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#Armée américaine
carbone14 · 6 months
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M4A1 Sherman à l'entraînement – Fort Knox – Kentucky – Etats-Unis – Juin 1942
Photographe : Alfred Palmer
©United States Library of Congress – LC-DIG-fsac-1a35224
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chinemagazine · 1 year
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Des simulations montrent un échec probable d'une invasion chinoise de Taïwan
Le CSIS a estimé que toutes les parties impliquées directement dans un tel conflit allaient subir des pertes «énormes».
Le Center for Strategic and International Studies a estimé que toutes les parties impliquées directement dans un tel conflit, c’est-à-dire les États-Unis, la Chine, Taïwan et le Japon, allaient subir des pertes «énormes». Une invasion de Taïwan par la Chine serait probablement vouée à l’échec si les États-Unis venaient à défendre l’île, selon le cercle de réflexion américain. Ce dernier a publié…
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presslakay · 1 month
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Crise en Haïti | Des législateurs américains bloquent un financement urgent pour le déploiement de la MSS
Alors qu’un fond promis par les États-Unis pour le déploiement de la force multinationale en Haïti est attendu, les législateurs américains, tous du parti républicains refusent catégoriquement de le débloquer. Pendant ce temps, le pays continue de plonger suites aux vagues plus meurtrières les unes que les autres de violences des gangs armés. Quarante millions de dollars, c’est le montant exact…
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francoisege · 2 years
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Panique
Nous étions si fragiles…     Les premières déclarations des Autorités s’étaient voulues rassurantes mais, en réalité, aucun plan de secours ne semblait avoir été prévu, malgré la centaine d’attentats nucléaires déjà commis dans le monde. Les pompiers n’étaient pas équipés pour ce type de catastrophe et les hôpitaux non plus! Des soldats patrouillaient avec de drôles de scaphandres qui auraient pu…
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homomenhommes · 6 days
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« Acte de l'homme » (1770) Tadeusz Ko ściuszko (1746-1815) Chef polonais et armée générale de brigade américaine
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cellobis · 9 months
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Pq Gay?
Sur la question du genre, il est svt dit qu’il est déterminé à la naissance, qu’il s’affirme à la puberté. Les choses ne sont pas si simplistes. Dans son fameux rapport, Kinsey est clair, considérant qu’une grande part de la population même « normalement » hétérosexuelle est en fait sinon homo, au moins bisexuelle, et si pas dans son comportement, certainement dans ses fantasmes les plus profonds. Faut pas non plus oublier que l’emprise judéo-chrétienne a été castratrice concernant la sexualité au point de la diaboliser, ne lui donnant que deux solutions compatibles avec le sacro-saint salut : soit l’abstinence absolue (pour les célibataires cléricaux ou laïcs), soit le contrôle régulé par le mariage ne permettant à l’acte sexuel de n’avoir lieu rien que dans un but procréatif. Tout le reste ne pouvait qu’être voué aux gémonies, et à l'enfer éternel. Cette hypocrisie a permis pendant des siècles aux religieux de s’acoquiner avec la puissance des États pour contrôler tous les individus au sein des familles, ce afin de légiférer le monde. Attitude pernicieusement mensongère, car il ne faut pas être médecin pour savoir que les corps ont cet impérieux besoin d’exulter par le sexe, très régulièrement tout comme ils ont besoin de respirer, pour vivre et de faire pulser le sang par un cœur battant. L’abstinence n’est pas possible sur toute une vie et provoque toutes les déviances, abus et vices que les autorités ecclésiastiques ont caché sous cape pendant des siècles, enterrant des fœtus sous le sol des basiliques et des couvents, sacrifiant des foultitudes de nones et d’enfants de coeur. Pour s’évader des carcans sociétaux et familiaux, il y avait depuis que le monde existe des maisons des bordels, avec des filles et des garçons, des marins et des poètes, mais comme les Américains aux temps de la prohibition, nos sociétés ont prohibé ces échappatoires, notamment au prétexte du respect hypocrite de la condition féminine qu’il ne fallait plus ni exploiter. Il n’y aura donc plus de « P. respectueuse », J.P. Sartre n’est plus là pour le contredire. Alors le porno a pu s’épanouir sur les sites internet, ouvrant un marché juteux (sans jeu de mots) en enrichissant une maffia sans scrupule, en avilissant bien souvent les corps féminins devenus marchandise. La condition féminine y est avilie, soumise, infériorisée par des tas de mâles dominants qui la pénètrent par tous les orifices, la sodomisant pas que dans le cul , car en plus du sens propre, celui du figuré, l’aspergeant de façon systématiquement dégradante. C’est souvent  à vomir. De façon paradoxale, les sites lesbiens ou gay sont eux beaucoup plus esthétiques. Il y a là aussi des schémas dominants dominés, mais en cherchant un peu, beaucoup de séquences parmi les gays sont bien davantage érotiques que pornos, mettant en valeur de véritables éphèbes et dieux grecs, avec de surcroit beaucoup de respect égalitaire. C’est beau un 69 bien filmé de deux gays qui s’aiment passionnément. Leurs yeux sont égaux, toutes les parts de leurs corps sont égales, sexes, pieds, mains, bras, épaules, jusqu’à leurs âmes. Quand, sans autre possibilité de choix malgré nos hésitations adolescentes, on a été formaté hétéro au XXème siècle où il a fallu attendre 1982 pour être dépénalisé de ses propres penchants jusqu’alors considérés comme pervers alors qu’ils représentent entre 10 et 15 % de tout le monde vivant, et que l’on vienne à s’évader quelques soirs de solitude sur de tels sites, il arrive qu’on découvre de la beauté, de l’esthétique du réconfort, jusqu’à se rassurer sur ce que l’on est vraiment, en communiquant avec des complices. Et donc le dégueulasse n'est pas là où certains le croient. Et donc, il arrive que l’on vire sa cuti, malgré la révolue et vieille éducation des curés, des mères folcoches, des instituteurs armés de règles pour écraser les doigts des gauchers. Ainsi, on finit par se découvrir tel qu’on est, au propre et au figuré, redevenu pur comme notre peau quelle que soit sa couleur ou son odeur
merci de vous
Cell
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aurevoirmonty · 2 months
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« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française.
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
📌 CYBER – Des nouvelles cyberattaque pro-russes contre la France Avec @emiliebrouss, @ericbrunet et @cyberguerre C’est en ce moment sur #LCI #La26 ⤵️ pic.twitter.com/anUTXNa6wZ — LCI (@LCI) March 11, 2024
Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
Démocratie Participative
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Fruit du Maclura pomifera appelé couramment oranger des Osages ou bois d'arc est un arbre d'origine nord-américaine appartient à la même famille que les mûriers. Le Maclura est monotypique, ce qui signifie qu'il n'en existe qu'une seule espèce. Il se développe naturellement dans le sud des États-Unis. Il tire son nom des Oranger des Osages, une tribu indienne qui utilisait le bois du Maclura notamment pour la confection des arcs et des haches. Sa couronne est large et plus ou moins aplatie. Étant donné ses branches très épineuses, il est souvent utilisé comme arbre de haie en Amérique du Nord. Ses feuilles sont de forme variable, bien que le sommet du limbe soit toujours longuement acuminé. Elles deviennent jaunes en automne. Il s'agit d'un arbre dioïque ; il existe donc des spécimens mâles et des spécimens femelles. Il faudra donc un arbre avec des fleurs mâles pour produire du pollen et une autre arbre qui produit des fleurs femelles. Si fécondé cette femelle peut portes des gros fruits ronds de la taille d'une belle orange. Sa floraison discrète est suivie de l'apparition de fruits aromatiques rappelant quelque peu les oranges. Leur peau verruqueuse est initialement jaune verdâtre et vire au jaune orangé par la suite. Résistance moyenne au froid. Le fruits n'est pas comestible étant extrêmement amer. Il y également le cudranier de chine ou mûrier chinois de son nom latin cudrania tricuspidata renommé de nos jours maclura tricuspidata, il a un développement en mode nonchalance, dont il faut savoir attendre et mûrir dans la placidité, être serein armé de cette vertu de la patience qui plus est sachez que les premières fructifications apparaissent au minimum au bout de 10 à 15 années de croissances à partir d'un fuseau ou d'un scion, de plus qui n'est point négligeable ses fruits plus petits et rougeâtres sont comestibles et succulents. Et un avantage il se greffe très bien sur le maclura pomifera l'oranger des Osage, le fait qu'ils sont de la même famille celui de moraceae. Ainsi de cette greffe rendra la fructification encore plus précoce et plus importante, en âge adulte produit plus d'une centaine de kilos.
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esther-nvr · 1 month
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Référence commentées
Joaquin Sorolla
Ce peintre était connu pour ses œuvres lumineuses et vibrantes qui capturaient la vie quotidienne en Espagne à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Il excellait dans la représentation de la lumière, utilisant des couleurs vives et des effets de lumière pour créer des toiles éclatantes. Outre ses compétences artistiques, Sorolla était également un homme très engagé socialement. Il a utilisé son art pour sensibiliser aux problèmes sociaux de son époque, notamment en peignant des scènes de la vie quotidienne des pêcheurs, des ouvriers et des enfants défavorisés. Son engagement et sa vision de la famille reflétés à travers ses oeuvres, sont une source d'inspiration pour mes propres créations. 
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Frida Kahlo
Frida Kahlo est une artiste mexicaine du XXe siècle, célèbre pour ses autoportraits émotionnels et introspectifs. Son œuvre explore la douleur physique et émotionnelle, l'identité, le genre et la culture mexicaine. Elle a utilisé la peinture comme moyen d'exprimer son vécu, marqué par un accident traumatisant, une relation tumultueuse avec Diego Rivera et un engagement politique. Ses tableaux, riches en symboles, sont aujourd'hui reconnus mondialement, faisant d'elle une figure féministe emblématique de l'art. En tant que femme, la puissance de ses œuvres m'a inculqué une vision plus impactante de l'art.
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Willy Ronis
Willy Ronis était un photographe français renommé, reconnu pour ses contributions significatives à la photographie humaniste. Né à Paris, son travail a capturé la vie quotidienne et les scènes de rue, mettant en lumière la beauté de l'existence ordinaire. C'est à travers son livre "ce jour là" que j'ai découverts Willy Ronni, c'est avec son oeuvre que ma passion pour l'argentique fût révélée. Ses photographies, empreintes de sensibilité sociale, reflètent son engagement envers les valeurs humanistes et son intérêt pour la condition humaine. Ronis est particulièrement célèbre pour ses images intemporelles de Paris et pour avoir documenté la vie des travailleurs et des familles. 
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Tishk Barzanji
Tishk Barzanji est un artiste visuel et illustrateur basé à Londres, connu pour son travail artistique contemporain. Originaire du Kurdistan irakien, Barzanji a fui la région en raison de conflits armés pour finalement s'installer au Royaume-Uni. Son art se caractérise par des paysages urbains surréalistes et des compositions abstraites, souvent dominées par des teintes pastel et des formes géométriques. Barzanji explore des thèmes tels que la nostalgie, la mémoire et l'étrangeté à travers ses créations, qui ont été exposées dans plusieurs galeries et ont attiré l'attention pour leur esthétique distinctive et leur narration visuelle intrigante. Le parcours de cet artiste me touche particulièrement, il arrive à exprimer son histoire d'une façon poétique. 
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Iris van herpen
Iris van Herpen est une créatrice de mode néerlandaise renommée, née en 1984. Elle est reconnue pour son approche avant-gardiste et innovante de la mode, explorant les intersections entre la technologie, la science et l'art. Ses créations sont souvent caractérisées par des techniques de coupe complexes, des matériaux futuristes et des formes sculpturales uniques. Van Herpen a collaboré avec des scientifiques, des architectes et des artistes pour repousser les limites de la mode contemporaine. Je trouve sa façon de travailler avec les volumes et l'espace l'espace très intéressante. J’ai énormément apprécié son exposition sculpting the scene MAD (musée des arts décoratifs) cela m’a permis d’apprendre d’avantage sur sa manière de travailler ses créations ainsi que de comprendre sa vison du monde. Elle a fondé sa propre maison de couture, Iris van Herpen, en 2007, et ses collections ont été présentées lors de défilés de mode internationaux, suscitant l'admiration pour son approche visionnaire de la création de vêtements.
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Daniel Roseberry
Daniel Roseberry est un designer de mode américain, surtout connu pour son rôle de directeur artistique de la maison de couture Schiaparelli. Né en 1986, il a été nommé à ce poste en 2019, apportant une vision moderne et innovante à la maison de couture fondée par Elsa Schiaparelli. Roseberry a gagné en reconnaissance pour ses créations audacieuses, combinant l'héritage surréaliste de Schiaparelli avec des éléments contemporains. C'est ce que j'apprécie dans ses créations, souvent caractérisées par des détails excentriques et des formes inattendues. Il arrive à créer des pièces qui se démarquent dans le monde de la haute couture. Daniel Roseberry a ainsi contribué à insuffler une nouvelle vie et une nouvelle énergie à la maison de couture emblématique.
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Wes Anderson
Wes Anderson est un réalisateur, scénariste et producteur américain né le 1er mai 1969. Il est connu pour son style cinématographique distinctif et sa mise en scène visuellement captivante. Son travail est souvent caractérisé par des décors minutieusement conçus, des couleurs vives, des dialogues stylisés, une utilisation distinctive de la musique et une distribution récurrente d'acteurs tels que Bill Murray, Owen Wilson, et Jason Schwartzman. Les films de Wes Anderson sont souvent considérés comme des œuvres d'art visuelles, et il a reçu de nombreuses nominations et récompenses pour son influence unique dans l'industrie cinématographique. Son travail est remarquable et très pointilleux, tout est dans le détail et je trouve cela très important. Selon moi le détail est ce qui permet à une oeuvre d'apporter plus d'intention.
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(Il y a deux ans)
«(…) Il y a une volonté d'accomplir le “saut de la foi” et de sortir du circuit global à l'œuvre ici, qui s'est exprimée de manière extrême et terrifiante dans un incident bien connu de l'histoire de l'humanité: pendant la guerre du Vietnam, après l'occupation d'un village par l'armée américaine, les médecins militaires ont vacciné les enfants sur le bras gauche afin de démontrer leur souci humanitaire. Puis le village a été repris par les Vietcongs, et ils ont coupé le bras gauche de tous les enfants vaccinés… Bien qu'il soit difficile de soutenir cet exemple comme un modèle à suivre, ce rejet complet de l'ennemi, précisément dans son aspect “humanitaire” et “bienveillant”, quelqu'en soit le prix, doit être approuvé dans son intention fondamentale.»
(Slavoj Žižek, Irak ou le chaudron cassé)
Comment ne pas concevoir de l’admiration pour l’âme guerrière de ce peuple vietnamien qui a résisté à l’occupation des plus grandes armées du monde sans jamais rompre ni se soumettre.
À l’opposé de ça, il y a les marxistes d’opérette qui exigent le “passanitaire” pour entrer à la Fête de l’Huma. Des communo-macronistes, probablement… Des co-labos, sûrement.
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lepartidelamort · 2 months
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« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française
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Mourir sous les ordres d’une fiotte, ça donne le vertige
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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Stupides goyim !
De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
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Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
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carbone14 · 1 month
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Soldat américain – Bataille de Guadalcanal – Campagne des îles Salomon – Guerre du Pacifique – Guadalcanal – Iles Salomon – 26 janvier 1943
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chinemagazine · 1 year
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Pékin a refusé un échange téléphonique avec Washington
La Chine a refusé la proposition américaine d’un appel entre le chef du Pentagone Lloyd Austin et son homologue chinois Wei Fenghe
La Chine a refusé le 4 février la proposition américaine d’un appel téléphonique entre le chef du Pentagone Lloyd Austin et son homologue chinois Wei Fenghe, peu après que l’US Air Force a abattu un ballon chinois. “Notre engagement pour conserver des canaux de communication ouverts se poursuivra”, a déclaré le 7 février le général Pat Ryder, un porte-parole du Pentagone, après le refus de la…
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mmepastel · 2 months
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Hop hop hop, c’est les vacances, je poursuis ma fixette sur Lola Lafon.
Elle a décidément beaucoup de talent, je me suis encore fait avoir, en lisant ce roman. Comme il était fondé sur un événement réel, j’ai cru que le personnage de Gene Neveva était également vrai. Elle est vraiment douée pour créer des personnages auquel on croit.
Bref, je ne connaissais pas du tout l’histoire incroyable de cette jeune Patricia Hearst, fille d’un magnat de la presse américain, qui se fit enlever par un groupuscule libertaire et révolutionnaire, le SLA, en février 1974. Le truc dingue, c’est que 2 mois à peine plus tard, la riche héritière proclamait être leur alliée et combattre auprès d’eux. Elle participa même à des braquages de banque !!!
Histoire réelle foutraque où on ne comprend rien, et le roman participe à cette confusion en multipliant les lectrices des événements : la narratrice qu’on découvre à mi roman, l’universitaire chargée de rédiger un rapport pour la défense lorsque Patty est arrêtée et s’apprête à être jugée, et au milieu, Violaine, étudiante engagée par la charismatique enseignante américaine, un peu perdue, dévouée. Chacune épluche le dossier, les fameuses déclarations successives de Patricia qui communique avec ses parents (et le FBI) sur bandes enregistrées, épie les photos, les rapports de psychiatres, le passé de la jeune fille pour savoir si elle a subi un lavage de cerveau (ce qu’on semble désormais confondre avec le syndrome de Stockholm). Elles discutent, supputent, argumentent, tâtonnent. Comme pour Nadia Comaneci dans son roman précédent, l’autrice met un point d’honneur à laisser les questions ouvertes et à ne pas trancher. On n’aura pas d’explication finale ferme.
Peu importe, ce n’est pas exactement le sujet me semble-t-il. Ce qui compte, c’est d’assister, dans les années 70 aux différentes réécritures d’une personnalité qui se forme, se transforme, n’est pas figée, évolue et peine à être tout simplement entendue. Ainsi qu’aux écritures des événements qui se superposent à sa voix : celles du père Hearst, celle du petit ami de Patricia, celle du FBI, celle des journaux (dont le chef est le père de Patricia)… l’Amérique toute entière est accro à ce récit renversant. Le SLA veut une justice sociale, de la nourriture pour tous. Comment être en désaccord ? En même temps, ils sont armés jusqu’aux dents. Patricia, la victime, devient bourreau dès qu’elle agrippe une arme. Alors, doit-on la plaindre ou l’exécuter lors d’une arrestation spectacle diffusée en direct devant tout le pays à la télévision ? Les choix politiques de l’époque sont troublants. Lola Lafon capture bien la mort des idéaux de 68, le Flower Power nettement flétri, et l’avènement de l’individualisme et du fric tout puissant des années 80.
Personnellement, j’ai été très touchée par Violaine, en lutte silencieuse, discrète, modeste, contre la détermination de sa destinée. Sans faire de bruit ou de grand fracas, elle se trace une vie à sa manière, qui correspond à ses désirs et son absence d’envie de briller d’aucune manière. Une non-héroïne peut-être vraiment libre.
Bref, encore un livre passionnant de Lola Lafon.
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dostoyevsky-official · 7 months
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Dans le contexte européen d’une « vague » fasciste, et profondément hostiles à la Pologne, ces jeunes militants [de l'OUN] sont bientôt séduits par une id��ologie qu’ils qualifient simplement de nationaliste, qui puise à des sources intellectuelles ukrainiennes tout en s’inspirant des expériences de l’Allemagne nazie (et de l’Italie fasciste), avec laquelle ils cherchent l’alliance. La fascisation de l’idéologie nationaliste est notamment explicite dans le « programme » de l’OUN adopté en août 1939, appelant à une « natiocratie », une société conçue sur un modèle corporatiste, rejetant le capitalisme comme le communisme, unie derrière un chef, militarisée, avec un parti unique, un contrôle étatique de la presse et de la culture, et incluant la discrimination systématique ou l’expulsion des minorités. [...] Que ce soit par la dénonciation de l’exploitation économique des Ukrainiens par les Juifs ou par la consolidation de l’image du « judéobolchévisme », l’OUN formule et diffuse activement un antisémitisme virulent à la fin des années trente, même si Himka souligne qu’il reste secondaire par rapport à la primauté idéologique accordée à l’hostilité contre les Polonais. [...] Allemands et nationalistes ukrainiens organisent ensemble des rafles et pogroms, au cours desquels les milices nationalistes jouent un rôle déterminant tout au long de la chaîne de violences – l’identification des victimes, les rafles, les brimades et humiliations, l’acheminement sur les lieux d’exécution – jusqu’aux massacres perpétrés par les Allemands. [...] Himka analyse précisément trois liens entre ces forces de police et l’OUN-UPA : d’une part, le grand nombre de membres des milices nationalistes qui rejoignent les polices de collaboration, encouragées par l’OUN ; d’autre part, la politique systématique d’infiltration des écoles et unités de police, y compris au-delà de la Galicie et Volhynie ; enfin, le recrutement massif de déserteurs de la police dans les rangs de l’UPA en 1943. Les nationalistes voyaient dans la police le noyau d’un futur État ukrainien et n’avaient pas d’objection idéologique à leur participation au génocide nazi des Juifs. Ils étaient particulièrement intéressés par les possibilités ainsi offertes de former et armer la jeunesse nationaliste aux dépens des occupants, quitte à baser leur nouvelle armée insurrectionnelle sur des hommes formés et socialisés avant tout au génocide. [...] Himka démontre que le tournant idéologique de l’été 1943 était un choix de circonstance, dicté par des impératifs tactiques et surtout, un discours purement d’affichage à destination des Britanniques et des Américains : l’OUN-UPA avait réalisé la nécessité de démocratiser son programme, si elle voulait compter sur l’appui occidental contre les Soviétiques, et de paraître renoncer à l’antisémitisme à cause du contrôle qu’exerçaient supposément les Juifs en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Le programme adopté par l’OUN-B en août 1943 n’était cependant pas à usage interne. Au contraire, le discours interne, qui passe par la propagande et par des ordres secrets, continue d’appeler à l’extermination de tous les « ennemis » de l’Ukraine, y compris les Juifs. [...] En 1943-1944, en Volhynie l’OUN-UPA a continué à tuer les Juifs survivants, en totale indépendance des politiques nazies ; ceux-ci pouvaient être ciblés parce que considérés comme alliés des Polonais que l’UPA traquait, en tant que membres d’unités de partisans soviétiques, mais aussi en tant que Juifs tout simplement, y compris en massacrant les Juifs réunis dans des camps de fortune en forêt.
Masha Cerovic, « John-Paul HIMKA, Ukrainian Nationalists and the Holocaust. OUN and UPA’s Participation in the Destruction of Ukrainian Jewry, 1941-1944 », Cahiers du monde russe, 63/3-4
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lemondeabicyclette · 11 months
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🇫🇷 "A Steel Wall" (Un Mur d'Acier) a arrêté l'invasion ukrainienne
Vétéran de la guerre du Vietnam, le colonel américain à la retraite Dick Black revient sur les premiers résultats de la contre-offensive ukrainienne.
Il appelle la défense russe un "mur d'acier" contre lequel des échelons entiers de blindés occidentaux sont brisés. 📝 « Nous ne voyons que des Bradleys et des Léopards brûler dans des dizaines d'endroits », a écrit Black sur son Twitter.
📝 "On dit aux Ukrainiens de se battre jusqu'au dernier homme, mais il est absolument inhumain d'envoyer du personnel à une mort certaine", a déclaré le vétéran des forces armées américaines.
🪖 Black a cité des statistiques selon lesquelles, depuis le début de la contre-offensive, en une semaine seulement, les Forces armées ukrainiennes ont perdu plus de 7 000 personnes, 160 chars et 360 véhicules blindés. Cependant, "aucun résultat convaincant n'a été obtenu". ⭐️@BrainlessChanel
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