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Séance 14 – De diversité à controverse

La diversité des médias passe par la représentation. Voir des gens qui nous ressemblent dans les médias, fait souvent preuve de validation. Par exemple, une femme ronde se sentira validée si elle voit des femmes rondes sur Instagram par exemple (Caro, 2024).

Les médias doivent travailler ensemble pour offrir une diversité, mais aussi une meilleure qualité d’informations. Offrir plusieurs contenus différents avec plusieurs opinions pour avoir un journalisme proche de la réalité. Plusieurs diversités ne se retrouvent pas dans les médias (Caro, 2024).

Selon Statistique Canada, c’est « 85 % des 15-34 ans qui s’informent majoritairement sur les réseaux sociaux. Les réseaux semblent accomplir ce que les médias peinent à faire : permettre à chacun de s’identifier dans les images consommées » (Caro, 2024)

Lorsqu’on parle d’un problème de diversité et d’inégalités. C’est le média social X anciennement Twitter qui me vient en tête.

Lorsque le nouveau Twitter est sorti, le média a pris beaucoup de temps à accepter l’accès aux autres médias sociaux. Sommairement, les utilisateurs de X ne pouvaient pas se promener de plateformes en plateformes dues à un long ralentissement. C’est seulement que quelques jours plus tard que ce retard fut éliminé (Associated Press, 2023).

« Bien que nous ne connaissions pas le raisonnement qui sous-tend l'application de ce délai, nous nous préoccupons de cette pression ciblée exercée sur un organe de presse pour des raisons obscures. » mentionne un porte-parole du New York Times (Associated Press, 2023).

Pour ce qui est des médias sociaux de Meta, il n’y a eu aucun commentaire de cette requête (Associated Press, 2023).

Elon Musk, le nouveau propriétaire de X (Twitter) n’est pas à sa première controverse avec les médias. Sachant que Twitter a déjà empêché de publier des liens venant d’autres applications. Il est étrange que cela arrive, maintenant que l’application appartient à un homme polarisant comme le milliardaire (Associated Press, 2023).

(2024). Photo de Sam Hodgson, archives du New York Times. La Presse

#twitter #diversity #inclusion

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Séance 13 - Pas fort, Guillaume

Guillaume Lemay-Thivierge est l’artiste le plus polarisant dans le monde des médias. Récemment, il a fait une vidéo en nature où il se promenait et il décida de faire une blague douteuse en s’accotant sur un arbre qui contenait le mot en « N » (Pilote-Côté, 2024).

C’est le lendemain de l’événement, à la suite d’une pluie de commentaires négatifs, qu’il a fait une autre vidéo pour s’expliquer à ses abonnées disant qu’il n’avait jamais vu le mot sur l’arbre (Pilote-Côté, 2024).

Personnellement, je trouve cela très déplacé de la part de Guillaume Lemay-Thivierge. Il ne peut pas faire à croire que cela a été filmé par accident, surtout avec un mot qui porte une grande histoire. Non seulement, on voit le mot en « N », mais en plus, il décide de faire une blague avant. Ce n’est pas la première fois qu’il fait parler de lui pour les mauvaises raisons. Il aurait dû faire attention à quoi il partage en tant que personnalité publique (Pilote-Côté, 2024).

Emily Bégin et Théodore Lemay-Thivierge se retrouvaient dans la distribution de la comédie musicale Le Matou qui devait se retrouver sur les planches cet été. C’est après la polémique de l’arbre et le mot en « N », qu’ils ont décidé de se retirer (Picard, 2024).

Selon l’Agence QMI, cela serait dû à un conflit d’horaire de la part d’Emily Bégin tandis que pour Théodore il n’a que laisser son rôle. Émily Bégin aurait appelé Joël Legendre le 14 mars, la même journée de la vidéo de Guillaume Lemay-Thivierge. Cette vidéo lui a couté son poste d’animateur de l’émission chanteurs masqués. Il y aura donc un nouveau « casting » (Picard, 2024).

Malgré plusieurs explications, on peut comprendre que le désistement et le vidéo de Guillaume n’ont aucun lien (Picard, 2024). Cependant, il est étrange que tout arrive en même temps. La production de Chanteurs masqués a bien fait de renvoyer Guillaume, puisque l’émission n’aurait pas eu bonne presse à la suite de ses incidents.

(2024). Capture d'écran tirée du compte Instagram de Guillaume Lemay-Thivierge. Journal de Québec.

#médias sociaux #controverse

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Séance 12 - Médias sociaux ou cigarette

Il y a quelques années, le mot « dépendance » était lié aux cigarettes et à l’alcool, maintenant, c’est aux réseaux sociaux.

Près de 86% des jeunes âgés entre 9 et 11 ans ont des comptes sur les médias sociaux qui ceux-ci sont dit réservé au plus de 13 ans (Latraverse, 2024).

Instagram et Snapchat sont les médias sociaux les plus utilisés chez les jeunes. Instagram qui était auparavant pour parler avec ses amis et partagé des photos, permet maintenant à des inconnus de discuter avec des mineurs. Snapchat permet de partager des messages secrets, et même des photos osés (Latraverse, 2024).

Quels seront les effets sur les jeunes ? Décrochage scolaire et un mauvais développement du cerveau en lien avec le mal-être (Latraverse, 2024).

Les médias sociaux sont rendus plus néfaste qu’une simple cigarette. Le plus alarmant, c’est que les réseaux sociaux connaissent les risques et les effets qu’on leur plateforme. Le gouvernement et les parents se retrouvent démunis devant cette situation (Latraverse, 2024).  

En Ontario, les grands conseils scolaires annoncent qu’ils poursuivent Meta, Snap et TikTok. Ils estiment des dommages et intérêt sur la perturbation de l’apprentissage et élèves dans le système éducatif (Gagnon, 2024).

Ces entreprises créent des stratégies de dépendances chez les utilisateurs dans le but de se faire le plus d’argent possible. Donc, Meta, Snap et TikTok créent des dépendances chez les jeunes dans le but de se faire le plus d’argent possible (Gagnon, 2024).

Une nouvelle loi fut accordée, il y a quelque temps, les jeunes de moins de 14 ans ne peuvent pas posséder de compte sur les réseaux. Cependant, cela ne les empêche pas de se faire des comptes disant qu’ils ont 15 ans par exemple (Gagnon, 2024)

Selon moi, c’est quelque chose qu’il fallait prévoir. La nouvelle génération a grandi avec la technologie, alors c’est normal pour eux d’être sur les réseaux sociaux à un jeune âge. Cependant, cela créer oui une dépendance, mais aussi des problèmes de santé mentale comme l’anxiété et des problèmes liés à l’image corporelle.

Archives Steven Leblanc. Journal de Québec.

#médias sociaux #dépendance

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Séance 10 - Un algorithme dangereuse

Il y a environ une semaine, une loi fut adoptée par la Chambre américaine dans le but de contraindre les créateurs de l’application. Pékin ne veut pas arriver à ce tel point puisque l’algorithme de la plateforme amène beaucoup d’engouement (Nauman et Lin, 2024).

En gros, les politiciens américains s’inquiètent des données des utilisateurs de leur pays. Les autorités chinoises auraient accès à des données d’utilisateurs venant d’ailleurs, ce qui pourrait mener à de la propagande (Nauman et Lin, 2024).

Les données personnelles ne sont qu’un minime problème, le plus contraignant est que l’algorithme de l’application donne des recommandations pour les utilisateurs. C’est cet algorithme qui caractérise l’application Tiktok, le fait de voir des courts vidéos que nous voulons voir en fonction de ce que nous « swipons ».  Tiktok a réussi à obtenir un milliard d’utilisateurs grâce à celle-ci (Nauman et Lin, 2024).

James Andrew Lewis explique que : « L’algorithme est « précieux car TikTok est addictif. Les gens passent plus de temps sur TikTok que sur d’autres réseaux sociaux » (Nauman et Lin, 2024).

Donald Trump avait déjà tenté d’interdire Tiktok lors de son mandat et cela menait au même problème celui de l’algorithme (Nauman et Lin, 2024).

Le gouvernement chinois a élaboré des technologies qui protègent les algorithmes et les recommandations des utilisateurs.  Le PDG de TikTok, Shou Zi Chew assure que son application ne sera pas manipulée par aucun gouvernement.  Cependant, les gestionnaires de l’application n’ont pas pu répondre aux questions de l’AFP ainsi que les informations du Wall Street Journal à propos de leur algorithme (Nauman et Lin, 2024).

Le gros problème, c’est que si les autorités ont accès à nos recommandations et algorithmes. Il sera plus simple pour eux d’obtenir des informations sur nous et nos données d’écoute. Cela devient très simple pour les grandes organisations, ils n’ont qu’à prendre nos habitudes pour nous vendre leurs produits ou même leurs idées qui peuvent mener à de la propagande.

«Tiktok». Image Bing.

#médias sociaux #tiktok #politique

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Séance 9 - Les funérailles du papier

Le journal Le Soleil sera désormais seulement en ligne, c’est la fin de l’édition papier. Le dernier numéro sera publié en 2023 et il sera pour une dernière fois dans les magasins (Chouinard, 2023).

Le dernier et non le moindre sera un numéro de 96 pages et il y aura plus de 40 000 exemplaires. René Dufresne mentionne : « Si vous en manquez, appelez-nous au journal, on va vous en faire un ». C’est un moment important pour le directeur de production, ce sera son dernier numéro papier après avoir passé 44 ans à produire Le Soleil papier (Chouinard, 2023).

Les journalistes du journal préparent ce numéro depuis plusieurs mois déjà. Tous les employés se mettent au travail pour offrir un dernier numéro plus que parfait (Chouinard, 2023).

Ce n’est pas une surprise pour les artisans des journaux locaux. La Coops de l’information avait déjà fait l’annonce en mars. Le Droit, Le Quotidien, La Voix de l’Est, La Tribune et Le Nouvelliste ainsi que Le Soleil se retrouveront seulement sur le web. La Presse a cessé son édition papier en 2017 tandis que le Journal de Montréal et le Journal de Québec n’impriment plus leur numéro du dimanche (Chouinard, 2023).

La fin de l’imprimé et le tournant vers le numérique amène bien évidemment à des retraites chez les journaux. René Dufresne fait partie de ceux qui quitteront Le Soleil à la suite de la dernière parution. François Bourque, un chroniqueur, quittera aussi le navire. Cela veut dire que sa dernière chronique se retrouvera dans le dernier numéro papier (Chouinard, 2023).

Avec plus de 46 000 jours de publications et 127 ans d’imprimé, le quotidien sera entièrement sur le web. Il y a aura un site web ainsi qu’une application mobile Le Soleil (Chouinard, 2023).

Le Soleil imprimé c’est plus de 400 personnes, 105 à 110 000 copies (Chouinard, 2023).

L’information restera la même, ce n’est pas parce qu’il y a un changement numérique que l’information en fait pour autant. Les journalistes s’adaptent de jour en jour à l’édition web (Chouinard, 2023).

C’est une grosse étape pour un journal papier de se tourner entièrement sur le web. Je ne viens pas de Québec, donc je n’ai jamais lu le journal. Je trouve cela nostalgique quand même et je comprends que c’est une grande étape pour les artisans. Mon père lit encore le Journal de Montréal papier c’est son plaisir coupable, je ne sais pas ce qu’il va faire lorsque lui aussi se retrouvera sur le web.

Pour consulter Le Soleil, cliquez ici.

« Logo Le Soleil ». Journal Le Soleil.

#journal #médias #papier #Le Soleil

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Séance 8 - Quand les américains rentrent dans nos foyers

C’est avec des budgets réduits, des scénaristes américains en grève et une forte demande de contenu que la télévision péri. Cependant, le monde du contenu sur les tablettes, les ordinateurs et les téléphones se portent très bien (Prévost, 2023).

47% des gens se dirigent vers des services de diffusion en ligne. C’est Netflix, Amazon Prime et Disney + qui ont la cote. 68% de ces gens payent pour regarder la télévision en ligne. Pendant ce temps, le pourcentage des gens qui regardent le câble est en diminution. La pandémie et les séries originales américaines sont bien sûr des conséquences de cette baisse (Prévost, 2023).  Les gens n’arrêtent pas de regarder la télé, mais ils l’écoutent autrement!

Plusieurs compagnies ont voulu faire comme Netflix en 2013, cependant ces chaînes se sont tirées dans le pied. Elles se retrouvent maintenant avec plusieurs pertes de revenus (Prévost, 2023).

Des séries diffusées sur Netflix peuvent faire jusqu’à 300 millions de dollars américains avec deux saisons. Imaginez leur chiffre d’affaires avec le nombre immense de séries qu’ils ont. Les grandes entreprises se sont vite rendu compte qu’ils ne pouvaient pas investir massivement dans la production de nouveaux contenus (Prévost, 2023).

Il y a du mieux qui s’en vient. Les plateformes comme Netflix et Disney + prennent du recul et les plateformes Bell et Crave avancent (Prévost, 2023).

Les studios tournent une série après l’autre pour satisfaire les diffuseurs, mais c’est l’équipe derrière la caméra qui subit cette baisse monétaire (Prévost, 2023).

Je ne suis pas la mieux placée puisque je suis une grande fervente des diffuseurs en ligne. J’ai beaucoup d’applications pour regarder la télévision en ligne. Je me tourne vers des diffuseurs québécois pour quelques épisodes seulement. J’aimerais continuer d’écouter des séries d’ici, mais elles ne sont pas comparables aux diffuseurs comme Netflix et Amazon Prime. Allons nous un jour perdre nos diffuseurs québécois et nous retrouver avec des diffuseurs américains ?

«Télévision Netflix». Google Image.

#television #netflix #disney #médias

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Séance 7 – La médecine et la musique font mauvais ménage

Il y a quelque temps, un médecin Dr Barrière fut au centre d’une controverse avec un rappeur populaire. Vous vous demandez sûrement sur quel sujet puisque la médecine et la musique font un drôle de mélange. Eh bien, c’était sur la désinformation médicale (Hachey, 2024)!

Le rappeur Booba a partagé à ses 6,3 millions d’abonnées une vidéo où un homme expliquait y avoir un lien entre les vaccins contre la COVID-19 et une maladie nommée Creutzfeldt-Jakob ou la vache folle. Le médecin s’est alors senti interpellé lorsqu’il a vu ce vidéo. Il a expliqué au rappeur et à ses abonnés que cette affirmation était tout sauf véridique. Le rappeur a ensuite répondu avec des insultes envers le professionnel (Hachey, 2024).

Dr Barrière n’est pas à son premier commentaire sur les médias sociaux et il n’est pas à sa première insulte non plus. Depuis la pandémie, il y a une explosion de Fake news sur les médias sociaux. L’affaire Booba et Dr Barrière s’est terminée avec un texte publié dans l’Express. Jérôme Barrière et ses collègues ont publié un article sur la désinformation en santé. Les experts craignent de parler puisqu’ils redoutent les représailles. La population préfère croire les médias sociaux que les professionnels (Hachey, 2024).

Dû à la désinformation des dernières années, plusieurs refusent les vaccins ainsi que les traitements par peur. En France, deux frères sont décédés à la suite du refus de la vaccination. Au Québec, c’est Bernard Lachange qui est mort de la désinformation. Il a refusé ses soins pour le sida, car les médias annonçaient que cette maladie n’existait pas. Il est malheureusement décédé (Hachey, 2024).

Dérives est un balado animé sur par le pharmacien Olivier Bernard, dans sa troisième saison, il décide de se pencher sur le monde de la science et des médicaments. Il se penche notamment sur l’affaire Lachance très médiatisée en lien avec la désinformation (Hachey, 2024).

Lorsque je vois une information scientifique, je cherche jusqu’à trois liens pertinents pour prouver cette nouvelle. Je trouve que c’est encore plus pertinent de le faire, depuis que j’étudie en communication. Je trouve cela ridicule de voir des rappeurs ou des célébrités qui remettent en question la science et la santé. C’est encore plus fascinant de voir que des gens les croient eux, avant les professionnels. Parfois je demande, où va le monde.

"désinformation médicale". Microsoft Bing

#désinformations #santé #médicale

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Séance 6 - Les médias sociaux, un couteau à double tranchant

De nos jours, ce n’est pas mêlant, tout le monde se retrouve sur les réseaux sociaux. Il est possible de trouver n’importe qui en ligne à l’aide de quelques clics.  Même des jeunes de 12 ans se retrouvent sur les réseaux sociaux à partager des photos d’eux. Ce qui vient à se demander si les gens partagent trop sur les réseaux sociaux.

« Les gens sont sur les médias sociaux pour être rassurés avec l’opinion du public. Certains ont des troubles de dépendance liés aux réseaux sociaux.  Ils passent leur temps libre à faire des publications et à se comparer » ce que mentionne Magalie Dufour, professeure agrégée au département de psychologie de l’UQAM ainsi que chercheuse universitaire sur les dépendances en discussion avec la journaliste Valérie Lebeuf (Lebeuf, 2024).

Pour ceux qui ont très peu de vie sociale, les médias sociaux sont une échappatoire et mènent à discuter en ligne avec des gens (Lebeuf, 2024).

Les réseaux sociaux et leur côté sombre

Un compte sur l’application Tiktok a fait beaucoup réagir dans les derniers mois, il utilisait l’intelligence artificielle pour redonner vie à des morts seulement à l’aide d’une image trouvée en ligne. Ce profil utilise une technologie d’hypertrucage qui se spécialise dans le Deepfake (Agence QMI, 2023).

Récemment, ce compte a utilisé des images de la jeune Cédrika Provencher, une petite fille disparue. Le public a vite réagi puisque la petite fille raconte son histoire et parle au « Je ». La voix et le visage ressemblent exactement à la victime. Ce n’est pas le seul compte qui fait ce genre de vidéo. Il est maintenant possible de prendre n’importe quel visage trouvé sur les réseaux sociaux et ensuite utiliser l’intelligence artificielle pour en faire ce que vous voulez (Agence QMI, 2023).

Dans une école de Winnipeg, des adolescentes ont été aussi touchées par l’intelligence artificielle. Des photos explicites ont été partagées avec leur visage. 17 photos de mineures ont été utilisées pour créer des contenus pornographiques (Presse canadienne, 2024).

Non seulement la technologie peut faire des vidéos avec des morts, mais elle peut aussi faire du contenu pornographique avec n’importe qui. Les jeunes se retrouvent de plus en plus sur les réseaux sociaux et cela devient encore plus accessible pour les hypertruceurs. Plusieurs lois et législateurs ont été adoptés pour tenter de freiner ce fléau. Les profils peuvent recevoir une amende entre 500$ et 5000$ s’ils ne suivent pas les lois et le consentement (Presse canadienne, 2024).

Image : "Hypertrucage jeunes" Bing.

#intelligence artificielle #médias sociaux