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#Ah Bon Atelier
cnladies · 3 months
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MAO XIAOTONG 毛晓彤 in a Ah Bon Atelier S/S 2024 | 2024 Spring Festival — CCTV Special Program
Mao Xiaotong: more photos here 2024 Spring Festival Gala: more photos here
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leseffrontesfr · 8 months
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— Alphonse, cher maître, puis-je vous importuner dans votre travail ? — Mais entrez-donc, mon ami. Vous êtes venu accompagné ? — Point du tout ! C’est par coïncidence que Mademoiselle se présente à votre porte au moment où j’y frappe. — Monsieur Fauré, je dois vous parler ! — Vous êtes ? — Séraphine Lampion. Avez-vous une bouilloire ? — En effet, elle se trouve sur le poêle. J’en suis pleinement satisfait. Inutile de m’en vendre une nouvelle. — Je vais faire du thé. — Et bien faites. Et vous, mon cher Hypolite, quel bon vent vous amène ? — Une brise toute joyeuse ! J’ai été chargé par la Société des Artistes Méridionaux de la rédaction du catalogue de la prochaine exposition. La curiosité et une impatience toute enfantine m’ont portées jusqu’à votre atelier pour connaître les œuvres dont vous voudrez bien nous honorer. — Voilà une fort bonne nouvelle ! Je mets justement la dernière touche à… — Où rangez-vous les tasses ? — Dans la petite armoire chinoise, Mademoiselle. Près de la fenêtre. — Ah ? Quelle drôle d’idée. Vous n’avez que du thé noir ? — Oui, je m’en excuse. Je vous disais, mon cher Hypolite, que je mets la dernière touche à un magnifique bouquet de violettes qui fera oublier mes mimosas de l’exposition précédente. — Comment serait-ce possible ? Vos mimosas étaient si beaux qu’on croyait en sentir le parfum ! — C’est l’excellent indigo de chez Viollet-Roze qui m’a inspiré une toute nouvelle combinaison de nuances. Un ange a dû guider ma main pour me faire accomplir ce prodige chromatique ! — Je me réjouis d’avance de le contempler… Mais… Mais… Mademoiselle ? Votre robe tombe il me semble… — Vous n’avez pas de sucre non plus ? Pas de miel ? Il va être raide mon thé. — Ma parole vous voilà dénudée ! Perdez-vous toute pudeur ? — La pudeur ! Dans un atelier de peintre où défilent les modèles tirés du caniveau entrent deux séances de passe ! Que les hommes sont hypocrites ! — Je ne peins que des fleurs, des paysages et quelques fois des visages. Je le jure ! Dites-lui, Hypolite. — Jamais Alphonse ne s’est adonné à la peinture licencieuse, Mademoiselle, pas même au genre mythologique ou allégorique. Votre reproche est infondé. — Les hommes sont tous les mêmes. C’est pour cela que vous avez besoin de moi, Alphonse. Ce n’est pas en peignant des coquelicots dans un champs ou des nymphéas sur une mare que vous deviendrez célèbre. — Je suis sûr que mes violettes toulousaines marqueront tous les amoureux des fleurs et du Bel Art ! — Et pourquoi pas des tournesols fanés dans un vase en terre cuite, tant que vous y êtes ? Non, Alphonse, si vous voulez passer à la postérité, il vous faut peindre un nu. Voici mon nu, peignez-le. — Je… je ne sais que dire, Mademoiselle Séraphine. C’est un très beau nu. Votre offre est généreuse, mais je ne puis. Ce n’est pas moi, ce n’est pas mon art. D’autres peintres savent mieux que moi peindre ce genre de… ce genre là. — Je n’offre pas, je vous commande. Regardez ça… Et ça… Ah, vous regardez, cochon ! Alors peignez. Faites-moi belle et désirable, qu’on ne parle que de moi sur le Capitole. — Hypolite, que dois-je faire ? Est-elle folle ? — Je ne crois pas. Un peu plus impudente que les femmes de son temps, mais guère plus que les romaines des antiques orgies. Qui sait ? Un jour, sûrement, chaque jeune femme voudra que sa photographie soit exposée au monde entier. Dans quelle tenue ? Je n’ose l’imaginer. Il faut prendre en pitié les hommes des temps futurs, s’ils aiment encore les fleurs. Peignez-donc la scène, puisque Mademoiselle vous le demande. Quelle jolie vision que le tourbillon du thé…
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6.3 Transcriduction
This translation is inspired by Charles Bernstein’s contribution to Chain 10, which used a source text culled from an email from his Chinese translator, and translated that into multiple languages. It is also of course inspired by the final procedure in Mónica de la Torre’s Repetition Nineteen which translates a conversation by group of translators collectively translating de la Torre’s Equivalencies/Equivalencias into Russian. Outranspo is also currently preparing a transcsritranslation of their translation of the Chinese poem “Lion-Eating Poet in the Stone Den” (pp.)
Materials.
• A text for translation, ideally something that will inspire conversation.
• A transcription surface (pen and paper or computer); alternatively the conversation can be recorded and transcribed later, but there is also something interesting about what the transcriber hears and is able to translate. 
Players.
• Translators, at least two.
• A transcriber, at least one. 
Steps
• Translators translate, talking through their choices, doubts, hesitations etc. as they go.
• The transcriber transcribes what they hear
• The group collectively rereads the transcription, potentially editing.  
Examples
This example is taken from a workshop I lead in 2020 with the participants in the Diplôme Universitaire pour les animateur.ice.s des aterliers d’écriture creative, a University certificate program at the Université Paul Valéry Montpellier 3 that trains creative writing workshop guides. 
Traduire « Equivalencies/Equivalencias » de Monica de la Torre
Atelier de traduction créative du 30 septembre, 2020 
dans le cadre du DU d’animateur.ice.s d’ateliers d’écriture créative
Est-ce qu’il y a quelqu’un qui arrive à lire ça
One silence flare 
Flare c’est quoi
J’ai pas compris
On lit les deux phrases 
Qu’est-ce que ça veux dire flare
C’est le nez
Ça c’est une traduction créative
C’est l’intuition
C’est appeler 
On va regarder sur internet
Mais c’est féminin
C’est féminin un flare
Il y a des mots qui sont féminins en espagnol et en français
Une fusée ils disent
Attend je vais vérifier
Tu as regardé sur DeepL ?
Non sur Google Translate
C’est peut-être un appel
Un appel ?
Ben voilà
On n’est pas obligé de traduire
Un appel un silence
Une fusée une éclatée
J’ai pas envie de traduire
Est-ce que le but c’est de traduire de façon créative
Je mets juste hakuna matata
Je vais prendre les notes là
T’es sur Deep Lie ?
Qui c’est qui sait ce que veux dire un flare
J’ai un truc avec le cancer
C’est un quoi un sin
C’est un vice
Un vice de café c’est bizarre
Je comprends rien
Un un silence 
C’est 
Un sin of coffee
A sip c’est une gorgée de café
Avant qu’il soit amer
Avant que ce soit amer
Une gorgée de café avant qu’il soit froid
ou amer
enfin caféine
La flare je trouve une poussée
Moi je veux pas traduire
Je veux pas faire ça
Un silence une lueur
Ah bon
Si Google arrive pas j’arrive pas
La réaction de llamarada en parenthèses flare
Quand tu traduis en français c’est une poussée
Se manifeste par tumorale
Il faut voir le sens qui se recouvre avec l’espagnol
Burning light
Attract attention in an emergency
Bright burning light 
Une fusée éclairante. Ou bien une flambée 
Une fusée
On continue à traduire la suite et on choisira 
Mais ça fait vachement longue
avant l’amertume
Un soupçon peut-être
Toute la question c’est est-ce qu’on est créatif ou est-ce qu’on est fidèle
On peut dire c’est un trou
Un trou c’est rigolo
Un espace dans un trou
Un gouffre
Faut trouver un autre mot à part trou 
J’aime bien trou
Translate
Un truc dans un machin 
Un trou dans un trou 
Une lacune dans un trou
C’est bien un trou dans un trou
Oui mais ça appauvri par rapport à l’original
C’est pas sûr
C’est prétentieux
Et en espagnol
Un espace un écart
C’est vraiment un espace
Ça fait plus un espace dans un trou
DeepL il dit une lacune dans un trou
Une lacune
Ça peut être un manque 
Oui ça peut être un manque 
On met quoi
Mais on met tous collectivement quelque chose
Un manque dans un trou je préfère parce qu’il y a deux mots différent
Un manque dans un trou c’est assez joli
Ça me plait 
Un manque dans un trou pourquoi pas
Ou un trou dans un manque
Le trou fait débat
Il nous reste flare
Mais non c’est lueur
C’est soit lueur soit éclat
Un silence un éclat
Un un silence un éclat
C’est à la fois la lueur et une poussée
Un un silence un éclat
On s’était pas mis d’accord
Après ça peut être un soupçon de café 
Toi tu dirais avant l’amertume
Avant qu’il soit amer
De sens
Soit amer quoi
Je garderais ça
Ça complète le sens 
On vote
La dernière vous avez dit quoi
Je trouve ça pas très jolie
Un trou dans un manque
Ah ben non
L’original c’est l’espagnol ou l’anglais en fait
C’est pas hoyo
J’arrive pas à lire 
C’est quoi on sait pas là 
Hoyo c’est trou
C’est un trouillot dans un trou
Un rouillot a dentro
T’as le g qui vient dessus
C’est quoi la lettre
Rouillot ou trouillot
La dernière strophe du poème peut nous aider
Et oui on ne l’a pas même pas lu en entier
Ah ben on est obligé de traduire
J’arrive pas à traduire là
Je comprends pas ce qu’il faut traduire
Moi je reste en mode médiéval 
Je vais ramener mon phlegme
C’est une bouée dans un trou
Une oreille l’hoyo
Je vais essayer de traduire la suite
Espace
C’est les yeux oyos
Espace en espagnol
C’est un h
Ben oui c’est un h
Un trou dans un trou
Un trou dans le vide
Les deux
Un trou dans le vide ça vous va pas ?
Comment dire espace en espangol ?
Agujero c’est quoi ?
Alors le vide c’est vraiment très créatif
Il n’y a rien rempli
Un trou dans le néant
En espagnol il y a des o partout
Il y a un vide dans ton cours
Un trou dans le vide c’est pas mal ça
Un silence un un silence
Du coup gap c’est pas vraiment trou c’est écart distance intervalle l’omission le vide
Ça c’est joli
Alors ce serait un espace dans le vide
S’il y a vide
Vide intervalle manque
Vide dans un trou
Les deux mots veulent dire trou
Ah vous voulez créer ben si vous voulez créer
Je trouve que le mot intervalle est joli
Un intervalle dans le vide
The gap between intervalle entre
Ecart un écart dans le vide
Un espace sinon
Les trous dans le vide c’est joli 
Trou dans le vide est mieux que l’espace dans le vide
Mais c’est moche le mot trou
Moi je préfère trou dans le vide
Alors on vote
Ce sera plus rapide
Alors on vote
Ça vide dire trou vide
Venez on vote sinon on va rester quatre cents ans
Attends on vote entre quoi et quoi
Il y avait un manque dans un trou 
C’est super glauque 
Il y a un trou dans un trou
Un espace dans le vide
Un manque dans un trou
Il y avait quoi je ne me souviens plus
Un intervalle dans le vide
Dans le vide ? Toujours dans le vide
Ben il y avait trou
Là tu tombe là
Là on fait un écart en plus
Bon allez c’est l’espace dans le vide qui a gagné
C’est fossé aussi
Qui s’oppose à l’espace dans le vide
Moi je m’oppose dans un manque dans un trou
C’est la majorité qui gagne
Allez ça marche
C’est un peu tirer sur les cheveux
C’est le coffee le coffee trou le trou noir
Le coffee trou
C’est pas dans le vide ça peut être dans le vide
Oui mais on est créatif donc on passe par le vide parce que ça sonne mieux
Alors on vote sur le ou un ?
En français on dit le on dit pas un
Un grand vide ça fait répétition c’est pas très joli
C’est ce qu’elle fait elle répète
Ça contient un truc super
Dans les deux ce qu’elle fait c’est répéter
On est d’accord soyons fidèles
On ne sait pas
Dans le sens espagnol
Oui
Alors ça donne quoi
Un espace dans le vide un espace dans un vide
Si on met un espace au vide ça va pas
Espace vide voilà
Café amer on se dépêche
Ça donne quoi
J’ai un. Un silence. Je ne sais pas. Un éclat
Oui un éclat
Une gorgée de café avant qu’il soit amer ou avant l’amertume
Vous préférez un soupçon
Ah non ah non je ne suis pas d’accord
Ah oui c’est mieux un soupçon une gorgée ça n’a pas le même sens
Un zeste !
Qui gorgée !
Qui veut gorgée de café ! 
Qui veut soupçon
Ben c’est proche
On n’a pas compté
Non ben on a gagné
Avant l’amertume !
Ah non avant qu’il soit amer !
Avant qu’il ne supprime l’amertume !
Ah ça c’est poétique
Un café avant la mer avant la mer et la montagne
Qu’il soit amer j’ai l’impression
Moi seule
Ensuite on remonte
J’ai juste une question 
J’ai juste une question à Lily, on fait une traduction littérale ou on fait une interprétation
A mon avis le plus simple c’est de faire une traduction littérale parce que si on fait une interprétation le consensus sera beaucoup plus difficile
C’est le verbe être au passé ?
Après taste il y a l’idée du gout
Ça veut dire supprime
Avant qu’il ne supprime l’amertume
C’est lourd
Ben non c’est DeepL
Quoi non
Je ne sais pas pourquoi il traduit comme ça
Il y en a qui disent ça
Bon on a tout
Non pas du tout
Je ne sais toujours pas
Moi c’est l’amertume
On a dit qu’on soit fidèle au texte
Ça n’existe pas la fidélité au texte
Ne supprime pas
Qu’il avait un gout amer
Avant qu’il ait un gout amer
Oui mais Google
C’est plus français
C’est supprime
C’est pas un l c’est un i
Dans la poésie ça suggère ça dit pas mot à mot le truc
Un poème c’est censé être un peu joli quand même
Je vous lis pour voir si ça fait un peu de sens
Avant qu’il je trouve que ça cloche
Mais il y a pas le gout amer
Mais on s’en fiche on adapte
C’était plus fluide
Avant l’amertume
On a le taste on a tout
C’est pas mal
Moi je trouve qu’au niveau du rythme c’est plus fourni
L’amertume c’est un peu sec
Vous préférez un deux ou trois
C’est le troisième l’amertume
En anglais before it tasted il n’y a pas que que que
C’est à l’oreille
Qu’est-ce qui nous plaît
Je crois que chacun
Il faut voter
Je refais
DeepL Translation into English
Is there anyone who can read this
One silence flare 
What is flare
I don't understand
We read the two sentences 
What does flare mean
It's the nose
This is a creative translation
It's intuition
This is calling 
We'll look it up on the internet
But it's feminine
It's feminine a flare
There are words that are feminine in Spanish and in French
A rocket they say
Wait, I'll check
Did you check on DeepL?
No on Google Translate
Maybe it's a call
A call?
Well, that's it.
We don't have to translate
A call a silence
A rocket a burst
I don't want to translate
Is the point to translate creatively
I just put hakuna matata
I'll take the notes here
Are you on Deep Lie?
Who knows what a flare means
I got a thing about cancer
It's a what a sin
It's a vice
A coffee vice is weird
I don't get it
A silence 
It is 
A sin of coffee
A sip is a sip of coffee
Before it is bitter
Before it's bitter
A sip of coffee before it is cold
or bitter
finally caffeine
The flare I find a push
I don't want to translate
I don't want to do that
A silence a glow
Oh well
If Google doesn't come I don't come
llamarada's reaction in flare brackets
When you translate in French it is a push
Is manifested by tumoral
It is necessary to see the sense that overlaps with the Spanish
Burning light
Attract attention in an emergency
Bright burning light 
A flare. Or a flare 
A flare
We continue to translate the rest and we will choose 
But it is really long
before the bitterness
A hint maybe
The question is whether we are creative or faithful
You can say it's a hole
A hole is funny
A space in a hole
An abyss
You have to find another word besides hole 
I like hole
Translate
A thing in a thingy 
A hole in a hole 
A gap in a hole
It's a hole in a hole
Yes, but it's poorer than the original
It's not safe
It's pretentious
And in Spanish
A space a gap
It's really a space
It's more like a gap in a hole
DeepL it says a gap in a hole
A gap
It can be a gap 
Yes it can be a gap 
We put what
But we all collectively put something
A gap in a hole I prefer because there are two different words
A lack in a hole is quite nice
I like that 
A lack in a hole why not
Or a hole in a hole
The hole is debated
It remains us flare
But no, it's glow
It is either glow or glare
A silence a glare
A silence a glare
It's both a glow and a push
One silence one burst
We didn't agree
Afterwards it can be a touch of coffee 
You would say before the bitterness
Before it was bitter
Of sense
Be bitter what
I would keep this
It completes the meaning 
We vote
The last one you said
I find it not very pretty
A hole in a gap
Oh no
The original is Spanish or English in fact
It's not hoyo
I can't read it 
What is it we don't know 
Hoyo is hole
It is a hole in a hole
It's a hole in a hole
You've got the g on it
What is the letter
I'm not sure if it's a hole or a rouillot
The last stanza of the poem can help us
And yes we haven't even read it all
Ah well we are obliged to translate
I can't translate it now
I don't understand what to translate
I'll stay in medieval mode 
I'll bring my phlegm
It is a buoy in a hole
An ear the hoyo
I'll try to translate the rest
Space
It is the eyes oyos
Space in Spanish
It is an h
Yes, it's an h
A hole in a hole
A hole in the void
Both of them
A hole in the void doesn't suit you?
How to say space in espangol?
What is Agujero?
So the void is really very creative
There is nothing filled
A hole in the void
In Spanish there are o's everywhere
There is a void in your course
A hole in the void that's not bad
A silence a silence
So gap is not really hole it's gap distance interval omission the void
That's nice
Then it would be a space in the void
If there is a void
Void interval lack
Void in a gap
Both words mean hole
Ah you want to create well if you want to create
I think the word interval is nice
An interval in the gap
The gap between interval between
Gap a gap in the void
A gap otherwise
The gap in the void is nice 
Hole in the void is better than space in the void
But it's ugly the word hole
I prefer hole in the void
So we vote
It will be faster
So we vote
It means empty hole
Come on, let's vote or we'll stay four hundred years
Wait, we vote between what and what
There was a gap in a hole 
It's super creepy 
There's a hole in a hole
A space in the void
A gap in a hole
There was what I can't remember
A gap in the void
In the void? Always in the void
Well there was a hole
There you fall
There we make a gap in addition
Well, it's the space in the void that won
It's ditch too
Who opposes the space in the void
I oppose myself in a lack in a hole
It is the majority which wins
Go it works
It is a little drawn on the hair
It is the coffee the coffee hole the black hole
The coffee hole
It's not in a vacuum it can be in a vacuum
Yes but we're creative so we'll go with the void because it sounds better
So we vote on the or a?
In French we say le we don't say un
A big empty space that makes repetition it is not very pretty
That's what she does, she repeats
It contains a super thing
In both what it makes it is to repeat
We agree let's be faithful
We don't know
In the Spanish sense
Yes
Then it gives what
A space in the void a space in a void
If we put a space in the void it will not go
Empty space, that's it
Bitter coffee we hurry
What does it look like?
I have a. A silence. I don't know. A burst
Yes, a burst
A sip of coffee before it's bitter or before the bitterness
You prefer a sip
Ah no ah no I don't agree
Ah yes, it's better a sip a sip doesn't have the same meaning
A zest!
A sip!
Who wants a sip of coffee! 
Who wants a sip
Well, it's close
We didn't count
No well we won
Before the bitterness!
Oh no, before it is bitter!
Before it removes the bitterness!
Ah that's poetic
A coffee before the sea before the sea and the mountain
That it is bitter I have the impression
I alone
Then we go back up
I have just one question 
I have just one question for Lily, do we do a literal translation or do we do an interpretation
In my opinion, it's easier to do a literal translation because if you do an interpretation, the consensus will be much more difficult
Is it the verb to be in the past tense?
After taste there is the idea of taste
It means to remove
Before it removes the bitterness
It is heavy
No, it's DeepL
What no
I don't know why he translates like that
Some people say that
Well, we have everything
No we don't
I still don't know
I'm bitter
We said we would be faithful to the text
There is no such thing as being faithful to the text
Do not suppress
That it had a bitter taste
Before it had a bitter taste
Yes but Google
It is more French
It's deleted
It's not an l it's an i
In poetry it suggests it doesn't say the thing word for word
A poem is supposed to be a little pretty
I read you to see if it makes sense
Before I find out it's not right
But there's no bitter taste
But we don't care, we'll adapt
It was more fluid
Before the bitterness
We got the taste we got it all
It's not bad
I think that the rhythm is more complete
The bitterness is a bit dry
You prefer a two or three
It's the third bitterness
In English before it tasted there is not that that
It is to the ear
What we like
I believe that each one
It is necessary to vote
I do it again
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paleparearchive · 1 month
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A Playboy's Sweet Tease
Renoir's Halloween gacha 4★ story (2/3) ( 1 - 2 - 3 )
Location: atelier (morning) | Characters: Renoir, Giotto, Bazille, Watteau, Aoi/MC
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Renoir: Everyone, we're back.
Watteau: Hey hey, you're late, arentcha? Skipping out's cheatin'.
Bazille: Say it louder. We were just picking out cakes.
Giotto: Why'd ya get cakes?
Renoir: Here's something for everyone who's working hard. Let's eat something sweet and work hard, shall we?
Bazille: I bought them, though…
Watteau: You're so thoughtful, bringin' in all the good stuff! Which one's mine?
Renoir: This one is yours. This one over here is Giotto's.
Giotto: Oh, you've got nice tastes, huh? Ain't that nice, somethin' that sweet like this one.
Renoir: Right?
Bazille: … I was the one who bought them, you know?
Renoir: Fufufu, thank you. Shall we bring them to everyone else as well?
Bazille: … Right.
Bazille: Have we finished distributing them all now? Jeez, we've used up a lot of extra time.
Renoir: Everyone was happy, so it's fine, isn't it?
Bazille: I'm not saying I didn't want to offer them.
Renoir: Then let's eat them, too. You know, just for fun.
Bazille: … Right, let's.
Renoir: Bon appeti–
Aoi: I'm sorry, the paints you asked for have arrived– Ah, perhaps I'm interrupting you now?
Bazille: … Ah.
Aoi: Sorry, it seems like you're having tea time. Those cakes look delicious.
Bazile: Ah, uuuuuh… N-No, wait a sec.
Hey, what do we do, Renoir? We didn't prepare anything for the deputy, did we?
Renoir: It's okay, it's okay. Leave this to me.
Bazille: … Huh? H-Hey…!
Renoir: My lady, you've come just in time. We were all eating cake together now. However, I don't have one for you. Do you want to go out to eat with me to make up for it?
Aoi: Huh?
Watteau: Wait, wait, wait! Whatcha tryin' to get out of this, you! No way ya can do that kinda thing. I can't just overlook this, y'know?
Renoir: Fufu, I didn't prepare a cake for her for our date, you see.
Bazille: … Really?
Renoir: I told you. That store is recommended for asking girls out. If I wanted to have cake with the young lady, I would want to have it on a date.
Watteau: …!! That's one way to do it…!
Aoi: … Uhm.
Renoir: So, will you go on a date with me?
Aoi: Fufu, I think I understand why you're so popular with women, Renoir-kun. What can I say… You're good at it.
Renoir: Thanks for the compliment. It makes me happy.
Aoi: Whether it's a date or not, I'd like to have some cake. Will you let me join you?
Renoir: Of course.
You're not allowed to come, Watteau.
Watteau: Ain't it a bit too much for ya to make the first move? I wanna go on a date toooo.
Giotto: Aight, then go with me! We'll take as many cakes as ya want!
Renoir: Fufu. You two go ahead. I'm going to have fun with the young lady.
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lemodelepose · 4 months
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Le modèle sent si ton but est de mater...
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Alors comme ça, on est un chien de la casse ? Reprenons dès le début.
UNE ATTITUDE PARFOIS INVOLONTAIRE Mater, c'est humain. Que ce soit dans la rue, dans un bar ou au bureau, on peut parfois se laisser surprendre à avoir les yeux baladeurs sur telle ou telle personne. C'est normal. Par conséquent, c'est encore plus troublant en atelier, car il y a une personne nue dans notre champs de vision. En plein dans le mile, Emile. Même si, je le rappelle, le corps nu du modèle n'est pas sexualisé, celui-ci peut émoustiller. C'est normal. On est humain après tout. Là où cela dérangeant, c'est quand les regards sont appuyés, salaces.
ON RESTE FOCUS Aussi, il est important de savoir se tenir. De rester dans une certaine concentration. De s'impreigner de l'ambiance de l'atelier.
UN SAVOIR-ETRE Face à vous, vous avez une personne qui pose. Elle est là uniquement pour cela. Elle travaille. Je vous invite donc à garder une certaine posture d'artiste.
Ah oui, j'oubliais : après la séance, on ne tente pas de courtiser le modèle.
A bon entendeur...
Je vous invite à partager ce post :)
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gedjub · 7 months
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161023 Le a monstre
171023 Passer entre les balles, bon, mais passer entre les bombes?
191023 Que les mains proches se croisent.
+ rue de l'ancienne poste: "Ah la peau de mes couilles!" (Devant sa porte, il a fait tombé ses clés.)
+ Les Graulen•ne•s, une population problématique.
Je vois pour la première fois depuis le début de mes visites nostalgiques mon école primaire peuplée d'enfants, je savoure le spectacle, l'ambiance, mais les graulennes surveillantes de cour de récré me crient: "Vous voulez quelques chose?" Je les vois qui me fixent, animales belliqueuses, et caquettent sur mon compte. "Vous voulez un renseignement?!" Je fais non de la main, sachant que je ne parle pas leur langue. "Non? Bon!" Elles m'ont gâché le moment.
201023 parler de ma sensation de petit-grand dans la chambre de maman, en rapport avec les visions minuscules de Giacometti.
211023 À la lumière de la mer, les enfants du wagon ont aspiré des h et crié "MARSEILLE!"
221023 Tata: "Je mange tellement de poisson un jour je vais chier une baleine!"
+ Elle aimait beaucoup Nana Mouskouri, à vouloir lui ressembler. Alors à l'orphelinat elle a fait semblant d'y voir mal, si bien que les sœurs l'ont menée chez "l'oculiste" qui s'est fait avoir tant elle a bien joué, et elle a eu ses lunettes, dont elle a pu choisir la monture: grande, épaisse et noire.
+ "C'est Babeth qui m'a fait découvrir le riz basmatique."
251023 Je m'éloigne et les petites montagnes, vieillissant, bleuissent. Je gagne du terrain loin de ma tante, je revois ses yeux qui plissent, ses larmes du matin sur mes mains qui serrent ses mains, j'entends ses je t'aime après la tempête du réveil, ses problèmes de jambes et de sommeil. Je sors, elle ferme sa porte sur mon sourire d'au revoir.
+ Un gros bâtiment avec une grande mezzanine, l'entrée est de verre et donne sur les deux étages, du grand parquet partout par terre, un lieu où l'on va pour dormir.
+ Aix en PVC
+ J'aime que de grandes choses se fassent dans de petits endroits, comme une réunion secrète dans l'école ou le gymnase du village le soir, les lumières, les ombres et les couleurs de loin à travers la vitre, l'heure tardive, indue, j'insiste.
+ des murs inégaux orange et jaune
+ Au petit étage, mouvements brusques de rideaux clairs se faisant fermer au lever par cause de vis-à-vis avec la boulangerie rue Mignet.
+ rencontré dans la ruelle à droite de la boulangerie d'abord l'ombre de ce monsieur à moustache sur la porte de son cagibi ouvert, puis à la boulangerie, peut-être m'a-t-il suivi volontiers mais il y allait de toute façon, je le crois: "un petit pain au chocolat pour commencer la journée", a-t-il choisi (avec un petit croissant aussi) après nos politesses pour se laisser passer en premier, à qui mieux mieux de moi j'ai tout mon temps. "Ah! Voilà, bien installé !" m'a-t-il lancé en passant pour retourner à son atelier. (Je ne sais pas ce qu'il y a dans son repaire, mais c'était fourbi. Un pêcheur? Il y a de l'eau, ici?) Il a dû aller prendre son petit déjeuner sur la place là. Vais-je aller lui laisser un mot, sur sa porte à ombre?...
+ au sortir de la boulangerie :
C'est la fille qui tient le sac en papier et la mère qui réclame sa viennoiserie.
+ Les sportifs d'Aix. Les sportifs du matin d'Aix, d'Aix le matin. Les sportifs du matin à Aix.
+ que sont les chansons? Qu'est-ce qu'on fait là ? Quels mondes?
+ Pour détruire les mondes, en effacer les expressions/les représentations/le langage.
+ Un cercle de maisons ou d'immeubles plus hauts et colorés qui fait village dans la nature à côté d'Aix.
+ penser à mal, agir en conséquence, puis oublier ce qui a motivé l'action.
+ ce peut être que ces notes présentent, un jour, ma science à moi.
+ à propos de l'événement à l'école primaire au Grau du Roi l'autre jour : Manon a éclairé ma colère et en m'expliquant la réaction de ces graulennes à la lumière de la recrudescence actuelle des violences visant les lieux d'éducation, bon.
+ dur de me départir de ma colère mais je trouve de plus en plus vite le temps de la ramollir.
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darkpalmor · 8 months
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6 SEPTEMBRE 2023
Programme de renouveau
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0°) Échauffement libre en deux minutes. Supposons qu’aujourd’hui ce soit la Stes Fournitures Scolaires. Écrivez la prière en deux lignes qu’on pourrait adresser à ce saint peu connu.
Saintes Fournitures, soyez légères à nos cartables et à nos porte-monnaie, et nous prendrons soin de vous ! Saintes Fournitures, Soyez plus légères, Dans nos gibecières, Et soyez moins chères !
1°) Démarreur d’actualité pour texte ultra-court (5 minutes) : Fénéon. Partir d’un événement récent et le raconter en trois lignes maximum, à la manière de Félix Fénéon, avec un peu d’humour. Événement imposé : La mort accidentelle de Prigojine.
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Un chef de guerre expérimenté emprunte une fois de trop un avion pour aller faire la bombe, rien que pour augmenter son nombre de miles gratuits, et perd d’un seul coup toutes ses économies : conséquence, pas de funérailles nationales. Drame de l’aviation civile : un militaire de haut rang fait la bombe dans son jet privé, et atterrit dans un marécage en Russie. Funérailles dans l’intimité.
2°) Bouts-rimés (10-15 minutes) : Dizain pour un atelier débutant. On écrira un petit texte qui évoque l’atelier d’écriture, avec les couples de rimes suivants (que l’on pourra disposer comme on voudra) : atelier / collier, déserte / perte, écriture / rature, marmotte / marotte, stylo / vélo.
Ah ! J’ai repris le collier Du travail en atelier… Mon inspiration déserte, Et je bosse en pure perte Car ma si belle écriture Souvent finit en rature. Je voudrais être marmotte, Car dormir, c’est ma marotte. Je vais brader mon stylo Et me remettre au vélo.
3°) Texte fendu (10 minutes) : Vous prendrez bien un demi ? Voici un court texte en prose, dont on a coupé à peu près la moitié, et il faut le reconstituer de manière à ce qu’il tienne dans le cadre qui le contient. Et si possible, de manière à ce qu’il ait un peu de sens.
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Au commencement il n’y avait que Dieu surfant sur la vague : il n’appelait rien d’autre que le rouleau géant, cela était bon. Pour rien au monde il n’aurait reculé, ce rien faisait mieux que lui convenir, c’était la perfection. Dieu avait les yeux perpétuellement ouverts, s’ils avaient été fermés, cela n’eût rien changé, il surfait dans le noir, ne regardait rien. Il était plein et pouvait boire encore, et il avait la rondeur et l’immobilité divine de l’ivresse.
4°) Gonflette terminale (10 minutes) : Phrase à allonger. On partira d’une phrase imposée, que l’on allongera uniquement par la fin. Voici la phrase à augmenter, tirée d’un roman de Larry McMURTRY, Les rues de Laredo, 1993 : « Des vieillards qui ne totalisaient qu’une poignée de dents à eux tous étaient assis là, occupés à… » La contrainte consiste à ne pas arrêter la phrase par des ponctuations fortes pendant au moins une dizaine de lignes, et à ajouter de nouveaux compléments, membres de phrase, subordonnées, etc.
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Des vieillards qui ne totalisaient qu’une poignée de dents à eux tous étaient assis là, occupés à ressasser leurs souvenirs des anciennes bagarres où ils s’étaient joyeusement foutu sur la gueule quand ils avaient vingt ans et la bière énergique, en rigolant bien à propos des circonstances idiotes qui avaient, cinquante ans plus tôt, préludé aux engagements qui les avaient rendus célèbres dans le canton, et pendant qu’au coin de la placette le grand Julot était entrain de castagner le facteur sous prétexte qu’il avait fait du gringue à sa greluche, ils commentaient en connaisseurs les coups de poing au foie ou les baffes sournoises, un peu impatients tout de même de constater que ça ne saignait pas beaucoup, alors ils se mirent à gueuler aussi fort qu’ils pouvaient, encourageant Marcel ou invectivant Julot, se prenant au jeu comme s’ils avaient assisté à un match, si bien qu’emportés par cet enthousiasme rajeunissant ils se levèrent et commencèrent à se battre entre eux, à coups de canne ou de déambulateur, jusqu’au moment où les deux jeunots jaloux s’arrêtèrent et vinrent les engueuler en les traitant de vieux schnocks de cinq ans d’âge mental, et le silence retomba sur la rue redevenue tranquille.
5°) Notes de bas de page (10 minutes) : L’annotation est un art ! Voici un petit texte qu’il s’agit d’annoter afin de l’éclaircir pour des lecteurs novices. Votre expertise se limitera à 10 notes, ni plus ni moins.
Le moment de la bobinette (écrit, non sans une certaine lourdeur, Wolfgang Rotkäppchen, dans sa dissertation publiée en 1893 par l’Université de Heidelberg) est le moment essentiel de l’histoire du Petit Chaperon Rouge. Lorsque la bobinette choit, le piège se referme, le destin est en marche et rien ne saurait plus l’arrêter. Lorsque le Petit Chaperon tire la chevillette, elle tombe dans la souricière. Tout est consommé. Elle ne peut plus retourner en arrière. Elle ne peut même pas s’arrêter à l’instant présent. Auparavant, tout était encore possible. Auparavant, le Chaperon pouvait s’identifier aux papillons, êtres de fuite, à leur légèreté, à leur flottement dans une situation floue. Elle pouvait avoir l’éclat des petites fleurs. Mais, après la chute de la bobinette, elle devient un produit comestible, proche de la galette et du pot de beurre, nourriture carnée à côté de nourritures non-carnées. La chute de la bobinette annonce la chute de la robe et du slip de la petite fille quand celle-ci, pour se coucher près du loup, se déshabille et laisse tomber ses habits sur le parquet ciré. Elle précède aussi la lente descente des chairs broyées du Chaperon vers l’estomac du loup.
Gilbert LASCAULT, Le petit chaperon rouge, partout, 1989, © Seghers
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(1) Wolfgang : prénom allemand assez prétentieux donné aux enfants dans certaines familles de musiciens. (2) 1893 : année de naissance d’Émile Denis Maréchal. (3) piège : instrument utilisé notamment par les trappeurs pour capturer des loups, dont la fourrure est très estimée. (4) souricière : instrument utilisé dans les ménages pauvres et les logements insalubres afin d’améliorer le régime alimentaire des enfants chétifs. (5) papillons : animaux sans intérêt alimentaire. (6) floue : qui manque de clarté. « Quand c’est flou, il y a un loup », disait la grand-mère de Martine Aubry. (7) beurre : source de cholestérol, qu’on peut remplacer sans risque par des cornichons ou de la moutarde, qui ont davantage de goût. (8) slip : sous-vêtement unisexe. (9) parquet ciré : indice d’embourgeoisement ou de traditionalisme vieux jeu chez la grand-mère du conte (pas celle de Martine Aubry). (10) estomac : organe essentiel à la survie de tous les animaux, excepté certains papillons qui naissent sans organe buccal, vivent quelques jours seulement, se reproduisent et s’épuisent, meurent, sans avoir jamais rien mangé, mais dont les œufs donneront des papillons identiques promis au même avenir, ce qui prouve que la nature est parfois cruelle avec ses créatures.
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15H21
Ah ok j'ai fait atelier écriture et comment dire tout le monde parlaient de truc serieux. Et moi je suis arrivé j'ai écrit j'aime les chats. Il fallait piaucher un thèmee les thèmes des gens c'était genre injustice...Enfin bref que des trucs négatif et moi je suis arrivée avec mes thèmes animaux et voyage xD du coup j'ai pas lu ce que j'ai écrit devant les gens parce que beh la première dame qui est passé parlait d'un deuil donc bon ça ma refroidit...j'ai écrit:
"j'aimerai disparaitre et voyager dans une autre planète sans être humain mais uniquement avec des animaux. Les animaux sont apaisant et intelligent contrairement aux hunains qui eux selon moi est un être vivant perdu. Voyager dans sa tête ou bien je veux être dans une pièce blanche et n'être ni vivante ni morte."
J'avais l'impression d'être débile. Mais aussi j'ai du mal à m'exprimer donc c'est compliqué de trouver les mots. Eux Ils savent s'exprimer et identifier leur emotion pas moi😅
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hocarre · 2 years
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Un petit moment pour se réchauffer
Avoir Caleb d'allonger sous lui, accrocher à ses épaules tel un koala à son eucalyptus, il ne fallait pas grand-chose. Un câlin, une envie commune et hop, ils allaient se câliner sous la couette. L'avoir contre un mur ? C'était quand ils étaient de sortie et que quelqu'un le draguer ouvertement devant lui et son côté primaire animal, devait être apaisé, il ravissait son compagnon contre le mur le plus proche et à l'abri des regards. Caleb était à lui, comme il était à Caleb.
Des fois, ils le faisaient en voiture. Enfin, Caleb le suçait plus qu'autre chose et ce n'était pas son lieu favori, il préférait voir ce beau visage rougi par l'envie, ses yeux noisette voilés par le désir et sa bouche s'étirer autour de son membre et il avait de la chance, Caleb le laissait venir sur son visage.
Ça, c'était quand ils étaient chez eux, ou encore la fois où Wallace était trop énervé contre l'ami humain de son petit blond.
Oh oui, cette fois-là, Caleb l'avait attiré dans la cuisine pendant que l'autre était parti répondre à un appel téléphonique urgent.
Cela avait été une surprise, de la part de son compagnon qui était timide, mais ce fut rapide et intense. Quel bon souvenir. Oh, ils se faisaient des branlettes des fois, enfin, il en faisait plus à Caleb, surtout quand son petit loup devait être apaisé, un avant-goût d'une soirée à le prendre et le laissait tremblant d'orgasme pendant des heures.
Caleb n'était pas jaloux, enfin pas tant que ça.
Seulement quelques jours avant la pleine lune et c'était magnifiques. C'était lui qui initiait chaque moment intime et il était très avenant. Lui qui d'ordinaire et si timide, c'était comme s'il sortait avec quelqu'un d'autre.
Oh, tout était consensuel entre eux deux.
Comme pour aujourd'hui.
Wallace avait été tranquille pendant des heures à peindre dans son atelier, complètement concentré sur ses œuvres.
Il n'avait pas entendu Caleb rentré. D'ailleurs, il n'avait même pas fait attention à l'heure, oubliant son partenaire qu'il aurait dû aller chercher au travail plus tôt, le laissant rentrer sous une pluie diluvienne. Ce n'est que quand il entendit la porte de son atelier s'ouvrir et l'odeur de ce savon à l'Aloe Vera parvint à ses narines, qu'il se retourna vers son petit compagnon qui n'était vêtu que d'un de ses t-shirts trop long sur lui, la peau encore humide, le faisait s'accrocher à quelques endroits stratégiques.
- Tu es encore en plein travail.
Cette phrase avait été dite sans émotion, il annonçait un fait.
- Oui, j'ai bientôt terminé ceci dit. Cela te tente de sortir ce soir ? Restaurant-ciné ?
Pourquoi ne pas tenter de se faire pardonner de son oubli.
Un petit "Non, pas envie" lui parvint et Caleb se cala contre lui, sa tête arrivant à peine à son épaule. Il observait le tableau qu'il avait sous les yeux, essayant de déchiffrer sans un mot, les mélanges de couleurs et de formes.
Ils restèrent ainsi un moment, Wallace finissant son œuvre, Caleb silencieux, regardant simplement, jusqu'à ce que l'artiste termine.
- Donne, je vais m'occuper de tes pinceaux pendant que tu vas te laver, tu as mis de la peinture partout.
Avant que le brun ne puisse protester, deux petites mains fines lui arrachèrent son matériel et il se dirigea vers le bureau chargé d'esquisse et de pot de peinture, cherchant quelque chose puis d'une voix lasse.
- Ah oui, ton dissolvant, tu le mets en hauteur.
Wallace regarda son partenaire se diriger vers l'étagère face de lui, là où était le fameux dissolvant, le voyant se hisser sur la pointe des pieds et lever ses bras pour attraper le bocal en question. Petit geste anodin qui lui fit faire un arrêt cardiaque pendant plusieurs secondes.
Caleb ne portait que son t-shirt et rien d'autre. Le mouvement qu'il avait fait pour attraper ce fichu dissolvant avait relevé le vêtement plus haut, découvrant une petite partie de son derrière attrayant.
Juste un petit bout de chair, qui avait de quoi lui donner envie. Il quitta donc le chevalet ou sa toile était encore en train de sécher pour aller derrière son petit compagnon, glissant ses mains sur ses hanches et les caresser avec tendresse.
- Tu sais que j'aime quand tu portes mes affaires, surtout après la douche, c'est toujours une jolie vue, mais là, ce que je viens d'apercevoir, c'est magnifique.
Caleb émit un petit rire, et se tourna vers le plus grand, un petit sourire ironique sur les lèvres.
- Oui, c'est magnifique, mais je vais devoir te laisser, je suis frigorifié et épuisé par le retour à l'appartement.
Sans attendre, il se dégagea de la prise de Wallace pour ressortir de l'atelier. 
Un sourire de prédateur s'afficha sur le visage du brun, qui attrapa un élastique qui traînait sur son bureau pour attacher ses dreadlocks et suivit Caleb rapidement, s'adossant sur la seule porte des lieux.
- J'aimerais aller me coucher s'il te plaît.
- Tu le fais exprès parce que je t'ai oublié. Tu peux me le dire, tu sais.
Une petite rougeur apparut sur les joues de Caleb, qui soupira doucement.
- Non, je suis fatigué, la pluie était glaciale et me faire tripoter dans le métro était épuisant.
Il écarquilla les yeux suite à l'aveu qu'il avait fait, osant regarder dans les yeux de Wallace et se recula un peu.
Le sourire avait disparu, son regard un peu plus dur, mais quand il agrippa son bras, ce fut avec douceur, mettant par la même occasion de la peinture sur la peau pâle, et il l'attira contre lui.
- Où ont-ils osé te toucher ?
Wally avait sa voix basse, mais celle qui faisait frissonner Caleb, celle qui promettait une nuit pleine d'attention. Cette voix qu'il n'arrivait pas à résister.
Sans un mot, il enleva la main qui reposait sur son bras et guida les deux, jusqu'à ses cuisses.
Aussitôt, les mains larges et chaudes caressèrent sa peau avec douceur.
Wallace en profita un moment, puis vola un baiser à son petit partenaire, avant de lui retirer son T-shirt et de reposer ses mains sur ses fesses.
- Si j'avais su. . . Ils devraient savoir que tu es à moi. Ils ont eu de la chance que je ne sois pas là, je les aurais massacrés.
La phrase fut ponctuée par une légère morsure et un gémissement de Caleb brisa le petit silence, Wallace lui, lécha la zone qu'il venait de mordre et souriait contre la peau rougie.
Il venait de faire glisser un de ses doigts, sans résistance, en Caleb.
- Alors, tu étais fatigué ? Pourtant, je te trouve tout prêt, rien que pour moi.
Le petit blond se cacha contre le torse de son compagnon en gémissant de gêne.
- Avoue, que tu as voulu me plaire exprès et me faire languir peut être quelques heures, mais que tu aurais accepté mes avances.
Le plus jeune frissonna et gémit alors qu'un autre doigt venait se loger en lui, avant de pouvoir murmurer.
- J'ai quand même froid, j'ai besoin que tu me réchau . . .
Un baiser passionné vint le faire taire, surtout quand il gémit à la perte des doigts en lui, mais deux mains puissantes l'attrapèrent pour le soulever et aller le déposer dans un coin de l'atelier, face contre une des couvertures que Wally laissait des fois.
- Je vais te réchauffer et te faire oublier ses horribles tripotages.
Sans effort, il recouvrit le corps de son partenaire, parsemant son dos de baisers et de morsures, ses mains caressaient la moindre parcelle de peau à sa portée.
Une petite main alla agripper avec difficulté sa hanche, tirant sur son jean.
- Putain ! Déshabille-toi et prends moi!
Oh, le petit ton exigeant. Cela donnait envie de lui obéir, c'était si rare de l'entendre ainsi.
Faire l'amour comme Caleb le souhaitait, c'était nouveau, mais c'était agréable aussi.
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visenya-den · 3 years
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A cause des renards
Si vous l'ignorez, aujourd'hui ou hier, Broc'art a rouvert. Enfin pas Broc'art : Imag'ine.
Et j'ai fait parti du staff de l'ancien Broc'art, que j'ai rejoint peu avant l'ouverture. A ce jour, ça reste un gros regret vu la manière dont cela s'est fini mais que j’avais senti dès le début (et je vous explique pourquoi). Si j'ai rejoint le projet, c'est parce que j'avais l'espoir que ce qu'il s'était passé sur Bazzart servirait de leçon, mais au final, la plupart des membres du staff des « fondateurs » (parce que le discours c'était oui il y a pas de différence entre les fondateurs, les administrateurs et les modérateurs, on a pas le même rôle mais on est égaux, on partage toutes les informations ah ah ah -spoiler alert: non-, la parole d’un modérateur valait pas grand chose et les admins faisaient des choses dans notre dos et discutaient entre eux).
J’ai décidé de raconter mon “expérience” aujourd’hui à cause d’une petite phrase que j’ai lu sur le forum... 
Premier red flag pour moi : le fait que comme sur Bazzart (déjà le fait que Bazzart soit modèle après coup c’est...), soit repris les groupes notamment celui des artistes avec un « test » à passer. Pour moi, les groupes ça devait être libre d'accès à tous, et ne faire chier personne. Pour d'autres aussi, mais bon, il en a été décidé autrement, avant que les membres (bénis soient-ils) ne disent que ce n'était pas normal et que cela soit modifié et que les administratrices acceptent de changer ça!
Le fait que comme sur Bazzart, il faille poster des messages pour la pub... 
Bref, vous avez compris, les fondatrices n’avaient que “Bazzart” à la bouche alors que normalement on était censé faire quelque chose de différent. Mais bon, Bazzart a été un modèle de forum sur le graphisme/l’entraide etc etc.. Et on peut prendre quelque chose en modèle en reprenant les choses qui marchent et en enlevant ce qui ne va pas (normalement). 
Deuxième GROS red flag : Je suis une graphiste (amateur), clairement je me définis en tant que tel. Si j'ai rejoint Broc'art c'est notamment pour saisir l'opportunité de donner des idées pour la partie graphisme, notamment pour pouvoir mettre en place des cours, des ateliers afin de permettre aux créateurs de partager leurs savoirs avec d'autres personnes puisque je trouve le partage et la transmission c'est juste hyper important. Perso oui je fais des créations, mais j'ai envie de montrer aux autres comment faire. Je trouve ça bien que sur tumblr, et sur les discord du coup il y ait cette facilité à poser les questions à demander des ressources, et il y a eu naturellement un partage de ressources énormes ainsi que les partage d'écran qui sont facilités par la plateforme ! C'est cool (mais je dévie un peu du sujet).
J'ai donc fait un header pour l'ouverture de Broc'art, header qui a été sélectionné, et je suis entrée dans le staff peu de temps après, pour faire la suite, les couleurs etc... De toute façon, j'avais compris que mon rôle se limiterait à ça puisque bah, les paroles de chacun n'étaient pas entendues, au final c'étaient les mêmes qui décidaient (retour à mon premier paragraphe, l’égalité AH AH AH) et puis perso moi ça m’allait d’être un peu “la graphiste” du groupe. 
Voici le header que j'ai fait pour Broc'Art :
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Si vous avez bonne mémoire, ce n'est pas le header qui a été affiché:]
Je zieute donc le nouvellement rouvert Imag'ine, pour tomber sur les crédits ou je lis :
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“Merci pour la patience dont elles ont pu faire preuve lorsque nous leur avons demandé de changer quelques détails du design” j’ai ri jaune, et tout ce que j’avais gardé en moi depuis le début ressort dans ce texte.
Broc’art a ouvert fin septembre. Et sur PRD j’avais fait les versions de septembre, qui sont les suivantes:
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Et lorsque les administratrices de Broc’Art l’ont vu, je me suis pris une petite mention très gentille. Sur le Discord du staff, là où tout les membres du staff pouvait le voir au lieu de venir m’en parler en privé... 
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https://imgur.com/Lm0IxK9
Je me suis expliquée en disant que oui il y avait des similitudes (les renards?) mais que c’était mon style de header, que c’était normal qu’il y ait des ressemblances et que de toute façon, le header sur PRD ne restait qu’un mois. 
Je n’ai absolument pas été entendue, ni même écoutée en fait. J’ai modifié le header de manière à le rendre plus “acceptable”
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En vrai j’avoue qu’il est même mieux. Mais cela ne justifie en rien toutes les remarques que j’ai pris de la part d’un staff dont je faisais parti. Et à cette époque, avant même l’ouverture, j’avais hésité à partir à cause de cet événement. Parce que clairement personne ne mérite de se faire traiter comme ça (fin perso j’ai trouvé la chose assez violente, peut-être que je me fais des idées mais c’est mon ressenti et mon ressenti prime xD)
J’ai été obligée de contacter moi-même les administratrices de PRD pour leur demander si cela ne les gênait pas que mon header ressemble à celui de PRD. Elles m’ont répondu (surprise et je sais pas, un peu choquée) que bah non ça les gênait pas, que mon header ressemblait pas... J’ai été obligée de montrer les captures d’écran de leurs réponses dans le discord de Broc’Art. 
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https://imgur.com/6FQ0lId
https://imgur.com/mLhFbat
https://imgur.com/yP5iR7V
Je tiens juste à dire que j’apprécie CHEVALISSE et qu’elle avait le rôle de porte-parole mais j’ai vraiment vécu un sale moment (et encore une fois on remarque que le staff laisse UNE SEULE PERSONNE se démerder avec un problème).  
Mais non, je suis restée, je suis restée parce que j’espérais vraiment que ce forum serait un lieu de partage et d’entraide. Mais ça a brisé quelque chose. Je suis restée modératrice du début à la fin, à archiver les sujets et à tenir à jour les listing, j’ai toujours refusé de devenir administratrice comme si je sentais la merde arriver. 
Et à la fin de Broc’Art, où j’étais toute seule (alors que j’étais que modératrice) à parler aux membres et aux invités dans la partie prévue à cet effet, quand tout a dégénéré. Sur le Discord j’ai tag tout le staff plusieurs fois et notamment les administratrices pour qu’elles viennent réagir aussi et LIRE surtout. J’ai fait de mon mieux (mais quand quelque chose est pourri il est pourri). Mais derrière le staff est resté silencieux (ce qui leur a été reproché d’ailleurs). Mais le pire, ce que personne ne sait, c’est tout le sucre qui a été cassé sur le dos des membres sur le Discord et c’est là qu’on voit que quelques administratrices ont des réflexions à vomir, et que oui, c’est normal que Broc’Art ait connue une telle fin quand des personnes ne veulent faire aucun effort et ne respectent même pas leurs propre règlement. J’ai vécu la fin de Bazzart et je peux vous dire une chose, le staff du Broc’Art était pire encore. 
On m’a dit “Merci d’avoir répondu aux membres, ça te dirait de passer administratrice comme tu as bien géré l’urgence? Par contre à côté de ça, on bannit pas tout de suite les membres qui ont eu des propos racistes et on leur laisse une chance, pareil pour les créations whitewashés on les prévient par mp ça se fait pas de supprimer directement”. Je vais dire qu’au sein du staff, il y avait deux teams, une qui était pour sévir et sanctionner directement (les modérateurs notamment), et l’autre composé de plus d’administratrices voulaient laisser passer les choses, attendre que ça se calme, sinon supprimer des membres et des créations ça donnerait une mauvaise image du forum. Et puis les invités se calmeraient bien, donc ils même proposés de faire semblant d’accepter de bannir et tout, pour au final, reprendre le même système qu’avant quand les choses se seraient calmées. 
Le pompom sur la Garonne ça a été quand une administratrice, lassée des invités a décidé toute seule de mettre le forum en maintenance. C’est bizarre ça me rappelle la fin d’un autre forum aussi. 
Je suis partie à ce moment-là après avoir quand même expliqué que fermer le forum ne résoudrait rien, et en comprenant que le dialogue avec le staff serait de toute façon impossible. J’ai pas cherché à épiloguer plus loin, IRL à ce moment-là ça n’allait pas du tout pour moi donc, j’ai claqué la porte.
Bon la morale de l’histoire, c’est que quand ça sent le caca dès le début, faut pas hésiter à s’écouter et ça se barrer. 
Après concernant la réouverture, les membres les plus problématiques que je mentionne dans ce texte ont quitté le staff donc voilà voilà. 
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ayalewis · 3 years
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La surprise d'anniversaire (Drabble Pendranièvre)
Arthur : Tiens donc, seigneur Bohort, vous tombez bien.
Bohort : Ah bon ?
Arthur : Hum...dites donc, vous avez fait un pique nique hier midi avec ma femme.
Bohort : Heu oui ?
Arthur : Et demain vous avez... comment ça s’appelle déjà ? Votre atelier de broderie ?
Bohort, tout content : c’est exact. La reine a développé un très joli motif à point, je lui disais encore la semaine dernière que...
Arthur : Oui oui c’est super. Je me disais, vous passez beaucoup de temps avec ma femme en ce moment. Vous êtes en quelque sorte devenu son...confident.
Bohort : Sire, je vous arrête tout de suite, c’est en tout bien tout honneur ! Vous savez l'affection que vous porte la reine et notre amitié n'a...
Arthur, le coupant : Non mais c’est pas ça que je veux dire...elle vous a dit un truc par rapport à notre anniversaire ?
Bohort, détourne le regard : votre...anniversaire ? Je vois pas bien...
Arthur, perdant patience : oui, notre anniversaire. Notre anniversaire de mariage, seigneur Bohort. Le sujet dont tout le monde parle depuis deux semaines dans le château. Ne jouez pas au con, je suis sûr que vous êtes au courant d'un truc.
Bohort : elle a peut être vaguement évoqué l'idée...
Arthur : Bohort vous avez intérêt à cracher le morceau !
Guenièvre, apparaissant de l'autre côté du couloir : tiens donc !
Arthur, en marmonnant : et merde.
La reine se rapproche d'eux.
Guenièvre, en regardant Arthur : mon ami, mais quel étrange hasard de vous voir traîner de ce côté du château !
Bohort se place derrière la reine.
Arthur, en croisant les bras : alors déjà, c'est mon château, je traîne de ce côté si j'ai envie.
Guenièvre : et que je vous trouve, qui plus est, accompagné du seigneur Bohort !
Arthur : oui et alors...peut être qu'on se rendait ensemble à une réunion de la table ronde.
Guenièvre, en jetant un coup d'œil par la fenêtre : à cette heure-ci ?
Arthur : à cette heure-ci...ben oui, on a adopté les horaires d'été, voilà.
Guenièvre : donc vous me soutenez que vous n'étiez pas en train de cuisiner le seigneur Bohort sur ma surprise d'anniversaire ?
Bohort : je vais peut être y aller moi.
Il commence à s'éloigner et Arthur le retient par sa tunique.
Arthur : cuisiner Bohort ? Non mais attendez, pour qui vous me prenez ?
Guenièvre : non mais très bien. Je vous rappelle que ma surprise d'anniversaire est, comme son nom l'indique, une surprise. Après, si vous tenez à passer la nuit dans le couloir, on peut s'arranger.
Arthur, un peu paniqué : passer la nuit dans le couloir ?
Bohort : ma reine, je pense que le roi a simplement voulu connaître votre surprise, afin de pouvoir y répondre convenablement et...
Arthur : la barbe Bohort, mais taisez vous !
Guenièvre se rapproche, passe ses bras autour du cou d'Arthur en faisant la mou : vous ne voulez quand même pas gâcher ma surprise ?
Arthur, pose les mains sur les hanches de sa femme : mais non mais c'est pas ça...c'est juste que vous me faites toujours de super cadeaux...je voulais avoir une petite idée...histoire d'être à la hauteur quoi.
Guenièvre, en arrangeant le col de la tunique de son époux : hum...je ne suis pas sûre que vos excuses me suffisent cette fois-ci, Arthur.
Arthur, en deglutisant : ah ?
Guenièvre : je pense qu'il va falloir que vous trouviez un moyen de vous faire pardonner...vos petites indiscrétions.
Les mains d'Arthur se ressèrent autour de sa taille.
Arthur : oui ben heu...ça je pense que je peux trouver. Sans problème même.
Ils se regardent intensément pendant quelques instants. Arthur approche son visage de celui de sa femme, mais alors qu'il va finalement l'embrasser, Guenièvre se détache soudainement de son époux.
Guenièvre, un sourire en coin : venez seigneur Bohort, on a encore du pain sur la planche.
La reine et le seigneur Bohort s'éloignent ensemble dans le couloir.
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@godwithwethands Mino, ta merveilleuse BD m'a inspiré ce drabble ❤️ (je pense que tu verra clairement où est l'inspi)
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the-flowerwolf · 4 years
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"Happy Birthday"
A/N: @captainwanderlust78 HAPPY BIRTHDAY GIRL!!💙💙💙 I'm really bad at congratulations, so don't mind me. Jake can say it for me. Hope you will like it!
Jake x fem!MC
It was a special day. Her birthday.
Bella woke up late - last night, as soon as the clock struck midnight, she was showered with numerous congratulations. She barely managed to escape to bed a couple of hours later.
And since she had a completely free day, she decided that today she would do whatever her heart desires. Bella lay in bed, hanging in her phone. People were still congratulating her. Then she got up and sauntered into the kitchen.
The first thing that caught her eye was a huge bouquet that stood in the middle of the table. Bella smiled happily and walked over to it, noticing that there was also a cute Teddy bear and a beautiful sealed envelope.
She opened the letter.
"My love,
Most of all, on this special day, I would like to Wake up with you. I hope that your day goes well and that you enjoy this little surprise. Your favorite breakfast is waiting for you in the refrigerator. I know I'm not the best cook, but I tried ;)
We'll see in the evening. But to find out where exactly, you will have to solve a couple of riddles. Good luck and happy birthday!
Yours,
Jake"
Bella laughed. Jake is so Jake. But where should she start?
Bella carefully examined the letter and envelope, but nothing. There were no more notes. Then she picked up the bear. At one end of his bow was an inscription. Bella looked at her closely. It was like... Coordinates. Did Jake decide to limit himself to just one simple riddle this time? Bella decided to check out the place as soon as she ate her breakfast.
A couple of hours later, she was standing in the middle of the street, looking at the fashionable sign of a Atelier. Maybe the wrong address? Or were they really not coordinates, but something else? Bella decided to find out for sure. She pushed open the door and went inside.
The place was filled with a special atmosphere that immediately sunk into her soul. It was so cozy and peaceful... And even if Jake didn't really want to bring her here, Bella was glad she ended up here.
The sound of the bell immediately attracted the attention of a nice old woman who had been busy canceling a piece of cloth. She looked up and immediately smiled. Bella smiled back, but as soon as she wanted to say something, the woman's eyes and smile widened.
"Oh, it's you, honey! I hardly recognized you! You look even more beautiful in real life!"
This baffled Bella.
"You know me?"
The woman chuckled like she knew something that Bella didn't. Although, apparently, she really did.
"This cute boy showed me your photo when he came in here. And said the exact date when I should wait for you."
Bella chuckled. Yes, that was Jake's style.
"Come on, honey," the woman said, disappearing through a door in another part of the atelier, "I have something for you."
Bella ran after her. They entered the room with a whole bunch of clothes that were custom-made and that were still in the process. The woman disappeared among the mannequins, trying to find something.
"How do you like my place?" She asked.
"Is this your atelier?"
Woman laughed.
"Of course! Whose else could it be? My name is Beverly."
Bella found it odd that the name of the atelier was named as "Rose's place", but the owner's name was Beverly, but she decided not to ask any questions.
"My name is Bella."
"Your name really suits you, Bella... I bet it was here... Ah, there it is!"
Beverly returned, and Bella gave a little cry of delight. In her hand hung an extremely beautiful dress in the style of the 50s.
Beverly smiled at the reaction.
"I'm glad you like it, because it's yours now."
"Mine?" Bella asked incredulously. Did Jake do this for her?
"Of course yours, whose else! Now go, honey, or you'll be late for dinner!"
Still in shock, Bella didn't immediately understand what Beverly was saying.
"Dinner? Oh, right! Dinner!"
Beverly shook her head and smiled. Bella started to walk out of the atelier, thanking and saying goodbye to the woman at every step. As she reached for the door handle, Beverly suddenly called out to her.
"And one more thing, dear! If you need anything else, go to the Hills. We're moving in soon."
"Oh? And what's the address?"
Beverly waved her hand.
"You think I know? You'll find it on the Internet! Now go, don't keep your boyfriend waiting!"
When Bella got home, she started packing hard. The dress fit perfectly and she felt great in it. She had matching shoes and jewelry that she had long wanted to wear somewhere.
The evening was approaching, and as soon as the preparations were completed, Bella realized that she did not know where to go.
She texted Jake. Then again. And again. No answer. He also did not answer calls.
Bella was about to fall into despair when she suddenly remembered the riddles. There must be another one! But no matter how much she turned the apartment upside down, there was nothing there. Bella sank wearily into a chair. How should she solve this riddle?
Then Bella remembered.
She opened her laptop and started typing words into the search engine.
"Beverly Hills"
No, she doesn't need a city, thank you, Google...
"Beverly Hills new York"
Bella smiled. She knew where to go.
***
The place was just as special as the guy who was waiting for her there.
It was a cafe in the style of the 50s, in red and white colors and bright lighting.
Which was called "Beverly Hills".
Bella had long wanted to go to a place like this, but couldn't get around to it. So, Jake decided to take her here. On her birthday. She could have kissed him.
Friday night, the cafe was crowded. People were eating, talking loudly, and putting their heads in front of each other. But she noticed him immediately.
Jake was sitting in the far corner by the window, his back to her. He sat in his hood, watching life unfold outside the window. Bella walked over to him, a loving smile on her face.
"You and your riddles," she said, stopping behind him. Jake shuddered and turned around. Fear immediately turned to joy.
"I thought you liked my riddles," he was jokingly offended.
Bella giggled and kissed him on the lips before sitting down across from him.
"I love them!"
Jake seemed nervous.
"Did you like my gift?" He asked hopefully.
"I'm delighted!" She answered honestly, "Thank you very much! This is the best gift of all!"
Jake blushed and smiled.
"I'm glad you liked it."
A waitress came up to them. She was wearing a typical old uniform.
"What do you want to eat?"
Jake and Bella exchanged amused glances. They knew exactly what they were going to order. Jake turned to the waitress.
"Two Burger menus, one strawberry milkshake and one chocolate, please."
When the waitress left, the lovers turned back to each other. Their hands are on the table, fingers intertwined.
"How was your day?" Bella asked.
"Absolutely not the same without you."
Bella let out a chuckle. Now it was her turn to blush. Jake smiled.
"I haven't told you happy birthday today yet, so... Happy birthday!"
They laughed softly, but the amusement on Jake's face quickly turned serious. Bella was worried.
"I want to tell you something..."
"Oh God. You want to break up?"
"No, I..."
"The FBI found you?!"
Jake shushed and quickly turned around.
"Not so loud."
"Sorry... "
Jake smiled. He looked into her eyes and there was so much tenderness and love in them... How she wished he would always look at her like that.
"Hey. That's all right. I just wanted to say... I don't really like congratulations. I do not know what to say to others in such cases, and I feel false when they congratulate me. But right here and right now, I want you to know. I love you. The day we met was the second best day of my life."
Bella raised an eyebrow.
"The second?"
Jake smiled.
"The first one is the day you were born."
Bella chuckled.
"How can this be your best day? We didn't even know each other back then."
"You see, if I had the choice to cancel one of these days while still remembering everything... I would have chosen the day we met. It would break my heart, but at least I'd know you were out there somewhere, enjoying your life. But I can't imagine a world without you in it."
Bella squeezed his hand harder.
"I can't imagine a world without you in it either."
Jake lifted his other hand and ran his thumb over her cheek.
"One more thing. Like I said, I'm bad at congratulations. However, I will say something. I think you deserve the whole world. You are an amazing person, an amazing woman, a wonderful mother. The world is brighter because of you. I believe that whatever challenges life has in store for you, you will cope with everything. I appreciate you for who you are. And remember that I'm always here if you need me. Anytime. No matter what happens."
"Your order."
Lovers shuddered. The waitress placed the order on the table.
"Bon appetit," she said and left again.
Jake and Bella stared after her for a moment, then turned to each other and laughed again.
"That was weird."
"Yeah, that's for sure..."
Jake, still continuing to laugh, he took burger in his hands.
"I've heard their food is very good, and I really hope the rumors are true..."
"Jake?"
He looked up from his story.
"Yes, my love?"
Bella looked into his eyes, trying to convey all the feelings that were boiling in her.
"Thank you. You know for what exactly."
Jake smiled and winked.
"Yes. I know."
The food was really great, although they didn't really notice it. The lovers chatted about everything, not noticing how dark it was outside the window, or how people began to gradually leave the cafe. They just couldn't focus on someone or something else, even if they wanted to. It was just their night.
At some point, Jake got up from his seat.
"Where are you going?" Bella asked in surprise.
Instead of answering, he gave her a sly look and went to the other side of the cafe. Now she understood what he was up to.
"Oh no, you won't." She said softly, chuckling.
But he did do it. The jukebox started up and Jake turned to her, starting to dance a little. A song started playing. It was "Can't help falling in love with you" by Elvis Presley. The few remaining visitors turned in surprise toward the sound.
Jake slowly returned to her, a small smile on his lips. He held out his hand.
"My lady."
"You really want to dance? In the middle of a cafe?"
Jake shrugged carelessly.
"Why not? Do you suddenly care what other people think of you, Bella?"
She snorted.
"No, of course not. But what about you? Weren't you the one who said that you should not draw too much attention to yourself?"
"Well, what can I say, you've always affected me... like this."
Bella giggled.
"And I'm not sorry."
Jake's smile widened.
"I noticed that. Now take my hand, please. This is getting awkward."
She took his hand and he led her to the side of the cafe where there was the most space available.
Jake pulled her to him, putting one hand on her waist. The other still held her hand. Bella put her arm around his neck. They began to slowly circle in a slow dance.
"I love this song." Jake said softly. And, much to her surprise, he began to hum the lines so softly that only she could hear.
"Like a river flows
Surely to the sea
Darling, so it goes
Some things are meant to be
Take my hand
Take my whole life too
For I can't help falling in love with you"
The song ended quickly, but the lovers were in no hurry to let go of each other.
"Maybe we should stop standing in the middle of a cafe like this," he said.
"Just another minute..."
Jake laughed quietly.
"Okay. Just a minute."
***
After paying, they went home. The cafe was located not far from their flat, the weather was fine, so the lovers decided to walk.
But when they were almost home, Jake turned the other way.
"Where are you going?"
"Let's go!"
Bella good-naturedly rolled her eyes.
"You and your riddles again."
They entered a small pastry shop. Bella's mouth watered. Yes, they ate just recently, but sweets don't count! You can always eat them. And then there was such an assortment! And the smell!
Jake walked over to the cashier and gave him a name. A fake one, of course. The cashier left, but soon returned with a box in his hands. Jake paid and picked up the goods and went to the door. Bella hurried after him. Her eyes were shone.
"What is it, what is it?"
Jake smiled slyly.
"You'll see when we get home."
Bella snorted.
"You and your mystique," she muttered.
Jake laughed.
***
When they got home, Bella went to open the box first. Jake went into a living room and turned on a TV. He tried to turn on Netflix until he heard a squeal and felt his girlfriend hanging on to him.
"My favorite cake, thank you, thank you!"
This completely baffled Jake.
"Don't get me wrong, I'm glad you're happy, but I ordered you a dress, took you to a cafe you've been wanting to go to for a long time, and you snapped at me for a... Cake?"
Bella giggled and gave him a peck on the cheek.
"The cake wasn't the best part, silly. It's just that this day is getting better and better and it's all thanks to you!"
Jake smiled happily.
"I'm glad you like it. So, what do you want to watch?"
Bella gave him a sly look. Jake turned pale.
"Oh no..."
"Oh yes."
"Bella, please!"
"Jake, please! It's my birthday!"
She looked at him with puppy-dog eyes. Jake sighed.
"Okay," he said, looking for the movie, "I can't believe I'm going to watch After. Again."
Bella giggled.
"I love you too, darling!"
They took their drinks, cut the cake, and sat on a couch with their arms around each other, and started watching.
"You just like this sugary actor," he muttered resentfully.
"He may be beautiful..." Jake choked with indignation, "but he's not as hot as you, my love."
Jake, for the sake of decency, looked at her with an offended look for a few more moments, but then he couldn't help but smile.
"You think I'm hot?" He asked slyly.
Bella brought her face close to his.
"Take me to the bedroom and find out how much," she whispered.
And Jake did so.
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lonelypond · 4 years
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Soldier Game: Operation LA Smile, Ch. 2
NicoMaki, Love Live, 1.7K, 2/?
Summary: Maki flees the scene, Eli meets Nozomi, Umi amuses herself, Hanayo makes an appearance, and Nico decides on a distraction.
Chapter Two: Party Planning
Maki, not yet awake enough to open her eyes, pushed into something warm, firm, feeling herself relax, and then the images started playing behind her eyes, Yazawa so close, hands everywhere, asking, then taking over, then...Maki froze. If she opened her eyes now, what kind of look would be on Nico’s face. Best just to pretend to be asleep.
Pretend or not, the next time Maki was aware of anything, she felt colder. A quick sneak peek. No Nico. Wrapping the towel around her, Maki sprinted for the door, almost tripping over the weight she now had to shove aside. The hall, which way to the Soldier Game temporary office? To the left, Maki turned, and there was Umi, smirking, calmly waiting to see what Maki would do next.
Maki pulled the towel completely closed around her, hurrying past this obstacle. “I just need my go bag.”
“Rough workout?” Umi’s teasing voice always grated, “Need a shower?”
“Bite me.”
“Is there a line?”
Maki whirled, snarling, “I am so breaking you next time we spar.”
Umi shrugged, “That will never happen.”
“Oh it will. You can bet on it.”
“But I won’t.”
Maki didn’t have the mental energy for Umi in taunting mode. Most of her attention was listening for Nico’s voice so she could sprint away before Nico stepped into the hall.
“See you at dinner. Bring a friend.” Umi smiled.
“I’ll be in my hotel. Alone.” That was the rest of her evening. Every scented candle in Tokyo lit, lights low, music calming, soaking off this surprise encounter, forgetting what Nico smelled like when sweat and sex steamed off of her, long, lush, black hair slick, Maki’s legs were starting to wobble and if she didn’t get away soon...not thinking about that, Maki straightened herself up...ha! Inner Maki snorted, good luck with that...and rushed toward more clothes than this barely clinging bikini bottom.
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Ayase Eli was sharp, trim, on task and on time. Her suit was pressed, her hair in a high ponytail, her agenda to the point after a series of revisions. She didn’t need directions to the office assigned for her official meeting with Tojo-san. Eli was here to be the public face of Soldier Game, bringing together her friends to use their celebrity cachet to boost Japanese tourism, which had taken a huge hit due to the coronavirus pandemic and panic. Even with the advances in treatment and prophylactic treatments, with no vaccine, air traffic to Asia from the United States and Europe had suffered huge declines. And then there was the more important Soldier Game mission, ensure delivery to an underground biohacker network of biological data camouflaged by the designers of Feather Smile. The mission would start with a two week quarantine and reconnaissance in the hills of Malibu while their Hollywood contact Kousaka Honoka finalized photoshoot and filming details.
This was the office. Eli knocked politely and heard a trilled, breathy “Come in.” She opened the door and behind the desk, leaning forward, elbows on the desk, chin cupped in her hands, green eyes confident and friendly was a tall buxom woman in a floral dress and dark blazer combo.
“Tojo-san? I’m Ayase Eli.”
“Call me Nozomi.” There was a giggle, “I recognize you from the snaps in your file.”
“Of course.” Eli bowed her head.
“Please take a seat, Ayase-san. Umi has been sharing details of your procedures and requirements so some of the groundwork has been done.”
Eli nodded, “Before we get into that, may I ask who you work for?”
Nozomi chuckled, “You can certainly ask, although I can’t share all the details with you. It’s a governmental subdivision focused on international relations.”
“And you requested Soldier Game because…”
Nozomi leaned back, eyes narrowing, voice crisper, “I intend to take advantage of the male tendency to dismiss attractive women as anything but prey. My contact needs this information and my usual couriers would be at risk. We need a diversion.” A pause and a bright smile, “How’re your tan lines?”
“Huh?” Eli saw why Umi had noted that conversations with Tojo-san could quickly become unpredictable.
“FeatherSmile has decided on a beach and boxing theme.”
“And FeatherSmile is involved because…?” Eli hadn’t really paid that much attention to the dossier on the designers.
“They have the skills and technology I need for this mission. Surely you’re not planning to underestimate them, Ayase-san?” Nozomi arched an eyebrow to judgy.
Eli blushed slightly, “No, this is just very high profile. I’m wary of the risk to our covers. I want to be certain everyone involved is a professional.”
Nozomi stared at Eli for an uncomfortable length of time and then giggled, “Just smile and look pretty and make sure nobody shoots the talent. We’ll take care of the rest.”
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Kotori was humming as she worked on a dress. Nico shut the door to their atelier and threw herself on the divan.
“I think we should design and cut the whole collection during the two week quarantine.” Nico announced.
Kotori took her foot off the foot control pedal of her sewing machine and spun her stool around.
“It gives us more time to prep the fabric and make some contingency plans.” Nico seemed fascinated by the floor, her voice disinterested.
“Did something happen?” This Nico mood was rare and difficult to read so Kotori was very very curious.
“Things always happen, but Nico has it under control.” Nico waved her hands before flipping on her back, staring at the ceiling, “But a behind the scenes video would be a big FeatherSmile boost, especially with eye candy like that around.”
“Eye candy?” Kotori raised an eyebrow, “That sounds a bit…” Kotori paused, “predatory for you, Nico. Are we over the sexual harassment policy now? No more lectures?”
“Hey if,” Nico squeaked, winced and tried again. “Hey, if they want to wander around saying, “woo hoo, look at me, I am surface-of-the-sun hot”, Nico is going to take them at their consenting adult status.”
“Who is them, Nico?” Kotori asked quietly as she went back to the dress. Nico had to be edged into truths, not stared into them.
Silence, the chug of Kotori’s needle for minutes, then Nico threw herself back upright and pulled out her phone. “We have the bon voyage party tonight, yes?”
“Yes.”
“Want to sign some bras?” Nico smirked.
Now Kotori was insatiably curious. “We haven’t had an event like that…” since the launch of their underwear lines last Christmas ago. Which had nearly been a riot. A very profitable, very pretty riot that had Kotori spending the night partying with several fans in the FeatherSmile reserved suite. Nico had been chatting up investors at the bar. And their Spring Line had been fully funded, sight unseen. And was now sold out.
“Might as well give Tokyo something to remember.” Nico raised her phone, adjusted her hair, flashed her lady killer glitter smile, and hit one touch record, then raising her hand in The Gesture™ “Nico Nico Ni! How are all Nico’s pretty ladies? If you’re not busy tonight and your C19-Pass is clear, FeatherSmile is throwing a “See You At The Beach” Party tonight at the Andaz Tokyo Rooftop Bar, with some fab celebrity guests!!! Catch us if you can, before we head for LA and design our latest beach and activewear collection. And we’ll be doing bra signings, so wear your FeatherSmile originals and get a Nico selfie and signature. Nico wants to see ALL her fans.” Even for Nico, the wink was outrageous. So she tossed the phone on the table with a low mutter Kotori barely caught. “And now Nico will be too busy for whatever Nishikino wants to do next.”
Ah. Nishikino. Nishikino Maki. The glaring redhead. Kotori wasn’t surprised, well, a little by the speed. But it seemed this was going to be a mission on hyperfuel.
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Working from her porch, Hanayo had her laptop out, smiling as she paused to watch the alpacas and llamas wandering her ranch. They’d been sheared recently so many looked bare, but now Hanayo would have a usable amount of textiles for the FeatherSmile team as Ms. Tojo requested. So exciting to be involved with celebrities, Hanayo thought as she liked Sonoda Umi’s latest TWIG video, a warm up routine. And a photoshoot, with all of Soldier Game posing, beachwear Ms. Tojo had said, and….Hanayo reached for her hand fan and held her iced tea to her forehead. It did get a little hot out here. Hanayo had been following FeatherSmile since their debut so it was amazing to have the opportunity to actually get to meet Nico and Kotori. Hanayo’s eyes gleamed behind her glasses. She wasn’t going to think about the part of this that scared her, maybe finally getting on the radar of the pharmacops, instead she was going to stay focused on the excitement.
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“They’re throwing a party?!?!?!?!” Maki was in the repurposed office that Umi had taken over for Soldier Game, going through their medical equipment stash. Tojo’s US contact would have most of what else they needed but Maki refused to travel without personally assembling her own kit.
“Yazawa wants a big bang.” Eli turned away from her screen.
Maki frowned, reading the FeatherSmile TWIG announcement on her phone, “Sign your bras?!?”
Eli shrugged, “It’s a thing they do. Their underwear line was an extremely romantic Christmas gift last year.”
“And comfy.” Umi didn’t pause in her kata.
Maki nearly dropped the surgical instruments she was holding, “You’re wearing some?”
“No, but I do own a few pieces. They are both frilly and practical.”
“And romantic?” Eli looked up from her paperwork with a teasing wink.
“That was not a consideration. I found the lace trim color contrast aesthetically pleasing and the support appropriate for everyday activities.” Umi finished her form and bowed. “If you do not wish to attend this evening’s festivities, Maki, I’m sure a tantrum would be an effective addition to the publicity brew.
Eli returned her attention to her paperwork, “And very in character.”
“I thought we were leaving tomorrow?” Maki ignored her colleagues’ suggestion.
“Flight got pushed back a day. Tojo’s having some red tape problems. I am assisting her.” Eli started entering numbers into her desktop, “And some of our more sensitive equipment will go through the diplomatic pipeline, which is a huge plus.”
Maki went back to sorting medicinal necessities, occasionally muttering sentences ending with, “bra.”
A/N: The world needs more fun stuff so I decided to post this and just kick off the next chapter with a huge party. Also, Happy Birthday, Nozomi!
Take care, especially if you're out there doing the good work of protesting police brutality against Black lives.
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paleparearchive · 3 months
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What's Missing
Van Gogh's 1st initial 3★ story (2/2) ( 1 - 2 )
Location: atelier (night) ; kitchen (night) | Characters: Van Gogh, Millet
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Van Gogh: (Phew… Maybe it looks good this time. But it still doesn't come close to Millet-san's painting.)
Speaking of which... I'm hungry. What time is it… Uh, it’s dark!?
(Before I knew it, it was night... I should be hungry.)
Mmmh… I'm almost done with the painting, but…
(... I’ll take a break. Is there anything to eat in the kitchen?)
Van Gogh: (I knew it, everyone is already asleep... I have to be quiet so I don't wake them up.)
Huh, there’s a note on the table… Is it for me?
“You were concentrating, so I didn't call out to you. There's soup in the pot, so heat it up and eat it”... Everyone... You took care of me. I'll have to say thank you tomorrow!
I'll heat it up right away… Woah!?
*CLANK!*
Van Gogh: O-Oh no…!
Millet: … Van Gogh? I heard a loud noise... Are you okay?
Van Gogh: S-Sorry, I woke you up… And the food, after all the trouble you went through to make it…
Millet: Don't worry about it. I just came to drink some water. You’re going to eat dinner now, aren't you? I'll prepare it now, so wait a bit.
Van Gogh: T-Thank you…!
Millet: Thanks for the wait. Sorry it's so simple.
Van Gogh: No, it’s okay! Thanks! Bon appetiiit!
Millet: You've been painting until this late?
Vam Gogh: Hahaha, I got carried away... Thanks for lending me your painting. I feel like I'm getting somewhere thanks to you!
Millet: I’m glad of it. But don't push yourself too hard. You should eat well, too. Everyone else was worried as well… I mean, it's a good thing you’re working so hard, Van Gogh.
Van Gogh: Hm, I’ll be careful. I'll have dinner with everyone tomorrow!
Millet: Not only tomorrow, but also after that, okay?
Van Gogh: Okaaay!
Van Gogh: Thanks for the food! Your cooking was so delicious, Millet-san!
Millet: Haha, thank you. You also helped me with the cleanup.
Van Gogh: It's my fault for eating late, I can't let you do it alone. I was thinking of painting again after this, so don't worry!
Millet: Are you going back to the atelier? … If so, may I see your painting?
Van Gogh: Of course! Then let’s go together, shall we?
Van Gogh: I still haven't come close to your painting…
Millet: You're right, the atmosphere is a little different from my painting. But it's very Van Gogh-like, which I think is good too.
Van Gogh: Really!? Hehehe… I'm glad to hear you say so, Millet-san.
Oh right, I wanted to ask about this part... How do you get this touch?
Millet: Ah, you can use the brush like this here. Can I borrow that? I'll just…
Van Gogh: I see, so that’s what I should’ve done! Then I can put blue on this ear…!
… I did it! This is the best feeling I've ever had!
Millet: Yes, it's a very nice picture. You can feel the liveliness of the farmers.
Van Gogh: I don't think I could have made it this far without your help, Millet-san. Sorry for borrowing your picture for so long. I think I've learned a lot thanks to you!
My next painting is going to be really good. Seriously, thank you!
Millet: No... Actually, I wasn't sure what kind of painting I was going to do either. You gave me a good inspiration. I should be able to finish this painting tomorrow. It has to be as good as your painting.
Van Gogh: Yeah! I’m looking forward to it! I'll do my best too!
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omagazineparis · 2 months
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Passer du bon temps entre amies : les meilleures applications pour sortir en toute sécurité.
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Ah, sortir entre amies ! Rien de tel pour se détendre et s'évader du quotidien. Mais pour que la fête reste inoubliable pour les bonnes raisons, l'utilisation d'applications dédiées peut être un vrai plus. Ces petits bijoux technologiques nous assurent sécurité, organisation sans faille et découvertes de lieux tendance. Prêtes à transformer vos sorties ? Suivez le guide ! Soirées entre amies : 100% fun, 0% budget ! Pas besoin de casser la tirelire pour s'amuser entre amies ! Laissez libre cours à votre créativité avec des ateliers DIY : customisez vêtements ou accessoires, fabriquez vos propres cosmétiques... Envie de grand air ? Optez pour un pique-nique gourmand dans un lieu insolite : parc arboré, toit terrasse, bord de mer... Préparez un assortiment de plats maison à partager et savourez l'instant présent. Pour les plus aventurières, lancez-vous dans une chasse au trésor urbaine ! Dispersez des indices énigmatiques à travers la ville et partez à la recherche d'un trésor caché. Rires et surprises garanties ! L'important est de miser sur l'originalité et de partager des moments uniques qui souderont votre amitié. Sortir entre amies : 5 applis pour des aventures inoubliables ! Envie de pimenter vos soirées entre copines ? Oubliez les soirées Netflix banales et découvrez 5 applis qui transformeront vos sorties en aventures mémorables ! 1. Eventbrite : votre chasse au trésor d'événements ! Des ateliers DIY aux concerts intimistes, dénichez les pépites cachées près de chez vous et préparez-vous à vibrer ensemble. 2. Meetup : bye-bye la solitude ! Rejoignez des groupes de passionnées comme vous et partagez des activités qui vous ressemblent. Randonnée, lecture, yoga... il y en a pour tous les goûts ! 3. Facebook Events : le pouls de votre ville ! Soyez à la pointe des soirées branchées, festivals de musique et événements incontournables. Fini les soirées ratées, place à l'extase ! 4. Yelp : l'antre des exploratrices culinaires, idéal pour sortir entre amies ! Testez les nouveaux bars, restaurants et cafés tendances grâce aux avis de la communauté. Vos papilles vous remercieront ! 5. Time Out : votre guide VIP de la culture ! Expositions, pièces de théâtre, concerts... Laissez-vous transporter par des expériences inoubliables qui vous couperont le souffle. Rencontrez de nouveaux amis pour des sorties fun ! Envie de briser la glace et de multiplier les sorties amicales ? Des applis comme Meetup ou Couchsurfing vous ouvrent les portes à des groupes partageant vos passions. Rejoignez une communauté de randonneurs, de cinéphiles ou d'amateurs de cuisine et vivez des aventures inoubliables en toute sécurité. Fini la solitude ! Les avis et recommandations des utilisateurs vous permettent de choisir des groupes fiables et accueillants. Planifiez vos sorties entre amies en toute sécurité et confiance ! Dans un monde hyperconnecté, la sécurité et la facilité d'utilisation sont des priorités absolues, surtout pour organiser des sorties entre amies. Heureusement, les applications suivantes ne se contentent pas de proposer un large choix d'activités et d'événements ; elles intègrent également des fonctionnalités de sécurité innovantes et sont saluées par les utilisateurs et les experts. Eventbrite : simplicité et sécurité - Interface intuitive pour une recherche et une inscription faciles aux événements. - Billets électroniques sécurisés pour protéger vos informations. - Approuvé par James Lyne, expert en cybersécurité chez Sophos : "Eventbrite offre des mesures de sécurité robustes pour garantir la protection des utilisateurs." - Avis positif sur Trustpilot : "Facile à utiliser, grande variété d'événements, parfait pour organiser des sorties entre amis." Meetup : rencontrez des gens partageant vos passions - Création de communautés autour d'intérêts communs. - Vérification de l'identité des organisateurs et participants pour une sécurité accrue. - Approuvé par le sociologue Robert Putnam : "Meetup renforce les liens sociaux tout en maintenant un haut niveau de sécurité et de confiance." Facebook Events : sortir entre amies en toute convivialité et familiarité - Explorez les événements organisés par vos amis et connaissances. - Fonctionnalité "Confirmer sa présence" pour voir qui participe. - Avis positifs sur Trustpilot : "Facile à utiliser, encourage la participation et la découverte de nouvelles personnes." Yelp : avis fiables et sécurité des données - Avis détaillés sur les bars et restaurants. - Protection des avis et des informations personnelles. - Approuvé par la Consumer Technology Association : "Yelp s'engage à protéger les données des utilisateurs." - Avis des utilisateurs : "Les recommandations sont fiables, c'est un outil précieux pour découvrir de nouveaux endroits." Time Out : culture et sécurité - Critiques et recommandations pour des événements et lieux culturels. - Filtres pour trouver des événements sûrs et accessibles. - Approuvé par Sarah Hemming, critique culturelle au Financial Times : "Time Out offre une expérience utilisateur exceptionnelle et un contenu riche." En combinant des avis positifs, des recommandations d'experts et des fonctionnalités de sécurité robustes, ces applications deviennent des outils incontournables pour organiser des sorties entre amies, garantissant amusement et tranquillité d'esprit. N'oubliez pas : votre sécurité est la priorité absolue. Privilégiez les groupes et événements dont les organisateurs sont vérifiés et les lieux sont bien éclairés et accessibles. Soyez prudente et faites preuve de bon sens lors de vos rencontres. Sortir entre amies : les bons réflexes pour une sécurité optimale ! Pour que vos soirées entre amies riment avec plaisir et tranquillité, voici quelques bons réflexes à adopter : 1. Prévenez toujours une proche de votre localisation. Avant de partir, partagez votre itinéraire et le lieu de votre soirée avec une amie ou un membre de votre famille. Indiquez-leur également l'heure approximative de votre retour. 2. Assurez-vous que votre téléphone est chargé. Un téléphone portable bien chargé peut vous sauver la vie en cas d'urgence. Il vous permettra de contacter vos proches, de commander un taxi ou d'utiliser les applications de sécurité. 3. Utilisez les fonctionnalités de partage de localisation des applications. De nombreuses applications de sécurité et de transport permettent de partager votre localisation en temps réel avec vos proches. Cette option peut s'avérer très utile en cas de problème. 4. Choisissez l'application qui vous convient le mieux. En fonction de vos envies et de vos besoins, plusieurs applications peuvent vous aider à organiser vos soirées entre amies. Que ce soit pour rencontrer de nouvelles personnes, trouver des événements originaux ou simplement vous organiser, il y a forcément une appli pour vous ! Les sorties entre amies sont des moments précieux qui permettent de se détendre et de créer des souvenirs inoubliables. En prenant les bonnes précautions et en s'équipant des meilleures applications, vous pouvez profiter pleinement de vos soirées en toute sécurité. **Et vous, quelles applications utilisez-vous pour organiser vos soirées ? Partagez vos coups de cœur dans les commentaires ! ** Votre sécurité est la priorité absolue. Soyez prudente et faites preuve de bon sens lors de vos sorties. Read the full article
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redlabopedagogique · 4 years
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#La Petite école : reprise 
Nous avons ré-ouvert la Petite école depuis deux semaines maintenant. Quatre enfants sont présents deux heures par jour. Pour les autres, c’est encore trop difficile de braver les peurs liées à cette période d’incertitude.
Alors c’est Ch., le plus jeune, qui enivre la Petite école par ses rires, son sourire, sa joie d’être là, ses questions, ses observations : “Les coccinelles c’est quand même bien fait, parce qu’elles n’ont pas besoin de docteur pour pondre des oeufs.. nous oui” - Prenant un bic : “mais ce bic ne travaille pas !!. ah si si il travaille ... comment on dit chez vous quand un bic travaille ? - On dit qu’il fonctionne” Il lève les yeux au ciel, l’air interrogateur. C’est lui encore qui chante avec entrain la comptine du matin avec Corentin.  
C’est Zh. qui dès qu’elle passe la porte d’entrée, va se laver les mains et retrouve son sourire ... elle sait lire désormais. On retrouve la lenteur de son geste, sa précision. On découvre la joie dans son regard quand elle prononce un mot en français. Exercice auquel elle s’adonne de plus en plus avec de moins en moins de réserve, de timidité. 
C’est Al qui, au début, restait un peu distant des autres enfants mais qui depuis quelques jours, rigole avec Zh, taquine Ch. ... vient me dire que je ne prononce pas bien le prénom d’As, et me le fait répéter jusqu’à ce que ce soit bien ... enfin puisque je n’y arriverai pas, il abandonnera en éclatant de rire. C’est lui qui se concentre lorsqu’on étudie le développement des graines de pois, sourit quand on les plantes ... me demande de pouvoir ramener du matériel chez lui pour refaire l’atelier avec son frère. 
C’est As, qui est là tous les jours à 8h15. Quand elle est fatiguée lire est plus difficile. Même si certain jour elle dit “aujourd’hui je ne sais pas” sa volonté, sa persévérance restent malgré tout fascinantes. On a l’impression de voir, dans ses yeux, son coeur qui bat vite quand elle est fière. C’est elle qui nous observe de loin, mais c’est elle aussi qui nous fait chaque jour une blague avant de nous dire “au revoir, à demain”. C’est encore elle, qui dessinant des fleurs, s’arrête et me regarde en me demandant : “elle est où madame Juliette ?”.
Mais c’est aussi Nathalie qui vient les vendredis faire des ateliers de dessins collectifs ... une manière de créer une première rencontre, d’établir des liens qui lui seront nécessaires puisque c’est elle qui suivra ces enfants l’année prochaine, lorsqu’ils seront à la grande école.
C’est Claire qui vient les mercredis faire le cours de yoga. On termine par le Yoga du rire .. La première fois, As et Zh rigolent en enfouissant leur visage dans le tapis, c’est plus difficile pour Al, Corentin et moi d’arriver à se lâcher mais très vite on se laisse emporter par le rire de Ch qui envahit la pièce. C’est Ch encore qui au début de la deuxième séance demande : Madame Madame c’est quand qu’on rigole ? Lui qui rit toute la journée.
Et puis c’est Sophie qui viendra faire un dernier atelier contes ... elle retravaillera avec eux le conte envoyé aux enfants durant le confinement : Jeannot et Margot des frères Grimm. C’est elle qui me parle du film d’Abbas Kiarostami, Où est la maison de mon ami ? Elle aimerait l’adapter en conte pour les enfants de l’an prochain ... mais bon me dit-elle : peut-être qu’il n’y a pas assez d’embuches, de retournement de situations ... mais je vais trouver. Ses idées qui fusent déjà, son envie de s’investir encore et toujours dans ce projet, de le questionner, me portent en cette fin d’année.
Enfin Ch. m’interpelle mercredi : Madame Marie, maintenant c’est moi qui vais faire le au revoir ... il appelle chaque enfant, chaque adulte un à un ... leur verse du sable sur les mains et les invite à choisir une figurine. Et quand il a fini, il m’appelle : Voilà, maintenant c’est à toi de dire au revoir à Ch... Il m’indique où m’asseoir, me tend ses mains pour que je lui verse du sable. En partant hier, “la semaine prochaine, ce sera Al. qui dira au revoir”. 
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