Tumgik
#Viêtnam
pangeen · 9 months
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" Fishing in Harmony.. " //© Mahendra Bakle
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philoursmars · 1 year
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Marseille, les quartiers Est . Au bout du Boulevard de la Forbine, sur les hauteurs de Saint-Marcel, une très inattendue pagode bouddhiste vietnamienne : Truc Lam.
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toot-things · 11 months
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Flower seller,Viêtnam by Nara Rocha
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VIÊTNAM LANDSCAPE by Sylvain Deffaix
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claudehenrion · 1 year
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La nostalgie n'est plus ce qu'elle était. Ou le redevient ?
  Comme complément au ''billet'' d'hier relatif à ma manière de revivre les ''rêveries d'un promeneur solitaire'', un nombre inhabituel de mails me suggère de revenir sur la juxtaposition de nostalgie et mélancolie, spleen et tristesse, amertume et colère, ou conserver et sauver, le mot ''nostalgie'' paraissant  anachronique ou ''pas à sa place''.  Désireux de respecter notre si belle langue français (à laquelle j'inflige, ''à l'insu de mon propre gré'', plus de blessures que je ne le voudrais), j'ai un peu ''potassé'' le sujet... et je suis heureux de partager avec vous mes découvertes.
Première surprise, le mot ''nostalgie'' est tiré du jargon médical. Jusqu'à la fin du XIX ème siècle, il désignait une maladie, qui pouvait être mortelle, particulièrement chez les militaires (ce qui m'a remis en mémoire le ''blues'' profond de GI's, retour du ViêtNam ou d'Irak). Fouillant plus avant, on découvre que la nostalgie (c’est un néologisme créé en 1688 à partir du grec nostos (νόστος = le retour) et algos (άλγος = la douleur), définie comme un ''mal du pays'', était une véritable pathologie qui méritait une nosologie (Laennec n'est pas loin !), des soins cliniques, et parfois de la chirurgie (on frémit à la pensée des dégâts qu'une ablation (et de quoi, grands dieux ?) pouvait entraîner ! Elle frappait en priorité les militaires allemands, les marins hauturiers, ou les gardes suisses de Louis XVI, et c'est donc les médecins militaires (?) qui ont fait avancer (re- ?) la recherche sur ce mal très mystérieux.
Ils accumulèrent donc les explications (re-re- ?) atmosphériques, l'altitude, les ''humeurs'' –évidemment !--  voire même une ''dégénérescence raciale propre aux montagnards'', ce qui devenait problématique lorsqu'il fallait poser ce diagnostic sur des marins cap-horniers. Tout y passa, jusqu'à ''l'agitation d'esprit d'animaux'' --voir Molière : il a tout dit ! Mais pas moyen de comprendre et donc d'expliquer comment une ''affection morale'' ou une ''passion de l'âme'' pouvait précipiter à la mer des marins bretons ou aggraver la phtisie ou le scorbut. Le problème devint pressant après la Révolution, avec la levée en masse puis la conscription généralisée, qui ont fait passer cette affection d'individuelle à collective. On trouve des récits de soldats bretons en manque de leur langue gallèse (le ''Gallo''), d'ariégeois de la Garde bloqués en Pologne ou de ''conscrits de 1813'' qui voulaient revoir leurs Vosges... au point que cet orphelinat du ''pays'' réduisait force troupiers ''à l'état de 'végétation'' et poussait certains au suicide malgré les efforts de leurs officiers.
Ensuite, sans explication reconnue comme telle, cette ''maladie'' a régressé lentement au cours du XIXème siècle, même si elle a encore fait des ravages pendant la guerre de Crimée et désemparé les troupes coloniales, les ''colons'' alsaciens ayant fui la germanisation pour partir en  Algérie, et même les proscrits de Nouvelle Calédonie. On en trouve encore des traces pendant la guerre de 14-18, notamment chez des basques –pourtant si admirables au Chemin de Dames. Il semblerait qu'elle ait disparu –bien que le monde étant ce qu'il est, càd : fou, il ne faille jurer de rien ! Avec l'évolution du ''faire la guerre'', la Poste aux Armées, la multiplication des permissions ''de rentrer au pays'' et les progrès en matière de communications, la distance entre le passé et le présent a été réduite à presque rien (en revanche, je n'ai pas trouvé de traces sérieuses qu’auraient pu avoir smartphones et ordinateurs, autres que des enfoncements de portes ouvertes).
Dans la logique de certains de nos ''billets'' récents, il semblerait également que la standardisation massive des conditions de vie, l'aplatissement presque complet des différences régionales, l'alignement des paysages sur quelques modèles très standardisés (telle la généralisation des ''résidences secondaires''), la diminution sensible des accents régionaux, des particularismes, des vêtements traditionnels ou des cuisines typiques très ''marquées'', et la disparition des différences entre les paysages d'antan aient au moins eu une influence favorable –sur ce critère : la nostalgie n'est plus une maladie, ce serait un état d'âme finalement proche du romantisme. Comme quoi tout ne serait pas désespérément ''complètement noir'' dans le modernisme ! En tout cas, pas obligatoirement, et pas sur ce sujet précis !
Car le mot ''nostalgie'' est resté dans la langue courante, mais en changeant –pour partie-- de sens, comme c'est souvent le cas. La ''nostalgie'' aujourd'hui tend à désigner un sentiment diffus et assez mal défini qui serait une forme de regret des temps passés ou de lieux disparus ou lointains (en temps et en distance), mais auxquels on associe, souvent a posteriori, des sensations agréables. Le suffixe grec  ''-algie'' (= la douleur)  n'est plus là que par habitude, mais plus pour désigner un critère pénible de la chose, qui est plutôt devenue un sentiment agréable lié à un souvenir passé. Il s'agit principalement du regret mélancolique d'une chose, d'un état, d'une existence, ou d'une expérience que l'on a eue ou connue (désir d'un retour dans le passé), ou, à l'opposé, que l'on n'a pas eu ou pas connue, et qui vous manque (désir insatisfait). Ce manque est souvent provoqué par l'éloignement spatial et par le vieillissement qui crée un éloignement temporel qui peut être total.
La nostalgie peut se manifester dans des expressions telles que ''le bon vieux temps'', ou ''la belle époque'', ou bien –nous en parlons souvent-- ''c'était mieux avant'', mais la manière dont elle convoque le passé est souvent peu objective et peut relever d'un sentiment qui prétend que le passé était toujours mieux ou plus agréable que la situation actuelle et qui fait abstraction de ses éléments négatifs --qui ont existé. Dans la langue courante, on confond souvent la nostalgie avec le passéisme, qui est un attachement exclusif aux mœurs et aux valeurs du passé, et qui peut entraîner un repli sur soi à travers un désir profond de retourner vers des temps révolus. Mais autant le passéisme est une attitude fermée et quelque peu auto-destructrice, autant la nostalgie peut être vue comme un enrichissement qui ajoute les ''bonnes choses'' du passé à ce qu'il y a de bon dans le présent.
Et enfin, en fonction de principe de Lavoisier suivant lequel ''rien ne se crée et rien ne se perd, mais que tout se transforme'', je me suis demandé, à la fin de cette recherche rapide sur la nostalgie, si le désarroi qui frappe aujourd'hui toutes les strates de la société dans pratiquement tous les pays n'aurait pas des liens plus importants qu'à première vue avec un retour en force de l'ancienne ''nostalgie'' qui, frappant les ''exilés'' (qui sont des migrants qui ont réussi à ''passer''), les amène paradoxalement à reconstituer dans le pays d'arrivée les conditions de vie qu'ils ont fui... justement à cause d’elles ! Ce désir, difficilement compréhensible mais pourtant violent au point de sauter une ou deux générations, de vouloir recréer, subconsciemment mais mensongèrement, ce qu'ils ont fui pourrait être expliqué en partie par le retour subreptice de cette ancienne forme de nostalgie qui reprendrait du service pour détruire nos villes et nos campagnes alors qu'on la croyait morte.
Cette hypothèse fournirait l'explication manquante aux horreurs qui ponctuent de plus en plus nos jours et au dépassement de toute ''norme'' admissible dans le processus en cours, d'une immigration invasive qui rêve de recréer ici ce que la vie et le temps qui passe a supprimé ''au pays'' (modes vestimentaires et alimentaires, burkinis, us et coutumes soi-disant ''d'avant'', dans une fausse impression de ''retour aux sources'' –mais à des sources imaginaires car ré-inventées en quasi-totalité, qui sont interdits là-bas, mais refont surface ici, sous la forme de provocations, de violence et de haine inquiétantes : on recherche des rêves pour masquer la réalité, mais les jeunes marocains qui veulent tout casser les soirs de victoire --ou de défaite, ou de rien du tout-- ont intérêt à venir dans nos pays : chez eux, c’est NON !
L’idée vaut la peine d’être ''piochée'', au moment où les Etats se trouvent désarmés devant l’absurdité de réactions (et surtout d'actions ! ) que rien ne justifie ni n'excuse : pour comprendre pourquoi Bruxelles est mise à sac parce que le Maroc –qui n'a jamais été colonisé, surtout pas par les Belges-- a marqué deux buts (ce qui tue l’argument ‘‘mémoire de la colonisation’’. C’est un grand pas vers la vérité !), il faut aller au delà des fausses apparences et du ''premier degré'' qui sont la limite de nos politiques confits dans leurs réponses toutes faites --et toutes fausses. Nostalgie, quand tu nous tiens...
H-Cl.
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doanhnhantre · 6 months
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Lần đầu tiên sau 9 năm tổ chức, Liên hoan phim Thế giới Châu Á – Asian World Film Festival (AWFF) lần thứ 9 có riêng sự kiện “ViêtNam Film days' để trình chiếu các bộ phim Việt Nam.
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pinkiepour · 6 months
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Da Nang (Viêtnam)
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coulisses-tv · 8 months
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Place au cinéma : "Good Morning Viêtnam" sur France 5 vendredi 25 août 2023 - Vidéo
http://dlvr.it/Sv3MVM
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jade-curtiss · 8 months
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Moa kan lé gens pensent des tite shit et caca smsmsdmks
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lignes2frappe · 11 months
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45 ANS APRÈS LE PREMIER FILM, QUE SONT DEVENUS LES HÉROS DE ROCKY ?
Le 21 novembre 1976, la saga faisait ses débuts sur grand écran…
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Peut-être plus encore que n’importe quel autre film de boxe, les Rocky parlent avant tout d’autre chose que de boxe.
La solitude, l’abnégation, affronter ses peurs, la quête de soi, l’entraide, l’envie, la transmission… qu’importe pour le spectateur d’avoir mis ou non les gants un jour, les thèmes abordés en filigrane font écho à tout un chacun.
Au-delà de la qualité intrinsèque des films ou de la crédibilité des combats, voilà très certainement ce qui explique l’immense affection dont bénéficie aujourd’hui encore la saga.
Hommage à celles et ceux qui ont donné corps à ce mythe moderne.
Sylvester Stallone
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À moins d’avoir passé les 45 dernières années à regarder du cinéma d’art et d’essai, vous savez forcément ce qu’il est devenu. Profitons-en donc pour nous pencher d’un peu plus près sur le parallèle entre sa vie et le personnage de Rocky, tant les deux se confondent.
Comme dans Rocky I, Sly en a sacrément bavé avant de connaître sur le tard le succès : paralysie partielle du visage à la naissance, prénom chelou, petits boulots à la noix (comme gardien de zoo), nuits dehors, soft-porn pour payer ses factures… Troisième personne seulement de l’histoire des Oscars à être nommé pour le même film dans les catégories meilleur acteur et meilleur scénariste (après Charlie Chaplin et Orson Welles, excusez du peu), son avenir s’annonce brillant.
Comme dans Rocky II où après avoir formellement écarté l’idée d’une revanche (« It ain’t gonna be no rematch! ») Balboa change d’avis contre un gros chèque, il se laisse gentiment corrompre par le système en remisant ses velléités artistiques pour proposer un film plus consensuel, raccord avec les canons de l’héroïsme hollywoodien.
Short aux couleurs de la bannière étoilée, musculature hypertrophiée à mille lieux d’un corps forgé dans une salle de boxe, la bonne blague au bon moment… comme dans Rocky III, il commence à s’embourgeoiser dans les grandes largeurs avec des choix de carrière de plus en plus paresseux.
Comme dans Rocky IV, Stallone se mue en porte-drapeau de l’American Way of Life. À l’apogée de sa carrière, après s’en être retourné gagner à lui tout seul la guerre du Viêtnam dans Rambo 2, il va en découdre avec l’ultime bastion de résistance à l’impérialisme, la Russie de Karl Marx et Engels.
Comme dans Rocky V qui toute sa vie reste un boxeur aux yeux des autres, il a beau essayer de s’échapper de la cage dans laquelle il s’est lui-même enfermé (les films d’action), le public ne l’entend pas de cette oreille – le film est un four.
Comme dans Rocky Balboa, Stallone n’est jamais aussi bon que lorsqu’il est genou à terre, tandis que la carte de la nostalgie et du second degré annonce le revival à venir Expendables.
John G. Avildsen
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Décédé d’un cancer à 81 ans, il peut se targuer d’avoir réalisé le meilleur opus de la saga, le premier, pour lequel il a reçu un Oscar, et le pire, le cinquième.
Paradoxalement, il était à l’époque passé à deux doigts de refuser Rocky I, au prétexte « qu’il n’était pas plus emballé que ça par une histoire de boxe ».
En dépit de l’immense succès du film, trois ans plus tard, il décline Rocky II – « L’une de [ses] plus grosses erreurs »
En 1984, il renoue avec les hauteurs du box-office en initiant une nouvelle franchise à succès, Karaté Kid, dont il réalisera cette fois les deux suites.
En 2016, dix-sept ans après son dernier film, Inferno en 1999, sort le documentaire John G. Avildsen: King of the Underdogs dans lequel notamment Burt Reynolds et Martin Scorsese reviennent sur sa filmographie.
À l’annonce de sa disparition en 2017, Stallone s’était fendu d’un communiqué dans lequel il déclarait « tout lui devoir » et lui faisait grâce d’avoir « changé sa vie ».
Talia Shire
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Née Tali Rose Coppola, elle se fait connaître en 1972 quand son frère Francis Ford (Coppola) lui confie le rôle de Connie dans Le Parrain, la fille de Don Corleone.
Mariée en 1970 au compositeur David Shire, elle ne change son nom de famille ni quand elle divorce dix ans plus tard, ni quand elle convole en noces une seconde fois.
Après avoir été nommé en 1974 dans la catégorie meilleure actrice dans un second rôle pour Le Parrain II, en 1976 le rôle d’Adrian lui vaut d’accéder à la catégorie reine, meilleure actrice dans un rôle principal.
[Notez au passage que Joe Spinell, le caïd Tony Gazzzo dans Rocky I et II, joue également dans les Parrain I et II.]
Présente dans les quatre films suivants, elle n’est cependant pas de l’aventure Rocky Balboa en 2006… Stallone ne s’imaginant peut-être pas donner la réplique à une femme de son âge…
En retrait depuis 2007 après avoir tourné une quarantaine de films, Talia Shire a en 2020 participé à la campagne de promotion de Coda: The Godfather, The Death of Michael Corleone, la nouvelle version du Parrain III.
Burgess Meredith
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Bien que principalement connu pour le rôle de l’irascible Mickey Goldmill, il a joué dans plus d’une centaine de longs-métrages au cours des quelque soixante ans qu’ont duré sa carrière.
Il s’est également distingué sur le petit écran de 1959 à 1964 dans la série culte de science-fiction La Quatrième Dimension, ainsi que dans le Batman d’Adam West où il incarnait Le Pingouin.
Nommé en 1975 aux Oscars dans la catégorie meilleur second rôle masculin pour Le Jour du fléau, Rocky I lui a permis de doubler la mise l’année suivante, quand bien même la statuette lui a de nouveau échappé.
Décédé en 1997 à 89 ans des conséquences de la maladie d’Alzheimer, Burgess Meredith a tenu la distance jusqu’au bout, lui qui en 1995 pouvait encore être vu à l’affiche de trois films.
Burt Young
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Là aussi si le rôle du beau-frère Pennino éclipse le reste de sa filmographie, Burt Young peut s’enorgueillir d’avoir participé à quelques chefs d’œuvres comme Chinatown (1974) et Il était une fois en Amérique (1984), ainsi que d’avoir été dirigé par des pointures comme Sam Peckinpah (Le Convoi en 1978) et Nick Cassavetes (She’s So Lovely en 1997).
Ça, et aussi des piges dans Miam Vice (1984) et Les Soprano (2001).
Bon attention, grassouillet et geignard dans Rocky, dans ses jeunes années Burt Young n’avait que peu à voir avec son personnage, lui qui après avoir servi dans les Marines a mené une carrière de boxeur pro tout à fait respectable : sous la houlette de Cus D’Amato, le futur entraîneur de Mike Tyson, son palmarès compte 17 combats pour autant de victoires.
Toujours actif sur les plateaux à 81 ans, Burt Young continue en parallèle de s’adonner à sa seconde grande passion, la peinture. Artiste reconnu, ses œuvres sont régulièrement exposées.
Carl Weathers
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Flamboyant en ‘Master of Disaster’, beaucoup voyaient en lui l’une des prochaines stars de la décennie.
Ancien footballeur pro, il fait d’ailleurs voir son physique avantageux dans Predator en 1987, avant de tenter en 1988 d’initier dans la peau du sergent Jericho ‘Action’ Jackson sa propre franchise, Action Jackson.
Le flop est alors tel qu’il ne tournera qu’un petit film lors des huit années suivantes…
Weathers expliquera qu’à trop être confondu avec Apollo Creed, lorsque le personnage est tragiquement décédé dans Rocky IV (un décès qui en 2008 encore traumatisait Booba), public et producteurs le pensaient lui aussi disparu.
Est-ce pour cela que 21 ans après il a exigé de se voir attribuer un rôle en chair et en os dans Rocky Balboa ? Toujours est-il que devant le refus de Stallone, il lui a interdit d’utiliser la moindre image d’archive d’Apollo – raison pour laquelle, une doublure est utilisée dans les flashbacks.
Vu depuis 1975 au générique de quantité de séries télé à succès (Starsky & Hutch, Dans la chaleur de la nuit, Urgences, The Shield…), Weathers passe à l’occasion derrière la caméra, comme récemment pour l’épisode 4 de la saison 2 de The Mandalorian, le spin off Disney+ de Star Wars.
Sinon, et ça fait plaisir, en 2015 il a prêté ses traits à l’un des combattants du jeu vidéo Mortal Kombat X.
Tony Burton
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Boxeur poids-lourd dans sa jeunesse, il participe aux prestigieux Golden Gloves dans les années 50. Ce début de carrière prometteur est toutefois avorté par sa condamnation à trois ans et demi de prison pour braquage.
À sa libération, il décide de rester dans le droit chemin et se lance en tant que comédien.
Vu dans Assaut de John Carpenter en 1976, il décroche dans la foulée le rôle de Tony ‘Duke’ Evers, l’entraîneur d’Appolo dans les deux premiers films, puis celui de Rocky.
Présent au générique des six films, on lui doit quelques répliques mémorables comme le « No pain ! » des entraînements de Rocky IV, ou le speech « Let’s start building some hurting bombs » de Rocky Balboa.
Autre fait de gloire de sa biographie, il a défié et battu Stanley Kubrick aux échecs.
« J’avais été engagé sur Shinning. Initialement, mon contrat durait une semaine. Je n’avais que deux petites scènes à tourner. Je suis resté six semaines car Stanley voulait jouer avec moi. Il était bien meilleur que moi, mais j’arrivais à lui donner le change. J’ai même remporté l’une de nos premières parties. Après ça, il ne m’a plus laissé gagner une seule fois. »
En retrait des plateaux de tournage après 2007 pour cause de problèmes de santé, Burton n’apparaît dans Creed: l’héritage de Rocky Balboa que via des images d’archive.
Le nom Evers ne disparaît pas pour autant de la saga puisque son fils ‘Little Duke’ Evers (Wood Harris) est celui qui dirige la Delphi Boxing Academy, le gymnase dans lequel Adonis fait ses armes.
Malheureusement, Tony Burton n’a pas eu le loisir d’apprécier à cet hommage, il nous a quittés en 2016 à l’âge de 78 ans des suites d’une longue maladie.
Hulk Hogan
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Catcheur de renom dès la fin des années 70, Terry Bollea de son vrai nom fait ses grands débuts au cinéma en 1982 dans Rocky 3 : L’Œil du tigre où il en découd avec l’Étalon Italien lors d’une exhibition inspirée d’un combat de son rival de l’époque, le français André le Géant.
S’ensuivent une quinzaine de rôles sur grand écran pas franchement mémorables, et des apparitions régulières dans les séries télé du moment (L’Agence tous risques, La croisière s’amuse, Alerte à Malibu, Walker Texas Ranger…).
Couronné douze fois champion WWE du temps de sa splendeur, dans les années 2000 il se spécialise dans la téléréalité, notamment en mettant en scène sa petite famille dans Hogan Knows Best sur VH1.
En 2012, il défraye la chronique lorsqu’une sextape candauliste qui le met en scène avec la femme d’un animateur radio fuite. Si apparemment madame et monsieur n’avaient rien contre, Hogan lui l’a très mal pris et a fini par obtenir en 2016 environ 30 millions de dollars de dommages et intérêts.
Toujours est-il que cela ne l’empêche pas d’arrondir ses fins de mois en vendant des costumes d’Halloween sur son site internet.
Mister T
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Ancien videur de boîte de nuit et garde du corps de célébrités (Steve McQueen, Diana Ross, Muhammad Ali…), Laurence Tureaud a beau avoir écopé d’une nomination aux Razzie Awards pour son interprétation de James ‘Clubber’ Lang, cela ne l’a pas empêché de rapidement devenir une icône de la pop culture.
Crête Mohawk et kilos de chaînes en or autour du cou, il intègre de 1983 à 1987 le casting L’Agence tous risques dans le rôle de Barracuda, non sans se lancer en parallèle dans le catch, formant à l’occasion un duo avec Hulk Hogan.
Au début des années 90, un cancer le force cependant à prendre ses distances avec la célébrité.
En 2002, il amorce son retour avec un caméo dans le clip Pass the Courvoisier Part II de Busta Rhymes, P.Diddy et Pharrell.
Lorsqu’en 2005 l’ouragan Katrina dévaste la Louisiane, il arrête de porter de la joaillerie. Devenu entretemps un fervent chrétien, il ne souhaite en effet pas « manquer de respect » à ceux qui ont tout perdu.
En 2006, les caméras de la téléréalité I Pity the Fool (du nom de sa célèbre punchline) le suivent de ville en ville prodiguer ses conseils de vie à qui veut les entendre (parents, couples, employés…). L’expérience ne dure que six épisodes.
En 2010, contrairement à ses anciens petits camarades Dwight Schultz et Dirk Benedict, il refuse d’apparaître dans l’adaptation ciné de L’Agence tous risques au motif que le film n’est pas fidèle à l’esprit de la série, car trop violent et bourrés d’effets spéciaux.
Autre déception, il n’apparaîtra pas non plus dans le prochain Expendables 4, malgré la pétition Facebook en sa faveur.
Doph Lundgren
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Petit ami de la chanteuse Grace Jones, à 21 ans le Suédois décroche grâce à elle une apparition dans le James Bond Dangereusement vôtre. Lui qui quelques semaines auparavant était encore étudiant en chimie décide alors de poursuivre sur sa lancée en auditionnant pour Rambo 2 : La Mission. Bien que recalé, Stallone le trouve��« tellement parfait » que lui vient l’idée d’en faire le grand méchant de Rocky IV.
Musclor dans Les Maîtres de l’univers en 1987, Frank Castle dans Le Punisher en 1989, sans arriver au niveau de Sly ou Schwarzenegger, il s’impose comme un action hero crédible dans les vidéo-clubs.
Au cours des années 90, il se fait remarquer dans Universal Soldier avec Jean-Claude Van Damme et L’Homme de guerre, son plus joli succès critique à ce jour – le scénario signé par le réalisateur indé John Sayles n’y étant pas pour rien.
Plutôt que de creuser dans cette voie, Lundgren préfère toutefois enchaîner les tournages low cost dans les pays d’Europe de l’Est.
2010 marque son retour sur le devant de la scène avec le premier Expendables – deux autres suivront, un quatrième est en route.
Puis, après les très (très) suspects Un flic à la maternelle 2 et Female Fight Club, en 2018, trente-trois ans après ses débuts, il renfile le costume de Drago dans Creed II. Malheureusement, c’est peu dire que la déception a été au rendez-vous, avec un personnage qui n’a quasiment pas évolué et une histoire de revanche aussi linéaire que convenue.
Brigitte Nielsen
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Compagne très platine de Drago dans Rocky IV, elle était à la ville la meuf de Sly.
Outre le fait d’avoir retrouvé ce dernier l’année suivante dans le bien couillu Cobra (si, si), à cette même période elle a également été l’héroïne du troisième Conan de Kalidor avec Arnold Schwarzenegger, puis la grande méchante du Flic de Beverly Hills 2.
Candidate au titre de reine des actionners 80’s, la Danoise et son mètre 85 se sont ensuite malheureusement perdus dans un océan de séries B nanardeuses à la 976-EVIL 2: The Astral Factor, Codename: Silencer et autre Snowboard Academy (nan mais sérieux, rien que les titres…), sans oublier en 2014, Mercenaries, un plagiat au féminin bien fauché des Expendables.
Aujourd’hui, elle ne fait guère l’actu que pour ses télé-réalités sordides (Strange Love où elle flirte avec Falvor Flav, La Ferme Célébrités en Afrique, Aus alt mach où elle met en scène ses opérations de chirurgie esthétique, Celebrity Rehab où elle soigne son alcoolisme…), et sa vie privée tumultueuse (mariée pour la cinquième fois en 2006, elle a donné naissance à son cinquième enfant en 2018 à l’âge de 54 ans).
Tommy Morrison
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Vrai boxeur poids lourd, en 1989, il attire l’attention de Stallone en combattant 19 fois (!) pour autant de victoires.
De retour sur les rings après la parenthèse Tommy ‘Machine’ Gunn, il remporte sept combats d’affilée et se voit offrir une chance d’accéder au titre mondial en octobre 1991. S’il est défait pour la première fois de sa carrière, il rebondit avec huit nouvelles victoires de rang, toutes par KO, et finit par s’arroger la ceinture contre George Foreman en 1993.
Quatre mois plus tard, il est cependant corrigé par le quidam Michael Bent qui l’envoie trois fois au tapis au premier round. Morrison avouera plus tard s’être beaucoup relâché question discipline et avoir même assisté la veille au soir à un concert.
Battu pour la troisième fois de sa carrière par Lennox Lewis en octobre 1995, début 1996 il est testé séropositif. Ses combats à venir sont alors tous annulés (dont celui prévu contre Mike Tyson).
De là, il multiplie les écarts de conduite (conduite en état d’ébriété, possession d’arme à feu…), jusqu’à passer deux ans en prison au début des années 2000.
En 2007, coup de théâtre, Tommy Morrisson affirme avoir passé trois nouveaux tests VIH, tous négatifs, et annonce vouloir mettre les gants. Si de nombreux experts affichent leur scepticisme, il parvient bon an, mal an à ajouter deux nouvelles victoires à son palmarès (48 victoires, 42 KO, 3 défaites, 1 nul).
Au début des années 10, son état de santé se dégrade cependant fortement. Le 1er septembre 2013, il décède à 44 ans après deux années passées dans un état quasi végétatif.
Bill Conti
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Compositeur de l’inoubliable thème Gonna Fly Now (« Pin-pinlinlin-pinlinlin-pinlinlin »), Bill Conti, qui n’était pas amateur de boxe pour un sou, a trouvé l’inspiration en visionnant des combats au ralenti avec en fond la symphonie Eroica de Ludwig Van Beethoven – « C’était comme un ballet ».
À l’exception de Rocky IV où sa musique est remplacée par de la bonne grosse pop rock FM, il est ensuite rappelé pour chacun des opus de la saga jusqu’à Rocky Balboa.
Oscarisé en 1983 pour la grandiloquente bande originale de L’Étoffe des héros, il retrouve John G. Avildsen pour Karaté Kid, puis remplace Eric Serra sur la version américaine du Grand Bleu de Luc Besson (1988).
Sa discographie compte au total une soixantaine de BO.
Irwin Winkler
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Coproducteur de l’intégralité de la saga (les six premiers Rocky, plus les deux Creed), il a également contribué à cet autre grand classique du noble art qu’est Raging Bull de Martin Scorsese.
Il cultive d’ailleurs une solide relation avec ce dernier, les deux hommes ayant collaboré sur Les Affranchis (1990), Le Loup de Wall Street (2013) et le récent Irishman (2019).
Dans un autre genre, on lui doit en 1995 en tant que réalisateur la « pépite » Traque sur internet avec une Sandra Bullock dont il était impossible de ne pas tomber amoureux malgré la ringardise complète du film.
Publié sur Booska-p.com le 18 novembre 2021.
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philoursmars · 1 year
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Marseille, les quartiers Est . Au bout du Boulevard de la Forbine, sur les hauteurs de Saint-Marcel, une très inattendue pagode bouddhiste vietnamienne : Truc Lam.
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christophe76460 · 11 months
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Aide-toi et le ciel t’aidera !
Tu disais en ton cœur : Moi, moi et rien que moi.
Ésaïe 47.10
Né à Saigon, au Viêtnam, j’avais trois ans quand ma famille a fui le pays pour se réfugier en France. On m’avait appris : "Aide-toi et le ciel t’aidera" ; et qu’il fallait s’en sortir tout seul. Tout semblait bien aller jusqu’au jour où ma grande sœur a fait une grave dépression. Toute la famille en a été très affectée.
Pour l’aider, mes parents ont fait venir des guérisseurs, des médiums et des spirites. Puis nous nous sommes tournés vers le bouddhisme, le catholicisme, Lourdes et Marie, afin de la guérir. Durant cette période, mes parents avaient rencontré un pasteur. Je savais seulement qu’il priait pour ma famille et pour ma sœur.
J’étais devenu athée. Je ne comptais que sur moi. Mon succès dans les études me rassurait. Mais quel grand vide intérieur !
Je suis parti aux États-Unis et j’ai retrouvé mon autre sœur à Washington. Elle avait fait une tentative de suicide. Alors j’ai sombré à mon tour. Là, j’ai compris que je ne pouvais pas m’en sortir seul. Ma vie n’avait pas de sens, elle était vide d’amour véritable.
À ce moment-là, je me suis souvenu du pasteur qui priait pour ma famille. Il était retourné à Washington, alors je suis allé le voir. Il m’a parlé de mon état de pécheur, expliqué que Jésus était mort pour moi, que j’étais sur une mauvaise route. Je devais compter sur Jésus pour ma vie, et lui demander pardon pour tout le mal dont je m’étais rendu coupable. Je le fis à l’instant même.
Depuis, je suis réconcilié avec Dieu. Christ a rempli ce vide en moi de sa présence. Ma vie a un nouveau sens.
Jean-Louis Gaillard
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toot-things · 11 months
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Viêtnam by Jean Paquet
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l-eclosion · 1 year
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Drôle de déjeuner au #Viêtnam #voyagedeductible
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cinema-look · 1 year
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2023. 6 : La Chinoise
J’ai donné à La Chinoise (1967) de Jean-Luc Godard la note 6/10
Un film très créatif, mais un brin propagandiste. Ce n'est pas un mal, mais même prit au second degré, comme beaucoup de ses films, on a du mal a suivre.
L'effervescence des jeunes esprits révolutionnaires parisiens pré-68 prit dans les clivages idéologiques entre pays occidentaux face aux pays asiatiques au cœur d'une lutte anti-impérialiste.
Le communisme, le maoïsme, le parti, le livre rouge face au capitalisme, au PCF ou au révisionnisme Russe.
Le marxisme léninisme à l'heure de la guerre du Viêtnam sous toutes ses formes, des portraits de Staline, de Mao, le tigre, la mitraillette, la révolution violente, le terrorisme.
Le capitaliste et sa bouteille coca-cola, ses comics, ses avions et ses tanks.
C'est rouge, c'est bleu, c'est jaune.
On apprend méthodiquement, on se réveille sur l'internationale et on se met au récit des l'entraînements au balcon.
On lit, on récite avec ou sans lunettes, sans tout comprend ni à l'oreille, ni l'action ou les paragraphes sursautant à l'écran.
On parle aussi de la révolution au cinéma, de Méliès et des frères Lumières, de Eisenstein ou de sa propre mise en perspective, avec le film tourné sous les yeux du spectateur.
L'art, les tableaux, les livres, les philosophes et la musique (Mao) mais on souhaite quand même poser des bombes sur les universités sans même le soutien des plus grands du FLN (Algérie).
Un film mou en sa forme et pauvre en son récit, mais riche en ce qu'il témoigne d'une époque, énergique dans la vitalité des idées novatrices et porteuse d'espoir.
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