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#éviter une rupture amoureuse
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omagazineparis · 18 days
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Comment aider les ados à gérer les relations amoureuses
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Les premières amours : une étape incontournable de l'adolescence qui peut parfois semer le trouble chez nos jeunes tourtereaux. En tant que parents ou proches, comment aider les ados à gérer les relations amoureuses de manière saine et équilibrée ? Découvrez nos conseils pour accompagner les jeunes dans cette aventure passionnante et parfois délicate. La communication : le maître-mot pour aider les ados à gérer les relations amoureuses Créer un espace de dialogue ouvert et sécurisant Instaurer une relation de confiance avec votre ado est essentiel pour les accompagner dans leurs premières expériences amoureuses. Montrez-vous disponible et à l'écoute, sans les juger ni les sermonner. N'hésitez pas à partager vos propres souvenirs et expériences pour créer un climat de complicité. Encourager l'expression des sentiments Aider les ados à gérer les relations amoureuses passe également par le développement de leur intelligence émotionnelle. Encouragez-les à exprimer leurs sentiments, qu'il s'agisse de joie, de tristesse, de frustration ou de peur. Cela les aidera à mieux comprendre leurs émotions et à mieux communiquer avec leur partenaire. L'importance du respect et des limites dans les relations amoureuses Sensibiliser aux notions de consentement et de respect Apprendre aux adolescents à respecter leur partenaire et à obtenir un consentement mutuel est primordial pour une relation saine. Discutez avec eux de l'importance du respect, de l'égalité et de la communication dans une relation amoureuse. N'hésitez pas à aborder les sujets délicats, comme la sexualité et le consentement, pour les aider à développer une attitude responsable. Aider les ados à définir leurs propres limites Chaque individu a ses propres limites, qu'elles concernent la vie privée, l'intimité ou la sexualité. Aider les ados à gérer les relations amoureuses implique de les encourager à identifier et à exprimer clairement leurs limites. Soutenez-les dans leurs choix et valorisez leur capacité à dire "non" lorsque cela s'avère nécessaire. Soutenir les ados face aux ruptures et aux déceptions amoureuses Accompagner dans la gestion des émotions Une rupture amoureuse peut être une expérience douloureuse pour un adolescent. Pour les aider à gérer les relations amoureuses, soyez présents et soutenez-les dans cette période difficile. Montrez de l'empathie, écoutez leurs ressentis et proposez des activités pour les distraire et les aider à surmonter leur chagrin. Les préparer à affronter les défis du cœur Aider les ados à gérer les relations amoureuses, c'est aussi les préparer à faire face aux défis et aux épreuves qui peuvent surgir. Faites-leur comprendre que les ruptures et les déceptions font partie intégrante des relations amoureuses et qu'elles permettent de grandir et d'apprendre. Encouragez-les à tirer des leçons de leurs expériences et à se relever plus forts. Sujet connexe : Comment gérer les crises d’adolescence de son enfant : guide pratique Promouvoir l'autonomie et la confiance en soi Encourager l'indépendance émotionnelle Pour aider les ados à gérer les relations amoureuses de manière saine, il est important de les inciter à cultiver leur autonomie émotionnelle. Encouragez-les à développer des centres d'intérêt, des passions et des amitiés en dehors de leur relation amoureuse. Ainsi, ils pourront s'épanouir pleinement et éviter de trop dépendre de leur partenaire. Renforcer la confiance en soi Un adolescent confiant en lui-même est plus à même de gérer les relations amoureuses avec sérénité. Aidez-les à développer leur estime d'eux-mêmes en valorisant leurs qualités, leurs compétences et leurs réussites. Encouragez-les à se fixer des objectifs et à persévérer pour les atteindre. Cette confiance en eux les aidera à aborder leurs relations amoureuses avec assurance et à faire des choix éclairés. En instaurant un dialogue ouvert, en les sensibilisant au respect et aux limites, en les soutenant face aux ruptures et en encourageant leur autonomie et leur confiance en soi, vous leur offrirez les clés pour vivre des relations amoureuses épanouissantes et saines. Read the full article
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Puissant rituel retour affectif rapide et immédait
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Comment empêcher une séparation amoureuse-Vous êtes à 2 doigts d’une véritable catastrophe ! Le divorce vous pend au nez. L’ambiance avec votre partenaire est électrique. Les querelles et disputes ont pris la place des moments de convivialité.Vous n’arrivez plus à aligner 3 mots sans vous disputer. Et par moment, la tension atteint un degré inquiétant.
Comment empêcher une rupture amoureuse:faire un rituel magique pour éviter le divorce grâce a la magie blanche Comment empêcher une rupture amoureuse:faire un rituel magique pour éviter le divorce grâce a la magie blanche Comment empêcher une rupture amoureuse:faire un rituel magique pour éviter le divorce grâce a la magie blanche Comment empêcher une séparation amoureuse-Les projets que vous aviez ensemble ont fondu comme neige au soleil. Vos envies, vos attentes, vos rêves semblent prendre des chemins différents. Les attentions, les longues discussions, les activités communes, les sorties romantiques ont complètement disparues … à votre plus grand regret.
Cette situation vous stresse et vous angoisse au plus haut point. Votre santé mentale est atteinte et votre santé va immanquablement suivre le même chemin si vous n’agissez pas. Vous avez beau avoir essayé de recoller les morceaux, les résultats sont nuls.
Comment empêcher une séparation amoureuse-Et face à une telle situation, vous ne voyez plus comment empêcher le divorce. Et pourtant, vous savez au fond de vous que les sentiments sont toujours présents. Mais les ressentiments les ont enfouis au plus profond de vos cœurs.
Votre avenir s’assombrit. Vous n’avez aucune envie de recommencer votre vie avec une autre personne. Toutes ces années de vie commune ne peuvent être rayées d’un trait. Et pour la première fois de votre vie, vous n’avez jamais ressenti avoir autant besoin d’aide.
Comment empêcher une rupture amoureuse:faire un rituel magique pour éviter le divorce grâce a la magie blanche-Ce puissant rituels de magie blanche peut vous aidez à stopper un DIVORCE immédiatement soit d’un proche ou de vous-même. Avec le temps, des ondes négatives viennent gâcher toute relation amoureuse. Ne restez pas sans rien faire ! Éliminez ces mauvaises énergies pour avoir une relation stable et heureuse. Ce sort fonctionne évidemment lorsqu’il s’agit d’arrêter un processus de DIVORCE. Ce rituel bénéficie de pouvoirs supplémentaires lorsqu’il est accompagné du rituel pour « Rendre quelqu’un AMOUREUX» ou le « rituel de fidélité »
En tant que professionnelle en travaux occulte maître marabout medium Africain LOKO VOGNON BOSSA, je me donne à 100% pour chacun de mes rituels et m’assure que tout se passe bien. Mon seul but: est que vous soyez satisfait de mes services. Si votre situation est très compliquée, donnez-moi un peu du temps et ça ira.
PAPA LOKO VOGNON BOSSA CONTACT Appel Direct: +229 60 06 71 23 WHATSAPP/VIBER: +229 60 06 71 23 E-MAIL directe: [email protected] Site web:http://www.puissant-marabout-voyant-retour-affectif-immediat-sedonou-gueta.com
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girly-mess · 3 years
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{ Billet d’humeur #17 }
La dépendance affective & les styles d’attachement
Avant qu’on aborde le sujet d’aujourd’hui, j’ai oublié de parler de quelque chose d’important concernant les Love languages de Gary Chapman, donc on va s’y repencher 2 min. D’où viennent les love languages ? Comment les développe-t-on ? Comment sait-on lesquels sont les nôtres ( à part en faisant le test sur le site officiel ) ? 
Il se trouve que nos langages amoureux dominants découlent, en fait, de notre enfance, car :
si on a eu une enfance/adolescence plutôt heureuse et saine, notre top 3 des langages de l’amour correspondra à ce dont on a toujours été habitué étant plus jeune. Par exemple, si nos parents ont toujours été tactiles avec nous, on voudra alors retrouver ce langage amoureux chez notre futur partenaire.
si ça n’a pas été le cas, alors on va vouloir rechercher à tout prix ce dont on a cruellement manqué durant notre enfance et notre adolescence. Tout simplement parce que nos parents n’ont jamais comblé nos besoins émotionnels et ont laissé notre piscine d’amour ( Notre Love tank, comme Chapman aime l’appeler ) désespérément vide pendant de nombreuses décennies. 
Pour ma part, mon langage primaire est le Physical touch, puisque lors de mon enfance, - et jusqu’à encore aujourd’hui - mes parents n’ont jamais montré leur amour par les gestes et les câlins. Ils ne l’ont jamais exprimé par les mots non plus ( je suis convaincue de n’avoir jamais entendu mes parents me dire Je t’aime, c’est pour dire... ), ni même en passant du temps qualitatif avec mes frères et moi vu qu’ils étaient obnubilés par le travail. Par contre, les cadeaux, ça y allait ! Voilà pourquoi les Gifts sont en dernière position dans mon classement. Pour moi, ça n’a plus aucune valeur, en fait. Ca ne veut pas dire que je n’aime pas les cadeaux, j’aime beaucoup en recevoir, mais ça n’a jamais été un moyen efficace de m’exprimer son affection. Et comme, émotionnellement, j’ai toujours été en jachère - pour dire les choses joliment - je me suis rendue compte, après avoir fait le test en ligne, que mon Top 3 correspondait exactement à tout ce que je n’ai pas eu de la part de mes parents étant petite. 
Et en plus de ça, je constate désormais que mon enfance est en réalité la cause directe de mes problèmes d’attachement et de dépendance affective. Pourquoi ? Et qu’est-ce que c’est que tout ça ? Je vais vous expliquer ça de suite.
La première chose à savoir, c’est que tout est étroitement lié. Si, si, vous allez voir. 
A force de voir notre Love tank terriblement vide toute notre enfance, on en arrive - une fois adulte - à s’attacher très ( trop ! ) rapidement aux gens qui nous montrent la moindre affection et nous accorde la moindre attention. Parce qu’on est inconsciemment désespéré à l’idée de le remplir. C’est d’ailleurs à cause de ça qu’il existe des gens considérés comme clingy. Et je ne peux que comprendre ces gens-là, car je ressens le même manque et je me reconnais parfaitement en eux. Lorsqu’on parle d’attachement, il faut savoir qu’il existe 4 styles d’attachement différents :
Nous avons, tout d’abord, le style Sécure. Les gens de cette catégorie-là ont tendance à avoir des relations épanouies et durables. Ils sont tout à fait à l’aise à l’idée d’exprimer leurs émotions, leurs ressentis et sont très rarement enclins à la dépression ou à souffrir d’autres troubles psychologiques. Ils ont aussi plutôt confiance en eux et en les autres donc R.A.S. de leur côté quoi.
Ensuite, nous avons le style Anxieux/Préoccupé. Cela correspond aux gens dont l’anxiété liée à la relation est très élevée, qui ont une mauvaise estime de soi, qui ont peur de l’abandon et qui font un peu trop facilement confiance aux autres. Ils sont souvent très émotifs également. Ils auront beau être à l’aise pour exprimer leurs émotions, ces personnes vont vivre beaucoup d’émotions négatives qui peuvent nuire à la relation. Ils ont tendance à idéaliser les autres et cherchent en permanence à être rassurés. Ils peuvent manifester de la colère vis-à-vis de leurs parents et seront facilement submergés par leurs émotions à l’évocation des mauvais souvenirs d’enfance. ( Yeap... Je suis définitivement un membre de cette catégorie... Cela dit, je crois bien que je suis seulement terriblement anxieuse AVANT l’officialisation de la relation. Tant que l’autre personne ne me montre pas qu’elle a réellement envie d’être avec moi, qu’elle m’a choisie pour entamer une histoire sérieuse, je vais envisager toutes les raisons possibles pour lesquelles cette personne pourrait se barrer de ma vie du jour au lendemain, me laissant ainsi le coeur brisé )
Puis, il y a le style Détaché/Désorganisé, qui concerne ceux qui préfèrent généralement garder leur autonomie, au détriment de leur relation amoureuse. Ils oscillent en permanence entre les styles d’attachement Anxieux et Evitant. Leur comportement est souvent contradictoire. Leur confiance en soi et envers autrui est perturbée, fluctuante et leurs réactions émotionnelles sont imprévisibles.
Et enfin, le style Evitant/Craintif, dont font partie les gens qui ont tendance à avoir beaucoup de difficultés dans leurs relations, car ils fuient les rapprochements émotionnels. Non seulement ils expriment très peu leurs émotions, ils vont également chercher à les refouler pour ne pas avoir à ressentir la moindre souffrance potentielle. Ils sont plutôt méfiants vis-à-vis d’autrui, ont du mal à demander de l’aide et à en recevoir, et leur confiance en eux n’est qu’apparente. 
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Et vous ? C’est quoi votre style d’attachement ?
Et lorsque je disais que tout était étroitement lié, c’est parce que 3 de ces 4 styles d’attachement peuvent créer de la dépendance affective, sous ses différentes formes. C’est-à-dire que :
Ceux qui ont un style d’attachement anxieux/préoccupé risquent de souffrir de la forme la plus répandue de dépendance affective. Plus précisément, la faible estime de soi va les conduire à avoir tendance à tout investir dans la relation avec l’autre, en espérant que ce dernier pourra pleinement remplir leur Love tank. Et si ce n’est pas le cas puis que la relation se termine, ils tombent généralement de haut et ont du mal à s’en remettre. La peur de l’abandon est massive chez eux et ils ont constamment besoin d’être rassurés sur les sentiments de l’autre et sur sa disponibilité. Pour éviter la séparation, ils sont capables de se soumettre et de s’oublier, ce qui fait d’eux les proies idéales pour les personnes toxiques qui vont chercher à profiter de leur vulnérabilité. 
Les gens dont le style d’attachement est évitant/craintif, eux, vont à tout prix fuir l’investissement, l’engagement, par peur ( parfois inconsciente ) de souffrir. Ils sont généralement très indépendants et ne veulent rien devoir aux autres ni rien leur demander affectivement. Ils gardent toujours toutes leurs émotions pour eux et leur dépendance affective se présente sous forme de relations superficielles, dans lesquelles ils refusent d’être en position de vulnérabilité. Ils veulent éviter de s’attacher, pour ne pas réactiver leurs blessures anciennes. 
Le style d’attachement désorganisé/détaché, quant à lui, est plus complexe car les souffrances et les troubles psychiques sont souvent plus importants. La dépendance affective oscille en permanence entre la recherche de connexion affective intense et le rejet quasi-phobique des manifestations affectueuses. Les gens concernés sont fortement tiraillés entre leur manque affectif et leur peur de la fusion. Leurs insécurités sont donc massives, qui se traduisent par un besoin immense de l’autre, qu’ils ne supportent pourtant pas de ressentir. 
Cela dit, la dépendance affective peut se manifester de dizaines de manières différentes, en réalité. En voici une liste non exhaustive des signes les plus récurrents :
L’incapacité à être heureux tout seul ( penser qu’on ne peut pas être épanoui sans relation à deux )
Un fort besoin de plaire à l’autre
S’emballer trop vite
S’oublier / Perte d’identité
Syndrome du sauveur ( penser qu’on peut “réparer” l’autre )
Aimer de manière démesurée
Besoin d’être sans cesse rassuré
Jalousie et possessivité 
Obsession pour l’autre
Surveiller constamment l’autre, par peur de la trahison/de l’infidélité
Tolérer l’intolérable / Pardonner l’impardonnable ( abus, violences, humiliation... )
Absence ou Faible estime de soi, car notre valeur dépend de l’autre
Manque de confiance en soi
Tendance à attirer les partenaires émotionnellement indisponibles
Tendance à attirer les partenaires toxiques, les pervers narcissiques
Peur de l’abandon, du rejet, de la solitude
Tendance à répéter les mêmes schémas, les relations malsaines
Tendance à sombrer dans la dépression en cas de rupture
Besoin permanent de présence/de proximité physique
Je ne vais pas vous détailler lesquels de ces signes me correspondent, ce serait trop long, mais en tout cas, ça vous donne déjà une bonne idée de ce que c’est que la dépendance affective. C’est très souvent le résultat d’un environnement dysfonctionnel dans la famille, où les besoins affectifs fondamentaux de l’enfant n’ont jamais été comblés, ce qui conduit ce dernier à penser qu’il ne mérite pas d’être aimé et qu’il est donc unlovable. Et c’est, par conséquent, ce que j’ai toujours ressenti aussi. Mais je vais reparler de ce sentiment constant d’être mal-aimé, dans le prochain billet d’humeur...
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aw-kk-ward · 3 years
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Ca faisait un bail non?
Putain, 10 années sont passées depuis la folie Tumblr. 10 années que j’ai posté mon dernier billet, 10 années... 
Durant ces dix ans, j’ai changé, beaucoup d’évolution, des régressions, pas mal de déceptions, un lot de douleurs, des rires, des doutes, des décisions. 
D’abord, et pour boucler la boucle, le p’tit mec qui m’avait posé 4 lapins, je l’ai rencontré. On s’est vu, on s’est aimé instantanément, on a passé un merveilleux été puis on a emménagé ensemble au bout de 3 mois de relation. Ca a duré 5 ans bordel. Cinq ans d’amour, de changements, où on a grandi, évolué, et puis où nos routes ont fini par se séparer. Je crois qu’à l’heure actuelle et compte tenu de ma vie à ce jour, c’est ce que je retiendrai de notre histoire. Elle a été belle, puissante, et elle m’a permis de me découvrir. J’suis passée de l’ado à la femme pendant cette relation, parfois dans la douleur, souvent dans l’amour, et toujours avec un fond de soutien. 
J’ai appris que ma mère trompait mon père pendant cette relation. J’ai fait une dépression, j’suis tombée dans le cercle vicieux du joint, ses méandres, ses fou-rires, son addiction. J’ai mis du temps à me sortir de tout ça. Beaucoup de passages à vide, pas mal de remises en question, des “mais putain regarde c’que t’es devenue!” et puis bon, un jour, une page se tourne, et faut suivre le mouvement. J’pense pas être guérie de ce qu’il se passe entre mes parents, j’le serai probablement jamais. Mais j’y travaille encore aujourd’hui, et clairement ça va bien mieux, je prends du recul quand c’est nécessaire et j’apprends que les choix de tes parents ne reflètent pas forcément ce que tu vas vivre dans ta vie. J’ai eu peur de ça, longtemps. Peur de pas pouvoir avoir une vie fonctionnelle alors que clairement ma systémie familiale est “malade”. Mais j’ai espoir de m’offrir autre chose, de plus sain, de plus chouette. 
La weed et moi c’est terminé depuis un an maintenant, ça a mis du temps ouais, beaucoup d’aller-retours, trop. Jusqu’au jour où c’était fini, juste comme ça, j’en avais plus envie. J’voulais autre chose pour moi, me prendre en main, me faire du bien, m’en donner les moyens. Dans les mois qui ont suivi j’me suis remise au sport, j’ai commencé à faire attention à moi, pour de vrai. J’ai arrêté la viande by the way et j’m’en porte pas plus mal ! Par contre, l’histoire d’amour que je vis avec le fromage est éternelle, sorry not sorry. Bon clairement en dix ans y’a quelque chose qui n’a pas changé, je me déteste toujours autant. Y’a eu du mieux fut un temps, puis à nouveaud du moins bien. Faut dire que depuis mes derniers mots ici j’ai perdu plus de 30kg donc forcément y’a eu du mieux ! Mais bon j’crois que mon image et moi y’a rien à faire on s’entend pas. J’crois que j’accepte pas que j’aurais jamais le corps de mes rêves. Je ressemblerais jamais à celle que j’aimerais être et faut que je m’en contente... Y’a encore du taf mais j’y arriverai. D’ailleurs tant que j’en suis à parler de mon corps, il s’est rebellé le con ! Nalouche (mon chat depuis 5 ans, y’en a eu du changement!!!) m’a probablement sauvé la vie (c’est comme ça que j’ai décidé de le prendre faut pas chercher) en me sautant dessus un beau matin ! Résultat découverte d’un kyste ovarien suite à des douleurs impossibles. Retrait de ce vilain garçon la semaine prochaine, wish me luck wherever you are.
Du coup Nala... Ben c’est ma pepette, ma princesse, mon royaume. J’aime cette boule de poil comme mon enfant, j’la chérie, et elle me le rend bien. Pas de panique Havane est chez les vieux, il était pas fait pour la vie en appart et m’a détruit tous les papiers peint qu’il a pu le bougre. Du coup il vit sa meilleure vie avec ma mère qui avait réellement besoin d’un “p’tit garçon” quand elle nous a vu partir définitivement mon frère et moi. 
En parlant de maison, j’en ai acheté une ! Bon clairement je passe les détails mais c’est ma plus grosse connerie. A peine deux mois après l’achat je la remettais en vente, et maintenant y’a plus qu’à s’en donner à coeur joie pour la rendre attractive auprès des potentiels futurs acquéreurs. Je l’aimais bien, pas trop grande, du charme, fonctionnelle, récente, tout confort. Mais trop grande, trop de terrain, trop d’entretien... Bref... Une plaie ! Je rêve d’un studio cosy (à 26 ans t’as pas honte KK?) avec juste ce qu’il faut pour me sentir bien chez moi, faire ma petite vie, inviter mes potes, me reposer et surtout, me recentrer sur moi.
C’est le bilan d’ma vie ça, durant ces 10 dernières années, je n’ai fait que me précipiter dans des cul-de-sacs ! Tantôt pour éviter la réalité, tantôt parce que clairement j’y croyais mais j’étais trop inconsciente pour réaliser le merdier dans lequel je me lançais ! J’ai eu deux “grandes” relations amoureuses, bon clairement la deuxième était vouée à l’échec et j’éprouvais pas grand chose de positif. Voyons cette parenthèse comme un moyen de me punir, ça a très bien fonctionné ! J’ai déménagé à plusieurs reprises, vécu à Dijon, puis à Louhans, et à Beaune (j’te raconterai pourquoi juste après!). Après j’ai fait le grand saut j’suis partie à Bordeaux ! C’était au moment de ma rupture avec “celui aux 4 lapins”, fallait que je change d’air. J’suis finalement retournée chez mes parents genre 2 semaines avant de revenir en Bourgogne, près de Chalon. C’est là qu’est ma vie aujourd’hui, le boulot, les potes, les repères.
Le boulot du coup, parlons-en ! Parce que j’me suis bien cherchée de ce côté là aussi ! Lors de mes derniers billets, j’partais pour devenir psychologue, j’voulais faire ma fac à Dijon et poursuivre sur un master après ma licence. Bon clairement, entre la vie d’indépendance, la rencontre avec Mme Weedas et mon histoire d’amour, la fac... C’était pas le bon bail ! J’ai validé ma première année, c’était cool, intéressant, j’ai fait de super rencontres! Puis la deuxième année autant dire que j’allais pas suffisamment en cours et que mon attrait s’était amoindri... En plus ces cons nous ont introduit la deuxième année en nous disant que tout ce qu’on avait appris en première était faux, pas le genre de truc qui me plaît beaucoup...! On a eu un chien aussi cette année là, Janka. Je passe un peu parce que finalement c’est une histoire habituelle, c’est ton p’tit bébé au début, tu l’éduques, lui apprend plein de trucs, c’est la prunelle de tes yeux... Puis comme tout animal que tu prends dans un refuge elle a ses “vices” et tu finis par juste galérer pour mener ta vie avec cet être à 4 pattes qui te contraint beaucoup. J’l’aimais beaucoup cette cocotte, mais clairement j’étais pas sa maîtresse et c’est bien mieux comme ça. Bref la fac mauvais bail, du coup j’ai bossé d’abord à Roissy comme agent PHMR (pas une bonne expérience du tout bordel) puis à l’usine pendant un an, histoire d’avoir des thunes en attendant d’me trouver. Et c’est ce qu’il s’est passé, un soir, alors que je zonais sur le net pour me donner des idées de “carrières”, je tombe sur ce taf là, infirmière, qui m’avait l’air cool et en plus y’avait ce qui m’avait manqué durant mes deux ans à la fac, le “contact” avec l’humain. Me v’là donc en train de passer mes concours pour finalement être prise à l’IFSI de Beaune. De belles années, de belles rencontres. Devenue infirmière à Bordeaux, j’ai compris par la force des choses (on y reviendra) que ces années de psychologie m’avaient laissé des traces, et que maintenant c’était dans mon ADN. Je serai infirmière en psychiatrie !
Une belle année d’intérim à Bordeaux, encore des rencontres, un premier taf en or. Puis COVID toussa toussa... Inutile de dresser le tableau d’une période inachevée qui restera dans la mémoire de tous. Retour en Saône-et-Loire, le lieu où j’avais finalement bâti ma vie. Toujours IDE psy, j’adore mon boulot, mes collègues, la route que je prends.
J’ai vécu des périodes difficiles durant ces 10 dernières années. Fin de 3ème année d’école d’inf, j’ai souhaité me foutre sous les roues d’un camion sur l’autoroute. J’étais mal dans mes bask’, prise au piège dans une relation qui ne m’avait jamais convenue, dans une ville que je connaissais mal, où d’ailleurs je ne côtoyais quasiment personne. Ma vie me manquait et je ne vivais que pour le boulot. J’ai vu une psychologue. Putain c’que tu m’as aidé Audrey. Tu sauras sûrement jamais à quel point dans ma p’tite vie à moi, ta rencontre a eu de l’influence. Les mots qu’il fallait au moment où j’en avais le plus besoin. Une bienveillance sans faille, une capacité d’écoute à toute épreuve. J’me souviens de ton regard à la fin de la première séance et de ton “vous êtes une guerrière, vous en avez vécu des choses” “ça fait beaucoup pour une personne”. Quand j’suis dans la panade ou que j’me sens pas bien, y’a plusieurs moments de ma vie qui résonnent en moi, celui là en fait parti. Lui, et mon frère qui m’serre si fort dans ses bras que j’aurais pu en crever, un jour où j’avais envie de crever. Le jour où j’me suis faite cracher dessus par mon premier “amour” aussi. Les moments où la vie a pris le pas sur la mort. Les moments où la résilience a fait son taf avec moi. Les moments où j’ai grandi.
Si j’dois faire un bilan de ces dix dernières années, il faut que j’te parle de ce qu’il s’est passé avant, de ce que j’avais pas mûri y’a dix ans. T’sais les douleurs qui font de toi ce que tu es aujourd’hui. 
Julien
Gilian
Andréa
J’vous déteste.
Non on ne trifouille pas dans la culotte de sa petite voisine à l’occasion d’un apéritif entre les parents. J’ai rien à dire de plus, t’es rien ni personne à part le p’tit bâtard mal éduqué des voisins. Même me traumatiser t’as pas réussi à l’faire du con.
Non on ne joue pas au docteur avec sa petite cousine pendant les vacances. Et putain ça me revient que maintenant mais tu m’as pas touché qu’une fois ! J’avais que le souvenir de nous deux dans ma chambre sur le lit, toi qui fais le médecin et moi la patiente. Non non non. Y’a aussi eu le coup où j’étais chez vous dans le sud, j’étais plus vieille putain. Il faisait noir, ta soeur dormait sur le lit “du dessus”, toi sur celui du bas, et moi sur un matelas par terre. J’me souviens de ta main qui se balade dans ma culotte, du noir de la chambre, et de moi qui ne dit rien. Putain mais c’est quoi cette temporalité ? Qu’est-ce que ça signifie ? Tu l’as refait une fois que ça avait éclaté dans la famille ? Tu l’as refait après être allé voir la psy ? Est-ce que même tu as vu une psy toi ? Est-ce que t’as du mentir devant les tests de Rorschach ? Est-ce que t’as senti le regard de tes parents changer en te regardant ? Est-ce que t’as entendu ta famille sous-entendre que t’étais un menteur ? Est-ce que si on échangeait les rôles, t’aurais été suffisamment fort pour prétendre que t’avais menti juste parce que tu comprenais à quel point ça mettait tout le monde dans l’embarras ? Et maintenant ? T’es quel genre de personne ? J’me suis toujours demandé si t’avais pas choisi cette carrière parce que c’était plus simple de vivre dans un sous-marin plutôt que sur la terre ferme avec tes démons. Non, j’irai pas à ton putain de mariage, non, j’te souhaiterai pas tout le meilleur et non, j’veux pas avoir à faire à toi. Si tu savais ce que je m’en veux d’avoir été si bonne menteuse, si bonne actrice, pour qu’aujourd’hui ma propre famille ne comprenne pas ma détresse quand on me parle de toi. Est-ce que j’dois me sentir coupable aujourd’hui ? Est-ce que tu vas faire des enfants ? Est-ce que tu vas les toucher ? Les pénétrer ? Dans ton regard j’vois du vice, dans ton sourire j’vois ce dont tu étais capable quand t’étais encore qu’un gamin. Tu me répugnes.
Et enfin, non, on ne viole pas à répétition sa petite copine sous prétexte d’un manque de confiance tel qu’on a besoin de ça pour se sentir exister. Un an et sept mois. Tu m’auras fait vivre dans une cage dorée pendant dix-neuf putain de mois. Et j’étais amoureuse, et je pensais même être foncièrement heureuse au début. J’me souviens des bleus, j’me souviens des mots, j’me souviens de tout. Ton pyjama de daron blanc cassé, ton “j’t’ai pris une taille XXL, j’voulais être sûr que ça t’aille”, tes “je t’aime” “je sais plus” “j’t’ai jamais aimé connasse”. J’me souviens me remettre en question, tenter de comprendre pourquoi tu me disais que j’étais si jalouse. J’me souviens le regard des autres qui changent autour de moi au fil des mois. J’me souviens faire tes devoirs pour que tu m’aimes, pendant que tu jouais à PES sur PSP. J’me souviens ta moustache naissante, ton regard noisette foncé, ton rire machiavélique et ta poigne sur mon visage. J’me souviens être devenue folle. De tes silences, de tes non-dits, de ma bêtise. J’ai encore en tête ce jour où tu m’as craché dessus devant tout le lycée, celui du déclic, celui où tout a changé. Comment j’ai pu accepté ça si longtemps pour que les 200 personnes autour de moi ne réagissent même pas ? Comment j’ai pu être si seule pendant si longtemps pour devenir invisible à ce point là ? Ce soir là, j’ai pris MON bus. Les jours qui ont suivi, j’me suis soignée, j’ai pansé mes blessures et j’ai compris ce que j’avais subi. J’me souviens de ton dos qui en paie les pots cassés lors d’un cours. Mon crayon de papier qui s’enfonçait, et toi qui bronchait pas. T’as pas émis un son, et t’as bien fait sinon t’aurais du t’expliquer. T’aurais pas pu passer pour la victime ce coup-ci. Ah papa si tu savais à quel point tu n’aurais jamais pu avoir si tort que le jour où je t’ai dit que c’était fini avec lui et que tu m’as répondu que j’étais une salope.
J’ai survécu. J’suis une putain de guerrière. 
Sans soutien, sans même que qui que ce soit ne sache. J’ai continué ma p’tite vie, bâti mes armures, sorti les rames, et j’y suis parvenue. Bon du coup forcément ma psy s’est pris tout ça dans la gueule. Y’avait les histoires de parents nocifs qui vont finir dans les faits divers du journal, le fait que j’me sois toujours occupée de moi toute seule depuis si longtemps, que j’ai clairement été la cendrillon de mes parents pendant des années, qu’on m’ait longtemps rejetée dans mes cercles amicaux, que j’ai été “bully” pendant quelques années d’ailleurs par ces “amis”, que j’ai toujours eu du mal à trouver ma place et que je fasse passer la douleur des autres avant la mienne. Les nombreuses années à taire mes envies d’en finir, à culpabiliser de pas comprendre ce qui n’allait pas chez moi... Bref, Audrey, t’as accueilli tout ça comme une chef et je ne t’en serai jamais suffisamment reconnaissante. 
C’est du passé, j’suis guérie. Y’aura toujours des p’tites failles, des moments de doute, des flashs de ce que j’ai été et aurais pu être. Mais grosso merdo, j’suis guérie. Et tous les jours j’essaye d’être une personne meilleure que la veille, espérant dans plusieurs années regarder en arrière et être fière de ce que je vois.
Ah et clairement, celle que j’appelais ma “meilleure amie” y’a 10 ans ne l’était clairement pas! Bordel si à l’époque j’avais su ce que je sais aujourd’hui ! Mes aïeux ! Maintenant j’ai des amis, des vrais, des personnes sur lesquelles je peux compter. J’ai un p’tit neveu aussi, que j’ai toujours pas rencontré mais qui est gravé dans ma peau. Oui parce que je me suis faite tatouer et percer ! Depuis le temps que j’en rêvais. A ce jour, 7 tatouages... Ouais je crois que le regard de mes parents quand ils ont vu tout ça restera à jamais gravé dans ma mémoire ! J’ai un septum aussi, et j’ai eu les cheveux rouges pendant 5 ans ! Mon père en PLS...
Ah et ta cousine est toujours ta soeur, seulement avec le p’tit bout les choses évoluent ! Un jour peut-être que je comprendrais, mais j’en suis pas là. Les engagements décidément c’est pas ma tasse de thé, j’attendrai d’être prête, avec la “bonne” personne. Ca m’fait penser, un truc qui n’a pas changé en 10 ans, j’adoooore toujours autant regarder des séries ! J’ai eu une période où clairement je ne faisais que ça, et maintenant l’âge adulte fait que ça a nettement diminué. J’ai plus besoin de chercher pendant des heures, tenir un calendrier.. Ca me manque. Mais y’a eu de véritables belles créations ! J’ai fini TBBT, HIMYM et un tas d’autres séries que je suivais à 16 ans... Une page s’est tournée putain. Je rêve plus de ce dont je rêvais à cette époque, je crains plus ce que je craignais à cette époque. En revanche, certaines choses n’ont pas changé pour un pouce. Je déteste toujours autant les injustices et toute forme de discrimination sociale, j’aime aider les autres, user de mon humour pour me sortir de toute situation, voyager. Mes playlists se sont étoffées mais je me surprends à écouter des titres que j’écoutais déjà à l’époque ! J’aime toujours autant les bonbons même si j’en abuse moins, j’ai appris à cuisiner ! J’ai sauvé des vies, perdu des patients, su réconforter, pleuré de fatigue, rigolé nerveusement (beaucoup), fait du hockey, vu Muse et Orelsan en concert... Le film Kaamelott est enfin sorti et c’était une tuerie ! J’ai toujours le frisson de regarder un dessin animé et je bois nettement moins de coca mais plus de café !
J’en oublie probablement beaucoup, mais je tenais à terminer par l’évocation d’un évènement marquant cette année. Voire même l’évènement le plus marquant de cette année...
J’ai rencontré quelqu’un. Hâte de découvrir si cette personne aura sa place dans un billet dans 10 ans.
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Envoutement Amoureux avec photo-envoûtement amoureux rapide
Envoutement Amoureux avec photo-envoûtement amoureux rapide
Whatsapp cliquez ici Envoutement Amoureux avec photo On peut effectuer un envoûtement à l’aide de la magie blanche, de la magie noire ou la sorcellerie, magie vaudou. Chacune de ces magies aura un effet plus ou moins puissant et précis. Bien évidemment, l’envoûtement par la magie noire ou magie vaudou sera le plus puissant mais également le plus destructeur et donc le plus délicat. Cet…
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valeriehervo · 4 years
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Vivre dans l'angoisse perpétuelle de la rupture ne consolide pas le relation amoureuse, bien au contraire. La peur de l'abandon parasite et surtout paralyse le couple, dont l'histoire n'avance plus. Entre peur de la solitude, du rejet ou l'incapacité de certains et certaines à croire au bonheur, cette peur est souvent le déclencheurs de disputes ou de jalousie, parfois maladive.
Des femmes, concernées par ce malêtre constant, ont accepté de raconter leur histoire.
Trop beau pour être vrai
C'est par exemple le cas d'Anna, 34 ans, pour qui l'amour n'a jamais été un long fleuve tranquille. "J’ai longtemps ramé avec les hommes, confie-t-elle pour commencer. Chacune de mes histoires apportait son dénouement sordide et déprimant. Et moi je m’empêtrais à essayer de comprendre – parce qu’évidemment, si ça ne marchait pas c’était de ma faute… "
Mais tout a changé quand elle a rencontré Christophe. "Je l’ai vu débarquer sur son cheval blanc mais, même si la magie a tout de suite opéré, j’ai décidé de brandir mon bouclier pour guetter l’arnaque qui allait forcément arriver", continue-t-elle. Après deux ans de vie commune, la trentenaire continue de la guetter. Même après tout ce temps, elle n'arrive pas à prendre confiance. "Je m’attends toujours à recevoir un coup de couteau dans le dos. Comme si j’allais me réveiller et réaliser que cette histoire n’était qu’un rêve, parce que cette perle dans ma vie, c’est trop beau pour être vrai", craint-elle.
Je pense aussi que je suis terrifiée par la sensation de devenir dépendante. Au fond, par-delà la mauvaise estime de soi, il se joue aussi quelque chose de l’ordre du rapport de force
Pire que tout, elle a peur aussi que Christophe finisse par réaliser qu'il est trop bien pour elle. "Il a beau essayer de me rassurer, j’ai encore cet amer sentiment d’illégitimité. J’essaie de ne pas trop lui montrer combien je suis jalouse et secrètement persuadée qu’il va, un jour ou l’autre, me quitter pour une fille plus belle, plus intelligente…"
Ce manque de confiance en soi a démarré dès la première année de leur histoire : Anna a rivalisé d'imagination pour paraître telle une femme parfaite. "Je me relevais la nuit pour me maquiller en douce et paraître belle au réveil. Je m’inventais des amis et m’éloignais d'autres personnes, pour lui. J’ai fini par craquer et demander de l’aide à un psy", confie-t-elle, aux bords des larmes.
Si le fait d'abord ses complexes était douloureux pour la jeune femme, il était urgent pour elle de comprendre d'où venait cette peur. "Aujourd’hui, malgré mes doutes qui sont toujours là, j’arrive à formuler mes envies, mes goûts, même s’ils sont parfois aux antipodes de ceux de Christophe. Me révéler m’aide à prendre confiance et à réaliser qu’il m’aime peut-être pour ce que je suis", conclut-elle, en partie apaisée.
Quitter avant d'être quittée
Mathilde, 38 ans, vit également dans la peur d'être quittée. C'est d'ailleurs pour celui que depuis son adolescence, elle a toujours fait en sorte de rompre la première. "Enfant du divorce, j’ai beaucoup souffert de voir ma mère idéaliser celui qui l’avait plaquée pour une femme qui ne lui arrivait pas à la cheville. Et je me suis fabriquée en femme volage, refusant la prison du couple et les grandes déclarations bidons. Je m’interdisais l’amour", raconte-t-elle. Jusqu’au jour où Cupidon lui a présenté Marc, face à qui et pour la première fois, elle se retrouvait sans défense.
Très vite, elle est devenue accro à cet homme, bien qu'elle était toujours terrorisée à l'idée de se laisser aller. "Cela fait plus d’un an que j’aime Marc avec passion. Et que, malgré ses paroles rassurantes, je vis dans la hantise qu’il ne mette fin à notre histoire. Qu’il ne se lasse", confie-t-elle. Alors elle vit aux aguets, à la recherche du moindre signe de lassitude. Face à toutes ses angoisses, Marc semble désarmé.
Face à la douleur qu'elle éprouve, Mathilde en vient une nouvelle fois à anticiper la rupture. De plus en plus, lors de disputes, elle lâche des "on arrête, on n’y arrive pas", qui brisent le coeur de son compagnon. "Il y a quelques semaines, pour la première fois, il m’a répondu que j’avais raison", confie-t-elle en un sanglot.
Ce jour là, Marc est parti après la dispute. Lorsque la porte s’est refermée, Mathilde a senti mon cœur s’arrêter. Ce qu'elle redoutais le plus était en train de se produire. Après plus de mille messages envoyés et deux jours de silence, les deux amants ont fini par se retrouver en se promettant de ne plus jamais se faire du mal. "Depuis, je vis avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Je sais que je dois apprendre à ne plus le contaminer par mes doutes. Ce n’est pas à lui de payer mes blessures d'enfant, ni à notre couple", conclut Mathilde encore inquiète.
De l'amour ou des preuves d'amour
Même cas de figure pour Nathalie, 44 ans, qui ne sait pas profiter du moment présent quand elle est en couple. Une intonation de voix différente, un texto qui ne répond pas à ce qu'elle attendait, une phrase pas lue de la bonne manière... Et c'est comme si l'autre était déjà parti. Cette vie de terreur empêche Nathalie d'aimer.  
"J’ai pu le vérifier il y a quelques années  : une histoire d’amour, arrivée un peu comme un cadeau. Je n'avais jamais fait entièrement confiance à cet homme, et cette fois-ic n'a pas dérogé à la règle. J’ai passé mon temps à interpréter le moindre signe, à tester son amour, à chercher des preuves d’amour, à demander la lune et… je l’ai perdu", raconte-t-elle.
On ne peut jamais être sûr(e) de l’amour de l’autre. Anticiper la rupture revient à préférer la certitude qu’on va dans le mur à l’inconnu de ce qui nous attend
Nathalie ne sait pas d'où sort cette peur viscérale de perdre l’autre. ans doute de très loin dans son inconscient. D'autant qu'elle n'est même pas liée à la personne qu’on a en face de soi, c’est comme un tic nerveux. Un truc qui vire à l’obsession et ne laisse pas de place à l’autre.
C’est tout le contraire de l’abandon, de l’écoute, de l’attention à l’autre, de la réception. Le contraire de l’amour. "Je pense aussi que je suis terrifiée par la sensation de devenir dépendante. Au fond, par-delà la mauvaise estime de soi, il se joue aussi quelque chose de l’ordre du rapport de force. On refuse le risque de perdre, et cette quête de réassurance permanente est une façon de vouloir domine l’autre", ajoute la quadragénaire.
Heureusement, avec les années, et beaucoup de réflexion, elle a découvert peu à peu le bonheur de lâcher prise, d’accepter que l’autre puisse juste passer et repartir. D'ailleurs depuis quelques mois, elle vit une jolie histoire et pour le moment, elle reste calme.
Peur de la rupture : la demande a remplacé le désir
Marie Claire  : La peur est-elle forcément liée au sentiment amoureux ?
Sophie Cadalen* : La peur traverse toujours l’amour. Par définition, s’attacher c’est risquer de perdre. On peut craindre l’abandon, la trahison, la mort. On peut aussi avoir peur de ne pas être à la hauteur et que l’autre cesse de nous aimer. Comme on peut avoir peur de ne plus aimer…
Marie Claire  : L’amour est-il possible sans la confiance ?
Sophie Cadalen : Ces femmes qui doutent tant ne sont plus dans le désir mais dans la demande. Il s’agit d’une position de repli sur soi : " Donne-moi des preuves, et après je me risquerai peut-être à t’aimer". Or il est impossible de répondre à cette demande. On ne peut jamais être sûr(e) de l’amour de l’autre. Anticiper la rupture revient à préférer la certitude qu’on va dans le mur à l’inconnu de ce qui nous attend.
Marie Claire  : Certaines sont-elles prédisposées à ces doutes ?
Sophie Cadalen : Oui, celles qui s’accrochent à une idée trop précise qu’elles ont d’elles-mêmes : mal aimées, toujours quittées ou en quête d’un amour idéalisé après avoir été adorées dans l’enfance… Elles redoutent de perdre leur schéma. Or l’amour est une remise en cause de l’image que l’on a de soi. C’est une surprise, du dérangement. L’attente obsessionnelle de preuves est une façon de contrôler. A la question : « Est-ce le bon ? », ces femmes préfèrent : « Suis-je la bonne ? » Elles sont dans une position passive. Elles oublient de s’écouter.
Marie Claire : Comment sortir du doute systématique ?
Sophie Cadalen : Il faut distinguer les histoires où le doute n’est pas infondé (l’amour de l’autre n’est pas satisfaisant) et celles où on est dans le schéma récurrent du « je ne suis pas aimable ». Dans ce cas, il faut faire un retour sur soi. Quitter la position de passivité. Et se confronter à une question essentielle : « Ai-je envie d’y être, moi, dans cette histoire ? » Se risquer à aimer c’est risquer de perdre l’autre. Il faut arriver à se réconcilier avec cette vérité et renoncer au fantasme de l’amour, cet idéal d’un lien qui comblerait tout. Et d’un autre capable de nous sauver.
La peur de l'abandon entraîne des relations amoureuses tumultueuses. Si une personne accède au libertinage avec sa ou son partenaire amoureux , pour éviter d'être quitté-e-, sa  sexualité et son couple risquent d’être en souffrance.
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omagazineparis · 18 days
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Comment aider les ados à gérer les relations amoureuses
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Les premières amours : une étape incontournable de l'adolescence qui peut parfois semer le trouble chez nos jeunes tourtereaux. En tant que parents ou proches, comment aider les ados à gérer les relations amoureuses de manière saine et équilibrée ? Découvrez nos conseils pour accompagner les jeunes dans cette aventure passionnante et parfois délicate. La communication : le maître-mot pour aider les ados à gérer les relations amoureuses Créer un espace de dialogue ouvert et sécurisant Instaurer une relation de confiance avec votre ado est essentiel pour les accompagner dans leurs premières expériences amoureuses. Montrez-vous disponible et à l'écoute, sans les juger ni les sermonner. N'hésitez pas à partager vos propres souvenirs et expériences pour créer un climat de complicité. Encourager l'expression des sentiments Aider les ados à gérer les relations amoureuses passe également par le développement de leur intelligence émotionnelle. Encouragez-les à exprimer leurs sentiments, qu'il s'agisse de joie, de tristesse, de frustration ou de peur. Cela les aidera à mieux comprendre leurs émotions et à mieux communiquer avec leur partenaire. L'importance du respect et des limites dans les relations amoureuses Sensibiliser aux notions de consentement et de respect Apprendre aux adolescents à respecter leur partenaire et à obtenir un consentement mutuel est primordial pour une relation saine. Discutez avec eux de l'importance du respect, de l'égalité et de la communication dans une relation amoureuse. N'hésitez pas à aborder les sujets délicats, comme la sexualité et le consentement, pour les aider à développer une attitude responsable. Aider les ados à définir leurs propres limites Chaque individu a ses propres limites, qu'elles concernent la vie privée, l'intimité ou la sexualité. Aider les ados à gérer les relations amoureuses implique de les encourager à identifier et à exprimer clairement leurs limites. Soutenez-les dans leurs choix et valorisez leur capacité à dire "non" lorsque cela s'avère nécessaire. Soutenir les ados face aux ruptures et aux déceptions amoureuses Accompagner dans la gestion des émotions Une rupture amoureuse peut être une expérience douloureuse pour un adolescent. Pour les aider à gérer les relations amoureuses, soyez présents et soutenez-les dans cette période difficile. Montrez de l'empathie, écoutez leurs ressentis et proposez des activités pour les distraire et les aider à surmonter leur chagrin. Les préparer à affronter les défis du cœur Aider les ados à gérer les relations amoureuses, c'est aussi les préparer à faire face aux défis et aux épreuves qui peuvent surgir. Faites-leur comprendre que les ruptures et les déceptions font partie intégrante des relations amoureuses et qu'elles permettent de grandir et d'apprendre. Encouragez-les à tirer des leçons de leurs expériences et à se relever plus forts. Sujet connexe : Comment gérer les crises d’adolescence de son enfant : guide pratique Promouvoir l'autonomie et la confiance en soi Encourager l'indépendance émotionnelle Pour aider les ados à gérer les relations amoureuses de manière saine, il est important de les inciter à cultiver leur autonomie émotionnelle. Encouragez-les à développer des centres d'intérêt, des passions et des amitiés en dehors de leur relation amoureuse. Ainsi, ils pourront s'épanouir pleinement et éviter de trop dépendre de leur partenaire. Renforcer la confiance en soi Un adolescent confiant en lui-même est plus à même de gérer les relations amoureuses avec sérénité. Aidez-les à développer leur estime d'eux-mêmes en valorisant leurs qualités, leurs compétences et leurs réussites. Encouragez-les à se fixer des objectifs et à persévérer pour les atteindre. Cette confiance en eux les aidera à aborder leurs relations amoureuses avec assurance et à faire des choix éclairés. En instaurant un dialogue ouvert, en les sensibilisant au respect et aux limites, en les soutenant face aux ruptures et en encourageant leur autonomie et leur confiance en soi, vous leur offrirez les clés pour vivre des relations amoureuses épanouissantes et saines. Read the full article
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icebergbrioche · 5 years
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Il faut que tu saches, ce n’est pas une rupture, une déception amoureuse ou un crispement pour quelqu’un qui m’a amené à écrire. Évidemment non. Parler d’amour est facile, léger. Parler de moi ne l’est pas. Alors j’écris pour éviter mes questions, pour m’éviter. Et ce n’est qu’en pleine manœuvre, lors d’un virage romanesque risqué, que je me retrouve face à moi. Ce n’est pas beau à voir, mais c’est beau à lire. Alors, je continue de m’éviter afin de mieux me rentrer dedans, créer un carambolage au fond de moi, un chaos qui remettra certaines choses en place à force de les secouer. Et cela par amour.
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writingplacegym · 3 years
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October 16th - 1000 Words a Day - Le Dîner de cons - Synopsis Film
Pierre Brochant, célèbre éditeur parisien, organise chaque mercredi avec des amis un « dîner de cons » : chaque organisateur amène avec lui un « con », intarissable sur un sujet précis, qu'il a déniché au hasard. Ensuite, les organisateurs se moquent des « cons » toute la soirée sans que ces derniers s'en rendent compte. À l'issue du repas, on choisit le champion.
Un ami, Jean Cordier, lui en a trouvé un fabuleux lors d'un trajet en TGV : François Pignon, employé du ministère des Finances qui se passionne pour les constructions de maquettes en allumettes. Pierre Brochant, victime d’un tour de reins à la suite d'un faux mouvement au golf, décide de le recevoir chez lui avant de l’emmener au dîner, afin de l’« étudier » un peu. Offusquée par le concept d’un dîner de cons et ne souhaitant pas en être complice en rencontrant l’intéressé, Christine, la femme de Pierre, décide de quitter les lieux sous le regard du docteur Sorbier, appelé pour le tour de reins de Brochant, qui semble amusé par le concept de dîner de cons.
Brochant est immobilisé chez lui pour recevoir Pignon et devra se résoudre à renoncer à son dîner. Soudain, Christine laisse un message sur son répondeur pour lui annoncer leur rupture. Pignon, que sa femme Florence a quitté deux ans auparavant pour un collègue que lui-même trouve stupide, comprend sa souffrance psychologique et se met en tête de l’aider malgré les supplications continuelles de Brochant pour être laissé seul.
Brochant demande à Pignon d'appeler le docteur Sorbier pour soigner son tour de reins, aggravé par une chute malencontreuse de Pignon alors qu'ils partaient pour se rendre au dîner. Une nouvelle maladresse de Pignon lui fait appeler le mauvais numéro dans le carnet d’adresses de Brochant. Lorsqu'il demande le nom de la personne au bout du fil, croyant alors parler à « Marlène, sa sœur », il confie dans le détail à cette dernière la détresse amoureuse de Brochant. Brochant explique alors à Pignon qu'il a révélé à Marlène Sasseur, une nymphomane hystérique amoureuse de lui, qu'il est désormais célibataire. Ce dernier, voulant à tout prix éviter qu'elle ne débarque chez lui, charge alors Pignon de la rappeler et de lui dire que sa femme est rentrée, car il sait que s'il le fait lui-même, il en aura pour des heures. Pignon commet une nouvelle gaffe et Marlène est déterminée à venir. Brochant appelle Marlène à son tour, et, dans la conversation téléphonique, Marlène suspecte que sa femme est retournée auprès de Juste Leblanc, qui était le meilleur ami de Pierre, avant qu'il ne lui prenne Christine, femme et coautrice de Leblanc pour leur livre, Le Petit Cheval de Manège. Pignon et Brochant élaborent un stratagème pour en avoir le cœur net. Pignon se fait passer pour un producteur de films, le Belge George Van Brugel des Films du Plat Pays, souhaitant adapter au cinéma le livre écrit à l’époque par Leblanc et Christine. Pignon se prend au jeu et en finit par oublier Christine. Brochant le charge alors de rappeler Leblanc, mais, par maladresse, Pignon révèle à Leblanc le numéro de téléphone auquel il est joignable, qui n’est autre que le numéro de Brochant. Juste Leblanc, qui a démasqué la supercherie, n’a cependant pas gardé de rancœur envers son vieil ami et lui propose de lui dire quelque chose si jamais il en sait plus.
Pierre se prépare à aller au lit et enjoint Pignon de faire barrage si Marlène se rendait chez lui. Prise de remords, Christine décide de rentrer à la maison. Pignon l’intercepte sur le pas de la porte et, la prenant pour Marlène, ment sur l’état affectif de Brochant en lui affirmant qu’il n’est pas affecté du tout par le départ de sa femme. Apprenant de surcroît l’existence d’une maîtresse de son mari, Christine s’en va pour de bon. Pignon confirme à Brochant qu'il a viré Marlène et Juste Leblanc arrive pour aider Pierre à retrouver Christine.
Leblanc suspectant que Christine pourrait s’être réfugiée dans les bras d’un publicitaire connu, l'obsédé sexuel Pascal Meneaux, qui lui a déjà fait des avances, Brochant doit se résoudre à quémander l’aide de Pignon, qui peut lui trouver son adresse, par l’intermédiaire de Lucien Cheval, son collègue du Ministère des Finances qui travaille en ce moment sur le contrôle fiscal de Meneaux. Alors que Pignon regarde le match de foot pour savoir quand est la mi-temps afin d'appeler Cheval tranquillement, il est appelé par un Brochant furieux. La véritable Marlène Sasseur est arrivée au domicile de Brochant. Ne désirant pas la voir, Brochant l’éjecte sans ménagement de son appartement. Brochant se rend compte que Pignon a en réalité renvoyé sa femme et lui ordonne de partir immédiatement, mais Leblanc le convainc de rester afin qu'il appelle Cheval. Après une querelle de supporters de football, qui l'oblige à rappeler une deuxième fois, Pignon invite Cheval à les rejoindre dans l’appartement de Brochant. Branle-bas de combat ensuite pour dissimuler les bibelots et autres tableaux de valeur – provenant visiblement de revenus non déclarés au fisc – qui parsèment l’appartement, Cheval étant « un des meilleurs contrôleurs de la boîte ». N’ayant comme boisson que des grands crus à servir à ses invités, et ayant appris que Cheval a une bonne connaissance des vins, Brochant ajoute du vinaigre dans le vin qu’il compte lui servir pour prétendre qu’il vit modestement. Dès son arrivée, Cheval n’est toutefois pas dupe, ayant repéré les marques sur les murs ou la poussière sur les tables qui trahissent la présence récente de certains objets. Cependant, Cheval reste hilare et ne rate jamais une occasion de faire des plaisanteries, au grand dam de Brochant. Ce dernier s'énerve et Cheval lui donne immédiatement l'adresse. Leblanc lui propose une stratégie : appeler Meneaux en se faisant passer pour un ami de son associé Jean-Paul Roussin et lui faire croire que Brochant et des amis costauds viennent chez lui pour tout casser parce qu'il est au courant pour Meneaux et sa femme. Soit Meneaux vire Christine par panique, soit elle n'est pas chez lui.
Alors que Pignon n’avait cette fois-ci fait aucune gaffe dans le texte à réciter pour passer le coup de téléphone anonyme à Meneaux, ce dernier lui apprend qu’il n’est pas avec Christine, mais avec Charlotte, la femme de Cheval, son contrôleur fiscal, qui le persécute depuis des mois. Désappointé, Cheval rappelle Meneaux et ordonne à sa femme de quitter les lieux immédiatement. Il avale d’une traite le verre de vin trafiqué par Brochant, ce qui l'oblige à se rendre en catastrophe vers les toilettes. Mal orienté par Pignon, il découvre la pièce où ont été entreposés tous les biens de valeur que Brochant voulait lui dissimuler. Reprenant ses esprits, Cheval promet de revenir très prochainement pour un contrôle fiscal en bonne et due forme.
Leblanc quitte l'appartement et promet à Brochant de le prévenir si Christine donne des nouvelles lorsque le téléphone sonne. C'est l'hôpital qui prévient que cette dernière a eu un accident de voiture. Brochant décide de se rendre à l'hôpital seul malgré son tour de reins. Le téléphone sonne à nouveau, Pignon décroche et réceptionne un appel désespéré de Marlène Sasseur, qui regrette de s’être éprise de Brochant, qu’elle considère méchant et égoïste. Elle lui révèle que Brochant participe chaque semaine à un dîner de cons. Pignon comprend alors la véritable nature du dîner auquel il a été convié.
Alors que Pignon réclame des explications sur le dîner, Christine appelle, elle est toujours fâchée après Pierre et lui apprend qu’elle ne veut pas le voir. Ironique avec Pignon, qui le voit désormais comme un homme méchant et désespéré, Brochant se réfugie dans l’alcool et les médicaments.
Pignon décide alors de sa propre initiative d’appeler Christine. Il réussit à la convaincre de changer d’avis en lui expliquant tous les efforts réalisés par son mari pour la retrouver ce soir, et en lui garantissant qu’il s’est débarrassé de sa maîtresse, s’est réconcilié avec son ami Leblanc et a affronté un contrôleur fiscal. Il lui explique également le désastre qu'a provoqué sa rupture avec sa femme deux ans auparavant dans sa vie. Devant l’incrédulité de Christine, qui suspecte que cette conversation a été commandée par Brochant, Pignon prétexte avoir quitté l’appartement et appelé d’une cabine téléphonique. Au terme de cet appel, Christine promet de réfléchir et tout semble enfin arrangé, et Brochant s’excuse humblement auprès de Pignon pour l’avoir considéré comme un « con », s’engageant à ne plus jamais utiliser ce mot à la légère. C’est alors que Christine appelle le domicile de son mari et Pignon décroche le combiné, une nouvelle maladresse qui laissera Christine, voyant que Pignon lui a menti, douter de la sincérité de son mari et raccrocher immédiatement. Tout est à recommencer. La dernière scène montre Pignon navré essayant de rattraper sa bourde irréparable, devant Brochant répétant sans cesse « Mais quel con ! ».
The end of 1543 words.
La COPIE -
11.18am
Pierre Brochant, célèbre éditeur parisien, organise chaque mercredi avec des amis un “dîner de cons”: chaque organisateur amène avec lui un “con”, intarissable sur un sujet précis, qu’il a déniché au hasard. Ensuite, les organisateurs se moquent des “cons” toute la soirée sans que ces derniers s’en rendent compte. À l’issue du repas, on choisit le champion.
Un ami, Jean Cordier, lui en a trouvé un fabuleux lors d’un trajet en TGV: François Pignon, employé du ministère des Finances qui se passionne pour les constructions de maquettes en allumettes. Pierre Brochant, victime d’un tour de reins à la suite d’un faux mouvement au golf, décide de le recevoir chez lui avant de l’emmener au dîner, afin de l’ “étudier” un peu. Offusquée par le concept d’un dîner de cons et ne souhaitant pas en être complice en recontrant l’intéressé, Christine, la femme de Pierre, décide de quitter les lieux sous le regard du docteur Sorbier, appelé pour le tour de reins de Brochant, qui semble amusé par le concept de dîner de cons.
Brochant est immobilisé chez lui pour recevoir Pignon et devra se résoudre à renoncer à son dîner. Soudain, Christine laisse un message sur son répondeur pour lui annoncer leur rupture. Pignon, que sa femme Florence a quitté deux ans auparavant pour un collègue que lui-même trouve stupide, comprend sa souffrance psychologique et se met en tête de l’aider malgré les supplications continuelles de Brochant pour être laissé seul.
Brochant demande à Pignon d’appeler le docteur Sorbier pour soigner son tour de reins, aggravé par une chute malencontreuse de Pignon alors qu’ils partaient pour se rendre au dîner. Une nouvelle maladresse de Pignon lui fait appeler le mauvais numéro dans le carnet d’adresses de Brochant. Lorsqu’il demande le nom de la personne au bout du fil, croyant alors parler à “Marlène, sa soeur”, il confie dans le détail à cette dernière la détresse amoureuse de Brochant. Brochant explique alors à Pignon qu’il a révélé à Marlène Sasseur, une nymphomane hystérique amoureuse de lui, qu’il est désormais célibataire. Ce dernier, voulant à tout prix éviter qu’elle ne débarque chez lui, charge alors Pignon de la rappeler et de lui dire que sa femme est rentrée, car il sait que s’il le fait lui-même, il en aura pour des heures. Pignon commet une nouvelle gaffe et Marlène est déterminée à venir. Brochant appelle Marlène à son tour, et, dans la conversation téléphonique, Marlène suspecte que sa femme est retournée auprès de Juste Leblanc, qui était le meilleur ami de Pierre, avant qu’il ne lui prenne Christine, femme et coautrice de Leblanc pour leur livre, Le Petit Cheval de Manège. Pignon et Brochant élaborent un stratagème pour en avoir le coeur net. Pignon se fait passer pour un producteur de films, le Belge George Van Brugel des Films du Plat Pays, souhaitant adapter au cinéma le livre écrit à l’époque par Leblanc et Christine. Pignon se prend au jeu et en finit par oublier Christine. Brochant le charge alors de rappeler Leblanc, mais, par maladresse, Pignon révèle à Leblanc le numéro de téléphone auquel il est joignable, qui n’est autre que le numéro de Brochant. Juste Leblanc, qui a démasqué la supercherie, n’a cependant pas gardé de rancoeur envers son vieil ami et lui propose de lui dire quelque chose si jamais il en sait plus.
Pierre se prépare à aller au lit et enjoint Pignon de faire barrage si Marlène se rendait chez lui. Prise de remords, Christine décide de rentrer à la maison. Pignon l’intercepte sur le pas de la porte et, la prenant pour Marlène, ment sur l’état affectif de Brochant en lui affirmant qu’il n’est pas affecté du tout par le départ de sa femme. Apprenant de surcroît l’existence d’une maîtresse de son mari, Christine s’en va pour de bon. Pignon confirme à Brochant qu’il a viré Marlène et Juste Leblanc arrive pour aider Pierre à retrouver Christine.
Leblanc suspectant que Christine pourrait s’être réfugiée dans les bras d’un publicitaire connu, l’obsédé sexuel Pascal Meneaux, qui lui a déjà fait des avances, Brochant doit se résourdre à quémander l’aide de Pignon, qui peut lui trouver son adresse, par l’intermédiaire de Lucien Cheval, son collègue du Ministère des Finances qui travaille en ce moment sur le contrôle fiscal de Meneaux. Alors que Pignon regarde le match de foot pour savoir quand est la mi-temps afin d’appeler Cheval tranquillement, il est appelé par un Brochant furieux. La véritable Marlène Sasseur est arrivée au domicile de Brochant. Ne désirant pas la voir, Brochant l’éjecte sans ménagement de son appartement. Brochant se rend compte que Pignon a en réalité renvoyé sa femme et lui ordonne de partir immédiatement, mais Leblanc le convainc de rester afin qu’il appelle Cheval. Après une querelle de supporters de football, qui l’oblige à rappeler une deuxième fois, Pignon invite Cheval à les rejoindre dans l’appartement de Brochant. Branle-bas de combat ensuite pour dissimuler les bibelots et autres tableaux de valeur - provenant visiblement de revenus non déclarés au fisc - qui parsèment l’appartement, Cheval étant “un des meilleurs contrôleurs de la boîte”. N’ayant comme boisson que des grands crus à servir à ses invités, et ayant appris que Cheval a une bonne connaissance des vins, Brochant ajoute du vinaigre dans le vin qu’il compte lui servir pour prétendre qu’il vit modestement. Dès son arrivée, Cheval n’est toutefois pas dupe, ayant repéré les marques sur les murs ou la poussière sur les tables qui trahissent la présence récente de certains objets. Cependant, Cheval reste hilare et ne rate jamais une occasion de faire des plaisanteries, au grand dam de Brochant. Ce dernier s’énerve et Cheval lui donne immédiatement l’adresse. Leblanc lui propose une stratégie: appeler Meneaux en se faisant passer pour un ami de son associé Jean-Paul Roussin et lui faire croire que Brochant et des amis costauds viennent chez lui pour tout casser parce qu’il est au courant pour Meneaux et sa femme. Soit Meneaux vire Christine par panique, soit elle n’est pas chez lui.
Alors Pignon n’avait cette fois-ci fait aucune gaffe dans le texte à réciter pour passer le coup de téléphone anonyme à Meneaux, ce dernier lui apprend qu’il n’est pas avec Christine, mais avec Charlotte, la femme de Cheval, son contrôleur fiscal, qui le persécute depuis des mois. Désappointé, Cheval rappelle Meneaux et ordonne à sa femme de quitter les lieux immédiatement. Il avale d’une traite le verre de vin trafiqué par Brochant, ce qui l’oblige à se rendre en catastrophe vers les toilettes. Mal orienté par Pignon, il découvre la pièce où ont été entreposés tous les biens de valeur que Brochant voulait lui dissimuler. Reprenant ses esprits, Cheval promet de revenir très prochainement pour un contrôle fiscal en bonne et due forme.
Leblanc quitte l’appartement et promet à Brochant de le prévenir si Christine donne des nouvelles lorsque le téléphone sonne. C’est l’hôpital qui prévient que cette dernière a eu un accident de voiture. Brochant décide de se rendre à l’hôpital seul malgré son tour de reins. Le téléphone sonne à nouveau, Pignon décroche et réceptionne un appel désespéré de Marlène Sasseur, qui regrette de s’être éprise de Brochant, qu’lle considère méchant et égoiste. Elle lui révèle que Brochant participe chaque semaine à un dîner de cons. Pignon comprend alors la véritable nature du dîner auquel il a été convié.
Alors que Pignon réclame des explications sur le dîner, Christine appelle, elle est toujours fâchée après Pierre et lui apprend qu’elle ne veut pas le voir. Ironique avec Pignon, qui le voit désormais comme un homme méchant et désespéré, Brochant se réfugie dans l’alcool et les médicaments.
Pignon décide alors de sa propre initiative d’appeler Christine. Il réussit à la convaincre de changer d’avis en lui expliquant tous les efforts réalisés par son mari pour la retrouver ce soir, et en lui garantissant qu’il s’est débarrassé de sa maîtresse, s’est réconcilié avec son ami Leblanc et a affronté un contrôleur fiscal. Il lui explique également le désastre qu’a provoqué sa rupture avec sa femme deux ans auparavant dans sa vie. Devant l’incrédulité de Christine, qui suspecte que cette conversation a été commandée par Brochant, Pignon prétexte avoir quitté l’appartement et appelé d’une cabine téléphonique. Au terme de cet appel, Christine promet de réfléchir et tout semble enfin arrange, et Brochant s’excuse humblement auprès de Pignon pour l’avoir considéré comme un “con”, s’engageant à ne plus jamais utiliser ce mot à la légère. C’est alors que Christine appelle le domicile de son mari et Pignon décroche le combiné, une nouvelle maladresse qui laissera Christine, voyant que Pignon lui a menti, douter de la sincérité de son mari et raccrocher immédiatement. Tout est à recommencer. La dernière scène montre Pignon navré essayant de rattraper sa bourde irréparable, devant Brochant répétant sans cesse “Mais quel con!”.
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christophe76460 · 3 years
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JE LAISSE MES ERREURS DU PASSÉ DERRIÈRE ET J'AVANCE SEREINEMENT AVEC JÉSUS
És. 43:18 (Version Français courant) : Ne pensez plus au passé, ne vous préoccupez plus de ce qui est derrière vous.
2 Co. 5:17 (Version Parole de vie) : Alors, si quelqu'un est uni au Christ, il est créé à nouveau. Ce qui est ancien est fini, ce qui est nouveau est là.
Comment avancer vers son avenir si on garde les yeux fixés en arrière et surtout si on reste attaché aux traumatismes de notre passé ?
Oui nos erreurs et nos expériences du passé nous sont utiles, elles nous servent de rappel pour notre présent et pour notre futur afin de ne plus reproduire les mêmes schémas. Mais ce n'est pas pour cela qu'il faut se ressasser des sentiments amers et se dire des phrases de type <<j'aurais (pas) dû>> ou <<pourquoi je n'ai pas fait comme cela>> etc...Nous avons droit à une nouvelle chance, Jésus Christ est mort à la croix pour cela. Quand votre passé vous bloque et vous empêche d'avancer cela est un signal qu'il y a un problème. Confions à Dieu ce fardeau et prions pour que nous soyons libéré.
Père céleste, je viens vers Toi afin que Tu m'apporte Ton aide. J'ai besoin de laisser ce passé qui m'empêche d'aller de l'avant. C'est dans le puissant nom de Jésus-Christ que je prie Père pour que je puisse dès maintenant ne plus me laisser envahir par les souvenirs de ce que j'ai vécu auparavant. Je reconnais que j'ai encore des choses qui m'attachent et que je n'ai pas lâché prise de tout cela. Je me dois de prendre pour ma vie, pour avenir, la ferme décisions de laisser derrière moi mon passé et de me concentrer sur mon présent et mon futur. Père céleste je Te demande de me donner la capacité d'accepter mon passé et ne plus être nostalgique. Enlève de mon cœur cet arrière goût que j'ai quand je pense à tout ce qui m'est arrivé. Aide-moi à m'en détacher. J'ai besoin de ne plus me laisser submerger par ces souvenirs, ces échecs, ces mauvaises décisions, ces mauvaises rencontres.
Je porte le poids de : nommer ce qui vous pèse et parlez à Dieu de(s) l'événement(s) (une rupture amoureuse, un échec professionnel, une grosse dispute, la fin d'une amitié ect..).
Je dois accepter que le passé ne puisse pas être changé. Tout est nouveau maintenant, je dois avoir une nouvelle façon de penser et de percevoir les choses, pour éviter justement de refaire les mêmes erreurs ou me retrouver dans les mêmes situations. Soutiens-moi afin de mettre fin à toutes relations qui me garde en arrière. J'ai besoin de couper les liens avec toutes ces personnes qui me font me rappeler mes erreurs, mes fautes. Tous ceux qui me répètent ce qui est ancien et qui font des allusions et des comparaisons. Je vais aussi m'occuper de me débarrasser de tout ce qui est matériel. Je range les objets et les photos qui portent des émotions et des souvenirs négatifs. Dès maintenant je décide de résister aux peurs et aux craintes et je saisi les nouvelles opportunités que j'ai pour ma vie.
Père céleste, je Te remercie pour le souffle de vie et pour cette nouvelle opportunité que Tu m'offres. Je prends réellement conscience de cette grâce. J'ai prié pour que Tu me montres comment faire pour ne plus souffrir et pour ne plus m'enfermer dans ce passé. Gloire à Toi Père parce que Tu accomplis des miracles dans ma vie. Au nom de Jésus, Amen.
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adultereetinfidele · 4 years
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10 façons d'éviter l’infidélité dans les relations
L’infidélité dans les relations est monnaie courante. On peut supposer que la plupart des partenaires tromperont à un moment donné dans une relation engagée. Pourquoi ? Je vais répondre à cette question de plusieurs façons, puis vous apprendre à vous prémunir contre ce genre de situation. Mais d'abord, quelques statistiques.
Le taux de divorce en France pour les premiers mariages est proche de 50 %, et nettement plus élevé si l'on inclut les deuxièmes et troisièmes mariages. Les divorces n'impliquent pas nécessairement un adultère, mais les deux sont liés. L’infidélité est parfois une cause de divorce et parfois le symptôme d'une relation affaiblie. On estime que la moitié des partenaires mariés trompent leur conjoint. Si l'on inclut les autres types de relations engagées, le pourcentage d'infidélité augmente.
Je ne veux pas dire par là que l’infidélité est toujours une mauvaise chose. Les aventures extra conjugales peuvent parfois rendre une relation plus forte, comme peuvent en témoigner de nombreux patients de conseillers conjugaux. Alors qu'un couple peut avoir négligé sa vie sexuelle, ne pas accorder suffisamment d'attention à son lien affectif ou ne pas communiquer honnêtement sur ses besoins et ses désirs, une liaison peut parfois inciter un couple à se reprendre en main et à fonctionner de manière plus sûre.
Tromper peut parfois être un moyen de mettre fin à une relation malsaine ou de clarifier ce qui est vraiment épanouissant. Une liaison peut être un moyen de faire un pas dans une relation stagnante plutôt que de rester dans les limbes pendant des années. Mais la tromperie est aussi généralement une expérience très douloureuse pour un ou deux partenaires engagés.
Je ne veux pas non plus insinuer que les relations monogames sont en quelque sorte meilleures que d'autres types d'arrangements. À chacun son truc. Mais dans l'ensemble, la plupart des gens dans le monde occidental choisissent encore de fonctionner dans des relations engagées mutuellement convenues.
Il est donc logique d'explorer ce qui conduit à l’infidélité et comment protéger votre relation contre elle, ou du moins de mettre toutes les chances de votre côté. D'autant plus que l’infidélité peut avoir un effet négatif non seulement sur les adultes en relation, mais aussi sur les jeunes enfants qui dépendent physiquement et émotionnellement de la stabilité des relations entre adultes.
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1. Avoir des accords
L’auteur du livre “Wired for Love”, a écrit sur l'importance d'avoir des accords explicites. "Tout ce qui est supposé n'existe pas vraiment", dit-il. Les accords doivent être clairs et porter sur la façon de gérer les avances des autres, sur les informations à partager (l'attirance pour les autres) et sur la rapidité avec laquelle vous vous racontez des expériences romantiques ou amoureuses.
Il devrait y avoir une conversation sur ce qui constitue de l’infidélité, car au départ, les partenaires ne sont pas forcément sur la même longueur d'onde. Par exemple, un partenaire peut penser que c'est bien d'aller danser avec ses amis, de flirter avec des gens et même de recevoir des baisers "innocents" sur la piste de danse, alors que son partenaire peut considérer que ce comportement est hors limites.
Les partenaires peuvent avoir des idées très différentes sur ce qui constitue une liaison émotionnelle et sur la question de savoir si elle peut être qualifiée de l’infidélité.
2. Soyez une rock star
La meilleure défense contre la l’infidélité est une bonne relation. Lorsque nos besoins sont satisfaits sur le plan physique et émotionnel, nous n'avons pas autant intérêt à chercher ailleurs. Examinez dans quelle mesure vous répondez aux souhaits et aux besoins de votre partenaire et dans quelle mesure ils répondent aux vôtres. Veillez à renforcer les points faibles et à communiquer honnêtement sur ce dont vous avez besoin pour vous sentir épanoui et pleinement heureux.
3. Entretenez votre jardin
Faites des choses ensemble qui vous mettent au défi de grandir ensemble. Nous changeons tous en vieillissant. Il ne suffit pas de mettre nos partenariats sous contrôle de vitesse et de s'attendre à ce qu'ils durent. Comment allez-vous suivre l'évolution des pensées, des préférences, des idées et des désirs de votre partenaire ? Comment vont-ils suivre les vôtres ? Lisez des livres ensemble, participez à des séminaires ou trouvez un bon programme d'éducation relationnelle en ligne pour que votre partenariat reste à la pointe du progrès et que vous vous découvriez continuellement.
4. Comprendre votre partenaire pour éviter l’infidélité
Cela semble simple. Mais ce n'est pas le cas. Votre partenaire a toutes sortes de pensées et de sentiments secrets qu'il ne vous dit probablement pas, ni à personne. Encouragez l'honnêteté avec beaucoup de compassion et sans jugement. Découvrez les quelques choses sur votre partenaire que personne d'autre ne sait. Utilisez ces informations pour être "à l'intérieur" chaque jour en ce qui concerne ses expériences dans la relation, au travail et avec lui-même. Sachez des choses que leur mère ou leurs amis ne savent même pas. Ces connaissances vous rendent précieux d'une manière que peu d'autres peuvent reproduire.
5. Pour combattre l’infidélité, ne soyez pas jalouse, soyez meilleure
Si vous pensez que l'attention de votre partenaire est en train de s'éloigner, elle peut le pousser à se mettre en colère et à se montrer critique à son égard. La jalousie est naturelle, mais essayez de vous concentrer sur le fait de courtiser votre partenaire encore plus avec vos talents et vos capacités. Donnez-lui une raison supplémentaire de vous aimer et de vous apprécier.
Le fait d'être fâché contre lui peut l'effrayer temporairement et l'inciter à être plus prudent, mais ce n'est pas une stratégie efficace à long terme et, souvent, elle ne fonctionne pas non plus à court terme. Vous ne pouvez pas garder un partenaire fiable ou heureux en utilisant les menaces et la peur. Seules les raisons positives d'être ensemble constituent une colle qui vous protégera de l'intervention des autres.
6. Allez voir un conseiller de manière occasionnel
Nous sommes au XXIe siècle. Les stigmates de la consultation d'un conseiller de couple sont depuis longtemps disparus. Trouvez un bon thérapeute compétent et voyez-le pour un soutien relationnel "positif et proactif". Allez-y avant d'avoir des problèmes majeurs. Après, il est souvent trop tard pour que le conseil soit pleinement efficace. Nous avons tous des points aveugles dans notre relation avec les autres. Certains d'entre eux proviennent de notre histoire familiale, comme les choses que nos parents avaient tendance à faire dans leur relation ou, plus important encore, ce qu'ils ne faisaient pas les uns avec les autres.
Notre carte de relations saines et sûres n'est généralement pas plus précise que ce que nous avons vu et vécu de première main. Des conseils, ne serait-ce que quelques séances ici et là, peuvent nous aider à élaborer une carte plus complète de la manière de soigner nos partenariats et de partager la vie ensemble de manière plus agréable.
7. Justifiez votre existence
Vous devez être la personne à contacter. Tout ce que vous ne fournissez pas en termes de besoins émotionnels, intellectuels et physiques, votre partenaire le recherchera auprès des autres. Et ils devraient le faire. En d'autres termes, nous cherchons tous à satisfaire nos besoins, et si notre partenaire n'est pas là d'une certaine manière, nous en trouvons d'autres. Ces autres constituent parfois la base d'une liaison, ou d'un lien émotionnel qui remplace notre partenaire, ou qui enlève au partenariat l'énergie dont il a vraiment besoin pour se développer et s'adapter.
Pensez que le fait d'être un partenaire est une façon de postuler à un emploi tous les jours. Pourquoi votre partenaire devrait-il vous garder et ne pas vous licencier ? Que faites-vous que quelqu'un d'autre ne peut pas faire facilement à la place ? Vous devez être tellement bon que les autres ne peuvent pas vraiment vous concurrencer. C'est, plus que tout, le secret pour éviter les séparations et les ruptures, et cela fonctionne bien mieux que la peur et la culpabilité.
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8. Pourquoi ne pas être infidèle ?
Nous ne sommes pas faits pour la monogamie. Biologiquement, il y a de nombreux impératifs à la tromperie, à commencer par le système immunitaire et les protections cellulaires supplémentaires qui proviennent du mélange du pool génétique. Alors pourquoi rester fidèle ? Eh bien, il doit y avoir d'excellentes raisons pour rester engagé. Quelles peuvent-elles être ? Après tout, le centre de convoitise physique du cerveau se nourrit vraiment de nouveauté, d'étrangers et d'exotisme. Laissée à elle-même, cette partie du cerveau peut agir sur les désirs d'autres personnes que notre partenaire.
Pensez aux avantages de l'engagement : Un partenaire qui vous connaît mieux que quiconque ; quelqu'un avec qui vous avez partagé l'histoire et les souvenirs de votre vie ; quelqu'un sur qui vous pouvez compter ; quelqu'un qui, lorsque notre beauté s'estompe, que notre jeunesse a disparu et que notre santé et notre libido diminuent, veut toujours être notre compagnon et partager la vie ensemble ; quelqu'un avec qui vieillir. Vous et votre partenaire devez vous rappeler les raisons de votre engagement pour que la partie animale de votre cerveau ne fonctionne pas sans contrôle.
9. Limiter les possibilités d’être infidèle
Les liaisons et la tromperie sont avant tout un problème lié à la force et à la satisfaction de notre relation actuelle, il est donc toujours préférable d'y regarder de plus près avant de rejeter la faute sur les autres ou sur les circonstances. Mais en deuxième lieu, en tant que coupable contributif, il y a l'opportunité. Les liaisons et l’infidélité sont souvent fonction de l'opportunité. Voyager avec un collègue, se rendre à une fête en retard sans son partenaire, passer beaucoup de temps seul, boire trop, ou avoir des activités et des cercles sociaux indépendants peuvent créer des opportunités.
Alors que faire ? Soyez particulièrement attentif à ce genre de situations. Essayez de faire des choses ensemble, pour que les autres n'aient pas autant d'accès. Restez en contact pendant la journée, et envoyez des SMS si l'un de vous est absent tard dans la nuit. Enregistrez-vous pendant le voyage et envoyez des colis de soins affectueux à votre compagnon de voyage pour qu'il se sente en contact avec vous. Si les autres commencent à trop envoyer de textos ou à trop appeler votre partenaire, il est juste de demander qu'une partie de cette énergie soit redirigée vers la relation principale.
10. Communiquez pour vaincre l’infidélité
Parlez fréquemment et ouvertement de sexe, de fantasmes et de désirs. Essayez ensemble de nouveaux passe-temps pour que les choses restent amusantes, humoristiques et excitantes. Riez ensemble, luttez. Essayez un cours inhabituel. Choisissez des émissions de télévision à regarder ensemble que vous n'avez jamais vues.
Demandez à d'autres couples d'amis des idées de voyages et d'expériences locales qu'ils ont aimées. Essayez de nouvelles choses dans la chambre à coucher. Faites des choses un peu gênantes, mais qui restent dans votre zone de confort. De nouvelles activités passionnantes, en particulier dans le domaine de l'intimité émotionnelle et physique, maintiennent votre intérêt et vous aident à créer des liens.
Conclusion sur l’infidélité
La meilleure protection contre l’infidélité et les liaisons dangereuses est de s'assurer que votre relation est trop géniale pour qu'on y touche. Pour maintenir la sécurité de votre engagement, il est plus efficace d'être attirant pour votre partenaire au quotidien que la peur, la culpabilité ou les menaces. Garder les choses fraîches dans votre amitié et votre vie amoureuse stimule en outre le cerveau de manière à maintenir l'attention au sein du partenariat principal.
Et si vous soupçonnez votre partenaire de chercher ailleurs un coup de fouet érotique ou une amitié émotionnelle plus profonde que ce que vous lui offrez habituellement, prenez des mesures pour améliorer votre jeu plutôt que de menacer de partir ou de devenir trop critique.
Parfois, des moments d'intérêt pour d'autres personnes et d'autres expériences peuvent vous indiquer où vous devez mettre les gaz en tant que partenaire ou couple. L'amélioration de votre relation doit être une constante. Concentrez-vous sur votre propre renforcement, sans vous préoccuper trop des autres et du monde extérieur.
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les-monumentales · 4 years
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Camille Claudel
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1864-1943 Sculptrice France
Camille Claudel, souvent associée à sa vie amoureuse et ses années de maladie mentale, est avant tout une sculptrice de génie et l’artiste la plus douée de sa génération.
Jeune étudiante, elle arrive à Paris pour se perfectionner. L’École des Beaux-Arts étant alors interdite aux femmes, elle s'oriente vers une académie payante. Dans l’atelier où s’entassent les élèves, il est compliqué de porter une robe : les élèves féminines doivent demander une autorisation préfectorale de travestissement, renouvelable tous les six mois, pour avoir le droit de porter un pantalon.
Camille Claudel, élève du sculpteur Auguste Rodin qui y enseigne, est vite repérée : particulièrement douée, elle devient rapidement, plus que son élève, son assistante. Les deux artistes s’influencent mutuellement. Si Claudel est à la fois modèle et muse, elle instille à son oeuvre un souffle de vie qui n’existe pas dans celle plus austère de Rodin.
Sa progression se fait avec un enjeu : que la sculpture devienne pour elle un moyen de reconnaissance et d’émancipation financière. Ses œuvres vivantes et sensuelles, comme La Valse ou L’abandon, ses nus, lui valent les foudres de la censure, qui malgré les éloges, refuse Claudel au Salon, tandis que le succès de Rodin grandit. Ce dernier mène par ailleurs une vie bien rangée, en couple malgré sa liaison avec Claudel. À l’époque, quand un homme trompe sa femme, c’est surtout la faute de la maîtresse et les critiques pleuvent sur elle.
Désireuse de montrer que la rupture avec Rodin n’est pas uniquement affective, elle évolue dans son travail préparatoire, se spécialise dans des petits formats. Claudel reçoit peu de commandes. L’une d’entre elles, l’Âge mûr, qui représente un couple vieillissant face à une jeune fille, est refusée par le ministère des Beaux-Arts, qui y voit une nuisance à la renommée de Rodin, lequel profite de commandes publiques régulières qui lui assurent un train de vie confortable.
Les rejets, la grande précarité dans laquelle se trouve Camille Claudel fragilisent sa santé morale, psychique et physique. Délaissée par son maître sculpteur, elle l’est aussi par son frère Paul, dont la carrière littéraire au zénith lui donne peu de temps pour éprouver de l’empathie pour sa sœur qui devient instable. En 1913, la maladie mentale de Claudel se déclare. Sa famille la fait interner pour éviter le scandale et expier « les crimes » commis dans une vie trop émancipée. À l’isolement total pendant trente ans, Camille Claudel n’est pas soignée. Elle attend longuement la délivrance mais meurt finalement de faim en 1943. Elle est enterrée dans une fosse commune.
Rodin lègue ses œuvres à l’État mais exige qu’une salle soit dédiée aux œuvres de Claudel. En 1913, l’hôtel de Biron devient bien le musée Rodin, mais l’oeuvre de la sculptrice n’intègre les lieux qu’en 1952.
Photo : César - Wikimédia - Domaine public
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entrelesdraps · 7 years
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Constellation
Ça doit pas être inutile de faire une petite liste des gens avec lesquel-le-s j’ai tissé des liens ces derniers temps, même si j’ai attaqué direct par une histoire. Comme j’ai remis à plat certaines relations ces jours-ci, on va dire qu’en plus, cela tombe assez bien.
Dans l’ordre chronologique d’apparition ces six derniers mois il y a donc...
...le Barbu Doux. Il se définit comme polyamoureux, bien qu’il n’entretienne pas plusieurs relations suivies. J’ai développé un solide crush à son égard après ma rupture de mai, mais il ne s’est rien passé de plus entre nous que des bisous et de chastes câlins. Au fil du temps, ça m’a beaucoup chiffonnée, et il m’a fallu des semaines pour trouver le courage de lui parler de mes sentiments et lui demander ce que je représentais pour lui. C’est ce que j’ai fait un samedi soir, à 5h du mat’ avec 4g dans chaque bras (car quel meilleur moment pour dire “faut qu’on parle” à quelqu’un n’est-ce pas ?). La discussion a été fructueuse, riche, bienveillante et touchante, et elle m’a permis de confirmer ce qu’il était néanmoins facile de déduire : il sait pas trop ce qu’il veut, à mon égard ou même de manière générale dans ses relations en ce moment, et donc préfère ne rien vouloir. Mais il apprécie nos échanges de douceurs lorsqu’ils se présentent et m’apprécie moi. Clairement ça n’ira donc pas plus loin en l’état actuel des choses, mais il sait aussi à présent que j’ai des sentiments pour lui.  On a conclu que c’était bien d’avoir parlé, lui-même ayant un peu eu envie de le faire mais pas le courage de s’y coller avant,  que c’était bien comme ça, qu’on était content-e-s de se connaître, et que continuer comme ça est tout à fait bien, maintenant que tout le monde sait ce qui se passe chez l’autre.  Moi qui étais très proche de conclure, à Samhain, qu’il fallait faire le deuil de ce que j’attendais avec lui, je suis en vrai bien contente d’avoir trouvé mon courage, malgré le timing douteux. Ça m’est paradoxalement beaucoup plus facile d’admettre que je suis (un peu) amoureuse de lui, en sachant à quoi m’en tenir par ailleurs (ça facilite le lâcher prise, en vérité). 
...Jack Harkness et Altaïr. Jack est un camarade de promo et Altaïr, sa compagne. Ce sont mes amant-e-s libertin-e-s depuis quelques semaines, bien que nous nous connaissions depuis deux ans. Jack est un ami très proche, avec qui les liens ont mis du temps à se tisser, et se sont renforcés depuis ma rupture de mai et la fin des cours. Ne plus être camarades de classe (et moi, en couple exclusif) a fini de nous rapprocher dans un contexte plus agréable que les cours (que nous avons tous deux vécu, à notre niveau, comme un enfer de deux ans). Sa chérie, Altaïr, est une femme extrêmement intelligente et géniale. Je la connais moins, mais on s’entend à merveille. Ils sont tous les deux très amoureux, très parents d’un petit bonhomme magnifique, très attentifs aux désirs et limites de l’autre, et absolument complices dans le vice.  On s’est réciproquement tournés autour à partir de fin septembre, et ils ont fini par prendre les devants à une soirée chez des potes communs. Ce dont je suis fort fort fort satisfaite, partager leur lit étant une activité des plus agréables. On se marre bien, on papote et on se mélange, c’est parfait. La situation est limpide, eux n’étant pas du tout branchés sur le canal polyamour, mais pas non plus le cliché des libertins qu’on aime pas. Ils préfèrent s’amuser avec des gens qu’ils apprécient sincèrement. Dont acte, nous partageons en effet une grande amitié et beaucoup d’affection. Je passe par chez eux une fois par semaine au moins, ne serait-ce que pour bosser les cours (pour la blague, Jack et moi poursuivons la même formation a distance), et donc pas toujours, loin s’en faut, pour le cul (et tant mieux).  J’apprécie énormément cet aspect des choses, et je ne passe pas (comme ça m’est arrivé par le passé) mon temps à me demander quelle est ma place. Ils ont aussi cette règle entre eux qu’ils ne font rien l’un sans l’autre, et se font totalement confiance à cet égard. Ça en fait des personnes très saines à fréquenter, et je ne regrette pas une seule seconde d’avoir mis le pied dans leur lit.
... et Neko, dont j’ai parlé précédemment. Je suis personnellement toujours en phase de décantation/réétalonnage de mes sentiments, mais on va se revoir très vite, ça me rend très heureuse, et curieuse de voir ce que cela va donner. Nous avons eu une looooongue conversation au téléphone hier, où je lui narrais les meilleurs morceaux de la soirée de samedi et où elle me racontait la sienne, franchement pas terrible. On a dérivé sur ce qui se passe entre nous, pour conclure que c’est très cool, qu’on fait notre vie sans se cacher de trucs importants (pas la politique de la maison ni d’un coté ni de l’autre de toute manière), que de toute façon, on a toujours eu une place spéciale dans le cœur l’une de l’autre, et que bon, quoiqu’il se passe à côté cela risque moyen de changer,  et qu’on va éviter de se faire souffrir, parce qu’on l’a déjà bien assez fait jadis. Elle m’a dit n’avoir jamais cessé d’être amoureuse de moi, je lui ai avoué que pour ma part, c’était une chose à laquelle je m’étais interdite de penser pendant des années. Mais je n’ai néanmoins jamais cessé de l’aimer, d’une façon ou d’une autre. Nous verrons donc si on est sur une dynamique “plan pourri dont j’ai le secret” ou sur une affaire qui fait du bien à tout le monde, ou un truc entre les deux, on sait jamais, vu qu’en ce moment, je me retrouve de moins en moins souvent à naviguer dans les extrêmes. Je prends les choses comme elles viennent, sur ce coup-là : je n’attends rien de particulier, et je profite de ce qui se présente (cf le lâcher prise du début de tout ceci)
Il y a d’autres personnes, genre que je (re)mettrais bien dans mon lit, ou avec lesquelles je partage des trucs un peu spéciaux, mais voilà déjà pour quelques personnages principaux.
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magic-office · 5 years
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Le pot de départ qui donne envie de rester
En général, les pots de départ, c’est comme la conjonctivite : moins on en a, mieux on se porte. Pourtant, les départs constituent un temps fort de la vie de l’entreprise : l’occasion de se serrer une dernière fois la pince et de laisser un souvenir impérissable à ceux qui restent, comme à ceux qui partent. Bref, l’occasion d’un vrai moment d’émotion, pour les plus fleurs bleues, ou d’un vrai moment de team building, pour les plus cyniques.
Pourquoi (encore) vous, et pas Gilbert du marketing ?
De plus en plus, l’organisation du pot de départ revient à Bernard, celui qui s’en va – et à ses copains de bureau. Néanmoins, l’office manager du tonnerre que vous êtes a toutes les raisons de s’impliquer dans ce type d’événement. Qu’il s’agisse d’une rupture conventionnelle, d’une fin de stage ou d’un départ en retraite, le pot de départ clôture un parcours qui mérite d’être célébré – même si dans le cas d’un licenciement, il faudra la jouer fine au moment du discours.
Comment qu’on s’organise ?
Le but étant avant tout de faire plaisir à Bernard, et non de lui imposer un dernier supplice, soyez à l’écoute de ses envies. Petit comité ou grand raout, petit déj formel ou apéro surprise, chaque collab mérite un événement un minimum personnalisé (pas au point de customiser tout le bureau, faut pas déconner). N’oubliez pas de lancer les invitations par mail une dizaine de jour auparavant, pour éviter un grand moment de solitude le jour J (et une indigestion de chips).
Ne tournons pas autour du pot
Plutôt que de prévoir vingt-cinq paquets de bretzels que personne ne finira, renseignez vous pour connaître les préférences culinaires de Bernard. N’hésitez pas à faire appel aux collègues cuisiniers et à mettre Martine de la compta et son fameux cheese cake à contribution. Pour les cadeaux, pensez à faire signer une carte à tout le monde. Le must : une vidéo avec petits messages personnels adressés par les collabs. Investissement moindre, mais effet kleenex garanti. Bien sûr, en plus de la carte et de la vidéo, vous aurez pris soin d’organiser une petite cagnotte en amont pour le traditionnel cadeau de départ. Et si Bernard n’apprécie pas ses nouvelles chaussettes en angora violet, choisies amoureusement par vous, et ben ce sera vraiment pas de pot.
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valeriehervo · 5 years
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Les us et coutumes en matière de séduction, de rencontres, de relations, de sexualité ou encore de ruptures amoureuses ne cessent d’évoluer. Pas toujours pour le mieux, d'ailleurs. Pour s’y retrouver ou pour mettre un nom sur ces “nouveaux comportements” amoureux - qui parfois relèvent plutôt de la goujaterie, voici un lexique (non-exhaustif) des termes utilisés. Et oui, la plupart du temps, ce sont des mots anglophones : à croire que les anglosaxons ont une longueur d'avance en ce qui concerne l'amour, et aussi la muflerie du coup.
Le “Ghosting” ou la disparition fantomatique
C’est peut-être le terme le plus connu ou usité de ces dernières années. Se faire ghoster désigne le fait que celui ou celle avec qui on flirte décide unilatéralement de nous zapper de sa vie et préfère disparaître sans un mot, plutôt que de donner une explication.  
Le “Zombieing” ou le fait de recontacter son ex de temps en temps
Vous vous aimiez, vous vous êtes quittés, il (ou elle) a disparu … et puis de temps en temps, sans crier gare, il réapparaît. Son but ? Venir hanter votre esprit et vérifier que vous êtes toujours réceptive à son charme.
Le “stashing”  ou l’amour planqué
Il vous aime, certes, mais pas au point de vous “assumer”. Non, votre partenaire préfère compartimenter sa vie et surtout, ne pas vous “montrer” à ses amis ou sur les réseaux sociaux. Reste à savoir si c'est pour vous protéger ou une tentative de manipulation.
Le “kittenfishing” ou quand votre nouveau flirt s’arrange avec la vérité
Vous flirtez depuis quelques heures/jours/semaines avec un nouveau partenaire rencontré sur une application ou un site de rencontres, mais voilà ce dernier s’arrange un peu avec la vérité et a tendance à abuser du “marketing de soi”. Photos filtrées, CV gonflé ... Pas très honnête, ni très agréable mais semble-t-il plutôt courant.
Le  “breadcrumbing” ou les miettes de l’amour
Vous avez eu un vrai coup de coeur pour cette personne, et dans les premiers instants, il ou elle semblait réceptive à vous oeillades langoureuses. Sauf que depuis, tout à changer : à l’instar des adeptes du zombieing, il (ou elle) ne répond que très rarement à vos messages, vous donne des nouvelles mais seulement de temps en temps… Bref des miettes de l’amour.
Le “cuffing” ou quand le froid nous rend amoureux
Le fond de l’air est froid, et étrangement, vous avez plus que jamais envie de vous lover dans les bras de votre partenaire ? C’est ce que des experts de l’amour appelle le “cuffing” - traduire par “menottage”. Selon eux, l’arrivée du froid pousse certaines personnes à s’attacher à leur partenaire pour “passer l’hiver au chaud”. Romantique ?
Le “brush off” ou quand votre relations part en miettes
La passion s’est éteinte, les sentiments se tarissent … vous êtes probablement en “brush off” soit en pré-rupture. Pour éviter toutes sortes de déconvenues, il est conseillé de faire attention aux signes annonciateurs du délitement de l’amour.
La technique du “sous-marin” ou l’ex qui revient en pointillés (sans s’excuser)
Petite déclinaison du Zombieing, pas vraiment plus agréable : le sous-marin. Théorisé par un journaliste de l’édition britannique de Métro, le sous-marin - à la différence du zombie - ne s’excuse même pas de ces silences radio.
Le “roaching” ou la "technique du cafard”
On vous ment, on vous spolie… vous nouvelle conquête en tous cas. C’est ce qu’on appelle la technique du cafard ou “roaching” qui désigne quand une personne cache sciemment à une personne qu’il ou elle couche avec d’autres partenaires, alors même qu'ils sont dans une phase mutuelle de séduction.  
Le “caspering” ou la disparition polie et bienveillante
Dernier né dans les concept des comportement amoureux ? le caspering ou le “gentil ghosting”. En d’autres termes, votre partenaire décide mettre fin à votre relation, puis de vous zapper de sa vie… mais, il vous prévient avant. Gentleman.
Le gatsbying, ou la démonstration d'intérêt totalement démesurée
Dans ce petit lexique des comportements amoureux, il n'y a - heureusement - pas que des techniques de goujats... Parfois, ce sont des techniques juste déconcertantes : c'est le cas du gatsbying qui est en fait un terme pour illustrer les démonstration démesurée d'intérêt pour quelqu'un, comme le fait d'organiser des fêtes pour l'impressionner.
Le benching, ou le banc de touche de l'amour
En amour, il y a les titulaires et les remplaçants : c'est la vision qu'ont les adeptes du benching aka le banc de touche de l'amour. Le principe est simple : il faut conserver plusieurs personnes sur son "banc de touche amoureux" au cas où la personne avec qui on sort régulièrement, s'engage dans une autre équipe.
Le firedooring
C'est un comportement goujat qui est presque complémentaire de la technique du sous-marin : la porte coupe-feu désigne des relations unilatérales ou l’un des deux partenaires a clairement un ascendant fort sur l’autre et décide de souffler le chaud et le froid sur le couple. Une relation à sens unique, souvent très toxique pour celui ou celle derrière la porte.
Le sneating ou le goût du gratuit
Et comme une cerise sur le gâteau périmé de la drague : le sneating. Une technique qui consiste à accepter des rencards uniquement dans l'espoir de se faire inviter au restaurant. On ne juge pas, mais bon, quand même.
De quoi en perdre son latin !!
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