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#éclaboussures
chourzahi · 2 years
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Chicago Visage de Chicago
La Crown Fountain est une œuvre d'art urbain interactive et une sculpture numérique implantée au milieu du Millennium Park à Chicago (Illinois, États-Unis).
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ladychlo · 2 years
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SPLASHED X
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art-vortex · 1 day
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(via Coussin avec l'œuvre « "Netball Splash: The Game in Motion" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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brilag · 11 months
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Il a bu la tasse ! Il a bu la tasse !
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Il a bu la tasse ! Il a bu la tasse ! par brigitte lagravaire Via Flickr : 2018-08-09-plage (21cn)
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homomenhommes · 11 days
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en roux libre, et sans garde-boue, alors gare aux éclaboussures
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leparfumdesreves · 9 months
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"La Provence au parfum d’Été, que j'aime avec fougue et passion.
Éclaboussure de violet à perte de vue, pays de soleil, de vent, de contraste, de lumière, qui décape le blanc de la roche calcaire.
Nuance du tendre au sombre, le vert des oliviers et des cyprès, Provence apaisante de Sénanque, rude et violente de Giono, exubérante et nostalgique de Pagnol, claire et puissante comme une poésie de Char"
Double Je
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jacquesdor-poesie · 6 months
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De quel éclat d'or dans un trou boueux es-tu le cou désiré ? De quelle gorge nouée es-tu la solitude et le verre de vin vide ? De quelle pitié, de quelle forge froide es-tu le marteau oublié, le visage dans les mains ? De quel ossuaire es-tu la neige, le souvenir livide, la chemise ouverte sur des colombes ? De quelle peur, de quelle insomnie, de quelle tristesse es-tu le bateau ivre ? De quelle clameur, de quelle éclaboussure, de quel deuil es-tu la blessure qui ne guérira plus ? Comme la morsure, comme le cri et l'acidité du jour. De quel appel, de quelle supplique, de quelle prière es-tu la sourde oreille et le mur d'enceinte ? De quelle terre, de quelle racine, de quelle compilation d'étoiles es-tu le descendant incertain, le passager clandestin ? De quel sentiment sans bras, de quels désirs sans chair ni salive, es-tu la rédition ? De quelle espèces de cellules, de patience, de miracle, d'utopie, es-tu la question encore en suspend ?
Ô de quel cri incarnes-tu la bouche ? De quelle pensée es-tu la pièce détachée ? De quelle passion es-tu les pieds sales, la prophétie ? De quelle statuaire es-tu le relent d'amour si éternellement figé ? De quelle Venise es-tu le scaphandrier perdu en haut du dôme? De quel ventre, de quel couteau es-tu la souffrance indivisible? De quelle apparence es-tu le reflet, le héros dans son miroir ? De quel regret, de quel tonnerre, de quel abandon, es-tu l'impossible haine ? De quel frisson, de quelle fracture, de quelle cérémonie secrète, es-tu l'inconsolable enfant ?
Un jour, un jour tu me le diras, tu me le diras à l'oreille, là sous la demeure des arbres qui pleuvent dans la gueule grande ouverte de milliards d'étoiles... Tu me le diras à bout touchant, comme la nuit et le nid, comme lorsque les mots nous tuent sans qu'on en sache le pourquoi.
Alors tu me diras de quelle langue incompréhensiblement sonore, tu es le mot de passe oublié dans l'obscurité du monde ?
jacques dor
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magdalena-mojennarmor · 4 months
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Notre époque a pu bénéficier d'une créature dont ni Baudelaire, ni Nerval n'auraient pu rêver. Sous les éclaboussures de lumière, elle était offerte comme un dernier soleil, livrée à la dérive d'une scène, en laquelle se jetaient mille regards grouillants. Ses accoutrements étaient sans commune mesure: coiffure gigantesque, corset étroit d'où battait sa pulpe jaillissante, tout était maintenance fébrile de cette force instable. Les bonhommes noirs offraient leur chœur velouté, leur danse chaloupée afin que s'y reposent les élans de sa voix, mortels et grandioses. Elle avait su inventer, du sein inerte de la terre, des nouvelles misères, des misères vierges et sauves. C'est elles qui rendaient sa voix suave et grondante comme les éveils irrités de la mer.
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storyai · 21 days
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Star Wars
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Série Star wars
(Copilot) prompt : une illustration à l'encre noire, technique du lavis, technique du sumi-e, style Josetsu, Shūbun ou Sesshu, sur du papier épais et granuleux, esquisse imparfaite, imprecise, de [nom] qui marche vers nous, le fond représente des tâches et éclaboussures plus ou moins diluées de tailles differentes.
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congratulationsgeorge · 5 months
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Retournons à la mer
Retournons à la mer, retournons à l’étang, là où une entreprise prophétique nous a Promises. Par la concordance des cigales, et du ciel rouge qui s’appose sur ton front la taule, et le mal, et la peine que nous ignorions encore. L’accent rond, les : pain, main, hein, tarpin, pneu peneu pe neu mélodiques.
Retournons à la mer, en ton sein, puisque nous avons regardé le même film, dans la même salle, sans le savoir, à quelques rangées, quelques sièges d’écart, tu étais trois rangs avant moi. puisque nous avons une expérience commune : ces plaies béantes, ces gencives saignantes, et ces cheveux gominés, ces accusations, ce venin anxiogène, qu’iels jetaient sur nous parce que nous étions noires.
La crainte de t’aimer, de poser encore sur toi, tes yeux, ta peau pégueuse à la D’Angelo, beaucoup trop huilée par la coco, un regard qui me trahirait.
Retournons à la mer, je ne pourrai que le répéter, au fond de la cour, tu l’as si bien dit, il y avait les pins, tiens, les pins, la cour qui se tenait juste là, en pente, le petit jardin clos où l’on faisait pousser des fruits et des légumes, là où seul.e.s les CE2 A/ B/ ou C avaient le droit d’aller.
Je pleurais de rire, dans ces innombrables épines de pins, parsemées sur le sol brûlant, je me souviens du regard flou, flouté par les feux de joie, les cages de foot et les zygomatiques tendues.
Je taclais les garçons au foot, m’asseyais dans le creux des ondulations du bitume/du ciment blanc anthracite et aucun d’eux ne m’aimait.
Retournons à la mer, je t’emmènerai près de l’étang, l'odeur des œufs pourris de Berre nous frappe les narines entre deux pétards. Dans les sanglots, la solitude, et l’abandon, d’être une femme noire dans une famille blanche, d’être une femme noire qui aime les femmes c’est près de l’étang que tu te réfugiais.
Une dizaine d’années plus tard des ellipses parmi les vagues et les éclaboussures de la piscine de la mamie de Clara en juillet des bougies d’anniversaire numériquement trop trop nombreuses à souffler chaque année.
Retournons à la mer, puisque j’ai dit tout bas des signes, des choses inavouables.
Ils disent que « l’amour ça ne s’apprend pas », que « l’amour ça se vit » et pourtant j’aurais aimé apprendre.
Moi, fille de Mars, qui n’ai jamais appris que l’impatience, le drame et le chaos élevé par le kayamb, son frère tam tam, et les chants de guerre qui les accompagnent. Moi, fille de Mars, j'aurais voulu me sentir capable d’exprimer l’amour dans le calme, de sortir des sentiers tumultueux ancestraux de m’écarter de la voie de la surveillance, de la méfiance, de la gangrène routine, de CELUI OU CELLE QUI CRIERA LE PLUS FORT
Moi, fille de Mars, j’ai cherché à t’atteindre et à te montrer la plaine verte qui s’étend à l’infini, la végétation et le colibri la profondeur et l’abondance de la rivière en avançant mes lèvres, les extrémités tendues et riches des mots à te donner, en plongeant la tête la première dans le Gouffre des esprits à Terre Sainte, en serrant nos corps tandis que Les Déesses chantaient notre histoire.
(Nous étions ces deux gamines amies en primaire unies par un zouk après dix années de silence.)
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Retournons à la mer, 2019, George Eperonnier
publié dans The Black Lesbian Rises Issue pour le magazine Lesbians Are Miracles (USA) en 2021
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e642 · 1 year
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Je me sens vide. Mes doigts butent sur ce clavier qui a accueilli tant de mes maux. Une existence bien silencieuse pour une tête sans cesse rempli d'un brouhaha harassant. J'essaie de me faire oublier. Répondre aux messages n'a jamais été aussi dur. Dormir tout autant. Je suis très loin de la réalité dans laquelle je vis, m'y raccrocher me demande des efforts insoupçonnés. Finalement, je deviens comme toute ces personnes qu'il pouvait m'arriver de mépriser. Cette personne solide, les yeux secs, présente quand il faut, jamais un instant de faiblesse en dehors de l'intimité de mes draps. Je refuse de montrer que je peux m'écrouler. Pourtant, il n'y a personne pour s'engouffrer dans mes failles. Je crois que c'est envers moi même, je ne veux pas donner une seule seconde l'impression que je m'égare dans des contrées lugubres. Je garde tout pour moi. Chaque infime pensée ou émotion, je la ravale, quitte à me sentir douloureuse. Je ne vois pas tellement l'intérêt de prendre sans cesse sur moi en me montrant toujours disponible, toujours absolument debout quand les autres autour s'effondrent. Une crainte de l'effet domino. Quand je vois les inquiétudes et les tracas des autres, je fuis cette contagion latente. J'évite les éclaboussures de désespoir qui pourraient m'atteindre. Je suis coupée de moi pour éviter de mettre un quelconque émotionnel que je ne saurais supporter. La peur des faiblesses des autres est très grande. Trop grande pour ce que c'est. J'ai l'impression de devoir les manipuler avec des gants pour ne risquer aucune propagation qui atteindrait mon cœur. Les minutes s'entassent jusqu'à finir par les combler d'impératifs. Une psychorigidité que je n'aurais jamais pu déceler et qui est pourtant très prenante. Je ne sais pas ce qu'il se passe. Ce calme plat en public qui ne sait donner naissance qu'à un effroi constant en privé. Tellement taciturne que je peux compter les battements de mon cœur rien qu'à l'oreille. Tout se mélange, s'efface, se modifie. J'ai du mal à savoir ce qui est réel de ce qui me ronge.
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art-vortex · 13 days
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(via Coussin avec l'œuvre « "Splash Master" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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halebop-s-art · 1 year
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"Mikail posa les coudes contre la balustrade et laissa les yeux se perdre dans le bleu du lagon qui s'étendait sous le balcon. L'été napolitain touchait à sa fin mais les arbres grandissait toujours sur ses rives, insensible à la violence des hommes qui les regardaient. Sa barbe aussi, poussait, ici. S'il avait pu avoir son travail, il y a trois saisons... sans que le Listisa ne s'en mèle... peut etre il n'aurait pas eut à retirer le sang de ses mains, chaque soir. Peut etre qu'il n'aurait jamais vu Naples. Il ne savait dire si ça en valait le coup.
La porte de la terrasse s'ouvrit derriere lui, mais il ne se retourna pas. Une ombre s'étendit sur les carreaux, suivi de pas réguliers produits par des semelles italiennes. Il pouvait reconnaitre la bruit de cet homme au milieu de la symphonie de la ville. Il sourit quand Ricardo vint s'appuyer sur la balustrade à coté de lui.
- Konstans dit que la capture du Lisitsa ne saurait tarder, annonça l'italien en desserrant sa cravate.
- Tu la crois ?
- Je croirais Konstans avec ma vie.
Mikail ne repondit pas. Un vent chaud secoua les cheuveux de Ricardo. Eux aussi commençaient à se faire long. Le silence qui s'était installés entre eux ces derniers jours revint. Michail se mordit les levres.
- Je sais que je ne suis pas le poisson le plus brillant de Naples, dit-il sombrement. J'ai peur de tout gacher en parlant, mais pire, j'ai peu de tout gacher en n'en parlant pas.
Ricardo regarda un oiseau voler au dessus du lagon, planant sur place.
- Je sais ce que je t'ai dit, insista Mikail. Quand j'avais cette grenade en main. Je voulais que dans nos derniers instants...
Il ne savait pas ce qu'il avait espéré. Un finish de compte de fée ? Ce n'était pas le genre d'histoire dans laquelle ils étaient. Leurs histoire s'écrivait en éclaboussure rouge et en cartouches vidées.
- Les hommes sont si différent des femmes, dit Ricardo en le tirant de ses pensées, yeux toujours sur l'oiseau au dessus d'eux. Nous pensons si souvent que nous n'avons pas le droit au romantisme.
Il prit une inspiration et soupira, le vent jouant dans ses cheveux.
- Tu ne gacheras rien, Mikail, déclara-t-il aux montagnes.
Puis il se tourna et reparti de la terasse, ses chaussures italiennes claquant derrière lui. Au dessus de Mikail, l'oiseau cessa son sur-place et laissa les courants le porter vers les montagnes."
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 94
Dans la soirée du dimanche, nous discutons de son absence (Marc doit s'absenter une semaine pour son taf). Il me dit qu'Eric passera le lundi soir pour s'occuper de mon cul. Le mardi il a demandé à Igor de me prendre chez lui. Le mercredi après le plan client de Jean, je n'ai qu'à aller voir Xavier et sa femme (il lui a déjà téléphoné et ce dernier est d'accord). Pour le jeudi il m'accorde généreusement toute liberté avec Emma et vendredi soir je doit être prêt à servir dans le donjon pour son retour. Si je pensais avoir une semaine toute à moi, c'est loupé ! Enfin, le programme qu'il m'a concocté est loin de me déplaire !! (serais je devenu un véritable accro au sexe.... Faut peu être que je me soigne ?!?).
Lundi soir :
Je rentre tout content de la soirée en perspective. Eric n'arrivera que vers 20h, ses cours de code moto ne se finissent pas avant. En attendant, je me prépare, lavement, graissage de mon petit trou, rodage au gode et mise en attente avec un plug, pas celui de " musculation ", un qui m'écarte la rondelle. Si je veux être dispo dès son arrivée, il faut que je maintienne une certaine " ouverture " ses 26cm par 5 à 7cm de diamètre le demandent !
Une fois bien prêt, en jock et le cul bouché, je me mets à la cuisine. Un truc qui sera facile à tenir chaud si l'envie lui prend de me baiser avant le repas (ce qui est fort probable).
J'entend sa moto. Je suis derrière la porte quand il entre dans la maison. Je me colle à son cuir (froid !!) et il me roule un patin d'enfer. Je bande ! lui aussi, je sens sa bite écarter le cuir pourtant épais de sa combi. J'entreprend de le déshabiller. Je lui retire le casque des mains et le pose sur la console, je dé zippe sa combi totalement, jusque sous les couilles. A genoux je déclipse ses bottes et les lui retire. Enfin, après avoir ouvert les fermetures éclair de ses poignets et mollets je peux enfin lui retirer sa " carapace ". Pendant que j'accroche le tout au porte manteau à coté de la mienne (de combi), il retire son Tshirt et ses chaussettes pour ne rester qu'avec son shorty déformé par son énorme pieu.
Je me recolle à lui. M��me s'il me serre dans ses bras, j'arrive à lui descendre le slip pour dégager sa bite. je la fais glisser entre mes jambes et alors qu'elle cherche à se dresser à la verticale je m'assois dessus. Son gland pousse entre mes fesses. Je les écarte un peu et il vient buter sur la base du plug.
Eric me traite gentiment de salope, il pose ses mains sur mes fesses et les écarte. Le plug est légèrement tiré vers l'extérieur. Il me dit qu'on va en bas (salle de muscu), qu'il a besoin d'une douche après sa journée de travail. C'est vrai qu'il sent un peu le fauve !! Je me charge de le savonner. Sous mes mains ses muscles roulent. Je lui masse les épaules pour le détendre. Il apprécie et me le fait savoir. Je nous rince (évidement, j'ai reçu des éclaboussures) puis armé d'un grand drap de bain je le sèche, de la tête au pieds. Mon passage sur son bas ventre lui a redonné toute sa vigueur et il bande comme un taureau. A son tour, il me sèche. Il s'attarde entre mes fesses jouant avec le plug (rotation, retrait jusqu'au renflement puis réintroduction). Il me chauffe grave ! Je ne tiens plus et me penche pour gober sa bite. un coup de rein impérieux ponctue mon initiative, je manque de m'étouffer !
La position ne me permet pas d'avaler la " bête " entièrement. Je me dégage et vais me poser le dos sur un banc de muscu. La tête en dehors, poussée en arrière je l'attend. Eric se positionne au dessus de moi, il plie les genoux et sa bite se présente devant ma bouche. j'ouvre grand, elle me pénètre. Le gland est sur ma glotte, j'avale au moment ou il passe. Ma gorge se distend sous la pression (je vais encore parler grave demain matin !!). Il me lime deux trois fois. Mon cul me démange, je relève les jambes pour passer mes chevilles sous ses aisselles. Il se penche pour prendre appui sur le banc derrière mes fesses, il a une vue imprenable sur ma rondelle bouchée par le plug. Il me lime maintenant la gorge avec une régularité de métronome. Ça facilite ma respiration ! Il commence à jouer avec mon plug. Il le tire jusqu'à ce que son diamètre le plus gros m'écarte l'anus puis le relâche. Le plug rentre comme attaché à un élastique. Il me fait cela plusieurs fois, mon anneau s'étire à chaque fois un peu plus facilement. Quand il me sent bien prêt, il se libère de ma bouche et change de position. Je me retrouve mes chevilles prenant appui sur ses épaules à trouver le bon niveau en soulevant le bassin.
Il attrape la base du plug et me l'arrache. Surpris, j'ai une sensation de fraîcheur sur l'anus. Elle ne dure pas car, vite, Eric pose son gland dessus et s'enfonce doucement. Il est sacrément bien monté ! je le sens qui m'écarte bien la rondelle. Les derniers cm ont toujours un peu de mal à entrer. Il faut dire que le diamètre de sa bite à la base fait presque 7 cm, ça explique !
Je m'accroche à son cou. Il me dit que cette position lui donne une idée. Est ce que quand il se lève, je peux garder la position. Nous tentons. Je croche bien mes chevilles sur ses épaules, j'assure ma prise sur son cou et doucement il se redresse. Je décolle du skaï du banc. Il fait une pause assis sur le banc et moi planté sur son pieu. Il se lève (c'est une bête de muscle) je sens mes fesses s'écarter encore plus sous l'effet de mon poids et Eric rentre en moi comme jamais. Mon anus est carrément posé sur ses poils pubiens. Il m'aide à tenir en posant ses mains sur mes fesses (les écartant encore plus).
Une fois l'équilibre assuré, il donne un coup de rein en avant et se recule brusquement. Je recule aussi mais avec un temps de retard, ça fait sortir sa queue de mon cul et me la rentrer plus durement. C'est trop bon et je bande comme un malade. Il le fait une dizaine de fois et je ne peux me retenir de juter. Je nous éclabousse nos visages de sperme pendant que lui rempli sa kpote. Avant qu'il ne me repose, j'approche mon visage du sien et avec ma langue le débarrasse des coulées blanches qui marbre sa peau noire. Il débande doucement et sort avant de risquer de laisser sa kpote dans mon cul.
Je suis cassé ! Mon cul ne l'avais jusqu'à présent jamais pris aussi profond. Cette nouvelle position a fait écarter ma rondelle au plus fort. Même Eric ne s'y attendait pas.
Une nouvelle douche pour éliminer la sueur, résultat de notre fornication puis nous remontons dîner.
Je le cuisine pour savoir comment s'est passé le retour du nouvel an avec Kev.
Il me dit qu'ils avaient fait un crochet par chez lui avant qu'il ne le remette au train .... le lendemain matin seulement. Je lui demande des détails. Après tout c'est nous qui lui avons présenté et on a bien le droit de savoir !
Il me raconte alors leur soirée.
Pour le retour sur la moto, il avait dit à Kev de bien s'accrocher et ce dernier avait immédiatement passé ses bras autour de sa taille pour s'ancrer à son volumineux paquet. Après lui avoir ajusté ses mains comme il fallait et lui avoir expliqué qu'en cas de freinage, il devait les appuyer sur le réservoir, il lui a clairement dit que si il venait chez lui, il n'en ressortirait pas sans être passé sous sa bite. Kev lui a répondu qu'il l'avait bien compris comme ça et qu'il en avait une furieuse envie.
Pendant tout le trajet, Kev lui a malaxé le paquet le faisant bander sans discontinuer. Quand ils sont arrivés dans son garage, il l'a fait descendre et après avoir mis la moto sur sa béquille, il s'est occupé de lui. Lui, l'actif de compétition, l'enculeur sur commande, s'est retrouvé direct à genoux le nez plaqué sur le cuir tendu de l'entrejambe de son pilote.
Eric a ouvert sa combi et arrivé sous les couilles, son slip n'a pu continuer à maintenir son manche trop lourd de sang et sa bite s'est déployée sur le visage de Kev. Comme en manque, il s'est jeté dessus pour lécher et sucer le gros gland violacé. Eric me dit qu'il le faisait assez maladroitement. Il lui a pris la tête entre ses mains pour le guider. Après quelques minutes brouillonnes, Kev s'est calmé et s'est mis à le pomper comme il faut. Pour la profondeur c'était pas ça. Faut dire que 1èrement il a pas l'habitude et que 2èmement la taille de l'engin n'aide pas les débutants !
Assez vite, ils se sont mis nus (le garage est chauffé rassurez vous) pour continuer. Très excité par le retour en moto, Eric l'a entrepris plus directement. Le ventre plaqué en travers d'un établi, il s'est retrouvé avec une langue à lui détendre l'oignon. Un, deux puis très vite trois doigts lui ont écarté l'anus. Kev a protesté un peu du manque de progressivité. Je connais mon Eric, quand on le chauffe trop faut pas s'attendre à de la douceur. Il s'en est vite aperçu !
Les doigts on été très vite remplacé par sa queue. Kpoté, il s'est badigeonné d'huile de synthèse (utilisée pour la lubrification du moteur de sa moto) et après lui avoir enfoncé le bout de la burette dans le cul a pistonné deux/trois fois pour lui en entrer une bonne dose. Sans lui laisser le temps de réfléchir, il lui a demandé de pousser et en a profité pour s'enfoncer. Eric m'a dit que c'était trop bon. Un cul vierge trois jours plus tôt, pas encore aussi souple que les nôtres (Ric, Jean, Phil, Luc ou moi), avec une bonne résistance, y'a rien de meilleur. Il m'a dit qu'il lui avait tout mis d'une seule et lente poussée. Avec ce genre de mec, ça sert à rien de rentrer quelques cm puis reculer pour en entrer un peu plus. Kev sait parfaitement ce que c'est qu'une enculade, il l'a suffisamment fait subir aux autres. Quand il ne lui ait plus resté que 2cm à enfiler, il l'a pris aux épaule et l'empêchant d'avancer, c'est enferré d'un dernier coup de rein. Kev n'a pu se retenir et un long gémissement à accompagné son envahissement total.
Eric me dit que sous sa bite il a trouvé un vrai mec (musclé, bm 21x5,5) hyper chaud et salope. Il a pu le bourrer encore trois fois avant de le raccompagner à son train le lendemain matin. et depuis, Kev est revenu un WE pour se faire enculer grave. Quand je lui demande si il est passé passif exclusif, Eric me répond que non, il a garder ses " clients " qui lui assurent ses dépenses d'étudiant.
Je lui dis que nous aurons plaisir à revoir Kev dans nos touzes surtout si il est recto/verso et de ne pas le garder pour lui tout seul. Ça le fait rire.
Après dîner, Eric me laisse. Il m'a crevé, je me couche tôt non sans avoir fait une heure d'exercice pour mon anus sur le plug étroit, histoire de refermer mon cul pour le lendemain soir chez Igor et ses jumeaux. Là ça risque d'être chaud aussi !!
JARDINIER
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borgien · 2 years
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Elle le tient par la cravate. "Tu ne fais rien, tu te mets juste pa terre sur le dos". Allongé, il la voit qui quitte sa culotte et, jambes écartées, vient se place exactement au dessus de sa tête. "Tu ne bouges pas, c'est le jeu". Une éclaboussure chaude inonde son visage...".
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carbone14 · 11 months
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Salve de roquettes RP-3 lancée depuis un Hawker Typhoon sur un remorqueur dans l'estuaire de l'Escaut – Bataille de l'Escaut – Bataille du Benelux – Septembre 1944
Photographe : Royal Air Force official photographer
©Imperial War Museums - C 4641
Les roquettes du Hawker Typhoon était efficaces contre les chars, les navires, les emplacements de canons, les bâtiments et les voies ferrées. Dans ce cas, les éclaboussures d'obus des quatre canons de 20 mm de l'avion aident le pilote à corriger sa visée avant de déclencher une salve de RP.
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