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#Au bout de trois ans
denisenini · 8 months
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Le vrai Charles Ingalls
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sobillyboy · 11 months
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Des fois je suis au travail, et d'un coup je pense à Cyprien et j'ai des énormes papillons dans le ventre et je pourrais pleurer de joie.
Première fois que je suis encore si amoureuse après 3 ans de relation, c'est fou
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chic-a-gigot · 10 months
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La Mode illustrée, no. 28, 11 juillet 1869, Paris. Toilettes de M.me Fladry, 27, Faub 9 Poissonnière. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Description de toilettes (Bibliothèque Forney):
Robe de foulard poult-de-soie vert anglais. Le devant est garni en tablier, avec cinq ruches découpées, surmontant des volants en dentelle blanche; sur chaque côté de la dernière de ces ruches (bord inférieur), un nœud de ruban vert fixe un volant pareil à la robe, ayant 40 centimètres de hauteur, surmonté d'une ruche, et garnissant la robe par derrière et sur les côtés, mais non par devant; un nœud de ruban termine à chaque bout les ruches disposées en tablier. Corsage ouvert en carré, garni d'une ruche et d'une dentelle blanche. Manches s'arrêtant au coude, avec ruche verte et sabots de dentelle.
Robe en taffetas mauve, garnie d'un volant dentelé, ayant 30 centimètres de hauteur, surmonté d'une ruche chicorée; corsage et manches en même taffetas, de même forme que ceux de la toilette précédente. Robe courte en mousseline blanche, composée de bouillonnés et d'entre-deux posés horizontalement, garnie d'une ruche mauve et d'une dentelle blanche; des nœuds en ruban mauve relèvent la robe sur chaque côté; au corsage se rattache une basque mauve.
Petite fille de huit ans. Robe de toile d'Irlande écrue, garnie de trois volants plissés, bordés de tresse rouge en laine, et surmontés de trois mêmes tresses; tunique pareille garnie d'un même volant ; corsage montant en nansouk blanc; corsage décolleté, pareil à la robe, garni d'un même fichu. Toque en paille, ornée de coquelicots, dont une branche retombe en arrière.
English green poult-de-silk dress. The front is trimmed in apron, with five cut-out ruches, surmounting white lace flounces; on each side of the last of these frills (lower edge), a bow of green ribbon fastens a flounce similar to the dress, 40 centimeters high, surmounted by a frill, and trimming the dress from behind and on the sides, but not in front; a ribbon bow terminates at each end the ruffles arranged as an apron. Square open bodice, trimmed with a ruffle and white lace. Sleeves stopping at the elbow, with green ruffle and lace sabots.
Mauve taffeta dress, trimmed with a serrated flounce, 30 centimeters high, surmounted by a chicory ruche; bodice and sleeves in the same taffeta, of the same shape as those of the preceding costume. Short dress in white muslin, made up of bubbles and insertions placed horizontally, trimmed with a mauve ruffle and white lace; mauve ribbon bows lift the dress on each side; attached to the bodice is a mauve basque.
Eight-year-old girl. Ecru Irish linen dress, trimmed with three pleated flounces, edged with red woolen braid, and surmounted by three same braids; similar tunic trimmed with the same flounce; high bodice in white nansouk; low-cut bodice, similar to the dress, trimmed with the same fichu. Straw hat, adorned with poppies, one branch of which hangs back.
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ernestinee · 7 months
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Mon voisin c'est un grand type avec une grande baraque (le terrain fait presque 1km de long sur un bon 100m de large, un grand chien (dogue allemand), une grande famille (4 garçons de 8 à 14 ans). Il est fou de travaux. Il aime le chantier, les machines, les tracteurs, les grues, il sort une machine pour le moindre truc qu'il fait chez lui. Il est prof dans l'enseignement technique pour je ne sais quel emploi mais il a accès aux machines tant qu'il veut.
Il a fait une plage pour ses gamins. Pas un bac à sable, une plage, avec un camion benne qui est rentré dans son jardin par l'immense portail et qui a déversé des tonnes de sable. Les enfants n'ont pas une balançoire, ils ont un triple module qui communique avec une cabane dans un arbre immense. Ils n'y sont jamais, et la plage sert de bac à crottes à l'immense chien.
Il n'a probablement pas eu l'enfance qu'il désirait et il veut mettre ses enfants à l'abri des frustrations, ce n'est ni bien ni mal. C'est leur truc.
Mes voisins sont envahissants. La place qu'ils prennent, le bruit qu'ils font. Les machines quand il y en a. Parler fort sur le chemin avec les autres voisins. Les gamins lorsqu'ils jouent dans leur parc avec leurs quads, leurs potes, les balles de rugby qui volent. J'adore ces gamins, ils sont très polis, le bruit des enfants ne me dérangera jamais. Le bruit de la moto du type, qu'il fait aller fort et longtemps avant de partir de chez lui. Le bruit des graviers quand il utilise l'une de ses trois voitures en faisant des dérapages devant chez lui. Sa façon d'accélérer et de rouler, qu'on entend encore quand il est au bout de la rue.
L'immense chien qui est incroyablement peureux et qui donc aboie sur tout ce qui bouge. Les oiseaux, les poules, les pintades, les oies, son ombre, moi quand je suis dans la maison et que ma fenêtre est ouverte et que je tousse, vide le lave-vaisselle, appelle mon fils, écoute de la musique. Moi quand je vais jongler dans le jardin. Moi quand il fait nuit et qu'il voit ma silhouette monter ou descendre les escaliers derrière le rideau... Etc etc etc ce chien est une plaie et j'ai peur des chiens qui aboient, je n'exagère pas quand je dis que ça m'empêche de me concentrer, d'être sereine, de m'occuper du jardin...
Bref tout ça pour dire qu'en ce moment on fait des gros travaux chez moi et pas chez lui. Il y a des palettes de matériel le long du chemin devant chez moi, la camionnette des types qui bossent reste garée toute la journée devant chez moi et pas devant chez lui.
Du coup, ce matin il a sorti sa voiture avec sa remorque à double essieux, il n'en n'a rien fait, elle est restée garée devant chez lui toute la journée (je ne suis pas sortie de la maison aujourd'hui, j'ai tout vu), et là il vient de la rentrer pour la nuit 🤷‍♀️
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perduedansmatete · 2 months
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je pensais à mourir dans le noctilien donc je me dis que c’est le bon moment pour écrire sans essayer de faire joli que j’ai envie de mourir depuis que je dois avoir 11/12 ans c’est là que je le situe même si c’est pas si clair, je rigole souvent en disant que toutes les filles à cet âge là se rendent compte d’un truc et ont juste envie de crever mais c’est pas vrai, le truc c’est que je pense que c’est à l’entrée du collège que j’ai pris conscience de moi-même réellement et très vite du fait que je me détestais, c’est nul comme constat il ne s’était pas passé de truc vraiment traumatisant ou quoi mais il y a juste un moment où j’ai dû me dire voilà cette gueule cette vie ces gens j’aime pas je me sens pas bien je suis à côté de la plaque et je rentrerai jamais dans le truc (et je suis jamais rentrée dans le truc) je suis ensuite arrivée au lycée et j’ai découvert assez rapidement l’alcool les drogues et les agressions sexuelles (et l’amour) sans vraiment me rendre compte que c’en était je crois et je parle souvent de mes années lycée comme de mes plus belles, à juste titre je crois vu les autres mais en vérité je me souviens de pas grand chose tellement j’ai l’impression de les avoir passé dans un nuage de fumée et si j’y pense je me rappelle assez vite de mauvais souvenirs plutôt que de bons, je croyais qu’après mes 18 ans ça irait mieux, je me suis toujours dit ça, que c’était juste l’adolescence, qu’on avait tous envie de mourir mais que ça passait avec le temps sauf que j’ai détesté mes trois années de licence, j’avais pas d’amis j’en avais honte et je fréquentais un mec trop vieux pour moi qui m’a laissé quelques traumatismes, maintenant je me retrouve à bientôt 23 ans sans savoir quoi faire de ma vie et sans toujours l’aimer à me demander pourquoi je ne me suis pas flinguée avant mais en même temps je pense que j’ai juste trop de fierté pour le faire et que je vais aller au bout mais à quel prix je sais pas bref je finis ma bière et je vais dormir bisous
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 67
Avec la rentrée, Le père de Ric m'a rappelé que je devais organiser un nouveau gang bang pour Ric.
Coup de tel à Eric pour qu'il me trouve une dizaine de blacks TTBM, puis j'appelais mon " client ;Xavier" (celui avec qui je baise sa femme) ses 26 x 6,5 ne seront pas ridicules au milieu des grosses bites noires.
Je louais encore une fois le même gîte et cette fois j'ai même eu droit à un rabais (la fin de saison + ma fidélité).
Le soir venu, après avoir préparé le lieu et surtout bien préparé Ric, les clients sont arrivés. Plus jeunes que les autres fois (35 à 45 ans), certains se connaissaient et ça blaguait pas mal pendant l'apéro/échauffement. Ric nous a fait un beau strip-tease, Quand il a été nu, les choses sérieuses ont commencée. Si mon " client " avait été un peu chahuté pendant l'apéro, quand il a sorti son trois pièces, certains blacks se sont retrouvés con car moins bien monté que lui ! enfin façon de dire car le plus petit des sexes devait quand même bien faire ses 24cm x 6 de diamètre !! et après il s'est fondu dans le groupe malgré sa blancheur. Comme les autres fois, je veillais à ce que toutes les sodos soient faites sous Kpotes même si certains essaye toujours de resquiller là dessus.
Quand en fin de gang bang, ils en sont arrivés aux doubles sodo, Xavier n'en croyait pas ses yeux et pensait impossible que Ric y arrive. Je profitais de l'occasion et participais à la première double sodo. Ma bite de 20x5 semblait moitié plus petite que la noire à laquelle j'étais collée. Ça ne pas empêché de prendre mon pied et de remplir ma kpote. Après que tout le monde se soit essayé à la pratique , ils ont tous juté sur le corps de Ric couché au milieu d'eux.
Ric envoyé à la douche, les protagonistes sont partis. Xavier me demanda si je croyait qu'on pourrait le faire avec Jean. En le raccompagnant à la voiture j'acceptais (Jean y est déjà passé avec Eric et Marc) bien sur en tarif double !
Une semaine après notre retour, c'était au tour de Bruno et Arnaud de rentrer. Et le soir même nous échangions nos souvenirs de vacances au bord de la piscine. Eux aussi avaient bien bronzer mais en maillots. Finalement je crois que je préfère avoir les marques et le cul blanc. Quand on se met nu, ça flash plus. C'est dit l'été prochain je reste en maillot de bain.
En attendant nous avons fini l'après midi moi sous la coupe de Bruno et Arnaud au bout de la bite de Marc. Echange de bon procédés. Puis chacun dans les bras de son homme !
Marc et Bruno ont décidé que le premier WE d'octobre serait consacré à la grande touze du groupe. Comme cela tous les retardataires de vacances (Phil et Luc qui commencent leur année d'étude vers cette date là), Seb et Nicolas partis ensemble en vacances en fin d'été seraient de retours. De plus elle permettra à Olivier de faire connaissance avec tous les autres.
En attendant, Xavier profitant d'une absence de sa femme, m'a convoqué le mercredi suivant avec Jean pour la double sodo. ;Il a fallu bousculer un peu le calendrier des clients de Jean mais nous y sommes arrivés. Quand nous sommes entrés, il était déjà prêt, excité par ce que nous allions faire. Juste vêtu d'un short, il sortait de la douche après un peu de muscu. Sans slip sa bite pendait par la jambe droite et commençant à gonfler tendait le nylon.
Rapidement, nous nous sommes mis nus dans sa salle de gym. Jean s'est occupé de la bête qu'il a entre ses cuisses, léchant suçant avalant le superbe morceau de viande. De mon coté, je préparais son anus à notre futur assaut. Après avoir rapidement entré 3 doigts, je l'ai enculé. Chaque coup de rein faisait s'enfoncer plus profond la bite de Xavier dans la gorge de Jean. Après l'avoir dilaté, j'ai cédé ma place à Xavier pour la deuxième dilatation. Je le laissais fair seul un moment puis suis venu placer un puis deux puis trois doigts le long de sa hampe pour élargir la rondelle. Prêt pour la double, je faisais coucher Xavier sur le dos et ordonna à Jean de s'empaler sur sa bite. un fois cela fait, je me suis agenouillé derrière Jean et le plaquant sur le torse de Xavier, mettait mon gland contre le sexe qui déjà lui occupait le trou. Je demandais à Xavier de sortir doucement et quand il ne resta plus que son gland en Jean, j'ai collé ma queue contre la sienne et nous sommes rentrés ensemble . l'avantage de ma position outre le fait que c'est plus simple pour celui qui à la plus petite bite d'être au dessus, me donnait un point de vue direct sur la dilatation anale. Il a bien fallu forcer un peu mais nous sommes arrivés à tout lui mettre. Je n'ai pas voulu privé Xavier d'un tel spectacle et nous avons inversé nos places. En dessous, je ne pouvais pas entrer autant de ma bite dans le cul de Jean mais Xavier lui s'est régalé la vue devant la souplesse du trou de Jean. Nous nous sommes finis, tous les deux couchées ur le dos collés par les fesses et Jean se pistonnant le cul sur nos deux bites. Quand il a juter sur Xavier, nous nous sommes retrouvés compressés l'un contre l'autre dans son cul et ensemble nous avons rempli les Kpotes.
Jean sous la douche, Xavier me demanda si je croyait possible que nous le fassions à sa femme. Je lui dis que déjà nous pourrions l'amener à nous prendre ensemble dans sa chatte ça ferait une première étape. Si elle acceptait ça, ça ne devrait pas être trop difficile de passer à son cul. L'étape psychologique de se faire mettre par deux mecs avait déjà été franchie lorsque nous l'avions baisé ensemble un dans sa chatte et l'autre dans son cul. Xavier était du coup impatient que l'on puisse avancer dans ce sens, persuadé que sa femme serait d'accord.
JARDINIER
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at the Museum
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icariebzh · 3 months
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youtube
"Font leur pipi contre les murs Quelquefois même sur leurs chaussures Pisser debout ça les rassure Les z'hommes Z'ont leur p'tit jet horizontal Leur p'tit siphon leurs deux baballes Peuvent jouer à la bataille navale Les z'hommes
Z'ont leur p'tit sceptre dans leur culotte Leur p'tit périscope sous la flotte Z'ont le bâton ou la carotte Les z'hommes Et au nom de ce bout d'bidoche Qui leur pendouille sous la brioche Ils font des guerres ils font des mioches Les z'hommes
Ils se racontent leurs conquêtes Leurs péripéties de braguette Dans des gros rires à la buvette Les z'hommes Ils se racontent leurs guéguerres Leurs nostalgies de militaires Une lalarme à la paupière Les z'hommes
Virilité en bandoulière Orgueil roulé en bandes molletières Agressivité en oeillères Les z'hommes Ils te traiteront de pédé De gonzesse et de dégonflé À moins qu'tu n'sortes dehors si t'es Un homme
Z'aiment les femmes comme des fous C'est si pervers mais c'est si doux Enfin quoi c'est pas comme nous Les z'hommes Z'aiment les femmes à la folie Passives muettes et jolies De préférence dans le lit Des z'hommes
Au baby-room ou au boudoir À la tortore ou au trottoir Z'aiment les femmes sans espoir Les z'hommes Prostituées ou Pénélopes Apprivoisées ou antilopes Toutes les femmes sont des salopes Pour les z'hommes
C'est en quatre-vingt-treize je crois Qu'ils ont tué la femme du roi Et la Déclaration des Droits De l'Homme C'est depuis deux mille ans je pense Qu'ils décapitent en silence Les femmes d'ailleurs et de France Les z'hommes
Z'ont abattu les Tibétaines Z'ont fricassé les Africaines Z'ont indigné les Indiennes Les z'hommes Z'ont mis le voile aux Algériennes La chasteté aux châtelaines Et le tablier à Mémène Les z'hommes
Excusez-moi mais elle me gratte Ma pauvre peau de phallocrate Dans la région de la prostate Des z'hommes Excusez-moi mais je me tire Sans un regret sans un soupir De votre mafia votre empire Des z'hommes
À chacun sa révolution Aurais-je seul'ment des compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme À chacun sa révolution Aurais-je seulement trois compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme"
Henri Tachan
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profenscene · 9 months
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Samedi 2 septembre
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Je m'appelle Monsieur Samovar, ou quelque chose d'approchant. Il y a seize ans à peu près, j'ai passé le concours du CAPES n'importe comment. N'importe comment, ça veut dire que je ne savais pas si j'avais envie d'être prof. Que j'y suis venu le premier jour, pour voir. Quand j'ai terminé l'épreuve, je me suis baladé dans les rues de Brest. Il y avait un magasin de jeux vidéos. Le vendeur était très beau et très gentil, j'ai eu envie de retourner le voir. Ça a duré trois jours, le temps des épreuves.
On avait déjà, à l'époque, un cruel besoin d'enseignants. J'ai été reçu. J'étais arrivé comme un voleur dans la profession, les premières années me l'ont bien fait comprendre. J'ai dû faire partie du top 5 des pires professeurs de français du pays. Ça a duré quelques années et, durant mes errances en région parisienne - évidemment que j'étais en région parisienne - quelques collègues d'une gentillesse époustouflante m'ont pris sous leur aile. Et m'ont tout aussi gentiment mis un coup de pied aux fesses, en me faisant comprendre qu'il allait falloir que je me consacre un poil plus à ce que je faisais si je voulais arrêter de perdre du temps, d'en faire perdre aux élèves, et de ressortir de chaque journée en ayant envie de mettre le feu à des parpaings. Ou alors je pouvais aussi tenter une autre voix professionnelle.
Les loyers étaient très chers en Essonne, j'ai persévéré. Et puis, au bout d'un moment, j'ai commencé à tenir un journal de ce qu'il m'arrivait, jour après jour, dans ce boulot. Journal extime, miroir public.
Ellipse. Tout ceci nous amène à aujourd'hui. Changement de décor : la Bretagne. Je suis - toujours - prof itinérant, je me balade d'établissement en établissement. Je suis - toujours - débutant. Impression permanente que je commence à peine, qu'il y a tout à apprendre. Les élèves, les salles de classe se sont succédées. À chaque fois c'est une toute nouvelle aventure. Cette année particulièrement. Pour la première fois, je vais enseigner en lycée pour toute une année scolaire. Pour la première fois, dans ce que l'on nomme des "CSP +", catégories socio professionnelles aisées. Pour la première fois, je commence cette année scolaire en faisant un bilan.
Neuvième saison pour ce journal. Première sous mon crâne.
Bienvenue, que vous soyiez nouvel arrivé ou vétéran de ces pages. On remet une pièce de la machine, on repart pour un tour.
Et on voit ce qu'il se passe si vous voulez.
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lerefugedeluza · 3 months
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Cher hiver, 
Sache que je ne t’aime pas. 
Ta nuit, ta pluie, ton gris, ton froid. Tout ça me rend presque totalement imperméable à tes charmes. 
Pourtant tes quelques flocons de neige, tes chocolats chauds, tes feux de cheminée, tes gros pull tout doux, sont des choses que j’adore. 
Mais tes pluies glaciales incessante, ton soleil qui se lève bien trop tard et se couche beaucoup trop tôt, tes journées toutes grises, ton vent cinglant et tes arbres nus et moroses font que je n’arrive pas à t’aimer, que j’ai même du mal à te supporter. 
Oui, parfois ton ciel est bleu, dénué de tout nuage, parfois ton soleil brille et ses rayons viennent un peu illuminer et réchauffer ton ambiance si froide et si morne. Mais ça ne suffit pas. 
Comme les autres saisons, tu as trois mois pour toi et même si février est un peu plus court que les autres, j’ai toujours l’impression que tu dures mille ans, que tu ne t’arrêteras jamais. Dès janvier, je ne ne crois plus au printemps. 
Tu me rends triste et me vide de toute énergie. Moi qui adore me lever tôt, du moins avec le soleil, tu me donnes envie de dormir toute la journée, voire de rejoindre mon lit mi-décembre et de ne plus en sortir avant les premiers rayons de soleil doux de mars.
Je crois que si, comme beaucoup d’autres êtres vivants sur cette planète, je te passais à hiberner, je m’en porterai beaucoup mieux. Il n’y a rien de plus fatigant que ces journées sans lumière que je passe avec toi, hiver. 
Et puis, maintenant que je fais des vidéos, tes nuits qui tombent très tôt et qui ne se lèvent jamais vraiment me frustrent énormément, car tes journées sans soleil rendent toutes mes images toutes tristes et lugubres, alors que moi, je voudrais partager de la chaleur, de la lumière et de la joie. 
Alors oui, c’est vrai, les journées de neige ont quelque chose de magique. Un silence si apaisant. Mais tu n’as plus assez de flocons pour en recouvrir les pleines et les vallées plus que quelques jours par an. Je sais que ce n’est pas de ta faute et que toi non plus, tu ne maîtrises pas la météo. Mais tout de même, il fut une époque où je t’aimais pour les batailles de boule de neige, pour les premières traces de pas déposés sur ton manteau blanc après une nuit de neige. Je t’aimais pour ces matins de calme et de paix qui surgissaient lorsqu’en ouvrant rideaux ou volet, on découvrait que notre paysage s’était totalement fait recouvrir de blanc. 
Tant pis, les glissages en luge se feront un prochain hiver peut-être. 
En attendant, je prends mon mal en patience, je compte les jours avant le printemps, avant les journées douces et ensoleillées, avant les fleurs et les feuilles qui sortent, avant les oiseaux qui reviennent d’on ne sait où. 
Ne m’en veut pas si je ne t’aime pas hiver. Si je ne t’aime plus. C’est juste que tu me rends triste et déprimée et qu’au bout de seulement quelques jours passés avec toi, je me languis tant du printemps et du beau temps. 
D’ailleurs j’espère qu’il arrivera bientôt, plus tôt que prévu, avec son énergie, sa chaleur et ses journées douces, que je passerai allongée dans l’herbe ou au milieu des fleurs qui grandissent. 
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Le rappel de Mai 68 fait remonter à ma mémoire d'autres mois de mai.
Mai 40. Mon père s'évanouit en apprenant les nouvelles terribles de l'avancée allemande. Les premiers réfugiés arrivent. La valse des voitures officielles commence. Le gouvernement se replie sur Bordeaux. C'est l'affolement. Le monde de nos parents s'effondre. Tout ce qui paraissait établi, solide, solennel, respectueux, implose en quelques semaines. Nous avons dix-huit ans et nous apprenons que le pouvoir est mortel et que les puissants sont fragiles !
Mai 45. Dans une baraque d'un camp de concentration, j'agonise parmi les cadavres. Une villageoise allemande entre, puis recule devant le spectacle du charnier. Des insultes l'accueillent. Elle me regarde avec pitié et peut-être une forme d'amour. Je sombre dans le coma. Trois semaines plus tard, je suis autorisé à sortir de l'hôpital pour la première fois. La ville de Magdebourg est défoncée par les bombardements. Cauchemar, étonnement… Sur notre convoi de mille déportés, nous sommes une poignée de rescapés. Où sont les mois de mai de notre enfance, insouciants et gorgés de sève ? Nous avons vingt ans et nous portons déjà trop de morts.
Mai 54. Avec mes camarades, nous suivons avec douleur et colère la chute de Diên Biên Phu. Derrière chaque article, nous voyons un visage, un ami, des souvenirs de parachutage ou d'embuscades à la frontière de la Chine. Je reviens au Tonkin. L'avion atterrit à Hanoï, le temps d'une escale. Je dois prendre le commandement de ce qui reste du 1er BEP. Je marche une soirée et une nuit dans cette ville tant aimée, suspendue entre deux mondes, plus belle encore que dans mon souvenir. C'est la nuit du Vietnam, envoûtante, bruissante, faite de frôlements et de chants murmurés. Une part de nous-mêmes restera là, toujours, je le sais.
Mai 58. Dans le palais du gouverneur à Alger mis à sac par les insurgés, je vois mon patron, le général Massu tenter de contenir la foule. La passion est palpable. La IVe République est à bout de souffle. L'armée est prise dans un terrible engrenage. Je suis inquiet. Le 16 mai, encouragée par les militaires, une manifestation de musulmans s'avance vers le Forum. Des pieds-noirs les attendent. Lorsque les deux cortèges se rencontrent, des clameurs s'élèvent, des accolades sont rendues. Les martinets volent haut dans le ciel pur d'Alger. Je pleure de bonheur. La Résistance, la déportation, trois séjours en Indochine, l'Algérie, Suez… Les épreuves de notre génération semblent soudain justifiées.
Mai 61. Dans une cellule de la prison de la Santé, je prépare mon procès. Lors du putsch d'Alger, j'ai suivi le général Challe et je suis devenu un officier rebelle. Dans les jours suivants, je peux être fusillé ou lourdement condamné. Je ne cesse de faire et refaire l'engrenage des événements, des rencontres et des engagements imbriqués qui m'ont conduit entre ces murs. Alors j'écris, je lis, je fixe des heures durant le mur lépreux, je pense à ces hommes que j'ai entraînés dans la révolte. C'est un mois de mai lourd et sombre. La beauté et le ciel appartiennent à d'autres.
Mai 68. Responsable du personnel de plusieurs usines dans la région lyonnaise, je porte un costume civil après cinq ans et demi de détention criminelle. L'usine est en grève. Comme à Alger dix ans plus tôt, l'esprit de révolution souffle sur les hommes. J'en connais les dangers et les illusions. Mais je comprends en partie cette jeunesse qui porte l'espérance d'un monde meilleur.
Les mois de mai se confondent désormais dans ma mémoire. Comme tous ceux qui ont eu vingt ans, il y a si longtemps, je vois chaque année à cette époque renaître les souvenirs entremêlés. Des ombres nous accompagnent : espérances fracassées, camarades oubliés, engagements incompris, souffrance du corps usé. Mais le chant du monde est là, étranger à la lâcheté et à la cruauté des hommes. La beauté est fragile et mystérieuse. Des enfants passent dans la rue, courent dans le jardin. Tout leur est offert. Qu'en restera-t-il ? Tout nous a été donné. Qu'en reste-t-il ? Peut-être simplement le besoin de la contemplation. C'est l'éblouissement et l'espérance des derniers mois de mai.
Hélie de Saint-Marc . Le Figaro (Mai 2008).
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crescent-city-rpg · 1 year
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3 ans déjà !
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Bonjour tout le monde !
JOYEUX ANNIVERSAIRE CC !
Le jeudi 30 avril 2020, le forum rouvrait officiellement ses portes sur cette v3 magique et fantastique. Aux côtés de deux personnes qui ont su me faire confiance et partager leurs univers avec moi. Peu de membres ont cru en nous pour ce reboot, mais deux fidèles sont encore à nos côtés au bout de ces trois années. Beaucoup d'autres sont venus, là depuis 3 ans maintenant.
CRESCENT CITY c'est une grande et belle aventure. Une histoire mouvementé pour un forum. Mais il est là, trois années plus tard, avec des membres géniaux et un staff soudé.
☾ ☾ ☾ ☾ ☾ Merci à ceux qui ne nous ont pas aimé de nous avoir donné la force de prouver qui nous sommes. Merci à ceux qui sont venus, un temps, ou plus longtemps. Merci à ceux qui nous rejoindrons encore.
☾ ☾ ☾ ☾ ☾ N'hésitez pas à nous rejoindre ^^ A bientôt sur le forum ! Lilie et l'équipe du forum.
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argentinechili2024 · 2 months
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Merveilleuse dernière journée à Santiago
Quelle belle dernière journée à Santiago! Nous avons fait comme les locaux en cette journée dominicale.
En premier, nous avons marché jusqu’à la colline du Cerro San Cristobal, où se trouve la statue de la Vierge qui bénit la ville de Santiago.
En achetant les billets pour le funiculaire et le téléphérique, la jeune fille nous a demandé si nous avions plus de 60 ans. J’ai répondu « oui ». Elle a demandé : « tous les deux »? d’un air suspect. J’ai failli la remercier d’avoir douté (hahaha). Cela nous a donné un rabais sur les billets.
Ce parc est vraiment super. C’est un oasis de verdure en pleine ville. On y a vu des familles, des cyclistes (énormément), des marcheurs, des personnes âgées. C’était dimanche, donc, il y avait foule.
Nous sommes descendus au bout de la ligne du téléphérique. A cet endroit, il y avait un parc d’aventures pour les enfants. Nous sommes allés déjeuner dans un mignon petit café où se trouvaient familles et cyclistes.
Sur le chemin du retour, nous sommes allés au zoo de Santiago, également situé dans le parc. Encore une fois, l’entrée était gratuite. C’est vraiment spectaculaire!
Pour terminer notre visite, nous sommes allés visiter la maison du poète Pablo Neruda, prix Nobel de littérature. C’était un vrai bijou. On y voyait les pièces entièrement décorées et plein d’objets utilisés par le poète et sa dernière femme, Mathilde. La vidéo à l’entrée et la visite effectuée donnent envie d’en apprendre plus sur l’histoire difficile de ce pays.
Pour clôturer notre journée, nous avons pris un verre dans le quartier Bellavista. On y voyait plein de Chiliens attablés à de petites tables, riant et discutant.
Retour à l’appartement, puis dernier souper dans le quartier Listerria. Puis, douche et préparation des valises. Nous avons quitté l’appartement à 21 h 30 en direction de l’aéroport.
J’écris ce blogue depuis l’aéroport de Bogota en Colombie. Nous attendons notre prochain vol à destination de Montréal.
À bientôt!!
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Quartier bohème Bellavista dimanche matin. Les rues sont bordées de petites maisons colorées avec des fresques.
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En montant dans le funiculaire.
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Au sommet de la colline, la Vierge bénit les habitants de la ville. Nous avons allumé un cierge pour le papi de Jess décédé brusquement pendant notre voyage. Que son âme repose en paix!
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Besucoup de cyclistes s’entraînent le dimanche à Santiago.
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Les fameux pingouins vus au zoo de Santiago.
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Visite de la Chascona, l’une des trois maisons du poète. Les deux autres sont à Valparaiso et à Isla Negre, où il est enterré avec Mathilde.
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Salle à manger de la maison, construite comme un bateau.
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Plaza Bellavista, où nous avons pris un verre avant de rentrer à l’appartement.
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Picso Sour et jus de mangue.
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Dernier souper à Santiago…
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dragees-surprises-rpg · 8 months
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CONTEXTE • Dragées Surprises
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Année deux mille.
La Grande Guerre a laissé des traces indélébiles que les plus jeunes ont la fortune de pouvoir ignorer. Si les familles se sont reconstituées tant bien que mal après de lourdes pertes, les Ministères du monde entier y ont vu une faille dans leur système, au point de le revoir de bout en bout. Les choses se devaient de changer et pour cela, les écoles magiques également. C’est ainsi qu’une collaboration magique mondiale fit son apparition, bouleversant Poudlard dans ses fondements même. Les Ministères du monde entier s’étaient mis d’accord sur un fait important : faire entrer des enfants dans une école magique était bien trop dangereux pour que cela ne reste ainsi.
Terminée l’école de Poudlard, c’était désormais une université où tout élève Sorcier, Sang-pur, Sang-mêlé, ou même Né-Moldu pouvait entrer à l’âge de dix-sept ans. Ainsi, tous pouvaient se voir offrir une éducation moins stricte que celle de l’école et y faire leurs premiers pas en tant que sorciers déjà accomplis
Les Ministères voulaient éviter de répéter les erreurs du passé en mettant en danger des enfants; trop jeunes pour pouvoir se défendre en cas d’attaque.
Il aura fallu sept ans pour que la nouvelle année d’entrée dans les écoles magiques soit mise en place à travers le monde. Sept ans, pour permettre aux élèves arrivant à peine de terminer leur scolarité, enfin que chacun soit diplômé avant que tout ne change pour le meilleur.
Deux mille seize.
Nicholas Lawson est un jeune sorcier dont la plupart ignorent le nom. Sa famille n’est pas connue, ses faits d’armes inconnus au bataillon et pourtant, c’est lui qui a été désigné pour diriger la toute nouvelle Université de Poudlard. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit très justement d’un illustre inconnu. Ainsi, il ne souffre d’aucune discrimination dûe à son statut, il ne souffre pas du nom de sa famille ou de quelques rumeurs à son sujet. Nicholas Lawson est un homme droit qui souhaite faire de Poudlard un lieu où tout élève, quelle que soit la nature de son sang, peut se sentir chez lui. Pour lui, il semble évident que les Maisons, telles qu'elles ont toujours existé, ne sont plus d’actualité.
Il ne s’agit plus de ranger un élève quant à son courage ou son intelligence. Désormais, les maisons changent. On ne parle plus des braves et des loyaux, des leaders et des rusés, des justes et travailleurs et des créatifs et intelligents; désormais, les maisons porteront le nom des sucreries préférées du nouveau directeur de l’école. C’est en tout cas ce qu’il a révélé à la Gazette du Sorcier. Ainsi, les classes sociales disparaissent au profit d’un enseignement plus sain. Son mot d’ordre ? Que chacun ici se sente à l’aise et en confiance.
Deux mille vingt-trois.
Cela fait maintenant sept ans que Nicholas Lawson, actuel directeur de l’école de Poudlard, dirige l’établissement d’une main de fer. Son objectif est, et ce depuis sa nomination à la tête de l’école, de faire de Poudlard un endroit bien plus vivant et bien plus sécurisant pour quiconque y mettrait les pieds.
Aujourd’hui encore, Poudlard est entachée par sa réputation, car elle y a vu naître les Sorciers les plus malfaisants du monde sorcier. Nicholas veut redorer le blason de l’excellence Écossaise, car l’école souffre toujours des rumeurs du passé, des dégâts commis en son sein il y a vingt trois ans de cela. Pourtant, dans l’ombre, un complot plus grand se prépare. Quelque chose de sombre se rapproche, quelque chose qui pourrait bien menacer la stabilité de Poudlard et de tout l’équilibre magique.
Saurez-vous brandir votre baguette et vous battre, lorsque viendra l’heure ?
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homomenhommes · 7 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 17
En rentant à la maison, j'avisais Marc de la tournure qu'avait pris mon rendez vous. Vu le temps que j'y avais passé, il s'était bien douté que ça avait fini comme cela. Je lui annonçais donc que les samedi matin où il serait amené à travailler, je servirais de coach sportif et sexuel au père de Jean. Quand je lui ai dit le montant de la séance, il a rapidement fait le calcul et me dit que entre le jardinage chez ce type, le ramonage de sa meuf et ce que me rapportait son fils les mercredi, je quadruplais mon salaire officiel de paysagiste ! Marc trouve que je me débrouille plutôt pas mal. J'ai l'impression que cela lui plait, tant que lui seul décide de l'usage de mon trou et de qui est autorisé à l'utiliser !
Le premier samedi matin, je débarque à l'entreprise de mon nouveau client à 9h. Je passe les gardes et le demande au standard, sac de sport sur l'épaule et casque à la mains. La minette lève les yeux et me décroche son plus beau sourire. Un véritable appel au viol pour hétéro ! puis elle décroche son téléphone, prévient la secrétaire de mon nouveau patron que je suis arrivé et m'indique le chemin. Je sens son regard m'accompagner alors que je m'éloigne. Nouveau filtre. Ce coup ci je tombe sur une femme d'environ 55ans, pas jolie mais d'un abord cordial qui avant de me faire entrer dans le bureau , me prend à part et me demande d'y aller doucement avec son boss. Elle m'explique que depuis 30 ans qu'elle est sa secrétaire, c'est la première fois qu'elle le voit faire du sport. Je la rassure et lui dit de ne pas s'inquiéter, que je ferais attention à y aller progressivement. Elle me remercie d'avance et me dit que si j'ai besoin de quoi que ce soit, elle verrait à me l'obtenir. Je lui fais un clin d'oeil complice quand elle me fait entrer dans le bureau directorial.
Impressionnant ! la pièce fait au moins 40m², sur la droite un salon bas près de fenêtres, à gauche une table de réunion pour 8 personnes et droit devant un grand bureau monolithique bien dessiné car n'écrasant pas les 1,75m de l'homme assis derrière. Alors que j'arrive à hauteur du bureau, il termine sa conversation téléphonique et se lève pour me saluer. Par l'interphone, il prévient sa secrétaire que pour les deux heures à venir, il ne sera pas joignable puis, passant une porte dérobée, il accède à une salle de bain où il troque son costume trois pièces pour un survêtement.
Nous sortons et allons à la salle de sport qu'il a aménagé pour ses cadres. Un grand bâtiment adossé aux bureaux. Une entrée donne accès à deux vestiaires , un Femmes l'autre Hommes. Le vestiaire est composé d'une salle avec les placards sur un mur, des bancs en bois pour se poser et en face, séparées par une vitre dépolie dans sa partie basse, les douches communes (une bonne dizaine) avec au bout 3 WC fermés. Je me change devant lui et, une fois nu, enfile un cycliste et un débardeur. Je lace mes chaussures et lui jetant un regard me rends compte qu'il bande même si son pantalon ne le moule pas. Nous partons courir. Une route d'environ 2,5 Km parcoure le périmètre intérieur du terrain enclos de l'entreprise.
Il se défend pas mal pour son age et son peu d'entraînement. Au deuxième tour, je nous arrête et nous regagnons la salle. Celle ci est divisée en deux parties, un tiers est équipé " Muscu " et le reste propose un terrain libre pour handball ou basket.
Ce samedi, il n'y a personne d'autre que nous. Comme nous sommes chaud de nos 5 Km, je lui demande de passer sur les différentes machines afin de voir le niveau qu'il a conservé. Dans l'ensemble c'est pas trop mal mais peut faire mieux. Alors que la séance s'achève, je lui demande de m'attendre alors que je me douche, lui disposant de ses propres installations m'attend dans le vestiaire. Nous continuons à disserter sur le programme du samedi suivant. Sous le jet, je me savonne et me mets de profil afin qu'il puisse profiter de la vue de mon érection. Je me branle 2 minutes avant qu'il arrive et se mette à genoux pour me sucer la bite !
J'arrête la douche, je le relève lui fouille ses poches. Je m'y attendais, j'y trouve quelques Kpotes et un tube de gel. Je m'en empare puis lui descend le jogging aux genoux et le plaque sur le carrelage froid du mur. Je lui mets un doigt dans le cul, il entre facile et il se tortille dessus. J'enfile une Kpote et après avoir vidé une giclée de lubrifiant directement dans son rectum, je l'ai enculé direct. Dans un souffle il me dit qu'il ne faut pas, que quelqu'un pourrait entrer. Je lui fait remarquer qu'il m'avait dit ne pas avoir de cadre ce samedi là. Il me répond que le service de sécurité peut faire sa ronde. je lui dit alors que s'il faut se presser, je vais mettre le " turbo ". Je l'attrape aux hanches et le tirant vers moi, le décolle du mur et commence à lui pilonner l'anus. 30 seconde plus tard, il ne pense plus à ses gardes et prend son pieds. Je ralenti et prend bien le temps de le limer sur toute ma longueur et lui fait bien sentir la grosseur de ma tige.
Il couine un peu, j'alterne mouvements rapides et lents, bientôt il me supplie de terminer, qu'il va jouir. Et comme il se répand sur le carrelage blanc, je viens dans la Kpote. Il avance d'un pas pour me sortir de son cul, remonte son jogging et me dit qu'il va m "attendre dans son bureau. J'achève ma douche calmement sous le jet d'eau brûlante. Je remets mes cuirs et pars le retrouver.
Sa secrétaire m'arrête 2mn pour me demander comment s'est passée la séance ? je lui dis que tout va bien et que son patron tient une bonne forme, ça la rassure. J'entre dans le bureau, il finit de boutonner sa chemise. Il me remercie pour l' " entraînement " et me demande que la prochaine fois, nos " débordement " se passent dans son bureau, car moins risqué. Alors que je pars, sa secrétaire me tend l'enveloppe de mon salaire.
Lorsque j'arrive au poste de garde, le surveillant m'interpelle et me demande comment ça va avec un sourire plein de sous entendus. Je le regarde de plus près, il doit avoir 25ans, 1,80m, châtain court, son uniforme moulant révèle une musculature semblable à la mienne. Il me dit d'entrer dans sa guérite. Et là je vois 5 moniteurs qui surveillent l'ensemble des extérieurs de l'entreprise et la salle de sport. Il manipule quelques touches et un des écrans montre les vestiaires. Je commence à comprendre ! sur le PC il ouvre un fichier et je nous vois, son boss et moi en train de baiser.
Je le regarde bien dans les yeux et le prévient qu'il a intérêt à effacer cela s'il ne veut pas être viré. Il appuie sur une touche et me dit " c'est fait ". Il ajoute que cela ne pose aucun problème tant que c'est lui qui est de permanence le samedi mais que ses autres collègues sont ouvertement anti-PD. Il s'approche et me met la main au paquet. Cela faisait déjà quelques minutes que je bandais sec. Je fais de même et découvre sous mes doigts une belle barre raide. Rapidement il descend le zip de ma combinaison et fait sortir ma bite. Puis penché en avant, il me la suce avec expertise. Je pousse ma main dans son pantalon, entre ses fesses et vient lui titiller l'anus.
Il se tortille sous la stimulation. J'arrête, il se redresse et à mon tour. Je libère la pression de son pantalon d'uniforme et sa queue prend toute ses dimensions (environ 19 x5). A mon tour je me penche et lui octroi une pipe directe gorge profonde ! il en gémit de plaisir. il ne lui faut pas longtemps avant que la sauce monte et qu'il me pousse pour jouir dans sa main pour pas en mettre partout.
Un essuie tout plus tard, il achève sa pipe et à mon tour, je me répand dans le papier. En se réajustant, il me dit qu'un autre samedi, il faudra que je reste plus longtemps en me montrant une petite salle dans son dos cachée par un miroir sans tain.
JARDINIER
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xvisix · 10 months
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The Gentelman from the bar
#theoriginals #klausmikaelsonxreader
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Nouvelle-Orléans, 2016
Je m'appelle T/P T/N. J'ai 19 ans et je suis étudiante en fac de psychologie, dans la même que celle de mon amie Camille. En parlant d'elle je suis justement assise au comptoir du restaurant où elle travaille.
- Hey ! Salut T/P, dit-elle en venant me faire la bise. Désolée, je ne t'avais pas vu avant, j'étais en train de servir une table, s'excusat-elle.
- T'inquiète pas, la rassurais-je.
- Tu veut quelque chose ? Demanda-t-elle en allant derrière le comptoir.
- Hum... Un bourbon s'il te plaît, repondis-je en souriant.
Nous passames le reste de la soirée à discuter, il n'y avait presque personne dans le restaurant, à part un petit groupe d'adolescents qui riait ainsi qu'un blond assis seul à une table au fond.
Vers vingt-trois heure je décide de rentrer chez moi, fatiguée mais souriante. Camille n'allait pas tarder à fermer de toute façon. Je la salua de la main et partie en direction de mon petit studio qui est à quelques rues d'ici.
Au bout de dix minutes de marche, j'entends des pas briser le silence de la nuit. Sans me retourner j'accélère le pas. Je ne suis pas du genre à paniquer pour rien mais ce soir j'ai un mauvais pressentiment. Les pas accélèrent en même temps que moi et mon souffle ce coupe. La peur prend possession de moi alors que je l'entend maintenant courir vers moi. Je m'arrête nette, attendant n'importe quoi. Une collision, une phrase lourde, voire un mec débouler devant moi. Soudain on me saisit le bras violemment pour me forcer à me retourner. Cependant, d'un coup il me lâcha et poussa un petit crie grave et étouffé. Puis plus aucun mouvement. Et, encore plus étrange, il n'y a plus de bruit. Je prend alors mon courage à deux mains et me retourne doucement. Derrière moi ce tient le blond du restaurant. Et assommé à ses pieds se tenait celui que je déduis comme mon agresseur.
- Ça va ? Me demande t-il précipitamment en se raprochant rapidement de moi. Une mine inquièt sur le visage.
- Hum oui. Je crois, repondis-je en riant nerveusement. Seulement une larme dévala ma joue et trahi ma peur.
Le jeune homme me sourit doucement et me regarda gentiment en ouvrant ses bras. Tout naturellement je vint m'y réfugier. J'adore les câlins. Il me serra contre lui, et mes sanglots redoublèrent.
- Shhh... Il ne t'arriveras plus rien. Ne t'en fait pas. Shhhh... Ne pleure plus luv... Murmurait-il en me frottant le haut du crâne.
Je souffla un coup et me détacha enfin de lui après au moins cinq minutes.
- Désolée, j'ai trempée ton t-shirt avec mes pleures, je rigola nerveusement. Il me souria tendrement et me tendit la main.
- Klaus Mikaelson. Enchanté.
- T/P T/N, de même, repondis-je en là lui serrant.
Il se baissa et m'embrassa le dos de la main. Je rougis instantanément. Il est très élégant... J'adore !
- Je ne voudrais pas être impolis mais je pense qu'il serrait préférable que tu dorme chez moi ce soir, ce serait... Plus prudent, me dit-il en regardant autour de lui.
- Oh non, je ne voudrais pas vous déranger ! Repondis-je précipitement.
- Alors tout d'abord, tutois-moi. Et ensuite, si je te le propose c'est que ça ne me dérange pas le moins du monde luv... Il prononça ses dernier mots avec une voix beaucoup plus profonde ce qui me dit frissonner.
- D-Daccord, bégayais-je, rouge de la tête aux pieds.
- Bien... 
A little one but i was thinking of do a next part, what do you think abt that ?
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profenscene · 10 months
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Vendredi 7 juillet
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Je sors du collège d'Alrest. J'ai choisi de ne pas être accompagné, c'est mieux, parfois, les sorties discrètes.
Il y a des mômes, pas bien grand, qui jouent devant la grille, sur le béton gourd de chaleurs.
"Vous travaillez là, monsieur ? - ... Non. - Nous, on sera là l'année prochaine."
J'ouvre la porte d'une main et glisse sur le siège du passager un carton dont j'ai surestimé la taille. Il traîne dedans deux trois manuels, quelques porte-vues vides, et une tasse "Monsieur Heureux" que m'a offert C. Une élève avait accidentellement cassé la mienne quelques semaines plus tôt, ça avait été un sacré drame.
La portière claque, et, chose que je fais trois fois par ans, je lance une playlist de quand j'avais l'âge de rouler vitre ouverte, musique assez fort. Les Cardigans retentissent dans l'habitacle.
Et c'est comme un millier de particules qui s'élèvent brusquement dans ma mémoire. Sur chacune d'entre elles une image, un son, une émotion. L'arrivée au bahut, les caméra qui interviewaient ce pauvre C., qui n'avait rien demandé. Les longs trajets, les rires et les larmes des mômes. Ils ont beaucoup ri et pleuré, plus qu'ailleurs. Le voyage à Erquy, les longues randonnées, les fous-rires nocturnes. L'atelier théâtre et l'atelier passé simple. Les sixièmes choupinets, les cinquièmes paumés, les quatrièmes du cœur. Tous les visages des collègues, et leur voix.
S'accorder le luxe de laisser la nostalgie planer.
Ça n'est pas que mes fins d'années ressemblent à un film, c'est que je décide qu'elles vont ressembler à un film.
Tout ce temps, toute cette énergie vitale lancés au vent.
Et tu en retires quoi, en cette fin d'aventure ? Tu en retires quoi, Docteur pédagogique en attente de sa prochaine régénération, des efforts et des moments vécus à l'autre bout de la Bretagne, et qui, déjà, deviennent des souvenirs ?
Ce que j'en retire ? Comme tous les ans.
Des étoiles.
Des étoiles et ma vie.
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