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#innovatrice
soitamespieds · 9 months
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À chaque instant, n'oubliez pas de lui rappeler qui est aux commandes
Les femmes qui dominent: Une dynamique de pouvoir et de sanction
Depuis des siècles, les relations de pouvoir ont évolué, oscillant entre des dominations variées. Longtemps, les femmes ont été sous-représentées, voire marginalisées, dans de nombreux aspects de la société. Mais, dans certains milieux et contextes, le vent a changé de direction. Des femmes audacieuses ont pris le contrôle, rappelant à chaque instant aux hommes qui est vraiment aux commandes.
Chaque regard, chaque geste, chaque mot prononcé par ces femmes est un rappel constant de leur position dominante. Et dans cette dynamique, le pouvoir de sanction devient également apparent. Elles n'hésitent pas à punir, à rectifier, à redéfinir les limites lorsque celles-ci sont transgressées. Ces sanctions peuvent être subtiles ou explicites, mais elles servent toujours à réaffirmer leur position de force.
Ces femmes ne cherchent pas nécessairement à écraser ou à diminuer les hommes, mais plutôt à définir clairement les règles du jeu. Leur autorité ne s'exprime pas uniquement à travers des récompenses, mais aussi à travers des corrections lorsque la situation l'exige.
L'image traditionnelle de la femme douce et soumise est bouleversée par ces femmes puissantes qui ne demandent la permission à personne. Elles sont des dirigeantes, des innovatrices, des meneuses. Dans le monde des affaires, des arts, de la politique, et même dans la vie quotidienne, elles se positionnent comme des leaders, non pas parce qu’elles veulent prouver quelque chose, mais parce qu'elles le méritent.
Et le plus fascinant dans cette dynamique, c'est l'adaptabilité des hommes qui entrent dans leur orbite. Nombre d'entre eux reconnaissent et respectent cette autorité, acceptant même les sanctions comme un moyen d'apprentissage et de croissance. Ils comprennent que suivre une femme puissante ne diminue en rien leur propre valeur. Au contraire, cela peut être une source d'enrichissement personnel et professionnel.
Cela dit, tout comme il est essentiel de célébrer ces femmes fortes, il est tout aussi crucial de reconnaître que chaque individu, homme ou femme, a sa propre force et sa propre dynamique. La vraie puissance réside dans l'équilibre, l'harmonie et la compréhension mutuelle.
Les femmes dominantes, avec leur assurance, leur détermination, et leur capacité à punir, ne sont pas une menace, mais plutôt un symbole du progrès de la société vers une égalité des genres. À chaque moment, elles rappellent aux hommes leur place, non pas par arrogance, mais par le désir d'une collaboration harmonieuse où chaque individu connaît sa valeur.
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lounesdarbois · 1 month
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"Article intéressant mais je vous promets que nombre de nationalistes français métissés ne trouvent pas vos propos de nationalisme racial pan-européen, poivré dans quelques articles ici et là, drôle. Ce sont des gens qui se savent trahi. C’est la trahison qui leur incite le plus et quand ils voient qu’après avoir été trahi par les réseaux vétérotestamentaires cosmopolites à la Kalergi, puis par la nouvelle gauche, puis par des influenceurs du nationalisme auparavant français mais finalement racialiste pan-européen, ce seront ces derniers qui se prendront des bombes, innovatrices, mais nuisibles et violentes, des nationalistes français trahis. L’élément est dorénavant planté. Les bombes et autres armes de vengeance commencent déjà à se faire contempler. Ca va finir très mal."
Cher "anonyme".
Le ton de demi-menace et les termes "inciter", "bombes", "armes de vengeance" rendent votre démarche curieuse. Cette équivoque est le privilège des anonymes et la pente naturelle des lettres anonymes.
Est-ce que vous suivez mon parcours? E&R est composé pour 1/3 de banlieusards et métis patriotes comme moi. Depuis 15 ans j'espère en l'avènement d'une classe "racailles patriotes" pour simplifier, comme le furent autrefois corsaires et flibustiers sur les mers pour le compte du Roi. Hommes durs, fraternels, collectifs, et par-dessus tout LOYAUX envers le pays. Ni ratonneurs ni racailles. Loyauté envers le pays c'est loyauté envers les lignées patrilinéaires des hommes de la souche du pays, qui nous ont précédé, qui ont façonné le pays, qui en ont fait ce merveilleux potentiel, cette table toute prête à laquelle nous venons nous asseoir. Les Desouche ont la préséance dans un ordonnancement national. C'est normal. Nul ne récuse la préséance des Desouche en Italie, Tunisie, Thaïlande etc. Voyez comme la Tunisie a expulsé sa 1ère invasion de migrants en 2023! Patriotisme = loyauté = gratitude. Tout le reste est idéologie, névrose, manipulation.
Je viens de Grenoble ultra-gauchiste bordéleux corrompu, j'y ai appris la vie. Je ne suis pas un Français de souche et rallie la France car je n'ai qu'elle, cela par gratitude, par souvenir de tout ce qu'elle m'a donné de Charité, de Beauté, de grandeur et j'aimerais que nos "nationalistes français métissés" dont je fais partie, s'occupent, dans un contexte de racisme anti-Blanc banalisé, de modérer les invectives de certains "métis" attentistes. Les diatribes des Noah, Booba sont des appels à la destruction par métissage et agression et sont i-nac-cep-tables. Le discours de haine de soi de certains bobos Blancs comme Sylvie Laurent, Molard etc doit être critiqué par les Blancs ET les métis unis. "L'humoriste en paix", je ne l'aime pas. Dans les moments cruciaux il a toujours pris la voie facile. L'affaire Obono… Assez de ce "métissage" qui ne tolère les Blancs de France que comme corvéables, métissables dociles réceptacles.
Cher "anonyme" seuls des métis patriotes loyaux (comme vous et moi), sont opportuns pour contredire durement de tels propos. Quand des Blancs le font, le mot magique "raciste" met fin au débat. Nous les métis devront faire face à une autre mise en danger qui sont les références à la "harka" et au "bountisme", j'y reviendrai en détail c'est important.
Je ne suis pas moi un de ces types qui chie sur les Blancs ou au contraire qui appelle à la violence contre tel ou tel autre en restant en retrait.
Nous sommes Français par la bonté des Français qui ne le savent même pas et se croient coupables de tous les maux. Il faut répondre au bien par le bien. Nous ne devons AUCUNE LOYAUTÉ à des partis communautaires quels qu'ils soient: ni chinois du 13e ni LFI ni likoudnik ni antillais ni espagnol ni franmac ni rien de tout ça. Ils n'ont rien fait pour nous, ils sont incapables par eux-mêmes de produire, de servir, d'ordonner, d'apaiser. Quand il y arrivent c'est par la souche française pré-existante. Ils ne sont pas la vraie substance qui souffre, qui paie, qui porte le pays. Par exemple qui en France produit la nourriture ? Les 1% d'agriculteurs blancs persécutés, suicidés de désespoir sans personne pour les aider, accablés de moqueries, d'impôts et d'ingratitude alors qu'ils sont les plus utiles, les plus bosseurs, les moins payés, et pourtant les plus directement issus des plus anciennes lignées populaires françaises.
J'aime Bassem. Et des gars, des bons gars, maghrébins bac+5 m'ont dit "Mais pourquoi tu le relaies c'est une caillera il nous enfonce". Ce n'est pas ainsi qu'il convient de regarder les choses leur ai-je dit. Il faut pour le pays des bac+5 spécialisés et précis oui mais aussi des patriotes de rue, ouvriers, avec émotion directe. J'espère que Bassem fasse un jour de la politique car c'est sa vocation profonde: passer de blogueur "leader d'opinion" à "Grand frère des Français patriotes et traditionnels d'origine immigrée". Mais je prends mes distances quand soudain malgré 10 ans de d'expérience il dit soudain à un gars assez connu "sale gw** de merde". La voie facile du racisme anti-Blanc dans un contexte d'invasion massive constitue une aggravation du déséquilibre. Je suis pour l'équilibre, l'ordre, la tranquillité de l'ordre qui est la définition même de la Paix. Quand on est immigré, écraser les Français de souche conduit par Justice Immanente à se faire ensuite écraser par d'autres immigrés plus récents, ça se vérifie à chaque génération depuis les premiers Italiens de 1960. Aimer les Français de souche rendra la paix au pays et à tous les hommes dans le pays. Les Français de souche doivent sortir de la haine de soi vendue par la Canaille au pouvoir. Et les non-Blancs comme vous et moi doivent aider ces Blancs à s'aimer eux-mêmes. Et nous le faisons non servilement dans un esprit mondain mais pour le pays, pour la "chose en soi" comme disait Kant.
À bien y réfléchir je vous remercie de votre message et des menaces voilées qui s'y trouvent car je dois dévoiler un manifeste qui s'appelle "Vous avez dit bounty?" que j'ai en réserve depuis longtemps et vous m'en rappelez l'urgence.
Cordialement,
Lounès Darbois
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lamilanomagazine · 1 month
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Milano. Torna dal 21 Giugno "Estate al Castello": sul palco concerti e spettacoli fino all'8 Settembre
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Milano. Torna dal 21 Giugno "Estate al Castello": sul palco concerti e spettacoli fino all'8 Settembre. Milano, 15 aprile 2024 – Partirà il 21 giugno la nuova stagione di "Estate al Castello", la rassegna di spettacoli live promossa e coordinata dal Comune di Milano nell'ambito del palinsesto "Milano è Viva", anche quest'anno sul palco del Cortile delle Armi del Castello Sforzesco con 71 spettacoli live, dal 21 giugno all'8 settembre. Con diversi appuntamenti gratuiti e molti a prezzo calmierato (con ingresso inferiore o uguale a 15 euro), la rassegna anche quest'anno può contare su una platea di 2300 posti, che ha permesso di inserire in programma nomi di grande prestigio e richiamo dal mondo musicale italiano e internazionale come Ariete, Venerus, Margherita Vicario, Calexico, The Cinematic Orchestra, Tullio De Piscopo, Yves Tumor, Marlene Kuntz, Dente, Daniele Silvestri e Cristina Donà ma anche dal mondo della divulgazione scientifica, narrativa e comica come Mario Calabresi, Massimo Recalcati, Alessandro Bergonzoni, Arianna Porcelli Sofanov. Anche in questa edizione, "Estate al Castello" unisce in un unico calendario diverse arti performative: la musica, il teatro, la narrazione, la club culture, la danza. La rassegna, programmata quest'anno sotto la direzione artistica di Giulia Cavaliere, si aprirà il prossimo 21 giugno in occasione della Festa Internazionale della Musica con il concerto di Ariete, classe 2002 e straordinaria rivelazione sanremese del 2023 con un passato nella discografia indipendente, voce innovatrice nel panorama della musica d'autore italiana. A chiudere, in una due giorni firmata ARCI, ci saranno invece Cristina Donà e Margherita Vicario, due cantautrici di alto profilo, la prima con alle spalle una lunga storia artistica e la seconda vera e propria rivelazione degli ultimi anni, proprio in queste settimane nelle sale italiane come regista e autrice del film "Gloria!". Oltre alla musica, che ritrova anche realtà nate in città come il CPM di Franco Mussida, anche il teatro avrà grande spazio in rassegna: dai grandi teatri cittadini - come il Piccolo Teatro d'Europa, il Teatro Franco Parenti e il Teatro Carcano - fino alle tante realtà teatrali più piccole e militanti che rendono vivo quotidianamente il tessuto culturale milanese, tra cui: Manifatture Teatrali Milanesi, Compagnia Corrado D'Elia, PACTA arsenale dei teatri, Spazio Tertulliano e Atir. Accanto a queste, alcune proposte ibride, tra teatro e performance, come DRAMA, il queer cabaret più grande d'Italia, che prenderà vita al Castello Sforzesco nel weekend del Pride, il 30 giugno; oltre a numerosi talk e spazi di divulgazione con protagonisti d'eccellenza, da Mario Calabresi a Massimo Recalcati. Una precisa volontà dell'Amministrazione nella creazione del palinsesto è stata sin dal principio quella di dare spazio a realtà sociali e culturali diverse: sul palco del Castello Sforzesco ci saranno anche due spettacoli organizzati dagli operatori Opera Liquida e Le Crisalidi, che vedranno come protagonisti in scena detenuti ed ex detenuti; e poi spettacoli di danza e quelli pensati per i più piccoli, fino alle serate organizzate da un'importante realtà cittadina come Santeria - che la notte di Ferragosto darà vita al Gran Ballo di Mezza Estate in pieno stile Balera dell'Ortica al centro del Castello. Non mancheranno dj set con protagonisti di rilievo tra cui Mike Joyce degli Smiths, Venerus e Max Cooper. All'interno della rassegna troveranno inoltre spazio due veri e proprio micro-festival: due serate, il 26 e il 27 giugno, organizzate dal Festival della Bellezza e le due serate finali organizzate da ARCI.... #notizie #news #breakingnews #cronaca #politica #eventi #sport #moda Read the full article
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Eleonora Duse, nel centenario Treccani ricorda la somma artista
A 100 anni dalla morte di Eleonora Duse, Treccani ripercorre “l’arte febbrile e di forte impatto emotivo della leggenda del teatro, scomparsa a Pittsburgh il 21 aprile 1924.     Salutata fin dalla sua prima apparizione come una innovatrice, Eleonora Duse non lasciò che il successo raggiunto arrestasse la sua evoluzione di donna e di attrice: la sua intera carriera fu un’incessante ricerca del…
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lorenzospurio · 2 months
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"Federico García Lorca: dal "Llanto por Ignacio Sánchez Mejías" a "Poeta en Nueva York"". Saggio di Pietro Civitareale
A Federico García Lorca (1898-1936), come uomo e come artista, è toccato di diventare un mito del nostro tempo, per cui a tutti i problemi posti dalla sua opera letteraria (colta, oscura e innovatrice nello stesso tempo) si aggiunge quello di capire perché una poesia, come la sua, abbia infranto tutte le barriere della impopolarità della poesia moderna, provocando entusiasmi, creando mode e…
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nouveau-blog · 2 months
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L’art rencontre la Science
Depuis le début de l'univers, l'art englobe diverses activités ou passions telles que la peinture ,la danse, la musique, le cinéma, la science et d’autres encore.Ces éléments offrent aux individus la possibilité de s'exprimer librement et sans aucune contrainte.
La résolution de problèmes environnementaux pourrait être liée à la science technologique et écologique.La technologie permet de comprendre les répercussions négatives sur l'environnement, tandis que la science écologique offre des renseignements pour promouvoir la création de solutions durables et avantageuses pour l'environnement.
Grâce à des représentations innovatrices, l'art sensibilise aux enjeux environnementaux liés au milieu naturel. La science technologique nous permet de comprendre notre environnement en utilisant des outils. Ces trois composantes sont des solutions innovantes qui visent à promouvoir la durabilité environnementale et la préservation.
Nous avions eus la chance de visiter 2 expositions évoquant l’arts et les science qui étaient très intéressant  
Bestioles Électroniques par Marylou 
Cette exposition s'est déroulée à la médiathèque de Chantemerle qui était composer de multiple chaînes de capteurs produisant le chant d'un oiseau lorsque l'on s'en approche.Cela montre le pouvoir de technologie dans le monde d'aujourd'hui mettant en valeur la cohésion entre l’art et technologie grâce à des dispositifs dynamiques ce qui permet de vivre une expérience captivant et intéressante .Cette exposition présenter par Marylou et SIANA représente un art innovant rassemblant la nature et la technologie en un pour nous permettre de plus nous rapprocher de la nature.J’ai aimé cette exposition car c’est très creative et sa représente un point de vue sur le lien entre la nature et la technologie .
Photo Personnelle
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Se Planter par Karine Bonneval
L’exposition “Se Planter’ qui s’est déroulée à Chamarande,grâce à l’aide de SIANA et Karine Bonneval, ont combiné l’art et la science écologique afin de mettre en vocation les enjeux environnementaux grâce à des ateliers pour tous.Avec la combinaison de ces deux domaine,nous pouvons éveiller une pensée sur notre relation avec la nature et les conséquences de nos actions sur l’environnement ,cette exposition nous offre une perspective sur les défi écologiques tout en mettant en lumière l’importance de l’artistique pour susciter l’engagement et le changement pour le monde de demain.”Se Plante” invite les visiteurs à “interagir avec les plantes,respirer avec les arbres et à écouter la terre” pour encourager un engagement plus profond envers la préservations de l’écosystème et l’environnement.
Photos des différentes oeuvres de l’exposition “Se Planter” par Karine Bonneval 
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L’exposition “Se Planter” à pour message de sensibiliser l’échec,le danger écologique,la conscience de notre responsabilité envers la planète et le rapprochement humain envers la nature.Ces deux expositions partagent un point de vue similaire sur la sensibilisation, l’exploration de la relation entre l’homme et la nature pour aborder des questions et éveiller la réflexion grâce à l’art.
Williams Christiana 
Source :
https://www.corbeil-essonnes.fr/actualites/exposition-bestioles-electroniques-a-la-mediatheque-chantemerle-vernissage-le-jeudi-8-fevrier-2024-a-19h/
KARINE BONNEVAL – SE PLANTER - Domaine Départemental de Chamarande
Se planter Récolter le soleil et cultiver la pluie* Carte blanche du Domaine départemental de Chamarande à SIANA, Laboratoire artistique et 
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christophe76460 · 5 months
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Il est bon d’avoir des buts, des rêves et de tout faire pour les accomplir. Dieu est un planificateur hors pair et Il a toujours des idées innovatrices pour aller de l’avant et nous faire progresser. Mais il y a une chose que la Bible appelle le contentement. De ce mot nous tirons l’adjectif« content ». « Être content », à la base, au sens étymologique du terme, ne veut pas dire être heureux ou joyeux mais plutôt « se satisfaire de » ou « se contenter de » et lorsque nous apprenons à nous contenter de ce que nous avons, nous sommes forcément heureux et joyeux!
Pendant que nous laissons Dieu nous conduire petit à petit dans la prochaine saison de notre vie, apprenons à être contents de ce que nous avons actuellement. Peut-être tu n’es pas –encore– marié mais tu as un très bon travail ou tu réussis dans tes études. Tu n'as pas –encore– percé professionnellement mais Dieu t’as donné des amis en or, une famille formidable ou une église merveilleuse !
Ce n’est pas le fait d’être célibataires qui nous attriste, ou de ne pas avoir le travail de nos rêves ou de ne pas avoir d'enfant, c’est le manque de contentement ; car lorsque nous sommes reconnaissants de ce que nous avons déjà reçu de la part de Dieu, nous sommes satisfaits ! La reconnaissance et le contentement produisent toujours la joie et la paix. C’est lorsque nous regardons à ce qui nous manque ou à ce que nous voulons et n’avons pas – encore – que l’impatience, la tristesse, la déception voire même la colère, la jalousie et l’envie commencent à remplir nos pensées et nos émotions.
Prend plaisir à chaque saison de ta vie. Apprend à aimer ta vie comme elle est pendant que toi et Dieu travaillez ensemble à l’améliorer. Le manque de contentement nous empêche de progresser et ainsi d’aller de l’avant.
Pasteur Maïsha Nerplat
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lausurlesplateformes · 5 months
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Dossier spécial: Les vaccins à base de plantes
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Photo: Kristina LeBreux
Les courtes pousses de Nicotiana Benthamiana en croissance dans l'Envirotron de l'Université Laval. Elles seront prêtes à être utilisées pour la moléculture après seulement 14 jours de croissance. 
Medicago se réinvente
La société biopharmaceutique Medicago renaît de ses cendres sous le nom d’Aramis Biotechnologies. Ce sont d’anciens employés de Medicago qui dirigent cette entreprise québécoise créée en février 2023 et qui permettront de développer davantage une plateforme technologique à base de plantes.
Laurence Brière
Article pour L’actualité 
Les anciens employés de Medicago, qui a fermé ses portes au début de l’année 2023, ont acquis la propriété intellectuelle de la société afin de relancer une compagnie similaire. 
En effet, cette nouvelle entreprise du nom d’Aramis Biotechnologies « développe une nouvelle génération de plateforme de biofabrication dans les plantes permettant de répondre aux besoins de santé publique actuels », selon le site internet de l’entreprise. L’entreprise se concentre présentement sur le développement de vaccins à base de cellules végétales. Il s’agit d’une technologie qui a été développée il y a quelques années principalement par Medicago. L’application de cette plateforme peut également être utilisée à d’autres fins pharmaceutiques telles que des médicaments. 
À la suite de la fermeture de Medicago en février 2023, le gouvernement du Canada a affirmé chercher un repreneur pour la société.  Selon un extrait du communiqué de presse à ce sujet, livré le 8 décembre 2023, « Cela découle du désir du gouvernement à accroître le degré de préparation du Canada en vue de potentielles pandémies et à s’assurer qu’une plateforme technologique prometteuse reste au pays ». Cette plateforme semble effectivement prometteuse sur le plan de la rapidité de création des vaccins, spécifiquement advenant le cas d’une nouvelle pandémie. 
Les avantages de cette plateforme innovatrice
Cette plateforme de développement à base de cellules végétales permet de développer des protéines en énorme quantité et très rapidement. La plateforme de production de protéines traditionnelle prend 6 à 8 mois à développer et produire. Tandis que la plateforme végétale peut produire les protéines nécessaires en 3 semaines seulement, comme l’explique Kristina LeBreux, étudiante à la maîtrise en biologie végétale : « Une poule avant de mettre à terme, elle doit être à l’âge adulte pour pondre des œufs. Tandis que mes plantes c’est à peu près 14 jours et elles sont prêtes à être agroinfiltrées. Et en 3 semaines, la plante a fait son cycle avec l’agroinfiltration et on a récolté les protéines », mentionne-t-elle. C’est donc un processus extrêmement rapide comparativement à la méthode traditionnelle. 
À propos de la méthode à base végétale
C’est dans l’Envirotron à l’Université Laval que Kristina LeBreux et 8 autres chercheurs développent les protéines qui servent à fabriquer les vaccins pour divers virus. Ce sont ces protéines qui sont envoyées dans les entreprises de biotechnologies comme Aramis Biotechnologies. 
La plateforme traditionnelle de développement des protéines utilisées dans les vaccins consiste à développer ces protéines à l’intérieur d’œufs de poule fécondés. Cette conception vaccinale est donc faite à base de cellules mammifères tout comme celles que l’on retrouve dans l’humain. 
Contrairement à cette méthode vaccinale traditionnelle, les vaccins que Kristina LeBreux participe à développer sont faits à base de cellules végétales. La plante utilisée lors de cette conception est la Nicotiana Benthamiana, une mauvaise herbe originaire d’Australie. Celle-ci est au cœur du concept de moléculture qui permet cette plateforme de développement. 
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Graphique fait à partir de Figma
Ce graphique représente bien la rapidité du processus de récolte des protéines nécessaires à la confection de vaccins à partir d'une plateforme végétale. Comparativement à une plateforme mammifère qui, selon Kristina LeBreux, prend au moins 6 mois.
Pour en savoir plus:
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aureliablr · 5 months
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florencepare · 6 months
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Séance #13 – Quelques inquiétudes par rapport à l’ère numérique
Bonjour chers lecteurs, 
Comme vous le savez probablement, l’ère du numérique a énormément changé. Il y a eu des changements par rapport aux échanges en ligne, la désinformation, et autres. Ces derniers sont tous, en quelque sorte, des nouvelles perspectives occasionnant des défis.
En effet, l’un des défis majeurs est la polarisation croissante et la « brutalisation » des échanges en ligne. Bien que ces plateformes de réseaux sociaux soient censées inciter le dialogue entre tous, elles permettent aussi la publication de commentaires haineux qui s’introduisent dans les conversations ou sous une publication quelconque. Ceci est devenu un problème assez majeur. Il en est même rendu que certains utilisateurs doivent filtrer les commentaires de leurs publications. De plus, les plateformes peuvent faire de même, puisque les plateformes peuvent « supprimer un contenu haineux qui leur serait signalé en moins de 24h » (Badouard, 2023, paragr. 1).
Dans cette même lancée, l’utilisation facile des plateformes occasionne un mouvement de désinformation et un phénomène de « post-vérité ». Ce qui est inquiétant dans tout cela, selon moi, est le fait que la diffusion rapide de fausses informations peut manipuler l’opinion publique. Le phénomène de désinformation est en fait « une fausse information qui vise délibérément à induire en erreur » (Gouvernement du Canada, 2023, paragr. 1). Ainsi, dans un contexte d’élection, l’intégrité de tous ne serait pas de mise, car tous peuvent avoir été influencés par de la désinformation. Une prise de décision éclairée pour la plupart d’une population, par rapport à n’importe quel sujet public, ne serait donc plus réaliste à cause de ces phénomènes inquiétants.
En conclusion, l’ère numérique peut être innovatrice sur plusieurs aspects. Cependant, il existe des risques dans certains cas. Ainsi, nous devrions rester prudents. Ne vous laissez pas affecter par des commentaires haineux ou une conversation brutale sur les réseaux sociaux. De plus, méfiez-vous de vos sources et assurez-vous de ne pas croire tout ce qui est écrit en ligne. Soyez critique !
Bibliographie :
Badouard, R. (2020). Les discours de haine en ligne.��Esprit, Mai(5), 27. https://doi.org/10.3917/espri.2005.0027
Gouvernement du Canada. (2023, February 7). Desinformation enligne. Www.canada.ca. https://www.canada.ca/fr/campagne/desinformation-enligne.html
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silviascorcella · 6 months
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Sulvam f/w 2018-19: lui, lei, e il nuovo sartoriale
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C’è della grinta eversiva punk che si sfoga su tutto ciò che decora e definisce le cose con supposto rigore, c’è della nonchalance stilosa che fa subito pensare allo streetwear ma che altrettanto subito viene confutata perché non è la sola strada ad essere presa ad ispirazione, c’è del sartoriale esatto e sciolto allo stesso tempo come solo in Giappone san fare: e questo non è messo in dubbio, assolutamente. 
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{Photo backstage © Redmilk Mag}
C’è una visione che resta il minimo indispensabile sospesa nel limbo della progettazione, perché ha fretta di diventare subito realtà concreta: è la visione innovatrice, squisitamente autonoma, e platealmente applaudita di Sulvam. O meglio: di Teppei Fujita, che del brand nipponico è mente pensante, corpo creativo e cuore pulsante. 
Ed è anche la collezione a/i 2018-19: che di questa visione è un nuovo capitolo che prosegue una storia nata poco fa, ma saldamente incamminata nella direzione di evolvere molto del fashion world. Almeno per quel che riguarda il suo elegante versante sartoriale. 
E che tale storia la  prosegue sulla passerella milanese dell’appena trascorsa settimana della moda dedicata allo stile maschile: ma che nell’universo Sulvam può essere altrettanto intesa come femminile, dato che non c’è barriera di genere a cui attenersi, bensì la barriera va abbattuta in nome della libertà. 
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“Gender-free”, appunto! Ma andiam con ordine e riallacciamo tutti i passaggi prima di giungere a tale dichiarazione di libertà.
Il curriculum di Teppei Fujita è il ritratto di una carriera rapida e formidabile, perché intrisa da sempre di sana determinazione: presenta infatti le tappe fondamentali, come il diploma alla scuola Bunka Fashion, la collaborazione lunga e fruttuosa alla Maison Yohji Yamamoto, che della sartorialità concettuale ed esatta eppur rivoluzionaria alla celebre maniera giapponese è uno dei simboli indiscussi, e c’è la fondazione del proprio brand nel 2014 per mettere in pratica i preziosi insegnamenti appresi alla corte del gran maestro e nel frattempo mettere in dubbio l’eleganza rigorosa maschile così come siam soliti conoscerla.
Al contempo presenta anche i traguardi fondamentali: la conquista del il "Tokyo Fashion Award” nel 2014, la vittoria del premio VOGUE "Who is on Next? Dubai" nel 2015, l’ambitissima selezione per il premio LVMH Fashion 2017, le passerelle italiane di Pitti Immagine Uomo prima e quella della città di Milano poi.
Alla base di ogni visione e passo compiuto nel fashion world sta, come fosse inciso sulla pietra, il motto-guida di Teppei Fujita: “Nego i trend del momento. Penso che la moda sia indossare abiti in maniera libera e individuale. Attacco ciò che sento di dover attaccare. Proteggo ciò che devo proteggere. E continuo sempre a mettere in discussione il mondo di oggi dalla prospettiva di un semplice creatore di abiti.” 
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“Gender-free”, appunto! Questo è il titolo della collezione a/i 2018-19, ed al contempo la riconferma che la visione liberatoria e indagatrice di Sulvam è più salda che mai: in passerella scorrono abiti indossati sia da modelli che da modelle, perché lo stile è personale ed il maschile indossato da un corpo femminile acquisisce sensualità senza intaccare la libertà. Libertà di cosa? Di rompere le regole, sfrangiare gli orli dei completi gessati, sfilacciare i confini dei pantaloni sartoriali, strappare via le tasche e riattaccarle in un secondo momento, e solo a patto che facciano fuoriuscire la fodera interna. Trattamento, questo, che viene riservato a qualsiasi rivestimento o imbottitura, che spunta dai tagli consapevoli sui pantaloni ampi, che sbuffa dalle lunghe vesti come fosse un sottogonna: un’aria eversiva che è ribadita dalle forme over, persino del bomber indossato sulla camicia e la cravatta. Troppo laissez-fare? Affatto! C’è anche il lurex dorato del maglioncino che porta luce, i bottoni decorativi sulla cravatta che sono un vezzo, le maxi borse in pelouche che son un gesto dolce. 
E su tutto, l’aria di che qualcosa sta davvero cambiando: dalla passerella alla vita vera è un attimo!
Silvia Scorcella
{ pubblicato su Webelieveinstyle }
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editorialstaff2020 · 7 months
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Quando la ricarica dell’auto elettrica crea una foresta da 100 milioni di alberi
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Atlante e Mastercard danno il via a una partnership: per ogni pagamento con carta di credito, debito o prepagata alle colonnine della società del Gruppo NHOA, saranno piantati due alberi nel contesto del programma Priceless Planet Coalition
E se pagare non fosse solo intuitivo e rapido, ma facesse anche bene al clima? È la proposta alla base dell’ultima iniziativa di Atlante, società del Gruppo NHOA impegnata nella costruzione del più ampio network di ricarica rapida e ultra-rapida per veicoli elettrici del Sud Europa. Una rete che è alimentata al 100% da energia da fonti rinnovabili.
Dal 27 settembre, presso le colonnine dell’azienda situate all’aeroporto di Fiumicino e a Mantova, è possibile pagare con carta di credito, di debito o prepagata. Una sperimentazione che punta ad offrire ai clienti semplicità di utilizzo, trasparenza dei prezzi e flessibilità nel percorso verso un futuro caratterizzato da una scelta di metodi di pagamento sempre più ampia. E se la carta si appoggia al circuito Mastercard, per ogni sessione di ricarica Atlante pianterà due alberi.
L’iniziativa rientra nel programma Priceless Planet Coalition, con cui la seconda emittente globale di carte di credito unisce le forze con una rete di aziende partner per piantare 100 milioni di alberi entro il 2025 in collaborazione con il Conservation International e il World Resources Institute.
Sostenere la diffusione delle auto elettriche è vitale per centrare gli obiettivi di emissioni nette zero e rispettare il target più ambizioso dell’Accordo di Parigi, quello fissato a +1,5°C di riscaldamento globale rispetto all’epoca pre-industriale. Ed è anche uno dei pochissimi ambiti – insieme alla crescita del fotovoltaico – i cui trend attuali sono allineati con questi obiettivi, secondo l’Agenzia internazionale per l’energia.
Unire auto elettriche e riduzione delle emissioni tramite riforestazione significa potenziare ancora di più i benefici che possono derivare dal passaggio graduale verso modelli di mobilità più sostenibili. In questo senso, la partnershiptra Atlante e Mastercard punta sia a semplificare la transizione verso l’e-mobility sia ad una vera e propria opera di riforestazione.
“Mastercard non solo è leader globale dei pagamenti elettronici ma anche un’azienda che con la propria spinta innovatrice da decenni ci ha accompagnati attraverso l’evoluzione tecnologica, entrando di diritto nelle nostre consuetudini quotidiane. Allo stesso modo io credo fortemente che Mastercard accompagnerà la rivoluzione della mobilità elettrica rendendo ancora più semplice e immediato l’accesso alle nostre infrastrutture di ricarica”, ha commentato Stefano Terranova, CEO di Atlante.
Link: https://www.rinnovabili.it/mobilita/veicoli-ecologici/auto-elettriche-atlante-mastercard-ricarica-assorbe-co2/
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felixlajoie · 8 months
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Séance #6 Se créer une identité grâce au numérique
https://www.tvanouvelles.ca/2023/04/28/tinder-declare-la-guerre-aux-faux-comptes
La génération des 2000 se familiarisent énormément avec les réseaux sociaux. Instagram, Snapchat, Facebook etc. sont des applications essentielles qui font partie du quotidien d’un jeune adulte. Ces réseaux sociaux ont pour but de socialiser voire rester en contact avec les personnes qui nous sont importantes. Au-delà de l’information que l’on peut y retrouver, il est également possible pour un utilisateur de partager des photos de son quotidien afin d’en informer ses amis et ses abonnés. Cette facette des réseaux sociaux a d’ailleurs grandement évolué alors que l’apparition des sites de rencontre a pris une tout autre tournure dernièrement. Prenons l’exemple de Tinder, une des applications de rencontre figurant parmi les plus populaires. Ayant pour but de rencontrer de nouvelles personnes, l’utilisateur se doit d’ajouter des photos de lui afin de rendre son profil visible par tous. Cependant le numérique permet de se faire passer pour quelqu’un d’autre principalement via les photos. Il est donc possible de se construire une fausse identité de A à Z et d’être en mesure d’utiliser l’application comme tout le monde. Ça permet entre autres à l’utilisateur d’en tromper d’autres, mais également de déjouer l’application. C’est un problème qui persiste depuis longtemps, mais que Tinder souhaite résoudre. Les membres ayant déjà accès à une fonctionnalité permettant de vérifier leur profil via un autoportrait (selfie) auront maintenant la possibilité de vérifier leur nouvelle rencontre par l’entremise d’un système vidéo. Cette nouvelle mise à jour amène ainsi un seuil de double vérification qui vient renforcer la sécurité des utilisateurs du site. Le risque de rencontrer une personne qui prétend en être une autre diminuera grandement. Certes, cette stratégie est innovatrice, mais elle ne permettra pas d’abolir ce fléau qui prend de plus en plus de place et qui cause une multitude de problèmes pour de nombreux adeptes des sites de rencontre.
https://www.tvanouvelles.ca/2023/04/28/tinder-declare-la-guerre-aux-faux-comptes
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fredborges98 · 8 months
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Bom dia!
Bonjour!
Ela é jovem, sua juventude vem de seus versos, suas estrofes, seus parágrafos, multi talentosa, inspiradora, bela, inteligente, é a face da mais talentosa francofonia, cativa pela sedução, não pelas suas idéias, mas pelas formas literárias inspiradoras, criativas, inteligentes e inovadoras, e se há um defeito observavel, na ponta do Iceberg, é que é fumante.
Mas isto é superado com os lábios de morango, o olhos negros, a pele morena, parda, negra, de uma França de miscegenacões, sincrética, junta, nem sempre unida, mas sempre misturada, uma França que há muito deixou de ser dos Franceses, mas de todas as imigrações de suas antigas colônias e de não colônias.
Uma cultura adversa, plena de diversidades, adversidades cuja idéias extremistas não cabem mais, diante do fervente caldeirão cultural e mentalidades inovadoras, que vieram ressuscitar a liberdade, igualdade e fraternidade, lemas de uma revolução dentro de uma revolução cultural, caldeirão cultural que é a França atual representada por uma nova geração de talentos, virtuosos de todas as áreas culturais, não somente da literária,como ela: Saphia Wesphael* junto com novos expoentes: Michel Houellebecq,Frédéric Beigbeder,Amélie Nothomb,Patrick Modiano, Marie NDiaye,Agnès Desarthe,Nathalie Tual,Virginie Despentes, Leïla Slimani, Marie Darrieussecq,Anna Gavaldà,Virginie Lemoine, Valeria Luiselli,Elodie Lecomte, Jean-Philippe Blondel e Pierre Lemaitre, Jonathan, Kendji Girac, Sylvie Hoarau, Aurélie Saada, Jain, Abel Makkonen Tesfaye, L’oncle Soul,Matt Pokora,TAL, Indila, Julien Doré, Vianney, Zaho,Claudio Capéo, Amor Haddad, Vitaa e por último, mas não menos importante:Stromae**!
Por: Fred Borges
Tradução: Fred Borges.
Elle est jeune, sa jeunesse vient de ses vers, de ses strophes, de ses paragraphes, polyvalente, inspirante, belle, intelligente, elle est le visage de la Francophonie la plus talentueuse, captivée par la séduction, non pas par ses idées, mais par l'inspirant , des formes littéraires créatives , intelligentes et innovantes, et s'il y a un défaut observable, à la pointe de l'iceberg, c'est qu'il est fumeur.
Mais cela est surmonté de lèvres fraises, d'yeux noirs, de peau brune, brune, noire, d'une France de métissages, syncrétiques, ensemble, pas toujours unis, mais toujours métissés, d'une France qui a depuis longtemps cessé d'appartenir aux Français, mais de toutes les immigrations en provenance de ses anciennes colonies et non-colonies.
Une culture adverse, pleine de diversités, d'adversités dont les idées extrémistes ne rentrent plus, face au chaudron culturel bouillant et aux mentalités innovatrices, venues ressusciter la liberté, l'égalité et la fraternité, devises d'une révolution dans une révolution culturelle, d'un chaudron qu'est la France Actuelle représentée par une nouvelle génération de talents, virtuoses de tous les domaines culturels, pas seulement littéraires, comme elle: Saphia Wesphael* accompagné de nouveaux représentants: Michel Houellebecq, Frédéric Beigbeder, Amélie Nothomb, Patrick Modiano, Marie NDiaye, Agnès Desarthe ,Nathalie Tual,Virginie Despentes, Leïla Slimani, Marie Darrieussecq,Anna Gavaldà,Virginie Lemoine, Valeria Luiselli,Elodie Lecomte, Jean-Philippe Blondel et Pierre Lemaitre, Jonathan, Kendji Girac, Sylvie Hoarau, Aurélie Saada, Jain, Abel Makkonen Tesfaye, L'oncle Soul,Matt Pokora,TAL, Indila, Julien Doré, Vianney, Zaho,Claudio Capéo, Amor Haddad, Vitaa et enfin : Stromae** !
Par : Fred Borges
Traduction: Fred Borges.
Texte de: Sophia Wesphael
Le courage d’être soi et différent.
Être différent n’est ni une bonne, ni une mauvaise chose. Cela signifie simplement que vous êtes suffisamment courageux pour être vous-même » – Albert Camus
Avoir l’audace d’être soi, d’incarner son identité profonde dans un monde où les standards sont encore des étendards…
… Où l’affirmation de la singularité, si elle est officiellement encouragée, n’en est pas moins perpétuellement controversée.
Comme si en allant chercher ce qu’il y a de plus vrai en nous-mêmes, on se rendait coupable, coupable de déranger ou d’agacer, coupable d’être trop, ou pas assez.
D’être trop militant, ou pas assez.
D’être trop tolérant, ou pas assez.
D’être trop pieux ou à l’inverse trop provocant… Ou pas assez.
D’être trop libre ou pas assez.
Oui… Quel projet profondément ambitieux d’être soi dans une société où les règles qui nous éteignent sont déguisées en choix qui nous étreignent.
Quel défi permanent de porter la flamme de nos convictions sans encourir le risque constant de se brûler les ailes.
Mais n’est-il pas préférable de se brûler plutôt que de se consumer ?
De se choisir plutôt que s’abandonner ?
N’est-il pas préférable de perdre ce que l’on a, plutôt que de perdre ce que l’on est ?
Ils sont si inspirants et passionnants ceux qui d’hier à aujourd’hui, ont osé l’irrévérence, ont osé se soulever au nom de leurs idéaux plutôt que se soumettre à ceux qui voulaient les museler.
Toutes celles et ceux qui ont brisé les plafonds de verre.
Toutes et tous ont très précisément en commun d’avoir eu le courage d’être eux-mêmes en dépit de l’adversité.
Et peut-être que le plus bel hommage que nous puissions leur rendre réside dans la défense de nos sensibilités, de nos origines, de nos préférences, de nos amours qui dérangent.
Peut-être que le plus beau des hommages n’est rien d’autre que de tendre l’oreille vers ce qui hurle au fond de nous.
Vers les idées qui nous animent et parfois même nous abîment, tant il nous est impossible de nous en défaire.
Parce que le plus beau des hommages est de ne pas essayer de les taire.
Il est probable que la plus belle oeuvre que chaque être humain soit en mesure de réaliser soit celle qu’il aura à créer à partir de lui-même.
Bien sûr, il y aura des tentatives déchues et des succès en demi-teinte.
Bien sûr, parfois la peur aura raison de notre ardeur.
Mais il y a probablement plus de beauté de perdre en étant soi plutôt que de gagner en se perdant.
Alors ne faisons pas de compromis avec notre identité.
Soyons intransigeants avec ceux qui voudraient la lisser, la normaliser, au lieu de nous encourager à la sublimer.
Cultivons notre rareté pour s’en trouver émerveillé.
Quant à ceux qui nous critiqueront, qui nous moqueront, qui nous mépriseront.
Désarmons-les par notre puissance de vie, par l’envie de vivre au plus proche de nous-mêmes et non loin de ceux qui ont les mêmes aspirations.
Dans cette ère d’incertitude, où nos visages sont aussi masqués que nos lendemains, réécoutons nos vérités pour pouvoir mieux les partager, et même les questionner.
À défaut de pouvoir s’enlacer, s’embrasser et tous se rassembler, gorgeons-nous d’authenticité.
Engageons-nous sans réserve ni effroi, dans l’immense aventure d’être soi.
Texto original.Sem IA
Tradução: Fred Borges
A coragem de ser você mesmo e diferente.
Ser diferente não é bom nem ruim. Significa apenas que você é corajoso o suficiente para ser você mesmo” – Albert Camus
Tenha a audácia de ser você mesmo, de incorporar sua profunda identidade em um mundo onde os padrões ainda são padrões...
...Onde a afirmação da singularidade, se for oficialmente encorajada, não é menos perpetuamente controversa.
Como se, ao buscarmos o que há de mais verdadeiro em nós mesmos, nos tornássemos culpados, culpados de perturbar ou incomodar, culpados de ser demais ou insuficientes.
Ser muito militante ou insuficiente.
Ser muito tolerante ou insuficiente.
Ser muito piedoso ou, inversamente, muito provocativo... Ou não o suficiente.
Ser muito livre ou insuficiente.
Sim… Que projecto profundamente ambicioso ser você mesmo numa sociedade onde as regras que nos extinguem estão disfarçadas de escolhas que nos restringem.
Que desafio permanente carregar a chama das nossas convicções sem incorrer no risco constante de queimar as nossas asas.
Mas não é melhor queimar do que ser consumido?
Escolher-se em vez de abandonar-se?
Não é melhor perder o que você tem do que perder o que você é?
São tão inspiradores e entusiasmantes aqueles que, de ontem até hoje, ousaram ser irreverentes, ousaram levantar-se em nome dos seus ideais em vez de se submeterem a quem os queria amordaçar.
Todos aqueles que quebraram tetos de vidro.
O que todos eles têm em comum é que tiveram a coragem de serem eles mesmos, apesar das adversidades.
E talvez a mais bela homenagem que lhes possamos prestar esteja na defesa das nossas sensibilidades, das nossas origens, das nossas preferências, dos nossos amores perturbadores.
Talvez a mais bela homenagem nada mais seja do que ouvir o que grita lá no fundo de nós.
Em direção às ideias que nos animam e às vezes até nos prejudicam, pois é impossível nos livrarmos delas.
Porque a mais bela homenagem não é tentar silenciá-los.
É provável que a obra mais bela que cada ser humano é capaz de criar seja aquela que deverá criar a partir de si mesmo.
É claro que haverá tentativas fracassadas e sucessos
É claro que às vezes o medo leva a melhor sobre o nosso ardor.
Mas provavelmente há mais beleza em perder sendo você mesmo do que em ganhar perdendo-se.
Portanto, não vamos comprometer a nossa identidade.
Sejamos intransigentes com aqueles que gostariam de suavizá-lo, normalizá-lo, em vez de nos encorajar a sublimá-lo.
Cultivemos nossa raridade para nos surpreendermos com ela.
Quanto àqueles que nos criticarão, que zombarão de nós, que nos desprezarão.
Desarmemo-los com a nossa força de vida, com o desejo de viver o mais próximo possível de nós mesmos e não longe de quem tem as mesmas aspirações.
Nesta era de incerteza, onde os nossos rostos estão tão mascarados como os nossos amanhãs, voltemos a ouvir as nossas verdades para que possamos partilhá-las melhor e até questioná-las.
Na falta de poder abraçar, beijar e todos se unirem, vamos nos empanturrar de autenticidade.
Comprometamo-nos, sem reservas nem medos, na imensa aventura de sermos nós mesmos.
Saphia Wesphael*
*Formada em filosofia.
Por sua vez colunista poética no LN24, canal de televisão belga, depois no Canal+ no programa Clique, dedica-se hoje sobretudo à criação artística, incluindo a escrita.
**Cantor Belga de nome: Paul Van Haver que canta em Francês, mas apesar de não ser francês,é responsável por um das maiores alavancagens da divulgação e disseminação da francofonia no mundo em tempos recentes.
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dominousworld · 8 months
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