Tumgik
affairesasuivre · 3 months
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HMLTD - The End Is Now (The Worm, 2023)
Après Shame et Food For Worms, la seconde platée de lombrics de 2023 nous vient de HMLTD. Sur The Worm, leur nouveau concept-album, un vers géant menace d’engloutir la Grande-Bretagne. C’est sans compter Henry Spychalski et ses preux cosmopolites, revêtus de leurs plus belles côtes de mailles, qui s’en vont pourfendre la bête.
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affairesasuivre · 3 months
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Our Way to Fall · Yo La Tengo (And Then Nothing Turned Itself Inside-Out, 2000)
I remember a summer's day I remember walking up to you I remember my face turned red And I remember staring at my feet I remember before we met I remember sitting next to you And I remember pretending I wasn't looking
So we'll try and try Even if it lasts an hour With all our might We'll try and make it ours Cause we're on our way We're on our way to fall in love
I remember your old guitar I remember I Can't Explain I remember the way it looked around your neck And I remember the day it broke I remember song you sang I remember the way you looked tonight And I remember the way it made me feel
And we try and try Even if it lasts an hour With all our might We'll try and make it ours Because we're on our way We're on our way to fall in love
Yea we try and try Even if it lasts an hour With all our might We'll try and make it ours Because we're on our way We're on our way to fall in love Yeah we're on our way to fall in love We're on our way to fall in love We're on our way to fall in love
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affairesasuivre · 3 months
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Bulgarian Cartrader - Golden Rope
Bulgarian Cartrader (Bulgarie/Allemagne)
« Cette chanson a fait de moi un millionnaire du streaming, ça m’a permis de payer l’assurance de la voiture », balance en riant le moustachu Bulgarian Cartrader avant d’entamer son hit « Golden Rope« . Mais la discographie de ce musicien bulgare, installé aujourd’hui à Berlin, ne se limite pas à un seul morceau : c’est bien simple, l’entièreté de son set était composé de tubes. Des petites merveilles pop, feel-good, dévoilées entre deux blagues et autant de pas de danse. Ou comment allier avec une facilité déconcertante charme, humour et voix soul (c’est qu’il chante bien le bougre !).
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affairesasuivre · 3 months
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Anjimile - Mother
Anjimile: Long Live The King
The dignified indie folk experimentalist explores sonic textures through creative limitations.
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affairesasuivre · 3 months
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Mammal Hands - Gift from the Trees 
MAMMAL HANDS LA CHAPELLE-LES TRINITAIRES Metz, samedi 13 avril 2024.
Captivant, éthéré, majestueux, le trio britannique Mammal Hands a forgé un son bien particulier, pétri d’influences éclectiques. Formé en 2012 à Norwich, l’une des villes britanniques les plus isolées à l’Est, Mammal Hands a depuis le début pris la tangente par rapport aux tendances musicales. Passionnés aussi bien d’électronique que de contemporain, de folk, de jazz et de world, les trois musiciens puisent leurs influences chez Pharaoah Sanders, Gétachèw Mekurya, Terry Riley, Steve Reich ou encore Sirishkumar Manji. Envoûtant et charmeur sur ses albums, Mammal Hands saisit lors de ses concerts hypnotiques qui semblent toujours mener la formation toujours plus loin.En fondant leur approche sur de longues répétitions improvisées, les trois membres du groupe contribuent à parts égales au processus d’écriture, qui favorise une dynamique collective au-delà des individualités. Tarif : 17.00 – 17.00 euros. Début : 2024-04-13 à 20:30
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affairesasuivre · 3 months
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Killer Mike - YES!
Ooh la la ah oui oui, comme dirait un vieux hit bien à-propos. Killer Mike a mis sa plus belle veste pour aller checker le pasteur avant de se placer, à son tour, derrière le pupitre sacré pour poser sur une prod sacrément lourde, porté par un chœur gospel qui acquiesce. « Yes! » fait partie des trois morceaux exclusifs de la réédition de son dernier album solo, Michael.
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affairesasuivre · 3 months
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Hak Baker - DOOLALLY
Singer-songwriter Hak Baker: ‘The old guard is being priced out of London’
Time in prison helped the east Londoner reflect on his life. He’s now releasing a brilliant album that considers race, class solidarity – and the odd flirty, boozy night out
Jenessa Williams
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affairesasuivre · 5 months
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Hadsel / Beirut (Pompeii Records, 2023)
Hadsel est le premier nouvel album de Beirut depuis la sortie de Gallipoli en 2019 et le premier sur Pompeii Records, le propre label de Zach Condon. Enregistré sur l’île norvégienne de Hadsel peu après qu’une crise physique et mentale l’ait contraint à annuler sa tournée de 2019, Zach cherchait un endroit pour se rétablir après avoir été laissé dans un état de choc et de doute.
Travaillant dans l’isolement, Zach était perdu dans une transe, trébuchant aveuglément sur un effondrement mental mis de côté depuis son adolescence. C’est arrivé brusquement et ça l’a sonné. Il s’est retrouvé confronté à beaucoup de choses passées et présentes tandis que la beauté de la nature, les aurores boréales et les terribles tempêtes jouaient un spectacle impressionnant autour de lui. Les quelques heures de lumière révélaient la beauté insondable des montagnes et des fjords alors que les longs crépuscules le remplissaient d’une excitation méditative. Zach aime penser que ces paysages sont en quelque sorte présents dans la musique. La collection de chansons qui en résulte reflète magnifiquement cette vulnérabilité, ce sens de l’autodétermination et la conviction qu’après l’effondrement, on peut réapprendre à se débrouiller seul.
Hadsel
Arctic Forest
Baion
So Many Plans
 Melbu
Stokmarknes
Island Life
Spillhaugen
January 18th
Süddeutsches Ton-Bild
The Tern
Regulatory
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affairesasuivre · 5 months
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Future Islands Announce New Album, Share Video for New Song “The Tower”: Watch
People Who Aren’t There Anymore, the group’s first studio LP since 2020, is coming in January
Future Islands have announced their new album, People Who Aren’t There Anymore. It’s coming January 26 via 4AD. It features a number of recent singles, including “Deep in the Night,” “King of Sweden,” and “Peach.” Today, they’re back with “The Tower,” which has a new video directed by Jonathan van Tulleken, who worked with the band’s Samuel T. Herring on the Apple TV series The Changeling. Watch the video below.
“Anyone who’s seen Sam on stage shape shift with his whole body and voice from heart wrenchingly tender to fantastically ferocious knows that he is a truly, magnetic, performer,” van Tulleken said in a statement. “This was no small reason why he was cast for a role in The Changeling where he plays a complex character who appears to be one thing whilst actually another. It was a role that would be no easy task for even the most seasoned actor but Sam, applying all his stage craft, charisma, smarts and natural empathy, absolutely nailed it producing a riveting performance. I loved working with someone who came to acting via this persona they had built in their music.”
People Who Aren’t There Anymore follows Future Islands’ 2020 studio LP, As Long as You Are. Steve Wright co-produced the new album with the band, and he mixed it with Chris Coady, who produced Future Islands’ landmark 2014 album, Singles.
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affairesasuivre · 5 months
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2 D I C U V ·/ Tirzah (trip9love... ???, domino, 2023)
Mood : grand disque mais le batteur ne s’éclate pas.
Il ne doit pas y en avoir tant que ça, des artistes ayant sorti trois premiers disques vraiment réussis. Vite fait, peut-être Portishead ou les Strokes. Et encore, certains trouveront certainement à redire sur leurs deuxièmes disques. Souvent, le premier est le plus réussi, ou le deuxième déçoit ou alors ça se vautre sur le troisième en essayant de « tenter un truc ». J’ouvre d’ailleurs le débat, c’est le genre de défis qui cartonnent en ce moment sur twitter : « Citez un disque avec un chien sur la pochette », « Citez le meilleur album de votre mois de naissance ».
Avec le risque de me tromper, je pense que Tirzah a réussi son « hat-trick » seulement cinq ans après l’impeccable coup d’essai « Devotion ». Le deuxième « Colourgrade », enregistré durant sa grossesse, se voulait déjà plus dépouillé et expérimental, tout en s’éloignant du R’n’B/dubstep des débuts.
Toujours accompagnée de Mica Levi pour la partie instrumentale, l’Anglaise aime prendre des risques. Son troisième album au titre ressemblant à un SMS envoyé tout seul depuis sa poche de pantalon est un pari audacieux. Je ne m’en étais pas forcément rendu compte au départ mais la boucle rythmique – assez basique et breakée – est exactement la même tout au long des dix titres. Je n’ai pas en tête d’autres exemples dans ce cas. La première écoute est d’ailleurs assez rebutante et donne l’impression d’écouter toujours la même chanson. Pourtant, et à la manière d’un riddim jamaïcain, ce sont quelques notes de pianos ou de guitares inversées ou ralenties, qui permettent à l’ensemble de marcher. Et il y a surtout la voix d’ange de Tirzah qui survole et apporte à chaque fois une mélodie différente et son lot d’émotions et de mélancolie. A chaque fois renouvelée et toujours aussi inventive, sa musique reste donc parmi les plus passionnantes venues d’Angleterre. Emmanuel JEAN
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affairesasuivre · 5 months
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«Lovage», Timber Timbre
Six ans après le tendu Sincerely, Future Pollution, revoilà sur disque le groupe Timber Timbre, mené par le ténébreux Taylor Kirk. Le musicien, qui dit lui-même ne pas avoir le bonheur facile, est porté sur Lovage par un vent presque optimiste, musicalement du moins. Il délaisse une certaine approche électronique et enrobe plusieurs pièces de choeurs féminins à la Leonard Cohen. Original, non, efficace, très certainement. Par moments, on tombe sur du Timber Timbre pur jus, comme sur Sugar Land avec ses claviers fantomatiques et sa ligne de basse typique de la formation. Mais on sent ailleurs une brise nouvelle, comme cette approche très piano-bar sur Mystery Street et des sonorités de claviers presque enfantines sur Holy Motors. Ce n’est pas une révolution, mais Lovage permet à Kirk — et à ses nouveaux musiciens, dont le réalisateur Michael Dubue (The Sadies, Richard Reed Parry) — d’élargir le spectre du groupe. De belles retrouvailles.
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affairesasuivre · 5 months
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Think More About Me / Ntombi & Survival
Eleanor Ntombikayise Ndaba ou Ntombi Ndaba est une chanteuse sud-africaine de disco de la période « bubblegum » qui désigne la musique au groove spécifique enregistrée dans les années 80, alors que le pays est encore en plein Apartheid. Comme des millions d’autres sud-africains, elle endure la ségrégation dans un township de la région du Zuzuland.
Inspirée par Letta Mbulu – un autre grand groupe de la période – elle devient l’une des chanteuses les plus populaires du pays en 1985 en sortant son breakthrough hit « Think More About Me » avec son groupe Ntombi & Survival. En 1988, elle démarre une carrière solo et crée le label indépendant Anneko avec son producteur A.T. « Rubber » Khoza.
Ntombi Ndaba et Khoza ont produit certains des plus beaux morceaux de cette période tels que « Sweet Love » ou « Tomorrow », dont la plupart des disques originaux s’arrachent à prix d’or sur Discogs.
À la mort de Khoza en 1990, Ndaba arrête d’enregistrer et disparaît des radars. Ce n’est que bien plus tard que son nom refait surface, grâce au travail du digger DJ Okapi qui cherche absolument à la retrouver. En parallèle, la musique sud-africaine a été redécouverte par toute une génération de mélomanes et se voit (re)jouée dans les plus grands festivals par des artistes tels que Palms Trax ou Antal.
DJ Okapi parvient à retrouver Ndaba et la persuade de re-sortir sa musique, ce qui débouche sur la compilation splendide « Tomorrow » qui rassemble ses morceaux principaux, sortie en 2018 sur son label Afrosynth, avec le soutien de Rush Hour.
En ce 13 juillet, Ntombi Ndaba se produit à nouveau sur scène au Sucre, avec le live-band de Esa, après 30 ans d’absence… inutile donc de dire que cette date est immanquable.
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affairesasuivre · 5 months
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DIAMOND MINE / KING CREOSOTE & JON HOPKINS (Domino, 2011)
King Creosote and Jon Hopkins are immensely well-respected artists in their own right. Diamond Mine is not simply a collaboration from two Domino and Double Six artists, however, but also very much a labour of love. It is the "soundtrack to a romanticised version of a life lived in a Scottish coastal village".
First Watch
2 John Taylor's Month Away
3 Bats In The Attic
4 Running On Fumes
1 Bubble
2 Your Own Spell
3 Your Young Voice
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affairesasuivre · 5 months
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Everything Is Alive / Slowdive (Dead Oceans, 2023)
Le cinquième album des géants du shoegaze Slowdive contient une dualité, un langage familier se mêlant à l’exaltation de nouveaux débuts. everything is alive rayonne et nous transporte, il est le fruit du travail d’un groupe classique qui continue de projeter sa voix inimitable vers l’avenir. Il est dédié à la mère de Rachel Goswell et au père de Simon Scott, tous deux décédés en 2020. Ces bouleversements se reflètent dans la tonalité émotionnelle de la musique de Slowdive ; chaque note est posée, réfléchie et résolument porteuse d’espoir. 
Le nouvel enregistrement a commencé avec Neil Halstead dans le rôle de compositeur et de producteur, travaillant sur des démos chez lui. Expérimentant avec des synthétiseurs modulaires, il a initialement conçu everything is alive comme un enregistrement électronique plus minimaliste. La prise de décision collective de Slowdive a finalement ramené le groupe vers leurs guitares saturées de réverbération, mais ce premier concept s’est infiltré dans les compositions. Un processus d’enregistrement de plusieurs années a commencé à l’automne 2020 au Courtyard Studio, où ils ont historiquement enregistré, puis ils se sont installés à Oxfordshire, dans les Wolds de Lincolnshire, et sont retournés dans le propre studio de Neil en Cornouailles. Début 2022, le groupe a fait appel à Shawn Everett (The War On Drugs, Alvvays, SZA) pour mixer six des huit pistes de l’album. everything is alive est exactement ce que son titre suggère : une exploration de la nature chatoyante de la vie et des points de contact universels qui s’y trouvent. En passant par des paysages sonores psychédéliques, des éléments électroniques très 80’s et des sonorités inspirées par John Cale, l’album se présente immédiatement comme une oeuvre taillée pour le futur.
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affairesasuivre · 9 months
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BIG THIEF RÉAPPARAIT AVEC UN NOUVEAU SINGLE, ‘VAMPIRE EMPIRE’
Au printemps dernier, Big Thief réapparaissait sur le plateau télévisé de Stephen Colbert avec l’inédit Vampire Empire. Le groupe l’a désormais immortalisé en studio, plus précisément en Espagne au fil d’une tournée européenne, pour lui offrir une sortie officielle avant qu’il atterrisse au tracklisting d’un nouveau 45t attendu le 20 octobre. Adrianne Lenker s’explique au sujet de ce nouveau titre : ‘Pour moi, il s’agit de sortir des schémas internes toxiques, d’apprendre ce que sont les limites saines et de trouver le pouvoir de les mettre en oeuvre pour avoir la possibilité de donner et de recevoir un Amour ininterrompu et infini‘. En écoute ci-dessous.
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affairesasuivre · 9 months
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Big Thief’s Buck Meek Announces New Album Haunted Mountain, Shares Video for New Song: Watch
Buck Meek, the singer-songwriter who plays guitar in Big Thief, has announced his new album. The follow-up to 2021’s Two Saviors is called Haunted Mountain, and it’s out August 25 via his new label home, 4AD. The title track was co-written with Jolie Holland, who co-wrote five of the album’s 11 songs. Watch its new Riley Engemoen–directed video below.
Meek is joined on the album by guitarist Adam Brisbin, drummer Austin Vaughn, pedal steel player Mat Davidson, bassist Ken Woodward, and Meek’s brother, Dylan Meek, who plays piano and synthesizers. The album was produced by Davidson and recorded and mixed by Adrian Olsen. “The music here is an expression of a group,” Davidson said in a statement. “I asked for the job because I felt strongly that we shouldn’t bring in someone from outside the band. Otherwise, the only personal desire I had was that we be able to explore space, that we let the music open up and slow down in contrast to previous records—not in terms of tempo but rather overall movement, information between the beats.”
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affairesasuivre · 9 months
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Lauren Duffus’ music is a lesson in exploding gracefully
Lauren attributes her musical inspiration to two principal sources: American trio Salem, and her old Yamaha keyboard’s classical build-ins.
Listening to her productions, it’s clear that the uncanniness of these inspirations is right on brand. Tangible are the bad-dream atmospherics, chopped ‘n’ screwed beats and irreverent tone which paint the witch house genre (grey); as well as the cinematic drill instrumentals typified by Chicago rapper, Chief Keef. But far from the codeine’d quality of Salem’s quasi-noise productions, the antagonism in Duffus’ music is often appeased with blithe glimmers, sometimes even choral singing. Her music’s equal proclivity for both caustic indignation and moments of tenderness justify previous comparisons to the likes of aya and Loraine James, both of which extend to her fusion of prismatic club beats and soft melodics.
‘From a very young age I was always drawn to sad or scary music’, Lauren reflects. ‘I remember loving the soundtrack for the fairytale, Peter and the Wolf. I love all genres though from black metal to pop but I will almost always only enjoy the songs that have a moving element. That’s why I love Chief Keef, his instrumentals almost always feel really sad to me’.
For Lauren, making music is a form of therapy, and satisfaction only comes with a production process informed by hardship. Her self-proclaimed inflexibility when it comes to making music solely informed by her own selfish inclinations doesn’t stop her hoping that people will share in the emotion she pours into its creation. Nonetheless, she finds less comfort in doing so herself. ‘After making something and putting it out I very rarely listen to it. Either I really don’t enjoy it and it tends to upset me’.
Pain is palpable in Duffus’ music. After boredom led her to download a free trial of Logic in the height of 2020’s lockdown, tracks quietly began to surface on her Soundcloud page, such as ‘Stir Fry’ which would later resemble one third of her debut EP ‘SULK’. The snideness of SULK’s title matches its tone. Unequivocal though it may be – this is an expression of pain – it is resolutely not an attempt at self-indulgence. Despite its melancholy (‘Soho Road’ is subtitled ‘Crying Song’ and is mainly composed of gut-wrenching sobs), Lauren’s music almost seems to laugh at itself, deftly conveying the coexistence of both devastation and self deprecation in depressive episodes.
Whilst Stir Fry’s choral singing, chipmunk vocals and dancehall-indebted rhythms bare stark resemblance to Sinjin Hawke’s symphonic ‘First Opus’ LP, the self-released ‘Anxiety‘ is distinctly cold, with brittle percussion and a playtime 173 seconds, as if not meriting anything more.
‘I’m still on the journey of learning how to deal with my emotions in a way that’s not destructive’, she responds when I ask about the description written underneath her AD 93 release ‘Dubplate 07’. ‘Exploding gracefully just means pouring that energy outwards as opposed to bottling it up and destroying myself’.
She admits the difficulty she’s found in compromising her own release schedules in favour of working with labels. ‘I want to share as soon as I finish a skeleton of a song because there’s so much pent up energy Ive just put into it and I feel like it’s squirming in my laptop needing to be let out’.
Lauren also struggles with attempts to categorise her music, admitting she sometimes gives into labelling tracks such as ‘Permanence‘ as ‘ambient’ given their pulselessness, despite the term not resonating fully. Her dual inspiration of both drill and classical music reaches its most prominent form on her third most listened-to SoundCloud upload: a monasterial remix of ‘Inner City Pressure’ – the experimental grime track by London producer, Cold.
When I asked whether she detected a sense of place in her own music – whether she considered London to be its natural home – she reflected that, despite the dancehall sounds she grew up surrounded by, that actually ‘the fact that I exclusively create in my childhood home which holds a lot of painful memories is more of a factor than the city I’m in. I can be a bit crap socially so I really don’t feel like any immediate community influences my sound’.
When we discuss her fusion of hard-hitting, industrial electronics with ornate choral arrangements, she meditates on classical music’s liberating tendencies. ‘It inspires me to not be rigid and have no rules – that probably sounds stupid because its seen as such a rigid, traditional genre filled with rules – but I like the constant tempo changes, the expression, and the movement within the songs that tell a story. It’s so fluid. I enjoy challenging myself to turn off the metronome and just play stuff expressively’.
Lauren’s penchant for story-telling translates into a desire to take up film scoring, so much so that she recently partook in an online course. ‘I just love the freedom it gives you in terms of structure and the challenge of not sticking to a tempo or traditional structure’, she tells me. ‘It was so much fun writing music with a visual prompt and hit points etc it was the most creative I’ve felt’.
Having only been producing for a matter of months when she created ‘Stir Fry’ – now her most notable release – it’s clear that world-building is something innate in Lauren’s musical inclination. It’s rare to find an artist whose music engulfs you in such a way as hers, and warrants comparisons to the enchanting immersion of Björk or the cinematic allure of Enya. At once appearing to bare all yet be fiercely guarded, it’s a deeply complex treatise on life’s hard times.
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