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#noces de diamant
demoura · 1 year
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2 MARS 2023: C'ÉTAIT LE JOUR DU DÉPART POUR TOULOUSE UN VOYAGE TRÈS SOUHAITÉ : CONNAÎTRE LA « VILLE ROSE » DANS LE PROGRAMME ALICIANTE DU 40e ANNIVERSAIRE DU CERCLE WAGNER DE TOULOUSE OCITANIE . LA REPRISE DU TRISTAN UND ISOLDE DE JOËL ET UN RÉCITAL DE NINA STEMME . MALHEREUSEMENT LA GRAVE MALADIE DE ZAZA A ANNULÉ LE PROJET ET LE VOYAGE SE FAIT DÉSORMAIS QUOTIDIENNEMENT À SON CHEVET ...::Depuis avril 2022 nous avons préparé avec rigueur et enthousiasme notre voyage pour participer aux 40 ans du CRW TOULOUSE .Dès le début nous avons eu le soutien chaleureux de notre amie FB Anne Laure Ghedin responsable des relations extérieures) du Cercle ,que nous souhaitions tant rencontrer vis à vis.! Des billets fantastiques , une chambre d'hôtel avec vue sur le Capitole, une reprise du Tristan historique de Nicolas Joël que notre diva Elisabete Matos avait chanté en 2015 avec Robert Dean Smith (pvictime d'une pierre tombée du décor . Excursions à Albi dîner commémoratif avec la gastronomie française et surtout connaître les Français qui partagent notre passion pour la musique de Wagner. Malheureusement, pour une situation clinique grave Maria Zaza ,quelques jours après nos noces de diamant, a été admise en urgence dans " mon " hôpital universitaire où elle se trouve depuis 29 jours. LE VOYAGE SE FAIT DÉSORMAIS QUOTIDIENNEMENT À SON CHEVET ...
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if-you-fan-a-fire · 2 years
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“Groupe photographié au sortir de l'église Saint-Edouard, lors de la célébration des noces de diamants de M. et Mme A.-H.-A. Gagnier. M. Gagnier est un zouave pontifical, vétéran de la guerre à Rome en 1868. (Cliché F.-E. Marsan, 4381 rue Fabre).”
- from La Presse. November 12, 1932. Page 14.
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paulysson1 · 2 years
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J'ai fais ce souhait,
J'ai très jeune fait le souhait de partir,
Non pas par haine mais par peur,
De ene pas reussir à vivre parmis vous.
Un suicidaire précédent qui n'aurait même pas obtenu les noces de diamant de l'existence.
C'était sans compter sur les plus hauts patron de la vie !
"Comment cela, il veut quitter son propre esprit ?!"
Ce sont-ils dit
Demander pardon en faisant comme Earl dans cette série américaine,
Ramener mes péchés dans le réel,
Et dessiner dans le dos de mes conquêtes une espiègle silhouette de moi même qui l'épaule jusqu'à la fin de sa vie terrestre.
Changeons de sujet car il y en a pour ceux qui se sont divisés en deux,
Pour être heureux :
Se briser la jambe mais ce tenir par la main,
C'est plutôt malin comparé à mon incarnation solitaire dans un monde et une dimension pluriel.
Mais elle est belle, la vie.
C'est un dessin dans l'infini du renouveau,
De l'éclosion au rosier épineux,
Qui donne la fin des amour nouveau,
Et donne de vrais preux.
La vie est une école qui ne se somnole aps devant les cieux,
Mais plutôt devant le soleil levant et comme dans le jardin de ma grand maman sent la lavande.
Je me posais sur uen de ses branches et c'était l'avalanche de nature qui se poursuit malgré les impurs qui la maltraité.
Et devant l'univers je redialogue tel un cardiologue avec le cœur de mes ex compagnes.
On se pardonné, on se mord, on ne fait que s'embêter mais tellement heureux de nous retrouver.
Dans un Éden perdu de milles contrés que les fées avaient depuis fort longtemps dessinées,
Bien avant ma venu.
P.amis
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chorisartefact · 4 years
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“Alice~&~Jean-Claude”
Photo/Composition-MMXX
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fidjiefidjie · 3 years
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Bonjour, bon Dimanche et bonne fête 💐 aux Grands-mères ☕🥐🍊
M. et Mme George Perry échangent un baiser 🫂 à leur noce de diamant 1937
Photo de Fox Photos/ Getty Images
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delfiris · 3 years
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La maison des morts
“S’étendant sur les côtés du cimetière La maison des morts l’encadrait comme un cloître A l’intérieur de ses vitrines Pareilles à celles des boutiques de modes Au lieu de sourire debout Les mannequins grimaçaient pour l’éternité
Arrivé à Munich depuis quinze ou vingt jours J’étais entré pour la première fois et par hasard Dans ce cimetière presque désert Et je claquais des dents Devant toute cette bourgeoisie Exposée et vêtue le mieux possible En attendant la sépulture
Soudain Rapide comme ma mémoire Les yeux ses rallumèrent De cellule vitrée en cellule vitrée Le ciel se peupla d’une apocalypse Vivace
Et la terra plate à l’infini Comme avant Galilée Se couvrit de mille mythologies immobiles Un ange en diamant brisa toutes les vitrines Et les morts m’accostèrent Avec des mines de l’autre monde
Mais leur visage et leurs attitudes Devinrent bientôt moins funèbres Le ciel et la terre perdirent Leur aspect fantasmagorique
Les morts se réjouissaient De voir leurs corps trépassés entre eux et la lumière Ils riaient de voir leur ombre et l’observaient Comme si véritablement C’eût été leur vie passée
Alors je les dénombrai Ils étaient quarante-neuf hommes Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’oeil Et me regardaient maintenant Avec tant de cordialité Tant de tendresse même Que les prenant en amitié
Tout à coup Je les invitai à une promenade Loin des arcades de leur maison
Et tous bras dessus bras dessous Fredonnant des airs militaires Oui tous vos péchés sont absous Nous quittâmes le cimetière
Nous traversâmes la ville Et rencontrions souvent Des parents des amis qui se joignaient A la petite troupe des morts récents Tous étaient si gais Si charmants si bien portants Que bien malin qui aurait pu Distinguer les morts des vivants
Puis dans la campagne On s’éparpilla Deux chevau-légers nous joignirent On leur fit fête Ils coupèrent du bois de viorne Et de sureau Dont ils firent des sifflets Qu’ils distribuèrent aux enfants
Plus tard dans un bal champêtre Les couples mains sur les épaules Dansèrent au son aigre des cithares
Ils n’avaient pas oublié la danse Ces morts et ces mortes On buvait aussi Et de temps à autre une cloche Annonçait qu’un nouveau tonneau Allait être mis en perce Une morte assise sur un banc Près d’un buisson d’épine-vinette Laissait un étudiant Agenouillé à ses pieds Lui parler de fiançailles
Je vous attendrai Dix ans vingt ans s’il le faut Votre volonté sera la mienne
Je vous attendrai Toute votre vie Répondait la morte
Des enfants De ce monde ou bien de l’autre Chantaient de ces rondes Aux paroles absurdes et lyriques Qui sans doute sont les restes Des plus anciens monuments poétiques De l’humanité
L’étudiant passa une bague A l’annulaire de la jeune morte Voici le gage de mon amour De nos fiançailles Ni le temps ni l’absence Ne nous feront oublier nos promesses
Et un jour nous auront une belle noce Des touffes de myrte A nos vêtements et dans vos cheveux Un beau sermon à l’église De longs discours après le banquet Et de la musique De la musique
Nos enfants Dit la fiancée Seront plus beaux plus beaux encore Hélas! la bague était brisée Que s’ils étaient d’argent ou d’or D’émeraude ou de diamant Seront plus clairs plus clairs encore Que les astres du firmament Que la lumière de l’aurore Que vos regards mon fiancé Auront meilleure odeur encore Hélas! la bague était brisée Que le lilas qui vient d’éclore Que le thym la rose ou qu’un brin De lavande ou de romarin
Les musiciens s’en étant allés Nous continuâmes la promenade
Au bord d’un lac On s’amusa à faire des ricochets Avec des cailloux plats Sur l’eau qui dansait à peine
Des barques étaient amarrées Dans un havre On les détacha Après que toute la troupe se fut embarquée Et quelques morts ramaient Avec autant de vigueur que les vivants
A l’avant du bateau que je gouvernais Un mort parlait avec une jeune femme Vêtue d’une robe jaune D’un corsage noir Avec des rubans bleus et d’un chapeau gris Orné d’une seule petite plume défrisée
Je vous aime Disait-il Comme le pigeon aime la colombe Comme l’insecte nocturne Aime la lumière
Trop tard Répondait la vivante Repoussez repoussez cet amour défendu Je suis mariée Voyez l’anneau qui brille Mes mains tremblent Je pleure et je voudrais mourir
Les barques étaient arrivées A un endroit où les chevau-légers Savaient qu’un écho répondait de la rive On ne se lassait point de l’interroger Il y eut des questions si extravagantes Et des réponses tellement pleines d’à-propos Que c’était à mourir de rire Et le mort disait à la vivante
Nous serions si heureux ensemble Sur nous l’eau se refermera Mais vous pleurez et vos mains tremblent Aucun de nous ne reviendra
On reprit terre et ce fut le retour Les amoureux s’entr’aimaient Et par couples aux belles bouches Marchaient à distances inégales Les morts avaient choisi les vivantes Et les vivants Des mortes Un genévrier parfois Faisait l’effet d’un fantôme
Les enfants déchiraient l’air En soufflant les joues creuses Dans leurs sifflets de viorne Ou de sureau Tandis que les militaires Chantaient des tyroliennes En se répondant comme on le fait Dans la montagne
Dans la ville Notre troupe diminua peu à peu On se disait Au revoir A demain A bientôt Beaucoup entraient dans les brasseries Quelques-uns nous quittèrent Devant une boucherie canine Pour y acheter leur repas du soir
Bientôt je restai seul avec ces morts Qui s’en allaient tout droit Au cimetière Où Sous les Arcades Je les reconnus Couchés Immobiles Et bien vêtus Attendant la sépulture derrière les vitrines
Ils ne se doutaient pas De ce qui s’était passé Mais les vivants en gardaient le souvenir C’était un bonheur inespéré Et si certain Qu’ils ne craignaient point de le perdre
Ils vivaient si noblement Que ceux qui la veille encore Les regardaient comme leurs égaux Ou même quelque chose de moins Admiraient maintenant Leur puissance leur richesse et leur génie Car y a-t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte On devient si pur qu’on en arrive Dans les glaciers de la mémoire A se confondre avec le souvenir On est fortifié pour la vie Et l’on n’a plus besoin de personne”
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913
https://cervieres.com/2020/04/23/aucun-de-nous-ne-reviendra/
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joaniepencil · 3 years
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Fantique de muffins
Chapitre 9
Capitaine Syverson X OFC Billie Morgan
Résumé : Le mariage de Luke et Jane arrive finalement, l'attirance de Billie et James atteint son paroxysme!
Avertissement : 18 ans et + Smut!
Langage des signes en italique.
Lundi matin très tôt, Sy levait des montagnes d’aciers avec ses jambes. Comme presque chaque jour, il s’entraînait au gym du poste de police.
Ses écouteurs crachaient du vieux rock dans ses oreilles. Morgan venait de le rejoindre son œil était toujours violacé mais il avait dégonflé un peu. Sy baissa ses écouteurs.
-Hey mec ...comment ça va?
Morgan ajusta la machine côté de lui.
-J’ai juste hâte que la semaine soit fini! Jane est en train de me rendre complètement fou!
Sy se mit à rire.
-Je te jure! On dirait que je ne reconnais plus ma copine, elle s’est transformée en monstre!
-Les femmes deviennent toutes folles à l’approche du mariage. Faith était pareille.
-Faith?
-Mon ex-femme. Mes frères ont tous dit la même chose. Heureusement ça va passer! Tu n’y penseras plus à ta nuit de noce.
-Si je m’en sors vivant! Je croyais que Bill était une tornade, Jane est bien pire.
Sy demanda subtilement.
-Comment elle va, Billie?
Luke s’arrêta et le fixa de son regard intense.
-Pourquoi tu veux savoir ça? Ma sœur t’intéresse?
Sy haussa les épaules. Bien sûr qu’elle l’intéressait, mais ça ne serait pas avec lui qu’il en discuterait.
- Je voulais seulement prendre de ses nouvelles après la visite de Chris elle avait l’air plutôt sonnée.
-Elle est encore sous le choc mais c’est du passé. Je vais m’assurer que ça le demeure.
Il ajusta les poids sur le rameur et prit place.
-Qu’est ce qui s’est passé. J’ai cru comprendre que la surdité de Billie le dérangeait?
Luke plissa des yeux en le jugeant avant de répondre.
- Chris a été son premier grand amour, ils ont été ensemble pendant 5 ans. Son handicap ne le dérangeait pas. Il avait même appris la langue de signe pour elle. Jusqu’à ce qu’il réalise 2 mois avant leur mariage que Billie ne pourrait jamais entendre leur bébé pleurer.
Sy fronça les sourcils.
-Il n’y avait pas penser avant?
Luke haussa les épaules.
-Je ne sais pas. Tous ce que je sais c’est que Billie est revenu à la maison après un voyage dans sa famille, absolument démolie. Le rêve de Chris d’avoir la parfaite petite épouse au foyer lui avait sauté au visage.
Sy sentit un élan de tendresse pour la jeune femme.
-Pourquoi elle ne pourrait pas être la parfaite épouse? Parce qu’elle est sourde? C’est ridicule!
Luke se mit à ramer tranquillement sur le rameur.
-Chris a été élevé dans la soie. La cuillère en argent dans la bouche. Il voulait la femme bibelot parfaite qui élève et éduque les enfants pendant qu’il faisait son boulot d’avocat. Être avec une personne sourde c’est différent.
-Pourquoi ? Billie a un travail comme tout le monde, des amis, des hobbies, je ne vois pas pourquoi se serait différent.
- Quand tu vas mieux la connaitre tu va-t’en rendre compte, elle fait d’énormes efforts pour que personne ne se rende compte qu'elle est sourde. C’est différent dans tous les aspects de la vie. Des choses aussi connes que parler au téléphone ou discuter en voiture, ce n’est pas possible. Tout est bien différent. Tu l’as entendu comme moi l’autre jour. Si elle ne fait pas de gros effort elle va finir par complètement arrêter de parler. J’adore ma sœur mais des fois c’est vraiment dur.
Sy avala une gorgé d’eau, il n’avait pas pensé à tout ça. Sa bite parlait toujours plus fort que tout le reste quand il s’agissait de Billie Morgan.
Dans le milieu de l’avant-midi, la jolie rousse entra dans le poste de police. Elle passa par la sécurité et le détecteur de métal, armée de son badge visiteur arriva près de son frère. Elle tenait un sac de nourriture et une housse à vêtements. Elle ne s’était pas maquillée et portait un jeans et un sweat noir extra grand. Elle fit un petit sourire à Sy dans son bureau vitré. Elle donna son dîner à Luke. Le poste de police était pratiquement désert.
-Une salade? Tu te fou de ma gueule? Elle haussa les épaules.
-Les ordres de madame la mariée! Luke passa les mains dans ses cheveux.
-Elle va me rendre dingue!
-Courage ! Elle veut que tu chois parfait pour votre grand chour. Déjà que chu vas avoir un beau cocard sur les photos…
Elle s’assit sur la chaise près de son bureau.
-Vous en êtes rendu où? Tas l’air épuisée?
Billie hocha la tête.
-La maison est nickel, les décorations sont presque fini. Mais …Prendre une semaine de vacances c’était la pire chose à faire! Jane est tyrannique! La maison est pleine de monde, bientôt tout tes vieux potes vos être là pour votre soirée.
--Super! Tu t’es sauvée?
-Oui, je chuis passé chez le tailleur récupéré ton habit. Tu peux l’essayer s’il te plaît? Edward voulait savoir si la taille était correcte.
--Maintenant? Ici?
-Oui ch’il te plaît, je dois le rapporter chi quelque chose cloche.
Il avala sa bouchée.
-Ok. Il prit la housse et se dirigea vers la salle de bain.
Billie en profita pour aller voir Sy, elle cogna timidement sur le cadre de sa porte ouverte. Son regard s’illumina et il lui fit signe d’entrer même s’il était au téléphone. Elle posa les fesses sur l’accoudoir de la chaise devant son bureau et regarda les photos accrocher à son mur. Il y avait une belle photo de famille. Les cinq frères Syverson, ils avaient tous la même silhouette musclée. Les mains dans sa poche de sweat elle essayait de se réchauffer. Le vent soufflait fort aujourd’hui et il faisait un froid de canard.
Sy la regarda à la dérobée, elle avait l’air encore plus jeune que ses 27 ans aujourd’hui avec son grand chandail qui appartenait sûrement à Luke et ses jeans trouée.
-Oui… je vous tiens au courant. Bye. Il raccrocha et attendit un instant qu’elle le regarde.
-Oh Bonjour Capitaine!
-Bonjour, qu’est ce qui me vaut le plaisir de te voir dans mon bureau aujourd’hui?
Ses yeux verts trahissaient sa fatigue. Les cernes sous ses yeux étaient violets.
-Tu sais que je t’avais dit que je parlais à des amis dans l’immobilier? Elle sortit une petite carte de sa poche. Mon ami Kevin à peut-être quelque chose qui pourrait t’intéresser. Une jolie maison avec une grande cour et des arbres près d’ici. Elle est pas aussi grande que la nôtre mais elle à l’air vraiment bien.
Sy haussa les sourcils et prit la carte.
-Vraiment? Fantastique! Je te dois un dîner. Elle sourit en se frottant le nez.
-Si on commençait par ce stupide mariage avant? Sy se mit à rire, avec elle il avait le rire facile.
-D’accord...Je crois que le marié est prêt…
Billie se retourna vers son frère et ses yeux se remplirent de larmes instantanément. Il était absolument sublime dans son habit noir 3 pièces coupé sur mesure pour lui. Il avait même mis la cravate assortie.
-Non non Elizabeth Rose Morgan tu ne vas pas te mettre à pleurer.
Il avait les yeux aussi mouillés qu’elle.
-Tu … beau! Elle essuyant les larmes de ses yeux. Papa et maman seraient tellement fiers de toi!
-Arrête ... Il ouvrit les bras et elle se jeta dedans.
Même Sy était ému. Les jumeaux Morgan s’étaient fait une place dans sa vie chacun à leur manière. Luke comme ami et Billie comme la femme qu’il souhaitait ardemment conquérir.
Luke la repoussa bien vite en chassant une larme de son pouce.
-Alors tu en pense quoi?
Elle respira à fond et fit le tour de son frère en l’inspectant des pieds à la tête.
-Enlève la veste. Il s’exécuta et la lança sur son épaule tel un mannequin. Elle s’assura que la taille était correcte et la longueur des pantalons était bonne. Elle prit quelques photos.
-Je vais les envoyer à Edward. Il voulait voir ton joli petit cul dans les pantalons qu’il a fait spécialement pour toi. Elle reprit avec un air sérieux pince sans rire. Ouais t’es pas trop moche. Jane devrait sûrement dire oui.
-Aller monsieur le marié va te changer avant que le téléphone sonne.
-Oui capitaine.
Luke retourna se changer.
-Et toi, monsieur mon cavalier as-tu trouver quelque chose de décent à porter?
-Ouais, j’ai trouvé quelque chose de convenable pour accompagner ma sublime cavalière. Tu vas toujours porter cette jolie chose bleu foncé?
Elle hocha la tête.
À vrai dire, il avait galéré comme un malade pour trouver un habit parfait pour sa taille de colosse. Il ne voulait surtout pas avoir l’air con à son bras.
Le téléphone de Billie se mit à vibrer et à clignoter comme un arbre de Noël.
-Désolée. Oui maîtresse? Dit-elle en ouvrant la conversation vidéo. Jane hurlait dans l’appareil.
-Où est ce que tu es bordel? Tu étais supposé revenir il y a 45 minutes!
Elle sortit du bureau de Sy en lui faisant un petit signe de la main.
-Bye.
-Je suis au bureau de Luke. Son habit est parfait. La jeune fiancée passa de la colère aux larmes de joie.
-Vraiment?
-Oui ne t’inquiète pas il va être beau comme un cœur.
-A part ce foutu œil au beurre noir!
-Ça lui donne un côté bad Boy sexy arrête de t’en faire. Photoshop est là pour ça!
-Tu es tellement une bonne amie! Je te revaudrais ça à ton mariage!
Billie se mit à rire.
-Jamais de la vie. J’arrive bientôt. Elle raccrocha.
Luke lui redonna son habit dans la housse.
-Alors vous avez prévu quoi comme fête d’enterrement de vie de fille?
-Une soirée au club de stripteaseurs je crois bien, Sarah et Marina se sont occupés de cette soirée. Je dois y aller avant que ta chère future rameute le SWAT pour me ramener.
-Tu vas aller aux stripteaseurs?
-Jamais de la vie!
Le grand jour arriva enfin. Debout aux petites heures du matin, Billie veilla à ce que tout soit fin prêt. Le marié jouait au golf avec ses amis pendant que la mariée se faisait coiffée et chouchouter par l’équipe beauté qui avait été engagé pour l’occasion.
La réception aurait lieu dans un magnifique parc derrière l’hôtel où aurait lieu la cérémonie. Tout était absolument parfait.
Billie avait très hâte que tout soit fini. Entre le dîner de réception, l’arrivée des nombreux invités, le stress de la mariée, elle était sur les rotules mais elle devait tenir.
On lui fit un sublime chignon et de jolis petits diamants dans ses cheveux rouges. Elle enfila sa robe cette fois-ci elle avait prévu des caches mamelons pour cacher un peu sa féminité.
Tout était parfait la cérémonie pouvait avoir lieu comme prévu. Les invités prirent place pour la cérémonie. Billie se tenait dans le fond de la salle, elle devait attendre Luke. Elle avait convenu avec Sy de se rejoindre après la cérémonie étant donné que Billie était demoiselle d’honneur et serait à l'avant. Billie était nerveuse d’être devant tous ses gens, heureusement ce n’était pas elle la mariée.
Elle faisait les 100 pas nerveusement en attendant, elle marcha la tête penchée. Elle buta sur un invité qui se tenait devant elle.
-Pardon.
L’homme ne bougea pas. Elle releva la tête et tomba sur le sourire en coin de Sy.
-Bonjour mademoiselle Morgan.
Il était renversant, il avait choisi un superbe costume 3 pièces gris perle coupé parfaitement pour son corps musclé. Il l’avait agencé avec une chemise blanche et avait rajouter un détail qui toucha Billie. Sa cravate et son mouchoir de poche était bleu nuit exactement comme sa robe. Ses yeux bleus brillaient de joie. Billie le trouvait magnifique, il avait fait tailler sa barbe et ses cheveux. Il s'était donné beaucoup de mal pour être beau pour elle. Ses yeux verts lui disait qu'il avait eu raison.
-Bonjour Monsieur Syverson. Elle était très heureuse de le voir et lui fit la bise pour la première fois. Sy se prêta au jeu avec joie et effleura sa joue de sa barbe bien taillée.
-Allez va t’assoir, dit-elle en le poussant un peu. Ça va bientôt commencer.
Cinq minutes plus tard, Luke arriva nerveux et excité à la fois.
-Tu es parfait Lulu. Jane va t’adorer.
Luke souffla longuement.
-Je t’aime petite sœur.
Il posa son front sur le sien. Il prit son bras. C’était convenu depuis le début que Billie accompagnerait son jumeau jusqu’à l’hôtel.
-Tu es prêt?
-Non. Allons-y.
La musique résonna dans la salle de réception et Luke se mit en marche en tenant sa sœur par la main.
Devant l’hôtel Billie sourit à son frère.
-Je suis fière de toi mon petit frère. Je t’aime.
Quelques personnes versèrent une larme, Billie et Luke étaient très touchant ensemble.
Puis la mariée fit son entrée. Jane était éblouissante dans sa longue robe blanc crème de dentelle. Sa silhouette de sirène était parfaite. Luke ne put s’empêcher de verser quelques larmes.
La cérémonie fut parfaite et émouvante. Luke prit Jane pour tendre épouse et l’embrassa avec joie. La réception avait lieu dans le jardin derrière l’hôtel. Billie retrouva facilement Sy au travers des invités et il ne lâcha pas son bras de toute la soirée.
Il était prévenant avec elle s’assurant qu’elle avait toujours un verre frais à la main. Il faisait une chaleur de folie pour un premier juin.
-Tu veux qu’on aille dehors tu dois avoir chaud avec ton habit?
Sy avait le front en sueur. Il hocha la tête.
-Oui. Si tu veux bien m’accompagner.
Il prenait son rôle de cavalier à cœur. Pas un seul homme n’osait l’approcher et elle en était très contente. Elle ne voulait que celui qui la tenait délicatement par la taille pour ce soir.
Les invités commençaient à danser sur la piste de danse. Rendu hors de la tente surchauffée, Sy ouvrit son veston, dénoua sa cravate et deux boutons de chemise.
-Ça me surprend, tu ne danse pas? Je croyais que tu adorais danser.
-Je ne suis pas terrible pour la danse de salon. Je suis un peu gênée devant tout ce monde.
-Danse avec moi. Il lui tendit la main. Ils venaient de rejoindre une petite terrasse déserte éclairé par une guirlande de petites lumières. Surprise elle s’arrêta de marcher.
-Tu es sûr? Tu veux danser ici?
-Oui! On est à un mariage, il faut danser! Danse avec moi Billie, je ne danse pas aussi bien que Luke mais je me débrouille. Il n’y a personne ici tu n’as pas à être gênée avec moi.
Billie se mordit la lèvre et accepta.
La noirceur commençait à descendre doucement. Il lui tendit la main et elle la prit. Il l’attira à lui, elle posa l’autre main sur son épaule.
Sy posa la main dans le creux de son dos et l’attira doucement à lui plus encore. Leurs corps se touchaient, Billie se sentait bien contre lui, la chaleur de son corps se diffusait au travers de son habit, la protégeant du froid de ce début de soirée.
Sy caressa son dos du bout de ses doigts un peu rugueux. Billie se lova encore plus dans ses bras, un petit gémissement de plaisir lui échappa. Sy sourit, il caressa sa joue et elle releva la tête vers lui. Ses yeux verts brillaient différemment, sa petite main vint caresser sa nuque se pressant encore plus contre lui. Sy n’hésita qu’un instant et posa ses lèvres sur sa belle bouche pulpeuse.
Au premier contact, se fut électrique des ondes de plaisir parcoururent le petit corps de la jeune femme. Billie ferma les yeux de plaisir, Sy envahit sa bouche sans résistance sa langue caressa la sienne avec une passion longtemps refoulée. Il mordilla sa lèvre lui arrachant un soupir. Ses mains sur ses joues jouaient dans ses cheveux et caressaient sa mâchoire. Il traça du bout des doigts le contour de ses oreilles.
La jeune femme fondait littéralement dans ses bras, elle gémissait et grognait dans sa bouche. Elle suça sa lèvre, caressant de sa langue la sienne, ses dents claquaient sur les siennes. Elle sentait le grondement dans son torse alors qu’elle se frottait contre lui, un bras contre sa taille et l’autre autour de son cou. Elle pouvait clairement sentir l’excitation dans son pantalon aussi grande que la sienne.
Puis en un instant il était loin d’elle, elle le regardait sans comprendre à bout de souffle. Il s’essuya le rouge à lèvre sur sa bouche.
-Luke te cherche… Il arrive.
Elle n’eut que le temps se reprendre en main avant de sentir la présence de son frère dans son dos.
-C’est ici que vous être? Qu’est-ce que vous foutez ici?
-Il fait une chaleur d’enfer sous la tente. Nous avions besoin d’air frais.
Luke les regarda successivement heureusement il avait trop bu pour remarquer le rouge sur les joues de Billie et le souffle court de Sy.
-Viens petite sœur, ma femme veut danser avec sa demoiselle d’honneur. Il lui prit la main et l’emmena avec lui. Elle n’eut que le temps de faire un petit sourire à Sy avait de partir vers la tente. Sy lui retourna son sourire. Il toucha ses lèvres qui pétillaient de son contact électrisant.
La soirée battait son plein, Billie avait avalé bien plus de champagne qu’elle n’aurait du mais ça lui était égale. Elle dansait avec plaisir et s’amusait follement. Elle sentait toujours le regard ardent de Sy sur elle et quelque part cela la rassurait. Après quelques danses Billie retourna s’assoir près de lui. Elle tituba légèrement et s’appuya sur son épaule pour ne pas lui tomber dessus.
-On dirait que tu as bu une coupe de champagne de trop toi…
Billie se mit à rire, un petit sourire en coin flottait sur les lèvres de Sy tandis qu’il regardait les danseurs évoluer sur la piste de danse.
-Non… peut- être…
Il se retourna franchement vers elle.
-Tu t’amuse? Elle hocha la tête.
- Oui beaucoup. Merci de m’avoir accompagné. C’est gentil de ta part d’être venu avec moi.
Sy sourit. Billie bu le verre d’eau qu’il lui tendait. Ils regardèrent les danseurs pendant quelques minutes. Billie avait un peu froid, elle frissonna et se colla sur Sy, il irradiait de chaleur.
Sans même sans rendre compte, elle mit la main sur le tronc d’arbre qui lui servait de cuisse sous la table.
Sy ne bougeait pas pendant un instant quand il sentit la petite main sur sa cuisse. Elle la retira quand un invité s’approcha de leur table et discuta un instant avec Billie. La petite main reprit sa place sur sa cuisse et Sy ne pu s’empêcher de soupirer de soulagement.
Enhardie par le manque de réaction négative de Sy, Billie fit remonter sa main lentement de l’intérieur de sa cuisse, elle sentait un renflement dans son pantalon quand Sy saisit son poignet brusquement. Il murmura :
-Qu’est-ce que tu fais?
-J’ai froid, je cherche la chaleur.
Le regard de Sy était brulant, il se mordit la lèvre. Il retira son veston et le mit sur ses épaules.
- Merci
-De rien. Docilement, elle garda sa main sur ses propres cuisses pendant un instant mais elle avait d’autres idées en tête. Timidement elle reposa la main sur la cuisse de Sy.
-Tu as encore froid? Elle hocha la tête. Alors remet-là à la chaleur… Il posa sa grande main sur la sienne et la fit remonter vers l’intérieur de sa cuisse. Billie effleura la bosse dans son pantalon, Sy frissonna sous son contact délicat, il ferma les yeux un instant.
-Depuis combien de temps personne n’a toucher ceci, dit-elle en tapotant l’énorme bosse dans le pantalon de costume de Sy. Un intense frisson le parcouru. Dieu que c’était bon, cette petite main sur lui!
-Trop longtemps.
-On devrait faire quelque chose pour ça.
- Qu’est-ce que tu veux dire? Elle haussa les sourcils et se mordit la lèvre de façon suggestive.
-Viens avec moi dans le jardin…
Il hésita un instant mais l’envie de soulager la tension qu'elle créait en lui depuis des semaines fut plus forte.
-Je te rejoint dans une minute….
Aussitôt arriver sous le couvert des arbres, Billie s’attaqua à son pantalon de ses mains fébrile, Sy se colla contre elle, embrassant son cou cherchant sa peau de ses mains, sa bouche chercha la sienne fébrilement. Sa langue caressa la sienne, son souffle se mélangeant au sien. Leurs dents claquaient ensemble. Sy était affamé de sa peau, de son goût sucrée.
Elle sortit son énorme verge de son pantalon et se mit à rire nerveusement. Sy la regarda. Il ne faisait pas cet effet d’habitude. C’était presque insultant.
-Pourquoi tu ris?
-C’est pas humain une grosseur pareille!
-Arrête de rire et mets ta main dessus s’il te plaît.
Elle le caressa de tout son long elle faisait à peine le tour. Sy soupira et appuya la joue sur sa tête. Elle sentait ses veines palpiter dans sa main. Il caressait doucement ses seins au travers de la soie de sa robe. Ses mamelons pointaient vers lui. Elle ne portait pas de culotte...
L’urgence de le sentir au fond de son ventre prit le dessus sur tout le reste.
-Baise-moi Sy…
Il ne se fit pas prier. Il prit ses fesses dans ses mains et la souleva facilement. Il l’appuya contre un arbre, la maintenant en équilibre sur son bassin. Elle saisit sa verge et la frotta sur sa fente trempée.
-Fuck, tu es tellement mouillée. Billie frissonna de plaisir la main accrocher à son épaule. Elle le guida vers son entrée intime et lui donna un coup de bassin en l’invitant à entrer. Ce qu’il fit.
-Merde ce que tu es immense!
Il n’avait que le gland d’entré et Billie se sentait déjà étirée, chaque centimètre de son vagin s’étirait pour laisser passer l’envahisseur qui faisait son chemin lentement.
Sy soupirait et grognait dans son oreille. Bien au fond, il lui laissa une petite minute pour s’habituer à lui en lui donnant des baisers dans le cou. Il lui donna quelques coups de nez sur son front pour qu’elle le regarde. Ses yeux luisaient de désir.
-Ça va ? Tu es tellement serrée. Je ne te fais pas mal?
Elle secoua la tête.
-Non c’est bon ça va.
Elle mit les mains sur sa nuque et bougea le bassin contre lui. Elle était chaude, douce et trempée autour de lui. Il se remit à l’embrasser pénétrant autant sa bouche que sa chatte.
Sy le sentait qu’il ne tiendra pas longtemps mais il voulait lui faire plaisir avant. Il la déposa au sol et se retira de son vagin si doux.
-Qu’est-ce que tu fais?
Il s’agenouilla devant elle.
-Je ne tiendrais pas longtemps… je veux te faire jouir avant… il souleva sa robe et passa une de ses cuisses sur son épaule. Elle n’avait pas trop compris jusqu’à ce qu’elle sente son souffle chaud sur sa chatte.
Elle gémit longuement quand il passa le plat de sa langue sur toute la longueur de sa fente trempée.
-Putain de merde!
Un grognement vibrant sur sa chatte lui répondit.
Il la dévora comme si elle était le meilleur dessert au monde, léchant et aspirant chaque goûte de son jus. Le bout de sa langue vibrait frénétiquement que son clitoris engorgé, elle était déjà au bord de l’extase. Elle murmura.
-Mets un doigt…
Il plongea son majeur au fond de sa caverne et toucha le petit point rond qui s’y cachait.
Billie cria presque. Les mains cramponnées à ses cheveux complément indifférente aux curieux qui pouvait les entendre.
-Fuck…. Je … vais…
L’orgasme fulgurant la surprit elle-même la laissant tout tremblante. Elle n’arrivait pas à tenir debout. Sy la soutint et l’étendit sur la pelouse douce. Elle respirait rapidement encore sous le choc, les yeux fermés. Sy lui donna des baisers sur le visage et inséra doucement son pénis douloureusement dur en elle. Elle était encore plus étroite et chaude.
-Fuck…. Elle bougea le bassin contre lui les yeux maintenant grand ouvert.
Elle enroula les jambes autour de lui et le serra dans ses bras, enfouissait son visage dans son cou.
-Baise-moi fort. … Il n’en fallait pas plus pour que Sy se déchaîne. Il la baisa si fort qu’elle sentait son gland cogner contre son utérus. Ça faisait mal mais c’était tellement bon en même temps.
Pour la première fois de sa vie, Billie sentait des coins de son vagin qu’elle n’avait jamais senti avant. Sy frottait partout en elle et c’était absolument délirant. Elle jouit pour la deuxième fois très fort. Ses muscles intimes massaient la verge de Sy qui glissa dans la jouissance. Elle le sentit grossir et durcir encore plus.
-Fuck..
-Sort de là!
Il sortit in extremis pour exploser sur sa cuisse satinée. Les gouttes de sueur perlaient sur son front alors qui se reposa sur un coude. Billie respirait rapidement, Sy passa une main chaude sur son ventre et lui donna un baiser sur l’épaule. Billie regardait les étoiles entres les branches de l’arbre. Elle retourna la tête pour le regarder.
-Ça va?
-Oui. Je pense qu’on devrait retourner à la fête.
-Oui… Il prit son mouchoir de poche et essuya sa cuisse. Allons-y.
La soirée battit son plein jusqu’à tard dans la nuit. Billie dansa avec Jane puis Sy l’invita à danser une nouvelle fois. Il n’était certes pas le meilleur danseur mais ils avaient du plaisir.
Vers 4h matin, Billie n’en pouvait plus, elle était littéralement vidée. Elle étouffa un bâillement qui n’échappa pas à Sy.
-Tu as l’air épuisée. Tu veux que je te raccompagne?
-Oui s’il te plaît.
Ils dirent bonne nuit au marié et prirent le chemin de la maison de Billie à bord du camion de Sy. Il n’eut même pas le temps de sortir du stationnement que Billie dormait déjà pelotonner dans son siège la tête sur la console centrale. Il la couvrit de son veston.
-Dors petite fée.
Il se stationna devant leur maison et fit le tour de son camion et ouvrit la portière. Il devait la réveillée. Il lui secoua doucement l’épaule et elle se mit à gémir.
-Non… s’il vous plaît... non. Rien …. fait… Jane…
Elle faisait un cauchemar. Il la secoua plus fort en espérant la réveiller.
- Merde, Billie ma belle réveille toi.
-Non! Non!!! Je veux pas mourir! Elle ouvrit les yeux subitement et le regarda. Elle était terrorisée! Sa respiration affolée s’emballa.
-C’est moi ma belle. Elle le repoussa et toucha sa bouche. Elle reprit pied dans la réalité lentement et regarda autour d’elle.
- J’ai fait un cauchemar…
-Tu vas bien?
-Quoi? Il alluma le plafonnier.
-Tu vas bien? Elle cligna des yeux, un peu perdue.
-Oui. Ça va maintenant. J’ai rêvé à Jones… quand je me suis réveillé tu étais là comme au chalet…
-Tu fais souvent des cauchemars? Elle hocha doucement la tête. Il lui donna un doux baiser sur le front. Tu as parlé à quelqu’un de tes cauchemars ? Un professionnel?
Elle secoua la tête.
-Non. Je pensais que ça passerait tout seul. Il pressa sa main dans la sienne.
-Tu fais un choc post-traumatique ma belle. Tu devrais vraiment parler à quelqu’un. Ça te ferait du bien.
Une autre voiture se gara derrière Sy et deux femmes en sortirent. Une jeune femme tituba et tomba sur la pelouse en riant. L’autre essaya de la relever mais peine perdu.
-Je crois bien que ma cousine Annie à besoin d’aide, je dois y aller.
Il ne lui répondit pas mais prit son visage entre ses grandes mains et l’embrassa une nouvelle fois profondément. Billie soupira contre lui. Il savait exactement comment l’embrasser pour qu’elle se transforme en jello dans ses bras. Il rompit leur baiser et se détacha d’elle.
-À la prochaine petite femme. Fais attention à toi.
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das-coven · 4 years
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Jane Renouardt, née Victorine Catherine Renouard, est une actrice française du cinéma muet, née le 7 juillet 1890 dans le 6e arrondissement de Paris et morte le 3 février 1972 à Ville-d'Avray dans les Hauts-de-Seine.
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Jane Renouardt commence sa carrière en jouant le rôle de Jane, la femme de Max (Max Linder) dans la série de courts métrages muets.
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Jane Renouardt est la première directrice du Théâtre Daunou qu'elle fait aménager après sa construction en 1921. Le théâtre ouvre ses portes le 30 décembre 1921.
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Elle épouse l'acteur Fernand Gravey en 1936 à Joué-lès-Tours.
Elle est inhumée au cimetière de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).
La filmographie de Jane Renouardt
1911 : Max veut faire du théâtre, court métrage de Max Linder : Jane, sa femme (comme Jane Renouard)
1911 : Max et les Crêpes, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Un mariage au téléphone, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Max veut grandir, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Entente cordiale, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Le Voyage de noces en Espagne, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Une nuit agitée, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Jalousie ou Max est jaloux, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Max amoureux de la teinturière, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Max et son chien Dick, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Max reprend sa liberté, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Max lance la mode, court métrage de Max Linder : Jane
1916 : L'Enfant prodigue, court métrage de Michel Carré : Phrynette (comme Jane Renouard)
1916 : La Petite Amie, court métrage de Marcel Simon
1917 : Le Clown, court métrage de Maurice de Féraudy
1917 : Une soirée mondaine, court métrage de Henri Diamant-Berger
1918 : La Fugitive de André Hugon
1919 : En quatrième vitesse, court métrage de Marcel Simon
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theplaylistfilm · 5 years
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Nicholas Britell and Hildur Guðnadóttir crowned winners at the 19th World Soundtrack Awards
After winning the Discovery of the Year Award in 2017, Nicholas Britell took home another award this year: he was named Best Film Composer of the Year by the World Soundtrack Academy for his soundtrack for 'If Beale Street Could Talk.'
The prize for Best Television Composer of the Year went to special guest and Emmy winner Hildur Guðnadóttir, who created the score for the popular HBO series 'Chernobyl'. Last year, Guðnadóttir was one of the Discovery of the Year nominees for 'Sicario: Day of the Soldado'. In the meantime, both Britell and Guðnadóttir have made a name for themselves worldwide with their scores for the HBO series 'Succession' and Todd Philips' 'Joker' respectively.
The prize for Best Original Song Written Directly for a Film was awarded to the track 'Shallow' from 'A Star is Born'. This composition was written by Lady Gaga, Andrew Wyatt, Anthony Rossomando and Mark Ronson, and was performed by Lady Gaga and Bradley Cooper.
African-American composer Michael Abels was named Discovery of the Year for the score he created for Jordan Peele's 'Us'. The pair had already collaborated before on the film 'Get Out'.
In the category of Best Original Score for a Belgian Production, Belgian Frédéric Vercheval was awarded for his score for Olivier Masset-Depasse's 'Duelles'. The composer has already been nominated four times for the Magritte Award for Best Original Score for 'Diamant 13' (2009), 'Krach' (2010), 'Not My Type' (2014) and 'Melody' (2014).
Young American jazz pianist and composer Pierre Charles won the SABAM Award for the Most Original Composition by a Young International Composer. The Public Choice Award went to John Powell for his music in Dean Deblois' 'How To Train Your Dragon: The Hidden World'.
As previously announced, Krzysztof Penderecki was honoured with a Lifetime Achievement Award. The Polish composer undoubtedly put his mark on film music history with his innovative and unconventional music. He collaborated with world famous composers such as Stanley Kubrick ('The Shining'), David Lynch ('Inland Empire', 'Twin Peaks'), Martin Scorsese ('Shutter Island') and William Friedkin ('The Exorcist').
Frédéric Devreese was also given a Lifetime Achievement Award. In light of his 90th birthday, Brussels Philharmonic honoured the father of Belgian film music. Devreese is known for his collaboration with André Delvaux on Palme D'or nominee 'L'oeuvre au noir', but also 'Du bout des lèvres' (Jean-Marie Degesves) and 'Les Noces Barbares' and 'Il Maëstro' (Marion Hansëm).
During the award ceremony, compositions were performed live by Brussels Philharmonic, conducted by maestro Dirk Brossé, with accompanying clips on the big screen. Guest of honour this year was Marco Beltrami, known for his horror scores including the 'Scream' franchise. He recently composed the music for box office hit 'A Quiet Place', nominated for a Golden Globe for Best Score, Netflix's 'Velvet Buzzsaw' and Oscar-winning National Geographic documentary 'Free Solo', for which he received an Emmy Award.
If you couldn't make it to the World Soundtrack Awards, there is still a possibility to enjoy the collaboration between Marco Beltrami and Brussels Philharmonic. Following our yearly tradition, a selection of our guest of honour's masterpieces were recorded with MotorMusic in Flagey's legendary Studio 4. The result is the album 'Marco Beltrami: Music for Film', featuring unique suites from 'Snowpiercer', 'World War Z' and 'A Quiet Place'.
Winners 19th World Soundtrack Awards
Best Film Composer of the Year Nicholas Britell ('If Beale Street Could Talk', 'Vice') Best TV Composer of the Year Hildur Guðnadóttir (‘Chernobyl’, ‘Ófærð’) Best Original Song written directly for a Film 'Shallow' ('A Star Is Born'). Music & lyrics by Lady Gaga, Andrew Wyatt, Anthony Rossomando and Mark Ronson. Performed by Lady Gaga and Bradley Cooper. Discovery of the Year 2019 Michael Abels ('Us') Best Original Score for a Belgian Production ‘Duelles’ (Frédéric Vercheval) SABAM Award for the Most Original Composition By a Young International Composer Pierre Charles Public Choice Award ‘How to Train Your Dragon: The Hidden World’ (John Powell)
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christophe76460 · 2 years
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LE CŒUR DE L'ÉPOUSE
Je me souviens des jours précédents mon mariage, j'étais jeune et ingénue.
Avec maman nous allions choisir les plus belles fleurs pour décorer la table du repas de noce. Choisir les plats succulent que nous pourrions offrir aux convives de la noce.
Puis le choix de ma robe. Il fallait que je soit parfaite pour mon futur époux. Je n'avais jamais connu d'hommes avant , et mes pensées était pleine de crainte, des questions se boursculaient dans ma tête.
Serais-je à la hauteur, est-ce le bon mari pour moi. En me préparant le jour J , mon cœur était en allegresse, je devait être parfaites pour l'homme que j'aime. Bain parfumé, maquillage léger pour réhausser ma jeune beauté naturelle, une coiffure étudiée pour recevoir un diadème de fleur, et enfin ma robe blanche , la plus parfaite à mes yeux.
Aujourd'hui cela me fait penser que je suis l'Épouse du Christ en aillant intégrée l'Eglise du Christ. Dans les lieux célestes il y a préparation de la table de noce , les anges chanterons louanges à l'Éternel . Comme je me suis préparée pour mon mari , je veux à plus forte raison me préparer pour Jésus-Christ l'amour de ma vie éternelle. Le choix de ma robe blanche , c'est qu'elle soit plus resplendissante qu'un diamant. Pour mon mariage terrestre c'est moi qui me préparai et qui ai choisi ma robe. Mais pour ce mariage céleste, c'est mon Époux qui choisi pour moi la plus belle robe , la plus belle couronne , le plus succulent festin qu'un Roi ai donné.
Oui c'est Lui qui me prépare par son Amour , Son Esprit me guide dans la perfection du jour J, qui est le "jour du Seigneur ". Et Il le fait dans le cœur de chacun de nous . Il nous lave et nous purifie par son Sang précieux , Il nous parfum de son eau vivifiante, et nous revêt de la plus belle Robe qui est la Sainteté en Jésus-Christ. Oui , c'est Lui qui prépare pour nous cette noces. Oui, je veux en faire partie, et mon cœur et remplit d'allégresse en attendant ce jour .
Au nom de Jésus-Christ . En Christ pour toujours ❤⚘️
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jbgravereaux · 6 years
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Angélique Ionatos (à propos de Léo Ferré) , Les Copains d'la neuille n°30, p5: ...Je ne connais pas assez sa vie privée. L'artiste seul m'intéressait. Pour moi c'était un auteur éminemment politique. Ce magnifique chant, À TOI...résonne terriblement aujourd'hui: “Le Capital qui joue aux dés notre royaume”. C'était prémonitoire mais c'était déjà une réalité à cette époque...
À TOI                                                                                                                                La forêt qui s'élance au ciel comme une verge Les serments naufragés qui errent sur la berge Les oiseaux dénoncés que le chasseur flamberge Les diamants constellés qui fuient les pâles couches Tous les yeux de la rue qui crèvent sur ta bouche Le pavé que tu foule(s) et ma voix que tu touches Les amants accolée muets comme la cire Les culottes des femme(s) où le monde se mire Les fauves repentis qui rendent des martyrs Le ventre des pendus qui coule des potences Les noces pathétique(s) où les larmes sont rances Les émigrants qui n'ont jamais de pain d'avance Les mains transfigurées qui règlent la tzigane Baudelaire et Shakespeare au chevet des profanes Les chevaux condamnés et leur dernière avoine La voix pour commander à mille couturières Un lit avec le Parthénon comme litière Le catéchisme de la joie la vie entière Des violons barrissant les complaintes futures Des tonnes de crachat sur la Critiquature Le vent du large et des bûchers pour les clôtures Des langues pour parler aux Chinois faméliques Des poumons pour souffler au ventre des phtisiques Des javas pour brouiller les chants patriotiques Le ruisseau qui jouit jusqu'au Havre sans trêve Le malheureux le chien qui meurt l'homme qui crève Le sang des femmes qui sont mortes sans un rêve Les cheveux élagués qui cherchent des caresses Le remords amical du prêtre qui confesse Les yeux des tout-petits riboulant de tendresse L'orgue de la nature au souffle de violettes Les rendez-vous mystérieux sous la voilette Le numéro que tu voulais à la roulette Les portes de secours battant sur les étoiles Les Vendredis des Robinsons des capitales La boussole des veuve(s) aveugles sous leur voile Le vain espoir des mitraillés sous la mitraille La poitrine qui bat sous les pâles médailles Les jésus désertant le fruit de tes entrailles Les dentelles flottant au nez de la misère Le loup blessé à mort qu'on regarde se taire Le chant du coq et le silence de saint Pierre Les coeurs déchiquetés qui parlent aux fantômes Les gens de bien qui ont désintégré l'atome Le Capital qui joue aux dés Notre Royaume ET PUIS le majuscule ennui qui nous sclérose Mon pauvre amour car nous pensons les mêmes choses En attendant que l'Ange nous métamorphose…                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Léo Ferré | à toi - YouTube ou Á toi - YouTube  : dans le disque 30 cm sorti début 1969 mais le texte a été publié en 1956 dans le recueil “Poète...vos papiers !”.      L'Été 68 — Wikipédia       Léo Ferré - L'Été 68                                                                                                                                                                                                                                                                                                La chanson “Les Anarchistes” du même disque était composée avant la rupture avec Madeleine . Il en est peut-être de même de celle-ci ainsi que du “Testament” (texte dédié à Madeleine comme “À toi”).                                                                                                                                                                  Léo Ferré : À toi - YouTube   Léo Ferré "A toi" - Vidéo Ina.fr                                                                                                                                                                 A toi, a song by Michel Hermon on Spotify   Michel Hermon - A toi - À écouter sur Deezer
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eglise22 · 3 years
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Françis s'en est allé …
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Nous apprenons le décès de M. Françis Kerhardy à l'âge de 94 ans.
La paroisse de Plérin remercie Françis et son épouse Hélène pour son dévouement au sein de la paroisse pendant de nombreuses années, il fût un acteur également auprès du groupe des scouts et guides de France à la Beaumanoir de Saint-Brieuc.
La paroisse Notre Dame de la Mer présente à Hélène son épouse, à ses enfants et sa famille ses condoléances attristées.
La célébration d'A-Dieu aura lieu samedi 27 novembre en l'église Saint Pierre de Plérin.
Retrouvez un article sur le mariage de Hélène et Françis Vie de couple, vie de bonheur paru sur notre site internet en juillet 2012. Ils avaient fêté leur 60 ans de mariage en 2011 (noces de diamant).
via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/3CYBgi6
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Soldes Disney Jouets
Aujourd’hui, s deviennent une source d’inspiration pour les flux sans fin Disney Figurines Articulées 9,5 Cm Star Wars Obi-Wan Kenobi Et Commandant Cody Model_Year 2017, réguliers pétales de motifs symétriques transformé en œuvres complexes, la période de floraison et de l’espace coexister immortelle beauté, inégalée spectacle féminité. Plus grand jamais Disney Lot De 8 Gobelets De Fête Disney Pixar Cars à Prix Compétitif de fengyun l’amérique ne est pas seulement les réalisations de la réputation de l’entreprise dans le respect de l’autorité, mais cela signifie également vetement minnie pas cher vente a la qualité suprême et beau design. caractère multi de ce lieu unique est devenu une source d'inspiration pour créer des modèles uniques. Disney Ballon Airwalker Winnie l'Ourson Large Choix discount ne sont pas seulement signifié pour filles, c’est tentant, recèle vraisemblablement. Le diamant ovale était le plus gros diamant Forevermark jamais présenté dans une collaboration de designer. Demitour et marcher tout droit Disney Jouets En Remise sorti de là parce queclairement le vente privée soldes disney a perdu son esprit ‘pourquoi. Toutefois, le matériel avec un raiponce princesse disney en or d’or du est encore très belle, vraiment l’emmener au supermarché pour acheter les choses un peu gros bois petit, a lancé un bracelet shopping avec le style, noir et violet, est relativement plus de loisirs, mais pas en petits paquets d’utilisation. Centurion Disney Soldes Personnages Scottsdale est prévue pour le 1er février au 5 en Arizona. New York, Susan Hanovers pierres précieuses de couleur boucles d'oreilles à double goutte ont fait sur cette liste des années de Oprahs Favorite Things. Inclus dans les lots de bijoux est une suite de 18 carats bijoux en or jaune par Zorab. Elle est également apparue sur Aujourd'hui, Entertainment Tonight et Good Morning America pour le mariage, la mode et les tendances de la noce. Sothebys a battu record aux enchères du monde après enchère record du monde dans nos ventes de bijoux cet automne à Hong Kong et Genève, l'établissement de nouveaux prix de référence pour tout diamant, tout ventes privees disney et toute vente aux enchères de bijoux. Elle enfreint les règles. Vitalité illimitée, luxe partagé. Une fois typiquement masculine, aujourd'hui, il renomme l'amulette femme moderne et forte qui peut profiter pleinement de la vie. En ce qui concerne les Disney Bouquet De Ballons Spider-Man à Prix Jamais Vus fabriqués sont considérés comme des bijoux sont disponibles dans diverses Disney Nouveaux Produits variétés, nous avons mis sur ce Disney Peluche Mickey Mouse Paris Avec Sac Style élégant de réputation en ligne tous les jours compte tenu du fait que je les ai acquises. Il est prévu de vendre pour un maximum de 500 000 $. Avec des matériaux de luxe de chevreau et cuir. www.officieldisney.com/disney-soldes-personnages
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alecia0 · 3 years
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DISNEY Poupées
Ce permet aux détaillants de fournir à leurs clients avec des certificats de performance diamant lumière numériques au lieu des documents papier. La photo ne lui rend pas justice. Le baron et la baronne de rothschild étaient l’un des rares invités à assister mariage du duc et de la duchesse de windsor, qui a fait plusieurs voyages retour à enzesfeld après leurs noces. SOLDES DISNEY Nous avons présenté l'offre iPhone 5 en Septembre l'année dernière, et depuis que nous avons apporté cette promotion à tout le commerce 20 montre où nous exposons, y compris les salons de Hong Kong, la société gérant Ghanshyam Dholakia dit. Sur les délais de livraison et un excellent service après-vente sont également parmi Mira Styles des forces fondamentales, le fabricant dit.clockwise de famille de haut gauche: carnet de bal, vers, probablement anglais agate, l’or, et de l’émail; une bonbonnière monté avec une montre, vers, probablement par john et george hannett, agate et de l’or; une loupe, circa, l’anglais, l’or, l’agate et ; une boîte de tabac à priser, vers, marqué par jeanbaptiste bertin, français, or et émail. contender dans le prochain magnificent jewels vente de sotheby à new york le avril.this année à la tefaf, disney a attisé une nouvelle variété de ses partir a disney pas cher précieux pour la foire annuelle. Les bénéficiaires et Honourees prix seront fêtés ce soir lors d'une cérémonie de dîner de gala et récompenses au Grand Hyatt, Hong Kong.available alice kwartler via stidbs pour l’anneau, chic et élégante bridea marquisecouper, de, carats, par sterle, circa available à la galerie fd pour l’amour anneau en or lunatique et symbolique bohemian bridea de la s. selection bebe Vêtements Disney des arrangements jewelry. disney sera présent au stand numéro à la tefaf de maastricht de mars à réserver un email de nomination. Indonesian ambre dans toutes ses couleurs a souvent des inclusions qui ressemblent à des lumières dorées ou opalescentes, faisant de chaque pièce singulière et unique, la compagnie dit. Cette coupe particulière améliore encore l'éclat de chaque pierre avec un excellent reflet de Hearts Arrows et une ceinture à ongles tous azimuts, at-il ajouté. Ceci est pure spéculation, cependant. Sirag Shahableen, propriétaire de Shurayqye Gems de Indiai me approvisionne Disney Déguisement Pour Enfants Jake De Jake Et Les Pirates Du Pays Imaginaire Large Choix en or blanc 18 carats, y compris boucles d'oreilles, colliers et bagues. Immobilier Disney Sac Tsum Tsum Avec Ensemble De Peluches Miniatures Le Monde De Dory à Prix Imbattable cette semaine round up dispose d’un certain nombre rares et uniques qui ont été apparemment prises directement à partir de l’animal kingdom. DISNEY Figurines Il peut être utilisé séparément ou sous forme d'un insert de moulage pour des formes spéciales.
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delfiris · 4 years
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Jules Laforgue, “renaître moqueur”
Né à Montevideo en 1860, élevé à Tarbes puis à Paris, où il meurt, en 1887, de la tuberculose, Laforgue, éphémère génie disparu avant d’être reconnu, trouverait sans peine sa place parmi les « Maudits » de Verlaine. Son œuvre, entamée dans l’éloquence « hyper-romantique », et tout imprégnée du spleen de l’époque, le spleen « baudelairien », s’oriente vite vers le symbolisme (« je deviens kahnesque et mallarméen », confesse-t-il dès 1882) avec Les Complaintes et Des Fleurs de bonne volonté.
Marquée par la vanité des transports « vers les altitudes de la Métaphysique de l’Amour » et une conscience tragique de la mort (« la vie, cette diète de néant » ), sa poétique est peut-être résumée, mieux que par une longue analyse, dans ce quatrain de l’Imitation de Notre-Dame la Lune : « Ah ! tout le long du coeur / Un vieil ennui m’effleure… / M’est avis qu’il est l’heure / De renaître moqueur. »
Marie-Jeanne Durry note ailleurs que Jules Laforgue, « du plus profond de lui, aspirait à l’amour total, à l’union totale. Avec une telle exigence que rien ne pouvait la satisfaire. » Une railleuse mélancolie appliquée sur la cicatrice de l’élan brisé : n’est-ce pas l’illustration de ce « désespoir qui porte un masque de comédie » dont André Breton a fait la marque de l’humour noir, « par excellence l’ennemi mortel de la sentimentalité à l’air perpétuellement aux abois » ?
Voici l’outil dont Jules Laforgue se sert dans ces Moralités légendaires, parodie impertinente de quelques mythes célèbres, pour dévoiler l’envers de l’idolâtrie amoureuse, du tourment romantique, de la vanité créatrice : Lohengrin sanglote sur son oreiller, tel « un incurable enfant », au soir de sa nuit de noces avec Elsa ; Salomé tombe du promontoire en voulant jeter à la mer la tête du prophète sacrifié ; Hamlet trépasse piteusement en articulant, entre deux gorgées de sang, le « qualis… artifex… pereo » de Néron…
Ailleurs, on trouve de plus grosses plaisanteries encore, et d’ahurissantes divagations ; et aussi les éclats d’un très beau poète : il y a l’écume de la mer, « comme un innombrable troupeau de brebis qui nagent, et se noient, et reparaissent, et jamais n’arrivent, et se laisseront surprendre par la nuit » ; il y a les étoiles, « chères compagnes des prairies stellaires » avec lesquelles Salomé converse, la chevelure parsemée de diamants, « comme un souverain met, ayant à recevoir ses pairs ou satellites, les ordres de leurs régions. »
Un vrai poète, donc, qui livre une prose châtiée cent fois, travaillée à l’excès  (« Qu’il est plus facile de tailler des strophes que d’établir de la prose ! Je ne m’en étais jamais douté ! », remarquera-t-il), gonflée de références, de digressions, de brusques décalages, d’anachronismes de langue — autant de procédés visant à dévergonder le récit, à en subvertir les conventions. « Saturée d’une ironie diffuse, chaque nouvelle s’apparente à un récit non‑fiable, où le texte se distancie régulièrement de lui-même. Dans la lignée de Jacques le Fataliste et de Tristram Shandy, mais aussi des Chants de Maldoror, un narrateur facétieux met sans arrêt à nu les codes, procédés et artifices de la narration fictionnelle ‘classique’ », relève Alissa Le Blanc, qui a consacré une thèse à l’utilisation du poncif chez Jules Laforgue.
Comme la plupart des écrivains du courant symboliste, Laforgue était à la recherche du nouveau, du singulier : « J’écris de petits poèmes de fantaisie, n’ayant qu’un but : faire de l’original à tout prix », confiait-t-il à sa sœur. La manière dont il s’est distingué dans la riche production littéraire de la fin du XIXe siècle tient pour une bonne part, comme le montre Alissa Le Blanc, « à l’usage critique et réflexif qu’il a su faire de matériaux à ses yeux éculés : il a osé les manipuler et les recycler, au lieu de tenter à tout prix de les éradiquer. »
Dans le corpus si tragiquement restreint des œuvres de Laforgue, les Moralités légendaires tiennent à cet égard une place éminente. « C’est de la littérature entièrement renouvelée et inattendue », estime Gourmont, « et qui déconcerte et qui donne la sensation curieuse (et surtout rare) qu’on n’a jamais rien lu de pareil. » Il y a des prosateurs plus souples que Jules Laforgue, des poètes plus touchants, des humoristes plus hilarants ; mais combien ont su comme lui s’affliger et se moquer, dans la même strophe, être si drôle et si triste à la fois ?
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rolexwhisky · 3 years
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