Tumgik
#mon passé pour ma future
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Mon Passé
Mon Présent
Mon Avenir
Pour Résumer
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Mon Passé
Pour
Ma Future
Concernant ce que tu as/peut/pourras lire ce n'était que deux mots que j'assume (maintenant) pleinement car il ne sont que deux definitions véridiques d'une réalité dont maintenant je me refuse à être le seul à porter le secret et les multiples souffrances passées qu'elles soient psychologique, physiques et cætera. Je les répète sans honte. Enfin oui pour l'auteure et l'auteur qui ne sont ce qu'ils ne sont pour moi que sur le papier, j'ai assez confiance en la génétique pour que les gênes puissent suffisamment muter à la création d'un nouvel être humain pour qu'il en soit un totalement différent. Ça s'appelle l'inné. Des décennies de vécu ont confirmées mon étrangeté. Ça c'est l'acquis. Dans cet acquis il y a quelques mots. Juste des vérités incontestables. Juste des incontestables vérités. (Parmi d'autres) :
Maltraitance parentales (on va dire en tout genre dans un milieu bourgeois et favorisé et (je dis ça sans plaisanterie ;) avec amour , juste qu'on a pas la même vision de l'amour,
Violes psychologiques (le mot psychologique est pour respecter ceux ou celles qui en on subient un physique (c'est déjà trop) plusieurs (là l'indicible devient inexplicable, inracontable, inimaginable, inhumain... le mot psychologique est aussi une pudeur, une dernière, la dernière. Devant ce mot le mot exact est incesteS (psychologique) .
(Tellement) plus classiques je croyais ça banal, normal même, puisque mon père disait (sans le jamais le dire, drôle de façon que je respecte pourtant au moins je n'ai pas ces mensonges qui résonnent dans tête et je peux comme homme utiliser ce mot vierge et pur pour moi) qu'il m'aimais...à ça façon... à grands coups de claques, bien souvent ça se limitait à ça c'était juste un peu virile et plus frequent (appartées on appelle ça battre son enfant, choses aussi aggravante pour ce pauvre type que parlante sur lui, sa femme qui lui donnait souvent les "raisons" (mon cul!) de le faire et lui demandait d'arrêter quand elle avait envie d'aller se coucher pour dormir du sommeil du juste, et pour l'ensemble des témoins des hématomes que l'on voyait parfois sur mes joues le lendemain au collège ! Appelons ça des bleus que camarades de classe et tout les adultes none atteint de cécité voyaient. Par contre la cécité morale, le courage, la notion de mission dans son (pauvre) métier et sa (pauvre) vie elles avaient jamais eu de problème ! J'avais une amie très intelligente qui était dans ma classe de la maternelle à la fin du lycée, on habitait depuis toujours à 30 metre dans la même rue, sa mère me connaissait très bien, elle a été mon prof de catéchisme, représentant des parents d'élèves, en primaire, puis au lycée ou elle a été ma prof d'anglais et professeur principale, à part ça c'était une femme de tête surtout pour appeler mes parents qu'elle pouvait mener par le bout du nez...quand c'était pour me faire aller à son église le dimanche matin... que dieu ai pitié d'elle !...
Donc mon père c'est fait mais pas fini (pourtant une simple phrase comportant un mot clé du type "pardon" "excuse" "regret" au singulier je m'en fou si c'est ça sa limite, je lui demande pas une prière en latin qu'il préfère sans même le parler, ni un mot compte triple au scrabble, un poème vu qu'il comprend même pas les miens ou de l'humour il comprend a peine celui de tf1, n'a jamais compris le mien au point que je peux me foutre de lui depuis la nuit des temps face à lui pendant qu'il bouffe comme un porc devant tout le monde... quand il me gueulait dessus (il appelait ça un côté latin, pour ça oui je l'ai toujours entendu parler couramment) de préférence en me tenant et même si il beuglait près de mon oreille pour pas que j'en perde une miette mon nez sentais le repas que j'avais pas pu avaler comme son "vin de table"...je crois qu'il y a deux parenthèse à fermer) ). Trois petits points pour la forme et je reprends le tableau...que les rares de ma mère qui exteriorisait ses nerves parfois physiquement quand sa pudeur était (dépassée) impuissante à rester dans le cadre (débile)mentale (1) avec tout le respect pour ceux qui sont affublés de cette adjectif qui en dit en fait plus sur ceux qui utilisent ce mot réducteur qui ne résume en fait que les limites explicatives de personnes limitées , souvent diplômées médecins dans la médecine ou instituteurs, professeurs, enseignants (j'ai pas été plus loin mes limites du dégoût comme mon dégoût de leurs limites mon arrêtés là) dans l'éducation nationale... À chaque fois que j'entends (et c'est frequent) quelqu'un utiliser ce mot j'insulte consciemment ceux qui utilisent ce mot et qui en sont de vrais et chaque fois j'ai une pensée pleine de respect de gratitude de merci pour une phrase slogan de l'association de monsieur Lino Ventura qui a créé une association pour sa fille (qui pour moi était différente comme tout les êtres humains c'est tout, je le suis comme elle et toi aussi) :
"Vivre ensemble c'est pas débile"
Je referme cette longue parenthèse (moi aussi j'ai été obligé de relire pour savoir de quoi je parlais ou plutôt où j'en étais ;) sur ce que peut être l'amour véritable d'un père pour sa fille et revient (une première et dernière fois officiellement ma vie, comme je l'ai écrit récemment j'ai autre chose non pas à foutre mais à faire du temps qu'il me reste...à Aimer) à feu ma mère. J'ai ma conscience pour moi puisque je lui ai, heureusement, dit tout ça histoire qu'elle meurt moins bête, je ne pensais pas que ça arriverais...aussi vite. une fois comme lui ai dit souvent que je l'aimais, parfois avec ce simple mot, souvent avec des colliers de nouilles ça c'était un truc des maîtresses (mes seules qu'elle a jamais acceptée en fait ni virée de chez moi, pendant 20 ans là où j'ai dormi ou plutôt passé (sensé passé les dernières et plus beaux moments officiellement, j'étais insomniaque naturellement, trop d'idées dans la tête, puis j'avais peur des monstres encore plus quand j'ai vu des reportages dessus à la télévision puis aux cinéma où mes parents m'enmenaient souvent. C'était génial, vraiment. Juste que je me réveillais parfois dans mon vomi, en sueur, sans avoir fermé l'œil de la nuit ou avec 40 degrés de température et desallucinations visuelles avecdes monstres vues dans les fameux reportages. Des fois tout ça en même temps! Je crois que mon cerveau essayait avec ses petits moyens de leurs dire quelques choses! Mais quoi? Mes plus vieux souvenirs de nuits je les passait sous mes draps bien au milieu du lit, c'était mon enfer de canicule chaque nuit, toujours dos au mur en cas d'attaque, je manquais d'air frais et presque d'oxygène, pour survivre je formais en faisant un léger conduit avecdes plis de mes draps impossible à voir par les monstres qui voyaient forcément la nuit car ils existaient que la nuit. Le jour j'étais pénard ... pour d'autres angoisse. Quand ma mère passait me dire bonne nuit j'étais content mais c'était le top départ de l'enfer et je plongeait sous les draps. Elle disait que je "faisait sous-marin"! On dit que les enfants sont naïf, et les parents? Et puis c'était quoi un sous-marin? C'était étanche aux monstres? Si oui comment on y respirait? La réponse m'aurait aidé... ;) lol. J'avais un grand frère ce qui était super car je pouvais découvrir pleins de choses deux ans en avance, c'était mieux que rien. Lui aussi attendait que ça accélère à l'école du savoir. Je crois qu'il a passienté jusqu'au lycée en travaillant. Un peu comme moi sauf que je ne travaillais pas. J'avais dû mal à trouver une raison et comment avoir une moyenne de A+ en primaire. En CE1 j'étais dans une classe à deux niveaux. C'était vaguement plus intéressant les cours de CE2. Par contre en CE2 ca a été la double peine. Premier bulletin de CE2 : A+, commentaire de l'institutrice : "peut mieux faire s'il en a l'envie" ! J'aime pas insulter les femmes mais je le dis à elle comme à l'éducation nationale : "connasse !"...
Mais je m'égare je parlais juste de mon frère aîné qui avait eu la gentillesse de m'inviter à son club cinéma quand il est rentré au collège c'était une chance moi qui était en primaire en CM1! Le film :
"Les Dents De La Mer"...
Bon tout ça reste entre nous, après tout ce ne sont que des banalités que je vais publier en secret sur tumblr pour que ce ne soit jamais lu ni diffusé...
Donc (1) :) :... de la Maltraitance mentale. Après tout si ça la déroulait j'étais croyais elle peut-être que j'étais là pour ça "à portée de main" pour lui faire oublier sa jeunesse passée comme son amour passé pour un homme qu'elle a aimé et avec qui elle m'a fait avant qu'il la traite mal! C'est tout ce que je peux dire avec le must de français que j'ai appris à l'école comme à peu près tout le monde des pays "où c'est qu'on a la chance d'apprendre à écrire" c'est à dire les bases qui approximativement date de l'invention de l'écriture et des décennies de psychothérapie analytique. Je dis pas analyse pour pas recevoir la facture. Là par contre mon ignorance, mon manque de révision (mot toujours et à jamais théorique à mon esprit) et en parlant d'esprit : aux cours de catéchisme interminable donc mille excuses pour les crises de fous rires que j'avais à chaque notre père qu'on recitait à la fin de cette séance de torture hebdomadaire, mettons ça sur la puberté, mon sens critique, le stress de l'école, de ma vie familiale et cætera. Lincroyance en un dieu de carte postale n'a absolument rien à voir avec cela, je respecte absolument toutes les croyances, je connais le notre père toujours par cœur sans jamais le réciter, je ne suis pas hypocrite (moi!..) je vais parfois au cimetière ou je dépose des choses à des personnes et ceci ne regarde que moi. Je ne crois pas en un dieu, en tout cas pas plus qu'en un autre ou qu'en d'autres... je crois en quelque chose. "Dieu est Amour" on a au moins ce point d'accord. Simple parenthèse pour illustrer le fait que je confond le passage de la préhistoire à l'histoire avec la naissance du Christ plus facile à dater... je crois aussi aux extras terrestre, au surnaturel à certains monstres et surtout à l'Amour ! Ça s'est pas une croyance c'est une certitude ! sais absolument pas comment elle savait;) de maternelle, des poèmes, ça c'était mon truc
sont toujours présentes dans ma mémoire, mon corps en garde des cicatrices et maintenant je les arbore fièrement pour l'enfant que j'étais et aussi pour les autres enfants qui ont vécu des choses semblables. Je milite activement à ces sujets depuis très longtemps, maintenant les blessures sont cicatrisé mais j'arbore avec fierté les marques du/d'un/de mon passé simplement comme les souffrances indélébiles comme tout le monde en porte. Personne ne s'excuse d'avoir un nombril ! Mon corps porte juste d'autres traces, seules les plus profondes restent encore visibles, on ne peut voir celles de mon âme, juste les lire pour ceux/celles qui veulent et qui savent. Maintenant : Tant pis et fuck à ceux qui les ont fait (!), et tout leurs complices du Silence ou de la cécité familiale, morale, scolaire, médical, sociétale et cætera. Je sais que les hommes dans la haine resterons toujours à l'âge de pierre ne serait-ce pour continuer à faire le mal c'est à dire leur bien d'être mauvais pour leur jouissances malades de leur déséquilibres conscients et malsains.
Malheureusement pour eux et leurs mémoires auxquelles ils auraient dû penser avant leurs plaisirs violemment malsains et malsainements violents pour les corps et pour les esprits de leurs victimes impuissantes mais des hommes ont inventés l'écriture comme arme de la mémoire et de la justice.
Il arrive (qu')un jour l'enfant prend cette arme pour la vérité et sa justice comme pour surtout que d'autres enfants n'ai pas à en utiliser contre eux-mêmes faute de justice ou contre leurs anciens bourreaux pour faire justice eux-mêmes.
La peur doit changer de camp.
La peur a changé de camp.
La/es souffrances peut-être difficiles à voir mais je l'arbore comme une médaille que la vie m'a offerte. Si elle en ébloui certains ou certaines c'est que leurs cœurs ont été entachés par des noirceurs de leurs âmes, si t'en est qu'ils en ont une.
La mienne pécheresse n'a jamais eu besoin de religion pour chercher un pardon et échapper à l'enfer qu'ils ont créés de leurs vivants, je me confesse chaque jour auprès de ma conscience innocente. Je m'excuse dès que je peux avec mes mots, au pire des cas dans le silence et ma Solitude qui est la seule à voir mes larmes quand j'ai fait un tort et que la personne que j'ai blessée ne peut m'entendre ou n'est plus là à portée de voix ou de mots à temps car je ne l'ai pas été.
Enfin je ne parle même pas de mon grand frère qui ne m'a jamais protégé ni réagi ou combattu les monstres ce qui fait leur complice et presque leur coauteur. Aujourd'hui il repridroduis la maltraitance sans violence physique ni inceste psychologique mais à sa manière qui n'est vraiment pas très belle, je l'ai vu quand je le voyais et maintenant depuis presque mes vingt ans je l'ai vu maltourner, et depuis beaucoup d'années il est infecté avec moi et à dépassé le stade de la maltraitance vis-à-vis de moi. Actuellement c'est insupportable et invivable les choses qu'il m'impose et me fait supporter sans aucune autre raison que son propre plaisir de malade mental agressif, vu cieux et malsains comme malveillant...
Au moins j'ai un (grand) sens de la justice.
Je vais dans son sens. Des fois avec le temps, mais avec/grâce à lui je peux (me) regarder en arrière sans baisser les yeux, bien agir au présent avec chacun/une en le/a regardant dans les yeux, on peut me faire confiance les yeux fermés et je peux préparer un avenir heureux en le regardant droit devant. Les yeux en face.
Le vendredi 19 mai 2023 3heures09.
Brouillon écrit d'une traite que je ne reprendrai pas. Quand on vomi c'est pas pour faire un beau truc qu'on trie pour faire joli. ça fait juste du bien quand c'est fini.
Stéphane
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 113
Samedi.
Je prends le train après avoir fait un crochet par chez Emma pour m'habiller " convenablement " (costume 3 pièces). A Paris nous prendrons un taxi, c'est plus simple et moins fatiguant que d'y aller en voiture ou moto. Je retrouve Kev sur son quai de gare, il a revêtu lui aussi un costume dont on voit tout de suite la provenance (prêt à porter). Taxi et nous sommes au pied de l'immeuble. Sonnette. Un major d'homme nous ouvre la porte, je lui dis qui nous sommes. Il nous conduit jusqu'au bureau de son patron, s'efface pour nous faire entrer et referme la porte derrière nous. Le futur employeur se lève et contourne son bureau pour venir nous saluer. Poignée de main ferme tout en me demandant des nouvelles d'Emma puis il serre la main de Kev quand je le lui présente. Je sens ce dernier, si sûr de lui habituellement, un peu intimidé.
Nous nous installons dans la partie salon de son bureau et il commence à poser des questions à Kev. Son parcours, famille, études, stages, expériences sexuelles, aucun sujet n'est omis. Il a une autorité naturelle qui fait que Kev n'arrive pas à éluder certaines questions franchement personnelles. J'en apprends moi même beaucoup sur mon ami. L'inquisition dure trois bon quarts-heure. Brusquement il demande à Kev de se mettre nu. Ce dernier se lève et placidement se dévêt, il est vrai que l'ambiance n'est pas au strip-tease ! Commençant par le haut, je retrouve ce corps musclé et bronzé qui nous avait attiré sur les dunes de La Palmyre. Il reste quelques instants en slip avant de recevoir l'ordre de le quitter. Nu, il fait un tour sur lui même. Corps bronzé intégral, pilosité maitrisée, peau nickel, il présente bien ! Le boss se lève et il vient le voir de plus près. Mon Kev ne bouge pas. Il lui tourne autour, passe sa main sur ses épaules, pecs, abdos. Il empoigne la bite et heureusement elle bande direct. Il la branle un peu pour bien la faire durcir. Kev déploie ses 21 x 5,5. Il lui soupèse les couilles fraîchement rasées. Kev me jette un regard façon : je ne suis pas une bête ! Je lui fais un signe d'attendre. Le boss revient s'asseoir à coté de moi et me félicite de mon choix. Se tournant vers Kev, il lui dit que c'est OK pour lui et il lui demande quand il peut commencer (sachant que Kev est en recherche d'emploi). S'engage alors une discussion sur les conditions. Logement : un appart de 100 m² dans l'immeuble voisin, salaire mensuel, prise en charge de l'habillement avec les adresses où il devra monter sa garde robe. A ce stade, je suis remercié et le boss impatient de tester son nouveau jouet me glisse une enveloppe pour me dédommager de ma matinée et le service rendu. J'embrasse Kev et lui dis à l'oreille qu'il tient le bon bout, que je lui fais confiance pour assurer coté cul. Il me dit qu'il m'appelle dès qu'il le peut.
Dans le taxi qui m'amène à la gare je regarde le montant du chèque. Bien au delà de ce que j'ai perdu en n'assurant pas ma matinée de coaching sportif. Kev ne me devra rien. Je suis de retour en début d'après midi à la maison, après être passé me changer chez Emma et lui avoir dit que ça collait entre mon ami et le sien.
Après midi cool. Je passe un peu de temps avec Jimmy pour voir ou il en est et le faire réviser un peu. Il renâcle que c'est le WE. Heureusement, j'ai le soutien de Samir qu'il respecte beaucoup. Vers 16h débarque Arnaud du fond du jardin puis Igor arrive accompagné de Tic et Tac. Je demande à Marc si il n'aurait pas des fois prévu une petite touze ce soir ? Malgré ses dénégations, quand arrivent Eric, Seb et Nicolas, puis Phil et Luc, ça commence à vraiment sentir le foutre. Bruno nous rejoint. Présentation de Jimmy à ceux qui ne le connaissent pas encore. Il a son petit succès auprès d'Igor et des autres actifs et A/ P qui espèrent bien réussir à l'enculer ce soir.
Alors que Samir et Ammed commencent à servir l'apéritif, coup de téléphone d'Ed. Ses parents sont sortis et il aurait bien aimé me rejoindre. Je lui dis que ce n'est pas possible, ce soir il y a touze à la maison et je ne le crois pas encore prêt pour cela. Il me dit que si, qu'il voudrait vraiment savoir ce que c'est et comment sa ce passe. Je lui dis que tant qu'il n'aura pas fait le tour de mes clients, il devra attendre. Il gueule à l'autre bout du fil qu'il bande comme un malade et que son cul est en manque de bite. Je lui dis de se calmer et de se mettre un gode si nécessaire. Je le préviens qu'il devra être prêt (lavement fait) mercredi prochain dès 13h car je l'emmènerai chez un black qui saura calmer ses envies de sodomies.
Je rejoins le groupe au salon. Jimmy est déjà à genoux devant Igor et le pompe sous les yeux de Tic et Tac. Arnaud est pris en main par Seb et Nicolas alors que Bruno et Marc se partagent Phil et Luc. Eric semble m'attendre et après un patin bien appuyé, il pousse ma tête vers le bas, vers sa bite encore emprisonné par le cuir. Je la dégage, toujours aussi majestueuse ! Ses 25cm noirs, chapeautés d'un gland violet foncé sont impressionnant quand on les a à 5cm de ses yeux. Quand on les a en bouche et dans la gorge, ils sont impressionnants ;aussi !!
Je me délecte quand arrive Tic. Je partage. Il y en a bien pour deux et Eric n'est pas contre ! Tac arrive aussi. Je leur laisse Eric et fait le tour de nos invités. Je passe voir Igor encore en train de gaver Jimmy. Il me dit que j'ai bien remplacé Jean. Qu'il a hâte d'enculer ce suceur hors pair. ;Quand je regarde l'ensemble, il ne reste plus beaucoup de vêtement sur les corps. Mais rien par terre, Samir et Ammed ont tout ramassé au fur et à mesure et tout est plié sur les dossiers des chaises de la salle à manger.
Marc donne le signal de l'émigration vers le donjon. Nos deux beurs nous apportent les manteaux et tongs afin de traverser la cour sans attraper un rhume. Quand nous entrons, lumières, chauffage à fond, plateaux reconstituant (boissons et barres énergétiques), accessoires en places, tout à été préparé (merci Marc). Jimmy est posé sur le sling central. Et je crois bien que, tous, nous sommes passés nous faire sucer. Même Arnaud qui n'est pas le plus actif du groupe a testé la bouche profonde de Jimmy. La tête en arrière, il se les ait toutes prises jusqu'aux couilles. Moi, j'ai profité de ce moment pour lui préparer le cul. Chose rapidement faite grâce à l'élasticité hors norme de son corps. Arnaud s'est installé de lui-même sur le sling de droite, préférant participer en tant que passif. Le troisième sling a reçu Tic. Tous autour, nous tournons dans les trois bouches et les trois culs (bonne conso de kpotes !!). Tous apprécient la souplesse de ma nouvelle recrue. Phil et Lu s'écartent et se plient en travers des selles. Ils sont aussitôt enculés par Igor et Marc. De mon côté, j''encule Seb et donne mon anus à son Nicolas. Entre les deux amis, je passe un bon moment. Seb gémis sous mes assauts t Nicolas se " venge " que j'encule son mec par de violent coups de bite. Trop bon ;cette place de jambon dans le sandwich ! Nous nous décollons pour trouver un autre trip. Coup d'oeil aux alentours. Les trois sur le sling se font toujours démonter le cul mais leurs partenaires ont changé depuis tout à l'heure. Ils se balancent sur les nouvelles queues avec autant d'enthousiasme, Eric sodomisant Jimmy. Samir et Ammed, discrètement, font disparaitre les kpotes usagées dès qu'elles tombent des bites. J'enfile une Red Bull et retourne dans la mêlée. Je roule une pelle à mon mec en train d'enculer Tac et lui glisse un merci à l'oreille. Je trouve une place entre le cul de Tic et la bite de Bruno. Pas mal non plus cette combinaison. Couché sur Tic je lui roule une pelle heureusement que le sling est prévu pour supporter un bon poids car e repose presque complètement sur Tic.
C'est trop bon et bientôt je jute sous la double stimulation du cul de Tic et de la bite de Bruno me ramonant le conduit ! Tic macule nos abdos et je reçois sur le dos la crème de Bruno. Tic et moi restons encore quelques instants à nous embrasser. Quand je me redresse, il ne reste plus qu'Eric en train d'enculer Jimmy dont le ventre me parait zébré de sperme de plusieurs provenances. Eric, rapidement, sous le regard de tous décule et après avoir tombé la kpote a ajouté son jus à celui des autres.
Exténués, douchés, séchés, nous avons regagné la maison pour diner.
Discussion à bâtons rompus, Tac me disant que la meuf que j'avais rencontré chez eux tenait le choc et passait toujours les " voir ". Phil et Luc me dirent qu'ils étaient toujours en relation avec les deux frères (ancien clients de Jean que je leur avais refilés) et qu'ils revenaient des antipodes (vu leur bronzage intégral, c'était ça ou les UV à outrance), 15 jours tous frais payés juste pour les satisfaire. Ils me disent que vu les revenus que cela leur assure, ils vont continuer leurs études plus longtemps avec un DESS ou DEA je ne sais plus. En attendant ils sont contents et me remercient encore de leur avoir refilé le plan.
En passant je demande à Arnaud s'il ne se fait pas embêter en cours. Quand il me demande pourquoi, je lui dis que je le trouve un peu trop maniéré / apprêté / fashion-victime. Il me dit que ses copains sont tous comme lui, même les grosses brutes se soumettent aux dictats de la mode. Le principal c'est qu'il ne se fasse pas abimer sa face d'ange ! Je ne peux m'empêcher de leur raconter mes dernières péripéties. Tac bave devant mon coté escort-boy et me demande comment j'ai fait ça. Il se verrait bien à ma place. Son jumeau, lui se verrait plutôt à celle de mes poulains !
Igor et les jumeaux restent coucher alors que les autres rentrent chez eux.
Dimanche matin, enfin ; ; ;midi, appel de Kev.
Je lui demande de tout me raconter. Il me dit qu'aussitôt après que j'ai passé la porte il a été sommé de se mettre à genoux devant son nouveau patron. Il a du lui ouvrir le pantalon et sortir l'équipement, correct, normal. Pipe, puis il a du lui bouffer le cul avant de le sodomiser grave. Il a tout fait pour qu'il prenne bien son pied, sachant que c'était son épreuve éliminatoire. Toujours est-il qu'il a fait l'affaire et s'est retrouvé avec 5 ;000 € en poche avec l'ordre de s'habiller correctement et d'aménager dans l'appart mis à sa disposition sous 8 jours. Je lui dis qu'il a une carte à jouer auprès de ce type. S'il se montre professionnel sur tous les tableaux, il pourrait peut être décrocher un job dans une de ses boites. Lors de ma rencontre avec lui chez l'associé d'Emma, la discussion que nous avions eue m'avait laissé un souvenir de ce genre. Célibataire, il m'avait l'air de chercher un fils spirituel.
Il me remercie encore et me demande ce qu'il peut faire pour moi. J'allais pour lui dire - rien - quand je me suis ravisé, on ne sait jamais de quoi est fait demain. Je lui ai juste dit que je savais qu'il ne serait pas ingrat et qu'à l'occasion il me renverra l'ascenseur.
Dimanche calme, piscine et muscu pour les plus jeunes. Sous les douches, il a fallu que je gendarme Tic et Tac qui se seraient bien attaqués à Samir et Ammed venu nous rejoindre dans nos exercices.
Igor a apprécié le service de nos deux beurs. Discrétion et efficacité pourraient être leur nom. En lieu et place d'une sieste, Marc leur a demandé un massage pour lui et Igor. Ce dernier en est sorti avec l'idée que nous avions déniché des perles rares.
JARDINIER
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lisaalmeida · 5 months
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Ce soleil dans ma vie,
C'est à toi que je le dois.
Tu as fait de ma vie
Un rêve merveilleux
Que je vis dès que j'entends ta voix,
Dès que tu m'emprisonnes
Par la douceur de tes baisers,
Par ta tendresse.
Avant toi, je n'ai connu que les larmes
Et les détresses
Mais, jour après jour, tout doucement,
Tu as transpercé mon coeur,
Pansé les plaies du passé
Et montré le chemin du bonheur.
Au coeur de l'hiver,
Tu as fait de ma vie un oasis en plein désert,
Fait jaillir la couleur du futur,
Mis une telle lueur sur mon trottoir
Et un tel feu dans notre histoire
Que j'ai encore du mal à y croire...
Merci mon Magicien
Pour tant de bonheur
Je n'y croyais plus...
- Marielle -
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sabinerondissime · 10 months
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Cette image que me renvoie le miroir depuis des mois, je la déteste ! En plus de vieillir, de voir mon visage s'affaisser, mes cernes se gonfler sans disparaitre au bout de quelques heures, c'est mon ventre qui désormais est gonflé, ma peau qui perd de son élasticité. Je sens le processus de vieillissement s'accélérer depuis que je suis en ménopause. Je me regarde dans le miroir et je trouve logique que personne ne veuille de moi. Moi même, je ne veux pas de moi !Sur les réseaux , c'est si simple d'avoir des compliments. Les hommes en font bien plus que dans la vie. Quand ils me disent que je suis belle, je sais qu'il espère quelque chose qui n'a rien à voir avec cette beauté qu'ils mettent en avant. Pour eux, une belle femme, c'est une femme qui dit oui à leurs avances. N'importe quelle femme peut faire l'affaire. Je ne suis jamais flattée par le compliment d'un homme qui ne me connaît pas réellement.
Je suis bien plus que ce corps que je n'aime pas. Bien plus que ce visage qui ne laisse plus de doute sur mon âge. Je suis une âme, je suis un esprit, je suis un passé et un futur. J'ai appris tant de choses, je cultive l'humour, je sais aimer plus que de raison. Mais qui fait encore attention à tout ceci dans un monde où l'apparence et le sexe facile sont légion ?
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romainmeynier · 3 months
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À un ami qui me demandait l’autre jour comment j’allais, et pour ne pas lui répondre impeccable, ce qui aurait rompu nos retrouvailles, je lui dit que je venais de recevoir des résultats d’analyses sanguines, et que faute à une bactérie rare, on allait devoir me retirer les poumons, les deux, d’ici le mois prochain. Je racontai ça avec un air las et en regardant mon verre. Le serveur vint s’enquérir de nos choix de menus. Mon ami, qui m’avait confié, gai, vouloir tâter du tartare de bœuf, se rabattit sur autre chose. 
N’ayant jamais été très doué en mensonges, je m’inquiétais pour la suite de la conversation. Naturellement, mon ami, passé quelques minutes de stupeur, me demanda comment il me serait possible de vivre sans poumons. Par chance, je travaillais comme correcteur pour un groupe de presse médicale, axé sur diverses spécialisations, dont la pneumologie, et il me fut facile de piocher ci-et-là dans mes souvenirs de lecture pour crédibiliser mon propos. Aussi me mis-je à lui parler d’un nouveau protocole de greffe de poumon externe, inspiré d’une ancienne machine qui avait fait son temps, et qui permettait à des patients souffrant d’une insuffisance de la ventilation pulmonaire de continuer à respirer. Cette invention, lui disai-je, consistait à remplacer les deux poumons malades par une grande poche – noire, précisai-je, de couleur noire et d’une matière proche du cuir – fixée sur le thorax, juste en dessous du sternum, et qui, par un système de pompe régulant la pression artérielle, assurait l’oxygénation du sang dans l’ensemble du corps. 
Durant le reste du repas – ainsi nourri d’une riche conversation – mon ami s’efforça de me rassurer.
Rentrant chez moi, j’informai ma femme de ma future opération pulmonaire. Elle me demanda si, enfin, j’avais trouvé une nouvelle idée de roman. Je la vis, machinalement, prendre un tire-bouchon et commencer à ouvrir une bouteille de vin rouge. De nouvelle, peut-être, temporisai-je en levant les bras, peut-être simplement une idée de nouvelle. Elle me regarda, sembla jauger quelque chose, puis évacua tout de même le bouchon. Nous nous organisâmes ensuite pour véritablement faire croire à cet ami que j’allais, d’ici le mois prochain, respirer via des poumons artificiels, et, l’espace d’un instant, durant l’opération, en effet, prendre le risque de mourir, quitte à gâcher son mariage qui aurait lieu la veille, le 15.
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magicalrainbownight · 2 months
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Il est en cage!!
Pour précision, je ne parle pas du même chien! Le premier, sur lequel j'avais écrit jusqu'à maintenant, s'est révélé fantasmeur ou souminateur!
Bien évidemment, il n'a pas fallu beaucoup de temps pour retrouver un soumis qui demandait à être en cage!
Sur les conseils d'un ex (premier amour), je m'inscris sur un site pour échanger et rencontrer des personnes dans le milieu BDSM. Je commence à échanger avec lui. Chaque réponse me prend 30 min au minimum, entre lire sa réponse et répondre à tout.
Très vite, quelque jour après, on décide de se voir car on se rend compte qu'on habite les villes d'à côté! Un midi, je mets les pieds dedans! je lui demande de me raconter ses expériences même si du monde est à côté! Le temps défile sans s'en rendre compte, il n'y a plus personne dans le restaurant. On prévoit de se voir 2 jours après. Il m'avait déjà envoyé des photos de "son attirail". Il est du genre équipé et pas en petit modèle. Ca tombe bien, j'ai envie d'en prendre un au-delà de l'acceptable.
Bien sûr, un rituel est déjà en place. Dès qu'il me parle il doit avoir un plug! Peu importe la taille ou la longueur! je veux qu'il ait un truc dans le cul quand il s'adresse à moi! Il peut le changer car je me doute que son trou s'habitue vite (et j'ai eu raison de penser ainsi) et qu'il est capable d'encaisser gros!!! Mais s'il le change il doit me dire pour lequel!
Ce détail passé! 2 jours après le voilà chez moi! j'ai fait ma wish list où j'ai demandé de m'amener certains jouets sélectionnés sur photo. Ma table basse est vite remplie de plug, de cage, de gode, cagoule, laisse .. Mon envie qu'il vienne avec ses jouets n'est pas désintéressée, je veux qu'il reparte avec sa bite en cage, mais je ne lui ai pas dit évidemment. Durant ce temps, il masse mes pieds! Je lui mets sur la gueule pour l'envoyer à mon esclave (il aimera le lire)!
1h avant qu'il parte, je saisis une cage et lui dit qu'il ne partira pas sans!!! Il ne s'attendait pas que cela arrive aussi vite! Je n'ai plus de temps à prendre et je veux m'assurer de la motivation de mon soumis. Je lui mets!! Quel est le plaisir de prendre ses couilles et sa queue, de les faire glisser dans l'anneau puis sa verge dans la cage, tout s'emboite et je pose le cadenas!! Je vais chercher un collier (je retire le hibou) et j'insère la clef!! Je la porte quotidiennement et lui envoie des photos pour lui montrer qu'elle est là!!!
Je n'ai aucune idée du temps qu'il va rester en cage! Je n'ai aucun scrupule à le faire pourrir en cage! Son record est 1 an. Je n'ai aucune prétention de le battre mais je lui ai dit que tant qu'il était mon soumis il serait en cage et que s'il voulait la retirer (piscine), il allait devoir disserter et que je ferais tout pour lui faire passer l'envie de la retirer même 2h!
Je me prive pas pour lui dire quand je me masturbe, notamment après le repas du midi (j'ai toujours eu une envie à ce moment) et même au bureau! En ce moment je me caresse à travers mes vêtements à moitié penchée sur mon bureau et j'aime sentir mes doigts après, pour me sentir!!!
Je veux qu'il rampe!! Je veux qu'il soit obéissant!!! Je veux qu'il me remercie chaque jour de faire de lui mon soumis, mon chien, ma chienne, ma future pute!!!!
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nos-nouveaux-espoirs · 10 months
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à toi
Je me le promets. Je me le promets pour de vrai.
Je me promets de te laisser partir. Je me promets de te laisser t’en aller, comme tu me l’as demandé.
Cela fait des semaines, des mois, plus d’une année que je mène une lutte contre moi-même, entre le cœur et la raison. Quand l’un te veut auprès de lui, l’autre me supplie de te laisser partir. De te laisser appartenir au passé, là où tu as existé et brillé si fort qu’un futur sans toi me semble impossible.
Oui, on s’est aimé fort, si fort, peut être un peu trop fort pour ce monde qui a pourtant besoin de douceur et de calme. Les tempêtes ne peuvent pas durer éternellement, elles ne doivent être là qu’un temps. Et toi tu as été là, tout près de moi, à raviver la flamme et l’essouffler l’instant d’après.
Je ne t’en veux pas. Nous avons fait du mieux que nous pouvions pour nous aimer correctement. Nous avons affronté des tempêtes trop violentes, trop destructrices, qui ont surement eu raison de nous. Mais au-delà de tout, c’est nous-même que nous avons dû affronter. Toi et moi, tes blessures et les miennes. Deux cœurs qui s’aiment, mais qui s’aiment mal.
Je n’oublierai jamais à quel point tu m’as rendu heureuse. A quel point t’avoir rencontré a bouleversé mon existence car il n’y a qu’auprès de toi que je me sois sentie aussi vivante. Tu m’as appris à sourire, à rire comme jamais je n’avais pu le faire avant toi. Tu as été mon oxygène, et sans aucune difficulté je peux le dire ; tu as été ma raison de vivre. Quand tout mon monde s’est écroulé, je n’avais plus que toi, je ne voyais que toi. Tu m’as redonné de l’élan quand je ne savais plus courir, tu m’as redonné des raisons de rire quand je me terrais dans le silence.
Jamais je n’oublierai les sentiments que j’ai éprouvé pour toi, à quel point ils étaient forts et intenses et de quelle manière j’aurais tant voulu continuer à t’aimer. Souvent je pense à ce qu’on aurait pu être si on avait lutté encore un peu plus contre la vie. Mais la réalité, c’est que cette séparation était nécessaire pour nous permettre de nous connaître, pas en temps que couple, mais en tant que personne. Toi avec toi, moi avec moi.
Car en dépit de tout l’amour que tu m’as apporté et de tous les sourires que j’ai pu t’adresser, je me souviens maintenant des larmes, des cris, de mon cœur qui s’est brisé à maintes reprises quand je voyais notre amour se détruire sans que nous puissions faire quoique ce soit pour stopper sa chute. Nous n’étions pas assez fortes pour lutter contre ça, ou peut-être que nous ne devions finalement pas être « la personne ». Peut-être que le bonheur est ailleurs. Auprès d’une autre âme, auprès d’un autre cœur, auprès d’un autre corps.
Ces mots sont durs à écrire et pourtant, je me dois de les accepter. Parce qu’ils reflètent ta réalité. Tu es partie, tu es partie quand je te suppliais de rester. Tu m’as laissé seule alors que j’avais tant besoin de toi. Tu m’as dit que je n’étais peut-être pas l’amour de ta vie, et que tu n’arrivais plus à me considérer comme tel. Tu m’as dit que tu revenais sur toutes tes paroles car elles avaient été prononcées quand tu m’aimais encore. Sans rien dire, tu venais de tout dévoiler. Tu ne m’aimais plus, tu ne m’aimes plus. Ta vie est ailleurs, auprès d’une autre, alors que j’attends inlassablement ton retour, me persuadant que tu ne fais pas partie de ces âmes à chuchoter des promesses sans les penser au plus profond de ton être. Mais la réalité c’est que tu es comme ça. Tu fais partie de celles-là.
Je ne t’en veux pas d’avoir tourné la page. Je m’en veux d’avoir été assez folle de toi pour croire que tu aimais de la même manière que moi. Parce que quoiqu’il arrive, quoiqu’il puisse se passer, c’était toi, ça l’est et ça l’aurait toujours été. Car tu aurais toujours été mon choix. Toi.
Mais je me promets de me choisir, cette fois. Quand toi tu ne l’as pas fait, quand toi tu m’as délaissé et que tu as décidé de t’en aller. Je me promets de me choisir assez fort pour ne pas oublier à quel point notre histoire, certes passionnelle, était accompagnée de trop d’orages.
Pour me rappeler toutes ces fois où tu n’as pas su me faire confiance. Toutes ces fois où tu me croyais capable d’entretenir de l’ambiguïté avec mes plus proches amis. Toutes ces fois où tu m’as demandé de changer, de cesser de me comporter comme je l’avais toujours fait avec eux. Toutes ces fois où tu ne m’as pas soutenu quand j’en avais le plus besoin, car ta peur du changement et de l’évolution étaient plus importantes que ma construction personnelle. Me rappeler de toutes ces fois où tu m’as fait me sentir comme une moins que rien car ta jalousie était justifiée, car fouiller dans mes affaires était banalisé, car ne pas me faire confiance alors que je te donnais tout n’était pas suffisant. Toutes ces fois où tu m’as fait sentir que j’étais un poids parce que je ne respirais pas la joie de vivre comme toi tu le faisais. Parce que j’étais anxieuse, rêveuse, et que je me questionnais sur ma propre existence. Toutes ces fois où j’aurais eu besoin que tu me soutiennes mais où tes blessures prenaient toute la place.
Pour toutes ces fois où je me suis sentie mal d’être qui j’étais, je me promets de me choisir, cette fois. Tu ne seras plus ma priorité. Tu ne seras plus ma fatalité. Si la vie doit se faire sans toi, elle se fera. Je ne quémanderai plus ton amour, je ne chercherai plus ton attention, je n’attendrai plus rien de toi, ni ta bienveillance, ni ton souci, ni ton amour. Je tournerai la page, et comme toi un jour, je me dirai « je ne l’aime plus ».
Tu resteras toujours au creux de mon âme, parce que tu as pris un bout de mon cœur en t’en allant. Mais j’arriverai à penser à toi sans m’effondrer parce que tu n’es plus là. J’accepterai que tu ais eu ta place dans ma vie à ce moment précis, mais que tu ne dois plus en faire partie.
Et puis, si un jour nos chemins se recroisent, je souhaite que ce soit dans de meilleurs conditions, pour une meilleure vie.
Mais je me promets de ne plus attendre ce moment. Je me promets de ne plus t’attendre, mon amour.
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uneessencesensible · 4 months
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N°1361 – Lundi 06 février 2017
Je sais que les relations du passé ont laissés des traces chez elle, autant que chez moi. Indirectement, certes, et sans que je ne le veuille. Ce n'est que depuis quelque temps que je remarque l'impact réel que cela a pu avoir sur elle. Or, cette fois-ci, ça ne sera pas pareille. Je dois lui montrer qu'il s'agit d'une bonne personne, que ça ne sera pas comme avant. Que je vais prendre mon temps et qu'il n'aura une mauvaise influence sur moi. Je ne veux pas quelle se fasse de films, qui pourront être des fausses idées. Si je ne tente pas, je ne saurai pas s'il est le bon, si nous pouvons aller loin ou non. Si mon coup de cœur du lycée peut devenir mon premier amour, alors je n'hésiterais pas une seule seconde. Je veux tenter, je veux voir ce que me réserve l'avenir. Je veux voir ce qu'il peut me donner, m'apporter dans ma vie. Je ferai en sorte qu'elle n'ait pas peur. Je sais qu'elle s'inquiète très facilement, qu'elle veuille que je tombe sur quelqu'un de bien. Je sais qu'elle ne veut que le meilleur pour moi. Mais en premier lieu, c'est à moi de choisir. De faire mes bases, mes expériences. Les décisions doivent venir de moi, de mon cœur. Personne ne pourra me dire quoique ce soit, car je suis la seule à pouvoir décider de mon futur. Nous verrons bien. Je prendrais le temps qu'il me faut pour avancer dans notre relation. Je veux, dans un premier temps, profiter de cet instant magique. De partager des moments de bonheur et d'amour. Savourer ses émotions délicieuses qui s'emparent de moi quand il est là.
Édit : Ce texte me rappelle plusieurs choses. Dans un premier temps, non, il n'a pas été mon premier amour, mais simplement une relation que j'ai tenté de réanimer et qui n'en valait pas la peine. C'est pas une légende, ne retournez JAMAIS avec quelqu'un du passé, ça ne fonctionne jamais. Mon premier amour, je le vis en ce moment même. Le seul et -j'espère- l'unique. Celui qui m'apporte tout ce dont j'ai besoin et qui m'aime telle que je suis, qui respecte ce que je suis. Dans un second temps, ça me fait penser que... je pourrais faire tout et n'importe quoi, ça ne sera JAMAIS à la hauteur de leurs espérances. Ca ne sera jamais le bon, jamais comme il faut. Jamais. Quel que soit le domaine qui me concerne. Rien n'ira. Alors, autant vivre ma vie comme je le sens.
Pensées du soir - 23.01.2024
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Quelques trucs bien. Juin 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
Entendre un rossignol chanter à la nuit tombée 
Essayer une robe toute en soie pour le mariage civil de ma fille. Apprécier la douceur et arrêter mon choix  
Partir un week-end en bateau et en pseudo colonie de vacances avec les collègues. Fêter le départ en retraite du doc mais regretter déjà son absence future
Faire le premier bain de mer. Manger des fruits de mer 
Partir une journée en Italie, sur la Riviera dei fiori. Apprécier la Dolce vita 
Recevoir un paquet dans ma boîte aux lettres. Me réjouir comme d’un cadeau. Reconnaître une amitié en découvrant deux livres à lire 
Prendre conscience parfois que le boulot est vraiment difficile : urgence, violence et négligence 
Consoler une collègue de travail qui craque et éclate en sanglots. La prendre dans mes bras et ne rien dire puisque trop c’est trop 
Préparer mon sac pour le séjour aux îles ce week-end. Me sentir adolescente, prévoir bouteille d’alcool et cigarettes 
Acheter un nouveau maillot de bain. Une pièce. Penser que cela sied à mon âge. Me trouver quand même sexy 
Attendre la naissance du bébé, au jour le jour. Attendre, être patiente et avoir hâte ! 
Subir encore un orage de grêle à la mi-juin. Il n’y a plus de saison ! Apercevoir les premières lucioles. Sentir venir l’été 
Découvrir un délicieux salon de thé dans le village, qui fait aussi bouquiniste, pour accueillir les moments précieux comme une rencontre avec mon amie Béa 
Retrouver ma cousine et retourner 10 jours en adolescence. Retrouver les secrets et les confidences, sans regrets et avec confiance
Parler avec ma cousine de mon hyper-sensibilité enfin acceptée et du chemin parcouru jusqu’à maintenant 
Regarder avec ma cousine de vieilles photos de famille : mon père enfant, mes oncles et tantes, mes grands-parents paternels, mes arrière-grands parents aussi. Des générations, jeunes alors, aujourd’hui disparues et qui vivent encore en nous. Montrer et raconter les images en noir et blanc à mon fils
Recevoir l’annonce du départ à la maternité pour ma fille. Pleurer de joie et sentir les flots d’émotions déborder par les yeux sans discontinuer pendant les 23 heures du travail
Être rassurée d’entendre ma fille au téléphone, elle-même apaisée de la douleur par la péridurale. L’écouter parler d’amour intense et immense pour son conjoint et cette nouvelle famille qui arrive avec son bébé. Pleurer encore d’amour pour l’enfant qu’elle était et la maman qu’elle devient
Boire une bouteille de Prosecco avec ma soeur et ma cousine en attendant la naissance du bébé. M’endormir dans l’ivresse et la fatigue
Me réveiller toutes les 2 heures en guettant un message. Recevoir la première photo de ma fille et mon petit-fils peau à peau
Guetter encore des nouvelles de ma fille. Attendre vainement dans l’angoisse que la délivrance se soit bien passée. Pleurer encore au téléphone quand nous pouvons enfin nous parler 
Tenir enfin ce bébé nouveau-né dans mes bras. Pleurer et m’émerveiller devant la perfection de son anatomie et le naturel des réactions des jeunes parents 
Recevoir la visite de ma fille avec son conjoint et leur bébé nourrisson. Le présenter à la famille, et pleurer encore partageant l’émotion de ma mère, devenue arrière-grand-mère et de ma nièce, hyper-sensible elle aussi
Sentir la fin d’année scolaire se précipiter. Fêter les départs des collègues de travail. Trouver les mots pour rendre hommage 
Dire au revoir et à l’année prochaine pour l’Atelier d’écriture 
Penser à de nouveaux projets et de nouvelles médiations de travail 
Attendre avec impatience les vacances d’été 
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swedesinstockholm · 8 months
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15 août
j'ai passé deux heures à marcher à travers la ville dans un état de désillusion complète ce soir, non pas de désillusion, d'illusion justement, je voulais dire delusion, delusional, delulu comme disent les jeunes américains, r. m'a écrit à quatre heures du matin pendant qu'il faisait une insomnie alors qu'il dormait dans une tente avec sa fille plantée dans le jardin de sa mère et y avait un orage et il entendait la musique des voisins et il arrivait plus à se rendormir et c'est à MOI qu'il a écrit of all people, il me demandait comment ça allait avec mon film, il pensait à moi et à mon film à quatre heures du matin dans une tente avec sa fille, comment je suis sensée ne pas être complètement delulu?
ce matin en lisant ses messages j'ai senti la joie couler partout dans mon corps et j'ai essayé d'en localiser la source, quelque part dans le thorax, au milieu, c'est là que je le sens quand je me sens aimée. même s'il m'aime pas amoureusement, il m'aime quand même. et quand je vivais encore dans l'illusion et que j'espérais passer un été d'amour avec lui à bruxelles, ça s'est peut être pas passé comme je l'espérais, mais finalement je suis quand même un peu en train de passer un été d'amour avec lui, amour à l'eau plate et à distance mais amour quand même. amour amour amour dans mon coeur ce soir pendant ma promenade, j'écoutais des trucs pop en m'imaginant les chanter avec sa fille chez lui pendant que je lui prépare des gâteaux dans la cuisine par exemple une tarte à la myrtille et on fait des petites chorégraphies et on chante en criant la chanson de caroline polachek et évidemment r. finit par tomber sous mon charme. delulu level 1000. je dois vraiment faire très attention.
à part ça je suis restée un bon quart d'heure accoudée à une balustrade qui surplombait la vallée et c'était vraiment bien de regarder quelque chose qui n'était pas mon écran d'ordinateur, tout ce vert, toute cette réalité, même si j'étais à moitié perdue dans mes fantasmes à l'intérieur de ma tête.
16 août
à chaque fois que j'écris avec r. avant de me coucher j'arrive pas à m'endormir après et j'arrive pas à me concentrer sur mon livre non plus. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine et d'abord ça m'a vexée mais toutes mes jérémiades sur r. là c'est plus possible, même sur tumblr. on a regardé le nouvel épisode de how to ce soir et puis à onze heures il a dit bon je vais au lit mais on a encore passé trois quarts d'heures à s'écrire et il a évoqué notre future performance et le fait d'avoir ça dans notre futur commun, un peu comme une garantie qu'il va pas disparaître du jour au lendemain, qu'il veut rester là, qu'on va se revoir, ça me donne un très grand sentiment de sérénité. ça me rassure. même si en réalité c'est pas du tout une garantie, il peut tout à fait changer d'avis du jour au lendemain. il a changé de photo de profil sur whatsapp, heureusement il met que des photos où il est moche. je me demande s'il le fait par égard pour moi.
dans le nouvel épisode de how, john wilson mentionne sa rupture avec sa copine et j'étais honteusement satisfaite qu'il se retrouve seul comme moi. mais je parie que même lui ne voudrait pas de moi. j'ai l'impression d'avoir franchi un cap dans ma relation avec mon physique, que toute ma vie je me suis voilé la face et que je me suis enfin rendu compte que j'étais moche. peu importe l'angle sous lequel on me tourne, je suis moche, c'est un fait, c'est comme ça et je peux rien y faire. je comprends pas pourquoi ça m'a pris autant de temps pour sortir de mon illusion d'être un peu mignonne, ou au moins d'avoir un charme atypique. hier j'ai essayé de mettre du rouge à lèvres mais c'était encore pire. maintenant quand je vois des moches ça me rassure, j'ai l'impression qu'on fait partie de la même communauté des moches, je suis pas seule, on est des millions. des gens au physique disgracieux. vraiment disgracieux, pas comme gaëlle obiégly, cette impostrice.
17 août
jenna lyons dans real housewives of new york a ravivé mon feu de lesbienne qui dormait quelque part dans mon bas ventre et c'est fantastique. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine mais elle a manifestement jamais vu jenna lyons marmonner des remarques sarcastiques tout en se goinfrant d'oreos périmés et de pringles au caviar dans real housewives of new york. rien de rédhibitoire là-dedans. j'ai lu qu'elle avait une maladie génétique qui fait qu'elle a des taches et des marques sur sa peau et qu'elle a pas de cils ni de sourcils et qu'elle a des trous dans ses cheveux et que ça a détruit sa confiance en elle parce qu'on la harcelait à l'école et qu'au début de sa carrière chez j. crew elle se trouvait affreuse sur les photos parce qu'elle avait pas encore trouvé son style, et puis elle a commencé à portes des grandes lunettes pour se camoufler derrière et des tenues qui montrent très peu de peau et elle attachait systématiquement ses cheveux en les plaquant en arrière pour cacher les trous et c'est devenu son style signature. elle dit qu'elle montre jamais ses jambes parce qu'elles ont des taches et de la cellulite et pendant une seconde je me suis dit est-ce que je devrais faire comme elle et cacher mes imperfections (non mais quel mot) et ne jamais montrer mes jambes moi non plus? mais non. je préfère être du côté de celles qui assument leurs imperfections (ce MOT), ou du moins qui essaient. même si ça "m'avantage pas." même si parfois je me demande si je devrais pas mettre plus de soin à "m'avantager." faire des efforts pour trouver un look qui "m'avantage," comme elle, pour me donner plus confiance en moi. un look qui me donne de la tenue, une consistance, une colonne vertébrale redressée. un look clean et net. sharp.
elle raconte aussi que sa mère avait le syndrome d'asperger et qu'elle avait pas d'amis et que donc elle lui avait jamais appris comment on se faisait des amis, comment ça fonctionnait, et qu'elle aussi elle avait du mal à se faire des amis, qu'elle savait toujours pas vraiment comment on faisait, qu'elle partait toujours du principe que les gens n'avaient pas envie de passer du temps avec elle et que donc elle attendait que ça vienne d'eux, pour ne pas prendre le risque du rejet. et j'ai pensé à maman, qui a peu d'amis elle aussi, même si elle a pas du tout asperger, et je me suis demandé si ma vie sociale maigrichonne venait de là. alors je me demande, est-ce que je peux encore apprendre à devenir sociable? est-ce qu'un jour j'aurai des vrais amis qui habitent à proximité de chez moi ET que j'ai envie de voir?
18 août
j'ai encore passé une heure sur whatsapp avec r. chaque soir je le fais se coucher de plus en plus tard, je rigolais toute seule avec les jambes en l'air en lisant ses messages et il me disait qu'il avait littéralement éclaté de rire quand j'avais dit un truc on se fait mourir de rire mutuellement et c'est merveilleux. j'ai lancé un concours de noms pour notre groupe inspiré par les feutres de bingo américains et puis il m'a fait un long message vocal pour m'expliquer qu'il adorait ma façon d'écrire sans accents ni majuscules et parfois quand il me dit certains trucs il me donne l'impression d'être quelqu'un de sage et de bon conseil, quelqu'un qui a de l'expérience de vie. de la bouteille. j'aime bien cette expression. c'est quoi cette sorcellerie? il m'a cassé ma relation avec mon physique mais en contrepartie il me fait voir d'autres facettes de moi que je vois absolument jamais.
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e642 · 6 months
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Je suis assise dans le froid à 200km de Nice, j'ai perdu mon briquet et je surveille la sœur (+ sa copine) de mon mec pendant que lui joue au basket. Cette description serait parfaite si je voulais réellement gâcher mes dimanches de cette sorte. Je me sens soudainement abattue et insatisfaite. J'essaie de faire le chemin en sens inverse dans ma tête pour réussir à cibler quand et où ça a dérapé, comment j'en suis arrivée là. J'ai une pulsion de suicide à la seconde. Sans rire. Je me sens présentement pas du tout à ma place et effrayée de le rester encore des années. Tellement de gens regrettent leur vie à 50 piges et je commence à bien comprendre. C'est via tous ces petits choix de merde qu'on continue à s'enliser dans tout ce qu'on déteste. Je vois tous ces gosses de 10 ans pas plus dans ce parc et ça me déprime. Tous en train de se faire des scolioses à force de baisser la tête pour regarder leur merde de téléphone. Avec du recul, j'aurais donné cher pour me préserver de ça encore quelques années. C'est en train de nous bouffer et fatalement de les bouffer. C'est au travers de réflexions comme ça, de prises de conscience que je réalise qu'il n'y a rien à envier au futur. Je sais pas pourquoi je pense à tout ça soudainement mais c'est récurrent. Je déborde de dégoût, toujours plus apte à détester et mépriser ce qui m'entoure. Je suis comme tous les gens qui me débectent pourtant. Je ne suis pas différente. J'alimente ce monde de ma chaire putride. Je n'ai pas hâte d'être ce soir, confinée dans son 15m carré le voyant incapable de ne regarder aucun écran et incapable de me regarder surtout. Je suis lasse des scénarios sans cesse se répétant. Je mettrai également 5h à m'endormir avec 2 Xanax. Puis je me lèverai tôt. Je stresserai -par politesse- de rater mon train. Puis 2h plus tard avec +/- 15 min de retard j'arriverai en gare de Nice. Le tram sera bondé, les insultes et les invitations déguisées de viol pleuvront. Je me rendrai en cours pour entraver que dalle, échanger des banalités avec 3 personnes alors qu'on en a tous respectivement rien à foutre de la vie des autres. Puis je rentrerai, je m'en voudrais d'avoir laissé des produits se perdre dans mon frigo, je ferai une crise de boulimie, je me gratterai au sang, puis j'irai me coucher vide. Sans oublier l'appel à mes parents passé juste pour leur délivrer leur dose quotidienne de mensonges.
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homomenhommes · 5 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 67
Avec la rentrée, Le père de Ric m'a rappelé que je devais organiser un nouveau gang bang pour Ric.
Coup de tel à Eric pour qu'il me trouve une dizaine de blacks TTBM, puis j'appelais mon " client ;Xavier" (celui avec qui je baise sa femme) ses 26 x 6,5 ne seront pas ridicules au milieu des grosses bites noires.
Je louais encore une fois le même gîte et cette fois j'ai même eu droit à un rabais (la fin de saison + ma fidélité).
Le soir venu, après avoir préparé le lieu et surtout bien préparé Ric, les clients sont arrivés. Plus jeunes que les autres fois (35 à 45 ans), certains se connaissaient et ça blaguait pas mal pendant l'apéro/échauffement. Ric nous a fait un beau strip-tease, Quand il a été nu, les choses sérieuses ont commencée. Si mon " client " avait été un peu chahuté pendant l'apéro, quand il a sorti son trois pièces, certains blacks se sont retrouvés con car moins bien monté que lui ! enfin façon de dire car le plus petit des sexes devait quand même bien faire ses 24cm x 6 de diamètre !! et après il s'est fondu dans le groupe malgré sa blancheur. Comme les autres fois, je veillais à ce que toutes les sodos soient faites sous Kpotes même si certains essaye toujours de resquiller là dessus.
Quand en fin de gang bang, ils en sont arrivés aux doubles sodo, Xavier n'en croyait pas ses yeux et pensait impossible que Ric y arrive. Je profitais de l'occasion et participais à la première double sodo. Ma bite de 20x5 semblait moitié plus petite que la noire à laquelle j'étais collée. Ça ne pas empêché de prendre mon pied et de remplir ma kpote. Après que tout le monde se soit essayé à la pratique , ils ont tous juté sur le corps de Ric couché au milieu d'eux.
Ric envoyé à la douche, les protagonistes sont partis. Xavier me demanda si je croyait qu'on pourrait le faire avec Jean. En le raccompagnant à la voiture j'acceptais (Jean y est déjà passé avec Eric et Marc) bien sur en tarif double !
Une semaine après notre retour, c'était au tour de Bruno et Arnaud de rentrer. Et le soir même nous échangions nos souvenirs de vacances au bord de la piscine. Eux aussi avaient bien bronzer mais en maillots. Finalement je crois que je préfère avoir les marques et le cul blanc. Quand on se met nu, ça flash plus. C'est dit l'été prochain je reste en maillot de bain.
En attendant nous avons fini l'après midi moi sous la coupe de Bruno et Arnaud au bout de la bite de Marc. Echange de bon procédés. Puis chacun dans les bras de son homme !
Marc et Bruno ont décidé que le premier WE d'octobre serait consacré à la grande touze du groupe. Comme cela tous les retardataires de vacances (Phil et Luc qui commencent leur année d'étude vers cette date là), Seb et Nicolas partis ensemble en vacances en fin d'été seraient de retours. De plus elle permettra à Olivier de faire connaissance avec tous les autres.
En attendant, Xavier profitant d'une absence de sa femme, m'a convoqué le mercredi suivant avec Jean pour la double sodo. ;Il a fallu bousculer un peu le calendrier des clients de Jean mais nous y sommes arrivés. Quand nous sommes entrés, il était déjà prêt, excité par ce que nous allions faire. Juste vêtu d'un short, il sortait de la douche après un peu de muscu. Sans slip sa bite pendait par la jambe droite et commençant à gonfler tendait le nylon.
Rapidement, nous nous sommes mis nus dans sa salle de gym. Jean s'est occupé de la bête qu'il a entre ses cuisses, léchant suçant avalant le superbe morceau de viande. De mon coté, je préparais son anus à notre futur assaut. Après avoir rapidement entré 3 doigts, je l'ai enculé. Chaque coup de rein faisait s'enfoncer plus profond la bite de Xavier dans la gorge de Jean. Après l'avoir dilaté, j'ai cédé ma place à Xavier pour la deuxième dilatation. Je le laissais fair seul un moment puis suis venu placer un puis deux puis trois doigts le long de sa hampe pour élargir la rondelle. Prêt pour la double, je faisais coucher Xavier sur le dos et ordonna à Jean de s'empaler sur sa bite. un fois cela fait, je me suis agenouillé derrière Jean et le plaquant sur le torse de Xavier, mettait mon gland contre le sexe qui déjà lui occupait le trou. Je demandais à Xavier de sortir doucement et quand il ne resta plus que son gland en Jean, j'ai collé ma queue contre la sienne et nous sommes rentrés ensemble . l'avantage de ma position outre le fait que c'est plus simple pour celui qui à la plus petite bite d'être au dessus, me donnait un point de vue direct sur la dilatation anale. Il a bien fallu forcer un peu mais nous sommes arrivés à tout lui mettre. Je n'ai pas voulu privé Xavier d'un tel spectacle et nous avons inversé nos places. En dessous, je ne pouvais pas entrer autant de ma bite dans le cul de Jean mais Xavier lui s'est régalé la vue devant la souplesse du trou de Jean. Nous nous sommes finis, tous les deux couchées ur le dos collés par les fesses et Jean se pistonnant le cul sur nos deux bites. Quand il a juter sur Xavier, nous nous sommes retrouvés compressés l'un contre l'autre dans son cul et ensemble nous avons rempli les Kpotes.
Jean sous la douche, Xavier me demanda si je croyait possible que nous le fassions à sa femme. Je lui dis que déjà nous pourrions l'amener à nous prendre ensemble dans sa chatte ça ferait une première étape. Si elle acceptait ça, ça ne devrait pas être trop difficile de passer à son cul. L'étape psychologique de se faire mettre par deux mecs avait déjà été franchie lorsque nous l'avions baisé ensemble un dans sa chatte et l'autre dans son cul. Xavier était du coup impatient que l'on puisse avancer dans ce sens, persuadé que sa femme serait d'accord.
JARDINIER
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at the Museum
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lisaalmeida · 6 months
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Ce que la vie m'a appris...
Je devrais plutôt tenter de dire ce que les rencontres, les séparations, les découvertes, les éblouissements comme les désespérances m'ont appris dans le sens de me découvrir, de me construire, d'influencer le déroulement de mon existence...
J'ai ainsi appris que la vie n'est faite que de rencontres et de séparations et qu'il nous appartient de les vivre en acceptant de nous responsabiliser face à chacune...
J'ai appris encore qu'il y a toujours une part d'imprévisible dans le déroulement des jours et donc qu'il m'appartenait de savoir accueillir les cadeaux inouïs ou les blessures qui peuvent surgir dans l'immensité d'un jour...
J'ai appris bien sûr à vivre au présent, à entrer de plain-pied dans l'instant, à ne pas rester enfermé dans mon passé ou me laisser envahir par des projections sur un futur trop chimérique...
J'ai appris tardivement à remercier, chaque matin, la Vie d'être présente en moi et autour de moi, à l'honorer chaque fois que cela m'est possible, à la respecter en toute occasion, à la dynamiser avec mes ressources et mes limites...
J'ai appris difficilement à m'aimer, non d'un amour narcissique ou égocentrique (même si la tentation était grande) mais d'un amour de bienveillance, de respect et de tolérance...
J'ai appris avec beaucoup de tâtonnements à me respecter en osant dire non quand je suis confronté à des demandes qui ne correspondent pas à mes possibles ou à ma sensibilité.
J'ai appris avec enthousiasme que la beauté est partout, dans le vol d'un oiseau, comme dans le geste d'un enfant pour tenter de capter le vol d'un papillon ou encore dans le sourire d'un vieillard qui croise mon chemin...
J'ai appris patiemment que nul ne sait à l'avance la durée de vie d'un amour et que toute relation amoureuse est une relation à risques. Des risques que j'ai pris...
J'ai appris douloureusement que je n'avais pas assez pris de temps pour regarder mes enfants quand ils étaient enfants, que j'aurais dû savoir jouer et rire avec eux, plus souvent et surtout chaque fois qu' ils me sollicitaient, que je n'avais pas su toujours les entendre et les accueillir dans leurs attentes profondes et surtout que j'avais trop souvent confondu mon amour pour eux avec quelques-unes de mes peurs tant je voulais le meilleur pour eux, tant je désirais les protéger des risques (que j'imaginais) de la vie....
J'ai appris avec beaucoup de surprise que le temps s'accélérait en vieillissant et qu'il était important non pas d'ajouter des années à la vie, mais de la vie aux années...
J'ai appris malgré moi que je savais beaucoup de choses avec ma tête et peu de choses avec mon coeur...
J'ai appris que je pouvais oser demander si je prenais le risque de la réponse de l'autre aussi frustrante ou décevante qu'elle puisse être, que je pouvais recevoir sans me sentir obligé de rendre, que je pouvais donner sans envahir l'autre et refuser sans le blesser...
J'ai appris, sans même le vouloir, que j'avais des besoins et qu'il ne fallait pas les confondre avec des désirs...
J'ai appris avec soulagement que je pouvais désapprendre tout l'inutile dont je me suis encombré pendant des années...
J'ai appris joyeusement à planter des arbres, c'est le cadeau le plus vivant que je peux faire jusqu'à ma mort à cette planète merveilleuse qui a accueilli mes ancêtres et surtout mes géniteurs...
J'ai appris doucement à recevoir le silence et à méditer quelques minutes chaque jour pour laisser aux vibrations de l'univers la possibilité de me rejoindre et de m'apprivoiser encore un peu...
Oui, j'ai appris beaucoup dans ma vie et pourtant je cherche encore l'essentiel...
Jacques Salomé
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LE JOUR OÙ JE ME SUIS AIMÉ POUR DE VRAI
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai compris qu'en toutes circonstances,
j'étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, j'ai pu me relaxer.
Aujourd'hui je sais que cela s'appelle... l'Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n'étaient rien d'autre qu'un signal
lorsque je vais à l'encontre de mes convictions.
Aujourd'hui je sais que cela s'appelle... l'Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J'ai cessé de vouloir une vie différente
et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive
contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... la Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai commencé à percevoir l'abus
dans le fait de forcer une situation ou une personne,
dans le seul but d'obtenir ce que je veux,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même
ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment...
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... le Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai commencé à me libérer de tout ce qui n'était pas salutaire, personnes,
situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme.
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... l'Amour propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai cessé d'avoir peur du temps libre
et j'ai arrêté de faire de grands plans,
j'ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime
quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... la Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd'hui, j'ai découvert ... l'Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai cessé de revivre le passé
et de me préoccuper de l'avenir.
Aujourd'hui, je vis au présent,
là où toute la vie se passe.
Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s'appelle... la Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon coeur,
elle devient une alliée très précieuse !
Tout ceci, c'est... le Savoir vivre.
Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter.
Du chaos naissent les étoiles.
Kim McMillen
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aisakalegacy · 2 months
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Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (10/20)
Malgré le manque de légèreté de nos conversations, cela m’a fait plaisir de revoir mon ancien camarade. D’ailleurs, à l’heure où je vous écris, il est maintenant fiancé : il a correspondu toute la guerre avec celle qu’il pensait voir devenir sa future belle-sœur, Marie Rumédier, dont je vous parlais plus tôt, qui lui a remonté le moral et permis de tenir dans les tranchées. Quand Earnest Simmon l’a délaissée pour ma fille alors qu’elle se remettait à peine de la disparition de son frère, il lui a finalement rendu la pareille…
[Transcription] Jules Le Bris : Je suis heureux de voir que ton moral n’a pas pris de coup. Bert Simmon : Pour tout de dire, si, il en a pris, et mon frère te dirait sûrement que je bois trop. Mais on avance, hein ? Jules Le Bris : Tu sais, ça fait des mois que je me demande ce qu’il se serait passé si j’étais resté avec vous. Jules Le Bris : Rumédier a disparu, Zéphir est mort… Et nous, on reste debout. Qu’est-ce qu’on a de plus qu’eux ? Jules Le Bris : J’ai été réformé si tôt… Et vous, vous êtes restés dans la boue et dans le feu. Bert Simmon : Tu y as laissé ta jambe, Le Bris. Elle est déjà payée, ta dette. Jules Le Bris : Je sais que c’est irrationnel, mais j’ai souvent le sentiment de vous avoir abandonnés. Bert Simmon : Tu n’y es pas. Le petit, et moi, et même Rumédier, on se disait souvent : « qu’aurait fait Le Bris ? ». Quel que soit l’obstacle, on se disait que toi, tu y aurais survécu, avec peut-être une balafre en plus ou deux. Tes histoires d’ours et de persévérance, même après ton départ, elles nous ont aidé à tenir. Jules Le Bris : La cérémonie va bientôt commencer… Bert Simmon : J’ai compris. C’est une petite île, on se recroisera. Je connais deux ou trois vétérans. On aime bien se retrouver pour manger un morceau, boire un coup, et discuter un peu. Je te présenterai à l’occasion. Jules Le Bris : Les bottines doivent suivre les babines, comme on dit. Bert Simmon : Je m’y tiendrai !
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eilosyne · 8 months
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FANTÔMES
Que deviendront ces notes, ces espaces vides Qui résistent entre eux et moi Peut-être seront-ils tus Enfermés dans une boîte Figés dans une racine, Comme la preuve ultime que nous serons l'un et l'autre Des fantômes errant dans l'univers, Sur ou sous la terre Qui éclate et brûle nos rêves d'idéaux Givrés dans notre ADN, Dans la peau de nos ancêtres Retenus captifs
Que restera-t-il demain De ces chants qui nous étouffent et retranscrivent Le son des guitares mal accordées L'accordéon miséreux et mendiant Et qui attendent que mes yeux se baissent Et fixent le sol bétonné Pour espérer trouver du sens au poncif
Le poids de l'amour dans la chair A de cette étrangeté qu'il réduit Le corps à l'attente Et l'attente à l'absence La scène à la grâce La fierté à la misère Et l'idée qu'on s'en fait se dépouille dans la mémoire sentinelle. Ouvrir les yeux --- Non, il fait déjà froid Et j'imagine ton corps disparu Loin de mes mains fragiles et ridées Mangées par le feu ou la terre. J'irai hanter les parcelles du passé Pour prévenir que l'araignée mord bien Là où la gloire et la vengeance tissent la toile, Et je ramperai au milieu de ceux Qui survivent sous soixante degrés, Irai prier sur les morceaux d'Antarctique Et pleurerai et crierai sur le pelage doux et réconfortant Du dernier ours polaire. Ma poitrine qui prend et rejette l'air Ne sera plus qu'un souvenir éphémère D'une mémoire qui n'est plus mienne, Elle nous appartiendra, joyau de l'humanité.
Les fantômes du futur Veillent sur nous et j'aimerais croire En l'existence de nos fêlures Pour qu'à mon tour je puisse boire Le sang des anciens, le sang de demain Et m'imprègne de l'Enfer avant l'heure.
Pendant ce temps d'autres s'épanchent encore sur des fresques du Paradis Émus aux larmes comme des anges déchus face à l'idéal Et l'esquisse d'un fantôme est d'une tristesse surnaturelle Forgée dans le fantasme d'une salvation de l'âme Au zénith de la mélancolie. Ils s'allongent tour à tour dans le noir de la pièce Éclairée dans le fond derrière le rideau dans le calme : C'est cet espoir de renaître en particule invisible Poussière d'étoile dans l'infini de l'espace et du temps Qui les maintient surélevés comme déjà Détachés de la pression terrestre.
Futur fantôme du ciel Allonge-toi avec moi dans les cimetières, écoute le bruit des feuilles Qui se mêle à celui des morts et Endors-toi paisiblement comme eux Sur les stalles.
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