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#la santé internationale
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La santé internationale
selon l’Organisation mondiale ou morbide de la Santé ? 1  Par Claude Janvier Restez informés, abonnez-vous à Semaine du MENSONGE au tarif préférentiel exceptionnel de : 1,50 € par mois pendant un an,Paiement sécurisé. Abonnement annuel 1,50 € par mois Cliquer ICI Nous aimons la liberté de publier : à vous de partager ! Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur et en aucun…
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meganval · 11 months
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Trachome au Bénin: « Pour notre pays, l’élimination d’une maladie à cette échelle est une grande réussite. » Pelagie Boko-Collins du Sightsavers
Sightsavers a annoncé dans un communiqué de presse publié le 17 mai 2023 sa grande satisfaction quant à l’élimination du trachome au Bénin. Il s’agit de 3, 4 millions de personnes qui ne sont plus à risque de perdre la vue à cause de cette maladie des yeux, dévastatrices. Pour Pelagie Boko-Collins qui dirige l’équipe de la lutte contre les maladies tropicales négligées (MTN) de Sightsavers, cette…
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frenchbulletin · 1 year
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L'OMS salue l'assouplissement de la stratégie anti-coronavirus de la Chine
L’OMS salue l’assouplissement de la stratégie anti-coronavirus de la Chine
L’Organisation mondiale de la santé a salué aujourd’hui l’assouplissement de la stratégie anti-Covid de la Chine, à la suite de manifestations de colère contre la politique du zéro cas de Pékin. “Nous sommes heureux d’apprendre que les autorités chinoises adaptent leur stratégie existante et essaient effectivement maintenant d’intensifier les mesures de contrôle de ce virus qui sont essentielles…
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sunsblogs · 7 months
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REDEMY ISTANBUL - DEVASA+
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La Turquie est devenue une destination populaire pour la chirurgie esthétique en raison de ses procédures de haute qualité et de ses prix abordables. Remedy Istanbul Esthetic Clinic est l'un des principaux prestataires de chirurgie esthétique en bbl turquie, proposant une gamme de procédures telles que la chirurgie mammaire, la liposuccion et le lifting brésilien des fesses bbl turquie prix. Ces procédures font partie des chirurgie esthétique turquie and chirurgie turquie, avec des prix BBL commençant à procédures populaires incluent l’augmentation mammaire, le lifting des seins avec implants et la rhinoplastie. Choisir la Turquie pour la chirurgie esthétique présente plusieurs avantages. L’un des principaux avantages est le coût, puisque les prix de la clinique esthetique turquie sont généralement 70 % moins chers que dans des pays comme la France. De plus, la Turquie possède une industrie du tourisme médical florissante, avec de nombreuses cliniques proposant des procédures de haute qualité et des installations de pointe. Remedy Istanbul Esthetic Clinic, par exemple, propose des forfaits médicaux gratuits, des transferts gratuits et des rendez-vous de suivi. De plus, la Turquie est connue pour ses chirurgiens plasticiens hautement qualifiés et expérimentés, dont beaucoup ont reçu une formation et une certification auprès d'organisations internationales réputées. Lors du choix d’une clinique de chirurgie esthétique en Turquie, plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Il est important de rechercher la réputation et l'expérience de la clinique implant mammaire turquie, ainsi que les qualifications et l'expérience des chirurgiens effectuant les procédures. De plus, il est essentiel de s’assurer que la clinique dispose d’une accréditation appropriée et adhère aux normes internationales de sécurité et d’hygiène. La clinique esthétique Remedy Istanbul, par exemple, est accréditée par le ministère turc de la Santé et adhère aux normes internationales de sécurité et d'hygiène. En examinant attentivement ces facteurs, les individus peuvent s'assurer qu'ils bénéficieront d'une chirurgie esthétique sûre et efficace en Turquie.
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mirrorontheworld · 3 months
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Un collectif d’organisations et d’associations dont les Amis de la Terre, Greenpeace, Extinction Rébellion affichent leur soutien aux manifestants et annoncent les rejoindre.
Nous nous adressons à tous les agriculteurs et agricultrices ayant manifesté leur colère ces derniers jours, mais aussi à toutes celles et ceux qui hésiteraient encore à les rejoindre. Nous, organisations écologistes, paysannes et militantes pour un autre modèle agricole depuis des décennies partageons cette colère, et refusons le discours dominant qui voudrait faire de nous vos ennemis.
Nous sommes en colère parce que nous savons que la destruction des conditions de vie des paysan.ne.s comme la destruction des écosystèmes profitent aux mêmes personnes, et que ce ne sont ni vous ni nous.
Depuis les tout débuts des mouvements écologistes, nous nous sommes toujours mobilisés avec détermination sur la question du modèle agricole et des conditions de travail et de vie des agriculteurs. Parce que nous savons l’importance considérable de l’agriculture sur l’environnement : ainsi la qualité de la terre, de l’air, de l’eau, de ce que nous mangeons, et bien sûr le climat, dépendent de ce que nous cultivons et élevons et de la manière dont nous le faisons.
Nous avons lutté contre les traités de libre-échange, pour la souveraineté alimentaire et pour que chaque pays – et chaque paysan.ne – puisse vivre de son agriculture et la faire vivre plutôt que de la soumettre à la concurrence internationale. Nous avons manifesté main dans la main avec les agriculteurs contre la grande braderie du monde paysan à la finance, contre le Tafta (avec les Etats-Unis), le Ceta (avec le Canada), le Mercosur (avec l’Amérique latine), maintenant les traités de libre-échange avec la Nouvelle-Zélande, le Chili et le Kenya soutenus par Emmanuel Macron.
Le principe d’une sécurité sociale de l’alimentation
Nous avons en tant que consommateurs et militant.e.s soutenu l’agriculture paysanne, créé et promu les Amaps, les circuits courts, l’agriculture bio, nous avons mis la main à la pâte jusqu’à mettre de l’épargne au service de nouvelles installations. Nous appelons depuis longtemps à ce qu’il y ait au moins un million de paysan.ne.s en France, et nous savons l’urgence qu’il y a à trouver des repreneurs, car dans moins de dix ans maintenant la moitié des agriculteurs du pays partira à la retraite. Et même si c’est loin d’être assez, ce sont déjà des milliers de militant.e.s écologistes qui ont entrepris des reconversions en agriculture pour s’y mettre concrètement.
C’est encore pour cela que nous sommes nombreuses et nombreux à défendre désormais le principe d’une sécurité sociale de l’alimentation, un système de solidarité entre consommateurs et producteurs qui permette à ces derniers de vivre décemment de leur travail et de reprendre la main sur notre alimentation.
Dans le domaine de l’agriculture comme dans d’autres, nous discernons bien aussi toute l’ambiguïté des normes. Certaines peuvent bel et bien protéger la santé des travailleurs, la fertilité des terres, les ressources en eau… Mais sous des prétextes vertueux, elles sont parfois aussi conçues pour impliquer des contraintes techniques, pratiques et une aseptisation du métier telles qu’elles vont dans le sens de la disparition des petites fermes au profit de ceux qui peuvent s’industrialiser et s’endetter plus encore. Il n’y a pas lieu de s’attaquer sans discrimination aux normes environnementales mais de les financer de manière à maintenir les revenus et d’en rendre l’application compatible avec la pratique paysanne.
Alors nous sommes nombreux à avoir soutenu et proposé sans succès une autre PAC, qui aide réellement aux reconversions et pour ne pas vous abandonner face à des normes environnementales imposées sans aucune contrepartie derrière pour les appliquer concrètement et de manière juste.
Même et surtout quand nous nous battons contre des projets agricoles, contre des mégabassines, ou des élevages industriels aux proportions absurdes : nous le faisons systématiquement avec des agriculteurs, et pour le monde paysan. Parce qu’il est injuste et hypocrite que quelques agriculteurs s’accaparent l’eau au détriment de ceux qui cherchent à produire autrement. Parce que les fermes-usines contre lesquelles nous nous battons détruisent de l’emploi paysan et mettent une pression déloyale sur les petits éleveurs qui sont contraints de s’aligner ou de mettre la clé sous la porte. Et tout ça au bénéfice de grands groupes qui les poussent à des élevages toujours plus grands pour leur racheter leurs produits à des prix dérisoires – c’est par exemple la stratégie du groupe Duc révélée par une enquête.
L’échec et le drame d’un modèle productiviste
Stopper ces projets, c’est défendre un modèle agricole qui protège le vivant mais surtout qui permet au reste du monde paysan de vivre dignement d’un travail de qualité.
Car, qui est à l’origine de la chute du nombre de paysan.ne.s à moins de 500 000 en France ? A l’origine des suicides d’agriculteurs chaque jour, des montagnes de dettes ? A l’origine des obligations de rendements toujours plus importantes, de la concentration toujours plus forte des terres dans les mains de quelques-uns, des prix toujours plus bas de ce que vous produisez ? Les prix agricoles ont baissé de 10 % en moyenne rien que l’année écoulée, tandis que l’inflation bondissait et les bénéfices des grands groupes agro-industriels et de la grande distribution également.
Cet échec et ce drame, ce sont ceux d’un modèle productiviste, poussé par la grande distribution et des gouvernements successifs depuis des décennies, contre lesquels nous alertons depuis tout ce temps.
Le modèle agricole que nous défendons se bat précisément contre les causes de ces drames. Mais aussi contre l’autoritarisme qui s’offre comme une solution, alors qu’en excluant plus qu’en rassemblant, jamais l’extrême droite n’a été du côté des travailleurs.
Depuis toujours, nous sommes les alliés des paysans. Et contrairement à ce que racontent la propagande du gouvernement ou les discours autoritaires qui attisent la haine entre nous pour mieux s’engraisser sur nos vies : nous continuerons à être vos alliés, parce que c’est une question de survie.
Alors c’est en tant qu’alliés que nous appelons à vous rejoindre dans vos actions les jours qui viennent pour porter ce message, et pour défendre le monde paysan.
Nous serons là avec différents points fixes pour discuter avec tous les agriculteurs qui le veulent, et ensemble rappeler que les véritables responsables de la crise que vit la profession ne sont ni les consommateurs ni les écolos – mais bien la lâcheté des gouvernements successifs, la grande distribution et l’agro-business qui s’engraissent pendant que tant d’entre vous se tuent à la tâche.
Nous refusons de laisser des industriels possédant des milliers d’hectares, le gouvernement ou encore les éditorialistes de CNews bien au chaud dans leurs bureaux parisiens nous traiter comme la cause de la crise que subit le monde paysan depuis si longtemps.
Nous préférons construire ensemble un modèle qui profite aux agriculteurs, aux consommateurs et à la vie, comme il aurait toujours dû l’être. Et nous serons ensemble dans la rue pour en discuter et manifester, car oui, il est bien possible d’être militant à la fois pour l’environnement et pour l’agriculture de demain.
Premiers signataires : Alix Brun pour les Youth for Climate, Jean-François Deleume, porte-parole Alerte des médecins sur les pesticides, Cyril Dion, réalisateur et écrivain, Simon Duteil et Murielle Guilbert, co-porte-paroles de l’Union syndicale Solidaires, Khaled Gaiji, président des Amis de la Terre, Antoine Gatet, président de France Nature Environnement, Hanzo pour Extinction Rebellion, Axel Lopez pour la coalition Résistance aux fermes-usines, Gilbert Mitterrand, président de la Fondation Danielle-Mitterrand, Lotta Nouki, porte-parole des Soulèvements de la Terre, Sandy Olivar Calvo, chargée de campagne Agriculture et Alimentation chez Greenpeace France, Alessandro Pignocchi, auteur de bandes dessinées, Priscille de Poncins, secrétaire de Chrétiens unis pour la Terre, Jérémie Suissa, délégué général de Notre affaire à tous, Emma Tosini, porte-parole de Alternatiba, Victor Vauquois, co-coordinateur de Terres de luttes…
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mauriziomarco7 · 6 months
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Arrêt de la Cour suprême des États-Unis :
Les vaccins Covid ne sont PAS des vaccins. Robert F. Kennedy Jr. a gagné son procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques.
Les vaccins Covid-19 ne sont PAS des vaccins. Dans sa décision, la Cour suprême confirme que les dommages causés par les thérapies géniques à ARNm du Covid sont IRRÉPARABLES. La Cour suprême étant la plus haute juridiction des États-Unis, il n’y a plus d’appel et toutes les voies d’appel ont été épuisées.
Dans un communiqué, Robert F. Kennedy a souligné que ce succès n'a été possible que grâce à la coopération internationale d'un grand nombre d'avocats et de scientifiques. Bien entendu, cette décision crée un précédent international.
En particulier en Suisse, cette décision devrait avoir un impact, car la Suisse occupe une position particulière dans sa Constitution fédérale. D'une part, le Code de Nuremberg apparaît à l'article 118b de la Constitution et en Suisse, l'utilisation inappropriée du génie génétique chez l'homme est interdite, selon l'article 119 de la Constitution fédérale. Ceci est complété par l'article 230bis de son Code pénal et cela signifie que les auteurs RISQUENT de passer jusqu'à 10 ans de prison.
Mais cette décision historique devrait également faire réfléchir le reste du monde, car le Code de Nuremberg a une validité internationale et est également contenu dans l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Dans le cas d'accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale Contergan afin d'accorder un poids particulier à l'importance de ces accusations.
L'avocat allemand Rainer Füllmich et plus de 100 autres avocats allemands sont activement impliqués dans ces affaires. AUCUN média n'en parle, ni en Suisse, ni en Europe.
Malheureusement, il est presque mathématique que, étant donné qu'il s'agit d'un sujet perturbateur capable de modifier les plans financiers et économiques des puissants lobbys du secteur PHARMACEUTIQUE, l'opinion publique n'en soit pas informée. Nous sommes au milieu d’une campagne promotionnelle visant à inciter les gens à se faire vacciner puis à se faire vacciner à nouveau, avant l’hiver prochain.
Il est très probable que si jamais la nouvelle de cette décision historique circule, ce sera trop tard pour permettre à la classe médicale corrompue, alignée sur les positions des lobbies pharmaceutiques, d’avancer le plus possible dans la campagne de vaccination.
INVITONS donc toutes les personnes honnêtes et de bonne volonté à diffuser au maximum cet ARRÊT historique de la Cour Suprême des USA. Pour notre bien, mais surtout pour le bien de nos enfants et petits-enfants... ne permettons pas à des lobbyistes de ruiner irrémédiablement notre santé et mettre nos vies en danger.
Vous pouvez voir l'actualité sur le lien suivant :
https://www.foxnews.com/us/new-york-supreme-court-reinstates-all-employees-fired-being-unvaccinated-orders-backpay
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nietp · 7 months
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17 septembre 2023 | Par Caroline Coq-Chodorge
Le psychiatre Mathieu Bellahsen dénonce, dans le livre « Abolir la contention », la banalisation de cette pratique en psychiatrie, présentée comme un soin, alors qu’elle consiste à attacher les patients. À ses yeux, elle relève d’une « culture de l’entrave », un penchant naturel de la psychiatrie, qui exige des contre-pouvoirs.
« Abolir la contention », c’est la proposition du psychiatre Mathieu Bellahsen, dans un livre qui vient de paraître. Elle est provocatrice tant cette pratique – qui consiste à immobiliser, en les attachant, les patientes et les patients jugé·es trop agité·es – est répandue : en psychiatrie, dans les Ehpad ou aux urgences. En 2021, 10 000 personnes auraient subi une contention en établissement psychiatrique, un chiffre très en-deça de la réalité puisque ces pratiques ne sont pas toujours déclarées. Régulièrement, la contrôleuse générale des lieux de privation épingle des établissements de santé pour des atteintes aux droits humains dans leur pratique de la contention.
Pour le Dr. Bellahsen, ces pratiques relèvent d’une culture de l’entrave, une autre forme de culture de la domination, propre à la psychiatrie. Il affirme que la contention n’est pas indispensable : il l’avait bannie dans le pôle qu’il a dirigé à l’hôpital de Moisselles (Val-d’Oise). Environ 15 % des établissements psychiatriques n’y auraient pas recours. Mais loin d’être encouragés pour leurs bonnes pratiques, ils sont souvent sanctionnés ou menacés.
Pour écrire votre livre, vous avez recueilli les témoignages de personnes qui ont vécu la contention. Ils décrivent tous une expérience violente, douloureuse, traumatisante, qui a parfois brisé toute confiance dans l’institution psychiatrique. Ces récits vous ont-ils surpris ?
Mathieu Bellahsen : J’ai souhaité apporter ma pierre à l’édifice, sur un point qui n’est jamais abordé : comment se passe-t-on de ces pratiques ? Ma femme [la psychiatre Loriane Bellahsen – ndlr] m’a soufflé l’idée des témoignages, car c’est ce à quoi nous œuvrons depuis longtemps : que les premiers concernés prennent la parole, pour sortir de l’ordinaire de la psychiatrie, écrite par ceux qui ont le pouvoir… Et cela a été permis par les associations HumaPsy, Comme des fous et le Cercle de réflexion et de proposition d’actions sur la psychiatrie (CRPA).
Cette culture de l’entrave est un penchant naturel de la psychiatrie, qui se développe quand les conditions politiques y sont favorables.
Je savais que la contention était une expérience traumatique. En premier lieu pour les patients et aussi pour certains soignants. Ce qui m’a frappé, c’est à quel point les récits de ces violences ressemblent aux récits des violences sexuelles, de viol, d’inceste. On est sur un lit, attaché, des gens nous font des choses et on ne peut pas se défendre. Pour des personnes qui ont vécu des violences sexuelles – et elles sont nombreuses en psychiatrie – l’expérience de la contention réactive leur traumatisme.
J’ai aussi recueilli le témoignage d’un ami d’une personne morte en contention. C’était important d’avoir le récit de proches, et d’évoquer les morts. D’après un rapport de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), il y aurait eu 42 morts en contention entre 2011 et 2019. Mais l’agence reconnaît elle-même que ce sont des décès volontairement signalés. Combien ne sont pas déclarés ? Les patients craignent des représailles, et leur parole est très souvent invalidée.
Dans votre travail de recherche, vous avez constaté qu’il y a très peu d’études sur ces pratiques, leur efficacité éventuelle ou leurs risques.
J’ai trouvé 300 articles dans la littérature internationale depuis les années 1970, et dans tous ces articles, il y a une constante : le manque de données. Par comparaison, il y a 110 000 articles sur les psychotropes. Cela indique que la contention mécanique est une pratique honteuse. Des études s’intéressent au vécu des soignants, très peu au vécu des patients.
En 2016, il y a eu un engagement politique à réduire les pratiques d’isolement et de contention. Elles n’ont en réalité cessé d’augmenter, comme le montre une étude récente.
En France, ces données sur l’isolement et la contention sont très récentes. Elles ne sont recueillies que depuis 2016 et réellement analysées que depuis quelques mois par des chercheurs. Et elles ne sont pas complètes : le récent rapport de la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) sur le centre hospitalier de Niort relève que les mesures d’isolement et de contention n’y sont pas enregistrées.
Vous parlez d’une culture de l’entrave, par analogie avec la culture du viol. De la même manière, elle se dévoile parfois, comme à l’hôpital Sainte-Anne à Paris en 2010.
Deux services de l’hôpital Sainte-Anne à Paris ont accepté qu’un documentaire – Sainte-Anne, hôpital psychiatrique de Ilan Klipper – soit tourné dans ses murs. Avant sa diffusion, en 2010 sur Arte, il a été présenté au personnel et à la direction. Aucun patient n’était présent. Il a été reçu positivement, ces premiers spectateurs ont trouvé que de l’humanité se dégageait du film.
Mais à sa diffusion, il a fait scandale : les spectateurs ont découvert de la maltraitance ordinaire, des brimades, des mesures de rétorsion. Le documentaire montre des personnes attachées, parfois presque nues, malmenées verbalement par des soignants. Ce documentaire a été retiré et interdit de diffusion. Les chefs de service, dont l’un était aussi président de la commission médicale d’établissement de l’hôpital Sainte-Anne, ont été sanctionnés par l’Ordre des médecins de peines d’interdiction d’exercice.
Cela illustre bien la culture de l’entrave, cette culture de la domination, qui conduit à attacher les patients « pour leur bien ». Les soignants et la direction de cet hôpital n’ont pas vu l’horreur de ce qui était montré.
Cette culture de l’entrave est un penchant naturel de la psychiatrie, qui se développe quand les conditions politiques y sont favorables. C’est la phrase de Lucien Bonnafé : « On juge du degré de civilisation d’une société à la façon dont elle traite ses fous. » Elle a régressé à des moments clés, politiques : après la Révolution française avec Philippe Pinel, le libérateur des aliénés ; après la Seconde Guerre mondiale et l’horreur concentrationnaire, avec le développement de pratiques désaliénistes et de la psychothérapie institutionnelle.
Aujourd’hui, on vit dans une société traversée par l’obsession sécuritaire, la peur des migrants, des fous. Les soignants sont aussi traversés par tout ça. L’emmurement du monde produit un emmurement des relations humaines.
De nombreux psychiatres présentent la contention comme un soin, une manière de contenir le patient. Pourquoi est-ce que cela vous révolte ?
La psychiatrie actuelle enrobe ses pratiques douteuses, voire sadiques, sous des concepts progressistes et positifs. En 2021, Olivier Véran, alors ministre de la santé, a parlé devant l’Assemblée nationale de « la dimension thérapeutique de l’isolement ». La contention mécanique est une mesure de contrôle. Peut-être que l’on ne peut pas faire autrement dans certaines situations, mais de là dire que c’est « un soin »…
Cette culture de l’entrave est soutenue de manière officielle.
Des psychiatres argumentent que la contention apporte de la « contenance psychique ». Qu’est-ce que c’est que la contenance ? C’est la manière dont l’enfant, parce qu’il est regardé, porté, bercé, prend conscience des limites de son corps. Le bébé, au départ, ne distingue pas son corps du monde environnant. Chez certains malades psychiatriques, leur corps vécu n’est pas limité à leur corps charnel. On le voit notamment chez des personnes qui se promènent avec des tas de sacs, d’objets, qu’ils perçoivent comme des parties de leur corps. Contention vient du latin contentio, « tension », tandis que la contenance provient de continere, « maintenir uni ». Cela n’a rien à voir. Amalgamer la contention à la contenance est une entreprise de banalisation de la violence.
En psychiatrie, il y a une autre manière de travailler sur la contenance : le « packing », qui a été fortement décrié. Vous racontez avoir utilisé cette technique.
Le packing permet de se passer de la contention. La différence essentielle est que le patient y consent. Par exemple, je raconte que lors d’une garde, j’ai été appelé dans un autre service pour contentionner un patient. Heureusement, j’y allais avec des collègues qui étaient aussi formés au packing. On l’a proposé au patient, qui l’a accepté : à quatre soignants, on l’a enveloppé, massé, bercé, il a pu se détendre. On a pu comprendre que ce patient était furieux parce que sa famille n’était pas venue le voir. Après ce soin corporel psychothérapique, il n’a pas eu besoin de contention mécanique.
Au niveau juridique, des avocats et des associations d’usagers bataillent pour un encadrement des pratiques d’isolement et de contention. Chaque isolement, et a fortiori toute contention, doit être encadré par un certificat médical, et peut être contesté devant le juge des libertés et de la détention. Mais là encore, ce combat est perverti : vous estimez qu’en encadrant ces pratiques, on les a légitimées.
Oui, parce qu’il n’y a pas eu de débat de fond sur ces pratiques, on en est restés à de la pure forme. En psychiatrie, on devrait dire ce qu’on fait, et rendre des comptes. Mais qu’a fait le gouvernement ? Dans le même temps où on demande à l’hôpital psychiatrique de fournir des certificats, on diminue ses moyens. Aujourd’hui, dans nombre d’hôpitaux, ce sont des intérimaires, qui ne connaissent pas les patients, qui font des certificats à la chaîne. Il fallait au contraire investir dans le service public de psychiatrie, pour moins isoler, attacher, médicamenter et hospitaliser sans consentement.
Aujourd’hui, ces certificats sont souvent vécus comme une contrainte administrative supplémentaire.
Environ 15 % des établissements ne pratiquent pas la contention. C’était le cas du service que vous avez dirigé à l’hôpital de Moisselles. Mediapart a enquêté sur la façon dont vous avez été démis de vos fonctions par la direction, dans le cadre d’un conflit sur la pratique de l’isolement au moment du confinement en mars 2020.
Mathieu Bellahsen, psychiatre. © Photo Sébastien Calvet / Mediapart
Dans notre secteur, la contention était bannie. Les portes restaient ouvertes, même pour les personnes hospitalisées sans consentement. On pratiquait l’isolement, mais de manière aussi courte et séquentielle que possible. Et on essayait d’en faire un moment qui crée du lien. On contactait tout de suite la famille, l’entourage. Et pour que le patient s’acclimate au service, on autorisait d’emblée la pause clope, voire la participation aux repas.
Nous tentions de développer une contre-culture du soin, les patients étaient au cœur de nos pratiques, on était au point de bascule où certains des dispositifs de soins se construisaient avec eux. Mais cela bousculait l’ordre établi.
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Collectivement, nous avons été naïfs : nous pensions qu’il y avait suffisamment de contre-pouvoirs dans l’établissement et en dehors pour qu’on soit soutenu. La Haute autorité de santé, le CGLPL, nous félicitaient régulièrement pour nos pratiques respectueuses des droits des patients. Cela flattait la direction, j’ai même été nommé « pilote droit des patients » avant le Covid.
Quand le premier confinement a commencé, la plupart des patients comprenaient la nécessité de l’isolement volontaire. Un de nos patients, dès février 2020, quand personne ne prenait ce virus au sérieux, nous a même dit : « Vous les soignants, n’approchez pas, vous allez me contaminer ! » Prescience du délire, il avait tout pigé avant tout le monde.
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Pourtant, dans plusieurs services de cet hôpital, les patients étaient systématiquement isolés dans leur chambre, porte fermée à clé notamment dans l’unité Covid.  J’ai saisi la CGLPL avec des collègues du collectif de soin, pour alerter sur cette confusion entre le confinement sanitaire et l’isolement psychiatrique. Elle nous a donné raison, et elle a publié une recommandation en urgence de portée nationale. J’ai pensé que l’hôpital ferait amende honorable comme l’avait fait le Centre psychothérapique de l’Ain, qui s’est remis en question de fond en comble (lire notre article). Il n’en a rien été. Et cela s’est retourné contre nous.
Une plainte devant le tribunal administratif est en cours pour dénonciation calomnieuse et harcèlement, retrait de chefferie abusive. Je suis aidé par le Défenseur des droits et la Maison des lanceurs d’alerte, car mon statut est compatible avec celui de lanceur d’alerte.
Vous n’êtes pas seul à subir des rétorsions.
Cette culture de l’entrave est soutenue de manière officielle, il y a de nombreux autres exemples. Le CGLPL a écrit en mars 2022 au ministre de la santé Olivier Véran, pour l’alerter sur la restructuration de l’hôpital de Chinon (Indre-et-Loire), qui menace les pratiques exemplaires de l’établissement, où il n’y a ni isolement ni contention. Olivier Véran a choisi de soutenir la restructuration, pour résorber la dette de l’établissement.
L��hôpital de Laragne (Hautes-Alpes) développe depuis des années une contre-culture. Il a refusé les crédits alloués pour créer des chambres d’isolement. Pour cette raison, l’Agence régionale de santé menace aujourd’hui de lui retirer son agrément pour des hospitalisations sans consentement. Par contre, les hôpitaux épinglés par le CGLPL pour leurs pratiques n’ont eux pas de problème… On étouffe ceux qui essaient de faire autrement.
En écrivant ce livre, j’ai compris qu’il y a un fourmillement d’initiatives de soignants et de patients, partout dans le monde. Localement, les gens essaient d’avoir d’autres imaginaires, allant de l’anti-psychiatrie à des pratiques de psychiatrie critique. La psychiatrie a besoin de contre-pouvoirs pour limiter ses penchants asilaires.
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Cet article a été modifié, le 18 septembre à 11h, pour intégrer quelques précisions. Le chiffre officiel de 10 000 contentions pratiquées en France en 2021 est largement sous-estimé, car seuls les établissements psychiatriques ayant une autorisation d'hospitalisation sous contrainte ont une obligation de déclaration. Or la contention est pratiquée bien plus largement.
Ensuite, l'encadrement juridique de l'isolement et de la contention fait suite à des procédures portées par des avocats défendant des personnes ayant subi ses pratiques, soutenus par des associations d'usagers, notamment le Cercle de réflexion et de proposition d’actions sur la psychiatrie (CRPA).
Enfin, ce n'est pas en 2011, mais en 2016, par la loi de modernisation de notre système de santé, qu'a été fixé un objectif de réduction des pratiques d'isolement et de contention.
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« Aucun téléphone portable vendu aujourd’hui ne protège la santé des utilisateurs. La faute a des législations européennes ou internationales uniquement pilotées par les intérêts économiques des industriels de la téléphonie mobile. C’est encore plus vrai avec la mise sur le marché des smartphones 5G ! »
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Succès fracassant pour le cabinet AURAVOCATS : Le Professeur PERRONNE remporte l’ensemble de ses procédures devant la Chambre Disciplinaire de première instance d’Ile de France de l’ordre des médecins (décisions rendues le 21 octobre 2022).
La Chambre Disciplinaire considère que le Pr PERRONNE, au regard de sa qualité d’infectiologue internationalement reconnu avait « l'obligation de s’exprimer dans le domaine qui relève de sa compétence », durant la crise du COVID.
Son avocat, Me Thomas BENAGES, résume les décisions rendues par la Chambre Disciplinaire :
Le 13 septembre dernier le Pr Christian Perronne était entendu par la Chambre Disciplinaire de Première Instance d’Ile de France de L’Ordre des Médecins suite à des plaintes déposée en 2020, par le Conseil National de L’ordre des Médecins (CNOM), et par le Dr Nathan Peiffer-Smadja.
Dans le cadre de ces procédures, la Chambre Disciplinaire de première instance a donné raison au Pr Perronne, dans des décisions rendues le 21 octobre 2022.
Concernant la procédure intentée par le CNOM, la Chambre Disciplinaire a retenu l’ensemble des moyens de la défense, qui insistaient sur la qualité d’expert du Pr Perronne et le fait qu’il était le mieux à même de s’exprimer et d’apporter la contradiction au gouvernement durant la crise sanitaire.
La Chambre Disciplinaire en a même conclu que, au regard de sa qualité de spécialiste, le Pr Perronne avait une obligation de s’exprimer :
« Le Dr Perronne, spécialiste internationalement reconnu comme un expert dans le domaine de l'infectiologie, était le mieux à même de comprendre les enjeux de santé publique. S'il s'est exprimé dans la presse sur l’action du gouvernement et sur l'industrie pharmaceutique, ainsi qu'il était légitime à le faire et en avait même l'obligation dans ce domaine qui relevait de sa compétence, il s'est borné à porter publiquement mais sans invectives une voix discordante sur un sujet d'intérêt général ».
De plus, selon la Chambre Disciplinaire il ne ressort d'aucune des pièces du dossier qu'à un quelconque moment il aurait eu un discours « antivax ».
Concernant les procédures impliquant le Dr Nathan Peiffer-Smadja, la Chambre a rejeté la plainte du Dr Nathan Peiffer-Smadja contre le Pr Perronne, tout en le sanctionnant en retour, au regard des propos « de nature gravement anti-confraternelle » que celui-ci a tenu contre le Pr Perronne.
Ainsi, par ces décisions fondamentales la Chambre Disciplinaire est venu réaffirmer la liberté d’expression dont bénéficient les médecins universitaires, lorsque ceux-ci s’expriment de manière impersonnelle, tout en soulignant le rôle prépondérant qu’a tenu le Pr Perronne durant la crise sanitaire en apportant la contradiction au gouvernement et en ayant « une voix discordante sur un sujet d'intérêt général ».
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Le vol de la Joconde
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C'est le 21 août 1911 que lors d'une de ses rondes, un gardien du Louvre constate la disparition du plus célèbre tableau du monde La Joconde de Léonard de Vinci. Contre toute attente, l'employé ne donne pas immédiatement l'alerte. En effet, la simple idée du vol du portrait de Mona Lisa semble si incongrue qu'il pense que l'oeuvre a simplement été déplacée par les conservateurs. Ce n'est que le lendemain que les responsables s'alarment, et que la police est tardivement prévenue. L'affaire est si grave que les autorités renforcent les contrôles aux frontières. Les soupçons portent d'abord sur le poète Guillaume Apollinaire, mis en cause quelques années plus tôt dans le vol de statuettes ibériques que son ami Géry Pieret avait revendu à Picasso. Apollinaire est emprisonné à la Santé du 7 au 11 septembre 1911, avant d'être blanchi. Deux ans durant, la presse internationale spécule sur l'affaire. l'incroyable histoire de cette disparition achève de porter au pinacle la célébrité de Mona Lisa. La revue L'Illustration promet cinquante mille francs pour qui rapporterait le tableau dans les locaux du journal. L'écrivain italien Gabriele D'Annunzio revendique le forfait au nom de son nationalisme italien. Il n'est pas pris au sérieux. Pourtant, le mobile était le bon, le voleur était un ouvrier italien nommé Vincenzo Perugia, qui travaillait au Louvre. Il conserva le tableau pendant deux ans, caché dans sa chambre, avant de le proposer, contre 500 000 lires, à Alfredo Geri, un antiquaire Florentin. Ce dernier examina le tableau le 11 décembre 1913 en compagnie d'un ami, Giovanni Poggi, directeur du musée des Offices. Et ils prévinrent la police. Le 13 décembre 1913, jamais en retard d'un scoop, le New York Times publiait la première déposition de Perugia : "Souvent, pendant que je travaillais au Louvre, je m'arrêtais devant la peinture de Vinci, et j'étais humilié de la voir ainsi en terre étrangère. La subtiliser fut très simple. Je n'avais qu'à choisir le moment opportun. Un matin, j'ai rejoint mes camarades décorateurs au Louvre, j'ai échangé quelques mots avec eux, puis je suis entré dans le salon où la peinture était accrochée. Il était désert. La peinture souriait devant moi. En un instant, je l'avais décrochée du mur. J'ai déposé le cadre dans l'escalier et glissé le panneau sous ma blouse. Tout s'est fait en quelques secondes. Personne ne m'a vu, personne ne m'a suspecté…" Tenant compte de ses intentions patriotiques, le tribunal condamna Perugia a un an et quinze jours de prison, peine qu'il n'accomplit pas dans sa totalité. Le 4 janvier 1914, La Joconde retrouvait le Louvre, sous une plus étroite surveillance
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lemondeabicyclette · 2 years
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Les masques faciaux contiennent du dioxyde de titane causant le cancer - Dans une étude de 12 masques faciaux, chaque masque contenait des particules de dioxyde de titane (TiO2) dans au moins une couche, à des niveaux qui « décomposaient le niveau d'exposition acceptable ».
L'Agence internationale de recherche sur le cancer classe le dioxyde de titane comme un cancérogène du groupe 2B, ce qui signifie qu'il est "éventuellement cancérogène pour l'homme" par inhalation.
Une méta-analyse a appelé à repenser la sécurité du nano-TiO2, citant de nombreux effets toxiques chez l'homme et les animaux aquatiques.
Comment les masques vous rendent malade
Les conséquences potentielles de la respiration de particules cancérogènes provenant de masques faciaux portés pendant la pandémie de Covid-19 ne seront pas connues avant des années, mais des signes inquiétants ont été soulevés dès le début selon lesquels le port de masques faciaux a des conséquences, sans aucun avantage significatif.
Dr. Zacharias Fögen a mené une étude pour savoir si l'utilisation obligatoire d'un masque a influencé le taux de létalité des cas de Covid-19 au Kansas du 1er août au 15 octobre 2020. Il a choisi l'État du Kansas parce que, bien que sous obligation de masque, les comtés ont été autorisés à s'y conformer ou pas.
Son analyse a révélé que les comtés avec masques obligatoires avaient des taux de mortalité nettement plus élevés que les comtés sans obligation. « Ces résultats suggèrent que le port du masque pourrait constituer une menace encore inconnue pour l'utilisateur au lieu de le protéger, ce qui fait du port obligatoire une intervention épidémiologique discutable », a-t-il conclu.
Cette menace, a-t-il expliqué, pourrait être quelque chose appelé "l'effet Foegen" - l'idée que la réinhalation profonde des gouttelettes et des virions capturés sur les masques faciaux pourrait rendre l'infection à Covid-19 plus probable ou plus grave.
Les masques ont un impact psychologique extrême
Les répercussions physiques ne sont qu'un aspect à considérer, car les conséquences psychologiques de l'obligation de porter un masque sont également graves. La revue Pediatrics a récemment souligné le fardeau ressenti par les parents, les cliniciens et les patients dans les services de cancérologie pédiatrique lorsqu'ils ont été contraints de porter des masques.
Cachés par des masques faciaux, les cliniciens se sont sentis impuissants à faire preuve d'empathie et de compassion lors des conversations les plus difficiles avec leurs patients et leurs familles, selon un clinicien qui a dû livrer des nouvelles de santé dévastatrices sur l'enfant d'un ami.
YouTube vous laisse désormais affirmer que les masques ne fonctionnent pas
Vous vous souvenez peut-être que plusieurs personnalités publiques ont été déplatformées par de multiples médias sociaux et d'autres médias en ligne pour s'exprimer contre le narratif des masques, y compris la notion erronée selon laquelle les masques étaient utiles pour réduire les cas de Covid-19. En effet, il n'y a pas si longtemps, même certains médecins s'exprimaient contre les masques.
Maintenant, il semble que YouTube ait changé d'air, car il a mis à jour ses politiques sur ce qui constitue une "désinformation". Déclarer que "les masques ne jouent pas de rôle dans la prévention de la contraction ou de la transmission du Covid-19", ou que "le port d'un masque est dangereux ou cause des effets négatifs sur la santé physique", était auparavant une violation de leur politique, mais ce verbiage a depuis été supprimé de ses exemples de désinformation.
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frenchbulletin · 1 year
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OMS : 90 % de la population mondiale possède une certaine forme d'immunité contre le coronavirus, mais la vigilance est de mise
OMS : 90 % de la population mondiale possède une certaine forme d’immunité contre le coronavirus, mais la vigilance est de mise
Au moins 90% de la population mondiale a une forme d’immunité contre le SRAS-COV-2, soit par infection, soit par vaccination, a déclaré aujourd’hui le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, mettant en garde contre le risque d’un manque de vigilance. Les lacunes dans les stratégies de lutte contre le Covid-19 cette année continuent de créer les…
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news24fr · 1 year
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Quatre grands groupes d'aide internationale ont suspendu leurs opérations en Afghanistan à la suite d'une décision du régime taliban d'interdire aux femmes de travailler dans des organisations non gouvernementales.Save the Children, le Comité international de secours, le Conseil norvégien pour les réfugiés et CARE ont déclaré dimanche qu'ils ne pourraient pas atteindre efficacement les personnes dans le besoin sans les femmes dans leurs effectifs. L'interdiction des ONG a été introduite un jour plus tôt, prétendument parce que les femmes ne portaient pas correctement le foulard islamique.Les quatre ONG ont fourni des services de santé, d'éducation, de protection de l'enfance et de nutrition et un soutien dans un contexte de conditions humanitaires en chute libre.Les talibans empêchent les femmes de travailler pour les organisations humanitairesLire la suiteNeil Turner, chef du Conseil norvégien des réfugiés pour l'Afghanistan, a déclaré à l'Associated Press que le groupe comptait 468 femmes dans le pays."Nous avons respecté toutes les normes culturelles et nous ne pouvons tout simplement pas travailler sans notre personnel féminin dévoué, qui est essentiel pour nous pour accéder aux femmes qui ont désespérément besoin d'aide", a déclaré Turner.La prise de contrôle des talibans en août 2021 a plongé l'économie afghane dans une chute libre et transformé le pays, plongeant des millions de personnes dans la pauvreté et la faim. L'aide étrangère s'est arrêtée presque du jour au lendemain. Les sanctions contre les dirigeants talibans, l'arrêt des virements bancaires et le gel des milliards dans les réserves de devises de l'Afghanistan ont déjà restreint l'accès aux institutions mondiales et à l'argent extérieur qui soutenait l'économie dépendante de l'aide du pays avant le retrait des forces américaines et de l'OTAN.Dans un communiqué, le Comité international de la Croix-Rouge a averti que l'exclusion des femmes des écoles et du travail des ONG en Afghanistan « peut avoir et entraînera des conséquences humanitaires catastrophiques à court et à long terme ». Les talibans ont également interdit aux étudiantes de fréquenter les universités du pays cette semaine.Le mois dernier, dans une interview avec l'AP, un haut responsable de la Croix-Rouge, Martin Schuepp, a déclaré que davantage d'Afghans lutteraient pour leur survie alors que les conditions de vie se détérioraient au cours de l'année à venir. La moitié de la population afghane, soit 24 millions de personnes, a besoin d'aide humanitaire, selon le groupe.De hauts responsables américains, dont le secrétaire d'État, Antony Blinken, et la chargée d'affaires en Afghanistan, Karen Decker, ont condamné cette décision.Decker, tweetant à Dari dimanche, a déclaré: "En tant que représentant du plus grand donateur d'aide humanitaire à l'Afghanistan, j'estime que j'ai le droit d'avoir une explication sur la manière dont les talibans ont l'intention d'empêcher les femmes et les enfants de mourir de faim, alors que les femmes ne sont pas n'est plus autorisée à distribuer de l'aide à d'autres femmes et enfants.Ses remarques ont déclenché une réponse du porte-parole en chef du gouvernement dirigé par les talibans, Zabihullah Mujahid, qui a déclaré que toutes les institutions souhaitant opérer dans le pays étaient obligées de se conformer à ses règles et règlements."Nous ne permettons à personne de dire n'importe quoi ou de proférer des menaces concernant les décisions de nos dirigeants au titre de l'aide humanitaire", a-t-il déclaré dans un tweet.Les talibans privent les femmes du droit d'apprendre. Le monde ne peut pas se permettre de rester silencieux | Gordon BrownLire la suiteLa ministre australienne des Affaires étrangères, Penny Wong, a condamné cette "décision épouvantable", affirmant sur Twitter qu'elle "impacte gravement la capacité du pays à faire face à une crise humanitaire majeure".L'Australie condamne la décision consternante des talibans d'interdire aux femmes d'accéder aux ONG en Afghanistan.
Cette décision impacte gravement la capacité du pays à faire face à une crise humanitaire majeure. Nous soutenons l'ONU qui mène des discussions avec les talibans pour annuler cette décision.— La sénatrice Penny Wong (@SenatorWong) 26 décembre 2022 L'International Rescue Committee, dont le personnel en Afghanistan compte plus de 3 000 femmes, s'est dit consterné par la décision des talibans. "Si nous ne sommes pas autorisés à employer des femmes, nous ne sommes pas en mesure de livrer à ceux qui en ont besoin", a déclaré le groupe dans un communiqué annonçant qu'il suspendait le travail dans le pays.L'ordre de l'ONG est venu dans une lettre samedi du ministre de l'Economie, Qari Din Mohammed Hanif. La lettre indiquait que toute organisation qui ne se conformerait pas à l'ordonnance verrait sa licence révoquée.La vague de décisions du gouvernement taliban entièrement masculin et religieux rappelle son règne à la fin des années 1990, lorsqu'il interdisait aux femmes l'accès à l'éducation et aux espaces publics et interdisait la musique, la télévision et de nombreux sports.L'interdiction faite aux étudiantes de fréquenter les universités a déclenché des manifestations dans plusieurs villes afghanes et des réactions violentes à l'étranger.00:57Des femmes afghanes protestant contre l'interdiction de l'université talibane rapportent avoir été arrêtées et battues - vidéoVers minuit samedi dans la ville occidentale de Herat, où les manifestants avaient été dispersés avec des canons à eau, les gens ont ouvert leurs fenêtres et scandé « Allahu Akbar » (Dieu est grand) en solidarité avec les étudiantes.Dans la ville méridionale de Kandahar, samedi également, des centaines d'étudiants masculins ont boycotté leurs examens du dernier semestre à l'Université Mirwais Neeka. L'un d'eux a déclaré à l'Associated Press que les forces talibanes avaient tenté de briser la foule alors qu'ils quittaient la salle d'examen."Ils ont essayé de nous disperser alors nous avons scandé des slogans, puis d'autres se sont joints aux slogans", a déclaré Akhbari, qui n'a donné que son nom de famille. « Nous avons refusé de bouger et les talibans ont cru que nous protestions. Les talibans ont commencé à tirer leurs fusils en l'air. J'ai vu deux gars être battus, l'un d'eux à la tête.Un porte-parole du gouverneur de la province de Kandahar, Ataullah Zaid, a nié qu'il y ait eu une manifestation. Il y avait des gens qui prétendaient être des étudiants et des enseignants, a-t-il dit, mais ils ont été arrêtés par des étudiants et des forces de sécurité.
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slutforkatya · 2 years
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mission dap annulée, vous me voyez plus comme une erig ou une poso lesbian ?? (oui je sais, c'est un choix personnel bla bla bla mais je pense que en vrai vous avez des bons avis)
sachant que si je fais erig, je bosse direct après mon Master avec l'objectif final de travailler dans une ambassade dans des missions sociales et si je fais poso c'est pour faire de la recherche après (j'aimerais bien travailler sur la santé, le milieu carcéral et/ou les études de genre)
est ce que je suis plus faite pour la recherche ou le terrain ? les relations internationales ou la socio ?
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elhoimleafar · 2 years
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Fabriquer ses sachets magiques: 100 formules pour le succès, l'amour, la prospérité et le bien-être.
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Créez votre propre magie ! Les sachets magiques, également appelés sacs de charmes, gris-gris ou encore sachets à mojo, sont peut-être les amulettes ou talismans les plus populaires au monde. Partout sur le globe, nombreuses sont les cultures et traditions spirituelles à intégrer leur confection et ce, à des fins très diverses.
S'il n'existait pas jusqu'à présent de guide pratique pour leur création, cet ouvrage remédie à ce vide littéraire avec brio. Des cercles magiques aux correspondances planétaires, en passant par l'utilisation des associations de couleurs, des herbes, des pierres, des bougies et des phases lunaires, l'auteur propose ici des méthodes simples pour créer et consacrer des sacs de charmes pour l'amour, la chance, le succès, le bonheur, la santé, la richesse, la protection, la prospérité ou encore la réalisation d'objectifs.
Avec plus de 100 formules, Fabriquer ses sachets magiques, mélange éclectique de Wicca, de Hoodoo, de vaudou ou encore de magie gitane ou folklorique latino-américaine, est un excellent guide pour débutant. Il offrira également au praticien chevronné de nouvelles perspectives sur l'art de fabriquer l'une des formes de sorts les plus appréciées de la magie populaire. Si vous cherchez des moyens d'améliorer et d'étendre votre magie, ce livre est fait pour vous !
À propos de l'auteur : Elhoim Leafar, astrologue et radiesthésiste, se consacre depuis de nombreuses années à l'étude et à l'enseignement de sujets ésotériques par le biais de plateformes numériques et des réseaux sociaux. Il est auteur, blogueur et chroniqueur régulier pour diverses publications internationales où il écrit sur le néo-paganisme, la sorcellerie, l'astrologie et la spiritualité.
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#sorcellerie #magie #vaudou #NouvelÂge
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valleedequezacs · 2 days
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Excellence en Élevage de Berger Australien: L'Approche de la Vallée de Quezacs
Nichée dans le pittoresque paysage de l'Aveyron, la Vallée de Quezacs se distingue par son approche professionnelle et passionnée de l’élevage de Berger Australiens in Aveyron. Reconnue pour son intégrité et son engagement envers l'excellence, notre élevage est la quintessence d’un dévouement sans compromis à la qualité et à la santé de nos chiens, faisant de nous une référence dans le monde du Berger Australien.
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1. Priorité à la Santé et au Bien-être
Chez Vallée de Quezacs, la santé de nos Bergers Australiens est primordiale. Nous utilisons des pratiques d'élevage responsables et des protocoles vétérinaires avancés pour assurer la santé optimale de chaque chiot. Nos efforts incluent des vaccinations complètes, des bilans de santé réguliers et des tests génétiques pour détecter les maladies héréditaires, garantissant ainsi des chiots robustes et énergiques.
2. Une Éducation Basée sur le Respect et l’Amour
Nous croyons fermement que l'éducation commence dès les premiers jours de la vie d'un chiot. Nos méthodes d’éducation respectueuses encouragent le développement de chiots bien équilibrés et socialement adaptés. Chaque Elevage Berger Australien est élevé dans un environnement stimulant, riche en interactions et en apprentissages, favorisant leur croissance en tant que compagnons fidèles et affectueux.
3. Techniques d’Élevage Innovantes
L'innovation est au cœur de nos pratiques d'élevage. Nous adoptons les dernières avancées en matière de soins canins et de génétique pour améliorer constamment la lignée de nos Bergers Australiens. Cela comprend l’utilisation de techniques modernes de reproduction et de sélection qui respectent et valorisent la pureté et les caractéristiques de la race.
4. Un Cadre Familial pour un Développement Harmonieux
Nos chiots grandissent dans un cadre familial, avec beaucoup d'espace pour explorer et jouer. Cet environnement aimant et sécurisé leur permet de développer naturellement leur personnalité et leurs compétences sociales, essentielles pour une intégration réussie dans leur nouveau foyer.
5. Support et Conseils Continus
L'adoption d’un Berger Australien chez Vallée de Quezacs marque le début d'une relation de long terme. Nous offrons un support continu à nos clients pour les aider à élever leur nouveau compagnon. Ce support inclut des conseils d'éducation, des recommandations nutritionnelles, et un suivi pour la santé tout au long de la vie du chien.
6. Un Engagement pour la Communauté et l'Environnement
Engagés non seulement envers nos chiens, nous le sommes aussi envers notre communauté et notre environnement. Nous participons activement à des événements locaux et soutenons des causes environnementales, reflétant notre philosophie globale de respect et de durabilité.
7. Accréditations et Reconnaissances
Notre élevage est non seulement reconnu localement mais aussi internationalement pour sa qualité et son respect des standards éthiques. Les accréditations que nous avons reçues témoignent de notre engagement et de notre professionnalisme dans l’élevage de Berger Australien.
En résumé, la Vallée de Quezacs est plus qu'un élevage; c'est un lieu où l'excellence en matière de soins, d'éducation et de bien-être animal est la norme. Nous invitons tous ceux qui sont intéressés par un Berger Australien à visiter notre site web Vallée de Quezacs pour découvrir comment nous pouvons vous aider à trouver le compagnon idéal.
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