#championne Olympique

[le-journal-catalan]

Escrime : la perpignanaise devient Jeanne Latgé championne de Région

Championnats d’Occitanie de Fleuret : une jeune Perpignanaise devient Championne de Région et fait coup double !  C’est samedi 14 avril que se sont tenus les Championnats Régionaux de Fleuret moins de 15 ans à Muret en Haute-Garonne.  La jeune Perpignanaise Jeanne LATGÉ, 13 ans, a remporté la victoire face à la tenante du titre alors qu’elle tirait en surclassé et a fait coup double en…

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#Albi #championne Olympique #escrime #Fleuret #Jeanne Latgé #perpignan #Perpignan Roussillon Escrime #Région

[lcasr]

#s03e06 #lcasr #le coeur a ses raisons #lcasr gif #marc labreche #marc brunet #quebec #Non #non! #Souvenez #vous #que #avez #ete #championne #de #saut #olympique!

[iweb-rdc001]

Éliminatoires Jeux olympiques Paris 2024 : Les Léopards Dames affrontent les Championnes d'Afrique en titre Sud-africaines ce mercredi 25 octobre à Kinshasa

Les Léopards dames de la RDC vont défier les Banyana Banyana de l’Afrique du Sud, ce mercredi 25 octobre 2023 au stade des Martyrs à l’occasion du deuxième tour des éliminatoires zone Afrique pour le tournoi du football dames des Jeux Olympiques Paris 2024. En effet, les pouliches de Marcelo Kadiamba sont obligées de faire un résultat plus satisfaisant pour ce match aller dans l’optique d’avoir…

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#Éliminatoires Jeux olympiques Paris 2024 #Léopards Dames affrontent les Championnes d&039;Afrique en titre Sud-africaines #Stade des Martyrs

[vinylespassion]

La patineuse anglaise Jeannette Altwegg se détend en musique dans sa maison de Winterthur (Suisse), dans laquelle elle a vécu de 1947 à 1950. Quadruple championne de Grande-Bretagne, elle est championne du monde 1951 et championne olympique en 1952.

#Jeannette Altwegg #1950 #sport #patinage

[plaidetchocolatchaud]

Si ça vous manque (je suppose que non) que je parle de patinage : il y a le grand prix de France en ce moment (j'ai loupé la première journée que je rattrape ce soir oui) et les entrées c'est une petite dinguerie : Boyang Jim, Adam Siao Him Fa (qui fait des chorés de dingue, Yuma Kagiyama (vice champion olympique) Ilia Malinin (qui fait les sauts les plus difficiles et qui enchaîne les records), Mone Chiba, Wakaba Higuchi qui revient en compétition après un an de pause, Haein Lee (vice championne du monde et ma favorite) et Isabeau Levito (championne du monde junior j'aime pas sa technique de saut mais elle est adorable à regarder).

Pour une fois je vais pouvoir en profiter sans avoir à avancer/finir un mémoire sur le dos.

#encore un week-end où je vais rien foutre

[transparentgentlemenmarker]

La flamme olympique a été allumée ce mardi 16 avril 2024 par la "grande prêtresse" sur le site antique d'Olympie. Les jeux se tiendront du 26 juillet au 11 août.

La flamme olympique transportée par la "grande prêtresse" a été allumée, ce mardi vers 11h15 incarnée par l'actrice grecque Mary Mina, sur le site antique d'Olympie en Grèce, où ont eu lieu les premiers Jeux olympiques de l'Antiquité. La comédienne a allumé la flamme en présence du président de Paris 2024, Tony Estanguet, et du président du Comité international olympique Thomas Bach, qui a insisté sur le message d'"espoir" que porte la flamme olympique, symbole de paix dans l'Antiquité. En raison d'un ciel nuageux, l'allumage n'a pas pu se faire avec les rayons du soleil comme le veut la tradition antique, et a été réalisé avec une flamme de réserve conservée après la répétition générale de lundi. La flamme a ensuite été transportée au stade antique d'Hestadia pour être transmise au premier relayeur, le champion olympique grec d'aviron Stéfanos Doúskos. Lui-même l'a transmise à l'ancienne nageuse Laure Manaudou, sacrée championne olympique sur 400 m nage libre aux Jeux olympiques d'Athènes en 2004, et première relayeuse française.

Cette étape marque la première étape du relai de la flamme olympique à travers la Grèce et la France. La torche s'élance désormais pour un long périple elle sera officiellement remise aux organisateurs de Paris 2024 au stade panathénaïque d'Athènes, site des premiers Jeux modernes en 1896, le 26 avril, après 11 jours de relais à travers la Grèce. Elle traversera ensuite la mer Méditerranée à partir du 27 avril à bord du trois-mâts Belem pour rejoindre la France, à Marseille, le 8 mai. Ensuite par une grande partie des départements de l'Hexagone, les Antilles ou encore la Polynésie française.

L'actrice grecque Mary Mina (à droite) tient le flambeau

Les petits rats de Paris

À ne pas confondre avec les rats de l'opéra

Ensemble exigeons l'arrêt des guerres pendant la trêve olympique

#flamme olympique #paris 2024 #seine

[sarahaubel]

SEPTEMBRE

J’ai rêvé que j’étais carriériste. Pas dans le succès. Dans le cailloux. / “Maintenant les gens se rencontrent puis ils baisent. C’est plus comme avant. Moi j’ai attendu l’homme parfait. Bon, il était juif c’était pas prévu au programme mais ce fut formidable.” / 6h du matin. Paris. Taxi. J’aimerais que ce trajet ne finisse jamais. Puis je réalise que ça me coûterait une fortune. Note pour plus tard : rêver dans le bus. / Ses regards ne regardent que moi (Julien Clerc) / Un mec dans la rue a demandé à un autre “ Ça va ? Bien dormi ?” alors comme je me sentais seule j’ai imaginé que je lui répondais non figure-toi j’avais mis mon réveil à 5h du matin puis la veille au soir en m’achetant des chaussettes au Monop j’avais aussi pris de la mousse pour le bain et un masque pour le visage et que du coup c’était pas une bonne idée de se lancer dans cette affaire là quand il est 23h et qu’on doit se lever tôt puis qu’il avait fait sacrément chaud dans la mezzanine ça m’avait collé un mal de crâne pas possible parce que j’avais oublié de me monter un verre d’eau et boire c’est important même la nuit faut être prévoyant. Ça m’a fait plaisir d’avoir de la compagnie. / L’homme aux semelles de mazoute laissait des traces sur chaque chemin qu’il foulait. / Bizutage : Les miens s’appelaient Samir, Momo et Farid mais ils auraient tout aussi bien pû s’appeler Lucas, Antoine et Benjamin. A quelques poils près, tous les trous du cul se ressemblent. / Elle et moi on est championnes olympiques du relai de déprime sur 400m. / “J’ai le pâté qui touche la boîte.” / Y a quand même pas plus grand paradoxe dans l’humanité que de réfléchir deux mois à l’avance aux tenues qu’elle portera dans un camping naturiste.

#cailloux #sarah aubel #texte #bizutage #les mois #Monop #Mazoute #camping naturiste

[redwineconversation]

Selma Bacha Le Progres Interview (October 17, 2023)

Blah blah standard disclaimers apply; god I HATE invasive behavior so much it genuinely makes my skin crawl; @OL Comms Dept a PSL I beg of you; y'all know the speech by now. I don't want to commit to translating Le Progres articles on a regular basis but as is everything in life, that is subject to change.

In which the prodigal child returns from the cold, remembers Lyon's win/loss record against Barcelona, disses Lyon's men's team, and confesses love and admiration for WoSo's favorite Bad Catholic.

It was basically a fan Q&A and anyone with a Le Progres subscription will be able to find their names; however I took out the fans' names because I just don't feel comfortable outing private information like that. (See, it's that easy to be a decent human being and respect someone's privacy!!! Who would have thought!!!!)

SELMA BACHA LE PROGRES INTERVIEW

Selma Bacha: "My biggest strength is my instinct"

For one hour, the Olympique Lyonnais and French International left back talked with Le Progres readers with all the spontaneity and frankness we have come to expect from her. Without shying away from a single question. Her tenacious character, the difference in attendance for men's football compared to women's football, the support from her family, how she regards mental strength, her role models, her relationship with Wendie Renard... A Bacha with no filter!

[Fan]: Do you play any other sport apart from rugby?

I do a lot of boxing during preseason and when we're in preseason. It allows me to blow off steam. I also enjoy swimming, and because I'm such a competitor, I always have to swim against someone who swims professionally so I can improve and to improve my mental strength. I also go hiking even if I like it a little less. Ever since I was young, I really loved sports in general. In middle school, I did cross country. I wanted to do my middle school proud so I gave everything, and I finished third in the French Championship.

[Fan]: Did you play with the boys in the academy?

I started playing with the boys when I was five. I was recruited really quickly by Lyon when I was eight. But my parents got divorced at that time and I lived with my father and my brother, so I have certain male characteristics. But maybe that's what gave me my desire to win, the determination, how to be aggressive and not let anything go.

[Fan]: What would you say is the difference between men's football and women's football? The difference in attendance?

We do the same job, but female players don't bring in as much money as the men do. But we're seeing some progress, we see it with the French National Team where we often play in front of sold-out crowds. It's up to us to win over supporters, to make them proud and gain interest in us. I have a lot of confidence in that even if it's a little frustration to play the final of the Coupe de France or the Trophee des Championnes in front of a small crowd. That being said, then a game is at 9pm on a Sunday, I understand that's it is complicated for families.

[Fan]: Were you disappointed not to play the derby [against ASSE] at the Groupama Stadium?

I think I can speak for the team but we would prefer to play in front of a smaller crowd with a great atmosphere, which may have been lost if we played at the Groupama Stadium.

[Fan]: What is your best memory in the Champions League?

My first final in Kiev [Lyon beat Wolfsburg 4-1]. I wasn't even expecting to be on the team sheet and I went to the pregame meeting and I found myself starting at the age of 17. The atmosphere was incredible. Overseas, people are really interested in those types of events. Here in France, we're sleepwalking our way through it, even if after the [2019] World Cup a lot of people started to get more into women's football.

[Fan]: Other countries have overtaken women's football in France. What do you think about that?

It's not to put down our league because things were put in place and we were heard, so respect for that, but when there is a clash like Chelsea-Manchester City in England, it's hard to compete against. Discussions were had, I'm a bit young but Wendie Renard is taking part in them and things are starting to change. In July, professionalism was put in place, so it's moving forward. Slowly but surely.

[Fan]: What has been the most difficult thing in your career?

I integrated the professional group very quickly. I saw everything through rose tinted glasses at first. And when I was on the bench, I was asking the right questions of myself. I was talking with the physical fitness coach, the psychologist, the nutritionist, and I told myself I need to work twice as hard to achieve what I really wanted. I'm someone who is always very smiley and when I'm hurting, no one will know. I can internalize a lot but it will explode, I implode by myself and obviously, that's not good mentally. I have my parents, my team and my best friend, Alyssa Paljevic (former goalkeeper at Lyon), who is a shoulder to lean on. She doesn't judge me and she tells me if I'm wrong or not.

[Fan]: Are you properly supported in terms of mental health?

It depends on each individual. I often tell the youth to make sure to have a good support system. When I arrived at 16 [to the pro group], I wasn't paying a lot of attention to nutrition, to sleep, to recovery, the invisible part of training. I quickly understood you needed support and structure to achieve my objections, which are really high. When I go the [team] psychologist, it's because it helps me a lot mentally.

[Fan]: What qualities do you need to become professional?

Being good at football obviously. Beyond that, only hard work pays off. I give a lot of credit to the people working behind the scenes who put things in place for us. The invisible part of training is also really important. Beyond that, it comes down to having a lot of fun and confidence, you have to follow your instinct. Now it's my turn to ask if you want to be a professional football player? You'd like that? Right there, you can't say "I'd like to". You have to say "I want to" to send the right information to your brain and have confidence in yourself.

[Fan]: Have you stayed in contact with FC Gerland, the team you started with?

I'm the godmother of my former club which is still very dear to me. Last season, I was able to gift them jerseys thanks to my sponsor. Whenever I can go and give them advice, I do it without hesitation.

{Fan]: Do you play Fifa?

From what I'm told, apparently in the game, I'm expensive and a "cheat code"... Personally I don't really play, I prefer to relax.

[Fan]: Do you train in the morning and afternoon like the men's team?

Who told you the men's team train in the morning and afternoon? (laughter) We often have training in the morning, but sometimes we have double or even triple sessions when we come back from vacation. But yeah, we're like the men, we do the same job.

[Fan]: Do you interact with the men's team?

Yes, and besides that, once a year, during the gala for OL Foundation [Lyon charity], we're seated a table with investors and there's obviously a player from the men's team next to us. You might think they have big egos but when you get to know them, they're real softies. We see them in the cafeteria as well.

[Fan]: Was the transition post-Aulas easier for the women's team?

I don't know what's going on on their [men's team] end but from our end, Michele Kang came to see us, we had talks. We're not an easy team to handle but we're not complicated. (laughter)

[Fan]: Which players are your role model?

I'm a footballer but I don't watch a lot of football. The players who inspire, it's Karim Benzema and Cristiano Ronaldo, because they're hard workers.

[Fan]: Have you recovered from your ankle injury in Australia?

My ankle doesn't bother me anymore otherwise I wouldn't be on the field, especially because I have a long season ahead and therefore we won't want to take any risks. But it's true the sprain was no joke. I had 10 days to recover. It didn't hurt at all during the World Cup even if it was swollen. I'm not a cheat: if I'm not 100 percent it's not worth putting me on the field. So yeah, my ankle is a little unstable since, it'll roll sometimes, I'll be in pain for 30 seconds up to a minute, but that's normal. Let's just say I played my joker. At Lyon there is all the necessary medical staff, I'm in good hands.

[Fan]: Does it help you to play in your hometown?

There are advantages and disadvantages. The advantage is I was born here, all my family is here and I'm really close to my family so I have a lot of support, that really helps me. But sometimes, you just want to be alone and that's not always an option.

[Fan]: What is your relationship like with Wendie [Renard]?

Wendie, she took me immediately under her wing as soon as I integrated the pro group. She knows the love and admiration I have for her. She's in my heart, she's a big sister for me who I can always count on. Our friendship goes beyond football. When things were going badly and I thought about quitting football, she really helped me. I owe an enormous amount to her.

[Fan]: Do you think you will change clubs in the upcoming years?

That's a good question! (laughter) I'm under contract with Lyon until 2025. I have incredibly strong feelings for this club, I grew up with them. For the moment, I'm good here, I live it day by day and for the moment, I'm not imagining myself elsewhere.

[Fan]: You wouldn't want to go to Barcelona?

Why would I choose Barcelona? (laughter) I'm not afraid to test myself in a new league. Each year, in my room, I take a blank piece of paper and write down my objectives. Last season [2021-2022], I wasn't expecting to be be the youngest player in the Champions League, have the most assists, be nominated to the Ballon d'Or... I couldn't believe it. But when you play for the team and you put the team first, the individual stats will follow by themselves.

[Fan]: Do you practice a lot shooting from afar?

Let's just say it's instinct. I have a very strong left foot. The assistant coach for the French National Team teases me a lot about that: he tells me I have a more powerful shot than certain male players but I need to put them on target (laughter), so I know what I have to improve on. I'd say that above all else, my strength, it's my instinct. I always follow it: if I have to take a shot, I'll shoot, if I have to get my teammate to score, I'll do it. I don't think just about me. I'd rather have an assist than score, even if scoring, it's a really special feeling.

[Fan]: Which team has the best style of play in your eyes?

Olympique Lyonnais (laughter). Otherwise I'd say Barcelona, because I am a player who likes ball possession and at the top level, the Spanish players are the best. I like to watch Barcelona.

[Fan]: Who was the best team you played against?

That's a good question. I'd say Chelsea and Barcelona.

[Fan]: And the best player according to you?

There are a lot. At the moment, I'd say Eugenie Le Sommer. Aitana Bonmati (Barcelona) as well, she's really good.

[Fan]: Do you chip in training?

Ball control, nutmeg, shooting, yes. But not really chips.

[Fan]: What is it like being an undisputed starter with the French National Team?

It's an honor! My team knows how much I struggled and all the tears I shed. Compared to other players, I integrated it a little later but I never gave up. There were nights when I was crying at home and I was thinking: "what am I missing?" And one day, when Lyon was at Issy-les-Moulineaux, I learnt that I would be called up because Sakina Karchaoui was injured. At first I couldn't believe it and I was even afraid the coach was pranking me. I screamed really loudly in the bus, everyone was really happy for me. Being at Clairefontaine, seeing the castle, it was a childhood dream. I'll never forget my first game against Kazakhstan, especially because I was a starter. And then I scored in my second game against Wales! I couldn't dream it any better. Now, my status has changed, but I'm not going to get a big head over it. I stay smiley, likable and I never forget where I came from. I want to keep my feet on the ground because it can all change so quickly.

{Fan]: How did you handle coming back from the World Cup?

That night, obviously I didn't sleep. But despite my missed penalty, I told myself that I gave everything and shouldn't have any regrets. Especially because I came into the tournament with an injury and had 10 days to recover from a big sprain. Afterwards? There was a long flight with a lot of sadness and frustration. I landed mid-morning in Lyon, I went to see my family and that afternoon, I went to Montpellier and then the next day to Marrakech. I turned my phone off and no one knew where I was. I needed a lot of time before I could talk about the World Cup.

[Fan]: What was missing for this World Cup?

Efficiency of course. We weren't able to impose our style of play and we were subjected to Australia's. Maybe we lacked a bit of bite as well. Ellie Carpenter, my Australian teammate, when she has one touch of the ball, she moves up 10 meters. When you foul a Brazilian player, they form a group around the referee to put pressure on her. When we had a team meeting about it, Kenza Dali actually called me out by name and said we needed to be more like me, aggressive. Of course you need to respect the referee and not waste energy for no reason when she has already made her decision, but in the quarterfinal of the World Cup, I think we can go talk to the ref. And not just in football. Look at rugby!

#all good love stories start in the rain #selma bacha #the prodigal child who came in from the cold

[mittwoch-addams]

Amandine Henry a rejoint l’Olympique Lyonnais en 2007 à l’issue de sa formation au centre de Clairefontaine. Avec 354 matchs au compteur, notre numéro 6 est la 3ème joueuse la plus capées de l’histoire de l’OL. Le 21 mai 2022, elle marque le premier but de la finale de la Women’s Champions League contre Barcelone à l’issue d’une action mémorable qui illustre parfaitement ses qualités de combativité et de technique, certainement le plus beau et le plus important de ses 74 réalisations sous notre maillot. Symbole de persévérance, de leadership et de détermination Amandine quitte l'OL avec un palmarès incroyable. Véritable légende du club, elle est l’une des joueuses les plus titrées avec 7 UEFA Champions League, 14 titres de championnes de France et 8 Coupes de France à son actif. 

Merci Amandine et très bonne continuation pour la suite de ta carrière. 

Amandine Henry joined Olympique Lyonnais in 2007 after completing her training at the Clairefontaine center. With 354 matches on the clock, our number 6 is the third most capped player in OL history. On May 21, 2022, she scored the first goal in the Women's Champions League final against Barcelona after a memorable action that perfectly illustrates her qualities of fighting spirit and technique, certainly the finest and most important of her 74 achievements under our jersey. A symbol of perseverance, leadership and determination Amandine is leaving OL with an incredible track record. A true legend of the club, she is one of the most successful players with 7 UEFA Champions League, 14 French championship titles and 8 French Cups to her credit.

Thank you Amandine and very good continuation for the rest of your career.

#Piron at 15:55 #OL feminin #amandine henry #olympique lyonnais #olympique lyonnais feminin

[basilepesso]

"La cause de son décès est encore inexpliquée." (...) "La native de Sand Hill, dans le Mississippi, avait débuté par le saut en longueur, discipline où elle a brillé dans les championnats universitaires. Elle s’était ensuite tournée vers le sprint, avec une médaille d’or olympique décrochée sur le relais 4x100m (avec notamment Allyson Felix) à Rio en 2016. Lors de ces mêmes Jeux, Tori Bowie avait également obtenu l’argent sur le 100 m derrière la Jamaïquaine Elaine Thompson et le bronze sur le 200 m. Jusqu’à la consécration mondiale, l’année suivante dans la capitale britannique.” (Aussi sur Fb, 3 mai 2 023) Article du Parisien : “Athlétisme : l’ex-championne du monde du 100 m Tori Bowie est décédée à 32 ans“

#basile pesso #tori bowie #usa #sadness #tristesse #sports #athlétisme #course #questions #santé #contenu original #journalisme #journalistes #journalistes indépendants #original content #yes we are magazine

[bachap3d2024candidatval]

Partie 1 : storyboard

Pour le thème imposé "Jeux olympiques", j'ai souhaité représenter une athlète de saut en hauteur en plein entraînement. L'ambiance se veut tout d'abord sérieuse, assurée, où le personnage se concentre et prends son élan. Tout semble à croire que cette épreuve est surmontable, et qu'elle y arrivera avec facilité.

Finalement, en pleine action, la barre se brise, elle tombe au sol, et alors qu'elle reprend ses esprits, la deuxième partie de la barre jusque-là hors champ, lui retombe subitement sur la tête.

Dans la suite de cette histoire, l'athlète reprendrait encore et encore ses tentatives. À plusieurs reprises, elle se rate, à chaque fois d'une manière différente, dans un ressort plutôt absurde, comique et irréaliste (elle se prend la barre en hauteur, elle pense la franchir, mais la franchie en fait par en dessous, la barre de saut se plie par l'avant et l'envoie par effet catapulte en arrière, etc.). Les scènes de ratage du saut se suivent et durent chacune 5-10 secondes, et l'enchaînement finit sur des scènes successives des chutes, durant 2 secondes chacune. Finalement, tout s'arrête sur une scène calme où le personnage est vu assis, soupirant et désespéré, avant de trouver une impulsion (sous la forme par exemple d'un souvenir), qui l'aide finalement à réaliser un saut parfait, maîtrisé et réussi.

Fin alternative :

Elle ne réussit jamais son saut, mais se découvre un autre talent. Par exemple, agacée et contrariée de son échec, elle saisit un disque d'athlétisme traînant auprès d'elle et le lance de colère, l'envoyant ainsi au loin à une distance particulièrement remarquable. Elle se découvre ainsi un talent qu'elle n'imaginait pas, et finit championne de lancer du disque.

[iweb-rdc001]

Éliminatoires Jeux olympiques Paris 2024 : Les Léopards Dames affrontent les Championnes d'Afrique en titre Sud-africaines ce mercredi 25 octobre à Kinshasa

Les Léopards dames de la RDC vont défier les Banyana Banyana de l’Afrique du Sud, ce mercredi 25 octobre 2023 au stade des Martyrs à l’occasion du deuxième tour des éliminatoires zone Afrique pour le tournoi du football dames des Jeux Olympiques Paris 2024. En effet, les pouliches de Marcelo Kadiamba sont obligées de faire un résultat plus satisfaisant pour ce match aller dans l’optique d’avoir…

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#Éliminatoires Jeux olympiques Paris 2024 #Léopards Dames affrontent les Championnes d&039;Afrique en titre Sud-africaines #Stade des Martyrs

[maillotballl]

La phase de groupes de la Coupe d'Europe débutera le 14 juin

Le match d'ouverture du Championnat d'Europe débutera le 14 juin 2024 à l'Allianz Arena de Munich, le stade du club du Bayern Munich, devant 67 000 supporters en tenues de foot pas cher attendus. La finale aura lieu le 14 juillet au Stade olympique de Berlin, la capitale allemande.

En tant que pays hôte, l'équipe allemande s'est automatiquement qualifiée pour le tableau principal du groupe A. La finale était divisée en six groupes de quatre équipes chacun. Les équipes de la Fédération allemande de football (DFB) disputeront leur match d'ouverture à Munich le 14 juin. L'Allemagne s'est qualifiée pour toutes les Coupes d'Europe depuis 1972 et a été championne de la Coupe d'Europe en 1972, 1980 et 1996. Les joueurs qui participeront à l’Euro ne seront révélés que peu de temps avant le début du tournoi. D'une part, leurs équipes doivent se qualifier et, d'autre part, les joueurs eux-mêmes doivent être indemnes de blessures. Bien entendu, des superstars comme l'Argentin Messi ou le Brésilien Neymar ne peuvent pas concourir car leurs équipes nationales ne font pas partie de l'UEFA. Bonne nouvelle pour les fans de football qui portent le maillot des France : l’Euro 2024 pourra être regardé à la télévision dans le monde entier. Lors des éliminatoires, l'équipe portugaise a remporté 10 matchs sur 10, donnant aux supporters une confiance totale !

#tenues de foot pas cher

[zehub]

La Seine pas assez propre pour les JO ? Cette championne olympique inquiète pour «la santé des athlètes»

Alors que les JO de Paris 2024 approchent à grands pas, une championne olympique a fait part de ses doutes quant à la possibilité pour les athlètes d

[plaidetchocolatchaud]

Quand même faire ses exercices au ruban avec en fond l'hiver de Vivaldi et rentrer en entendant la musique de la championne olympique, c'est des vibes de fou...

#edit #entendu au hasard à la radio

[deuxcentimes]

histoire. la morris, hyène de la gestapo : de jeune fille de bonne famille à collaboratrice, drame en trois actes

Il y a dans l'histoire de ces personnages qu'on a peine à croire aient un jour habité un corps de chair tant ils paraissent tout droits sortis d'un roman. Violette Morris en fait partie.

Première championne olympique de lancer de disque et de poids, sportive-star et garagiste devenue chanteuse de music-hall, figure controversée de “femme à pantalon”, collaboratrice et icône de la vie parisienne, Violette Morris est l’athlète vedette de la presse des années folles.

Lorsque la guerre éclate, Émilie Paule Marie Violette Morris est une jeune fille de bonne famille qui n’a pas vingt ans. En 1916 elle décide, premier acte de la longue liste de défiances qu’elle aura envers les mœurs assignées à son sexe, de se porter volontaire pour assurer des liaisons en motocyclette pour l’armée anglaise. L’armistice signée, elle se lance bientôt dans une carrière sportive prolifique qui aboutit à sa participation aux premières olympiades féminines en 1921.

Acte I : Violette, un homme comme les autres

Tout au long de sa carrière, l’athlète est poursuivie par la presse. Mais, davantage que ses exploits sportifs, ce sont les « excentricités » de « la Morris » qui font couler beaucoup d'encre. On ne manque pas, dès que possible, de relater chacune de ses apparitions dans la presse, mais surtout de la comparer à ces homologues masculins, ce qui lui vaudra en réponse ces paroles célèbres devenues sa devise « Ce qu’un homme fait, Violette peut le faire ! ». Dans la seconde partie des années 1920, non satisfaite de ses exploits en athlétisme, Violette Morris se prend d’amour pour la course automobile. On est en 1927, et c’est déjà bien établie comme figure du sport contemporain et juste avant de gagner l'épreuve du Bol d'Or automobile sur le circuit de Fontainebleau, qu’elle prend la pose au volant pour l’agence Roll, arborant fièrement un complet d’homme, les cheveux courts et le cigare à la bouche. Le regard droit qui vise à l’extérieur de l’image, résolument tournée vers un avenir pourtant incertain, la sportive ne semble guère faire cas des hommes en habit du dimanche qui l’observent en arrière plan.

Violette Morris se distingue dès le début de sa carrière par ses performances remarquables dans des disciplines aussi variées que l'athlétisme, le football, la natation et la boxe. Ses exploits sont souvent attribués à sa stature, réputée impressionante pour une femme de l’époque : 1 mètre 66 pour 70 kilos, une musculature indéniable et des bras qui n’ont rien à envier à ceux de ses sparing partners, la Morris en impose. En 1929, elle choisit de subir une double masectomie afin de pouvoir conduire plus aisément sa voiture de course, ce qui ne manque pas de faire à nouveau jaser les rédactions parisiennes. Le Petit Journal titre “l’amazone du vingtième siècle” ; la revue Comoedia s’écrie : “Vous n'êtes plus une violette, M...ademoiselle !”. Ce cliché d’elle conduisant fièrement une voiture de course dernier cri marque autant un tournant dans sa biographie que dans l’histoire du sport et des compétitions sportives. C’est en 1920 que germe l’idée d’organiser un véritable rallye féminin. Le journal L’Auto, ancêtre de l’Equipe, s’en ouvre à ses lectrices, qui répondent à l’appel : intitulée la « Coupe des dames », l’événement tient plus du gala que de l’événement sportif, mais les compétitrices en auto, moto et sidecar font forte impression. Ce n’est que sept ans plus tard que se tiendra le premier véritable rallye automobile féminin, où Morris tiendra tête à Colette Salomon la “danseuse bolide” et sa Bugatti T35. Le championnat deviendra ensuite annuel.

Acte II : Violette, une des premières stars françaises queer ?

Dans les années 30, une Violette Morris devenue mondaine fréquente les hauts lieux lesbiens de Paris et côtoie les grands intellectuels et artistes de l’époque. Elle fréquente Joséphine Baker, on lui imagine une liaison avec Arletty, elle héberge Jean Cocteau sur sa péniche quai de la Muette, finance la représentation de sa pièce Les Monstres sacrés et vit même brièvement avec son actrice fétiche, Yvonne de Bray. Ouvertement bisexuelle, il faut dire qu’elle n’a jamais cherché à couvrir ses infidélités à son mari, dont elle a divorcé seulement quelques années après la noce. Toujours sous couvert de sa devise, elle affronte les hommes en boxe dans les tenues réglementaires : un short et un marcel qui laissent apparaître toute sa physionomie féminine.

Mais son attitude masculine, son habitude de se travestir à la ville et sa coupe à la garçonne lui valent, outre des critiques acerbes et incessantes de la presse, des ennuis pour sa carrière. En 1928 et alors qu’elle s’apprête à participer aux premiers Jeux Olympiques féminins, la Fédération française sportive féminine lui révoque sa licence au motif d’outrage aux bonnes mœurs. On lui reproche ses attitudes, ses tenues, ses altercations avec les arbitres où dit-on elle n’hésite pas à jouer du poing, et son goût supposé pour les nymphettes dans les vestiaires des filles... La sportive porte plainte contre la fédération. Le procès qui en suit est très médiatisé. Mais si elle est jugée pour ses mœurs, la question de l'homosexualité de Violette Morris n'est pas abordée explicitement, l’argumentation se concentrant vite sur son port du pantalon, ce qui donnera a posteriori au procès le nom de “‘l’affaire du pantalon”. Sans surprise, elle est déboutée par le tribunal, qui estime que la Fédération est dans son bon droit d’interdire le port de vêtements dont l’usage n’est pas admis pour les femmes par la loi. Interdite de stade, elle change de vie. On la retrouve d’abord à la tête d’une boutique de pièces détachées automobiles, puis, peut être inspirée par ses conquêtes, chanteuse sur les planches du music-hall. En 1937, l’olympienne défraie encore la chronique : elle est accusée d’avoir assassiné un légionnaire qui aurait tenté de l’attaquer sur sa péniche à Neuilly sur Seine. L’affaire se solde par un non lieu, l’instruction ayant établi que Morris avait agit en légitime défense.

Acte III : Violette, la collabo.

Qualifiée de ‘solide gaillard” par Le Figaro, puis d’émule de Rigoulot par le Miroir des Sports en référence au champion d’haltérophilie et pilote de course, on trouve en 1944 à la sulfureuse sportive un dernier surnom qui préfigure sa chute : la “hyène de la Gestapo”. Depuis deux ans, la Morris est suspectée d’avoir commencé à entretenir des rapports plus que cordiaux avec les autorités allemandes à la suite des jeux de 1936. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Violette Morris est la chauffeuse de Christian Sarton du Jonchay et dirige le garage de la Luftwaffe sur le boulevard Pershing à Paris. Des rumeurs planent sur son emploi par le chef des services du renseignement SS à Paris Helmut Knochen. Le 26 avril, alors qu’elle roule sur une petite route de l’Eure, la championne est abattue par un groupe de résistants maquisards normands. Le trouble qui entoure sa disparition suscitera une dernière salve d’articles dans la presse à scandale, retraçant autant ses prouesses physiques et sportives que ses présumées conquêtes et ses démêlés avec la loi.

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