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parisaimelart · 2 years
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Les trésors issus des cabinets de curiosité sont à la mode. La collection Al Thani a ouvert le bal parisien. Jusqu’au 15 janvier 2023, venez admirer au musée du Luxembourg les chefs-d’œuvre du cabinet d’art de Dresde. Intitulée « miroir du monde », l’exposition nous rappelle que ces cabinets reflètent le pouvoir de leurs collectionneurs ainsi que les connaissances et les représentations du monde à une époque donnée. Les objets rares et précieux fascinent. Ce sont des œuvres d’art créées à partir de de l’ivoire ou des coquilles d’animaux exotiques comme le nautile. Ils sont synonymes d’ouverture à d’autres cultures. Ce sont des instruments de mesure, des livres scientifiques. Ils attestent d’idées progressistes notamment sur notre terre et sa place dans l’univers. Face à de telles merveilles, on ne peut que regretter les cartels disséminés tout au long de l’exposition diffusant, lourdement, des pensées actuelles politiquement correctes. Il est ainsi rappelé la provenance des matériaux comme l’ivoire et son interdiction actuelle d’exploitation. Les représentations stéréotypées de non européens sont stigmatisées. Autres temps, autres moeurs. Le visiteur est à même de contextualiser ce qu’il contemple. Choisissez votre prochaine exposition en vous abonnant à mon compte Instagram paris_aimelart @museeduluxembourg @parismusees @paris @timeoutparis @quefaireaparis @paris_art_com @artaparis @paris_culture @artaparis @expositionparis.info #museeduluxembourg #muséeduluxembourg #cabinetdecuriosités #parismusees #parismusées #parisaimelart#paris_aimelart #parisexpos #parisexposition #exposparis #parismusees #parisculturel #artparis #parisart (à Musée du Luxembourg) https://www.instagram.com/p/Cjn6Os5I9nI/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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already-14 · 2 years
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Dora Maar, Le Simulateur, 1936, Don de Marguerite Arp-Hagenbach en 1973, Collection Centre Pompidou, ParisMusée national d’art moderne, Centre de création industrielle (© Adagp, Paris 2019 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI / P. Migeat / Dist. RMN-GP)
francetvinfo.fr
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"Ici mieux qu'en face" Laurence Aëgerter
“Ici mieux qu’en face” Laurence Aëgerter
PART 1 : Florence Briat Soulie : visite de l’exposition “Ici mieux qu’en face” PART II : Marie Simon Malet : Laurence Aëgerter et la photographie Laurence Aëgerter, Longo Maï, 2013. Série de tapisseries : Bains de Midi et Bains de Minuit. Tapisserie Jacquard en fils mixtes dont laine de mohair, fils lurex et phosphorescents. Commandées par le Musée Borély des Arts décoratifs, de la Faïence et…
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iandroideu · 4 years
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The Paris Musées unfold over 100,000 artistic endeavors for the loose #Arte #MuseiDiParigi #parigi #ParisMusées https://t.co/us8rItrmGO http://twitter.com/iandroideu1/status/1218225426364948480
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— iAndroid.eu (@iandroideu1) January 17, 2020
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agsb-bilbao · 4 years
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Descarga gratuita de un catálogo de 100.000 imágenes de obras de arte de museos de París https://t.co/TIhgi1QgGB vía @culturainquieta #ParisMusées #descarga #imagen #arte #museo #Paris #ObraDeArte #creatividad pic.twitter.com/bdky8Wuok0
— Virginia Garcia (@virginiagarnie) January 21, 2020
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parisaimelart · 2 years
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Jusqu’au 12 février 2023, Le Musée d’Art Moderne de Paris présente les oeuvres d’un fauve, sauvage, autrichien : Oskar Kokoschka. Quelle splendide découverte ! Cet artiste engagé et sulfureux, contemporain de Klimt ou de Schiele, est un expressionniste sans concession. Il n’a d’autre ambition que de traduire dans ses oeuvres ses états d’âme et ceux de son époque. Les profonds bouleversements de la première moitié du 20e siècle vont lui fournir une matière, malheureusement, immense. Ses portraits crus, frisant, parfois, la caricature, reflètent plus ce qu’il perçoit de son modèle que la réalité visuelle. Agacés par tant de liberté, certains de ses commanditaires refusent leur portrait. Kokoschka alerte sur les périls encourus par la société de l’époque. Il devient la cible des nazis dès 1937. Ses oeuvres sont saisies par le parti fasciste et exposées à Munich, Berlin et Vienne dans le cadre de l’exposition sur « l’art dégénéré ». Sa palette est variée. Pendant ses années passées à Dresde, il est un coloriste puissant. Ses couleurs intenses et lumineuses sont sublimes. Ne manquez pas la rétrospective Kokoschka. L’artiste croyait profondément dans la puissance subversive de la peinture, vecteur d’émancipation et d’éducation. Son message est d’une terrible modernité. Vous appréciez mes idées de sorties culturelles ? Choisissez votre prochaine exposition en vous abonnant à mon compte Instagram paris_aimelart @museedartmodernedeparis @parismusees @parissecret @paris_maville @paris @vivreparis @timeoutparis @quefaireaparis @paris.explore @paris_art_com @artaparis @parisjetaime @paris_culture @artaparis @expositionparis.info #museedartmodernedeparis #parismusees #parismusées #oskarkokoschka #fauves #parisaimelart#paris_aimelart #parisexpos #parisexposition #exposparis #paris #exposition #parismusees #parisculturel #quefaireaparis #artparis #parisart#parisjetaime #parislife #parissecret #parisianlife (à Musée d'Art Moderne de Paris) https://www.instagram.com/p/Cjiotn4IPp3/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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parisaimelart · 2 years
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Mais qui est Lucienne Forest, la commissaire autodidacte qui a conçu l’exposition « Regards » à la maison de Victor Hugo, place des Vosges, jusqu’au 5 juin ? Cette question s’impose au fur et à mesure du parcours tant il apparaît peu académique et, parfois, décousu. Il interpelle. Il intrigue. Lucienne est, en fait, un personnage fictif qui cache une quinzaine de patients et de soignants de l’hôpital Paris Psychiatrie Neurosciences et du groupe d’entraide mutuelle Le Passage. Le pseudonyme est signifiant. Lucienne désigne la lumière tandis que Forest renvoie à l’espace de l’exposition composé des oeuvres-arbres originales. Le puzzle se met en place. En psychiatrie, le regard sur soi, sur les autres, celui que l’on porte ou celui que l’on évite est une notion centrale. Le collectif s’est penché tout azimut sur les diverses représentations artistiques de ce thème. La matière est immense. Les oeuvres sélectionnées ont chacune le regard comme plus petit commun multiple auquel s’ajoute, en une formidable mise en abîme, celui de l’artiste sur la réalité qu’il contemple. Le parcours, parsemé de happenings créatifs, exprime le plaisir du collectif à concevoir l’exposition. Une baigneuse nue de Dalou se contemple à travers un trou dans la paroi. Voyeur, nous le sommes aussi en découvrant, à la dérobée, dans l’encadrement d’une porte, un tableau représentant Georges Sand . Des miroirs accrochés aux murs démultiplient le regard. Au sortir de la maison de l’auteur des Misérables, on perçoit la différence entre voir et regarder. Même si Paul Eluard écrit que « Voir, c’est comprendre », Regarder, c’est faire le chemin vers soi, vers l’autre. Vous appréciez mes idées de sorties culturelles ? Choisissez votre prochaine exposition en vous abonnant à mon compte Instagram paris_aimelart @maisonsdevictorhugo #maisondevictorhugo #parisaimelart #paris_aimelart#parisexpos #parisexposition #parismusees #parismusées #exposparis #paris @parismusees #parisculturel #exposparis #quefaireaparis #regards #victorhugo #placedesvosgesparis #psychiatrie #neurosciences #lucienneforest #vincentgille (à Maisons de Victor Hugo, Paris) https://www.instagram.com/p/CasMWL2ryb_/?utm_medium=tumblr
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