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#demi gros
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rs accessoires
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fejufodanuqa · 2 years
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-le sur votre iPhone, iPad ou iPod touch. Mode d'emploi très simple 8 nœuds différents.
Ou bien activer le mode Aware afin de percevoir les bruits ambiants, d'une simple Simple d'utilisation, il fournit jusqu'à 40 heures de plaisir,
CLAIR ET FACILE : il suffit de suivre les instructions simples et les photos, et vous serez en mesure de faire un joli nœud de cravate vous-même ! • UTILE ET
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chic-a-gigot · 2 months
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La Mode illustrée, no. 9, 27 février 1887, Paris. Costume en bengaline vert serpent et velours écaille. Modèle de chez Mme Gradoz, rue de Provence, 52. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Ce costume se compose d'une première jupe plissée à gros plis doubles et peu profonds. Une bande en velours écaille de 12 centimètres posée au-dessus de l'ourlet vient se terminer sur le côté gauche et remonte en échelle sur les trois plis formant une quille.
La tunique en bengaline unie est montée au corsage par 7 rangs de petites fronces distancées d'un demi-centimètre et vient se fermer sur le pouf du côté gauche par un nœud de ruban. Le côté droit est relevé par un nid de petites fronces sur une hauteur de 22 centimètres.
Le corsage en bengaline unie, découpé, est ouvert en pointe devant et au dos. L'ouverture est bordée par deux fins lisérés qui reposent sur une chemisette plate en velours écaille assorti.
This suit consists of a first pleated skirt with large double and shallow pleats. A 12-centimeter strip of tortoiseshell velvet placed above the hem ends on the left side and rises in a ladder on the three folds forming a keel.
The plain bengaline tunic is fitted to the bodice with 7 rows of small gathers spaced half a centimeter apart and closes on the pouf on the left side with a ribbon bow. The right side is raised by a nest of small gathers to a height of 22 centimeters.
The cut-out plain bengaline bodice is open at the front and at the back. The opening is bordered by two fine borders which rest on a flat shirt in matching tortoiseshell velvet.
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La légèreté 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 Cette photo est ma deuxième rencontre de l'année avec un demi deuil. J'avais croisé le premier le veille alors que la nuit était tombée, je vous montrerai ça bientôt. Que ça fait du bien de les revoir dans cette prairie qui avait été fauchée bien trop tôt l'année dernière ! 🇬🇧 This photo is my second meeting of the year with a White marble. I had crossed the first the day before when night had fallen, I will show you that soon. It gros great to see them again in this meadow which had been mowed way too early last year! https://ift.tt/pAYaJz4
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 129
Marc et moi avons été très excité de notre virée de l'autre soir (aire de repos). Ça nous a rappelé les premiers temps de notre rencontre ou nous étions beaucoup plus audacieux.
Il est vrai que ces derniers temps, à part nos vacances à La Palmyre, nous ronronnons avec le groupe d'amis que nous nous sommes fait.
C'est décidé, samedi soir il me remmènera à la boite de nuit de nos débuts.
Dès le mercredi soir, je vérifie que je peux toujours fermer le collier de chien à piques qu'il m'avait offert dans nos débuts. C'est juste, il ne reste qu'un trou de plus ! C'est là que je m'aperçois que j'ai pris musculairement. Quand je reprend mes premiers jeans taillés en shorts spéciaux, c'est pareil, à la taille ça va. Par contre coté cul, je suis serré, mes fesses se sont arrondies façon black (c'est à dire que du muscle). ;Le tissu est hyper tendu et dans la glace, je vois bien que la couture des fesses est décousue et que les bords s'écartent quand je marche. Ça fait encore plus salope ! Je teste aussi les plugs pour savoir lequel s'harmonise le mieux avec le reste de ma tenue. Je pense que le noir moyen fera l'affaire. Quand je me penche, sa base apparaît entre mes fesses dans l'écartement du jeans.
Quand Marc rentre je suis dans cet accoutrement. Il me prend dans ses bras dès l'entrée et alors qu'on se roule un patin, je sens ses doigts écarter le jeans et buter contre le plug. Sans que sa langue quitte ma bouche, il tire sur la base et fait coulisser le plug sur le cm de son étranglement, puis me le sort sur sa partie renflée et le rentre à nouveau.
Il se recule pour admirer l'ensemble. Pour voir il me demande de passer mes chaps en cuir par dessus. Ça va faire un bail que je ne les ai mis. A la ceinture c'est bon, par contre si les mollets passent bien, ce n'est pas le cas de mes cuisses qui ont forcies. Les zip fermés, je suis moulé et la bande de chair entre le cuir et le bas du short en jeans a un effet très sex. Pour les chaps il va falloir que je les détende, juste un cm de plus de diamètre suffirait. En attendant Marc me dit d'enfiler une paire de Cat et mon vieux blouson cuir (celui qui à une attache qui me passe entre les fesses et fait un Y devant pour encadre mon paquet). Pas la peine de gâcher ma préparation. Nous prenons nos casques et allons chercher nos motos. La traversée de la cour me donne un aperçu des effets que je vais ressentir. L'attache du blouson appuyant fortement sur la base du plug ! Je le suis ne sachant pas ce qu'il veut faire. Il nous fait prendre des petites routes histoire que je ressente bien les irrégularités du goudron au fond de mon trou transmissent par le plug, puis autoroute. Je devine que nous allons rejoindre l'aire de repos que je connais. Autres jour de la semaine, autres camions de garés. Nous garons nos motos en pleine lumière devant le block sanitaire. Nous nous approchons et je reste dans la partie éclairée, devant l'entrée, blouson ouvert sur mon torse glabre, lanière du blouson qu'à demi détachée devant. Je me penche pour me laver les mains au robinet extérieur, laissant deviner le plug qui me rempli. S'il n'y avait pas de chauffeurs à pisser, 2mn plus tard, je suis entouré de 3 mecs. Le premier visuellement 25 ans, 1,80m musclé juste recouvert d'un short nylon flottant tendu par un sexe en phase de raidissement. Le second la trentaine boule à zéro et boucle d'oreille, dans le même équipement mais sa bite bandée le long de sa cuisse laisse dépasser du short un gland pas mal gros. Le troisième a dépassé les 50ans, bedonnant en short et chemisette ouverte (beurk pas mon style !).
Marc sort des WC où il avait vérifié la présence de clients potentiels et l'absence de gendarmerie. Il éconduit gentiment le vieux et me vend aux deux autres. L'annonce du tarif refroidi un peu les deux mecs. Négociations, pour emporter le morceau, je me penche et leur fait admirer ma rondelle couverte par la base du plug. Ils acceptent et un des chauffeur propose de faire ça à l'arrière de son camion, il n'est pas chargé à fond et cela laisse une place suffisante. Entrée par la petite porte de coté. Il éclaire la remorque et un halogène nous aveugle jusqu'à ce qu'il pose une caisse devant pour en atténuer la violence. Marc s'installe dans un coin et me laisse entre leurs mains. Le plus jeune se colle à moi et tire sur la lanière qui passe entre mes cuisses. Le plug me rentre dans le cul et je me lève sur la pointe des pieds. Il laisse retomber. Le deuxième est derrière moi et lève mon blouson. Je le quitte. Devant, le mec me masse la bite, je bande sans pouvoir développer normalement, bloqué par le jeans. Il n'a pas l'air de vouloir me libérer de cette pression. Mes mains ne sont pas restées inactive et je lui ai descendu le short sous ses fesses, libérant sa bite. En main, je l'estime à 20/22cm par un bon 5 cm de diamètre, circoncise. Ses boules imberbes se rétractent sous mes caresses et viennent se coller à sa tige. Le second presse son paquet contre mon cul et je sens entre mes fesses coulisser un sexe de bonne taille. J'ai faim !! Je prend un préso et l'enfile au mec devant moi. Cela fait je me penche en avant et commence une pipe de bonne salope. La tête en arrière, je me l'enfourne jusqu'aux boules. Il n'en revient pas et me bloque en position " étouffement ". Je m'agite, il relâche la pression et je lui dis que s'il me laisse faire je recommencerai ça. Comme je me suis penché, le jeans s'est ouvert et la base noire du plug est apparu sous le nez du second client. J'ai bientôt senti ses doigts tirer dessus. Il admire ma rondelle s'écarter alors qu'il retire le plug. Puis il le relâche et ce dernier rentre brutalement. Je sursaute mais c'est excitant ! Il finit par me l'arracher totalement. Ses doigts (au moins trois) viennent combler le trou avant qu'il ne se referme. J'entend une pochette de kpote se déchirer et après quelques instants, je sens la pression du gland sur ma rondelle. Heureusement que j'étais bien graissé d'avance car le mec ne se préoccupe pas de savoir comment ça va glisser et pousse durement. Mon anneau se déplisse et je laisse son sexe m'envahir. Bon, très bon ! il me tient aux hanches et me bourrine le cul. Chaque buttée de ses couilles contre les miennes m'envoi prendre le gland de son collègue dans la gorge. Il ne faut pas longtemps avant que le mec se tire de ma bouche, gueulant que si ça continu il va juter avant de m'avoir enculé. Il presse son pote d'en finir pour m'enculer à son tour. Chose faite 5 mn plus tard. L'échange de place n'a pas laissé le temps à mon trou de se refermer qu'il subissait de nouveau un assaut. Pas le même genre. Comme le type était déjà passablement excité, il y est allé doucement pour pas juter dès le début. J'ai apprécié le fait qu'il tourne son bassin pendant la pénétration, qu'il se suffise à jouer à entrer et sortir son gland uniquement, puis sur 5cm seulement, puis 10/12 cm avant de me faire prendre sa bite sur la longueur totale. Cette façon de faire m'a emmené très près de ma propre jouissance et c'aurait été chose faite, si Marc ne m'avait pas dit que la soirée ne faisait que commencer.
Une fois mes deux premiers clients purgés, le plug remis en place, ;je suis ressorti faire le " trottoir ", Marc à 10 m derrière moi. Le casque à la main, j'ai déambulé sur la bordure passant devant toutes les cabines des camions. Beaucoup avait les rideaux tirés mais je me suis pris des réflexions de chauffeurs prenant le frais, assis sur les marches pieds. Plusieurs m'ont demandé " combien la pipe ?". Je me suis arrêté dans un groupe de 4 mecs en train de se passer une bouteille. Ils étaient plus jeunes que les autres chauffeurs et leurs physiques m'allaient bien. Un m'a filé la bouteille et une lampée m'a fait prendre conscience que c'était loin d'être de l'eau. Je la rendais en toussant ce qui m'a valu le commentaire que c'était une boisson d'Homme. Je répliquais d'un " c'est pas la boisson qui fait l'Homme mais le poids de sa queue ". Ça les a excité et j'ai vu sortir des jeans et shorts 4 paquets, plus qu'au repos même si pas encore bandés à fond. Je sortais le mien qui n'avait pas débandé depuis le premier assaut de mon cul. Quatre sifflements on accompagné mon exhibition. Faut dire que mes 20cm sont sortis comme poussés par un ressort. Les mecs ont bandé ferme de suite. Concours de longueur et de diamètre. J'étais dans la moyenne. Deux bites plus courtes mais plus larges et deux plus longues même largeur que moi. Pour m'en assurer, je les avais toutes prise en mains l'une après l'autre, sans provoquer de recul. Les boules, elles étaient plus ou moins poilues mais aucunes rasées, dommage ! Un des mecs à queue plus courte était " sévèrement burné ", deux très grosses boules pendaient sous sa queue. Marc s'est alors approché et leur a mis le marché en main. Leur disant qu'il était prêt à faire un tarif groupe. Les types qui dans un premier temps s'étaient méfié de son approche, ont négocier dur et je me suis trouvé vendu pour 160€ (les chauffeurs routiers ne roulent pas sur l'or !). Le premier qui m'a mis la main au cul a été surpris de le trouvé plein de mon plug. Il a rameuté les autres pour qu'ils viennent voir. J'ai lâché les bites que je branlais et je me suis plié. Mes fesses se sont écartés pour laisser voir le rond noir de la base du plug. Commentaires : " qu"elle salope, il en veut de la bite, j'vais te mettre du vrai ce sera meilleurs..." Marc a veillé à la distribution de kpotes au déplaisir de certains mais à ma grande sécurité !! Rapidement je me suis trouvé la bouche prise par une bite envahissante, le cul ramoné consciencieusement et les mains pleines des deux autres participants. J'ai subit une vraie tournante. Dans le sens des aiguilles d'une montre, il ont échangé leurs places. Bien que cachés entre deux de leurs camions, nous avons attirés quelques spectateurs. Marc a laissé faire, essayant de repéré dans le lot mes prochains clients. Au deuxième tours, ils ont tous déchargés au fond de mon cul leurs spermes bloqués par le latex. Il a fallu que je pense à des trucs moches pour ne pas juter.
Alors que les choses étant finies et que l'attroupement se dispersait, un beau viking a abordé Marc avec un billet de 100€. Occupé à replacer mon plug, je n'ai pas suivi l'arrangement. Marc m'a juste dit de le suivre dans sa cabine. Nous montons, les rideaux sont tirés et l'espace ainsi protégé est conséquent. Quand mon viking tombe le short, je vois apparaître un sexe blanc juste surplombé d'une ligne de poils taillés. Encore mou, il doit faire déjà dans les 12cm par 3. je me penche et le prend en main pour le faire bander et le kpoter. Il se développe, encore et encore pour finalement avancer un sexe hors norme de 24/25 cm de long par plus de 6 de large à la base. Je Kpote et commence ma pipe. Marc s'est calé contre une portière et nous laisse faire. Je suce donc à m'écraser les cordes vocales, son gros gland rose envahissant régulièrement ma gorge. D'ailleurs, à chaque fois que ses couilles tapaient mon menton, il gémissait de plaisir. Ce traitement devait avoir trop d'effet car il m'a repoussé et tourné. Plié sur le siège passager, la tête sur sa couchette, il m'a écarter les cuisses et à joué quelques minutes avec le plug. Je laissais coulisser facile puis serrant mon anneau j'ai bloqué tout mouvement, je ne voulais pas qu'il croit que mon cul était une chatte molle. Il a grommelé un " yeh, good ass ". Comme il s'apprêtait à m'enfiler ses 25 sans précautions particulières, Marc m'a rapidement fait sniffer du poppers. J'ai pris du coup la totalité du mec dès le premier coup de rein ! Son limage profond et puissant m'a emmené rapidement aux portes de la jouissance. Il faut dire qu'il venait après tous les autres qui m'avaient bien chauffé. Il m'a tourné la tête vers la portière et à baissé la glace pour mettre ma tête dehors. Je l'ai senti s'immobiliser quelques instants au fond de mon trou puis reprendre ses va et vient. Je l'ai senti après la pause, plus rapide et encore plus gros dans mon cul. De plus lui qui m'avait jusque là sauté sans un mot, geignait à chaque fois qu'il reculait. (j'ai su plus tard que Marc à ce moment là l'enculait sévèrement, à sa demande). J'ai eu aussi du mal à ne pas geindre aussi et nos bruits ont alerté le camion d'à coté. Nous avons eu un spectateur qui n'a pas tardé à se branler devant notre prestation. J'ai senti simultanément : le viking s'enfoncer à fond et remplir sa kpote, une morsure du même individu sur mon trapèze droit et vu le jus de notre voyeur s'écraser sur notre portière juste sous mon menton. Quelques secondes plus tard, de nouvelles secousses dans mon cul me transmettaient l'éjaculation de Marc dans le cul du viking.
J'ai remis le plug pour le retour histoire de pas saloper la selle, les limages successifs m'ayant bien ouvert le trou (demain exercices de contraction d'anus !!).
Nous sommes rentrés à 3 h du matin moi, sur les rotules, et Marc ravi de mon comportement. J'aime être à sa botte, lui peut tout me demander, il le sait et n'en abuse pas. Je finis la nuit blotti au creux de ses bras.
JARDINIER
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ernestinee · 7 months
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Hier il y a eu 3 trucs bizarres dans ma matinée.
Je fais des courses et je cherchais un truc, je demande à une dame qui rangeait les rayons et elle ne savait pas, et finalement c'est 5 dames qui étaient en train de remettre des trucs en rayons qui ont cherché mon paquet d'oignons frits en se parlant (fort) d'un rayon à l'autre genre "Maryvonne c'est pas dans le tien les oignons frits ?? Ah attends peut-être.... Ah non peut-être Bernadette ? Bernadeeeeette c'est chez toi les oignons frits ?" (Je ne sais plus les prénoms ^^) j'étais 🤨 mais c'était sympa.
Puis après il y a une petite mamy qui m'a reconnue et moi non pas du tout mais au début je pensais que j'avais une mémoire de poisson rouge alors j'ai fait genre que je la reconnaissais le temps de me souvenir d'où je la connaissais et puis j'ai compris que je n'étais pas du tout la personne qu'elle pensait pcq elle me parlait de gens que je ne connaissais pas mais elle avait l'air tellement contente de me voir et elle était déjà tellement loin dans sa conversation que j'ai pas osé casser son truc du coup j'étais en mode "hmhm oui.... Oui oui..... Ah oui.... Ça va oui oui... Ah bon... Oh..."
Et puis je repars de cette ville bizarre et je suis derrière une voiture au feu rouge, et je vois que le truc qui pendouille à son rétroviseur c'est.... une souris morte ??? Peut-être juste un jouet pour chat mais ça avait l'air si vrai avec ses petites pattes là comme les souris congelées qu'on donne aux serpents et j'ai eu tellement de questions en tête avec ça.
Et sinon les travaux dans la maison sont terminés, je retrouve mon salon qui avait été transformé depuis une grosse semaine en chantier avec des plaques en bois par terre pour protéger le sol, des seaux d'argile, des briques, des outils, de la poussière etc. on a fait construire un poêle de masse, c'est un gros poêle maçonné dans la maison, avec des pierres réfractaires, un gros feu de bois d'1h et ça diffuse la chaleur sur 24h dans toute la maison. En plus on brûle ce qu'on veut, du sapin, des palettes, ça chauffe tellement fort qu'il ne reste plus rien, c'est juste une gestion différente de l'habitude. On est au bois depuis longtemps mais avec un poêle normal qu'il fallait recharger régulièrement. Et on a un four dedans, selon la t° du foyer on pourra faire cuire des pizzas ou faire mijoter des trucs. C'est notre projet slow qui évolue petit à petit c'est chouette.
Et sinon les oignons frits c'était pour mettre dans une soupe omg quelle tuerie : un demi butternut, 4 grosses carottes, un poivron rouge, 4 échalotes, 2 cubes de bouillon de légumes, une poignée d'origan frais et 4 grosses feuilles de sauge.
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randomnameless · 9 days
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Tiens, on est le 21 avril aujourd'hui?
Ca va faire l'anniversaire des 22 ans de Jean-Marie au second tour et où pas mal de personnes censées se sont rendues compte qu'il y avait toute une frange de cons en France : "moi pas content moi mettre coup de pied dans fourmilière alors moi voter pour vieux monsieur qui a formé son parti avec des anciens Waffen-SS et qui a torturé en Algérie et compare les homosexuels au "sel dans la soupe" parce que moi vraiment pas content "
Et depuis on a de plus en plus de cons à tous les niveaux - mais bon, je reste un blog fandom donc parler trop de politique ça va me transformer en bloc de sel géant.
Par contre, avec le fandom actuel sur Fodlan, ben je vois que c'est une tendance de fond apparemment, et ça dépasse nos frontières (ouais on est pas les seuls cons au monde! Youpi!) et c'est toujours aussi inquiétant - je ne parle pas des délurés dans leur caniveau dans un certain serveur de Discord(e) - mais juste un commentaire banal genre :
"J'ai vraiment aimé ta fic du coup j'ai écris la mienne!"
Je me sens un peu flattée qu'un des trucs randoms que j'avais posté ai pu rendre des gens contents ?
"Du coup j'ai aussi repris l'idée de Lycaon l'hybride Nabatéen"
Cool, enfin c'est pas juste moi, les demi dragons, c'est un peu une tradition dans FE et les mondes de fantasy, et puis Fodlan le sous-entend avec certains persos et dialogues et...
"Alors dans mon idée, les hybrides tombent tout le temps malade, jusqu'à que leur descendance ait moins de sang de Nabatéen parce que c'est ça qui les rend fragiles"
... Attends, quoi ??
(gros gros sel sous la coupure)
Moi dans mes délires c'est l'histoire clichée du "il a du sang de créature magique donc ça les rends plus forts/demi-dieux etc etc" avec l'analogie traditionnelle du "ben s'ils peuvent faire des bébés c'est qu'ils ont pas si différents et les deux peuples peuvent s'entendre au lieu de se foutre sur la gueule tout le temps" - il n'a jamais été question de "oui ben l'hybride est mal foutu génétiquement parce que le sang d'une des races n'est pas bon et il survit que s'il se débarrasse de sa partie "autre" " !
Et puis merde, je sais qu'on est dans une fanfic et une oeuvre de fiction, mais c'est super inconfortable de lire ce genre de trucs! Sans rentrer dans les "théories" à la con, ce genre de saloperies a été utilisé dans la vraie vie pour justifier de la merde!
Enfin quoi, on est sur de la fiction, mais on explique que "il est malade parce qu'il n'est pas de sang pur ??" Et ça c'est censé être, genre, normal, et pas un twist où en fait c'est un super raciste qui a "créé" cette maladie pour garder des gens "purs"? C'est juste, euh, "naturel"????
oui bon j'ai relu bleach récemment
Comment un de mes posts a pu inspirer ça?
Tiens, ça me fait penser à cette autre fic qui m'intéressait bien aussi :
Guerre des Héros? Check
Willy ? Check
Lycaon est un hybride? Triple check
Et puis dans les notes de l'auteur "ah oui c'était compliqué pour l'élever en tant que bébé, mais une fois qu'il avait passé sa phase de nabatéen* ça passait"
*Ok, c'est de l'anglais et j'ai peut-être mal compris le "grew out of his nabatean traits" ???
Bordel ça commençait tellement bien, et ça finit comme les épinards de la cantine.
Encore une fois, on est sur de la fanfic alors bon, si quelqu'un écrit sur quelque chose ça ne veut pas forcément dire qu'il est d'accord avec tout ce qu'il écrit ou veut les promouvoir, j'entends bien.
Mais tout de même, je trouve que parler de ça, dans un fandom qui comporte des latrines comme ce fameux sous-serveur, et dont l'oeuvre principale est centrée autour d'une "waifu qui est en fait méchant mais trop kawaii alors tu te sens tristoune de la dégommer mais comme elle trop kawaii personne va lui dire de la boucler ou tout ceux qui le font sont dépeints comme des vilains pas beaux méchants qui à la fin trouvent qu'elle avait pas tort" dont le leitmotiv reste tout de même la volonté de débarrasser le monde du "sang de dragon" (Et personne dans le jeu ne tique ou ne remarque ça pour sortir - à l'époque ce que j'aurais appelé une tarte à la crème mais vu le fandom et les temps actuels ce n'est en fait pas si commun??? - "le racisme ce n'est pas bien" et que tous les persos mettent à leur sauce des "oui mais c'est vrai que le sang de dragon ce n'est pas bien"!) franchement c'est très très bof.
Est-ce que ces "théories racialistes" sur les "hybrides Nabatéens" c'est juste de la liberté littéraire dans le genre de la "darkfic" ou du "dead dove do not eat", ou est-ce que ce sont des effluves nauséabondes qui émanent des toilettes, ou des personnes qui ont joué au jeu et ne se rendant pas compte des énormités de Dedel - qui sont malgré tout passées sous silence par les développeurs et scénaristes eux-mêmes parce qu'il faut vendre des goodies ?
Ça me gonfle parce que normalement, je me dis toujours qu'il faut consommer des choses auxquelles on est pas forcément attirés dès le départ pour élargir ses horizons et peut-être apprécier d'une autre manière quelque chose - mais avec cet univers, avec un fandom (et des jeux) qui nous bassinent en long, en large et en travers "ouin ouin tout ce qui ne va pas dans le monde c'est à cause du sang de Nabatéens" et chie sur, ben, les persos Nabatéens eux-mêmes, une fic qui a part sur un postulat "les hybrides Nabatéens existent, mais ne sont pas viables/en bonne santé/gérables s'ils ont trop de sang Nabatéen", je ne peux/veux plus les lire/voir/écouter.
Comme pour l'utilisateur de Tumblr que j'avais bloqué, sans avoir jamais interagit avec cette personne, mais parce que j'avais lu un billet en mode "oulala rien que de penser à Dedel qui aurait du sang de Nabatéen [encore dans un contexte de demi-nabatéens] ça me rend physiquement malade!" parce que, non seulement, ben ça veut dire que cette personne n'a visiblement pas compris ce qu'est un Emblème dans le jeu, et surtout, parce que ce genre de trucs avec le fandom de FE16, avant même que je ne découvre le trou à fange qu'est le sous-serveur de la Discorde, c'est un gros gros signe que cette vision qu'à cet utilisateur du jeu et la mienne sont tellement incompatibles qu'on ne pourra jamais discuter sereinement dessus, donc blocage automatique.
Je vois le "fandom" comme quelque chose de relaxant où j'ai envie d'être chill et de juste, apprécier des trucs plutôt que de râler (j'ai déjà la vraie vie pour ça), mais là c'est juste, je pense, de la déception (une origo gentis sur les Hresvelg! Un des trucs sur lesquels j'avais déblatéré il y a longtemps! C'est tellement génial de voir que quelqu'un d'autre a eu l'idée d'en faire une! Si seulement il n'y avait pas eu ce foutu commentaire "et en fait les métisses sont malades parce qu'ils ne sont pas viables à cause du sang de l'un de leurs parents mais si ce sang se dilue ils vont mieux"...) et la simple coincidence qu'aujourd'hui on est le 21 avril qui vaut ce bloc de sel.
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perduedansmatete · 3 months
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résumé de cette semaine lundi j’ai fait la morte pour cause d’urticaire, mardi je suis allée au restaurant avec mes meilleures amies pour avouer à l'une d'entre elles qu'on avait appris que son gars était le genre de facho qui avait voté zemmour aux présidentielles, on pensait que ça allait mettre fin à leur relation sachant qu'elle baigne dans le communisme depuis sa plus tendre enfance, qu'elle bosse dans un des seuls journaux qu'on peut encore qualifier de gauche et qu'elle avait dit que c'était un motif de rupture pour elle mais finalement non elle a estimé que c'était pas si grave qu'il lui ait caché ce gros détail pendant plus d'un an et demi et que pire que ça, apparemment il avait changé grâce à elle (il serait donc je cite « juste de droite avec quelques avis de gauche ») ce qui a l'air de beaucoup flatter son égo et c'est là que je me dis que la barre est vraiment très basse, le point positif de cette soirée étant qu'on s'est régalé et qu'on a rien payé car il y avait des problèmes de courant dans le restaurant, sinon je suis très peu allée en cours et j'ai beaucoup bu alors que j'aurais du être à la fac mais à partir de demain ça change (c'est faux les bières du lundi midi sont devenues une institution très rapidement) jeudi grève oblige 21 profs sur 27 absents dans mon collège alors qu'on est toujours en sous-effectif ce jour là et que cette fois-ci on était que deux surveillants, autant dire que c'était sportif mais la direction a quand même eu le temps de m'inviter à un « goûter » sur les coups de dix heures, ce qui m'a fait très peur car j'ai cru que c'était un piège et que j'avais fait une connerie mais non ils voulaient juste profiter d'un moment de calme pour manger de la brioche tous ensemble c'était vraiment très étrange j'espère ne plus jamais revivre ça puis vendredi je suis allée voir mon meilleur ami sur grand écran dans un petit cinéma car un de ses potes a monté un genre de documentaire sur l'amour et sur les nouvelles formes de relations blablabla c'était très marrant en vérité et je pensais rentrer directement après mais j'ai retrouvé des gens du passé et j'ai fini paumée au fin fond de ma banlieue dans le même genre de soirée que celles où j'allais à dix-sept ans c'était fatiguant, étonnant et plein de drogues auxquelles je n'ai pas du tout touché (trop forte) mais très bien en même temps même si j'ai appris qu'un ami de cette époque était un énorme violeur, c'est le point négatif mais à chaque fois qu'on m'apprend ce genre de nouvelle je suis jamais étonnée, sur une note plus positive hier j'ai enfin découvert l'appart d'une de mes meilleures amies après des mois à ne pas réussir à se voir autrement qu'au thé dansant d'anniversaire de ses parents... (la vie d'adulte apparemment) et je remercie infiniment son entorse car c'est son immobilisation qui nous a permis de passer enfin un moment ensemble à se raconter nos vies et à pas mal rire aussi, c'était super sympa et la suite l'était tout autant puisque j'ai rejoins tia avec mes meilleures amies pour leur faire découvrir notre bar préféré et par conséquent pour qu'elles rencontrent tia aussi, même si la raison pour laquelle on se voyait était officiellement l'exposé qu'on a à faire pour cette semaine et parce que c'était plus pratique de travailler aujourd'hui si on s'y mettait ensemble dès le réveil, chose que l'on a évidemment pas du tout fait car on s'est levées à pas d'heure et qu'on a ensuite préféré discuter du fait que les sociologues étaient quand même d'énormes prouveurs à écrire des textes insupportables et illisibles simplement parce qu'ils sont tous moches (c'est notre théorie, vive la sociologie)
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qsycomplainsalot · 1 year
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What is a Poleaxe ?
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Poleaxes, also known in French as great arming axes, were a man-sized late evolution of fighting axes that appeared in the 14th century and were used for a little bit more than a hundred years, up to and including the War of the Roses. They were primarily used by knights and armored men-at-arms on foot against other armored foes. Unlike other polearms like halberds, they were used in very close quarters.
A poleaxe is divided in three parts, named the tête/head or gros bout/big bit, the demy-hache/half-axe and queue/tail. They roughly correspond to one third of the weapon each, and are defined by where they sit in relation to the user’s hands. The tête is composed of the croix/cross, which is the axe head. It can be made of any two of a taillant/axe, a mail/hammer or a becq de faulcon/spike. A dague/dagger, basically a spear of ahlspiess head, is fitted over the croix with attelles/languettes that run down the haft. A rouelle is sometimes present to protect the hand at the top third mark of the haft, and very rarely a second one can be present at the bottom third mark to protect the other hand. The queue ends with a talon/heel, which can be a ferrule or a spike used to buttstroke your foe.
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Poleaxes were later phased out by the longer Lucerne hammers and halberds as warfare evolved into the early Renaissance. A general trick to distinguish a poleaxe from other similar weapons is to look for its two-part head, made of croix and the dague.
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e642 · 4 months
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Je pars chercher un t shirt Nike à mon mec. J'avais une colorie en tête, la seule qu'il n'a pas. J'arrive au courir et là je vois un charmant jeune homme qui vient me renseigner. Et là, ça commence un peu à flirter. Il était là en mode "ouais je vois cette couleur irait vraiment bien avec ta peau matte et tes yeux noisettes" (vous remarquerez que le boug a dit noisette et pas marron, il n'a pas choisi la facilité). J'suis rentrée dans son jeu, on se sauçait en gros mdrr. Puis il me dit qu'il n'a plus la taille que je veux. J'étais en mode "aie aïe aïe tu perds des points 🙄". Puis il me sort qu'il a une bonne excuse, il n'est pas de bordeaux. J'dis que moi non plus. Il me dit qu'il vient de Libourne, j'allais dire moi d'où je venais, puis il m'a dit "non le dis pas, laisse moi penser qu'on pourrait se croiser à Libourne". J'ai trouvé ça très adorable. Et là l'espace d'un moment j'ai voulu le pécho mdrr puis j'me suis rappelée que je pouvais pas. Et jme suis dit "qu'est ce que je fous avec mon mec qui me traite bien que quand il pose un rtt quand ya des mecs comme ça dehors". C'est mal mais prenez ça comme une confession. C'est bête mais j'ai envie d'un mec qui ne jure que par moi. Je veux obséder quelqu'un. Je veux me sentir spéciale et surtout valoriser comme je le mérite. J'veux pas de demie mesure. Oui c'est toxique mais c'est comme ça. Ya des meufs c'était des inspirations pour leur mec, des poètes, des écrivains, des artistes, moi la seule chose que j'inspire au mien c'est d'être prise pour acquise mdr. J'ai trop envie de le tej depuis 3/4j. On va aller où exactement ? J'commence à comprendre ce que mon ex voulait dire quand il m'a dit "jme projette pas avec toi". Là c'est pareil. Juste si mon ex pensait ça de moi il devait avoir une sale image de moi. Jle prends presque mal avec 2 ans de retard jpp. Je comprends aussi comment il a dû galérer pour me quitter mon ex, j'avoue qu'étant en train de le vivre c'est dur de tej quelqu'un juste parce que tu te vois pas avec dans le futur, ça fait un peu salop et léger. Bon ya d'autres circonstances atténuantes avec mon mec actuel mais ça justifie pas une rupture en vrai. En plus il fait des efforts c'est rude. Jsuis coincée et en même temps jme dis qu'il faut peut-être persévérer. C'est ce que j'ai reproché à mon ex, de ne pas avoir continué pour voir avec moi. Jvais donc faire ça mais pas ad vitam eternam.
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eiffel21 · 8 months
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Anamorphose
L’œil rivé au judas, elle scrute le perron et son visiteur inattendu. Elle a horreur de cette vision déformée de la personne, une grosse tête qui prend la majeure partie du champ de vision et un petit corps en dessous, dans ce qui reste d’espace. Et pour peu que le visiteur s’approche trop près de la porte, vision cauchemardesque d’un œil, d’un nez ou d’une oreille en gros plan. Cette proximité physique entre les corps, bien que séparés par une porte, la rebute carrément.
Lui vient en tête que peut-être certaines personnes à sa place se délectent du spectacle un peu voyeuriste, de qui regarde sans être vu, matant les voisins, les voisines ou leurs invités. Elle se demande s’il existe un mot pour ce genre de penchant bizarre, note dans sa to-do liste mentale de chercher. Elle a le temps de toutes façons et on trouve tout sur Internet maintenant. Elle se dit alors que les Japonais ont forcément inventé un terme pour ça. Et peut-être même un mot pour ceux qui ont une aversion pour les anamorphoses, comme elle.
Sa divagation s’arrête net quand un second coup de sonnette retentit, la faisait sursauter. Merde. C’est qui, ce mec ? Elle a dû zapper un rendez vous, pour la chaudière ou la fibre. En même temps, il a l’air trop bien sapé pour un technicien. Un témoin de Jéhovah motivé peut-être. Elle a le temps, mais aucune envie de l’écouter déblatérer ses conneries, et l’envoyer bouler semble au dessus de ses forces. Un livreur ? Elle n'attend rien, rien ni personne d'ailleurs, dans sa petite vie lisse et terne.
Juste ne pas ouvrir, ne pas répondre et il finira bien par renoncer et partir.
Nouveau coup d’œil au judas. Le mec est toujours là. Malgré sa réticence, elle prend sur elle et l’observe un peu. Plutôt grand, la trentaine, le front dégarni, et quelque chose d’un peu taquin dans le demi sourire qu’elle distingue. Son visage lui rappelle de vagues souvenirs…
« Hey, Virginie, t’es là ? »
Mais putain, c’est lui ! Jérôme, son amour de jeunesse.
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bloodyhellel · 10 months
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C'est la fin des skyblogs
On a annoncé dernièrement que ça y est les serveurs des blogs skyrocks allaient fermer alors je me suis dis que ce s'était sympa de faire un petit témoignage à tous ceux qui n'ont pas connus cette époque de comment on lisait des fanfictions avant fanfic.net, wattpad et AO3.
Skyblog c'était un outil de création de blog assez complet, les gens avait à leur disposition l'édition d'un mini site Web, on pouvait choisir l'agencement total des onglets, définir des fonds d'écrans et des fond d'articles. On pouvait y poster des textes, des photos, des vidéos et de la musique, je sais que maintenant c'est un peu la base mais à l'époque c'était ouf.
Bien sûr il n'a pas fallut longtemps pour que les fans en tout genre trouvent et exploitent le filon, en France avant tumblr et pinterest c'était là que les gens postaient leurs fanart, et c'est là que beaucoup de français ont lu et écris leurs premières fanfictions.
C'est avec nostalgie que je me souviens des couleurs fluos et des textes police comic sans MS. A l'époque la majorité des fanfiction adoptaient une narration de type théâtrale et la grande mode était de donner une couleur par personnage, ce qui biensur à les fonds colorés des articles rendaient les répliques de certains personnages illisibles, on était obligé de surligner les passages des chapitres pour pouvoir les lire. C'était contraignant mais ça faisait cool alors on mettait au clous le Confort de lecture.
Et puis c'était pratique aussi, on s'en servait pour masquer les lemon (c'est comme ça qu'on disait smut en langage dinosaure), on écrivait la partie hot en blanc et on le surlignait en blanc et on mettait on mettait un gros disclaimer en rouge pétant souligné avant et après pour prévenir les lecteurs et leur laisser le choix de lire ou non le passage.
Et franchement à 14ans quand tu surligne avec ta souris les 10 petites lignes de ton premier lemon en vérifiant à droite et à gauche que personne ne peut voir ton écran d'ordinateur, c'est une expérience bien particulière tu a l'impression de braver un interdit, tu te sens comme une super espionne l'espace de ce demi paragraphe et tu te dis que maintenant tu es une rebelle et une vraie femme. Je me souviens encore de mon premier lemon c'était une fanfictionbsur Fairy Tail sur le couple Gajeel x Levy, c'était les vacances d'hivers et j'ai mis toutes la journée à me décider à le faire. Tout un build up pour moins de 10 lignes de cul très médiocre et bourré de périphéries à rallonge pour ne surtout pas prononcer les mots "penis" et "vagin".
C'est vielles fanfictions faisaient mal aux yeux et pas uniquement parce que les couleurs auraient pu servir de toile de fond à la tektonik (pour les plus jeunes je vous laisse découvrir sur YouTube ce monument français de la musique qui aura bien duré un été et dont on parles encore) mais aussi parce que les bêta lecteur/ices étaient un concept inconnu au bataillon, à l'époque on mourrait comme Ace à Marineford. Certains s'en sortaient mieux que d'autres mais impossible de le savoir avant d'avoir cliqué sur le lien du blog et lu un article et s'être ou non brûlé la rétine sur les fautes.
Les couleurs et les fautes n'étaient pas la seule chose impactant le confort de lecture, car il fut un temps jadis dont on ne parle plus, une époque obscure où la mode était aux NDA. Les notes de l'auteur, des parenthèse au milieu d'un chapitre ou l'auteur intervenait pour donner son opinion sur l'action de tel ou tel personnage, rebondir sur une replique et finissait souvent par se chamailler avec les personnages voir même se faire clasher, la mode étant à la maltraitance de l'auteur et des personnages. Si ça m'a embarrassé fut un temps avec le recul je n'echangerais ces bizarreries typiques de l'époque pour rien au monde, ça faisait parti du charme et de la culture skyblog autant que le reste et était mon dommageable que d'insérer des smiley dans les répliques pour les ponctuer.
Chaque auteur, chaque blog avait ses petites particularités, surtout en ce qui concernait les pensées et les actions des personnages. Conventionnellement on mettait les penses entre deux astérisques et les actions entre deux signes dièses, mais chacun pouvait faire à sa sauce et on avait donc un article en début de blog qui reprenait tous les codes utilisés au cour de la fic.
Exemple typique de dialogue :
Neji : Hors de question -_-' . *C'est complètement stupide * # danse la macarena avec Tenten parce qu'il ne peut pas résister à sa moue du chaton#
Lee : La fleur de la jeunesse est en toi ! 8 ) # Fais la pause du nice guy#
Avec ça il ne manque que le fond de couleur plus ou moins pastel et vous avez le parfait dialogue moyen de la fanfiction de 2011.
Et là vous devez commencer à vous dire que franchement c'était pas ouf avant, mais ce que je vais vous dire va vous faire prendre conscience de votre chance d'avoir des sites comme fanfiction.net et surtout AO3 pour lire. Il n'y avait pas de référencement des fanfictions. Il fallait taper dans Google ce que l'on cherchait de type " schoolfic shikatema", et là il fallait cliquer un à un sur tous les liens Google et remonter plusieurs pages jusqu'à trouver satisfaction. Pas de tags pour spécifier la recherche ou exclure certains contenu et on ne faisait pas vraiment de disclaimer sur le contenu des fics, s'il y avait de l'angst par exemple tu ne le savais qu'au bout de 4 chapitres quand tu étais en plein dedans, pas de trigger warning, de vrais sauvages. M'enfin tu pouvais quand même t'abonner aux blogs dont tu voulais suivre les fics mais c'était à toi de les checker régulièrement.
Heureusement pour nous il existait des blogs répertoires à qui les auteurs envoyaient le résumé, le genre de la fic et les informations demandées pour y être renseigné (certains demandaient s'il y avait des lemon et 2 ou 3 mots clefs pour aider faciliter les recherches un peu plus spécifiques). C'était brouillon et la recherche ne fonctionnais pas toujours mais c'était sur pratique, toutes les lectrices en avaient 2 ou 3 dans leurs contact en cas de besoin. Malheureusement la majorité des fanfictions ne s'y trouvaient pas mais à titre personnel ça m'a permis de découvrir quelques petites.
Voilà c'était ça skyblog, la porte ouverte à toute une génération vers les fanfictions et les fanatmrt et qui a depuis migré vers des sites plus spécialisés et plus ergonomique. C'est moche, souvent cliché et on en a tous un peu honte mais ce sont nos débuts. Alors merci Skyrock de nous avoir permis de vivre ça. Et à tous allez voir, regardez ces reliques d'un ancien temps tant que vous le pouvez ! Que ceux qui ont commencé là-bas y retourne et se prennent une bonne bouffée de nostalgie ! Appréciez pour la dernière fois les textes fluos, les fonds criards et les dialogues en forment theatre ! Regardez avec bienveillance les bouffonnerie des auteurs et des personnages !
Et pour ceux qui sont curieux voilà mon blog :
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chic-a-gigot · 11 months
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La Mode illustrée, no. 24, 14 juin 1868, Paris. Toilettes de Mme Bréant-Castel, 28 r. Nve. des Pts. Champs. Manteaux des Grands Magasins du Louvre, 164 r. de Rivoli. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Description de toilettes (Bibliothèque Forney):
Robe de taffetas bleu, avec tablier simulé par un bouillonné encadré de dentelle noire étroite, partant de la taille, s'écartant sur chaque côté, et bordant toute la robe (moins le devant); au-dessus de ce bouillonné se trouvent deux autres bouillonnés pareils, séparés par une dentelle noire; sur le devant de la robe (non garni de bouillonnés), des nœuds composés de quatre bouclettes, sans pans, sont posés en guise de boutons. Grand manteau de voiture, fait en cachemire noir, doublé de taffetas rouge, orné de frange et de galons en or, à manche large et fendue. Chapeau de dentelle noire, avec diadème en métal doré.
Robe de taffetas changeant (gorge de pigeon), garnie d'un volant plissé à tête; mantelet en dentelle noire, se rattachant au chapeau; le corsage de la robe est à moitié décolleté, et se complète par une guimpe de mousseline blanche; les manches, justes, sont garnies de trois rouleaux en taffetas; la ceinture est bordée de chaque côté avec un même rouleau. Gants demi-longs, en peau de Suède; ombrelle en taffetas changeant, pareil à celui de la robe, doublée de gros de Naples blanc; haute frange changeante.
Dress of blue taffeta, with apron simulated by a swirl framed in narrow black lace, starting from the waist, spreading out on each side, and bordering the whole dress (minus the front); above this bouillonné are two other similar bouillonnés, separated by black lace; on the front of the dress (not trimmed with bouillonnés), bows made up of four loops, without sides, are placed as buttons. Grand mantle, made of black cashmere, lined with red taffeta, adorned with fringe and gold stripes, with wide and split sleeves. Black lace hat with golden metal tiara.
Dress of changing taffeta (gorge de pigeon), trimmed with a pleated flounce with a head; black lace cloak, attaching to the hat; the bodice of the dress is half-necked, and is completed by a white muslin skirt; the tight sleeves are trimmed with three rolls of taffeta; the belt is bordered on each side with an even roller. Half-length gloves, suede; parasol in changing taffeta, similar to that of the dress, lined with white gros de Naples; high changing fringe.
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lepartidelamort · 3 months
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« Au début de l’année 1934, éclatait encore une fois un gros scandale financier de la Troisième République, l’escroquerie des Crédits municipaux, ayant, comme par hasard, pour principal auteur un Juif russe naturalisé, Stavisky. La complicité dans cette filouterie d’une justice putréfiée – ses personnages n’ont point changé – de la plupart des politiciens radicaux et maçons, n’avait jamais été plus flagrante. La presse et les organisations de droite s’en emparèrent, firent une campagne énorme. L’opinion suivit. Camille Chautemps, président du Conseil, le plus lourdement compromis parmi les protecteurs avérés du coquin juif, dut se démettre le 27 janvier. Son remplaçant, Daladier, apparut dès ses premiers actes comme le radical réputé "dur", chargé de sauver le parti et ses loges. Les manifestations de rues conduites par les troupes d’Action française se multipliaient et s’amplifiaient de jour en jour au chant du Ça ira.
L’extrême-gauche communiste amorçait une campagne parallèle. Le limogeage du préfet de police Chiappe, d’un arbitraire grossier, acheva de mettre le feu aux poudres. Le 6 février au soir, le rassemblement de plusieurs centaines de milliers de Parisiens, sur la place de la Concorde, prit rapidement l’aspect d’une insurrection populaire, ayant pour but immédiat l’Assemblée du Palais Bourbon. La police, fidèle en majorité au préfet éconduit réagissait mollement. La garde mobile créée par un ministère de droite contre les "rouges", défendait le pont. Le premier barrage fut forcé. La garde tira. Le premier mort tomba vers sept heures et demie. La manifestation, plus ou moins disloquée, devenue sporadique et qui, jusque-là, avait compris de nombreux curieux, se regroupa beaucoup plus serrée, et redoubla de violence à partir de dix heures. Les assauts des Parisiens, les fusillades de la garde se prolongèrent jusqu’à plus de minuit. La journée s’acheva avec le dernier métro…
La vieille République maçonnique demeurait maîtresse du terrain. Daladier, pourtant, était démissionnaire quelques heures plus tard. Paris vécut la journée du 7 pratiquement sans État, sous le contrôle des pelotons de la garde, dont on ne savait plus à qui ils obéissaient. Le soir, enfin, on apprenait l’arrivée au pouvoir d’un "conciliateur", Doumergue, dit par Léon Daudet "Gastounet le Brandadair". La démocratie était définitivement sauvée. Les vingt patriotes militants tombés dans la nuit du Six Février – exceptions les quelques curieux tués en dehors de la bagarre – ont leurs noms inscrits en tête du livre d’or de notre Révolution. (…)
Rien ne fut plus abject que la contre-offensive des Juifs, des Maçons, de la Ligue des Droits de l’Homme, des démocrates-chrétiens, de tous les humanitaires professionnels, tombant en transes pour l’exécution de quelque terroriste chinois, pour une touffe de cheveux arrachée dans le ghetto, et n’ayant que sarcasmes et rictus joviaux devant les morts français, les morts naïfs et purs de la Concorde. Jamais le bourreau ne fut plus cyniquement érigé en victime, et martyr désarmé mué en égorgeur. (…)
Nous avons longtemps traité avec beaucoup trop de pudeur et de réserve l’un des aspects pourtant essentiels de 1934. Nous avons porté rituellement de pieuses gerbes sur les tombes de nos camarades morts. Nous avons qualifié comme il convenait – nul ne l’a fait avec plus de puissance qu’Henri Béraud – les infectes et stupides canailles parlementaires qui les firent massacrer. Nous n’avons pas assez dit que nos morts furent aussi les victimes de leurs chefs. (…)
Le Six Février 1934, les chefs nationaux n’étaient pas sur la Concorde. J’y étais, aux minutes les plus meurtrières. Je ne les y ai pas vus, personne ne les y a vus. Ils étaient donc dans leurs postes de commandement. Ce pouvait être leur place. Je les y ai vus aussi, entre deux fusillades. Ils s’y tournaient les pouces, il s’y faisaient des mots d’esprit, ils se refusaient à croire qu’il y eût tant de morts que ça ! Ils n’avaient pas une consigne à distribuer, pas une idée en tête, pas un but devant eux. Les uns et les autres étaient moralement les obligés de la démocratie. Hors d’elle, ils n’avaient aucune raison d’exister. Sur ses tréteaux, ils assumaient le rôle obligatoire de l’opposant. Sautant sur une occasion assez considérable en effet, mécontents aussi du limogeage d’un policier indulgent à leurs frasques, ils venaient de se livrer au jeu classique de l’émeute, en forme de menace tartarinesque : "Retenez-moi ou je vais faire un malheur."
Mais pour ce petit jeu-là, ils avaient mobilisé des dizaines de milliers de jeunes hommes, de croyants ingénus, d’anciens soldats. Ils les avaient excités, fanatisés, chauffés à blanc. Au moment de l’action, la foule réapprit les gestes du combat et de la barricade, avec des morceaux de plâtre, des poignées de gravier et quelques lames Gillette fichées au bout d’un bâton. Les chefs, qui les avaient jetés poings nus contre les armes automatiques, s’étaient volatilisés, les uns sans doute par calcul (je pense à l’abject La Rocque), les autres saisis peut-être de vagues et tardifs remords, n’ayant plus guère qu’un souci : nier la gravité de l’événement qu’ils avaient criminellement engendré. Cette nuit-là, j’entendis Maurras dans son auto, parmi les rues désertes, déclarer avec une expression de soulagement : "En somme, Paris est très calme !" Oui, mais c’était le calme d’une chambre mortuaire.
La suite de l’histoire ne fut pas moins déshonorante. Les "chefs" de la droite firent un concert de clameurs. Certes, les "fusilleurs" étaient ignobles. Mais que leur reprochaient les "chefs" des ligues ? Ils leur reprochaient d’avoir triché en faisant tirer. Admirable politique de ces vieillards ! Incomparable symbole de cette bourgeoisie dégénérée, qui, pour n’avoir jamais eu la virilité de prendre les armes librement, de mettre sur sa conscience quelques cadavres nécessaires, aura été le complice de ses hallucinantes et imbéciles hécatombes, après desquelles le Six Février n’est même plus un fait divers en deux lignes ! Il eût fallu, en somme, que la République laissât aimablement bafouer et reconduire à coups de canne ses gendarmes, déculotter ses députés, envahir, saccager et brûler son Parlement, le tout représentant du reste, en l’occurrence, le chef d’œuvre de l’acte gratuit. Les ministres du Six Février, inutile de le cacher, avaient le droit de tirer. C’était même un devoir. (…)
Les chefs communistes, autres tireurs de ficelles, mais ceux-là, fort avisés, avaient lancé leurs fidèles sur le pavé pour profiter à toutes fins utiles du hourvari. Mais la majorité de ses fidèles ne s’en doutait pas. Pour la première fois depuis fort longtemps, les étudiants de Paris et les prolétaires rouges, armée traditionnelle de nos révolutions, manifestaient côte à côte contre la même corruption, avec la même sincérité, au même cri : "À bas les voleurs !" Les chefs de droite n’y comprirent rien, ils n’avaient rien prévu, ils ne savaient rien voir. (…)
Le Six Février (...) engendra certainement le Front populaire, favorisa en tout cas singulièrement sa naissance, en faisant figure d’une provocation énorme, passant de loin l’idéal de ce que l’adversaire le plus machiavélique pouvait rêver dans le genre. (…) Le Six Février démontra que l’armée d’une révolution nationaliste existait en France, mais que son erreur principale avait été de ne point faire d’abord sa révolution contre de pseudo-chefs.
Cette armée n’a pas pu s’anéantir en deux lustres. Éparse, elle existe toujours. Mais le "fascisme" français à la mode de 1934 n’était pas viable parce qu’il conservait trop d’attaches avec la vieille bourgeoisie de droite. Cette bourgeoisie accumula, dans ces heures fiévreuses de la dernière insurrection du type romantique, c’est-à-dire anachronique, les preuves définitives de sa caducité, de son aboulie, de son incapacité politique, de sa désunion, de sa légèreté cocardière. »
Lucien Rebatet, Les crimes du 6 février 1934, Je suis partout, 4 février 1944
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mel-et-ses-histoires · 9 months
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Donc, le film Donjons et dragons : l'honneur des voleurs, est un film réalisé par J.F. Daley et J. Goldstein qui ont déjà travaillés ensemble sur deux autres films. Ils ont également (et surtout) bossés en tant que scénaristes, acteurs ou producteurs.
Mais D&D késékesé ?
A la base c'est un jeu de rôle papier, c'est à dire un jeu de société où des joueurs interprètent des personnages au cours d'une histoire qu'ils coconstruisent avec celui qui la racompte, le maitre du jeu.
Vous avez joué au jeu du loup garou de Tiercelieu ? Techniquement c'est un jdr.
Et on va pas se mentir les jdr auxquels vous pouviez jouer à la fin des années 90/début 2000 quand vous etiez au lycée c'était beaucoup D&D parce que c'était le plus populaire / le seul survivant à une époque où les jdr tombaient complètement dans l'oublie.
Mais les rolistes de l'époque c'était pas des ados boutonneux aux cheveux gras avec des posters dark fantasy au dessus du lit et qui pouvaient pas faire deux mètres sans Ventoline ? Si. Tout à fait.
Clairement si vous voulez être dans la bande des gens à part (rappelez vous à l'époque le mec cool c'était le fort en sport) le jdr c'était un moyen parfait, et si vous vouliez vraiment parler à personne vous n'aviez qu'à amener un jeux de carte à collectionner (Magic, pokemon, as you wish).
Alors des filles il y en avait, on va pas faire semblant, mais on va pas mentir non plus on était pas très nombreuses.
Et globalement le jdr c'est fantastique. C'est une liberté totale qui est pas simple à expliquer, c'est des nuits blanches pizza / jus de fruits en rigolant, c'est vivre des aventures en restant bien cachée derrière sa fiche de perso de demi-elfe magicienne aux cheveux verts.
Mais aujourd'hui ce n'est plus hier !
Aujourd'hui tout ce qui était culture de niche (bd, film de super hero, marvel, harry potter, toussa) est juste devenu la pop culture, et depuis quelques années le jdr est revenu en flèche avec le retour des jeux de sociétés pour des publics plus adultes.
Du coup, D&D le film ?
Alors déjà il faut savoir que c'est le 4eme film D&D, mais clairement si vous n'avez pas vu les 3 premiers ce n'est pas grave, du tout. Ou alors soyez bourrés.
Bon ok mais du coup D&D le film ?
Alors déjà qu'est ce que j'en attendais de ce film ?
Franchement à la base rien du tout. La bande annonce faisait très "gardien de la galaxie au moyen Age" et ça m'agaçait.
Parce que ce que j'aurais souhaité c'est un seigneur des anneaux, un film qui me respecte, qui ne cherche pas à faire prout prout pour me faire rire et qui fait semblant de restpecter un peu son matériel de base et son public.
Sauf que !
Sauf que la bande annonce imagine ce que le public aime, et la bande annonce à imaginé que le public était con et n'aimait pas être respecté et ne réclamait qu'un film rigolo pas difficile à suivre façon gardien de la galaxie (ces films sont cons c'est pas de ma faute).
Résultat la bande annonce est mensongère.
Oui il y a de l'humour mais au final assez peu. Et non les personnages ne sont pas débiles.
Donc, D&D le film ! (c'est long ou pas pour arriver enfin au sujet ?)
Le film raconte comment un voleur coquin mais sympathique va vouloir monter un dernier gros coup pour récupérer un artéfact magique pouvant ressusciter son épouse. Malheureusement tout part en pistaches, il finit en prison, ses pensées tournés vers son épouse mais aussi vers sa fille qu'il laisse derrière lui. Apres s'être échappé il rejoindra un ancien membre de son groupe de voleur pour retrouver sa fille avant de se retrouver embrigader dans ni plus ni moins qu'un complot mondial (ou presque, disons continental).
Alors déjà c'est beau. La mise en scène n'a rien de spécial, il n'y a pas de symbolisme dans le cadrage ou l'agencement des plans mais c'est efficace, et certaines scènes sont assez jolies.
Les personnages sont sympathiques, et ils le sont parce que ce sont des archétypes avant d'être des personnages. Le paladin n'est pas juste un gars en armure tout gentil. C'est un gentil qui dégouline, qui vous caresse la joue en vous disant au revoir et qui est juste absolument fantastique. La méchante est très méchante, le méchant est cynique et l'assume et on à un putain de grasgon ! (c'est un dragon mais qui est gras).
Et si ce sont des archétypes c'est parce que ce film est une très bonne adaptation du jeux de rôle, à savoir qu'on dirais une partie de jdr, les plans sont foireux, les personnages ne sont pas héroïques, les règles du jeux sont moqués dans certains dialogues, bref l'ambiance générale est très bonne.
Coté adaptation il y a beaucoup d'ester eggs, le plus souvent tres discret, sans en faire des caisses (et c'est très bien). Par exemple le jeune femme cornu, qui est une druidesse et qui est un des meilleurs perso ? A aucun moment du film on ne vous dit que c'est une sorte de demi-diable. On voit ses cornes, sur un plan (peut etre deux) on voit qu'elle a une queue et ça s'arête là !
De la même manière le magicien du groupe prend une petite pincée de perlimpimpim avant de lancer le moindre sort. Et on ne vous expliquera pas dans le film que c'est normal, que la magie c'est des formules mais aussi des ingrédients toussa. Pourquoi on ne l'explique pas ? Parce que les personnages qui vivent dans cet univers connaissent ces choses et n'ont donc aucune raison de les expliquer.
C'est de l'ester eggs discret qui laisse deviner que l'univers est super large et c'est très bien.
Bon parfois les ester eggs sont plus grossiers et font un peu name dropping, ça aurait pu être mieux.
Niveau effet spéciaux c'est top, rien à dire, pas d'avalanche de sorts toutes les deux secondes mais quand ils sont là c'est tres propre.
Le ton général est sympa aussi, il y a un peu de violence, on est pas dans un disney (gros gros big up à la scène final avec le Ours-hiboux) et si la fin est assez convenu on a vu bien pire. Les personnages ont droit plus ou moins à leur petit développement personnel, avec certains moments touchants pour une en particulier.
Coté défaut le film s'arrête peu, les personnages sont toujours en action, à appliquer un plan ou à tenter de réparer une catastrophe mais ils n'ont visiblement pas le droit de se poser 5 minutes sans payer une taxe. De plus si la méchante est très méchante sa motivation manque un peu de consistance, être méchante est un moyen, pas un objectif.
Et puis sinon... ben c'est tout.
C'est un film que je rêverais avec plaisir et je vous le recommande.
Des questions ?
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homomenhommes · 12 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 150
Le samedi prévu pour le double Gang Bang est arrivé. La veille je suis allé chercher les clefs du gite et j'ai mis le chauffage (pour tenir à poil vaut mieux 23/24° que 10/12° !). Jimmy m'aide à mettre tout en place. J'avais demandé un deuxième table basse au loueur et je la trouve en arrivant. Même modèle en chêne massif. Elles tiendront le choc. Le traiteur livre vers 16h le buffet que j'ai commandé et nous rangeons tout cela au frigo prêt à être sorti.
La salle est dégagé de tout ce qui encombre, tapis, chaises, bibelots, tableaux... nous ne laissons que les supports horizontaux, les deux tables basses, la table de salle à manger et un buffet. Les deux canapés sont poussés contre les murs. Nous réquisitionnons une des chambres pour les besoins du " personnel " les autres serviront aux clients.
17h arrivée de Ric et de Jean. Ils sont contents de travailler ensemble. J'explique en gros comment va se passer la soirée et ils partent se préparer. Tout étant en place, Jimmy et moi allons les aider. Après leurs douches, nous les massons avec une huile qui rend leurs peaux satinées. Puis préparation de leurs rondelles, même si elles sont habituées aux gros calibres, ce soir il y aura de l'exceptionnel avec une bonne demi douzaine de blacks montés plus de 26 x 6 dont Eric. Nous travaillons surtout la profondeur. Lavements, graissage en profondeur puis vérification par godage. Jimmy et moi nous sortons de la préparation, bandants comme des fous ! C'est aussi le cas de nos deux acolytes. Tout le monde se calme.
Vers 20h les clients commencent à arriver et il sera 21h quand le dernier de mes deux " flics " fermera la porte. L'heure d'attente est passée par les premiers, un verre à la main, à mater et tâter Ric et Jean encore vêtus (petitement : shorts de sport ultra courts et marcels deux tailles trop petites). Pour Jimmy j'ai mis les choses au clair, il n'est là que pour le service classique (kpote, gel...) pas de cul avec lui. La déception de certain s'efface dès que les deux proies (volontaires) sont à poil (enfin façon de dire vue l'état glabre de leurs corps).
Les caresses et autres pincements sur la " marchandise " reprennent. Ric et Jean passent de l'un à l'autre. Je suis bientôt le seul avec Jimmy encore habillé. Les quelques blacks qui se demandaient les raisons de la présence de blancs, ont vite compris quand les slips ont volés. Ce n'était pas les plus petitement montés des participants (le père de Ric ou même Xavier sont montés plus gros que pas mal de blacks !). A partir de là, les choses sérieuses ont commencées. J'ai été bien content d'avoir emmené Jimmy pour me seconder car sinon je n'aurais pas pu tout surveiller. Comme d'habitude deux-trois ont fait des difficultés pour se kpoter, mais Eric et d'autres participants ont vite mis les choses au point sans que j'ai à intervenir.
Pendant plus de 3 h, Ric et Jean se sont fait pénétrer par les deux bouts. Dans un premier temps, deux groupes se sont formés, chacun entourant un de mes " employé ". Là nous avons assisté à deux gangs bang en parallèle, même si les " mâles " changeaient de groupe assez souvent. Puis les deux tables basses ont été collées et les deux centres d'attention réunis. Quelques clients leur ont demandé de faire un 69. Une fois en position, ils ont été pris chacun par tous les participants. Décollés, cote à cote, ils ont subi en parallèle l'assaut de leurs bouches et culs.
C'est très esthétique à voir que la pénétration de corps blancs par de monstrueuses bites noires. On distingue bien l'écartement auquel est soumis l'anus perforé pour accepter l'intromission. Que ce soit le corps musclé de Ric ou celui plus frêle de Jean, le contraste des couleurs ajoute à l'excitation générale, même si les 4 bites blanches présentes exigent autant de souplesse anale.
Plusieurs fois au cours de la soirée, certain de mes " clients " sont venus me remercier pour ce plan (sachant qu'ils ont payé le prix fort, c'est gratifiant). Ils (les clients) se sont entraidés pour réussir quelques positions plutôt instables. Certaines (positions) ont amené à de grand fous rires. Mais personne n'a débandé pour autant et les trous de mes deux acolytes ont été bouchés à plus de 80% du temps ! Jimmy qui assistait pour la première fois à ce genre d'activité, n'en a pas perdu une miette. Je pense que cela lui aura donné des idées et je suis sûr que le prochain gang bang que j'organiserais sera pour lui. Je vois que par moment ça le démange de participer.
Jean a été le premier à lâcher question physique. Ses deniers utilisateurs ont été obligés de tout faire et l'apothéose d'une éjaculation simultanée s'est faite sur son corps exténué. Mais aucun participant ne lui en a fait grief, il faut dire que tous étaient déjà passés au moins une fois sinon deux dans sa bouche et son cul. Ric, lui, avec sa forme physique a assuré comme un pro. Volontaire sur les pipes, se faisant saillir par les étalons comme une jument en manque, exigeant pas ses coups de reins, des enculages virils, il s'est éclaté à la fin, couvert de sperme, sous les mains de son père et de DGSE réunies à travailler ses tétons.
Pendant la séance, avec Jimmy j'avais assuré l'approvisionnement en boissons et victuailles, même si c'est plutôt une fois tous vidés pour la au moins deuxième fois que mes clients en ont plus profité. Ric et Jean en ont profité pour aller se laver. Les clients sont partis certains directement d'autres après avoir profité des salle de bains à leur disposition. Le dernier à partir fut " DGSE " qui m'a dit avoir pris toutes les plaques minéralogiques et qu'il me ferait un topo de chaque participant. Je le remerciais et lui dit que pour la moto, je connaissais déjà tout. Nous nous sommes retrouvés tous les 4 seuls dans le grand gite. La fatigue était telle qu'il était hors de question de rentrer et nous sommes restés jusqu'au lendemain matin.
Nous avons tous dormis dans le même lit, serrés les uns contre les autres. Avant de nous endormir, Ric et Jean nous ont sucés vu que nous n'avions pas participés aux activités du soir. Jimmy et moi avons déversé au moins un litre de foutre chacun !
Réveils dépareillés. Avec Jimmy je suis le premier à me réveiller. Nous nous levons discrètement et nous nous douchons ensemble puis rangeons le gîte. Quand Ric et Jean se lèvent à leu tour, tout le gite est redevenu normal. Nous leur préparons un petit déjeuner assemblé des restes de la veille, à part le café, c'est plutôt charcuterie et petits fours.
Avant de nous séparer, je les appelle tous pour la distribution de leur salaire. Ric et Jean se récrient estimant que je leur avais rendu service puisqu'ils étaient autant demandeurs que les mecs qui les ont sauté. Je remballe mon carnet de chèques, pour Jimmy, c'est différent, il émarge au service de la maison.
Tous comptes fait, frais déduits, c'est une bonne soirée question rapport financier. Mais comme la majorité est en liquide, cela nécessite un peu de gymnastique monétaire (à 2 ;000 € le ticket d'entrée par personne !).
Retour à la maison. Juste le temps pour Jimmy de se préparer pour son client de l'après midi. Maintenant qu'il a son permis et que j'ai acheté une petite voiture, il se débrouille pour y aller seul les 3/4 du temps. Mes clients sont sérieux et ils respectent nos engagements " rubis sur l'ongle ".
Je profite de mon après midi libre pour passer voir Emma. Nous ne sommes pas jeudi mais maintenant son personnel sait pour nous et reste dans ses quartiers quand nous nous isolons.
A l'arrivée je croise le majordome. Il me demande si je suis content de ma nouvelle voiture. C'est un ancien fou de mécanique qui s'ennui à mourir de conduire la grosse Mercedes de madame. Comme je sais que je vais rester au moins deux bonnes heures, je lui donne mes clefs et lui dit d'aller faire un tour. Si avant cela il m'aimait bien, maintenant je pourrais lui demander la lune ! Quand je rejoins Emma je lui dis ce que je venais de faire. Elle savait pour son chauffeur, son mari l'avait engagé lorsque ça craignait pour les grands patrons (risque d'enlèvement) et qu'il savait piloter façon urgence et protection, la Mercedes ayant reçu un blindage.
Ces considérations domestiques passées, je passe à la phase " inceste " de notre relation. Roulage de patin, montée graduelle de nos excitations mutuelles. Je la laisse prendre l'initiative. C'est à elle de commencer à nous dénuder. Mes mains pressent ses seins au travers du chemisier, ma jambe droite s'insinue entre ses cuisses et vient comprimer son pubis. Là, enfin, elle se lâche. Mon sweet vole en travers de la pièce suivi de près par mon polo, je fais alors tomber sa veste de tailleur et son chemisier. Quand elle s'attaque à mes Jeans, je dégrafe sa jupe qui lui tombe à ses pieds. Je suis en shorty devant elle qui porte encore bas culotte et soutient gorge. Eminemment sexy le tableau !
Quand je détache le soutient gorge, ses seins descendent d'à peine 2cm, sans avoir été opérés, ils sont encore très beaux et bien ronds. Je fais tomber ses bas et sa culotte alors qu'elle me retire mon shorty. Nus l'un contre l'autre, nous reprenons notre baiser. Ma bite raide creuse son ventre. Elle glisse contre moi et à genoux commence une fellation dans les règles. Elle est devenue super bonne su le sujet. Pendant tout un moment elle ne s'occupe que de mon gland, le léchant, l'englobant dans sa bouche, passant sa langue sous la couronne, agaçant le frein et pointant le trou duquel sort mon jus qu'elle aime tant. Quand ce dernier est plus que rouge de ses attentions, elle me prend graduellement de plus en plus profondément jusqu'à poser son front sur mes abdos, mon gland emprisonné dans sa gorge. C'est vraiment devenu une suceuse de première ! Je dois penser à autre chose pour m'éviter de jouir trop vite ! C'est quand je n'en peu plus qu'à mon tour je l'emmène à l'orgasme. Contrairement à nous, les femmes peuvent on plus de capacité à en avoir plusieurs très rapprochés, du coup je ne me retiens pas.
Je la relève et à mon tour descend le long de son corps. Son cou m'amène à ses seins dont je tète chaque bout jusqu'à ce qu'il soit gonflé et raide. Je les abandonne alors pour glisser jusqu'à ses lèvres du bas. Je commence par un roulage de pelle (non réciproque faute de langue !) et suce chaque lèvre pour les rendre hypersensibles et gonflées. Seulement alors je m'attaque à son clitoris. Même traitement. Le rendre si sensible que chaque attouchement provoque un effet tel qu'Emma arrive difficilement à savoir si c'est du plaisir ou de la douleur. J'obtiens alors de sa part un premier orgasme qui m'oblige à me redresser pour la tenir dans mes bras sinon elle chuterait au sol. Quand je lui fais cela couché sur un lit, ses cuisses m'écrasent les oreilles ! Sa faiblesse est passagère et ce premier orgasme lui a ouvert l'appétit. Elle s'accroche à mes épaules et lève un jambe pour faire passe ma queue sous elle. Comme je bande comme un malade (et que ma bite cherche à se coller à mes abdos), quelques mouvements suffisent pour faire entrer mon gland dans sa chatte.
Elle est brûlante et mouillée. Je la pénètre jusqu'aux couilles. Elle fatigue sur la pointe de son pied. Je la soulève et la pousse sur la première surface horizontale que je trouve. Je peux alors la labourer comme il faut. Elle contractes ses muscles et je me sens bien pris par son vagin. Elle arriverait presque à me faire jouir dedans ! Mais comme je préfère son cul, je ne m'y attarde pas plus que nécessaire. Ma queue bien lubrifiée de sa mouille je change de trou et enfonce avec délice sa porte arrière. ;J'apprécie la fermeté de son anus. Elle même aime de plus en plus cette pratique qui l'amène aussi à l'orgasme. Il faut dire que pendant l'enculage, je m'occupe aussi de sa chatte, son clito et ses seins. Je suis sûr qu'elle prendrait un pied pas possible si je lui faisais l'amour avec un autre mec. Vu comme elle réagit à la pénétration simultanée avec un gode, je pense qu'elle décollerait pas possible avec deux vraies queues en elle. Mais ça, ce sera à elle de le demander. En attendant nous baisons comme des forcenés et j'arrive à lui juter dans le cul juste au moment où elle jouit elle même. Ses contraction me bloquent et ajoute à mon plaisir. Une fois les corps détendus nous ramassons nos vêtements épars et filons dans sa chambre. Douche ensemble où nous nous câlinons un peu, puis nous nous mettons présentable. Je reste en shorty seulement. Le chauffage de la maison à 22° me permet cette fantaisie (mon coté exhibitionniste qui ressort, même quand il n'y a pas grand monde pour regarder !).
Quand nous émergeons de nos quartiers, le majordome est là à me tendre mes clefs en me remerciant. Je lui demande si il y a pris du plaisir et sa réponse est très positive, je suis content pour lui.
JARDINIER
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faire un film est bien plus de travail que vous ne pensez
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