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#george abitbol
classeamericaine · 1 year
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(via Dessous de verre (lot de 4) « "Monde de merde" George Abitbol » par OGAbitbol)
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ekman · 2 years
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Autant vous le dire : j’en ai croisé, des enculés. Et pas des petits, ni des minces. Pas de l’amateur ou du velléitaire. Non : moi j’aime ferrailler avec de gros enculés bien dégueulasses. Des cyniques, des pourris du fondement qui te donnent envie de brûler ce monde de merde – pour paraphraser Georges Abitbol. Par expérience, je sais qu’il existe cependant une catégorie au-delà de toute nomenclature, qui regroupe des mecs hors cadre, la crème de l’Enculerie Suprême, j’ai nommé les ministres de la Macronie. Ne vous emballez pas ! Croyez-vous que je vous parlerai de Darmanin, le menteur invétéré du Stade de France qui présente ses excuses “contre” les victimes (dixit) ? Non ! Pensez-vous que je vais évoquer Dupont-Moretti, avec sa tête de vieux morse alcoolique et ses pudeurs du genre “je vous promets, je ne serai jamais Garde de Sceaux”, déclamées à l’envi sur les plateaux de téloche ? Bien sûr que non ! Non là tout de suite, je pense à un cador, un vrai, un authentique... une sorte d’Ayrton Senna de la sodomie sur circuit, le Diego Maradona du fist à gourmette, j’ai nommé l’incroyable Pap Ndiaye. Je ne crèverai pas l’abcès de sa génétique transcontinentale, ce serait à la fois simpliste et dangereux. Dépassons ces constats trop faciles qui voudraient lui conférer une âme de Rubempré dans un corps de Bokassa, et attachons-nous à écouter ses déclarations sur l’éducation de sa progéniture – après tout, n’est-il pas ministre de l’Éducation Nationale et de la Décérébration Planifiée ? Notre cher grand homme a déclaré : “[mes enfants] sont aujourd'hui scolarisés dans un établissement privé qui est sous contrat et, donc, qui remplit une mission de service public et ils étaient scolarisés avant en REP +. Il y a des moments qui, dans le développement de l’enfant, peuvent être compliqués. C'est le choix de parents d'enfants pour lesquels, à un moment, les conditions d’une scolarité sereine et heureuse n'étaient plus réunies.” Rien que ça, pourriture ! On remarquera le soin apporté par le grand chef wokiste de parler de la “mission de service public” dévolue à cet “établissement privé”, l’alliance de ces termes permettant de minorer le fait pourtant têtu que cette racaille encravatée a foutu sa descendance à l’École Alsacienne. Oui, l’École Alsacienne, c’est à dire l’établissement de référence de l’élite techno-friquée qui se reproduit sans cesse et toujours à la tête de l’État. Il nous prend vraiment pour des jambons avec ses airs de saint, le Pap. Puis il nous confie que ses nains ont des problèmes d’épanouissement – ce dont on ne saurait douter compte tenu des croyances débiles de leur géniteur. Il évoque “des moments compliqués dans le développement de l’enfant”, phrase à rapprocher du fait “qu’ils étaient scolarisés avant en Réseau d’Éducation Prioritaire Renforcée” – comprenez qu’ils tentaient d’apprendre la table de deux en zone de guerre. Sans doute a-t-il imaginé une expérience de mixité socialo-ethnique qui s’est avérée être calamiteuse, comme elle l’est pour des centaines de milliers de mômes contraints de subir la violence et les hurlements d’hominidés maghrébins et sub-sahariens. Eux, en revanche, n’auront jamais la chance d’être exfiltrés par un père membre de l’élite dirigeante. Pas de scolarité heureuse ou sereine pour ces gosses-là. Franchement, tu comptais nous faire avaler cette pilule avec tes formules alambiquées et ta bonne tête de nœud, Pap ? J.-M. M.
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streampourvous · 7 months
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La Classe américaine (1993)
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Regarder La Classe américaine 1993 Film complet en streaming français VF et gratuit – La Classe américaine (1993) le film en entier George Abitbol, l’homme le plus classe du monde, meurt tragiquement lors d’une croisière. Dans un dernier souffle, il murmure : « Monde de merde ». Pourquoi ? Ces mots intriguent le rédacteur en chef d’un quotidien américain. Il dépêche ses trois meilleurs enquêteurs, Dave, Peter et Steven, pour éclaircir ce mystère. Read the full article
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gokaiju · 5 years
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La Classe Américaine (Le grand détournement) (Michel Hazanavicius, Dominique Mézerette, 1993) Alternative Poster by Gokaiju
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715 - Même en espadrilles et en mini short moule-burnes, Georges Abitbol restait l'homme le plus classe du monde.
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ganjatimes · 5 years
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Six films à voir High
Quoi de mieux qu’un bon film lorsqu’on est High ? Si on peut facilement scotcher devant à peu près n’importe quel film dans cet état, certains s’apprécient d’autant mieux ainsi. Nous passons ici en revue 6 de nos préférés, sans ordre particulier.
UP IN SMOKE (1978)
Réalisateur : Lou Adler
Avec :Cheech Marin, Tommy Chong…
Un classique (peut-être même LE classique) du stoner movie. Le premier film du duo Cheech And Chong narre leurs aventures rocambolesques dans l’Amérique des 70 ‘s, mais le scénario est surtout prétexte à voir les deux compères défoncés dans tout un tas de situation ubuesques. Certains aspects peuvent avoir vieillis, mais le film se regarde toujours avec beaucoup de plaisir (coupable).
LE GRAND DETOURNEMENT / LA CLASSE AMERICAINE (1993)
Réalisateur :Michel Hazanavicius
Avec : John Wayne, Dustin Hoffman, Robert Redford, Paul Newman, Frank Sinatra…
Il s’agit d’un mashup composé d’extraits de films réalisés entre 1952 et 1980 et pour lesquels les doublages ont été refaits pour créer une nouvelle intrigue : suite à la mort de George Abitbol, « l’homme le plus classe du monde », deux journalistes enquêtent pour découvrir le sens de la dernière phrase qu’il aurait prononcé… Cet hommage un peu particulier à Citizen Kane est absolument hilarant et contient des répliques cultes par dizaines.
PINEAPPLE EXPRESS (2008)
Réalisateur : David Gordon Green
Avec :Seth Rogen, James Franco…
Un employé porté sur la weed est un jour témoin d’un meurtre, et est forcé de faire équipe avec son dealer pour échapper aux tueurs lancés à leur poursuite. S’ensuivent des ninjas, une course poursuite, une baston de stoners, et un repas de famille qui part totalement en vrille. Un très bon choix, surtout entre potes.
IDIOCRATY (2007)
Réalisateur : Mike Judge
Avec : Luke Wilson, Maya Rudolph…
Passé quasiment inaperçu lors de sa sortie en salle, Idiocraty a peu à peu acquis le statut de film culte grâce au bouche à oreille. Un américain moyen est choisi par le gouvernement pour tester un dispositif d’hibernation top secret. Totalement oublié, il se réveille 500 ans plus tard pour découvrir que l’humanité est devenue totalement stupide et qu’il est maintenant l’homme le plus intelligent du monde. Cette nouvelle société est aussi débile qu’hilarante : si vous n’avez pas encore vu cette perle, foncez.
TEAM AMERICA, WORLD POLICE (2004)
Réalisateur :Trey Parker
Avec :des marionnettes ( !)
Satyre des films d’action à gros budget, Team America suit les pérégrinations d’un groupe d’élite américain chargé de maintenir la paix dans le monde à grand renfort d’interventions militaires musclées et d’explosions en tous genre. Les créateurs de South Park n’ont ici rien perdu de leur humour ravageur, avec une mention spéciale aux chansons du film, absolument mythiques.
TRUE ROMANCE (1993)
Réalisateur : Tony Scott
Avec : Christian Slater, Patricia Arquette, Gary Oldman, Dennis Hopper, Christopher 
Walken, Brad Pitt…
Tout d’abord, le film peut se vanter d’avoir un casting 5 étoiles et un scénario écrit par Tarantino himself. Le soir de son anniversaire, Clarence rencontre Alabama et expérimente un coup de foudre réciproque. Mais celle-ci lui apprend vite qu’elle est une call-girl engagée par son patron comme cadeau d’anniversaire. Clarence décide alors de se débarrasser du souteneur d’Alabama… Road movie à la galerie de personnages exceptionnelle (Brad Pitt en stoner, ça vaut le détour), il est parfait si vous êtes davantage d’humeur pour un film d’action plutôt qu’une comédie.
from Ganja Times https://www.ganjatimes.fr/six-films-a-voir-high/
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2009 - La classe américaine
Vêtue de sombre, les cheveux blonds tirés sur un strict chignon école Kim Novak, perchée sur ses talons, elle s’est installée à droite du maître des lieux. Coincé dans son costume de velours côtelé marron, cet homme d’à peine 40 ans et déjà chauve fixait ses mocassins à glands. Il la savait revenant de la maison mère et annonciatrice de très mauvaises nouvelles. Arrivé en retard et posé au hasard, je me suis installé juste à côté de cette icône du grand capital. Je devais avoir la gueule de travers, ou bien était-ce une formule de politesse apprise pendant sa première année des hautes études commerciales. Elle m’a demandé : - Vous allez bien M. Poussières ? Alors pourquoi lui ai-je répondu : - Désolé, j’ai bouffé mexicain. Son sourire a spontanément trahi son appartenance à ce club où l’humour potache est prisé et George Abitbol vénéré. À cet instant précis, j’ai su comment faire capoter cette dramatique réunion et reporter de quelques jours l’annonce de la fermeture de la boîte.
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lescaracolitos-blog · 6 years
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62. Bolivie - Tupiza
Qui a dit que Georges Abitbol etait l´homme le plus classe du monde?
Okay, mais Ibano est celui le plus classe de Tupiza.
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jevaisciner · 5 years
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Après 3 saisons de séances mensuelles, Panic ! x Chroma s’arrête. C’est donc sur cette troisième et ultime colo que l’on se dit au revoir.
C'est ? La Colo Panic! x Chroma 3
De ? Panic! Cinema, Chroma et Le Forum des Images
Sorti le ? 11/07/2019
Vu le ? 12/07/2019 au 14/07/2019
Où ? Forum des Images
Genre ? Des films cultes à (re)découvrir
Durée ? 4 jours
Nationalité ? Français
Quoi ? Comme lors des deux derniers étés, Panic! Cinema et les Chroma se sont installés quelques jours au Forum des Images des Halles à Paris. Ils nous ont une nouvelle fois proposé une sélection de films incroyables, jamais vus pour ma part. J’ai ainsi pu enfin en découvrir 5.
Mon avis rapide des films :
(Affiche non affichée pour le moment, car Tumblr pense que c’est du contenu adulte LOL Cliquez pour la voir)
C'est ? Au-Delà du Réel (Altered States)
De ? Ken Russel
Genre ? Drame/SF
Durée ? 105 min
Quoi ? Le chercheur Edward Jessup s'essaye à l'expérience du caisson d’isolation. Son corps est privé de toute sensation : il ne voit rien, n'entend rien et flotte dans un liquide. En rajoutant des drogues hallucinogènes, il se rend compte qu'il peut modifier inconsciemment son corps et part donc en quête d’identité…
Alors ? Je n’ai pas assisté à la séance d’ouverture, donc c’était ma toute première projo de la semaine, et en 35 mm. Elle était présentée par le vidéaste Alt236. Ce film fait partie de ses favoris.
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Me concernant, je n'ai pas accroché comme je le pensais. J’étais attiré un peu au dernier moment, juste avant de réserver ma place, par le titre énigmatique. J’ai trouvé le film long et je me suis même endormi quelques minutes. À partir du 2e tiers, le film commence à montrer de quoi il est capable. Mais c’est vraiment lors du dernier tiers où ça part en sucette, un peu à la 2001 : L’Odyssée de l’Espace. J'ai été stupéfait par les VFX, pour l'époque. Un peu déçu de la fin, qui sonne comme un « tout ça pour ça » J'ai en tout cas retenu des éléments intéressants, sans être entièrement plongé dedans. 
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C'est ? Speed Racer
De ? Lilly et Lana Wachowski
Genre ? SF/Action
Durée ? 127 min
Quoi ? Speed est un garçon passionné par les courses automobiles. Devenu pilote confirmé, il gagne un prix prestigieux, qui l'amène à être contacté par une prestigieuse écurie. Mais il va se rendre compte que les championnats automobiles ont une partie sombre qu'il n'a jamais soupçonnée…
Alors ? J'ai enchaîné cette séance juste après Au De-là du Réel. Et j'ai bien fait d'y aller. En effet, le graphiste Tom Kan, qui a participé à la production de films de renoms, nous a gracieusement montré son travail. Comme par exemple ses recherches pour le générique de Enter The Void, ou encore ses concepts de logos et typos pour Matrix, Cloud Atlas et bien sûr, Speed Racer.
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Ce dernier est une tuerie ! Déjà que j'étais content d'avoir écouté le passionnant intervenant, Speed Racer a été tout aussi à la hauteur. Une véritable œuvre visuelle, qui plus est, diffusée en pellicule. C’est là qu'on se rend compte à quel point le cinéma reste un support d’histoire avec des images mouvantes et qu'ici, ce principe est bien utilisé. La réalisation est dingue, avec des transitions dynamiques, des mouvements de caméra fluides. Une réelle inventivité de narration que j'ai rarement vue. L’histoire aussi tient la route, avec un bon rythme, une dose parfaite d'absurde et des messages super mignons. Les personnages sont tous très attachants et aussi colorés que les décors. La fin de la séance a été animée par Alexis Blanchet, qui connaissait sur le bout des doigts la filmo des Wachowski (et qui a aussi réuni les Panic! avec les Chroma !) 
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C'est ? Paprika (パプリカ – Papurika)
De ? Satoshi Kon
Genre ? Animation/SF
Durée ? 90 min
Quoi ? Un labo de recherche a inventé des DC minis, des arceaux neuronaux qui permettent de visualiser et d'enregistrer les rêves de quelqu'un, dans un but thérapeutique. Mais tout se complexifie lorsque le Dr. Atsuko Chiba et le Dr. Tokita, l’inventeur, apprennent qu’un de leur prototype a été volé. C’est en voyageant à travers les rêves, sous l’apparence de Paprika, qu’Atsuko Chiba va tenter de retrouver la menace…
Alors ? La présentation de la séance était encore une fois passionnante, grâce à Pascal-Alex Vincent. Il connait beaucoup l'animation japonaise et prépare notamment un reportage sur le défunt réalisateur Satoshi Kon. On a même eu le plaisir de recevoir en cadeau un coucou enregistré de la voix de l’héroïne, Megumi Hayashibara. Livré sous forme audio, afin ne pas nous gêner pour le film En fait, elle avait peur que si elle montrait son visage, qu’on l’ait en tête lorsqu’on entendrait sa voix. Trop mignon ! On a appris également que le patrimoine de cinéma japonais n’est pas aussi bien conservé que chez nous. En effet, la séance au Forum a étonné plus d’un japonais que Pascal-Alex a rencontré !
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Je savais depuis longtemps que ce film avait pas mal inspiré Inception. On nous avait annoncé que c'était une véritable expérience déroutante, pourtant avec minimum de focus, ça s'est bien passé pour moi.
Les parties de rêves sont envoûtantes, tant leur aspect onirique est crédible et que les scènes proposent un réel travail d’imagination. L'animation fait un travail incroyable pour matérialiser l'irréalisable. J’ai trouvé le montage très bon quant à la sensation de savoir où l’on se trouve. J’ai trouvé plus lisible la façon de nous présenter les rêves et la réalité, que j'aurai pu voir dans d'autres films. Je n'ai pas été perdu mais les moments où le film joue là-dessus marchent suffisamment bien. Ça me donne en tout cas l'envie de regarder l'œuvre du regretté Satoshi Kon. 
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C'est ? Bloodsport : Tous les coups sont permis (Bloodsport)
De ? Newt Arnold
Genre ? Art Martiaux/Action
Durée ? 92 min
Quoi ? A Hong-Kong, le Kumite est un tournoi de combat illégal. Il fait se confronter des combattants du monde entier. Franck Dux, un américain entraîné par un maitre des arts martiaux, participe au tournoi et est bien déterminé à le remporter…
Alors ? En 2017, j'ai eu la chance de voir Jean-Claude Van Damme en vrai, lors de la présentation de sa série Amazon Jean-Claude Van Johnson. Avec la colo, je peux enfin découvrir son premier grand rôle au cinéma ! J’ai vraiment hésité à prendre cette séance, car j’avais peur de ne pas pouvoir enchaîner avec la séance de clôture. Finalement j’ai pris le risque et ouf, j’ai pu faire les deux ! Présentée par le Kumite, un duo qui a créé une série de podcasts dédiés à JCVD, la projo a été précédée de 3 vieilles bandes-annonce qui faisaient trèèès années 80…
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Le film est pareil, il respire les années 80 à plein poumons. L'histoire simple, les personnages naïfs, les acteurs qui sur-jouent un peu… C'est parfois kitsch, à la limite du nanar même, mais c'est tellement plaisant. Cette insouciance est agréable (bon, peut-être un peu moins les aspects un peu racistes) C'est prenant, car les combats sont bien filmés, le rythme narratif est bon. D'ailleurs à plusieurs moments, les cadrages et les compositions de plans sont plutôt propres. Impressionné de voir Forest Whitaker jeune, car ici, impossible de s'imaginer que des années plus tard, on le voit par exemple dans Rogue One. 
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C'est ? La Classe Américaine : Le Grand Détournement
De ? Michel Hazanavicius et Dominique Mezerette
Genre ? Comédie
Durée ? 60 min
Quoi ? George Abitbol, l’homme le plus classe du monde, meurt en prononçant « Monde de merde » Trois journalistes mènent l'enquête en interrogeant toutes les connaissances de la victime et surtout pour comprendre ses dernières paroles…
Alors ? Un film dont j'entendais beaucoup parler depuis très longtemps, sans avoir eu l'occasion de voir. La colo se termine sur un film rendant hommage au cinéma et à l'esprit Panic! Cinema.
C’est extra car on a eu l'honneur de le voir en présence du co-réalisateur Michel Hazanavicius.
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Je dois dire que je ne comprends pas comment j'ai pu passer à côté depuis tout ce temps. C’est exactement mon humour, le genre de blagues auxquelles je rigole. Ce film est clairement précurseur de beaucoup de vidéos sur internet et c'était top de le découvrir enfin. Pour info, il s’agit d’un remontage de plusieurs extraits de films de la Warner, redoublées entièrement. D’ailleurs, durant le visionnage, je me suis rendu compte que je connaissais une réplique. J’ai trouvé fascinant à la fois la justesse du doublage avec la correspondance labiale, et à la fois l'histoire qui arrive à se tenir malgré les nombreuses bêtises et gags qu'elle débite. J’y ai décelé évidemment de la parodie, mais aussi de la critique et surtout de l'hommage. Le jeu des acteurs et les plans sont déconstruits sans gêne, pour mieux qu'on se rende compte de leur importance en temps normal. Pour finir, le film était destiné pour la tv et n’avait donc pas d’affiche officielle. C’est donc Thierry Beaudenon qui en a créé une pour Affiches Rebelles, un projet du Stagiaire des Affiches, invité également. 
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Alors ? Cette ultime colo a été assez intense pour moi. 5 séances dans la salle 500, dont 2x 2 films à la suite.
La tente à bisous et son faux feu de camps étaient toujours là. Les jeux vidéo rétro aussi, dont Street Fighter - Le Film : Le Jeu, où l’on pouvait choisir JCVD en personnage.
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La boutique était toujours aussi pleine avec des DVD, des affiches de la colo (réalisées par Benjamin Carré) et les créations de l’illustratrice japonaise Utomaru. Elle s’occupait des cartes collector mensuelles. J’ai pour ma part acheté celle de Donnie Darko et Dark City, deux séances auxquelles j’aurai aimé aller. La boutique vendait également des posters du dessinateur Laurent Melki, présent d’ailleurs le samedi.
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Une nouveauté de cette année était la présence de Simon alias Candy-Man, qui faisait passer des bonbons et sucreries à toute la salle. Merci à toi !
Le bingo du samedi soir avant Paprika a été peu fructueux pour moi, déjà que mon feutre m’a lâché en cours. De même que j’ai été étonnamment pas assez réactif aux jeux de mots de la partie de Déconnaissances, juste avant Bloodsport.
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C’est surtout l’ultime screen-test de Gilles Stella du dimanche, juste avant la séance de clôture, qui a été un excellent moment. Mis en scène comme une véritable émission télé, le jeu a pris une ambiance épique jamais vécue auparavant. C’était très drôle grâce à l’intervention et la répartie de tout le monde. Pour info, le principe est de retrouver le film duquel un arrêt sur image est montré sur l’écran. Lors de la saison 2, Karim et Jérémy ont fini ex-aequo, il fallait donc les départager. Les invités étaient Michel Hazanavicius et François Descraques (vidéaste sur internet et la tv). Cette dernière session avait plusieurs manches et le public participait aussi, mais le match a été très serré. Des règles permettaient de ramener des personnes du public dans les équipes sur scène. C’est ainsi qu’Amadou, un habitué des screen-test, a intégré l’équipe de Karim, à notre plus grand plaisir (j’ai choisi la Team Karim pour être raccord avec l’année dernière) et qui nous a en grande partie fait gagner. En effet, Amadou a une connaissance impressionnante et surtout un temps de réponse incroyablement court. Chapeau mec !
Du coup ? J’ai eu un pincement au cœur lorsque j’ai appris que c’était la dernière saison de Panic! x Chroma. Je n’ai assisté à aucune séance de la première saison (j’avais tenté Anchorman 2, sans succès. J’y ai découvert les joies de la réservation digne de Game Of Thrones), c’est pourquoi je m’étais rattrapé avec la toute première colo. Pour l’anecdote, je ne suis jamais parti en colo de vacances étant jeune, donc très heureux de les avoir commencées et finies au Forum des Images. Cette édition était folle et les équipes ont encore donné le meilleur d’elles-mêmes. Un grand bravo à tous les bénévoles, qui nous ont accueilli et organisé ça au top. Ces séances de films cultes ont été vraiment une bonne expérience pour moi. Les Panic! x Chroma arrivaient à allier connaissances pointues sur le cinéma (aussi bien sur scène que dans le public) avec l’humour bon enfant. J’ai autant appris que j’ai passé de bon moment. Je continuerai d’aller aux prochaines séances Panic!, histoire de continuer à vivre cette ambiance cinéphile unique. 
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Panic! Cinema : http://paniccinema.com/
Chroma : http://chro-ma.com/
Le Forum des Images : http://www.forumdesimages.fr/
Utomaru : http://dddddd.moo.jp/
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maxlamalice · 7 years
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LA CLASSE AMERICAINE, “ceci est bien un flim”
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Synopsis : George Abitbol (John Wayne), détenant depuis 15 ans le titre très officiel d’ « homme le plus classe du monde », est assassiné lors d’une tempête en haute mer. Avant de pousser son dernier soupir, il prononce une mystérieuse tournure de phrase : « Monde de merde ». Trois journalistes, Peter (Dustin Hoffman), Steven (Robert Redford) et Dave (Paul Newman), se voient alors chargés d’enquêter sur les circonstances de cette mort et de retrouver le sens de cette étrange expression.
Afin de comprendre exactement en quoi consiste le concept sur lequel repose La Classe américaine et pourquoi ce projet singulier a vu le jour, il est nécessaire de nous pencher brièvement sur sa genèse.
Au début des années 1990, la chaîne française cryptée Canal + obtient des studios Warner les droits de nombreux longs métrages hollywoodiens. Michel Hazanavicius et Dominique Mézerette sont alors priés d’utiliser ces films afin de les présenter sous la forme d’un hommage au cinéma américain.
Pour ce faire, ils choisissent l’option du détournement. Ce qui consiste à extraire des séquences de chacun de ces films, les doubler par d’autres acteurs avec un nouveau texte, et enfin les combiner dans un montage racontant une nouvelle histoire.
Tout le potentiel de ce type de projet réside alors dans les registres comique et satirique. Il est en effet compliqué d’imaginer aborder des thématiques dramatiques ou tragiques dans un film parsemé de raccords imparfaits, où les doubleurs interprètent un texte différent de celui des acteurs initiaux.
Il se trouve justement que c’est dans cette optique que le film prend tout son intérêt.
J’ai trouvé ce long métrage réellement drôle, à chaque séquence ou presque. Bien sûr, l’humour est une notion très subjective, mais il semble compliqué de penser que ce film ne puisse jamais esquisser un sourire sur le visage de son spectateur, tant il est riche en situations insensées et en personnages loufoques.
Certes il s’agit principalement d’un comique absurde, burlesque et parfois grossier. Néanmoins, il est amené avec une certaine pertinence et il est la principale source de toute la créativité du film.
LA MISE EN SCENE COMME OUTIL COMIQUE
En outre, les réalisateurs fondent principalement le comique du film sur le détournement de procédés cinématographiques à des fins absurdes.
Tout d’abord, le doublage est régulièrement employé pour dévier la prononciation d’un mot. Dans certaines séquences, ce dernier peut également créer un comique de situation lorsqu’il est associé à un geste ou un déplacement d’acteur particulier.
D’autre part, on peut observer tout au long du film une utilisation très habile de la mise en scène pour créer le décalage comique. Par exemple, dans une séquence du film All the President’s Men de Alan J. Pakula, Dustin Hoffman et Robert Redford se mettent subitement à courir à travers un open space, ce qui donne lieu à un long travelling balayant le local dans toute sa longueur. Dans La Classe américaine ce mouvement de caméra, soulignant à l’origine un instant déterminant, sera utilisé à plusieurs reprise pour finalement aboutir à une révélation banale ou complètement hors-sujet de la trame principale.
On peut noter par ailleurs un bris du quatrième mur lorsque le réalisateur prend la liberté d’insulter un des personnages. Ce dernier se retourne alors immédiatement vers la caméra en arborant un regard réprobateur, ce qui renforce l’absurdité de la scène.
De plus, le hors-champ, lié à l’intégration de bruitages, permet parfois de modifier complètement une situation. Ainsi, après un monologue lyrique sur les balades en solitaire, on peut voir Robert Mitchum, cadré au niveau des coudes, appuyé à un arbre et accompagné d’un léger bruit liquide nous faisant aisément comprendre que le personnage urine (la blague est certes peu subtile je le conçois, mais le procédé est quant-à-lui intéressant et efficace).
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Le comique se situe enfin dans le montage, avec, pour illustrer cette idée, une alternance drôlatique entre le regard apaisé de Paul Newman au volant sur un premier plan, et les dérapages et bonds extravagants de la voiture qu’il est censé conduire sur un second.
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L’efficacité de l’humour dépend donc ici de l’habileté des deux réalisateurs pour jouer littéralement avec les codes cinématographiques. Car si selon André Bazin : le cinéma est un langage1 alors La Classe américaine est un excellent calembour ; un jeu sur les différents protocoles cinématographiques afin d’obtenir ce qu’il peut y avoir de plus drôle, de plus absurde.
UN PEU PLUS QU’UN FILM A SKETCHES
Or, fort est de constater que le film ne cherche jamais à se définir comme une suite de sketches, à la manière des détournements disponibles sur internet, où le lien narratif entre les différentes séquences parodiées est très faible, voire parfois inexistant.
Ici en effet les réalisateurs s’efforcent de nous raconter une histoire, mais pas n’importe laquelle. L’histoire qui sert de trame narrative à un des films les plus reconnus du cinéma américain : le célèbre Citizen Kane. On notera par ailleurs l’interruption hilarante d’Orson Welles en début de film, scandalisé par le plagiat de son œuvre.
C’est par conséquent dans son écriture que le long métrage devient véritablement un hommage au cinéma américain. Car outre la reprise de ce scénario mythique, on remarque également un certain respect de la personnalité que représentait chacun des acteurs. Ainsi, si le personnage de John Wayne est un homme viril et plein d’assurance, celui de James Stewart quant-à-lui fait preuve d’une plus grande sensibilité et d’une profonde loyauté. Il en va de même pour la plupart des autres acteurs issus du cinéma classique hollywoodien présents dans le film.
LE SOUCIS DE LA COHERENCE (décryptage d’une séquence)
C’est alors dans cette volonté de dépasser le simple détournement, de réellement raconter une histoire tout en attribuant une identité propre à chaque personnage que se développe une problématique pour le duo de créateurs : comment produire de la cohérence ? Il y a selon moi une scène parfaite pour illustrer les différents procédés utilisés dans le but de résoudre ce problème.
La scène est composée de quatre séquences provenant de trois films différents. Tout d’abord, on contextualise : une voiture jaune roule paisiblement et nous n’apercevons pas les automobilistes.
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Le plan successif nous dévoile Peter assit sur le siège passager.
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 Le choix n’est pas anodin car les deux plans sont issus du même film Straight Time de Ulu Grosbard. On retrouve la portière jaunâtre de la voiture ainsi qu’un décors similaire au plan précédent à travers la vitre, ce qui nous fait clairement adhérer au fait que Peter est bien le passager de ce véhicule. C’est un raccord logique usuel.
Néanmoins, pour nous faire entièrement adhérer à la présence des deux autres personnages dans le même habitacle, il est insuffisant d’enchaîner simplement les plans les montrant assis dans une voiture. On pourrait en effet repérer une différence dans l’intérieur du véhicule ou l’absence de Peter au siège passager selon le cadre choisi par le réalisateur du film d’origine. C’est pourquoi, en adoptant le principe selon lequel une succession de plan rapprochés peut priver le spectateur de coordonnées spatiales précises2, les plans représentant Dave et Steven restent des plans rapprochés voire, dans le cas de Dave des gros plans. Notre seul référent étant le plan concernant Peter, ils se positionnent bien dans la même voiture que lui.
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Enfin, dans l’objectif de renforcer cet effet, on ajoute un fond sonore uni de moteur et on laisse les fredonnements de Steven accompagner les plans nous montrant tour à tour Peter et Dave. Les raccords entre le jeu des doubleurs et la situation présentée dans cette scène est un autre moyen pour le spectateur d’accepter la présence de ces trois personnages en un même lieu.
Pour finir, on peut observer également une modification du cadre sur le plan de Dave en train de conduire. En effet, après nous avoir montré la voiture roulant de biais sur le versant d’un talus, 
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on présente le visage de Dave en cadrage oblique, 
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ce qui oblige le spectateur à opérer un raccord logique entre les deux espaces.
Autant d’éléments mis en place afin de relever efficacement le défi de la cohérence dans cette scène.
CONCLUSION
Pour conclure, La Classe américaine est un film qui me laisse sincèrement admiratif. En effet, sous la couverture d’un humour potache et absurde, ce long métrage se révèle être le fruit d’un véritable travail formel. C’est une oeuvre « pirate » certes, mais non pas dénuée d’intérêt. C’est la prouesse de créer à partir de la création. C’est la démonstration que la création, sans forcément prendre la forme d’énormes productions, peut aussi se trouver dans les mains de deux hommes souhaitant juste rendre un hommage loufoque aux films qui ont bercé leurs enfances. Ce que poursuivra tout au long de sa carrière Michel Hazanavicius, consacré en 2012 d’un oscar du meilleur réalisateur pour son ode au cinéma muet américain The Artist.
Bibliographie :
(1) André Bazin, Qu’est-ce que le cinéma ?, Paris, Les éditions du cerf, « 7 art», 1958, page 17
(2) André Goudreault, François Jost, Le récit cinématographique, Paris, Nathan, « Synopsis », 1990, page 83
Webographie :
La Classe américaine : http://cyclim.se/
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Mythologie : Le Selfie
Depuis quelques années déjà, cette mode inonde nos fil d’actualités facebook, tweeter et instagram. Yeux de biche, lèvres vermillon pour les filles, « six – packs » et tenu de sport pour les garçons, telles sont les combinaisons parfaites pour se faire de « nouveaux amis » virtuels, sorte d’admirateur (plus si) secrets des temps modernes.
Duckface et décolletés plongeants vinrent surenchérir cette nouvelle norme. « Il n’y a plus qu’à attendre que [la mini-jupe] et [le décolleté] se rejoignent ! » disait Coluche. Il ne croyait pas si bien dire. Tu as quel âge ma belle ? 14 ans. Eh oui. Car aujourd’hui, les selfies s’invitent dans les cours de lycée, de collège et même de primaire. On s’y bat à coup de selfies comme on se battait autrefois à coup de boulette de papier. Qui ira le plus loin ? Qui sera la plus légère ? Qui sera la plus rapide ?
« Si les jeunes se prennent en photo, c’est parce qu’ils sont narcissiques. » Ah oui ? Que dire alors de ces poètes qui avaient l’audace d’écrire sur eux-mêmes ? Eux aussi cherchait leur propre reflet. « Même après son accueil en la demeure infernale, il se contemplait dans l’eau du Styx » écrit Ovide. Alors, sommes-nous tous de futurs Narcisse ? Aveuglés par notre propre beauté ?
Je ne le crois pas, bien au contraire. Nous nous prenons en photo, et particulièrement en « selfies » pour contrôler notre beauté, pour camoufler nos défauts, et prouver à la Terre entière que notre existence est merveilleuse et nécessaire.
Nous ne souffrons pas parce que nous nous aimons trop. Nous souffrons parce que nous avons peur de ne pas être aimé.
Ce qui est terrifiant, c’est que tout le monde y a pris goût, « de 7 à 77 ans » comme diraient les jeux de société. Et quel « jeu de société » ! Nous nous sommes pris à son jeu qui nous pousse à légitimer notre existence à coup de filtre-chien et de couronne de fleurs à la snapchat.
Au Québec, on parle « d’égoportrait ». Ah ces Québécois et leur habitude à franciser tout ce qui vient de l’anglais. Et pourtant. Grâce à cette traduction, on voit d’emblée bien mieux de quoi il est question : non plus d’autoportrait, mais de mise en abîme de notre individualité, et donc nécessairement, de notre solitude égocentrique.
Constat désespérant n’est-ce pas ? Ce n’est pas faux. Malgré tout, sa disparition semble n’être plus qu’une question de temps. En effet, les selfies ont été remplacés par un tout nouveau type de photo. Celle de l’enfant. « Regarde mon bébé comme il est beau et mieux que le tien et mieux que tout le monde parce que c’est MON bébé ! Hein ? J’ai pas raison ? ».
« Monde de merde » pourrait-on dire avec grande classe.
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antikorg · 4 years
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Ceci n'est pas une crise
Ceci n’est pas une crise
MEDIAPART
27 MARS 2020
PAR MONSIEUR LE ROUX
BLOG : LE BLOG DE MONSIEUR LE ROUX
On fait dialoguer J.C Dusse avec M. Foucault, George Orwell et George Abitbol, pour voir ce que cette “crise” du Covid 19 révèle de notre société, dans son rapport aux marges. On aborde la question de l’ordre, de son maintien, de ses techniques. Le tout avec l’appui décisif de Coluche et de l’amicale des Pangolins…
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oublietonorgueil · 5 years
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Georges Abitbol n'avait pas plus de classe que de beurre au cul.
C'est comme ça :/
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716 - Même déguisé en Monsieur Lapinou, Georges Abitbol restait l’homme le plus classe du monde.
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equipedefranceinfo · 6 years
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La Gazette de la L1 : 32e journée
   Les résultats de la journée
AS Saint-Étienne 1 - 1 Paris Saint-Germain AS Monaco 2 - 1 FC Nantes Amiens SC 3 - 0 SM Caen Angers SCO 1 - 1 RC Strasbourg Alsace Girondins de Bordeaux 2 - 1 LOSC EA Guingamp 4 - 0 ESTAC Troyes Toulouse FC 0 - 1 Dijon FCO OGC Nice 1 - 1 Stade Rennais FC FC Metz 0 - 5 Olympique Lyonnais Olympique de Marseille 0 - 0 Montpellier Hérault SC
        Le Classement en relief
      Les gestes
Les demi-volées pures et surpuissantes d’Andy Delort et de Jérémy Grimm, brillamment déviées sur leur transversale par Baptiste Reynet et Ludovic Butelle.
  Le contrôle orienté de Jonas Martin dans la surface angevine, qui pousse Vincent Manceau à la faute.
  Gustavo Poyet qui se rappelle que François Kamano fait encore partie de l'effectif.
  La belle passe décisive de Martin Braithwaite pour François Kamano, encore.
  La frappe vrillée de cinquante mètres de Benjamin Bourigeaud, qui partait pile sous la barre.
  Thomas Mangani qui s'infiltre dans la surface strasbourgeoise et enchaîne en trottinant dribble puis passe en retrait pour Karl Toko-Ekambi.
  Le même Thomas Mangani qui sauve sur sa ligne quelques instants plus tard un tir cadré de Pablo Martinez.
  L'enchainement ultra-rapide contrôle-frappe en pivot de Rony Lopes.
  Le remise en retrait du même Rony Lopes pour Falcao, aussi parfaite qu'elle était involontaire.
  Le centre plongeant derrière la défense parisienne de Mathieu Debuchy.
  Le contrôle porte-manteau de Morgan Sanson, qui trouve ensuite le poteau.
  Angelo Fulgini qui laisse joliment passer le ballon pour Vincent Manceau, mais est, peut-être injustement, sanctionné pour un hors-jeu passif.
  La promenade dominicale de Memphis Depay à Saint-Symphorien, le Néerlandais s'offrant un but et quatre passes décisives dans le même match.
        "Si vous voyez ces quatre lettres s'afficher sur votre écran, zappez. Zappez sans attendre."
        Les antigestes
La balle d’Edinson Cavani, seul face au but vide de Saint-Étienne, qui trouve un angle théâtral pour ne pas marquer et faire se lever le public de Geoffroy-Guichard. Peut-être, l'antigeste de la saison.
  Mamita Edi????...mais bon, c'est ça qui nous maintient en vie et qui fait que nous devons progresser tous les jours...???????? Mamita Edi????...pero bueno eso es lo q nos mantiene vivos y buscamos cada día mejorar...???????? pic.twitter.com/SCNw7q10P9
— Edi Cavani Official (@ECavaniOfficial) 7 avril 2018
  Les pertes de balle de Soualiho Meité et de Saîf-Eddine Khaoui à trente mètres de leur but, parfaitement exploitées par l'adversaire et finalement transformées en buts.
  La prise de balle ratée de Hervé Koffi, qui ne peut que dévier le ballon sur la tête de François Kamano.
  La défense messine qui semble réaliser un peu tard que Marcelo est le principal danger lyonnais de la tête.
  Le massage testiculaire au crampon de douze pratiqué par le Monégasque Kamil Glik sur son adversaire nantais Rene Krhin. Soit il manque encore de pratique, soit ça passe mal l'écran, mais en tout cas ça n'a pas l'air très relaxant...
  La tragédie grecque de la saison lilloise qui leur imposait une défaite dès qu'ils ont ouvert le score.
  La défense de Bordeaux, couplée à une victoire en trompe-l’œil qui ne trompe personne.
  L'air-sortie d'Eiji Kawashima, dont profite Marcelo.
  Le cafouillage généralisé qui permet à Dijon d'inscrire le seul but du match à Toulouse, et probablement bientôt à Julien Cazarre de faire une vidéo.
  L'impeccable et très coordonné alignement troyen sur le quatrième but guingampais.
  Le combo tacle des deux pieds dans les chevilles et dans la surface/dénégation immédiate de Vitorino Hilton, qui s'en sort sans sanction par pur miracle.
  La malheureuse reprise du genou, à la dernière seconde, de Mathieu Debuchy, à la tristesse si contagieuse.
        Le match qu'il ne fallait pas rater
La superbe démonstration d’un promu à domicile, dans un match plein de beaux gestes, et même donc d'un joli antigeste, il y avait un match à ne pas manquer ce week-end! Petit florilège pour faire parler l’imaginaire avant un résumé vidéo:
  La dernière accélération de Gaël Kakuta dans la surface caennaise pour servir Moussa Konaté devant le but vide, avant de sortir sur blessure.
  La reprise de volée à bout portant de Bakaye Dibassy, servi sur un plateau de la tête par Moussa Konaté.
  La passe croisée de Thomas Monconduit pour Serge Gakpé au deuxième poteau.
  Le coup de fusil de vingt-cinq mètres de Serge Gakpé, superbement sauvé par Rémy Vercoutre.
  La passe de Prince-Désir Gouano lançant Ivan Santini en duel avec son propre gardien, ce qui permet à Régis Gurtner de participer à la fête en effectuant un très belle parade du pied gauche.
youtube
              La minute
La minute "Peter Bescherelle" de Jean-Marc Ferreri: "Il faut qu'ils y croivent, les Olympiens!" (M6)
  La minute "Georges Abitbol" de Pascal Praud: "Pauline, je veux bien qu'on ait des débats ensemble mais quand on vous interrompt, faut que vous arrêtiez de parler." (CNews)
  La minute "j'fais mon djeuns" de Jean-Louis Gasset: "C'est un kiff d'entraîner un club comme ça. Enfin, kiff, c'est un mot de jeune pour dire que ça me plaît."
  La minute « Sègue Way » de Laurent Nicollin: "On fait pas rêver les gens... mais on s’en branle." (OM-MHSC, Canal Plus)
  La minute "Gréco-romaine" de Claudio Ranieri: "Il faut continuer à lutter" (lequipe.fr)
  La minute "Comique Sans" de Waldemar Kita: "Mon équipe manque de caractère" (lequipe.fr)
      "Paul? T'es sûr qu'on est aux quarante ans d'Ulrich Le Pen?"
      Les observations en vrac
Dijon avait prématurément déjà désigné Metz comme probable futur relégable en allant y obtenir sa seule victoire à l'extérieur de la saison, reste à espérer pour Toulouse que leur deuxième ce samedi ne signifie pas la même chose.
  Les montagnes russes, illustration par Saint-Étienne: - Quatorze points et une seule défaite lors des sept premières journées (neuf buts marqués, six encaissés). - Neuf points et dix défaites lors des quinze journées suivantes (onze buts marqués, trente-et-un encaissés). - Vingt points et aucune défaite lors des dix dernières journées (dix-sept buts marqués, huit encaissés).
  Ça n'avance pas: il faut remonter à la vingt-sixième journée pour trouver une victoire d'une des équipes actuellement classée dans les cinq derniers. Ce jour-là, il y a presque deux mois, Troyes avait écrasé Metz 1-0.
        Le championnat à l'envers
Statu quo dans le championnat à l'envers, puisque les quatre premiers l'ont tous emporté, qui à domicile (Metz et Toulouse), qui à l'extérieur (Lille et Troyes).
  Du coup, la seule demi-évolution au classement résulte du point perdu par Strasbourg à Angers, qui les place désormais à quatre points du groupe de tête, un écart probablement rédhibitoire pour pouvoir continuer à croire en son destin. Les Alsaciens avaient pourtant bien débuté la rencontre en prenant très vite l'avantage, mais c'était compter sans l'expérience des Angevins qui parvenaient à revenir à hauteur et étaient ensuite tout heureux de voir l'arbitre assistant signaler un hors-jeu qui leur évitait de concéder la victoire.
  Devant, la bataille est féroce et on se rend coup pour coup. Pas grand-chose à signaler côté toulousain où, sans vraiment briller, on s'est contenté d'assurer l'essentiel. Les Troyens, eux, ont un temps pensé faire la bonne affaire en s'emparant de la place de dauphin alors que Lille venait de se faire piéger par Bordeaux dans le premier quart d'heure. Immédiatement, les Aubois ont cherché à accroître leur avance sur celui qui devenait leur poursuivant, prenant l'avantage sur des Guingampais pas très inspirés moins de neuf minutes plus tard. Mais les Nordistes ne sont pas hommes à s'en laisser conter et il ne pourra pas être dit qu'ils auront échoué sans combattre: profitant de l'approche de la pause, et en trois minutes, les Dogues refaisaient leur retard puis prenaient l'avantage sur des Bordelais encore un peu tendres.
  Comprenant que la prise de la deuxième place n'était pas pour cette journée, les Troyens choisissaient alors d'investir dans l'avenir, en soignant leur différence de but en deuxième période pour le cas (improbable, mais sait-on jamais) où ce point revêtirait une importance dans le décompte final. Utile ou non nul ne le sait encore mais les Troyens ont remonté un handicap de six buts en treize journées sur les Lillois.
  Enfin, du côté du leader, on a sa petite fierté et même quand on est assuré de remporter le championnat, on ne veut certainement pas laisser penser que tout cela n'est dû qu'au hasard. Profitant de la programmation de son match le dimanche et jouant donc en connaissant les résultats de ses poursuivants, Metz a tenu à montrer qui était le patron. Et puisque les Troyens avaient réussi à pousser quatre fois les Guingampais à la faute, les Grenats se sont attachés à faire encore mieux et ont renvoyé les malheureux Lyonnais en leur pénates avec une piteuse manita. Coup pour coup, on vous dit…
          Le championnat vu par Twitter
Mood #FCGBLOSC pic.twitter.com/iqJpIfDGDi
— FCGirondins Bordeaux (@girondins) 7 avril 2018
  By Rémi Vercoutre. Quel génie ???? pic.twitter.com/tZC4V5LLIf
— Steve Savidange (@SteveSavidange) 9 avril 2018
  Ce délicieux moment où tu es obligé de répondre à un mec qui te traite de "pipe" tous les dimanches... pic.twitter.com/o18jcZql9h
— Philippe Goguet (@pgoguet) 9 avril 2018
  Well done, @RCSA! pic.twitter.com/WleG24M4SH
— Thierry Hubac (@ThierryHubac) 10 avril 2018
    Merci à Alain Delon? Non Alain Deroin., betomar, Gouffran direct, Mama, Rama & Papa Yade, Mik Mortsllak, Moravcik dans les prés, PCarnehan, Tonton Danijel pour leurs contributions. Le championnat à l'envers est de Portnaouac, la compilation de AKK rends tes sets et les lucarnes sont de Mama, Rama & Papa Yade et de Parkduprince.
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