 1 - 6
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hisuix01 · 2 months
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デビュー50周年 槇村さとるさんにインタビュー 「自分が描いたものに自分も助けられる」「ノー、といえる自分になりましょう」 – 美術展ナビ
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lamangasserie · 2 years
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Bilan de mes lectures de l'été
Quel drôle d’été ce fut pour moi. J’ai été prise par mes nombreuses pensées introspectives, par des rendez-vous médicaux assez pénibles et par un bon gros rhume. Je n’avais pas le cœur à être trop active que ce soit sur ce blog ou sur ce bon vieux Twitter. Malgré tout, j’ai bien envie de vous faire part de mes pensées quant à mes lectures de cet été ! Vous avez peut-être déjà constaté que j’avais lu Daruchan de Lemon Haruna, titre autour duquel j’ai écrit un article. C’est d’ailleurs un article plus en relation à ces pensées évoquées plus haut qu’à Daruchan, mais passons. Ce fut tout de même un été assez riche en lectures. Voilà quelques mots sur certaines de ces lectures !
On commence avec Ao no Fuuin de Chie Shinohara. Ce manga fut pré-publié dans le magazine shojo Sho-comi entre 1991 et 1994. Inédit en France, il est sorti en Italie au début des années 2000 sous le titre de Il sigillo azzurro chez Star Comics. J’ai lu l’intégrale, en onze tomes.
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Soko vient de déménager à cause du travail de son père et se voit contrainte de commencer une nouvelle vie. Les choses ne vont pas bien pour elle, elle se sent comme malade dans ce nouvel environnement. Un nouvel élève fait lui aussi son apparition dans les couloirs de son nouveau lycée. Il s’agit d’Akira et il est là pour tuer Soko dans laquelle s’incarne Soryu, la reine des Oni de la famille de l’Est et dévoratrice d’êtres humains. Mais la mort de Soko est-elle l’unique moyen de sauver la race humaine face à la menace que représente Soryu ?
J’ai beaucoup aimé Ao no Fuuin ! Sa grande force, c’est son rythme effréné. C’est un manga extrêmement captivant dont il est difficile de terminer un tome sans vouloir continuer avec le suivant. Il n’y a aucun temps mort, on saute de problématiques en problématiques, de surprises en surprises. Les onze tomes qui constituent le récit s’enchaînent à vitesse grand V, on ne voudrait que ça ne s’arrête jamais ! Avec Ao no Fuuin, Chie Shinohara nous fait aussi une belle démonstration de sa maîtrise de la narration graphique. Notamment sur de beaux moments d’horreur où elle maîtrise avec justesse l’art de la page suivante. On tourne une page et on est face à une horreur sans nom. Ou encore, du coin de l’œil, on aperçoit une traînée de sang dont on remonte la piste au fur et à mesure des cases. C’est peut-être exécuté de manière assez simpliste, comme un lourd silence avant un screamer au cinéma mais il n’en reste pas moins que c’est très efficace ! Ao no Fuuin est aussi un manga surprenant de par son côté mature, à la tension sexuelle bien pesante. Si on pouvait s’attendre à une romance pudique, que nenni ! Les plaisirs de la chair ne sont jamais bien loin entre Soko et Akira. De plus, ennemis par essence, ils s’aiment malgré tout ;  de quoi rajouter une couche de tension entre les amoureux ! Par contre, il y a bien une chose que l’on peut reprocher à ce manga, c’est son côté « over the top ». C’est too much, c’est abusé. Le manga est truffé de retournement de situation toujours plus énormes, et ce jusqu’au bout. Parfois, on aurait envie d’en pouffer de rire tellement ce n’est plus crédible. Mais après tout, pourquoi pas ? Le manga nous prépare à tant d’éventualités qu’il faut savoir faire avec ces nombreuses révélations. Pour conclure, c’est un manga facile d’accès, simple mais efficace et qui vous entraînera tout de suite dans son sillage. Je recommande à quiconque voudrait vivre onze tomes d’adrénaline shojo !
On continue avec ma lecture des tomes 3 et 4 d’A Sign of Affection de suu Morishita. C’est un manga pré-publié dans le magazine shojo Dessert depuis 2019 et publié chez nous par Akata.
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Yuki est une étudiante qui, comme beaucoup d'autres, construit son quotidien autour de ses amis, des réseaux sociaux et de ce qu'elle aime. Mais quand un jour, dans le train, elle croise un jeune homme qui voyage à travers le monde, son univers va être chamboulé : ce dernier, bien que trilingue, ne connaît pas la langue des signes. Pourtant, très vite, il manifestera pour elle un intérêt bien particulier… Comment réagira-t-elle face à ce camarade d'université entreprenant et communicatif ?
A sign of affection décrit avec pudeur et simplicité l'histoire d'amour entre une jeune femme sourde et un grand voyageur. à n'en pas douter, les personnages de ce manga ne manqueront pas de vous émouvoir !
(résumé de l’éditeur)
Comme déjà évoqué sur Twitter, A Sign of Affection est un coup de cœur. Dans ces tomes, les amoureux avancent sur la route de l’amour, avec dans le tome 3 un véritable virage sur cette route. Ce manga continue de faire battre mon cœur de fangirl ! Yuki est toujours aussi adorable et le manga nous offre toujours plus de moments tout doux. On continue aussi les moments assez sensuels avec beaucoup de délicatesse exprimée dans les mains grâce à un découpage et une narration qui prend le temps. A Sign of Affection continue aussi à me plaire car il évite le côté pédagogique sur la surdité. Les choses expliquées s’inscrivent avec naturel dans le récit et les bonus. La romance reste bien au cœur du récit. Je regrette peut-être juste un peu le manque d’un réel bouleversement notamment avec le personnage d’Oshi, ami d’enfance de Yuki qui est clairement jaloux d’Itsuomi. J’espère aussi que les tomes suivants apporteront plus de voyage et de réponses quant au tatouage d’Itsuomi sur le doigt. J’avoue mourir de curiosité quant à ce tatouage ! Vivement que je lise la suite !
On enchaîne avec les trois derniers tomes, donc 8 à 10, de Complément Affectif de Mari Okazaki. C’est un manga qui fut pré-publié dans la revue josei Feel Young entre 2004 et 2010 et sorti chez nous par Akata à l’époque Delcourt.
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Minami Fujii, 27 ans, travaille dans une agence publicitaire. Investie, elle en vient à délaisser sa vie sentimentale, stable en apparence. Son compagnon la quitte ; Fujii est à un tournant de sa vie. Elle va se réfugier dans son travail en s’y impliquant toujours plus. Elle s’impliquera alors aussi davantage avec ses collègues, masculins comme féminins, et traversera les heurts de la vie à leur côté.
Je dois bien l’avouer: j’ai du mal à suivre les héroïnes de Mari Okazaki. J’ai du mal à saisir qui elles sont, comment et pourquoi elles agissent et réagissent comme elles le font. Je ne me sens absolument pas proche d’elles malgré les problématiques que l’on partage. Je ne sais pas pourquoi. Est-ce que je suis encore trop jeune ? Est-ce que je suis juste trop différente d’elles ? Peu importe, j’ai tout de même pu apprécier ces derniers tomes de Complément Affectif. Fujii semble enfin avoir trouvé une certaine stabilité avec son compagnon. Bien sûr, la route n’est jamais parfaitement lisse et cette stabilité rencontre encore bien des obstacles. Les ambitions professionnelles de chacun, évidemment, comme toujours dans le manga, mais aussi des évènements inattendus. Le tome 9 fut particulièrement bouleversant, tout est remis en cause, jusqu’à l’existence même. « Et si… sans qu’on en ait conscience… le sol sous nos pieds… pourrissait lentement ? Je n’y avais... jamais pensé. ». La fin, surprenante, m’a amplement satisfaite, Fujii trouve enfin la paix intérieure dont elle avait besoin après des années de tumulte. Malgré la distance entre les héroïnes de Mari Okazaki et moi-même, Complément Affectif est un titre dont il ne faut pas passer à côté. Rien que pour l’univers et le talent de narration de l’autrice, uniques en leurs genres.
On termine avec une découverte faite au détour d’internet: Real Clothes de Satoru Makimura. Il est sorti dans le magazine josei YOU entre 2006 et 2011 et est inédit chez nous. J’ai les cinq premiers tomes, sur treize.
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Amano Kinue est vendeuse dans le rayon matelas d’un grand magasin. Elle s’y plaît et elle est douée. Mais peut-être trop douée… Elle attire l’œil de la responsable de l’offre prêt-à-porter féminin et s’y voit transférer du jour au lendemain. D’abord déboussolée, elle finira par prendre ses marques et se découvrir une nouvelle facette d’elle-même.
C’est un manga qui a pour univers celui de la mode donc forcément, je me devais de le lire ! Real Clothes est une très bonne surprise. En premier lieu car il n’aborde pas la mode sous le prisme de la création, du design mais sous celui du retail. Puis en second lieu car le personnage principal est une jeune fille qui ne rêve absolument pas de mode. Et j’aime beaucoup le personnage de Kinue. Plutôt timorée au début, elle découvre sa propre force au fur et à mesure des tomes, face aux challenges qu’elle rencontre autant dans sa vie professionnelle que personnelle. En travaillant dans ce nouvel univers, elle sort de la torpeur dont elle avait fait un nid à l’abris de tous les risques. J’aime ce genre de personnages qui découvrent au fond d’eux une force de caractère qu’ils n’imaginaient pas. Les épreuves que surmonte Kinue ne sont pas faciles et ce se font souvent dans la douleur, mais j’aime qu’elle se révèle à elle-même mais aussi à nous, lecteurs. Dans un sens, c’est un personnage encourageant ! C’est un manga qui montre bien que sortir de sa zone de confort est difficile sur le moment mais permet de nous révéler à nous-même et est bénéfique sur le long terme. Le manga aborde aussi les relations que nous entretenons avec les autres, sous couvert des défis que rencontre Kinue dans son travail. En plus d’être un manga passionnant et qui en apprend sur le monde de la mode, c’est un manga qui pousse à la réflexion sur qui nous sommes. Il me tarde de lire la suite des aventures de Kinue !
J’ai aussi lu d’autres mangas durant cet été...
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De haut en bas, de gauche à droite: l’intégrale en onze tomes de Niji-iro Tohgarashi de Mitsuru Adachi, les tomes 4 et 5 d'Escale à Yokohama de Hitoshi Ashinano, le tome 2 de Papa Told Me de Nanae Haruno (mon tome annuel, rendez-vous en 2023 pour le dernier), le tome 2 de Mobuko no Koi de Akane Tamura, le tome 2 de Mordue de toi de Nao Hinachi, le tome 8 de Tokimeki Tonight de Koi Ikeno (en italien), les deux premiers tomes de The Night Beyond The Tricornered Window de Tomoko Yamashita (sur lequel vous pouvez lire un super article sur le blog Club Shojo), le tome 8 de Nekomix Genkitan Toraji de Yumi Tamura et enfin la suite de mon webtoon du moment, See You In My 19th Life de Lee Hey.
C’est tout pour moi aujourd’hui ! Je vous invite à me dire à votre tour, sur Twitter, vos lectures les plus marquantes de cet été ! Si vous avez aimé cet article, n’hésitez pas à le partager autour de vous. À la prochaine !
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mangafascination · 1 year
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shoujo-dump · 6 months
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Oishii Kankei
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brickme · 1 year
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I’m reading a Makimura Satoru manga about a clothing store and it’s like
asshole presented by the narrative as a smart person who only says mean things to their colleagues because they're SERIOUS about their WORK: "you should lose weight if you want to sell clothes, clothes only look good on people BMI 20 or under"
another asshole presented by the narrative as a successful person who just says mean things to their colleague because they're a GENUIUS who's just dropping TRUTH BOMBS: "you're fat and ugly and when you say it's what's on the inside that matters you just don't realize what you look like shows exactly what you are on the inside"
and I'm sitting here like why? why does makimura write shit like this? she writes crap like this all. the. time. and pretends she's just being "real" and this is how people who are "serious about their work" act. uh no, it's not. assholes are assholes and it doesn't matter how good they are at their job, if they don't know how to speak appropriately at work these people should not. have. jobs. what the fuck makes makimura think professional, working adults can and should get away with this sort of crap? is it because she's never had an actual fucking job? (sorry not sorry) how can people read this and think it's inspiring or in any way realistic? how can people read this and then think "yes the protagonist should definitely take this to heart these people know their jobs the protagonist can really learn from them" as Makimura clearly expects her readers to? WHOA
also the answer to that first asshole above whom I quoted almost verbatim is HOW DOES IT FEEL TO ADMIT YOU'RE INCAPABLE OF DOING YOUR ONE (1) JOB OF FINDING CLOTHES THAT SUIT YOUR CUSTOMERS, AND HOW DOES IT FEEL TO ADMIT THAT THE INDUSTRY (fashion) YOU CLAIM TO LOVE ISN'T CAPABLE OF DOING ITS ONE (1) JOB OF MAKING CLOTHING FOR HUMAN BEINGS jesus christ what even is this manga.
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c-40 · 2 years
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A-T-2 288 Anime Soundtracks 3
I loved Ulysses 31 as a kid, the music as much as the animation and the story
Chikara Ueda & Power Station - Fugitive rare groove from the OST Ai no Kiseki: Doctor Norman Monogatari
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Makimura Satoru & The Half Tone Collections - Let's Dance from the anime Dancing Generation
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Akira Ito - Mumyō To Garyōtensei from the anime Hi Izuru Tokoro no Tenshi
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kobuta-no-yume · 1 year
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Weather Forecast (Otenkiyohou) by Makimura Satoru. Young You Comics. 2000.
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newworldm · 1 year
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A Delicious Relationship | Makimura Satoru
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classic-shoujo · 10 months
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Ai no Aranjuez (1978) by Satoru Makimura
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shoujo-memory · 5 months
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Shiro no Farruca by Makimura Satoru
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kindafondawanda · 1 year
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OishII Kankei Chapter 13 by Satoru Makimura
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pagan4me · 9 months
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I read the manga Real Clothes by Satoru Makimura a few months ago and fell in love with it within the first few chapters. The story is centered around Amano, an unadorned futon sales clerk who's takes extreme pride in her work. She's suddenly transferred to a well known fashion department with little to no interest or knowledge in clothing.
She started this stressful exploration for fashion to at minimum get a surface level understanding of it all. Throughout this she figures out how clothes can make people feel and the power within that, thus she gradually develops her personal style which is beautifully shown in each chapter and its such a fulfilling build WOW
The story dwells on many aspects of her life (even though there are many sequences where it backtracks :p) interpersonal relationships, aspirations, self doubt, body image, being a woman under the scrutiny of men..
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lamangasserie · 1 year
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Doll de Fuyumi Sôryô
Fuyumi Sôryô commence sa carrière en 1982 dans le magazine shôjo Betsucomi avec Hidamari no hômonsha. En 1988, elle gagne le prix Shôgakukan dans la catégorie shôjo pour son manga Boyfriend (10 tomes, inédit). En 1996, elle signe un autre succès, Mars (publié chez nous par Panini). 2001 marque pour la mangaka un tournant: avec ES — Eternal Sabbath — (publié chez nous par Glénat), elle quitte le monde du shôjo pour celui du seinen. Son dernier succès, Cesare (publié chez nous par Ki-oon) s’est achevé en 2021.
Doll arrive dans la carrière de Fuyumi Sôryô juste avant Mars. Pré-publié dans le magazine shôjo Bessatsu Friend (Betsufure pour les intimes) à la fin de l’année 1995, le manga relate l’histoire de Mariel Blair, une débutante dans le monde du ballet new-yorkais. Par un concours de circonstances, la grande chorégraphe Ira Graham lui offre le rôle principal de son nouveau spectacle, Doll, aux côtés de Aleksei Romanov (dit Alyosha), star du milieu. Les deux découvriront l’un en l’autre un compatibilité à la ville comme à la scène.
Bien que le récit de Doll ne se concentre pas sur la danse, le manga s’inscrit dans la lignée des ballet manga, mangas ayant pour thématique la danse classique. Thématique récurrente des shôjo, on peut citer aux côtés de Doll, Hahakoi Waltz (Miyako Maki, 1957), Swan (Kyoko Ariyoshi, 1976) ou encore Do Da Dancin’! (Satoru Makimura, 2000).
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Le manga se concentre sur le couple formé par Mariel et Aleksei ainsi que sur leurs vies intérieures. Au début du récit, Mariel est une jeune débutante dans le milieu du ballet, au caractère bien trempé. Son talent naturel pour la danse l’amène rapidement à fréquenter des professionnels aux carrières déjà longues. On découvre alors une Mariel emprise au doute et peu sûre d’elle. Elle ignore tout de son propre talent et le pense magnifié par la grande star qu’est Aleksei lorsqu’elle danse avec lui. Aleksei, de son côté, est un jeune ballerin déjà accompli qui recherche dans New York de nouvelles perspectives dans la danse. Malgré les entraves liées à son passé, il découvre auprès de Mariel un amour inconditionnel, infini qu’il confond, dans un premier temps, avec une dépendance affective étouffante de la part de Mariel. Finalement, il se révèle être celui qui a le plus besoin de sa partenaire. Tout le long du récit, Aleksei découvre ce que c’est que d’être aimé.
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Dans ce court one-shot, Fuyumi Sôryô nous offre un beau condensé de ce qui fait tout son art. Son trait s’est affiné depuis ses débuts, il s’en dégage une délicatesse plutôt discrète. La composition de ses planches est riche d’idées ; son découpage est assez éclaté, comme le veut une certaine tradition shôjo, mais n’en reste pas moins linéaire et très clair. Le manga est aussi ponctué de moments forts en émotion résultant en des planches d'une grande beauté. Le tout faisant ressortir de Doll un certain équilibre et une sensibilité sur la réserve. À l’image même de la danse classique: ce qui est simple n’est pas forcément facile. 
Avec Doll, Fuyumi Sôryô ne prend pas de risque. Elle prend pour contexte le monde du ballet, familier des lectrices de shôjo, et livre une histoire sans réelle grande originalité. Cependant, quand Fuyumi Sôryô fait quelque chose, elle le fait bien. Doll cristallise certainement ce qui fait toute la maestria de la mangaka. Elle gardera par la suite sa capacité à dévoiler et à sonder la psyché de ses personnages. Elle continuera aussi à aiguiser son trait tout en jouant de cet équilibre et de cette sensibilité qui fait d’elle une mangaka exceptionnelle. 
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