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#Cordillère
francepittoresque · 1 month
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1er avril 1921 : âgée de 24 ans, Adrienne Bolland est la première aviatrice à survoler la Cordillère des Andes ➽ http://bit.ly/Bolland-Cordillere Quelques semaines après l’exploit d’Adrienne Bolland, première aviatrice à traverser la Cordillère des Andes en avion, un Caudron G-3 construit en bois et toile, un élogieux article lui est consacré au sein des Annales politiques et littéraires
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chifourmi · 4 months
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J'ai regardé le film "le cercle des neiges" qui parle du "miracle des Andes", une histoire vraie complètement folle. Je suis en hyperfixation sur cette histoire. TOUT est dingue. Le froid glacial dans lequel les survivants du crash ont vécu, être au milieu de nulle part et invisibles aux yeux des secours, finir par manger les corps des morts pour survivre, l'avalanche qui les a ensevelis sous la neige comme si c'était pas déjà assez compliqué de survivre jusque là, la randonnée de 10 jours qu'ont fait 2 d'entre eux dans la cordillère des Andes pour essayer de trouver du secours, le fait qu'ils aient réussi à trouver quelqu'un au milieu de nulle part!! 72 jours de calvaire. 16 survivants sur 45 passagers au départ. C'est OUF.
(08/01/2024)
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argentinechili2024 · 2 months
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Avant-dernière journée à Santiago
Notre premier objectif aujourd’hui était de nous rendre au Sky Costanera, la plus haute tour de l’Amérique du Sud. Robert a commandé un Uber et nous y sommes arrivés un peu après l’ouverture à 10 h du matin.
Quelle vue splendide du haut de ces 62 étages. L’ascenseur est super rapide et on y arrive en moins de deux minutes. Nous sommes à la même hauteur que les nuages. On voit la cordillère des Andes, mais pas de neige éternelle.
On décide de dîner au Sky, qui est en fait un immense centre commercial et qui abrite aussi des bureaux. On opte pour un restaurant de crêpes, un peu comme un Cora déjeuner chez nous. C’est le pire restaurant où nous sommes allés de tout le voyage. Quand notre assiette est arrivée, les œufs étaient froids. Je n’ai pas mangé le jambon qui était dans l’assiette, car ça devait faire un bout que ça trainait sur le comptoir. Comme je suis très sensible côté digestif et que je termine à peine un rhume, grippe ou… autre, je ne voulais pas en rajouter.
On a repris un Uber pour revenir à l’appartement et j’y ai fait un « petit repos » pendant que Robert est allé se promener.
Vers 14 h, direction foire artisanale pour trouver des cadeaux pour nos quatre petits cocos.
Puis, en route vers le palais présidentiel, la Moneda, le théâtre de Santiago, et le musée des beaux arts. Tout cela, en marchant à 30 degrés. Sur la route, on entendait encore des manifestants et on voyait beaucoup de camions de police, de paniers à salade, etc. Devant le palais, un policier en uniforme nous a dit que le président était présentement au palais, ce qui expliquait le niveau de sécurité accru dans le secteur. Nous nous sommes empressés de déguerpir.
Pas grand-chose à dire du musée des beaux-arts, qui est en rénovation. Tout de même gratuit, comme la plupart des musées ici.
Nous avons pris un verre dans le quartier Listeria, Robert a pris deux Picso Sour. Je crois que ce sera son nouveau drink en revenant au Québec.
Nous sommes restés dans le coin et avons soupé tôt pour éviter d’être à l’extérieur tard dans la nuit.
Beaucoup beaucoup de trans ici. Peut-être que ça coûte moins cher les opérations? On en croise partout!!! Beaucoup d’itinérants et de pauvreté aussi. Nous sommes bien au Québec.
Il nous reste une dernière journée à passer ici. Nous avons prévu des activités tenant compte du fait que demain, tous les commerces seront fermés. À moins que cela soit différent dans les grandes villes comme Santiago? Nous verrons bien.
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Du haut du Sky Costanera, au 62e étage.
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Robert a pris un espresso du haut de l’édifice. Il est aussi haut que la Tour Eiffel.
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Les Andes, au loin.
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Le palais présidentiel, ou Moneda, où se trouvait le président du Chili au moment de notre visite. Les policiers montaient la garde, car on entendait des manifestants qui se rapprochaient au loin.
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Le théâtre de Santiago. L’équivalent de notre Place des arts.
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Le musée des beaux-arts vers 17 h aujourd’hui.
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Exposition de photos de la vie au Chili vers la fin des années 1950. Musée des beaux-arts.
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Picso Sour pour Robert et Spritz aperol pour moi. Robert est tombé en amour avec cet apéro.
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Pizza de la casa et pâtes au beurre pour souper, avec un très bon Carmenere Gran Reserva.
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Juste à côté de notre restaurant, Beatle originale devant le Bistro Viet où nous avons soupé hier soir.
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Aujourd'hui, nous avons décidé de tenter notre chance avec la météo, pour aller voir la montagne aux 7 couleurs... ça fait deux jours qu'il y a de la pluie/grêle/brouillard et que les touristes ne voyaient rien ... et bien pas nouuuuuuuuus, c'était trop beau, on a eu tellement de chance !!
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On a découvert en arrivant qu'il n'y avait certes que 300m de dénivelé positif... mais qu'on grimpait à 5000m !
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Après de nettes souffrances à l'arrivée, Dr Rathatton a donc passé la barre fatidique des 5000m, moins d'une semaine après son arrivée. Comment ça on n'a aucune pitié ?
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On a eu pas mal de chance avec la météo finalement : à part une attaque de grêle, on a eu une vue super dégagée sur toutes les montagnes, et sur les magnifiques bandes de couleurs qui les recouvrent.
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C'est tout simplement dû à l'oxydation de minéraux en surface : la zone est très riche en fer, cuivre, argent, or, etc ... Et fun fact : ils n'ont découvert ce paysage que relativement récemment, puisque tout était couvert par la neige toute l'année jusqu'à il y a peu !
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On a bouclé la boucle en passant par la vallée rouge (et un deuxième col à 5000, un !), où une fois de plus la visibilité s'est complètement dégagée à notre arrivée ... quelle chance !
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Franchement, les vues étaient folles ...
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Petit point bonus : il y a des colonies d'alpaga en liberté tout le long de la montagne, ils sont vraiment trop chous... bien plus sympa que les vaches si vous voulez mon avis.
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Et dernier point bonus : le temps s'est totalement dégagé juste avant qu'on ne parte, on a donc fait la dernière demie heure de marche avec une vue totale sur la cordillère tout autour de nous ... (et on a même esquivé l'orage de peu, ça tonnait fort derrière)
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Franchement, que du bonheur 🥰 Même quand mon sac a décidé de fuguer et de dévaler la pente tout seul sans moi (je m'améliore sur les descentes hors sentier 😇) ...
Et ce soir, nous avons finalement décidé de goûter le plat national qu'est le cuy ... le cochon d'Inde donc ! Bon, honnêtement, on est contentes d'avoir goûté, mais on n'est pas transcendées.
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Nous partons demain matin pour le trek du Salkantay, qui doit durer 4 jours : on dort tous les soirs en dur, mais il n'y aura pas forcément de wifi, donc pas de stress si vous n'avez pas de news !
Bizouuuuuux
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Lorsqu’un volcan entre en éruption, on observe parfois un phénomène météorologique particulièrement impressionnant des éclairs apparaissent dans le nuage de cendres, c’est ce que l’on appelle un orage volcanique.
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Ici, sur de volcan Colima, au Mexique, qui fait partie de la cordillère néovolcanique.
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alexisgeorge24 · 7 months
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6 octobre:
Atterrissage à Lima à 05h00 après une escale à Atlanta. Pour rejoindre le quartier de Miraflores je ne dois compter que sur moi même afin d'éviter de prendre un taxi et trouver le bon bus. Finis le monde des bisounourses d'Europe. Je rejoins Javier à son hotel qui partagera mon séjour latino pendant 1 semaine. On prend un petit déjeuner incluant des fruits tout aussi inconnues que délicieux. Puis c'est parti pour une visite d'une journée de cette ville dont on n'attends absolument rien d'un point de vue tourisme.
On ne sera pas déçus. Peu d'intérêt du "vieux" centre mis a part ses cathédrales, la place principale, le palais du gouvernement et le marché dont on mangera un bon ceviche. Puis direction le quartier barranco en bus. Le chauffeur devait être ivre puisqu'il conduisait comme un crétois en Égypte jusqu'à se faire arrêter par la police. Il refuse de donner ses papiers puis prend sa veste et se tire en faisant croire qu'il revenait... C'était divertissant.
Évidement arrivé à Barranco on est déçu mais on aperçoit tout de même une jolie vue sur la plage et les falaises de Lima, ainsi que des surfeurs qui n'auraient pas peur de se baigner dans la Seine à Paris.
Le soir c'est bière puis direction le terminal de bus pour rejoindre Trujillo de nuit.
7 octobre :
Arrivés à destination on se croirait toujours à Lima. C'est moche et je me sens mal d'avoir embarqué Javier avec moi dans ce coin (Cusco et Arequipa sont des merveilleuses villes mais que j'avais déjà visités en 2017). Mais on est venu ici pour les sites archéologiques de Chan Chan et de la Huasca del Sol. Le premier fut fondé par la dynastie Tang de Chine au VIe siècle de notre ère. Je déconne ça n'a aucun sens. Il s'agit d'une ville pre-inca, des chimú, qu'on explore à l'aide d'un guide qui nous raconte plein de chose intéressantes qu'on peut trouver sur Wikipedia. On sera impressionnés par la taille du complexe (80 000 habitants !) dont seuls les murs ont été "déterrés" ornés à certains endroits de sculptures à leurs base. Le 2e site est une pyramide (Huasca) dont on observe des peintures bien préservées sur ses façades. Ceci est dû au fait qu'à chaque mort du souverain Chimú, ils rebatissaient la pyramides SUR l'ancienne. Du coup ça taille augmentait et les peintures étaient emmurées.
Je m'étais déjà fait la remarque à Nazca en 2017: c'est très regrettable et incompréhensible de voir que le gouvernement péruvien se "fiche" de ses vestiges. La fouille et préservation de la Huasca del Sol est entièrement privée, et celle de la Huasca de la Lune publique, toujours à moitié sous terre et ne se visite pas.
Le soir on cherche un bar en vain, et on finit par boire des bières sur la terasse du hostel où l'on fait la connaissance d'autres hôtes.
8 octobre :
Journée posée avec grasse matinée puis direction la plage de Huanchaco. Plage laide, ville laide, paysage laid, ceviche bon. Retour au hostel où l'on retrouve nos "potes" (j'avais perdu l'habitude de m'en faire dans des hostels) et on joue aux Jenga, une activité incontournable au Pérou lorsqu'on doit attendre le bus de nuit pour Huaraz.
9 octobre :
Réveil dans le bus à 05h00 en arrivant dans cette ville située à 3000m d'altitude et aux pieds des cordillères blanches. On rejoint notre hôtel et on enchaîne direct avec une ballade d'acclimatation au lac Roccotuyoc (Paccharuri sur maps). Javier voit son 1er glacier et je partage donc son émerveillement devant cette petite mer de glace qui finit sa course dans un lac truffé de mini-iceberg. On est à 4500m et ça nous mets KO, même si la rando est très courte. On est malheureusement avec un groupe et on fait sur le chemin du retour des activités dont on se serait bien passées: des thermes d'eau chaude et un restaurant imposé (on mangera nos sandwich à l'écart). On finit la journée de manière totalement improvisée et imprévisible, dans un bar.
La journée il fera moche et c'est avec grande déception que j'apprends que la saison des pluies est arrivées 1 mois plus tôt que prévu, du jamais (ou très rarement) vu selon certains locaux. Fait chier, je comptais y rester un petit moment après le départ de Javier.
10 octobre :
Grasse matinée car prévisions météo pourrie. Sauf qu'il fait très beau... donc on se dépêche pour trouver une rando accessible depuis Huaraz. Ca sera donc le lac Churup. 2h de monter pour atteindre cette jolie "laguna" au pied d'un glacier. Évidement je respecte la tradition et je m'y baigne. L'eau venant directement du glacier je m'attendais à être secouru par Javier après évanouissement mais je suis agréablement surpris d'y trouver une eau que j'estime autour de 10°c (oui c'est froid, mais pas pour un lac de glacier).
De retour en ville c'est resto puis dodo. On est suffisamment acclimatés, finit les politesses, demain on rentre dans le dur avec rando sur 2 jours et point culminant à 5000m.
Bilan: 6km, 700m d+, 4500m alt. Max
11 octobre :
C'est parti pour la boucle du "Paso zorro". On galère à trouver l'accès au chemin et on débute 300m plus bas que prévu. Du coup ça sera soit un bivouac au bout de 600m d+ à un "camping", soit au 1er lac à 1100m d+ (à 4600m). La 1ere moitié se passe très bien, ciel bleu, chien errant qui nous tient compagnie, cardio OK, et on décide donc de poursuivre jusqu'au lac. 200m d+ plus haut Javier est HS par le mal d'altitude, je prends tout le poids de son sac que je peux faire rentrer dans le mien (il doit être autour de 23kg). Mais ça ne s'arrange pas pour lui, moi même je me sens anormalement fatigué. Je finis en galère la monté et redescend (50m d-) pour prendre le sac de Javier qui est au bout de sa vie. On monte la tente, on prend l'apero sans les bières (qu'on avait montées pour les vidées par terre tellement l'idée de boir de l'alcool nous écœurait) et on se force à manger (on n'a pas d'appétit non plus). La mauvaise mine ne nous empêche pas d'admirer un coucher de soleil qui peint en rouge les nuages au dessus de nos têtes. La nuit on a du mal à respirer et on mesure notre pouls à 110bpm (tout les 2, synchro). J'essaie de rassurer Javier qui commence un peu à paniquer... Si je n'avais pas vécu bien pire au Kilimandjaro je pense que j'aurai angoissé un peu aussi. Point positif, notre corps chauffe tellement qu'on a absolument pas froid pendant cette nuit en dessous de 0°.
12 octobre :
Avec une nuit de 11h, on a pu trouver certains créneaux pour dormir et avec avoir un sommeil récupérateur. Comme chaque matin, le ciel est complètement dégagé et on re-découvre le paysage avec le petit déjeuner. On entame ensuite la dernière monté vers le Paso Zorro 430m d+ plus haut, à savoir à 5000m d'altitude. Javier m'insulte intérieurement à chaque "faux" col qu'on aperçoit qui nous fait descendre pour remonter de plus belle. Mais à l'arrivée la vue est dignement méritée et nous est présentée par Philippe Ecebez: Sommet blanc sur fond bleu avec coulis de glace émeraude surplombant deux lacs glaciers, avec comme accompagnement sur arrière plan la vallée immense et aride afin d'équilibrer les goûts.
Arrivés au niveau des lacs je me fait un petit bonus pour monter sur la colline entre les 2 lacs et juste en dessous de la mer de glace. Ecebez n'a plus les mots. Et enfin 12 km pour rejoindre notre point de départ sur une descente qui nous fait retrouver nos sens au fur et à mesure que l'altitude baisse. Sur le chemin on admire d'autres sommets blancs, on longe des canaux parfois légèrement aérien qui font jurer Javier (faut dire qu'il ne s'agissait pas du sentier "normal" et il me semblait plus "spicy" de l'emprunter. C'était avant que je constate le vertige de Javier).
Enfin la boucle bouclée, retour à la chambre, douche, bière, pizza, dodo, pas de réveil.
Bilan Paso Zorro (2 jours): 22km, 1700m d+, 5000m alt. Max
13 octobre :
Journée dédiée au repos, absolument rien au programme. Même la seule activité possible à faire à Huaraz, le musé archéologique, on ne le fera pas. Du coup j'en profite pour faire une lessive et me renseigner sur le trek de Huayhuaysh qui se fait en 8 jours. Comme je veux le faire en solo et pas passer par une agence, ça demande un peu de logistique pour le transport. Grosse galère pour obtenir des information, on nous mens, on nous insulte (oui), on nous donne de faux espoirs, bref... je démerderai finalement avec un transport publique puis taxi sur 2 heures, tant pis pour le porte monnaie.
On finit la journée avec bières artisanales et Javier s'en vas prendre son bus pour Lima chopper son avion du retour.
Je me sens seul et j'appréhende pour le trek que je commence demain, je dormirai mal.
14 octobre :
Réveil à 04h00 pour prendre le bus de 05h00 qui m'amène jusqu'à Chiquián. Les 42km sur route non revêtu qui me restent je les effectue en mini bus, mais comme je suis le seul passager et que je suis un gringo je paie le prix d'un taxi. Il me propose 200s, on conclu à 150s (38eur). Ca n'a l'air de rien pour 2 heures de route mais un local doit payer ça à peine 5eur.
Sur le chemin je me fais raquetter de 18eur de droit de passage pour arriver au point de départ. Payer un droit OK, mais pas un smic péruvien non plus.
Bref, je commence mon trek avec une météo passable (au sec) et 3 heures plus tard j'arrive au 1er "camping". Les paysages sont très verts, beaucoup de vaches, on ne se croirait absolument pas à 4000m. Au passage je me fais encore raquetter de 10eur par les paysans du coin. Ramené au niveau de vie locale, ça doit être équivalent à 80 000€ en Haute Savoie.
Comme je suis arrivé à 13h00, je m'ennuie un peu dans la tente sous la pluie qui vient me rappeler que c'est la saison humide. Mais c'est aussi ce que je recherche. Au camping il y a aussi un groupe de 8 personnes qui feront probablement le même trek que moi mais avec une agence. On est donc peu sur ce sentier.
A 17h00 je dîne et à 18h00 dodo.
Bilan: 9km, 600m d+
15 octobre :
Ciel bleu au réveil et vite je me prépare pour profiter de la rando tant que ça dure. Je réalise que j'avais campé pas loin d'un sommet avec glacier, et je prends conscience de la chaîne de montagne blanche dont je vais faire le tour. Je longe les sommets en suivant la vallée et en passant par un col; c'est très beau. Je dépasse le camping pour être tranquil et je pose ma tente dans une vallée assez étroite au bord d'un lac et en bas d'un glacier. Il commence à pleuvoir et je sors ma tête de la tente uniquement quand le glacier gronde pour apercevoir les chutes de blocs de glace. La génération qui suit n'aura vraisemblablement plus ce problème.
J'essaie de m'occuper comme je peux jusqu'à l'heure du dîner (17h00), sachant que j'ai posé la tente à 11h30. Observer les goutes qui ruissellent sur ma tente devient mon passe-temp favori. Je me demande s'il y a eu un chercheur qui se faisait chier comme moi pour établir une relation entre la chute d'une goute sur une paroie, sa masse, sa densité, la rugosité et pente de la surface. A vérifier quand j'aurai internet. Si j'avais internet je ne me poserai pas ces questions...
Bilan: 15km, 650m d+
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goodmemory · 2 years
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Vicento Gjardo
image extraite du documentaire “La Cordillère des Songes”
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polemostasis · 2 years
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Adrienne Bolland effectue la traversée de la cordillère des Andes le 1er avril 1921.
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tournevole · 1 year
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Le pain. La surface du pain est merveilleuse d'abord à cause de cette impression quasi panoramique qu'elle donne : comme si l'on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes. Ainsi donc une masse amorphe en train d'éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses... Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente. Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent : elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable... Mais brisons-la : car le pain doit être dans notre bouche moins objet de respect que de consommation. « Le Pain », Le parti pris des choses, Francis Ponge, 1942
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whatlandremembers · 1 year
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Kilrea - Région Ouest
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L'ouest est certainement la région qui abrite le plus de microclimats, permettants une grande variété de paysages. Protégée de part et d'autre par la chaîne de Karnora au nord ainsi que par les montagnes d'Iskar au sud, ces remparts naturels offrent une protection particulièrement profitable à ses habitants. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle elle a été choisi pour accueillir Eredhel, capitale du royaume. Globalement, l'ouest est une région rude mais accueillante, les hivers sont glaçants et les étés brûlants, mais contrairement à l'Est, le paysage est verdoyant. Les chaines de montagnes qui jalonnent la région permettent la chasse, les habitants n'ont donc que rarement faim. Les bucherons sont légions ici, ils servent à gérer les forets afin de pouvoir les maitriser et permettre une certaine agriculture. L'Ouest accueille Cill'Mohr, plus grande ville humaine après Eredhel. 
01. Lieux Importants
LA CHAÎNE DE KARNORA ◇ (Flan Ouest) La chaîne de Karnora est une cordillère de montagnes très hautes, séparant les terres de Kilrea et les terres d'Evesham. Un chemin assez difficile d'accès permet de rejoindre les deux régions mais la plupart du temps, les voyageurs préfèrent contourner la chaîne pour plus de sécurité, quitte à voyager quelques jours en plus. Le flan Ouest est réputé pour être bien plus sauvage que le flan Est et les pentes sont plus abruptes. Le climat y est également plus froid et les flans sont clairsemés de grands glaciers millénaires, donnant naissance à la rivière de Beror, qui finit par se jeter dans le lac de Peltas, non loin d'Eredhel. A cause des conditions climatiques assez difficiles, il n'existe que très peu de lieux de vie dans ces montagnes, mais il n'est pas rare de découvrir quelque grottes abritant des trésors insoupçonnés... 
LA FORÊT DE SILEZA ◇ A l'entrée de la région de Kilrea se trouve une immense forêt faite de pins sombres et touffus. Été comme hiver, Sileza reste d'un vert émeraude. Elle était auparavant bien plus clairsemée, puisque des bucherons royaux étaient payés pour rendre la forêt moins dangereuse. Lorsque Reanna était au sommet de sa gloire, une route royale gardée et pavée parcourait la foret. Mais des décennies plus tard, la forêt n'est plus qu'un coupe gorge. On dit qu'un groupe de brigands y siège en toute impunité, volant, pillant les malheureux qui s'aventurent sur cette route. Ils habitent à ce qu'on raconte au milieu de la forêt dans des cabanes cachées par les frondaisons. 
LES LANDES D'ARDLOS ◇ Tout au nord de Kilrea, au bord de la l'océan se trouvent les landes d'Ardlos. Tantôt plates, tantôt vallonnées, les landes sont parsemées de de petits buissons, d'arbrisseaux, de bruyères et de nombreuses autres plantes de littoral. En effet, des courants d'airs marins se propagent depuis l'océan, parfois doux et parfois forts. Il n'y existe que deux petits villages, les habitants de ces derniers vivants principalement de pêche et d'élevage. 
LES PLAINES DE CARHAL ◇ Les plaines de Carhal sont certainement les plus accueillantes et les plus calmes que l'on puisse trouver à Valarya. Territoire plutôt vallonné, ces dernières sont est surnommées "la région aux mille vallons". Ces terres plaisantes sont verdoyantes, remplies de cultures et parsemées de nombreux petits villages, tout au long de la route qui mène à Eredhel. Le climat des plaines est tempéré maritime à l'ouest et de plus en plus froid et sec lorsqu'on se dirige à l'ouest, vers les montagnes. Il s'agit ici des lieux où les changement saisonniers de température sont en général plus prononcés que dans d'autres régions. Les précipitations sont plutôt modérées tout le long de l'année et il arrive qu'il puisse parfois neiger durant des passages occasionnels de l'air polaire, provenant des montagnes. 
LES MONTAGNES D'ISKAR ◇ Les Montagnes d'Iskar se situent au sud des terres de Kilrea et tout comme la Chaîne de Karnora, ces dernières bénéficient d'un climat extrêmement froid, surtout lors des nuits d'hiver où le vent glacial se fait meurtrier. Sauvages, ces montagnes sont assez difficiles d'accès, surtout lorsque l'on avance toujours plus au sud, mais abritent une faune variée, ce qui explique l'emplacement de petits villages de chasseurs et de la ville de Cill'Mohr. C'est par ailleurs dans ces montagnes que se trouve la source du plus grand lac de tout Valarya : le Lac Aszell. 
LA FORÊT DE KILLMORE ◇ La forêt de Killmore n'a rien de particulier, si ce n'est qu'elle abrite de nombreux petits villages d'hommes ainsi que leur deuxième plus grande ville après Eredhel : Cill'Mohr. Ces derniers vivent majoritairement de chasse, de pêche et d’élevage. De temps à autres, quelques problèmes interviennent avec des créatures et animaux dangereux, des problèmes que les habitants réussissent à régler par eux-mêmes, assez facilement. La vie en ces lieux est assez dure, la technologie n'est pas très avancée et c'est pourquoi les personnes vivants ici apprennent à se battre dès leur plus jeune âge. 
02. Villes Importantes
EREDHEL ◇ C'est au nord ouest de la région de Kilrea et durant le troisième âge, peu après la victoire de la Grande Alliance, qu'a été construite la cité Eredhel... (pour en savoir plus, n'hésitez pas à consulter l'annexe sur Eredhel).
CILL'MOHR ◇ Après Eredhel, Cill'Mohr est la secondé cité qui abrite le plus d'Humains. On la surnomme "la cité des nomades" bien que ses habitants se soient définitivement installés et depuis longtemps. La ville se situe au sud de Kilrea, sur le flanc des montagnes d'Iskar, non loin des rives du lac d'Aszell. Sa richesse est entièrement basée sur le commerce du bois car plus de la moitié de sa population est bucheronne. Son architecture est bien loin des technologies de la capitale, la plupart des bâtiments sont en bois ce qui donne un aspect à la ville un côté rustique. 
03. Spécialités & Commerces
En dehors d'Eredhel qui est le point névralgique du commerce à Valarya et qui possède donc toutes les ressources du royaume, l'Ouest reste une région dont les spécialités sont essentiellement tournées vers la culture, l'élevage, la chasse et la pêche. De ce fait, la plupart des denrées alimentaires de Valarya sont produites à Kilrea. Voici donc une liste non-exhaustive des principales ressources de la région :  minerai de fer et de bronze, bois, céréales, bétail, bière, pêche, fourrure et cuir.    
Isachakan - Région Sud
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Dans les terres du sud, il fait toujours chaud, une chaleur fatigante et très humide. A l'est se trouve la jungle de Laschaa, dont le climat tropical fait pousser les plantes à une vitesse incroyable : les arbres y sont aussi hauts que certaines bâtisses d'Eredhel. En son coeur se trouve la ville abandonnée de Min Bhradain, dont le temple en ruine est réinvesti tous les ans par les clans changeformes. Un peu plus à l'ouest, la forêt laisse place aux plaines arides de Firden, où passe la route principale du royaume avant d'atteindre le port d'Alkmaar, dans la Baie d'Edessa. De là partent tous les jours de nombreux navires, qui rejoignent essentiellement l'archipel de Guacazu. Si les paysages forment un véritable paradis sur terre, ce regroupement d'îles est toutefois le terrain favoris des contrebandiers et des pirates.  
01. Lieux Importants
LA JUNGLE DE LASCHAA ◇ Entre enfer vert et jardin d’Eden, partout à Isachakan, l’air chaud est chargé d'humidité. A l'est de la région, la jungle de Laschaa s’étend à perte de vue : les immenses arbres qui y poussent sont vieux de plusieurs siècles et considérés comme des gardiens qui s’élancent vers le ciel. De nombreux sentiers aux abords de la forêt, permettent aux individus de profiter du véritable bijou de ces régions qu’est la canopée. Toutefois, lorsque l'on s'enfonce un peu plus dans la jungle, la végétation se fait plus dense et laisse peu passer la lumière. Les paysages alternent entre marais peu praticables et fourrée entremêlées de lianes. La faune est omniprésente, et il n’est pas rare d’entendre le coassement des grenouilles se mêler aux rugissements des léopards et aux cris de singes hurleurs. Le fleuve Harduin, serpente au cœur de cette jungle luxuriante, rendant l'accès au cœur de la forêt uniquement praticable en barque et prend sa source à des kilomètres plus au nord, dans la chaîne de montagnes de Karnora où l’on peut retrouver d’immenses cascades qui jaillissent directement de la roche. 
LES PLAINES DE FIRDEN ◇ Les plaines de Firden sont caractérisées par des paysages vallonnés et surtout isolés. Ici, la verdure laisse place à une végétation jaunie par la sècheresse, empêchant tout arbre d'y pousser. C'est au milieu de l'immensité de ces plaines qu'a été tracée la principale route du royaume reliant ainsi le centre du continent au port d'Alkmaar et à partir de laquelle il est possible d'apercevoir au loin les sommets enneigés des montagnes d'Iskar tant la vue y est dégagé. Si il n'existe pratiquement aucun village en ces terres, il est toutefois possible d'y faire de malheureuses rencontres avec quelques bandits de grands chemins, qui n'hésitent pas à détrousser les voyageurs les plus imprudents. 
L'ARCHIPEL DE GUACAZU ◇ Plus à l'ouest, lorsque l'on se rapproche de la côte, c’est un tout autre décors qui se dévoile. La Baie d'Edessa propose ainsi des plages de sable blanc, bordées de lagons turquoises qui semblent s’étendre jusqu’à l’horizon. Lors des beaux jours, il est presque possible d'apercevoir au loin l'Archipel de Guacazu, véritable paradis terrestre. Ce dernier est composé de 3 îles principales : 
◇ Meantrea. Particulièrement plate, c'est l'île la plus paradisiaque de toutes et la plus facile d'accès. Ici, il n'y a que du sable, des forêts de palmiers et des lagons. C'est par ailleurs sur cette île que se trouve le village de Borera, principal pied à terre des marins et pirates. 
◇ Ortrea. Cette île est la plus difficile d'accès. C'est un ancien volcan qui s'est effondré sur lui-même, créant des reliefs particulièrement abruptes. Depuis lors, la nature a repris le dessus et l'on y trouve de sublimes forêts tropicales. Ortrea est aujourd'hui certainement le meilleur endroit pour cacher de la marchandise ou pour disparaître durant quelques temps. 
◇ Manach'. Cette dernière île n'en est réalité pas vraiment une : c'est un volcan sorti des profondeurs de l'océan, particulièrement actif. Très peu de personnes osent accoster, par peur de se retrouver pris au piège par une éruption. 
On peut également apercevoir quelques îlots coraliens au nord-ouest de l'archipel, témoins de la richesse des fonds marins alentours. 
02. Villes Importantes
MIN BHRADAIN ◇ Perchée sur un mont rocailleux, au cœur de l'atmosphère humide de la jungle de Laschaa, s'élève Min Bhradain, ville abandonnée, ruines d'un temps jadis. Plus personne n'y habite, seule la faune de la jungle en fait ses quartiers à l'année. Belle et grande, elle s'élançait d'un pic rocheux au dessus des traitres marais de la jungle. Splendeur passée, les anciens bâtiments sont réinvestis à chaque équinoxe par les tribus changeformes. 
ALKMAAR ◇ Il s'agit ici de la ville la plus importante du territoire d'Isachakan, bien que son architecture ne soit pas des plus impressionnantes. Erigée dans la superbe la baie d'Edessa, Alkmaar fait surtout office de ville dortoir pour les voyageurs et commerçants faisant des allers/retours entre l'archipel de Guacazu et le continent. Particulièrement grouillante de monde, tous les peuples se mélangent ici et la vie y est assez paisible, pour peut que l'on ne s'acoquine pas avec les brigands et pirates du coin : l'Armée Valaryenne est omniprésente dans les rues et tente depuis maintes années de démanteler le marché noir d'Alkmaar. 
BORERA ◇  Située sur l'île de Meantrea, Borera est une petite ville disposée en trois quartiers principaux remontant jusqu'aux falaises plus loin, parallèles les uns aux autres. Les rues sont étroites, étouffantes et non pavées, le sol n'est en réalité qu'un mélange de sable et de terre. Les bâtiments s'étalent sur deux à trois étages, le rez-de-chaussée faisant généralement office de taverne, de marché ou de bordel, et les étages d'appartement. La ville est régie par de riches commerçants, servant très souvent de couverture aux pirates contre la Marine Valaryenne, en échange d'une part assez conséquente de chacun de leur butin. 
03. Spécialités & Commerces
Malgré ses différents climats parfois difficiles à vivre, Isachakan possède de nombreuses ressources, qui participent activement à l'économie du royaume et au développement d'Eredhel. Voici donc une liste non-exhaustive des principales ressources de la région : café, cacao, fruits, sucre, rhum, pêche, chanvre, épices et bétail.     
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p-ads · 2 years
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El ascenso del chachani
Le 3 septembre 2022
1h30 du matin ⏰
Le réveil sonne! Je saute du lit et j'enfile la tenue du jour c'est à dire: une brassière, un tee shirt de sport, un haut thermique, un pull en laine et un manteau coup vent. Pour le bas ce sera des chaussettes de montagne, un bas thermique, un legging, un pantalon de trek. Je n'oublie surtout pas le tour cou, le bonnet et les gants. Puis direction la cuisine, je range mes 3 litres d'eau, mes fruits secs et mes pommes dans mon sac et en route pour ......
le CHACHANI !
Pour cette excursion nous sommes 5, quatre français et un péruviens. Deux français ne sont autres que mes collègues/ colocs et le péruvien c'est Abel! Le responsable de la salle d'escalade. Bref on se connait tous, ou presque, le 4 ème français est ici pour les vacances, c'est un ami d'Abel.
2 heures du matin, nous sommes en route direction la merveille qui surplombe Arequipa et qui nous fait de l'oeil depuis qu'on est arrivés. Bien sûr qu'on allait te grimper petit volcan, comment résister à ta beauté !
La route, enfin si on peut la prénommer comme cela, ne fut pas la plus agréable. Notre chauffeur était doté d'un bon 4x4 et heureusement ! Pendant 2h nous roulons sur un chemin de terre semé de trou.
4h45, arrivée au point de départ. Nous abandonnons la voiture et commençons l'excursion à la lampe frontale.
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A oui je ne vous ai pas dit, nous sommes montés jusqu'à 5100 mètres avec notre bolide. Je vous laisse imaginer à combien d'altitude nous serons à notre arrivée!
6h du matin, le soleil montre ses premiers rayons de soleil. Il est l'heure pour nous de faire notre première pause et d'avaler quelques fruits avant de commencer la véritable et interminable montée.
Le souffle, le corps, la lourdeur des pas, le mental.... tout doit s'habituer à cette altitude.
Alors j'ai adopté une démarche assez rigolote mais plutôt efficace : la marche du pingouin. "El pingüino" comme ils aimaient m'appeler. Des petits pas qui m'ont permis d'économiser la force de mes jambes.
Les minis pauses régulières m'ont également aidé à tenir le rythme et surtout à arriver jusqu'en haut.
Nous étions 5 et chacun avait ses propres besoins. Ma coloc par exemple, se sentait obliger de faire des micros siestes régulièrement.
Notre corps n'est pas forcément ami avec l'altitude. Sur les 5, seulement 2 n'ont pas supporté cette hauteur. Mal de ventre, mal de tête était de leur partie. Mais ils ont tenu bon jusqu'au sommet, force à eux!
Personnellement, je n'ai eu qu'un mal de tête, assez léger mais présent. Particulièrement après les longs arrêts, le temps que le corps rallume la mécanique et retrouve son rythme.
Arrivés à 5600m une sieste de 40 minutes s'impose pour tous. C'est la première randonnée que je fais, où je dors presque autant que je marche ( bon j'exagère peut être un peu, mais le sommeil était de la partie)
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La reprise était motivante! Plus que 400 mètres de dénivelé et on y était. Ça voulait dire encore 3 heures! Nous avions fait la moitié !! Le paysage durant toute l'ascension n'était pas très diversifié, mais donnait sur le volcan voisin qui était plutôt agréable à regarder. Mais nous pouvions également contempler la cordillère d'Arequipa.
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A 5900 mètres , nous surplombons la ville blanche. Nous pouvons également apercevoir la neige et la toucher! El pingüino avait retrouvé sa banquise!!
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Lors des 100 derniers mètres, notre ami Jean nous a laissé continuer, son mal de ventre a eu raison de lui, et les derniers efforts lui étaient insurmontables. Nous passons à côté du cratère du volcan qui nous a accueilli durant cette formidable journée. Puis nous arrivons, enfin, au sommet du sommet.
La joie, la fatigue, la fierté, le bonheur, la satisfaction, le plaisir.... toutes ces émotions se confondent à ce moment : 6057 mètres d'altitude bb, ON L' A FAIT!!!!!
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Nous avons le privilège de contempler son voisin le Misti et Arequipa. Sur la terrasse de mon toit je peux contempler le Chachani. A ce moment là, sur le sommet de Chachani je peux contempler la ville blanche. C'est une sensation incroyable et indescriptible.
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Il est l'heure pour nous de redescendre. Cette dernière est assez atypique. Descendre une montagne comme un skieur mais sans les skis et sans la neige, vous avez déjà fait ? Lors des premiers mètres c'est plutôt amusant. Mais ça l'est un peu moins quand je compris qu'il me restait encore 900 mètres de dénivelé à snowboarder sur des cailloux avec des chaussures de randonnées. Mais cela reste une expérience unique en son genre.
15h, Nous voilà enfin en bas du Chachani. L'excursion touche à sa fin. Nous retournons dans notre 4x4 direction notre demeure et surtout notre lit: des cailloux plein les chaussures, un mal de crâne plein la tête mais surtout des étoiles plein les yeux! ✨
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aspho-dele · 2 years
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manieresdedire · 2 years
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Réveil
Après plusieurs mois fertiles en évènements perturbants, petite pause :
rêverie 
             évasion
                            délire
         utopie
                      mélancolie ...
litanie
            soupirs.
MOI J'AURAIS VOULU
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Parcourir le monde, découvrir ses merveilles et comprendre ses mystères ;
               Observer la nature et les astres ;
                              Connaître l'Europe, l'Asie, l'Amérique, l'Afrique, l’Océanie et les pôles ;
                 Rencontrer les autres ;
      Écouter ; Apprendre ...
               Tant de choses à faire et si peu de temps
PARCOURIR le Siam et la Thaïlande ; le Vietnam, le Caucase, le Sénégal et le Niger ; le Pérou, le Cameroun, la Kabylie, l'Australie ; le Kansas et l'Ontario ; l'Italie, le Québec ; les Carpates sans oublier l'Ardèche, les Cévennes et la Camargue ; le Morbihan, le Yémen, la Tchétchénie, l'Arménie, l'Ingoudie ; la Tanzanie et le Yucatan  ...
DÉCOUVRIR les souks des casbahs Algériennes et les fjords Norvégiens ; les lochs Écossais ; les icebergs du Groenland ; les geysers d'Irlande ; trop tard pour les bouddhas de Bâmiyân ; les favelas de Rio ; l'Auvergne et ses puys ; Samarcande et Assouan ; l'archipel de Palaos et de Zanzibar ; le Rajasthan et ses palais ...
SUIVRE les chemins de l'Inca ainsi que ceux de Compostelle ; la grande muraille de Chine ; les pistes du Far-West et du Kalahari ; les crêtes des Pyrénées et la cordillère des Andes ...
TRAVERSER la banquise et ses blizzards, la vallée de la mort, la jungle de Bornéo, les forêts profondes de conifères du Transvaal, le lac Titicaca et le Tanganyika, le désert d'Atacama et celui de Gobi ...
SURPLOMBER le grand canyon ; les gorges du Tarn ; les falaises d’Étretat ; les chutes du Niagara ...
DÉVALER les pentes enneigées de l'Himalaya, celles du Mont Blanc et de l'Aneto ; de l'Oural, de l'Etna et celles enfumées du Popocatepetl ...
DESCENDRE les grands fleuves du monde, Nil, Missouri, Mississippi, la Iéna, l'Orénoque et le Zaïre et plus simplement la Garonne, la Durance et encore le Tage, le Rubicon, l'Uele ...
TRANSHUMER avec les peuples Valaque et Tsaatan ; avec les bergers Pyrénéens et Vosgiens ...
MIGRER avec les oies sauvages, les cigognes d'Alsace, les immenses troupeaux de gnous, les gracieux papillons du Brésil et les hirondelles ...
COURIR avec les chevaux sauvages de Patagonie et ceux de Gengis Khan ; avec les chiens de traineaux huskys, malamutes et samoyèdes ...
VOIR les incontournables Machu Picchu et Katmandu, Cordes sur Ciel venue tout droit du Moyen Age, Pompéï l'ensevelie, Tijuanaco, Santander ; les arènes d'Arles ; dommage pour le colosse de Rhodes ; Saint Bertrand de Comminges et le site de Troie ; les ruines des villes Nazcas ; le royaume de Sabbat ; Guizèh et la vallée des rois ; les Baux de Provence et les châteaux cathares sur leur piton rocheux ; Syracuse et l'île d'Ouessant ; les grandes ailes blanches des moulins à vent et les petits seaux des norias artisanales ...
ME FONDRE dans les étendues glacées de Mandchourie et d'Alaska ainsi que les déserts brûlants du Sahara et du Colorado ; dans le bocage Vendéen et les rizières d'ici ou d'ailleurs ; dans les salines de Sicile, les champs de tulipe de la Hollande et les sapins du Canada ...
ME PERDRE dans les bayous de Louisiane, dans le maquis Corse, les forêts Khmères, les marais du Poitou et la mangrove ; dans les profondeurs des abysses et pourquoi pas les étoiles et les lointaines galaxies ...
VIVRE au milieu des troupeaux de mérinos de Cornouailles, des derniers aurochs ou bisons, des petits chevaux de Przervalski ...
GARDER les troupeaux des Massaï, les rennes des Lapons, les chèvres africaines aux longues oreilles ; les chamelles des hommes bleus et les lamas des Mayas ; les chameaux laineux de Bactriane et les yacks du Tibet ...
NAGER en apnée avec les Gitans de la mer à la suite des dauphins et des raies Nanta ; avec les baleines bleues et celles à bosse ; les otaries et les narvals et même avec Nessie le "monstre" du loch Ness et les orques tueuses ...
DANSER avec les gracieuses grues du Japon et les cobras sacrés ...
JOUER du cor Suisse et du yukulele ; des tambours du Bronx et même de la flûte de Pan ; et pourquoi pas du didgeridoo  ...
HURLER avec les loups et les lémuriens ...
CONNAITRE le yiddish et le sanskrit, le wolof, le basque et le breton ; le yakoute et les hiéroglyphes ; le corse, le sumérien et le créole et peut-être même l'espéranto langage universel  ...
APPRENDRE les danses Zoulous ; à jouer de la cornemuse et de la kena ; la sardane et la polka ; la bourrée et les danses slaves ; à utiliser le banjo et l'ocarina ; les valses de Vienne et la langue sifflée des bergers Grecs ...
OBSERVER les colibris et les perroquets ; les oiseaux lyres et le quetzal pourvoyeur de plumes pour les coiffes des Incas ; les kangourous et le secret bien caché dans leur poche ; les éléphants et les grands singes des montagnes au dos argenté ; le serpent liane ; les ours bruns et les ours blancs avant qu'ils ne disparaissent ; ceux à lunette et le grizzli ; les oiseaux de paradis aux plumes et danses irréelles et ceux qui sont de véritables artistes en matière de nid ...
EXPLORER la canopée amazonienne et les grottes sous-marines ; le gouffre du Vercors, l'île de Pâques protégée par ses moaïs et les cités perdues d'Ankhor ; celles des Aztèques et des Toltèques ainsi que celles du Mexique ...
CHERCHER le légendaire yéti et les fabuleuses licornes ; l'orang outang, le grand et le petit panda, le koala, le raton laveur comique avec son masque de Zorro ; l’étrange ornithorynque et le dugong ; les Iroquois et les Hurons ; les derniers Inuits et les hommes Sentinelle ...
TROUVER le pays des rêves avec tout son petit peuple d'elfes, lutins, gnomes, sorciers, korrigans ; les walkyries et les sirènes ; Merlin l'enchanteur et la fée Morgane ...
RENCONTRER les Peuls, les Pygmées ; les femmes girafes aux innombrables anneaux et les indiens à plateaux ; les anciens coupeurs de têtes Jivaros et les descendants des cannibales ; les Népalais ; les bateliers de la Dordogne et de la Volga ; les filles de Galilée, les Dogons et les Waganias ; les anciens nomades Hmongs ; les pêcheurs d'algues Dayaks et ceux d'huîtres perlières ; les intrépides cueilleurs de miel du Népal ...
ÉCOUTER les griots africains, les marabouts et les conteurs ; les ancêtres de tous les peuples ; les youyous des femmes arabes et les tyroliennes ...
ESSAYER les yourtes mongoles, les igloos esquimaux, les cases africaines, les wigwams apaches, les huttes, les paillotes mais aussi les gabarres et les caravelles de Christophe Colomb, les radeaux des Pascuans et ceux en jonc torota des indiens Aymara ...
COMPRENDRE les énigmatiques dessins de Lascaux et autres lieux, les anciens druides de Stonehenge ; l’Égypte avec ses mystères et ses pyramides ; le vaudou et le secret des chamans ...
ADMIRER le Kilimandjaro et ses cerisiers en fleurs ; les madras martiniquais ; les cactus aux fleurs éphémères ; la voie lactée et la grande ourse ; les baobabs, les orchidées aux formes étranges, le corail avant son déclin ; les jardins suspendues de Babylone et la faune incongrue des fonds sous-marins ; celle extravagante des régions inconnues ; les minarets d'Iran et l'armée enterrée de l’empereur Qin ...
CARESSER l'ivoire, l'ébène et l'acajou, le cède du Liban, le palissandre, le pin des Landes, l'eucalyptus ...
TRANSFORMER la soie, la pourpre et l'indigo, le topaze et le saphir, le rubis et l’agate, l'opaline, l'ambre et la coralline, l'aigue marine ...
RESSENTIR le vent du Ténéré, les alizés, les embruns du Zambèze, le Simoun, le Mistral et la Tramontane ...
RESPIRER les épices de Ceylan ; le parfum des plantes exotiques, des caféiers, des cacaoyers, des palmiers dattiers, des bananiers ainsi que la fleur de tiaré et le coprah donnant le monoï à l'odeur suave des îles Marquises ; les effluves éphémères des bambous en fleurs, les senteurs des plaines d'Ukraine et l'odeur nauséabonde de la rafflesia ...
Tant de choses ... si peu de temps ...
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     ET JE SUIS LA !
Flo
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tazipa · 2 years
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29/07/2022 vers Uyuni
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"Uyuni est une ville du département de Potosí, en Bolivie, et le chef-lieu de la province d'Antonio Quijarro. Elle est située à 150 km au sud-ouest de Potosí. Sa population s'élevait à 29 672 habitants en 2012. Elle est située à proximité du salar d'Uyuni."
Nous avons pris le bus depuis Potosí pour 4 heures de voyage en bus à travers les montagnes.
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Un peu de monté en altitude qui a fait battre nos coeurs plus vite ! Puis une redescente vers Uyuni.
" La ville d'Uyuni est sise à une altitude de 3 670 m et se trouve à la jonction d'un plateau étendu à l'ouest et de territoires montagneux de la Cordillère plus à l'est."
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Nous avons juste eu le temps de déjeuner puis de réserver notre tour de 3 jour en jeep pour découvrir les salar et les lagunas coloradas :D
Uyuni apparaît un peu comme un village désert du Far west...la plupart des touristes étant de sortie sur les lagunes.
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Cher public, ouvrez grand vos mirettes, car ce soir c'est cours de géographie. Effectivement, à part vous décrire le paysage, pas grand chose d'autre à dire sur cette journée de bus. Donc c'est parti :
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Comme vous le savez, le Chili est une longue bande de terre de 3400km, et large en moyenne de 180km. Et folles que nous sommes, nous avons l'attention de parcourir lesdits 3400km.
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Lors de notre observation approfondie par la vitre du bus, nous avons pu constater que les 800 premiers kilomètres se composaient d'un désert, répondant au doux nom de désert d'Atacama. Ce désert, coincé entre la mer et la cordillère des Andes, est sensé être le plus aride du monde, et nous confirmons cette observation. En effet, le réflexe nous vient tout naturellement de marcher de manière arythmique pour éviter de conjurer certains ver de terre aggressifs. Ici, la ressource locale n'est pas l'épice, mais plutôt le salpêtre, puis de nos jours principalement le cuivre et le lithium.
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Les flamands roses que nous avons vu hier profitent des salares, d'anciens lac plus ou moins asséché et riches en sel, pour y vivre leur vie. On aurait presque envie d'en prendre un dans notre sac pour lui montrer que la vie peut être plus verte ailleurs.
Vous pourrez noter sur cette photo que les déserts, c'est pratique pour dessiner à grande échelle.
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Place aux 800 prochains kilomètres maintenant : c'est une zone semi-desertique, parsemée ça et là de vallées fertiles.
Enfin, arrive Santiago (merci de noter que ceci est une figure de style, notre bus arrive réellement Santiago dans une dizaine d'heures). Région paraît il, au climat méditerranéen, où vit 75% de la population, chiffre qui ne peut que m'inquiéter quant au climat qui règne en Patagonie et en Terre de feu. C'est dans cette région que l'on trouve également de nombreux vignobles Chilien.
Et puisque l'on parle de vin, connaissez vous le carmenère ?
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Un gentil Chilien qui tenait absolument à partager sa bouteille nous a expliqué que c'était un cépage originaire du Bordelais. Après enquête, au XIXe siècle, un certain Silvestre Ochagavia a décidé d'importer des cépages du Bordelais et de la vallée de la Loire au Chili. Grand bien lui en as pris, puisqu'à la fin du XIXe, le phylloxera ravage les vignes françaises. Celles-ci sont remplacée par les vignes chiliennes importées précédemment, mais pas le Carmenère, qui disparut de la carte française.
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(on a trouvé de bons pains au chocolat juste avant le départ !)
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auxcaillouxdeschemins · 13 hours
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Joie hier de découvrir avec @andrea_cuevaslomenech ses dessins dans le second titre à paraître ce mois de mai.
Voix cordillères, une coédition @klac_bordeaux / Aux Cailloux des Chemins. Sortie le 20 mai
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