Tumgik
#eux pensent que oui
luma-az · 9 months
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La Zone
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 21 août 
Thème : Camille/quand le chat n’est pas là
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Il s’appelle Camille. Elle aussi. Et les deux autres aussi, qui les suivent en essayant de ne pas se faire distancer. Tout comme celle qui attend au volant de la camionnette. C’est presque une comptine. Cinq Camilles qui vont au marché. Un marché pas cher du tout.
Que voulez-vous, quand le chat n’est pas là, les souris dansent. Et c’est un gros matou qui est de sorti ce soir.
Les Camilles aiment beaucoup cet endroit. La Zone est une terre sauvage, un lieu de vie et de nature, un endroit précieux que l’avidité humaine n’a pas encore salopé. Les Camilles n’apprécient pas du tout le projet de construction en cours. Pas du tout du tout.
Alors ce soir, tandis que le promoteur du projet est en train de vendre sa version en pleurant sur un plateau télé quelconque – le pauvre chou, victime de toutes les vilaines Camilles du pays – les Camilles sont de sortie sur le chantier. Et font leur petit marché.
Ils passent par derrière, loin des gardes, et sautent les palissades assemblées à la va-vite. Ils agissent vite et bien. Ils attrapent les chaines, les pinces, tous les outils qui leur tombe sous la main…
Mais les Camilles ne sont pas des voleurs. Ils rendent très, très vite ce qu’ils ont pris. En choisissant soigneusement quoi en faire.
Et lorsque les Camilles repartent, ils laissent derrière eux un chantier nettement plus en chantier – outils enchainés, moteurs sabotés, le tout décoré d’un message soigneusement graffé : « Ne Touchez Pas A Notre Zone »
Il faut bien ça pour que le message arrive à destination.
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lisaalmeida · 3 months
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« Est-il possible qu’on n’ait encore rien vu, reconnu et dit de vivant, est-il possible qu’on ait eu des millénaires pour observer, réfléchir et écrire et qu’on ait laissé passer ce millénaire comme une récréation pendant laquelle on mange sa tartine et une pomme ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que malgré invention et progrès, malgré la culture, la religion et la connaissance de l’univers l’on soit resté à la surface de la vie ? Est-il possible que l’on ait même recouvert cette surface qui après tout eu encore été quelque chose, qu’on l’ait recouverte d’une étoffe indiciblement ennuyeuse qui la fait ressembler à des meubles de salon pendant les vacances d’été ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’histoire de l’univers ait été mal comprise, est il possible que l’image du passé soit fausse parce que l’on a toujours parlé de ces foules comme si l’on ne racontait jamais que des réunions d’hommes au lieu de parler de celui autour de qui ils s’assemblaient parce qu’il était étranger et mourant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que nous croyons devoir rattraper ce qui est arrivé avant que nous soyons nés ? Oui, c’est possible.
Est-il possible qu’il faille rappeler à tous l’un après l’autre qu’ils sont nés des anciens, qu’ils contiennent par conséquent ce passé et qu’ils n’ont rien à apprendre d’autres hommes qui prétendent posséder une connaissance meilleure ou différente ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que tous ces gens connaissent parfaitement un passé qui n’a jamais existé ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que toutes les réalités ne soient rien pour eux, que leur vie se déroule et ne soit attachée à rien comme une montre oubliée dans une chambre vide ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on ne sache rien de toutes les jeunes filles qui vivent cependant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on dise les femmes, les enfants, les garçons et que l’on ne se doute pas malgré toute sa culture, que l’on ne se doute pas que tous ces mots depuis longtemps n’ont plus de pluriel mais n’ont qu’infiniment de singulier ?
Oui, c’est possible.
Est il possible qu’il y ait des gens qui disent Dieu et pensent que ce soit un être qui leur est commun ?
Oui, c’est possible.
Vois ces deux écoliers, l’un s’achète un couteau de poche et son voisin, le même jour, s’en achète un identique et après une semaine, ils se montrent leurs couteaux et il apparaît qu’il n’y a plus entre les deux qu’une lointaine ressemblance tant a été différent le sort des deux couteaux dans des mains différentes ? Oui, dit la mère de l’un s’il faut que vous eussiez toujours tout et encore est-il possible que l’on croit posséder un dieu sans l’user ?
Oui, c’est possible ».
Mais si tout est possible, si tout cela n’a même qu’un semblant de possibilité, mais alors il faudrait pour l’amour de tout au monde, il faudrait que quelque chose arriva.
- Rainer Maria Rilke se pose les questions dans ´Les Cahiers De Malte Laurids Brigge
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e642 · 10 months
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trucs que je déteste que les gens fassent/disent
- les gens qui donnent des tapes sur l’épaule (plus tu sursautes fort mieux ils se sentent) - les gens qui disent au jour d’aujourd’hui ou malgré que (faut arrêter de suite, si vous n’arrivez pas à vous y faire faut contacter l’académie française) - les gens qui haussent le ton dans une conversation pour pour couvrir ta voix et avoir la parole (attends ton tour comme tout le monde) - les gens qui font des bruits de bouche (pas de commentaire) - les gens qui coupent la parole (attends ton tour aussi) - les gens qui racontent une histoire/blague mais sans faire de chute (quel est l’intérêt ?)  - les gens qui disent "hein” ou “quoi” quand ils ont pas entendu (ça ne m’a jamais donné envie de répéter) - les gens qui finissent leurs phrases par “ou quoi”: mais t’es bête ou quoi (si c’est tant une évidence que ça, t’as pas besoin de le relever) - les gens qui s’amusent à siffler avec leurs doigts (vous pensez que je peux me permettre de perdre de l’oui gratuitement comme ça ?)  - les gens qui continuent à applaudir quand tout le monde a arrêté parce que c’est marrant apparemment ?? (ça ne l’est pas) - les gens qui mettent pas leur main devant lorsqu’ils éternuent (si j’avais voulue être malade je me serais débrouillée autrement tu peux garder tes postillons)  - les gens qui disent “j’ai lu en diagonal” pour pas avouer qu’ils ont rien lu du tout - les gens qui te posent une question mais qui n’écoutent, ouvertement, pas la réponse (ne me la pose pas dans ce cas, ce sera un gain de temps précieux) - les gens qui vont courir aux heures chaudes et qui se plaignent d’avoir mal au crâne (sois plutôt reconnaissant de pas avoir fait une rupture d’anévrisme) - les gens qui disent “j’aurais pas aimé être à ta place” (en général c’est assez logique vu les contextes où cette phrase peut aller) - les gens qui utilisent une belle expression française mais se trompent (”mieux vaut tard que plus tard”, “pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir harponné”, “l’herbe est plus jaune ailleurs” c’est non)  - les gens qui sont sûrs d’eux quand ils disent une énorme connerie (c’est plus pour eux que pour moi) - les gens qui disent qu’ils préfèrent le goût des fruits/légumes surgelés (à moins que tu n’aies pas les moyens d’acheter du frais je ne suis pas en mesure de comprendre) - les gens qui disent oki doki (c’est mon unsafe word jsp pk) - les gens qui prennent jamais de position en disant toujours “si tu veux” même quand la réponse ne peut pas être autre chose que oui ou non (-on appelle les pompiers ? oh bah si tu veux- niquel) - les gens qui pensent vraiment que leur horoscope est une excuse au fait que ce sont des vrais cons (je trompe mon mec mais ça c’est parce que je suis taureau oups ihih) - les gens qui répondent “ça va et toi ?” lorsque tu dis ça va dans le sens c’est carré (la ponctuation est ton amie) - les gens qui se plaignent d’une douleur mais refusent de prendre un médicament (juste prends le médicament ou tais toi ou les deux c’est encore mieux) - les gens qui agrémentent leur phrase par “ma belle”(ya pas grand chose de plus méprisant que ces deux mots collés) - les gens qui disent “ya pas de souci” alors qu’il y en a clairement un (juste parle fr) - les gens qui font la distinction entre les collègues, les connaissances, et les je le.la connais de vue (c’est pour se compliquer la vie ou à ce stade ya vraiment une diff ?) - les gens qui disent concubin et pas partenaire (j’aime pas ce mot, peut-être parce qu’il y a con et cu juxtaposés) - les gens qui disent “tant que toi ça va, moi ça va” (c’est connu, on va bien parce que les gens autour de nous vont bien ou inversement) - les gens qui commencent leur phrase par “bah” (ça me donne l’impression que j’étais censée savoir) - les gens qui disent trop bon trop con (t’es juste en train de laisser croire aux personnes les plus crédules qu’être gentil est finalement un défaut qui donne raison aux mauvais comportements) à suivre
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claudehenrion · 1 year
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Vieillir jeune (suite inattendue et non-programmée...)
  Le 12 avril dernier, nous avions passé un moment à disserter sur un gros rapport statistique de l'Insee sur les centenaires. C'était net, clair, factuel, précis, , sobre, arithmétique... et donc rigoureusement extérieur à tout ce que tous les gens qui sont entrés dans le processus du vieillissement pensent, ressentent, vivent, éprouvent. Plusieurs gentils lecteurs me l'ont fait remarquer très vite : en prenant de l'âge, deviendrais-je un technocrate désincarné ?. Que la réponse soit oui, oui-oui, ou oui-oui-oui, je dois me faire pardonner : ''un vieux'', c'est tout, excepté des statistiques et des chiffres, alignés dans un rapport INSEE, comme à la parade.
La seule question qui soit intéressante, c'est, en dernier ''ressort'' (ce ressort qui est une des choses qui disparaissent avec l'âge, et il en arrive un, un jour, qui est ''le dernier'' !) c'est : ''qu'est-ce que vieillir, et comment sait-on ou sent-on qu'on est entré dans ce cycle de la vie qui ne fait pas l'unanimité et n'a pas toujours très bonne réputation ?''. Car enfin, ne trouvez-vous pas paradoxal  que alors que vieillir n'a rien de sexy, l'idée de vivre encore longtemps fait, en gros, l'unanimité... ? En réfléchissant à ce lourd dilemme, je me suis souvenu d'une boutade de Golda Meir : ''Le grand-âge, c'est comme un avion dans une tempête : une fois que vous y êtes, il n'y a pas grand chose que l'on puisse faire, à part attendre et prier...''. Et puis il y a cette phrase terrible de De Gaulle, lancinante, définitive pour une chose qui, justement, ne l'est pas : 'La vieillesse est un naufrage''...  Ces deux grands ouvreurs des portes ont... grand ouvert celles autour desquelles je slalome !
Partons de Picasso –qui, bien que mouginois d'adoption, n'est pas vraiment un de mes maîtres à penser, mais pour une fois...-- qui disait ''on ne vieillit pas, on mûrit'', citation qui m'a remis en mémoire que, il y a quelques années, je répétais et me répétais : ''je deviens adulte'', ce qui était un peu vrai (''Encore cinq minutes, Monsieur le Bourreau !'')... J'ai longtemps cru que devenir grand-père me ficherait un bon coup de vieux, mais pas du tout, c'est passé comme un lettre à la poste (NB : c'est le fait d'être marié à une grand mère qui m'a fait prendre des années !). Depuis, promu ''Arrière-grand père'', je n'ai plus ce genre de soucis ! Tout au contraire, une petite voix me susurre de plus en plus souvent que plus je vieillis, plus je m'améliore dans pas mal de domaines (même si je serais bien incapable de vous dire lesquels !) : mes souvenirs me parlent d'un type qui a été nettement meilleur en tout que je ne l'ai été : je me souviens fort bien (ou plutôt... ''il surgit en ma mémoire'') de performances qui auraient fait de moi un champion olympique dans pas mal de sports : ''plus le temps passe, et plus je me souviens avec précision de choses qui n'ont jamais eu lieu... '', disait Mark Twain sur le tard.
Je pense, en écrivant cela, à l'ancien Président des Etats-Unis Ronald Reagan qui, frappé des syndromes d'Alzheimer, se réjouissait de ne jamais avoir une seconde à lui : ''Je rencontre sans cesse des inconnus qui ont, de moi, des souvenirs que je recherche. Je n'arrête pas !'', la limite extrême de cette évolution un peu crue, qui fait le bonheur de certains humoristes (jeunes, eux !) étant : ''au début, on oublie les noms... puis on oublie les visages... ensuite on oublie de remonter sa braguette... et puis... on oublie de la baisser...''. Ce n'est pas très distingué... mais cette constatation, heureusement, est plus souvent anecdotique que revendiquée...
Dans un domaine moins cru (et moins cruel), ce qui me frappe, c'est que jamais on ne m'a autant dit que je ne fais pas mon âge que depuis que celui-ci s'est envolé vers des sommets dignes d'un respect que le modernisme a oublié. Plus je me sens me décatir, plus des gens qui croient me faire plaisir me racontent qu'ils me trouvent jeune (sic !), la phrase ''standard'' étant le terrible (car si mensonger) ''Tu n'as pas changé''... qui sous entend que vers 30,  45 ou 60 ans, je ressemblais au vieillard que je suis... Les gens sont drôles, à force d'être tristes. Et vice-versa. 
Il me semble que plus je vieillis, plus je passe de temps à expliquer que jamais je ne me suis senti aussi jeune... alors que l'âge que j'ai atteint n'est, au fond, que la punition ou la conséquence d'avoir vécu si longtemps ! Mais pouvoir constater qu'on est vivant doit être malgré tout plus agréable que de dire qu'on est mort ! Hélas, on ne peut raconter qu'une seule de ces expériences, et c'est dommage.
Avez-vous remarqué que, chez ceux de vos amis qui flirtent avec le chiffre ''100'', on sent moins de pression sociale ? Ma mère, vers 103 ans, se plaignait souvent que les visites de ses amies de classe se faissent plus rares, et s'en étonnait parfois : ''Tu sais, me disait-elle, Une Telle me déçoit. Elle ne vient plus me voir, comme avant''.... et je lui proposais  de l'accompagner au cimetière de Cannes, où elle en ''reverrait'' plein, d'un coup... La vieillesse, au fond, c'est le temps de la vie où les gens vous abandonnent et où les anniversaires ne sont plus des fêtes : un gâteau d'anniversaire de mon père, portant presque cent bougies, avait failli mettre le feu, ratant de peu ''l'incendie du siècle'', ou plutôt... celui du centenaire !
Une brève incise dont je certifie l'exactitude : ce cimetière de Cannes est un magnifique jardin, à pic sur ''la Grande Bleue''. A la porte, un écriteau : ''Cimetière du Grand Jas'' (NB : la grande bergerie, en provençal). En dessous, les horaires d'ouverture été-hiver, puis cette notule qui m'enchante ''Défibrilateur à l'intérieur'', dont Pagnol aurait tiré un enchantement. Pour moi, seule la joie de vivre de notre midi peut fabriquer un tel optimisme : ''il était mort, le Pépé, mais au moment de descendre dans le trou, il a préféré un pastaga à 360 joules pour profiter encore un peu de ce coquin de soleil et battre encore Titin à la pétanque...''. La vérité, té... c'est que la vieillesse, c’est rien que une certaine idée que les autres se font de vous. La mort, c'est pareil... Et dit ''avé l'accin'', c'est encore bien ''plusse'' beau !
Je vais arrêter ces lieux communs sur le grand âge et cet enfonçage de portes ouvertes vers un milieu puis vers un lieu réputés pour leur fermeture... sauf pour regretter le ''bon vieux temps'' où vieillir apportait, dit-on, une garantie d'être écouté et respecté –au moins en apparences : aujourd'hui, la société trouve que, ne produisant plus rien, vous êtes inutile... alors que vous vous donnez du mal  pour faire croire que vous ''vieillissez jeune''. En prenant de l'âge (déjà... quelle drôle d'expression ! On ne prend rien du tout, on en prend, et plein la gueule !), on réalise que être vieux, c'est dire : ''Jamais je ne me suis senti aussi jeune'', au mépris de l’évidence. Vieillir, ce n'est pas tant ''se faire vieux'', que vouloir rester jeune !
Le monde est mal fait : les jeunes rêvent d'avoir l’air plus vieux et les vieux d'avoir l’air plus jeunes ! Je pense souvent à cette histoire pour chansonnier du ''vieux monsieur qui vient de renouveler son abonnement à Play Boy... mais n'arrive pas à se souvenir pourquoi'' … Pour me faire pardonner ma sécheresse apparente ''post-INSEE'', je cherchais une ''sortie'' souriante... Celle-là me convient. Bonne semaine.
H – Cl.
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edlim-sims · 1 year
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Après les cours, Marina croise Justine, avec qui elle veut réparer les pots cassés.
Justine: Tu voulais me parler?
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Marina: Je m’excuse pour l’autre fois, mais je ne comprends toujours pas ta réaction.
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Justine: Arf c’est si compliqué? Tu ne vois pas le problème? C'est évident…
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Frédéric: Hé salut! Euh…
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Justine: Bon, voilà le loup! Ce que j’allais te dire, c’est que je suis contre que vous soyez en couple, car je ne lui fais pas confiance. Les membres de sa famille ne pensent qu’à eux et aux simflouz. Ils ne se soucient pas des autres.
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Frédéric: C'est injuste! Oui, mes parents sont comme ça, même chose pour certains de mes frères et sœurs, mais je ne m’associe pas à eux. Je suis différent.
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Justine: Seul le temps nous dira si tes actions correspondent à tes paroles. Je vous laisse.
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Marina: Justine…
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Frédéric: Ça va aller.
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Marina: Merci. Tu sais, Justine a parlé de toi et moi comme d'un… couple…
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Frédéric: Ouais, je sais pas? Probablement? On peut être en couple… si tu veux!
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Marina: Ok ouais!!!
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Aucun couple n’est officiel sans un selfie publié sur les réseaux sociaux! ✅
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07 / 11 / 2022
🇫🇷 FRANÇAIS / FRENCH 🇫🇷
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon cher @tidodore2
SOUMIS LÉCHE LES PIEDS DU COLLÈGUE
PARTIE PAR @submissivegayfrenchboy
Jeremy travaille dans un bureau, mais, même si ses journées ne sont pas très épanouissantes, il a de quoi se détendre. Il a son propre lécheur de pieds ! C'est un collègue, Brian, que Jeremy a vu en train de regarder ses pieds quand il avait enlevé ses chaussures au bureau. Depuis qu'il a son propre bureau, Jeremy peut faire venir Brian dans son bureau pour qu'il puisse lui lécher les pieds en toute intimité. Il a installé une cloche pour appeler son lécheur de pieds.
Ce jour-là, il appuya sur sa cloche, posa ses pieds sur son bureau. D'habitude, c'est Brian, le soumis dont Jeremy a compris qu'il aime les pieds masculins, qui retire ses chaussures. Mais aujourd'hui Jeremy a pris de l'avance pour que Brian lèche ses pieds dès qu'il arrive dans son bureau.
Brian doit arriver rapidement, mais pas trop rapidement non plus pour ne pas que les collègues de Jeremy et Brian pensent qu'il se passe quelque chose entre eux. Le beau Jeremy avait une idée en tête pour éviter que ses rencontres avec Brian paraissent suspectes, et il comptait en parler à Brian.
JEREMY : "C'est bien, larbin t'as rappliquer vite ! Maintenant mes pieds attendent ta langue !"
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PARTIE PAR @tidodore2
BRIAN : "oui maitre ! Merci de m'avoir installé une niche près de votre bureau. C'est un tel honneur de pouvoir ramper à vos divins pieds dès que j'entends la cloche 🛎"
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PARTIE PAR @tidodore2
JEREMY : "d'ailleurs je pense que le mieux serait de te virer et t'engager comme lécheur de pieds attitré"
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PARTIE PAR @tidodore2
BRIAN : "oh non pitié maitre ! Si je perd mon emploi, je vais me retrouver à faire les poubelles dans la rue pour survivre 😨 il me faut un minimum de salaire pour vivre !
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PARTIE PAR @submissivegayfrenchboy
JEREMY : "oui tu as raison, t'auras un minimum de salaire. Tu sera payé moins cher que les nettoyeurs de chiottes, ça devrait suffire vu que tu es seul. Étant donné que t'es si moche que personne veut de toi. Et puis si tu dois vraiment faire les poubelles, bah c'est ta vie pauvre con ! 😈"
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PARTIE PAR @tidodore2
BRIAN : "Merci beaucoup maitre ! Le nettoyeur de chiotte doit se faire au moins 450 euros par mois, ça sera largement suffisant pour que je paye mon minable appartement !!!"
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PARTIE PAR @submissivegayfrenchboy
JEREMY : "oui et puis tu pourras toujours emménager dans un appartement plus petit. Je suis sûr que tu pourrais vendre plusieurs objets pour avoir un peu d'avance. Allez, suce mes orteils pendant que j'appelle le boss"
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PARTIE PAR @tidodore2
BRIAN : "c'est que..je vis déjà dans seulement 25m2...mais je pourrais sans doute me passer de certains meubles et trouver encore plus petit !"
Brian suce les orteils en regardant son nouveau maitre avec admiration pendant qu'il téléphone au patron.
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PARTIE PAR @submissivegayfrenchboy
JEREMY : "Sinon je peut toujours installer une cage dans une de mes armoires. Mon caleçon sale serait ta couverture, mes chaussettes seraient ton oreiller. Et le matin tu serais mon chauffeur pour aller au travail."
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PARTIE PAR @tidodore2
BRIAN : "Vous avez raison, ça sera peut être mieux. De toute façon je n'aurai pas le temps d'aller chez moi si je dois passer mon temps à faire votre ménage et à vous sucer les pieds."
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PARTIE PAR @submissivegayfrenchboy
Et il en fut ainsi. Brian a été viré de son travail et passait désormais ses journées à lécher les pieds de son ancien collègue sous son bureau, et il passait ses soirées à faire les tâches ménagères et faire la cuisine pour son maître. Brian aimait le fait que son métier consiste à permettre à Jeremy de se détendre, surtout s'il pouvait lui lécher les pieds. Cela valait la peine de dormir dans une armoire s'il pouvait lécher de si beaux pieds.
Et vous pourriez-vous abandonner votre métier pour pouvoir lécher des beaux pieds?
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇸🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇸
PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my dear @tidodore2
THE COLLEAGUE'S FEET LICKER
PART BY @submissivegayfrenchboy
Jeremy works in an office, but even though his days aren't very fulfilling, he has plenty to relax. He has his own foot licker! It was a co-worker, Brian, whom Jeremy saw staring at his feet when he took off his shoes in the office. Since he has his own office, Jeremy can have Brian come into his office so he can lick his feet in privacy. He installed a bell to call his foot licker.
That day, he pressed his bell, put his feet on his desk. Usually it's Brian, the submissive whom Jeremy has learned likes male feet, who takes his shoes off. But today Jeremy has gone ahead to get Brian to lick his feet as soon as he walks into his office.
Brian needs to arrive quickly, but not too quickly either so that Jeremy and Brian's co-workers don't think there's something going on between them.
Handsome Jeremy had an idea in mind to keep his encounters with Brian from looking suspicious, and he was planning to tell Brian about it.
JEREMY: "It's good, flunkey, you came back quickly. My feet are waiting for your tongue!"
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PART BY @tidodore2
BRIAN: "yes master! Thank you for setting up a doghouse for me near your desk. It's such an honor to be able to crawl at your divine feet as soon as I hear the bell 🛎"
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PART BY @tidodore2
JEREMY: "Besides, I think it would be best to fire you and hire you as a regular foot licker"
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PART BY @tidodore2
BRIAN: "Oh no mercy master! If I lose my job, I will find myself scavenging in the street to survive 😨 I need a minimum salary to live!
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PARTY BY @submissivegayfrenchboy
JEREMY: "Yes you're right, you'll get a minimum salary. You'll be paid less than the toilet cleaners, that should be enough since you're alone. Since you're so ugly nobody wants you. And then if you really have to do the trash, well it's your life poor idiot! 😈"
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PART BY @tidodore2
BRIAN : "Thank you very much master! The toilet cleaner must be made at least 450 euros per month, that will be more than enough for me to pay for my shabby apartment!!!"
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PART BY @submissivegayfrenchboy
JEREMY: "yes and then you can always move into a smaller apartment. I'm sure you could sell several items to get a little head start. Come on, suck my toes while I call the boss"
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PLAYED BY @tidodore2
BRIAN: "It's that..I already live in a very small apartment, only 25m2...but I could probably do without some furniture and find even smaller!"
Brian sucks toes watching his new master in awe as he phones the boss.
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PARTY BY @submissivegayfrenchboy
After Jeremy has finished to call the boss, he speaks to his feet licker.
JEREMY: "Otherwise I can always install a cage in one of my closets. My dirty underpants would be your blanket, my socks would be your pillow. And in the morning you would be my driver to go to work."
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PLAYED BY @tidodore2
BRIAN: "You're right, it might be better. Anyway, I won't have time to go home if I have to spend my time doing your housework and sucking your feet."
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PARTY BY @submissivegayfrenchboy
And so it was. Brian was fired from his job and now spent his days licking his former colleague's feet under his desk, and he spent his evenings doing housework and cooking for his master. Brian loved that his job was to let Jeremy relax, especially if he could lick his feet. It was worth sleeping in a cupboard if he could lick such beautiful feet.
And you could give up your job to be able to lick beautiful feet?
END OF THE STORY
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kilfeur · 11 months
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Servir la justice dans The Great Ace Attorney
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Je trouve que le jeu soulève un point intéressant avec Stronghart, Kazuma, Genshin Barok, Klint et Ryunosuke. Jusqu'où on est prêt pour agir pour le nom de justice ? Jusqu'où une personne serait prête à se battre contre un système juridique corrompu pour rétablir la "justice" ? Pour répondre à la justice, seriez vous prêt à vous salir les mains afin de faire payer les vrais criminelles ? Pour moi, ces cinq personnages représentent une manière de se battre pour la justice.
Parlons de Genshin, ce que je trouve intéressant malgré le peu d'infos qu'on a sur lui. D'après Barok, Kazuma et Mikotoba, c'était quelqu'un de très droit, de mémoire il avait l'ambition d'apprendre le système juridique anglais pour pouvoir ramener ce qu'il a apprit au Japon afin d'améliorer le système juridique de son pays. D'après les dires de Barok, Klint et Genshin travaillaient ensemble dans certaines affaires et il y avait un certain respect mutuelle. Toutefois quand il découvrit la vérité au sujet du professeur, il essaya d'abord d'en parler à Lord Stronghart, sauf que bien sûr vu que c'est lui le maître manipulateur. Il feint l'ignorance en lui rappelant sa position. C'était un étudiant étranger à Londres qui n'a aucun pouvoir ici, de plus si il cause le moindre souci, ça pourrait causer un incident diplomatique. Je crois me souvenir que Genshin non plus n'avait pas de preuves pour dire que Klint était le professeur. Au final, il décida de confronter Klint soulevant une certaine impulsivité de vouloir régler ce problème lui même. Lui qui voulait apporter la justice, l'a fait en salissant ses mains et le jeu ne le glorifie pas. Pour moi la lettre Klint ne glorifie à aucun moment Genshin, il savait très bien que ce duel signait la mort de l'un deux. Oui il a pu arrêter le professeur mais il n'est pas pour autant innocent dans cette affaire car pour rétablir la justice, il a dû faire couler le sang. Bon après il y a aussi la tentative d'évasion mais là j'ai du mal à le blâmer émotionnellement parlant. Vu qu'il voulait revenir au pays pour son fils ! Mais droit comme il est, ça m'étonnerait qu'il aurait poursuivi ses études de droit si il avait réussi à s'évader.
Ryunosuke qui arrive tout juste dans ce milieu voulant honorer le rêve de Kazuma et apprend si il doit placer sa foi ou non envers ses clients après l'affaire MgGilged. Même quand il a fallu défendre Gina, il a eu des doutes mais a prit l'affaire quand même. Toutefois dans ce procès, il n'hésitera pas à se battre contre n'importe qui pour protéger son client si il a foi en lui. Ryunosuke dit quelque chose au sujet d'apporter la vérité, bien qu'au début il dit qu'il faut que la vérité soit dévoilé. Il comprend aussi que cette vérité peut avoir de lourdes conséquences. Je trouvais que son évolution par rapport à la vérité est sympa. Quand à Barok, il était prêt à porter le titre du faucheur si ça permettait de baisser le taux de criminalité à Londres et de faire payer les criminelles qui pensent pouvoir s'échapper à la loi. Sauf qu'inconsciemment, Stronghart l'avait au creux de sa main et pouvait faire de lui sa marionnette pour atteindre ses objectifs. Et le peuple de Londres craignait sa présence dans le tribunal du Vieux Bailey montrant que ce n'était pas un procès qu'ils assistent mais à une exécution.
Bien qu'il enquêtait secrètement sur l'organisation du faucheur, ses efforts pour cette enquête n'ont pas été suffisants car son ami est mort. Dans la photo où on le voit jeune, on pouvait voir aussi Gregson supposant que ces deux là étaient proches à l'époque (dans les contenus spéciaux, il y a un épisode extra où on les voit discuter ensemble). Barok était le bouc émissaire idéal pour blâmer la mort de tous les criminelles de Londres. Malgré son travail aux tribunal pour faire tomber les criminelles et malgré ses principes à rétablir la vérité et à amener la justice, l'un d'entre eux a été brisé pendant le dernier procès, c'est justement l'un des symbole les plus fort du jeu. Surtout que Klint celui qu'il admirait pour son travail, qu'il voulait suivre ses pas, à un moment il a douté de lui sur le fait qu'il était le professeur. Mais il y refusait comme pour refuser de briser la belle image qu'il avait de ce dernier, mine de rien il l'a aussi idéalisé tout comme Ryunosuke a idéalisé Kazuma après sa fausse mort.
Kazuma qui bien qu'au début a des ambitions nobles se cache une ambition bien plus sombre, celle de venger ceux qui ont causé du tort à son père. Je pense toujours que malgré sa vengeance, il voulait sincèrement changer le système juridique japonais. Sa vengeance obscurcisse son jugement l'empêchant d'écouter les faits de Ryunosuke. Même si il apparaît calme et calculateur dans le procès, je sentais qu'au fond, il y avait cette colère, cette rancune et cette haine dans ses yeux enfoui pendant des années. Il m'a fait faire les montagnes russes, ce sale petit con. Plus j'avançais dans le jeu, plus j'avais du mal à croire jusqu'où Kazuma était prêt à aller pour atteindre ses objectifs. Ce qui signifie, accepter un contrat d'assassinat surtout qu'il était à deux doigts de le tuer. A ce moment là, je m'étais même demandé si je voulais rester mon ami après ce qu'il avait fait ? Surtout qu'il y a des moments où il m'a aussi tapé sur le système, j'étais tellement contente quand Ryu lui dit d'ouvrir les yeux. Au début, je trouvais Kazuma trop parfait, limite, ça aurait pu être lui le perso principal à la place de Ryu. Mais dans ce procès, on découvre un Kazuma imparfait dans le déni qui prétend rendre la justice et ainsi laver le nom de son père. Sauf qu'au final c'est surtout sa justice à lui qu'il voulait rendre, un ressenti émotionnel qu'il a enfoui pendant ces dix derniers années jusqu'à découvrir ce qui s'est réellement passé il y a dix ans.
Mael Stronghart, je le trouve assez complexe, oui ce qu'il a fait est horrible mais tout ça, c'était pour rendre la justice de Londres efficace envers les criminelles qui croyaient pouvoir s'y échapper. Et qu'on le veuille ou non, ses actes ont eu des résultats, le taux de criminalité a baissé montrant que son organisateur du faucheur bien qu'extrêmement douteux fonctionne. Il était pleinement conscience qu'il faisait face à un système juridique corrompu, d'après Stronghart pour éliminer le mal il faut s'attaquer par la racine et c'est ce qu'il a fait. Certes ce n'est pas lui qu'il l'a fait, il a manipulé des personnes pour atteindre ses objectifs. Il fait partie de ces personnages la fin justifie les moyens, toutes les magouilles étaient permit pour lui si ça permettait d'établir la justice dans sa ville. Je veux dire quand il a révélé la vérité au sujet de Klint, lors de son discours, j'admets que je trouvais certains de arguments valables.
Du coup, je me sentais tiraillée alors que le peuple était pour lui, il faut dire qu'aussi qu'il était un très bon orateur et sait imposer sa présence quand c'est nécessaire. Donc ça aide en soi, certains trouvaient ça illogique que Stronghart réintègre Ryu en tant qu'avocat vu son passif. Mais en soi, c'est consistant avec le personnage, il voulait montrer à Ryu que le système est corrompu et qu'il aurait beau se débattre pour rétablir la justice et la vérité, il n'y arrivera pas. Et je trouve que c'est encore bien plus présent lorsqu'il est juge dans ce procès, lui montrer que le système juridique de Londres est corrompu et que le seul moyen de le combattre est de s'attaquer à la racine. Sauf que Ryu est resté fidèle à ses principes et a su montrer à Stronghart, sa manière de rétablir la justice et qu'ainsi que les victimes aient le droit de découvrir la vérité sur ce qui s'est passé. Stronghart manigançait dans l'ombre en cachant la vérité sous son rôle de Maître Juridique (Je connais pas le terme équivaut en français) pour faire avancer le système juridique de son pays. Tandis que Ryu poursuit la vérité afin de la révéler car selon lui, le peuple et les victimes ont le droit de savoir quitte à subir les conséquences. (Bon par contre la partie où Stronghart fait revenir Ryunosuke en tant qu'avocat ne vient pas de moi mais d'un post sur tumblr que j'ai trouvé intéressant en terme d'analyse. Par contre le contraste entre Ryu et Stronghart ça vient de moi)
Quand à Klint, il voulait sincèrement rétablir la justice par des moyens légaux sauf qu'il s'est rendu compte que ce n'était pas suffisant. Et que pour faire payer les criminelles, il n'avait pas d'autres choix que de se salir les mains pour y parvenir. C'est le procureur qui a sombré dans les ténèbres, celui qui est tombé dans la disgrâce. Et même si par la suite il était tout aussi victime de chantage de la part de Stronghart. Il a sa part de responsabilité, utilisant son propre chien pour tuer ceux qui sont corrompus. Dans son idée de justice, il est devenu le monstre et pour Stronghart, il est devenu son exécuteur. Ce n'est qu'une fois qu'il a tué son mentor que ça a été son wake up se rendant compte qu'il est allé trop loin. Surtout qu'à ce moment là, il allait bientôt devenir père, était ce vraiment ça l'avenir qu'il comptait offrir à sa famille ?! Celui d'un meurtrier qui exécute sauvagement ses victimes au nom de la justice ?! C'est pour ça qu'il a décidé d'éloigner sa femme enceinte de lui en n'espérant que ces derniers ne soient pas touchés par les vices du Professeur. Quand à Klint, il comprit qu'il était condamné, qu'il ne méritait pas de servir de la justice alors qu'il a brisé ses principes pour y parvenir. Toutefois avant son duel, il écrivit une lettre afin de l'utiliser comme arme contre Stronghart afin que tout comme lui ce dernier tombe en disgrâce. Montrant que malgré tout ce qu'il avait commit, il y avait peut être encore une once de justice venant de ses anciens principes.
J'ai adoré jouer à ce jeu même si j'étais un peu malmenée émotionnellement ça prouve à quel point TGAAC est un bon jeu.
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lettresdamours · 1 year
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été de ceux
Dont les frontières
N’existe pas
dont la peur
Le froid .
Ne déteigne pas sur l’âme
De ceux qui éblouissent
de leur aura
Se laissé vaguer sur le fil
Pensent-ils que tout est écrit
Que faire du libre arbitre
été de celle qui tourner
Le dos , au bien docile
Beni oui oui se voit
Perdu
Face au soleil
Face à eux même
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christophe76460 · 4 days
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LA GRÂCE OFFENSANTE !
"La vie d’un chrétien doit servir de témoignage de la grâce étonnante et particulièrement offensante de Dieu…
Oui vous avez bien lu : UNE GRÂCE OFFENSANTE …!
Je dirais même : Une grâce qui étonne tout en offensant.
C’est cette grâce du père qui dans Luc 15.20 relève sa robe et court à toute allure vers le prodigue empestant le péché, l'enveloppe et décide d'organiser une fête, sans conditions ni restrictions.
Ce n'est certainement pas une grâce à bon marché comme beaucoup le pensent injustement. Elle est certes gratuite pour nous, mais elle devient particulièrement offensante puisqu’elle ne repose sur aucun de nos mérites.
Elle ne réclame rien et elle donne tout.
Elle ne nous laisse aucune part active et fait de nous les simples réceptacles du choix divin. Aussi, quand Dieu active ainsi sa grâce en nous, gardons nous de penser que quelque chose soit de notre fait.
Beaucoup pensent la grâce comme quelque chose qu’ils ont saisi personnellement, se l’appropriant comme si elle avait été déposée par Dieu devant eux, laissant à chacun le choix de s’en saisir ou bien de la bouder en passant outre. Croire que Dieu laisserait un tel choix aux hommes, c’est ignorer l’état de déchéance postlapsaire de l’homme et la volonté aimante de Dieu.
Réalisons que celui qui met en nous la pensée de l’éternité est également celui qui nous attire à lui, afin de nous faire entrer dans sa grâce et d’en recevoir tous les bénéfices et croyons qu’autrement, nous n’aurions jamais saisi cette grâce par nous mêmes.
Ainsi, ceux qui sont devenus chrétiens ne sont pas plus intelligents que ceux qui demeurent encore dans les ténèbres. Ils sont justes des individus graciés, par cette grâce qui est particulièrement offensante, étant donné qu’elle renverse en nous quantité de valeurs, de concepts et de certitudes.
Une telle grâce est en quelque sorte une véritable peau de banane pour les légalistes et un conte de fées pour tous les autres !
Mais pour ceux qui sont sauvés, elle demeure la base d’un salut parfait, parce qu’il ne repose que sur Dieu et sur lui seul."
Past. Xavier LAVIE
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yes-bernie-stuff · 5 days
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◀ 11 MAI ▶ La Bonne Semence
Le coeur est trompeur par-dessus tout, et incurable qui le connaît ? Moi, l’Eternel, je sonde le coeur... Ils me connaîtront tous, depuis le plus petit d’entre eux jusqu’au plus grand, dit l’Eternel car je pardonnerai leur iniquité, et je ne me souviendrai plus de leur péché. Jérémie 17 : 9, 10 31 : 34
Ce qui doit changer
Contrairement à ce que beaucoup pensent, les principaux problèmes de l’humanité ne sont pas politiques, économiques, sociaux, écologiques. Ce sont des problèmes moraux. Imaginez un moment le monde sans égoïsme et sans mensonge, chacun mettant en pratique les enseignements du Christ, aimant son prochain comme lui-même, faisant aux autres ce qu’il voudrait qu’on lui fasse... Et vous voyez réglés du même coup tous les conflits à quelque échelle qu’ils se situent. C’est le bonheur dans les familles, la fin des luttes sociales, la paix entre nations, la fraternité universelle. Oui, ce qui doit changer d’abord, ce ne sont pas les conditions de vie de l’homme, c’est l’homme lui-même, et le renouveau qui est à la base de tous les autres, c’est celui du coeur. Pas seulement celui de votre voisin, de votre employeur, de votre conjoint, de vos enfants. Mais le changement de votre coeur. Or, nous regrettons de vous ôter vos illusions si vous en avez, mais c’est chose impossible que de réformer fondamentalement sa propre nature. L’être humain est foncièrement pécheur, incapable aussi bien de s’améliorer lui-même que de l’être par les autres, pécheurs eux aussi. Dieu ne répare jamais ce que l’homme a gâché. Mais il lui offre une nature nouvelle : une vie qui est celle de Jésus Christ et que nous recevons par la foi en lui. - Lire plus ici :
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elodieamet · 11 days
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Pourquoi l’art contemporain c’est de la merde ?
Pourquoi la biennale de Venise 2024, qui aurait pu donner un bon truc novateur vu que ça portait sur le chamanisme, c’est en fait un ersatz d’expo, un culte de la forme pour la forme creuse, de l’artifice, du bla-bla pompeux et des couleurs attrayantes avec rubans, pompons et danses à la con pour faire style on inclut les cultures folkloriques dans notre impérialisme dictatorial de l’art contemporain de merde mais en sous-plan c’est nous qu’on reste les patrons, c’est nous qu’on a le fin mot de l’histoire ! 
Pourquoi quand tu regardes ton fil Instagram t’as envie de te suicider au bout de 20 secondes ? 
Parce que les gens sont des putes !
Ils ont vendu leur âme ! 
Alors c’est une expression mais c’est réel, c’est même le fond du problème…Et c’est la raison pour laquelle toute cette industrie reflète la mort, le rien et le néant. C’est pour cela aussi que ça n’évolue pas car l’évolution se fait non pas via les groupes, les systèmes mais les individus, quand un être entre dans sa singularité, quand ainsi il amène son propre langage. 
Qu’est ce que c’est notre âme ? …C’est en fait notre identité. L’âme d’une personne, c’est sa véritable identité. On pourrait dire que c’est sa vraie personnalité. Et comme le faisait remarquer Johnny Depp : ‘’Nous vivons une époque où tout le monde cherche à devenir soi-même mais où tout le monde se conforme.’’ On assiste à une destruction massive de la vraie personnalité, de la vraie identité des êtres humains. On dirait que les gens ont la phobie d’être eux-même ! Ils n’osent plus mettre la moindre chose personnelle, sauf quand c’est du partage d’expérience douloureuse et là t'as du pathos à la pelle. Alors bien sûr que c’est vibrant mais ça n’a rien de personnel, ça va juste toucher l’universel dans l’être humain et de l’universel, on en a assez. On manque de personnel. Être soi-même, mettre sa patte de chien à soi dans l’plat bien à fond, on n’y arrive pas… Puisqu’on pense tout de suite à la manière dont sera perçu, angoissé à l’idée de passer pour des mongols ou des cassos, on épouse les codes qui font style. Voilà, on est enfoncés jusqu’au cou dans le monde du paraître. On colorie des cases pré-numérotées en faisant bien gaffe de pas déborder et de pas faire de FOTES. Tout ce qui nous avait traumatisé à l’école devient notre religion. 
Alors oui, aujourd’hui, on est à fond sur les questions d’identité. Enfin, à fond dans la surface surtout ! Parce que quand on te met un artiste noir en promo jusque parce qu’il est noir, que ça sert aux critiques blancs à pondre leur écrit auto-flagelatteur sur le colonialisme ou le post modernisme dans ce délire malsain de racisme positif complètement tortueux et incapable de se libérer du passé, on est encore trèèèèèèès loin de la véritable identité. Quand ça fait 50 ans qu’on te balance de l’installation poubelle mais que ça dérange personne cette surenchère orgueilleuse du discours sur du recyclage épuisé jusqu’à l’os…Que fait la police ! Quand t’as ceux qui cherchent leur identité dans des appartenances de groupes, de communautés, de partis politiques, eh bien t’as juste des pauvres personnes qui sont personnes, qui se dissolvent dans le collectif et ainsi, noient leur identité, détruisent leur singularité en se définissant par l’étiquette du groupe chelou, divergent, marginal (en fait pas si marginal) dont ils se recommandent (croyant qu’ils pensent par eux-même alors que c’est le groupe et sa doctrine qui pensent au travers d’eux.)
Oui, parce que l’identité c’est l’individu donc c’est ce qui t’éjecte de tous les groupes, c’est ce qui fait de toi un être fondamentalement anormal. 
L’identité c’est ton âme. Et l’âme, c’est tout simplement l’AMour ! C’est ce que tu fais par amour ! Sans qu’il n’y ai d’autre fonction, d’autre but, d’autre finalité que l’amour, que le fait d’aimer ce que tu fais. Oui parce que l’amour ça se pratique, ça se fait (comme on dit ‘’faire l’amour.’’) Aimer c’est quand tu FAIS quelque chose que tu aimes. Sinon on est dans le sentiment d’aimer, dans l’imagination d’aimer mais pas dans le réel d’aimer. Et ça c’est la raison pour laquelle l’art contemporain, qui désigne en fait non pas l’art de notre époque (comme on essaie souvent de nous le vendre) mais bien l’industrie de l’art, le sytème de l’art est une entreprise de destruction de l’âme : une machine à fabriquer de la forme et du discours dans des buts et des finalités financières. Il y a toujours un but en bout de course. Et c'est pris dans une roue, dans une course ; C’est fait pour courir, pour marcher, pour fonctionner...Donc ça s'épuise aussi fatalement. C'est épuisant et asphyxiant car il manque le souffle (âme = souffle de vie) que seul l'amour apporte.
Pendant longtemps, j’ai cru que j’étais prisonnière de la mémoire de l’artiste maudit car j’avais un problème avec l’argent et le système de l’art contemporain. Mais plus je mûris, plus j’aime ce que je fais, plus j’ai horreur de ce système. Je vois au travers des formes et des artifices, des anges déçus qui cherchent une place dans le monde des autres…parce qu’ils n’ont pas trouvé leur monde. 
On nous rabâche que le but d’un artiste c’est d’ ’’arriver à vivre de son art.’’ Mais qu'est ce que ça veut dire ? Est-ce que ça veut dire qu’il faut gagner son pognon avec son art ? Et que c'est cela, vivre ? Ou bien cela veut-il plutôt dire que ton art est ce qui te REND VIVANT, que ton art est ce qui te FAIT VIVRE ? Ce n’est pas la même chose et pourtant, si il y a un but réel, c’est celui là : LA VIE !
Dans ce système, dans ses institutions, ses centre d’art, ses galeries, ses résidences d’artistes etc…Il n’y a pas de place pour aimer. Tu n’es pas là pour faire ce que tu aimes, tu es là pour produire, pour travailler ! POUR FAIRE DES RECHERCHES SUR...POUR T’INTERROGER SUR LA QUESTION DE... SUR LA PROBLÉMATIQUE DE... C’est insupportable ce mécanisme à travailler sur des problématiques, à se prendre la tête, à se mettre des chaines autour du crâne.
En réalité, dans ce sytème, tu es esclave. Esclave de ton galeriste, du mec qui possède la résidence car tu as des comptes à leur rendre. L’intention originelle est complètement biaisée. Tu te fais baiser parce qu’à partir du moment où on te donne de l’argent, une bourse, un prix ou que ton galerie se charge de vendre tes oeuvres, tu es sous contrat, tu n’es plus libre. Comme ce con de Ryan Gossling, obligé de faire toutes ses apparitions déguisé en Ken après la sortie du film Barbie. Dans son contrat de 10 pages, il a du respecter toutes les conditions de ce qu’il devait faire et ne pas faire. Au final, on applaudit un pauvre type transformé en marionnette, en pinocchio. C’est ça le mensonge. On adore des gens qui nous renvoie la réussite alors que ce sont des esclaves. 
On ne sait plus aimer, parce qu’on ne sait plus faire des choses qui n’ont pas de rentabilité immédiate. C’est toujours le même problème, celui de l’immédiateté. On vit comme des reptiliens. 
Quand on fait ce qu’on aime, il n’y a pas de retour sur investissement car le moteur n’est pas le but à atteindre mais le besoin intérieur qui anime, la contraction de l’auto-enfantement. Cela ne peut pas se prévoir, se conceptualiser d’avance car le concept arrive après.
Ce qui précède le concept, c’est la conception elle-même !
Mais ce système de merde, le concept précède la conception. Tu dois faire des dossiers pour expliquer ce que tu vas créer ! Comme des parents qui devraient s’expliquer à eux-même comment sera leur futur gamin. On vit dans cette permanence de la planification et c’est cela qui nous bouffe le ventre, qui nous bouffe l’âme.
L’âme est dans le ventre, dans les tripes. La création est une digestion, une transformation. Elle ne peut pas se dire quand elle se fait. Elle se vit, c’est l’aspect en nous de LA BÊTE. C’est l’aspect non réfléchi, pulsionnel, instinctif, primitif, originel. Et dès qu’on s’éloigne de cette force première, dès qu’on commence à planifier, à conceptualiser, à se faire chier …BEIN ON MEURT !
Si ce système est morbide, c’est parce qu’il se nourrit de concepts pré-pensés, pré-imaginés pour marionnettes conditionnées en recherche de validation. Dans ces formes imaginées, il n’y a pas de nouveauté car il n’y a pas de transformation, il n’y a pas de création vécue, il n’y a pas de feu, il n’y a pas de haine motrice…ON A TUÉ LA BÊTE !
Le mouvement de la création est une contraction qui t’amène à l’intérieur de soi. La force première, primordiale est cette énergie qu’exprime les métalleux : LA HAINE. C’est au travers de cette énergie primordiale que s’exprime la bête en nous. Il faut de la haine pour la libérer et lui permettre de délivrer son cri, son message, son langage. C’est là que réside notre identité : dans le cri de liberté de la bête. C’est cela avoir de l’âme. C’est cela avoir de l’identité, c’est cela avoir de l’intégrité.
C’est cela oser être putain de soi-même.
Quand on se figure la haine, on la diabolise, on la juge alors que c’est une énergie. C’est la haine qui permet d’activer ce conflit intérieur qui produit les contractions dans le ventre et permet l’auto-enfantement du langage. 
On nous vent de l’amour à en vomir mais on ne comprend rien à l’amour. Au nom de l’amour, pour aimer ce qu’on fait, pour sauver son âme et libérer en fait son expression (au nom de la liberté d’expression Ah ! Ah ! Ah !)  il faut de la haine, beaucoup beaucoup de haine. 
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lanuitlennuie · 12 days
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- Ils disent : « nous voulons un maître ». Elle répond : « Rendus là, pourquoi pas ». - Ils disent qu'ils veulent un maître. (La messagère la regarde en silence.)  Elle hoche la tête : « Soit. » - Ils disent qu’ils t’ont désignée.  Elle répond : « Rendue là, pourquoi pas ». 
Plus tard. Elle tasse tout ce qui encombre la table de la cuisine, y dépose son carnet qu'elle ouvre sur une nouvelle page, appuyant du pouce le pli central pour forcer l'ouverture.
« Ils disent »… Non en fait ils ne l’ont pas dit, ils l'ont signifié à leur manière, qu’on peut lire si on veut bien faire l’effort. Ils ne l'ont pas dit parce qu’il leur manque les mots, ils n’en pensent pas moins. Ils ont grandi dans un monde suraffecté et déserté, drôle de mélange. Leur école est l’anti-chambre d’un CHSLD.
Elle - celle-ci au milieu d'eux - elle ne dirait pas qu’elle est d'aucune gang, celle-là ou une autre, mais au final ceux-là, oui peut-être qu'elle les a rencontrés, peut-être qu’elle a trouvé avec eux quelque chose. Échaudée, trop sévère, trop sceptique pour le reconnaître. Son grand front soucieux abrite des visions qu’elle confie peu. Elle dit que parfois la prof de physique elle voudrait la tuer. On entend que c’est vrai. On n’a pas idée ce que c’est d’être confronté chaque jour ou presque à ce mélange abrutissant de conformisme, bêtise, autorité, ressentiment. Quand elle le dit, c'est vertigineux. «Tu m’étonnes qu’on prenne des médicaments.»
Avec elleux, on ne pourra recycler aucuns idéaux. Il faudra que chaque mot sonne pour la première fois. On ne pourra compter sur aucune république, aucune histoire, aucun miroir, aucune culpabilité. Un tambour peut-être et un cercle et accepter de s’y placer au milieu, comme un maître, enfin. 
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LES TEMPS CHANGENT
Mais les temps changent ! La population change , la vie change ! Ceux qui mangeaient des bonbons autrefois sous la table rêvaient de leur révolution moderne . Une révolution pacifiste avec des colliers de fleurs autour du cou ! Aujourd’hui on renverse un policier avec sa moto , on savate un collégien jusqu’à ce qu’il succombe et on harcèle une jeune fille jusqu’à ce qu’ elle se suicide et on dépasse toutes les limites ! On flirt avec la folie , le crime .
Où est le mal ? tout le monde
s’ interroge .
Les parents démissionnaires ou parfois aussi barrés que leurs progénitures et plus cruels encore !
Ou est le mal ? Le manque d’ argent ,
d’ intelligence ? Ne dit-on pas bête et méchant ? Oui ou est le mal ? .
Le manque d’ éducation , les limites que les parents ne savent plus poser aux enfants ? La crainte de la vengeance d’ un fils ou d’ une ados qui exerce le chantage comme un vieux gangster sur ses parents ? Parce que eux même disent bien souvent être des loups , des invincibles , des Rambos dans une société dure et sans pitié .
Il est tard !
cette génération nouvelle a une phylosophie particulière !
Les rapports de forces partout et toujours . Particulièrement dans les réseaux où la plupart avancent masqués ! La porte grande ouverte aux pires échanges , aux pires cruautés, aux injures , aux moqueries , et bien sûr au harcèlement ; le graal !
Les enfants sont élevés ainsi ! La famille est supérieure ! Plus forte et plus cruelle aussi que ne pourrait être l’ ennemi !
C’ est la loi de la surenchère ! Au plus fort et à celui qui détient la vérité !!
L’ ennemi ce peut-être
n’ importe qui ! Une fille habillée
d’ une certaine manière considérée comme inappropriée, la jalousie celle
d’une maison , une voiture , d’une école , d’un canapé où des fiches de paies , d’une promotion ! .
Les enfants subissent depuis leur plus jeune âge la course à la réussite ! Mais sans la morale aujourd’hui , sans
l’ humilité , sans codes de l’ honneur qui existait après la guerre , sans bien souvent aussi , la religion , la bienséance et la retenue ! . La crainte du gendarmes est passée de mode depuis longtemps , la crainte des sanctions bientôt aussi ! .
Il me semble me souvenir de la phrase de Monsieur DELON ! Tout à foutu le camps ! .
Faut les envoyer au front ces gens-là maugréait un vieux qui avait fait la guerre ou celle-ci lui avait-elle été racontée par le menu du sang un jour de paix et de prospérité ! Au front ! Eux ils se battent en Ukraine ! Des guerres se découvrent aujourd’hui qui tuent ! L’ échelle des violences dénombrées, des crimes de guerre
ont dû se métamorphoser plus violents aussi ; Nous sommes en temps de guerre !
Et puis il y a ceux qui pensent étroitement que parce que l’on est pauvre on devrait avoir la permission d’être con et pourris ! La permission de déraper ; enfin des passe droits à se comporter en voyou sans vergognes et sans limites !.
N’ est ce pas dans la difficulté que
l’homme se réalise selon l’adage !
J’ ai toujours aimé les vieux dictons ! Quand une pomme est pourrie dans un panier !
C’est clair comme ils disent , il faut alors l’y ôter et
l’envoyer plus loin là où elle ne sera plus nuisible ou pourrira esseulée définitivement oubliée de la vindicte populaire !
Il faut toujours punir en bonne proportion des mauvais actes commis disait un Roi .
Dans le cas contraire , c’est la porte ouverte à tous les crimes et délits ! La garantie d’ être exempté un an , peut-être deux ou cinq
pour avoir commis , un vol , un abus , un viol et pourquoi pas un crime . Profiter d’ une situation fragilisée des institutions peut avoir des conséquences graves .
PATRICIA COINTE LAURENT
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e642 · 11 months
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L'ambivalence du discours masculin
Combien de fois j'ai rencontré, fréquenté ou seulement écouté des hommes tenir un discours sur leur masculinité sous-entendant clairement que la faiblesse émotionnelle était proscrite. Combien d'hommes, en 2023, pensent encore que chialer ou exprimer leurs émotionsnest feminisant voire même rabaissant ? Combien d'hommes pensent qu'une relation c'est bonus, qu'ils peuvent s'en passer donc la négliger ? Plus qu'on ne le pense. Alors oui, il y a l'impact des relations passées qui peut donner cette teinte toxique à leurs propos mais également des décennies d'éducation fondées sur des clichés sexistes. Et j'en suis arrivée à me faire une réflexion. La plupart des hommes de mon entourage, peu importe l'âge, le statut, la situation, l'importance dans ma vie, se repose sur les femmes. Pour tout ce qui est communication (pour les ""raisons"" citées au dessus) mais aussi pour tout ce qui est de l'implication dans la vie logistique et pratique. D'un côté, nous avons donc un discours qui bannit la faiblesse et prône l'indépendance (émotionnelle et pratique). Et de l'autre, un discours à l'antipode qui bannit l'indépendance -via le repos sur la femme- et donc prône la faiblesse. Penser que l'on peut s'investir que pour ce qui nous arrange constitue pour moi une réelle faiblesse d'esprit associé à un manque de de maturité. Par conséquent, leur speech patriarcal concernant le fait d'être insensible, autonome et de cacher leurs émotions est totalement effacé et controversé par le fait qu'ils sont emprisonnés et conditionnés à reléguer les tâches ingrates aux femmes. On en pense ce qu'on veut du discours très viril emprunt de masculinité toxique concernant l'émotionnel mais si on part de ce postulat, pour être dans la continuité direct, cela voudrait dire qu'il ne se reposerait sur personne d'autres que eux, qu'ils seraient autosuffisants et indépendants et pas en constante recherche du "faire" de la femme. C'est en ça que beaucoup se ridiculisent. On partait déjà sur des arguments instables et ils se contredisent par la suite via leurs agissements infantilisant envers eux même. Je trouve ça très intéressant car la plupart ne s'en rendent pas compte que ça ne fait pas de sens. Soit c'est tout, soit c'est rien. Je ne valide pas les propos patriarcaux mais si on voulait aller jusqu'au bout du raisonnement, il n'y aurait pas l'étape où les femmes ont autant de charge mentale.
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sexybutyoucantseeit · 29 days
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- Tu savais que certaines personnes ne pensent pas du tout au suicide? Pour certains ce n'est pas une option ! Étrange non?
- Oui, je pense que pour eux la mort c'est une chose horrible horrible! Moi au contraire, cette option elle me rassure, elle me fait du bien.
- C'est clair ! Je suis contente de l'avoir cette option, je sais que dans le pire des cas il y a une solution.
- Anonymes, Discussion Sur le Suicide
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vabazeri · 3 months
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Jour 35
Mes enfants me manques, j'avais l'habitude de lire leur connerie sur la conversation que l'on avait en commun et ça me faisait beaucoup de bien de les voir ce chamailler pour rien en fait. Mais depuis quelques temps, il ne parlent plus sur cette conversation et je n'ose pas leur envoyé un message. J'ai peur qu'ils pensent que je les aient oubliés, que je suis passé à autre choses mais en fait c'est juste que je suis une vrai quiche avec ça...
En fait, je me demande si c'est ça quand ont est vraiment parents, si cette sensation de manque, de peur ça fait partie du quotidien. Ce demander si tout ce passe bien pour eux, si le boulot et les études ça va, si ils sont bien avec leur amis, s'il manquent de rien et si je pourrai les aider, voir même, si finalement ils me demanderai s'ils avaient besoin d'aide. Encore un truc qu'il faut que je parle à ma mère... Elle aussi ça fait trop longtemps que je l'ai pas eue au téléphone. Parfois je me demande si je devrais lui présenté mes amis, mon entourage. Si sa serait une bonne choses de lui présenté Bunny ou Hades, de ce qui fait ma vie en ce moment quoi...
Sinon j'ai fort bosser sur moi et je suis assez fière 🥰 j'ai laisser Hades prendre mes classes et les jouer ! (je sais que je vous exaspère avec ce genre de conneries mais vous imaginez pas à quel point c'est vraiment dur de lutter sur ses peurs de merde...). Bon, pour le moment il s'énerve sur pas mal de truc annexes mais il me "réclame" et même s'il en a clairement pas besoin j'aime bien qu'il face cet effort, je trouve ça vraiment mignon et touchant !
C'est vraiment toutes ses petites choses qui me font guerrir en fait, il me donne une place, un rôle que je connais et utilise certains de mes points fort, ça me donne une confiance en moi de dingue et ça me fait un bien fou en fait. Alors oui, je pourrais le faire seule en soit, d'autre autour de moi le font aussi mais évidement les sentiments ça change la perspective et oui, quand ça viens de lui, l'impact n'est clairement pas le même... Mais heureusement, il est bienveillant et il m'observe, beaucoup. Il retient ce que je dit, mes réactions, mes comportements, il me connais déjà beaucoup.
Par exemple mon sommeil plus que bancale, il le connait bien. Il sait très bien que quand je dit "je vais me couché" c'est un pile ou face :
Pile - je dors dans environs 1h (minimum)
Face - je dors pas et il le saura le lendemain de toute façon
Du coup, il essaye de faire tabler son heure de couché avec la mienne. Il me demande d'aller dormir, il me dit que sa serait une bonne choses hein... Ce genre de connerie et évidemment il a raison et oui, je l'écoute (après bon, le pile ou face toussatoussa... Mais au moins je me casse du pc et je vais m'allonger)
Sinon eh bien j'ai passé un looong moment avec un de mes anciens officier, ça m'as fait vraiment du bien et j'ai l'impression qu'il s'est amusé aussi 😊 j'espère vraiment que tout redeviendra plus ou moins comme avant dans la guilde 😅 mais ça me semble en bonne voie pour le moment ! Les petit viennent souvent, en jeu comme en vocal, bon, ça vient surtout si j'y suis 😅mais je me dit que c'est temporaire, le temps que tous le monde ce connaissent un peu mieux et ça devrais aller 😊👌
Pour le reste, niveau santé, ça va. Boon j'ai ma couille qui repousse à mon poignet mais ça, je suis rodée (kyste cynovial) ettt j'arrive (un peu) à gérer mes émotions ! Doucement, c'est pas gagner, mais pour le moment j'arrive à avoir assez d'assurance pour pas partir en bad au moindre truc négatif (ou ça ne dure pas trop longtemps et/ou sa reste supportable) , c'est déjà ça !
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