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#romane prunieres
mysticlustre · 1 month
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silver spoons by romane prunieres
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manieresdedire · 3 years
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Énièmes jours de mon second confinement
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Année 2020, semaine 48 ou l’une de ses jumelles
Je ne t’ai pas tout dit des petits événements qui meublent mon semi-confinement.
Il ne se passe rien d’essentiel, le temps s’écoule sans à coups ni déplaisir. Ni désirs brûlants.
Ces derniers deux ou trois jours, j’ai entrepris de replanter des arbustes de haie aux emplacements des sujets morts ou qui végétaient depuis trop longtemps ; j’ ai replacé ces derniers en massif avec force engrais et terreau.
Le pépiniériste m’a donné un cours de taille d’arbres fruitiers. Je lui avais demandé s’il avait une idée de ce pour quoi mes pruniers ne donnent rien depuis leur installation à part de nombreuses branches et un feuillage abondant. Quant au cerisier qui souffre des mêmes symptômes, plus quelques autres comme la gommose ou le brunissement, son porte-greffe est grandement suspecté d’être à l’origine de sa croissance calamiteuse. Seul un "sainte-Lucie" siérait à l’installation d’un greffon en terres calcaires. Au fait, ce matin, j’ai noté que le Mirabellier ou le Reine-claude, je les confonds, laissait échapper une grosse "bulle" de gomme.
J’avais cru suivre les conseils publiés sur une vidéo didactique. Je n’ai sans doute rien compris, ou bien le petit film qui m’avait inspiré était incomplet... un peu de ces deux explications vraisemblablement. Pour exécuter une bonne taille, il faut avoir compris le fonctionnement de l’arbre, de ses organes et leur rôle. - charpente de développement, œil à bois, dard, bouton à fleur, brindille et coursonne porte-fruits,,... - J’ai noté que j’avais fait n’importe quoi. Les tailles étaient esthétiquement harmonieuses, mais ineptes du point de vue du cycle "floraison - fructification".
En revanche, année exceptionnelle pour mes deux oliviers dont les branches ploient sous le poids de leurs fruits - un effet des apports d’engrais des deux dernières années ? -, tellement, que je me suis décidé à en récolter d’abondance et à préparer leur conservation avec saumure et herbes aromatiques. Une première tentative faite il y a quatre ans avait avortée. À la différence des deux saisons précédentes, les oiseaux ont peu touché aux olives. JP m’en a donné une étrange explication : les volatiles seraient occupés à chercher leur pitance dans les récents labours qui auraient lieu à des dates différentes des autres années... Je m’attends à des attaques-éclair et de masse sur les très nombreux fruits que je leur abandonne. Aurais-je dû m’inspirer de la récente cueillette des mandarines en Corse ?
J’aime bien avoir les mains dans la terre, améliorer la physionomie d'une haie, d'un massif. Transformer, embellir mon petit paysage de proximité me récompense un peu des déboires de l’écriture. C’est étrange : je fais lire mes textes qui recueillent peu d’emballements mais je ne demande à personne un avis sur l’allure de mon jardin et j’ai le même plaisir à écrire et à jardiner. Parce que j’écris pour être lu - à mes risques et périls [d’amour propre et de réputation] - et je cultive la terre pour moi seul. Sincèrement, quand je regarde mon jardin et le compare à d’autres, je le trouve fade, sans surprise, sans émotion, sans âme ni rythme... je n’irai pas chercher confirmation mais je crains que mon jardin ait quelque chose à voir avec ce que j’écris...
De passage dans une jardinerie, à la recherche d’agrafes de re-fixation (le pépiniériste n’en avait plus) des toiles de paillage dont j’ai élargi les ouvertures pour refaire des trous de plantation dignes de mes nouveaux arbustes, je n’ai pas pu m’empêcher d’acheter deux pots de trois jacinthes chacun. J’aime humer leur parfum délicieux et renouveler ainsi un menu plaisir d’automne.
J’ai compris, après ton départ, qu’avoir stocké un peu d’alimentation dans le garage était une mauvaise idée. Un soir, quelques bruits m’ont convaincu que de petits animaux s’y étaient invités. Couleuvre ou souris ? J’ai toujours la phobie des serpents, j’en ai croisé plusieurs cet été, près de la maison ou un peu plus loin, alors j’en imagine partout, mais je sais que ce n’est pas raisonnable. Quelques jours plus tôt, dans le tiroir d’un meuble, j’avais repéré de vieux pièges à petits rongeurs : des tapettes en bois avec mécanisme en cuivre -. Je les ai armées, placées sur le passage probable d’intrus. La mie de pain n’a rien donné (un conseil inapproprié). L’appétence pour le fromage a été fatal à une souris tandis que d'autres ont dû se régaler de généreux morceaux de Beaufort après s'être jouées de mes pièges. J’en ai racheté deux nouveaux sur lesquels j’ai déposé en guise d’appâts, de petits tas de farine de boulanger. Une stratégie efficace : deux morts supplémentaires. Comme c’est triste de voir ces souris inertes qui auraient pu passer pour de jolis petits animaux en peluche !
Gilles C., du journal "LTL", a répondu à mon mail de transmission de mon dernier "Billet de bonne humeur". Il aime bien que je sois fidèle depuis plus de cinq ans à ce rendez-vous mensuel. Gilles semble avoir mis au point un code de notation de mes chroniques : "Pas d’accusé de réception", "Accusé de réception accompagné d’un mot gentil" et "Commentaire favorable"... Une délicatesse qui l’honore. Ce mois-ci j’ai encore évoqué le confinement - c’est la deuxième ou troisième fois depuis mars -, il est vrai, cet artifice, cette parenthèse, me pèse et me lèse. Une allégorie. Celle d’un mur imaginaire de confinement qui nous rendrait la vie difficile et servile en s’installant dans nos têtes, mais par dessus lequel on peut voir et aimer le monde à la condition de disposer du privilège "géostratégique" (et... psychologique ?) de hauteur de vue.
J'essaie de tirer le meilleur parti de ma nouvelle TV, je découvre des films, des conférences... le monde de la connectivité inter-appareils..., c'est amusant, j’ai pu zapper de combats MMA (Mixed Martial Arts) en concerts, de vieux films en courts métrages gores,... mais pas longtemps. Je suis mal assis sur le canapé, j’ai mal au dos, alors pour regarder la télévision, c’est tout un cirque, il me faut déplacer le canapé, glisser mon "Voltaire" à bonne distance de l’écran. Vieillir... quelle épreuve !
Ouvrir un livre, en lire quelque pages, passer à autre chose. En ces moments, je lis un roman, le soir, "Le maître et Marguerite", un cadeau de Rodolphe - je viens juste de le commencer - et un essai sur le ressentiment, "Ci-gît l’amer", un mélange d’analyse philosophique et psychanalytique, à lire absolument. Je trouve de nombreuses réponses à mes interrogations sur les motivations ou les comportements des gens qui inventent des sornettes, ne font pas confiance, refusent de reconnaître les talents des autres, leur intelligence, leur leadership, leur cœur. En revoyant à la lumière du concept de ressentiment, les mouvements sociaux et politiques récents, je suis tenté de m’en expliquer certains ressorts.
Je lave mon linge, le fait sécher, le plie et le range. En m’occupant à de petites tâches utiles, j’ai l’impression que ma vie ne file pas à vau l’eau, que j’ai un peu de maîtrise sur elle... C’est comme préparer les repas, balayer, faire le lit, prendre une douche et manger du chocolat en buvant un café. Des tâches occupationnelles, de petits plaisirs, de minuscules projets..., de la solitude... Le tout n’est quand même pas terrible... Je sais bien que je vis très différemment de nombreuses personnes de ma génération, leur perpétuel mouvement devrait m’inspirer des idées de sortie, des "initiatives fortes" - mes années étant dorénavant chichement "comptées", je devrais mettre les bouchées doubles -... mais pour faire quoi de très différent de ce qui ne me va pas si mal ?
C’est bête, j’avais envisagé de moins écrire, mais ça me reprend toujours. Avec parfois au bout, comme la satisfaction à l’issue d’une séance "d’auto-analyse"... et plus souvent, de petits plaisirs éprouvés dans l’alignement des mots, la production d’une phrase à l’agréable sonorité, la mise en place d’un bon rythme, la création, par jeu, d’allitérations bégayantes et rigolotes et même, suprême audace, la construction de jeux de mots !...
à suivre...
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darkpalmor · 6 years
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24 OCTOBRE 2018
Programme descriptif.
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Échauffement gustatif (5 minutes) : Mon dessert préféré, en cinq lignes ? Quoi ? Pourquoi ? Comment ?
Mon dessert préféré, c’est la tartine de confiture. Peu importe sa couleur, sa consistance, son fruit d’origine. J’aime ça parce que j’aime le pain. Mais aussi parce que j’aime remplir les trous du pain, assez haut et épais pour qu’il en reste si jamais ça coulait. Et je suis capable d’en manger après le dessert normal, je veux dire celui des autres.
Sensations et souvenirs (10-15 minutes) : Les jardins. On exprimera, définira, imagera, ce que représente pour soi le jardin, ou les jardins, de toutes sortes, jardins d’enfance, jardins actuels, jardins imaginaires, jardins visités, etc. On pourra s’exprimer sous forme de récit, ou de recensement de sensations voisines, semblables ou différentes.
Les jardins, mes jardins, ce sont des quadrillages d’allées nues, glissantes après la pluie, aux bordures plus ou moins régulières et parfois légèrement envahies par une touffe d’oseille ou par les avancées tentaculaires de la courgette ou du melon. Les jardins, ce sont le petit et le grand. Le petit, réservé à la grand-mère, plein sur, à ras d’un haut mur qui réverbère la chaleur et la lumière, jardin caillouteux, avec des fraises et des radis, un abricotier, tout en longueur et en étroitesse : une seule allée, et des planches de deux mètres tout au plus. Une petite barrière du côté du petit chemin, en surplomb sur le talus, et des outils de sarclage appuyés contre un portillon en bois gris. Le grand jardin, c’est celui du grand-père, à l’ouest, de l’autre côté des bâtiments. Il nourrit toute la famille. Vaguement rectangulaire, en pente au-dessus d’un petit fossé, avec une demi-douzaine d’arbres, et des allées qui ne se croisent pas au centre ni selon un ordre régulier, aux deux tiers de la largeur. Ce grand jardin est protégé de tous côtés : un grillage où s’appuient les framboisiers et les groseilliers, un buisson près de la route. Et on entend le grand-père gronder si l’on oublie de refermer le portillon : les poules n’ont pas le droit d’y entrer. Dans ce grand jardin, on trouve le buis pour les Rameaux et quelques fleurs, en bordure de l’allée centrale, mais on ne les cueille pas. Il y a au pied d’un grand prunier un massif bas de grandes feuilles épaisses et dures, verdâtres, serrées, aux fleurs rosâtres, dont j’ai toujours ignoré le nom. Mais je me souviens qu’on y découvre souvent de petits escargots rayés et multicolores comme des berlingots. C’est peut-être la raison de ce massif ? Empêcher les limaçons d’aller plus loin ? Dans ce grand jardin, les enfants ont le droit de manger les fraises blanches au bord d’une tout petite planche, fraises rares et terreuses, enfouies dans un fouillis de tiges et de feuilles qui retombent sur la terre. Le reste du jardin n’a pas d’intérêt, sauf l’oseille qu’on croque pour s’irriter la langue à son acidité. On ne récolte ni les salades, ni les haricots, ni les carottes. On ne sait pas faire, on est trop petit pour cette fonction. C’est l’affaire des grands. Alors on y va pour voir bêcher le grand-père, ou pour rapporter les légumes dans le panier en fil de fer. C’est lourd, mais on est fort. Le jardin, les jardins, c’est du jeu, du plaisir, du sérieux. Le jardin, c’est fini.
Écriture brève (10 minutes) : Nouvelle star. Chacun fera le portrait rapide d’un personnage inventé, à partir d’un seul nom et prénom imposé. On adoptera un point de vue « people », comme pour faire le portrait d’une star. Star imposée : Antonio ALDAS-TAYLOR.
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1°) Qui ne connaît pas « Tonio », LE Tonio de Sarcelles, l’animateur des nuits branchées où s’agite le Tout-Roissy ? Répertorié sous un matricule moins sexy, c’est le n° X2378-A6458 du fichier central de la PP. Mais cet insaisissable Antonio Aldas-Taylor, né écossais mâtiné de catalan, c’est surtout le beau bronzé sous les néons de sa célèbre boîte, le « Double AT », le DJ aux doigts magiques, l’affolé des platines, l’affolant des platinées. Dans son sillage, ça sent le musc et les phéromones, dans son sillage, les talons claquent, le champagne mousse et les rails de coke plongent au plus profond des sinus de sa clientèle branchée. Car Tonio est un affranchi, un dur, un chef blanc comme sa neige, souvent jugé, jamais puni, et il roule ses mécaniques dans sa Jaguar, escorté comme un prince saoudien, mais avec moins de voiles palpitants. Il porte le blue-jean taille basse comme personne, le ceinturon plaqué or ou massif, même celles qui ont eu l’occasion de le dégrafer ne l’ont jamais su : Tonio ne s’épanche pas. Des photos autant que la papparazzaille en réclame, mais pas de confidences, rien sur sa feuille d’impôts ne transpire, et lui non plus, d’ailleurs, c’est son miracle. De minuit aux petites heures de l’aube, il est aux platines, en T-shirt moulant, les biceps infatigables et des doigts d’or. Il n’y en a pas deux comme lui pour choisir ses plages musicales. Allez voir Tonio, allez l’entendre, plutôt, et vous n’en reviendrez pas.
2°) Le bel Antonio, c’est le roi des greens, l’empereur du dix-huit trous. Une fois qu’on a dit cela, il reste l’essentiel. A. Aldas-Taylor, c’est le charme écossais dans du velours espagnol. Vieille famille castillane et noble émigrée, revenue riche en Europe après trois générations et une fructueuse alliance bancaire, voilà le berceau d’Antonio. Rien d’étonnant à ce qu’il soit courtisé, et épousé tous les deux ou trois ans. Quand il joue au golf dans de grands championnats internationaux, il n’emmène jamais l’épouse du moment, par superstition : il doit garder un self-control absolu et réserver sa testostérone pour les coups de club ; mais il en revient souvent avec la prochaine : la chanceuse du dernier tournoi, l’australienne, c’est la belle L. qui a quitté son footballeur argentin parce que le vert des parcours en petite voiture électrique est plus amusant que celui des pelouses, c’est mieux fréquenté, et les hôtels sentent moins fort que les vestiaires après un match. Il paraît, de source bien informée, que le récent divorce d’Antonio fut cruel, et que les avocats de son actrice ont été sanguinaires. Mais avec l’amour d’un mannequin, Antonio guérira et pourra se préparer aux soirées mondaines qui l’attendent !
Le nuancier déformé (5-10 minutes) : Au lieu de dire un jeudi noir, une année grise, que serait une journée de vapeur ?
Une journée de vapeur, c’est le blues qui t’encapuchonne les méninges ; c’est l’angoisse de la veille qui te fait anticiper la trouille du lendemain. Une journée de vapeur, c’est le coton-tige qui a pénétré trop loin, c’est le débranchement de la comprenette, c’est le marasme brouillasseux de la pensée. Une journée de vapeur, c’est l’envie de retourner se coucher pour ne plus penser à rien, ne pas même rêver, parce qu’on n’arrive plus à penser d’aplomb. Une journée de vapeur, c’est la cocotte-minute qui se dévaporise juste derrière tes deux yeux. Une journée de vapeur, c’est mortel.
Expérimental : Refaites-moi ça ! (10 minutes). Simplifier un extrait de roman célèbre. On refera le premier paragraphe du chapitre 7 du célèbre roman de Flaubert, Madame Bovary. On essaiera de le réduire à l’essentiel en 3 ou 4 lignes maximum, en lui ôtant tout ce qu’il a de précieux, de romantique, ou d’exalté. On pourra, par exemple, le rendre plus cru, plus vulgaire, plus technique…
« Elle songeait quelquefois que c’étaient là pourtant les plus beaux jours de sa vie, la lune de miel, comme on disait. Pour en goûter la douceur, il eût fallu, sans doute, s’en aller vers ces pays à noms sonores où les lendemains de mariage ont de plus suaves paresses ! Dans des chaises de poste, sous des stores de soie bleue, on monte au pas des routes escarpées, écoutant la chanson du postillon, qui se répète dans la montagne avec les clochettes des chèvres et le bruit sourd de la cascade. Quand le soleil se couche, on respire au bord des golfes le parfum des citronniers ; puis, le soir, sur la terrasse des villas, seuls et les doigts confondus, on regarde les étoiles en faisant des projets. Il lui semblait que certains lieux sur la terre devaient produire du bonheur, comme une plante particulière au sol et qui pousse mal tout autre part. Que ne pouvait-elle s’accouder sur le balcon des chalets suisses ou enfermer sa tristesse dans un cottage écossais, avec un mari vêtu d’un habit de velours noir à longues basques, et qui porte des bottes molles, un chapeau pointu et des manchettes ! »
C’était raté, son mariage ; elle fantasmait à fond sur un exotisme de pacotille, enfilait les clichés touristiques comme un commercial de chez Cook : du soleil, des 4 étoiles avec larbins courbés, de la nature bêlante d’animaux pomponnés, de l’iode et des senteurs de lilas plein les narines. Le bonheur, quoi ! Et elle n’avait trouvé ni la bonne adresse, ni le bon mec… Et dire qu’elle aurait pu épouser Antonio Aldas-Taylor !
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maisondrome · 7 years
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Informations sur le bien
Drôme, à 25 minutes au nord de Romans-sur-Isère. Maison en pierre pleine de charme partiellement rénovée, au calme sur les hauteurs du village. Grand terrain verdoyant de 3500 mètres carrés (terrain clos avec partie en pente), arbres fruitiers (pommiers, cerisier, prunier, figuier...). Vue panoramique sur la campagne et les collines environnantes, aucun vis-à-vis. Piscine en dur de 9m par 4,5m construite en 2007. Bâtisse ancienne en pierre, composée au rez de chaussée d'une véranda, d'une grande pièce à vivre avec poutres apparentes, poêle à bois, petite pièce attenante pouvant servir de chambre ou de salon télé et d'une grande cuisine ouverte. Au même niveau, une grande chambre et une salle de bain avec baignoire d'angle. À l'étage, un espace mezzanine en bois donne sur une très grande pièce sous les toits avec un point d'eau, pouvant faire office de grande chambre parentale, ou dortoir pour les enfants. Possibilité d'y aménager plusieurs espaces. Au sous sol, deux pièces à rénover. Accès par chemin goudronné avec deux abris voiture (un abris en sous-sol de la maison, un second accolé à un bungalow pouvant servir de remise mais potentiellement à détruire).
Me contacter au 06 99 11 39 99, merci !
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