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#cheval sauvage
aucoeurdeschevaux · 2 years
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webequitation · 1 year
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Le MUSTANG, le cheval sauvage emblématique des États Unis - ORIGINE DES RACES
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favila33 · 2 years
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Caballo salvaje (1808) por Eugène Delacroix.
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praline1968 · 26 days
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Bon et chaleureux week-end à tous 💐
Have a beautiful & happy weekend 🐴
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lepetitdragonvert · 2 years
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Die wilden Schwäne / The Wild Swans by Hans Christian Andersen
Early 20th century
Artist unknown
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chantalradiesthesie · 5 months
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Est-ce que toutes les espèces animales sont sensibles à la télépathie ?
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Cheval de Przewalski - Alors que les naturalistes ne connaissaient les chevaux sauvages que par leur représentations dans les grottes préhistoriques, le colonel Nicolas de Przewalski découvre ces petits chevaux en 1902 non loin du désert de Gobi.
Lieu : Ménagerie du Jardin des Plantes, Paris.
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fieriframes · 11 months
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[The sea shall be like magic between us.]
IX - Nuit sans fin
La dernière conversation avec Christina, où je lui avais dit que j'avais utilisé les toilettes du Café d'Auteur, un café fermé depuis cinq ans, avait été un avertissement. Sans parler des huit heures que j'avais complètement bloquées, pendant lesquelles je lui avais apparemment demandé de rechercher d'éventuels liens entre Leonora Carrington et Italo Calvino. Des cartes de tarot, des chansons codées, des cartes du monde étranges trouvées sur des sites web encore plus étranges ? Euphémie ? Je perdais la tête.
Les mois passèrent et la vie reprit son cours normal. Trop de travail, trop de télévision, trop de consommation de nouvelles (qui devenaient de plus en plus déprimantes chaque jour). Le monde fascinant de Leonora et ce jeu (ou quoi que ce soit) était une tentation constante. Une évasion de la monotonie. Mais ça avait aussi un air de danger et j'ai donc réussi à résister à l'envie.
En février, j'ai pris l'Eurostar pour voir un ami à Londres. Et chaque fois que je suis à Londres, on va à Tate Modern, cet incroyable musée de la couverture de l'album Pink Floyd. L'expo cette fois ? "Le surréalisme au-delà des frontières", mettant en évidence l’ œuvre de Carrington. Bien sûr. Mon ami avait déjà acheté des billets et j'étais sûr que le jeu ne me suivrait pas à Londres. Donc, hop, on est parti.
L'expo était incroyable et consistait en des peintures d'artistes avant-garde un peu moins connus, comme Erna Rosenstein, Dédé Sunbeam, Ikeda Tatsuo, Hector Hyppolite, Eugenio Granell, Giorgio de Chirico et Remedios Varo. C'était comme passer d'un rêve étrange à un autre.
En particulier, les peintures de Leonora étaient fascinantes. L'expo présentait plusieurs de ses tableaux, dont sa toute première, intitulée Autoportrait (L'auberge du cheval de l'aube).
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Cette peinture est normalement dans le Metropolitan Museum of Art de New York et c'était cool de pouvoir la voir. C'est une scène (en fait, deux scènes si tu comptes ce qui se passe dehors) à la fois très simple et vachement dramatique, à la fois stéréotypé féminin et masculin. Leonora et la Hyène regardent directement le spectateur, reflétant le comportement de l'autre. En fait, Leonora était souvent liée aux Hyènes, disant "je suis comme une hyène, je rentre dans les poubelles, j'ai une curiosité insatiable". La Hyène réunit ici le mâle et la femelle en un tout, métaphorique du monde de la nuit et du rêve. Pour moi, ce tableau est une exploration de soi, le côté sauvage, le côté curieux, le côté qui cherche la liberté.
J'étais là depuis longtemps à regarder le tableau quand une jeune femme est apparue à côté de moi. Au début, on a regardé le tableau en silence, mais après un certain temps, elle m'a posé une question. "Qu'est-ce que vous pensez que c'est, cette tache à côté de la Hyène ?" Franchement, je l'avais à peine remarqué, mais j'ai répondu, "C'est une bonne question, j'ai supposé que c'était juste une erreur qu'elle essayait de cacher ?" "Une hypothèse sûre", a-t- elle répondu. "Bien que… Carrington était apparemment depuis sa plus tendre enfance très fasciné par les aes sídhe, un peuple féerique surnaturel lié à la mythologie celtique des Gaëls à partir des histoires que sa mère, sa grand-mère et sa nounou lui avaient racontées. Peut-être que ce sont eux qui font une apparition."
C'était la première fois que j'entendais ça et j'étais vraiment intéressé à en savoir plus. Elle s'est présentée comme Ester et on a longuement parlé de Carrington, les Tuatha Dé Danann (la mythologie celtique irlandaise) et du surréalisme. Elle possédait une librairie pas trop loin de chez moi et avait clairement plongé dans sa propre marchandise. Quand mon ami réapparu (il avait disparu dans les œuvres d'André Breton), elle m'a donné la carte de visite de sa librairie et m'a dit qu'elle avait un livre qui pourrait m'intéresser. Si je voulais, je pouvais venir à tout moment pendant ma visite à Londres. Je l'ai remercié pour la conversation et lui ai dit au revoir.
J'ai passé un bon moment à Londres, avec beaucoup de cocktails, pâtisseries scandinaves et cuisine indienne. Le dernier jour, j'ai retrouvé la carte de visite pour The Library of Babel que Ester m'a donnée. C'était à proximité. La commodité et ma curiosité m'ont rendu impossible de résister.
Après avoir parcouru les petites rues pendant trente minutes, j'ai finalement trouvé la librairie. Avec un nom si spectaculaire, je ne m'attendais pas à un endroit aussi discret; un petit panneau étant la seule indication de ce qui nous attendait à l'intérieur. Je suis entré et j'ai vu immédiatement livre après livre. Le magasin se composait d'un bureau en bois et d'un nombre apparemment infini de livres empilés au hasard derrière. Je ne pouvais pas comprendre comment quelqu'un pouvait trouver quelque chose là.
Je n'avais même pas remarqué la personne qui était assise au bureau avant qu’il me demande si j'avais besoin d'aide. Je lui ai dit que j'avais reçu une invitation de Ester. Sans même demander mon nom, il dit "Ah oui, Ester a dit qu'elle est désolée de ne pas pouvoir être ici aujourd'hui, mais elle vous a laissé ce livre." Je l'ai remercié et j'ai attrapé mon portefeuille, mais il a immédiatement dit "non, non, pas de soucis".
Une fois à l'extérieur de la librairie, j'ai vu la note attachée au livre, "J'espère que ce livre vous trouvera bien et éclairera le chemin. Que les aes sídhe soient à vos côtés, toujours."
Le livre était intitulé Nuit sans fin et était une sorte de recueil de poésie. Je l'ai feuilleté lentement jusqu'à ce que j'arrive aux deux pages du milieu. Un frisson parcourut ma colonne vertébrale. Là, au milieu du livre, il y avait la même carte que j'ai trouvée sur le site web crypté.
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alexar60 · 10 months
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Monstres
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Il n’était jamais bon de se promener seul dans une forêt. Après quelques kilomètres, Johannes regretta d’avoir refusé une assistance. Il regarda les arbres à l’apparence humaine pendant que son chariot avançait. En bon marchand colporteur, il ne transportait pas de réelle valeur si ce n’est quelques dentelles ou tissus venu de France. Toutefois, il craignit une attaque de bandits, malandrins ou voleurs de grand-chemin qui n’auraient aucune pitié pour sa vie.
Mais son inquiétude allait surtout sur les légendes que la forêt, celle qu’il traversait actuellement, regorgeait. En effet, nombreux furent ceux qui prétendaient avoir rencontré un monstre, une bête au regard noir et à la forme d’un loup. D’autres parlèrent de farfadets, trolls malveillants qui s’amuseraient avec les visiteurs perdus. Et puis, il y avait les histoires concernant des disparus. Chaque village autours du bois comptait au moins une personne qui n’est jamais revenu de la forêt.
Il aurait pu faire le tour. Seulement, afin de gagner deux bonnes journées,  le marchand voulu traverser cet endroit maudit. Son cheval avança avec une certaine nervosité. Un léger brouillard imposait une ambiance glaciale pendant que quelques oiseaux criaient. Un coucou par-ci, quelques corbeaux par-là. Le vent balançait les cimes des arbres provoquant un sifflement inquiétant. Parfois, Johannes tournait la tête au craquement d’une branche ou au bruissement d’un buisson provoqué par un animal sauvage.
Le cheval n’avait qu’à suivre la route tracée. Cependant, après quelques heures, il s’arrêta brusquement. Son hennissement alerta le commerçant. Dès lors, il se leva sans quitter le chariot, il serra un bâton long et attendit. La peur faisait gargouiller son ventre. Ses tympans battaient son cœur dans un désagréable fracas.
Avance, mon ami, avance, je t’en prie, murmura-t-il afin de ne pas réveiller de monstre.
Mais il n’obtint du cheval qu’un énième hennissement. Il demeura debout, les jambes tremblantes. Il réalisa qu’il n’entendait aucun autre son en dehors de sa respiration, et de celle de son cheval. Il tourna la tête, cherchant à voir à travers la brume. En fait, il espérait la venue de quelque-chose qui puisse le rassurer, même un monstre. Car le silence absolu était la pire des angoisses.
Soudain, un hurlement surgit des profondeurs de la forêt. Le cheval se cabra avant de galoper comme un forcené, provoquant en même temps, la chute de Johannes hors du chariot. Lorsqu’il se releva, il ne put que constater son bien déjà trop loin pour le rattraper. Mais sans attendre, il se mit à courir espérant retrouver son cheval le plus tôt possible.
Il courut au milieu des branches. Un bruit fort et rapide sembla approcher comme un monstre en train de pourchasser sa proie. Il continua de courir sans se retourner. Le froid de la brume giflait ses joues contrastant avec son sang qui bouillait en lui. Il courut pour finalement arriver dans une clairière.
Essoufflé, fatigué, il se pencha pour reprendre une respiration normale. En entendant des rires, il leva la tête et découvrit un lac peu profond et pas très grand. Au bord, sept jeunes femmes s’amusaient de sa présence tout en lavant du linge blanc. Elles se ressemblaient comme des sœurs, la peau blanche comme le lait.  Leur longue chevelure rousse flamboyait telle une torche allumée. Johannes se sentit gêné de se retrouver avec d’aussi belles femmes, dont les robes blanches trempées ne cachaient rien de leur corps désirables.
Qui es-tu, jeune imprudent ? demanda celle qui semblait être la plus vieille.
Je me nomme Johannes Tischler. Je suis un marchand perdu en ces lieux. N’auriez-vous pas vu passer mon cheval tirant un chariot, par hasard ?
Non, répondit-elle. Mais il ne doit pas être bien loin. Si tu veux nous t’aiderons à le chercher plus tard. Mais en attendant, tu pourrais nous aider à frapper ce linge.
Le marchand hésita un instant. « Si monstre il y a, il ne peut attaquer quand nous sommes plusieurs » pensa-t-il. Dès lors, il retira ses bottes et entra dans une eau froide. Une des jeunes femmes tendit un battoir qu’il attrapa. Deux autres s’écartèrent pour lui laisser une place. Il prit un drap et commença à le frapper sous les sourires des lavandières.
Parfois, elles discutaient, murmuraient entre elles tout en regardant Johannes. Il avait l’impression qu’elles n’avaient jamais vue d’homme avant lui. Il battait le linge avec difficulté. Et une fois terminé, une laveuse l’aidait à plier correctement les draps pour les faire sécher. Il avait du mal à empêcher ses yeux d’admirer les formes généreuses de ses coéquipières du moment. Le téton de leurs seins ressortant de sous la robe trempé, Les pubis collant au tissu. Il détourna le regard, dès que l’une d’elle se penchait trop, lorsqu’elle était à genoux, galbant ainsi ses fesses rosies par les reflets du soleil. Il ne s’était pas rendu compte que la brume ne recouvrât pas la mare.
Enfin lorsque le linge fut propre, il retourna au bord pour remettre ses chausses et attendit qu’elles sortissent à leur tour. Le soleil commença à décliner. La plus ancienne s’approcha. Il remarqua ses jolis yeux noirs et son nez fin. Il baissa rapidement les yeux, admirant au passage qu’elle avait plus de poitrine que les autres.
Il se fait tard, je te propose l’hospitalité pour te remercier de ton aide, annonça-t-elle.
Soulagé de ne pas à traverser la forêt en pleine nuit, Johannes accepta. Dès lors, il suivit les sept jeunes femmes sur un sentier qui l’éloignait de la route principale. Sur leur passage, les oiseaux ne chantaient pas, le brouillard se dispersait et un silence immense régnait.
Elles marchèrent sans prononcer une seule parole. Par moment, elles regardaient Johannes, lui conseillant de faire attention à une racine au sol ou aux ronces sur le côté. Elles marchèrent tout en portant leurs paniers de linge. Les arbres étaient si proches les uns des autres que Johannes n’imaginait pas une chaumière dans un endroit pareil. Il suivit les femmes et vit enfin une cabane.
Elle parut grande, cependant il fut surpris qu’elles continuassent de marcher, se dirigeant vers une caverne. Le colporteur aurait voulu demander si la maison en bois était leur domicile. Mais invité par deux des rouquines, il se contenta de les accompagner. Il sentit leurs mains presser ses bras et ses hanches. Décidément, il faisait un grand effet auprès d’elles. Il pénétra dans la grotte. Elle était immense, éclairée par une multitude de bougies. Toutefois, une odeur nauséabonde empoisonnait l’atmosphère.
Viens, nous avons retrouvé ton cheval, annonça une des femmes.
Etonné, Johannes s’enfonça dans la grotte. Comment son cheval pouvait être ici ? Et comment pouvait-elle le savoir alors qu’il ne les a jamais quittées ? Il marcha toujours encadré par deux jeunes femmes. Leurs doigts devenaient de plus en plus entreprenants, et déjà, il sentit leurs caresses de plus en plus sensuelles. La forte odeur putride se fit de plus en plus forte.
Tout-à-coup, le marchand fut saisi d’effroi. C’était une vision d’horreur que de voir un monceau de cadavres. Il y avait des animaux en grande quantité, à moitié putréfiés, des parties dévorées et décharnées, des squelettes attendant de blanchir. Il y avait des chiens, des loups, des chats, des renards, des chevreuils et des cerfs, des lapins, et par-dessus, les restes d’un cheval noir copie exacte du sien, s’il était encore entier. L’animal avait la gorge arraché et exhibait ses côtés encore ensanglantées.
Johannes n’eut pas le temps de crier quand il sentit des pointes enfoncer son ventre. Les doigts de ses hôtesses venaient de se transformer en griffes acérées. Leurs visages n’avaient plus rien d’humain. Elles hurlèrent tout en se jetant sur le pauvre homme. Elles le dépecèrent, arrachant sa viande avec une telle monstruosité. Le sang coula le long de leur menton pendant qu’elles mangeaient sa chair. Et dès que les dames de la forêt se sentirent rassasiées, elles jetèrent les restes parmi le tas de cadavres d’animaux, avant de s’endormir repues et comblées.
Ales@r60 – août 2023
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sous-le-saule · 10 months
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Le cheval doré
Le dernier gobelet lavé, je mis le torchon à sécher en bâillant. Plus qu’à verrouiller la porte, et au lit ! Les clients qui avaient pris une chambre étaient montés tôt, mais les habitués s’étaient attardés plus que d’accoutumée autour de la cheminée, une bière chaude à la main, retardant le moment d’affronter la pluie glaciale qui martelait le toit de l’auberge.
La main sur la poignée de la porte, je me figeai. Il m’avait semblé discerner un bruit sourd, presque imperceptible dans le déluge. D’un geste, je saisis la dague dissimulée sous ma tunique et ouvris la porte. Plissant les yeux à la recherche d’un mouvement suspect, je me maudis d’avoir laissé la lanterne allumée derrière moi. S’il y avait un archer planqué, je faisais une cible parfaite. On prend de l’âge, et voilà ce que deviennent vos réflexes…
Un claquement me fit lever la tête. L’enseigne de bois ruait sauvagement dans la tempête. Probablement l’origine du bruit que j’avais entendu. Le cheval sculpté nécessitait décidément un bon coup de peinture dorée pour continuer à justifier le nom de mon auberge.
Puisqu’aucun assassin n’avait l’air pressé de faire son œuvre, je rentrai et verrouillai soigneusement l’huis, en me demandant s’il était possible que le Comte me fît toujours rechercher, vingt-cinq ans après le vol, ou si je me donnais juste trop d’importance. Un petit défaut que je traine hélas depuis ma jeunesse, et qui m’avait décidé à participer à ce cambriolage, à l’époque. Deux compagnons de rapine m’avaient présenté l’affaire, un coup presque impossible mais qui nous mettrait à l’abri du besoin pour le restant de nos jours. « Et la gloire, Tomàs, pense à la gloire ! » Et le jeune imbécile que j’étais n’avait pas résisté à l’ambition d’inscrire son nom au panthéon des monte-en-l’air.
Entrés à trois, nous étions ressortis à deux, et n’avions dû qu’à une chance insolente notre fuite de justesse par les toits. Je ne comprendrai jamais l’acharnement des gardes à défendre des richesses qui ne leur appartiennent pas.
Prudemment, nous nous séparâmes aussitôt le butin partagé en deux part égales, et je traversai autant de comtés qu’il fut nécessaire pour ne plus voir les affiches mettant ma tête à prix avec, ma foi, une fort belle somme et un portrait malheureusement assez ressemblant - la peste soit des gardes physionomistes. La mention « mort ou vif » - et qui, dans ces conditions, s’encombre d’un prisonnier, je vous le demande ? – me donna à penser que le Comte avait pris un peu trop personnellement le fait d’être dépouillé de tous ses bijoux. Une valeur sentimentale, peut-être ?
Pendant des années, je dépensai assez pour vivre confortablement et oisivement, mais pas trop pour ne pas attirer l’attention. Puis, pensant à mes vieux jours, j’achetai ce charmant établissement. Je devins pour tous Elhin, l’aubergiste au sourire débonnaire et à l’embonpoint ceint d’un immuable tablier, que nul n’aurait pu soupçonner d’un casse dont - pardonnez ma vanité - on parle encore à l’heure où je vous raconte cette histoire.
Avec le recul, je reconnais que nommer cette auberge en référence au seul bijou que j’avais gardé par-devers moi, une petite chevalière en or ornée d’un cheval cabré, était d’une rare inconscience. C’est du moins ce qui me traversa l’esprit ce soir-là quand, me retournant, j’aperçus une silhouette dans un recoin sombre de la salle à manger.
« Tu as grossi, Tomàs. »
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mariepascaleremy · 2 months
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9 AVRIL JOURNÉE MONDIALE DE LA LICORNE
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La fascination pour cet animal mythique, issu d'un univers invisible, n'est pas nouvelle. Mais que notre société matérialiste et athée lui consacre une journée mondiale est surprenant. Peut-on y voir un désir de merveilleux, de magie, voire une aspiration au spirituel ? Pline l'Ancien, dans son "Histoire naturelle", décrit la licorne arborant une unique corne noire de deux coudées de long au milieu du front, insistant sur le fait qu'elle ne pouvait être capturée vivante. Des figures telles qu'Hérodote, Élien et Aristote ont également mentionné cet animal, sans oublier l'historien grec Ctésias (Ve-IVe siècle av. J.-C.) qui, dans ses écrits sur l'Inde, évoquait l'existence d'un animal sauvage semblable à un cheval, avec une corne frontale aux propriétés thérapeutiques remarquables, affirmant que boire dans cette corne garantissait une immunité contre les maladies et les poisons, un concept repris dans l'univers de "Harry Potter" où Voldemort consomme du sang de licorne pour survivre. La licorne, convoité pour ses vertus médicinales légendaires, ne pouvant être approchée que par une vierge ; les chasseurs laissent une jeune fille vierge seule au milieu d'une clairière, se cachent non loin et, quand l'animal découvre la jeune fille, s'approche d'elle, pose sa tête sur son giron et s'endort, ils se précipitent sur lui pour s'en saisir. Certains voient dans cette scène de chasse à la licorne une allusion à l'arrestation de Jésus-Christ et à sa Passion. La licorne est pour la religion chrétienne un symbole de pureté et de chasteté, sa corne unique, symbole de puissance représenterait l'incarnation du Verbe de Dieu dans le sein de la Vierge. Aujourd'hui la licorne représente l'extraordinaire et l'exclusivité ; depuis les années 1970 elle est aussi emblématique du mouvement LGBT pour son association avec l'arc-en-ciel, symbole de diversité repris par le drapeau LGBT. Par extension, le terme "licorne" désigne maintenant des entreprises de la Silicon Valley valant plus d'un milliard de dollars, des sportifs aux talents uniques ou des journalistes polyvalents. Peut être que cette appellation souligne la capacité à embrasser le fantastique, à suspendre notre incrédulité et à rechercher au-delà des preuves tangibles, symbolisant ainsi un refuge rassurant, un regret de l'innocence perdue et une aspiration vers un imaginaire éthéré et insaisissable. Quoiqu'il en soit emportons la licorne cette nuit dans notre coeur et nos pensées... nos rêves n'en seront que plus lumineux et guérisseurs. Image : La tapisserie de la Dame à la licorne au musée de CLuny
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aucoeurdeschevaux · 2 years
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Le Mustang, le cheval sauvage emblématique du continent nord-américain
https://www.aucoeurdeschevaux.com/m/mustang-167/
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webequitation · 1 year
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Le MUSTANG, le cheval sauvage des Grandes Plaines et des Montagnes Rocheuses - RACES DE CHEVAUX
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philoursmars · 2 months
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Louvre-Lens : il y a une expo : “Mondes souterrains : 20.000 Lieux sous la terre”. la suite et fin.
Michiel Coxcie : "La Grotte de Platon" - 1550 (pour ma part, cela me fait penser aux boîtes de nuit gay des années 80...)
Franz Von Stuck : "La Chasse Sauvage" - 1899 (Odin sur son cheval et une Gorgone)
Gérard de Lairesse : "Orphée aux Enfers" - 1662
Huang Yong Ping : installation dans une énorme géode : "La Caverne" - 2009
idem
Antoine Caron : "La Résurrection du Christ" - 1584
idem
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icariebzh · 10 hours
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"J'ai vécu d'innombrables existences tout au long de temps infinis. L'homme, individuellement, n'a fait aucun progrès moral depuis les dix derniers milliers d'années, je l'affirme solennellement. La seule différence entre le poulain sauvage et le cheval de trait patient n'est qu'une différence de dressage. L'éducation est la seule différence morale qui existe entre l'homme d'aujourd'hui et celui d'il y a dix mille ans. Sous le faible vernis de moralité dont il a enduit sa peau, il est resté le même sauvage qu'il était il y a cent siècles. La moralité est une création sociale, qui s'est agglomérée au cours des ��ges. Mais le nourrisson deviendra un sauvage si on ne l'éduque, si on ne lui donne un certain vernis de cette moralité abstraite qui s'est accumulée le long des siècles."
Jack London
  extrait de: "Le vagabond des étoiles"
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mrlafont · 1 year
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Gosse, j’étais fou de gaieté, fou de joie, plein à ras bord de conneries, survolté, déchainé, chaque matin était événement plein de promesses que le jour tenait. Je sentais, véritablement, que la vie avait une importance, une valeur réelle, objective. J’ai grandi dans un environnement familial où jamais je ne me suis senti brimé, contrôlé, surveillé, où l’on attendait de moi que je devienne comme ceci ou comme cela. J’étais un cheval sauvage livré à la pure folie d’une jeunesse libre. On m’a foutu la paix, depuis toujours. On ne m’a jamais cassé les couilles. Mon père était là comme un garde-fou, discret, pourtant bien présent, justement sévère quand il fallait l’être. Sinon, libre, libre totalement. Je n’étais pas aussi timide, réservé, fatigué, résigné qu’aujourd’hui. Au collège, j’ai eu beaucoup de petites amies, j’attirais beaucoup de filles, j’avais quelque chose que j’ai perdu aujourd’hui, je séduisais car j’étais bête et sans honte, j’étais éblouissant de vie, d’énergie, et ça plaisait beaucoup forcément. Quand je tombais amoureux, c’était, littéralement, passionnément, je me souviens que je ressentais à l’intérieur de moi, de mon corps, des sensations absolument merveilleuses. C’était du délire, car j’étais un enfant, d’une vitalité magnifique... Que s’est-il passé ensuite ? Pourquoi suis-je devenu si froid ? J’ai du vider toute la réserve de bonheur que la vie accorde à un homme, n’est-ce pas ? J’ai vraiment été fou de vie ! hahaha ! Quel plaisir tout de même ! Moi, je peux le dire, que mon corps a hurlé de vie, de religieuse insolence, de liberté... Tous les seins tripotés, léchés, les mains dans les culottes, tout jeune que j’étais ! hahaha ! Mon dieu que c’était beau. Mon dieu que c’était bon. Nous sommes devenus tous chiants, tous compliqués... Il y a une telle sincérité dans la société des enfants... “La société des enfants”, qu’est-ce que ça sonne bien ! C’est probablement la seule société qui vaille, aussi impitoyable soit-elle. Mon incapacité à devenir adulte est peut-être mon refus éclairé de quitter la pureté et la spontanéité de l’enfance. C’est pourquoi j’aime tant la trilogie de la vie de Pasolini, car j’y retrouve tous les délires amoureux de mon enfance.
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