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#mur de soutenement
moniquemartinez · 6 months
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Shabby-chic Style Landscape - Landscape Photo of a mid-sized shabby-chic style full sun backyard stone landscaping in spring.
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zerudaswonderland · 11 months
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Landscape Paris An example of a small contemporary backyard retaining wall landscape.
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geniecivilpdf · 3 months
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Vous voulez ce livre : Tapez ce mot dans le moteur de recherche Google (biblio construction) Voir l'image Note de Calcul Mur de Soutenement pdf
civil #geniecivil #architecture #ingineer #4geniecivil
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Un champ de ruines…
« Le général de Gaulle en Normandie » …Mantes la Jolie, maintenant défigurée par tant de ruines, Evreux dont tout le centre est littéralement écrasé, Lisieux qui n’est plus, en majeure partie, qu’un monceau de gravats et où l’on ne reverra plus ses incomparables rues bordées de si jolies maisons construites au XVème siècle, Caen dont tant de quartiers sont méconnaissables, puis Bayeux, qui ne porte heureusement nulle blessure et ce, grâce au dévouement de l’un de ses notables qui, comme en trois ou quatre autres endroits du Cotentin, est allé au péril de sa vie, au devant des Américains qui s’apprêtaient à faire comme ailleurs et, de très haut, tout anéantir sous leurs bombes. Il leur déclara :
- « Fusillez-moi si vous trouvez à Bayeux plus de (chiffre insignifiant) de Boches qui ne songent qu’à se rendre. » -
Sans cet admirable courage civique, Bayeux et son admirable cathédrale égalait dans la poussière tant d’autres de nos villes musées.
Vive la République Française et ses chers Alliés ! Les Allemands, en voyant revenir les cliques auteurs de notre défaite, doivent bien rire.
La vision actuelle de Saint-Lô effare. La ville, qui apparaissait si riante dans son large cadre de verdure, et se silhouettait gracieusement sur le ciel, n’est réellement plus qu’un inimaginable tas de décombres hérissé ça et là d’une façade déchiquetée ou d’une tour écornée…La cathédrale Notre-Dame de Saint-Lô est affreusement mutilée, les voûtes crevées, les décombres d’une des deux tours envahissent un tiers de la nef. Le Palais de Justice, avec quelques pans de mur et quatre ou cinq des colonnes de son péristyle soutenant un morceau de fronton, ressemble à certaines de ces ruines romaines, vestige d’un lointain passé. Une enseigne de calicot précise que quelques moignons d’une bâtisse sont les restes de la préfecture. Sur 12.000 habitants, 5.000 sont revenus…Le général se rend ensuite à Coutances ; la pauvre ville est, elle aussi, terriblement dévastée dans ses plus nobles quartiers. La cathédrale, dont le portail a été écorné par les bombes, les vitraux détruits et les voûtes percées, se dresse au milieu d’un champ de ruines. Partout, nous dit-on, l’accueil est délirant.
J’ai cité tout cela comme une occasion de garder le souvenir d’une partie de nos pertes irréparables, dues surtout aux Alliés j’m’en fichistes, aux rages allemandes, et, pour remonter aux sources, à la criminelle Glorieuse Troisième, saboteuse résolue de notre puissance et de notre force militaire. Le Sabre et le Goupillon, le Trône et l’Autel, ses bêtes noires !…
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inevon · 11 months
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Chapitre II
Partie 3
Les jours passèrent, puis les mois, puis les années. Il était possible d’entendre une triste mélodie orchestrée par la chute des flocons, qui finissaient par former une butte de neige. La salle finit par se retrouver entièrement ensevelie, portant confusion à n’importe qui y jetant un coup d’œil croyant voir une peinture d’un artiste russe appartenant au mouvement suprématisme. Ne pouvant être que spectateur de l’échec de sa propre pièce, c’est comme si Petite Planète se retrouvait à deux endroits à la fois : sur scène et dans le public. La frontière du quatrième mur étant brisée, la conception de la représentation fut dès lors complètement mise à l’abandon. La fermant à double tour, ce n’était pas qu’une simple salle pleine de neige qui était désormais cachée de tous. C’était tous les espoirs de narrer son propre récit que Petite Planète confina. Il n’y avait plus de place à l’espoir, il n’y avait plus de place aux rêves. Le noyau de Petite Planète était semblable à une sphère de métal glacée ornée d’un robuste cadenas. C’est ainsi qu’elle se retrouva, malgré elle, à voguer au gré des vents telle l’artiste incomprise n’ayant aucune œuvre à son actif qu’elle est. Elle finit de nombreuses rencontres en dépit de son introversion. Participa à de nombreuses représentations, et en observa un nombre incalculable. Elle aimait particulièrement les pièces où les interprètes souriaient. L’amour de voir les gens heureux lui faisait apprécier la contemplation de ce monde rempli de tristesse mais aussi de beauté. Parmi tous les paysages auxquels elle a pu assister, son regard était toujours plein d’émerveillement quant au charme de l’univers. Bien que la douleur qu’elle ressentait au fond d’elle était insoutenable, son souhait le plus cher n’était pas d’en être débarrassée mais que personne n’ait à subir pareil supplice. Elle s’efforçait alors de jouer dans le plus d’œuvres dramatiques possible. Soutenant les protagonistes du mieux qu’elle pouvait, elle faisait tout pour éviter que la pièce ne change de registre et finisse en tragédie. De nombreuses fois l’issue fut heureuse, Petite Planète pouvant sortir de scène contente d’avoir été utile malgré sa futilité. Mais il est arrivé que malgré elle, l’histoire eut une triste fin. Lorsque ça arrivait, rien ni personne ne pouvait décrire comment elle se sentait. La plupart des histoires n’avaient pas encore de fin et le personnage incarné par Petite Planète devint un rôle récurrent. Elle était très souvent sollicitée et beaucoup aimait le côté réconfortant qu’elle apportait. L’avoir dans sa pièce était synonyme de facilité scénaristique pour le protagoniste : dès lors que ce dernier n'était pas bien, Petite Planète venait lui remonter le moral. Il ne serait pas faux que de soupçonner que beaucoup d’entre eux ne voyaient en elle qu’une coquille vide, n’existant que pour autrui, réifiant son existence à celle d’un trampoline géant permettant de prendre son envol. Certains étaient plus curieux que d’autres et essayaient d’apprendre à connaître Petite Planète cependant aucun ne réussissait à entrevoir son noyau. Jusqu’à ce fameux jour où elle fit la rencontre d’une étoile, de ce qui allait devenir son étoile. La seule et unique étoile de sa vie, la seule ayant aperçu ce cœur livide et froid mis à l’abandon des années plus tôt. Celle qui allait sonner l’heure de sa seconde naissance. C’était la rencontre de deux âmes en proie à l’Hiver.
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Note de calcul – Murs de soutènement pdf Lire votre copie du Livre PDF https://www.biblioconstruction.com/2020/09/note-de-calcul-murs-de-soutenement-pdf.html Pour plusieurs des livres, l’application in Google Play ici https://play.google.com/store/apps/details?id=com.arabarticl.courspdf Or votre copie du Livre PDF https://pdf-pro.blogspot.com/2020/09/note-de-calcul-murs-de-soutenement-pdf.html
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defilededandies · 1 year
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La lumière est un foyer de couleurs dont les rayons se concentrent entre les fentes et la poussière. Une présence comme une disparition. Un visage égaré dans les périphéries. Une émotion. Comme flotter à la surface du regard sans se retourner. Jamais. La mémoire se diffuse au ralenti, dans un silence impeccable. La voix titube entre les lignes en projetant du désir sur les contours, par capillarité. Le temps est nu. Quand ses lèvres s’exhibent la chaleur envahit les membres. Viens dit-elle à son soupir. Quand la cigarette se consume tout autour. Quand je scrute mes déroutes en fixant le mur. Derrière n’est pas toujours. C’est le risque. Lyrique. Pendu au plafond comme un gros soleil ivre dans l’aveuglante poussière translucide des événements. À regarder la vitre cassée de l’intérieur. C’était / au temps où les melons poussaient / sur la tête des hommes au temps / où ils portaient bicornes canotiers et / calots et ceux qui sont morts / on les honore à présent d’un bouquet / de fleurs ou d’un poème patriotique lu / par de jeunes filles en tenues / traditionnelles se tenant ahuries / devant des monuments / de pierre un beau parterre de vieux / messieurs affublés de moustaches de franche / couperose et d’écharpes tricolores. Maintenant la nuit exulte. Le passé maintenant. Provisoires les êtres vivants. Provisoires les baisers brûlent. Brûlent. Provisoires les obstacles maintenant quand je scrute mes déroutes. Parfois les morts sont sans scrupule, mais il est trop tard puisqu’aussitôt brûlent. Qu’est-ce que la sauvage douleur d’être homme ? Comme une disparition. La douleur, la sauvage d’être homme. C’est cela qui nous fut demandé. Passe. Passe la main dans ses cheveux par anticipation du plaisir. Comme c’est beau, d’une élégance radicale, à la limite du soutenable, tellement c’est beau c’est provisoire. Tellement. Rouge pâle et bleu et tellement brillant avec des reflets verts. Viens dit-elle à son soupir, dans toute sa nudité. Ici commence ici. J’en ai peur. Pas plus tard qu’hier, ensuite. Des hommes venus d’au-delà des mers se battre en short dans les rizières et mourir sous les drapeaux. Est-ce que cela a changé ? Saisir l’instant, accepter la perte. C’est cela qui nous fut demandé. C’est une caresse en oscillation dans les régions voluptueuses qui produit un éblouissement, un tremblement, une vibration de l’épiderme. Un précipité de couleurs et de sons qui reflète l’absence. Un bras puis l’autre, vertige de sensations comme l’appel désinvolte et violent du réel. Une image seule n’est pas splendeur. Ce qu’il reste de leur souffle, vapeur, ombres dansant fixées sur la pellicule. Ce fut un siècle de discorde, une longue suite de désastres qui décuplaient les sentiments. Les mêmes bêtes, les mêmes arbres, les mêmes troupeaux, mêmes champs, la même grâce. Lyriques et brillants et provisoires. Errant parmi les tombes une couronne à la main. Toutefois ce sont des particules en suspension dans l’atmosphère, des griffes de givre dans les arbres que les vagues emportent. Les dromadaires et réels et apparaissent enfin. Les lois invraisemblables et cruelles des passions. À l’affût et bien sûr et encore et plus tard et vois donc. Sourire est un salut fraternel, par capillarité, un chant de lutte en rampant dans les hautes herbes avec la peur au ventre. Un siècle de décombres, de cendres et de gravats. À se tenir debout, main dans la main. À vivre et aimer et oublier et partir et faire semblant et va et vient et revient et puis danse et mourir encore.
[Christophe Manon]
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sylvestreries · 2 years
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Chaos in Paris, making me realize I really am glad to live however I want to be free instead of trying my forever best-but-not-good-enough to fit in the standard model.
L'aéroport et le dédain ostentatoire de l'élite luxueuse, les embrouilles pour pouvoir embarquer, la panique, le soutien inconditionnel de lui que j'aime sans retour, des parents, et la ténacité kabyle additionnée des mantras bouddhistes pour lâcher prise et continuer sur ma voie coûte que coûte.
Arriver enfin dans l'immensité urbaine, surprenante de mélanges d'époques, et ses arbres gigantesques et omniprésents.
Rencontrer de grands corbeaux, clin d'oeil à lui que j'aime et qui m'aime, et l'orage. Mousson de bienvenue, eclairs tonitruants juste là, autour de nous, illuminant l'espace de retrouvailles.
Un jour qui a duré 38h, entrecoupé de sommes agités à 10000m d'altitude, clôturé par un sommeil lourd et moite, à une trentaine de degré Celsius.
Premier jour de balade, aller visiter le grand Temple de la Montagne Dorée, presque pleurer d'émotion.
Presque car la plupart de mon hydratation se sépare de mon corps dans cette chaleur humide (plutôt confortable à vrai dire).
Marcher, ouvrir tout mes yeux, remercier les mains jointes et être dans la norme ce faisant, enfin ! Manger peu, satisfaisant, en commençant par les saveurs connues du pad thai, réconfortant. Errer dans les quartiers sans touristes et de fait moins surexcités, prendre le métro climatisé, prévoir de quoi se couvrir parce que wallah le choc thermique!
Ramasser des fleurs pour décorer nos murs, me promener avec une particulièrement jolie sur la tête et l'oublier, pour ne m'en rappeler qu'en voyant les regards se diriger vers elle, habituel.
Prier pour Lyere, de pleine lune accompagnée dans cette longue opération de réappropriation physique sous des mains expertes et bienveillantes.
Que les vents dans les clochettes lui soient enchantements, les fleurs en offrandes, émerveillements, et les cheminements de nos âmes, soutenants.
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projetnxt2022 · 2 years
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- 05/01/2021 Séance 13 : Aujourd'hui nous avons testé si le nouveau programme fonctionnait puis nous avons réglé toutes nos valeurs de vitesse et de distance à parcourir. Tout semble fonctionner. Nous avons fait une vidéo où le robot résout le labyrinthe avec la carte en temps réelle en bas à droite. Maintenant le robot détecte tous les murs et peut donc tracer une belle carte.
Objectifs de réflexion de recherche jusqu'à la prochaine séance :
Soutenance.
Objectifs pour la prochaine séance :
Préparer la soutenance
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Séance 8 du 2 Décembre 2021
Résumé de la séance :
     1) Code du nouveau programme
     2) Mesure des temps de déplacement
1)
Dans un premier temps, nous avons codé le nouveau programme qui consiste à faire avancer le robot de 40 cm et agir ensuite selon les murs.
Méthode: 
Il avance de 40 cm, puis il regarde à gauche. S’il y a un mur alors le capteur tourne à droite pour voir devant, s’il y a de nouveau un mur alors il tourne encore à droite pour voir a droite, puis la même chose s’il y a encore un mur alors il fait demi-tour et avance de 40 cm puis le cycle recommence.
2)
Ensuite il a fallu calculer le temps que le robot met pour avancer/ aller à droite/ aller à gauche de 40 cm et aussi tourner de  90° ou tourner de 180°.
Pour cela, on a calculé avec un chronomètre combien de temps il mettait à peu près pou faire 40 cm en avant (par exemple) puis on a ajusté la valeur pour qu’il s’arrête vraiment à 40 cm.
Voici un exemple ou l’on fait le test pour qu’il tourne de 90° :
https://drive.google.com/file/d/1Gok96Oz0gYtDuTQ3wWjrBPQe-9n7WYBT/view?usp=sharing
Et enfin voici le programme labyrinthe :
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Pour notre prochaine séance nous testeront le code si bien sûr nous avons une nouvelle batterie.
De plus Yohan à réalisé sur SolidWorks une coque pour le robot qui permettra de fixer les bouton switchs et on/off ainsi que le servomoteur et pour cacher les fils. La coque devrait être imprimée lundi 6 Décembre.
En attendant, je vais essayé de tester le code chez moi grâce à un écran LCD 16*2 et on va également préparer notre soutenance du Jeudi 9 Décembre.
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otomeheroines · 3 years
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5e Anniversaire Interview [Subaru Sakamaki]
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Source de l’image: Diabolik Lovers 5th Anniversary Project
Qu’est-ce qui vous intéresse le plus en ce moment? Les coussins dans mon cercueil. Je les ai mis à l’intérieur récemment et ils sont pas mal. Ils sont doux, donc c’est beaucoup plus confortable de s’allonger et de dormir. La plupart de mes choses préférées sont liées à ce que je mets dans mon cercueil. Je l’ai customisé moi-même.
Récemment, quel genre de style vous préférez? Tout ce qui est cool et noir. Je n’aime pas les couleurs claires. Aussi… …Je suis assez difficile avec les accessoires. Par exemple, je pense que c’est bien d’en avoir des simples par-ci par-là. Par contre, je n’irais pas trop loin avec ça.
Avez-vous des habitudes que vous faites sans vous en rendre compte? … …Ma propre rage m’aveugle et je passe ma colère accidentellement sur les murs ou sur tout autre objet autour de moi… …en les détruisant complètement. Il y a des moments où je veux détruire, mais parfois je le fais presque inconsciemment. … …Est-ce que ça compte comme une habitude?
Comment passez-vous vos jours de congé? Je passe mon temps dans mon cercueil. J-J’essaie pas de me cacher ou quelque chose comme ça… …! J’ai rien de particulier à faire… …et c’est vraiment chiant de sortir au mauvais moment pour être harcelé par mes frères, donc… …c’est mieux de juste rester dans mon cercueil, c’est tout!
Quels vêtements portez-vous pour dormir? Des vêtements décontractés? Je porte juste ceux qui sont confortables, je ne me donne pas la peine de me changer juste parce que je vais dormir… …? Et puis, si j’essayais de dormir sans vêtement, je serais incapable de me détendre… …Minute, ça n’a pas d’importance!
Que faites-vous toujours avant de vous coucher? Rien de spécial. Je vais juste dormir à chaque fois que j’ai sommeil. Quand je peux pas m’endormir… …je vais faire des exercices ou quelque chose comme ça. Ça m’aide à mieux m’endormir.
Quelle est la partie de votre corps préférée? J’en ai aucune. Que ce soit mes cheveux… …ou mes yeux, ils m'irritent. Bien que… …Eh ben, je fais des exercices. J’ai pas un corps embarrassant à montrer.
Qu'est-ce que vous aimez le plus dans votre chambre? Mon cercueil. En fait, c’est pas mal la seule chose. J'aime garder les choses simples.
Racontez-nous un souvenir mémorable avec vos frères! Un souvenir avec… …mes frères? Euh, eh ben… …Qu'est-ce que tu as dit? Mémorable… …Aah, quand j’étais encore enfant, j’ai vu mes frères accompagnés de leurs mères lors d'une soirée… …et j’ai tout de suite pensé que je ne voulais pas être mêlé à eux.
Que pensez-vous de Karlheinz? Honnêtement, je ne comprends pas vraiment le vieux. J’ai passé tout ce temps à essayer de comprendre ce qui se passe dans sa tête… …Recevoir des ordres comme ça. Le fait que mon paternel m’utilise comme bon lui semble me dégoute. Si je disais que je ne le détestais pas… …ce serait un mensonge.
Où iriez-vous pour un rendez-vous? H-Hein!? Un rendez-vous… …Comment je suis censé le savoir, merde? J’irai juste où… …elle aimerait aller ou quelque chose comme ça… …Je m’en fiche.
Quelles gestes d'une fille font battre votre cœur? C'est quoi cette question de merde… …? Un geste… …? Euh, son sourire… …peut-être… …? Je sais pas pourquoi, mais son expression souriante est relaxante, non? N… …Ne me faites pas dire ces choses!
Quel est le goût de son sang? C’est sucré. Son odeur et son goût aussi… …Quand je suce son sang, il ne cesse de s’épaissir… …Je me sens vraiment satisfait après l'avoir bu. Ça me dérange pas de le prendre de force, mais quand elle m’obéit et soumet son corps à moi… …j'ai l'impression que ça a encore meilleur goût que d’habitude.
De quelle partie du corps aimez-vous sucer son sang? La cheville. Quand je le bois à cette partie-là, je peux avoir une belle vue de son expression faciale douloureuse. On peut dire que ça déclenche mon côté dominant… …Voir la tête qu’elle fait quand elle est excitée par mes crocs est très plaisant… …La façon dont elle tressaille de peur quand je saisis sa jambe me fait vraiment quelque chose aussi.
Son existence représente quoi pour vous? … …C’est quelqu’un que je veux chérir. Pour moi, son existence est vraiment importante… …J’ai été capable de me confronter précisément parce qu’elle a toujours été là à mes côtés en me soutenant. C’est pourquoi… …je veux la protéger. Pour toujours… …
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lechapeautimide · 3 years
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Des yeux
Un nez qui se brise, puis des cris.
Des yeux aussi.
Et le sang qui s’échappe des lèvres ouvertes.
Des yeux témoins.
Un nouveau coup, l’esprit virevolte une seconde en dehors du corps.
Des yeux témoins horrifiés.
La chair semble mugir de douleur. Ce n’est pas soutenable.
Des yeux témoins horrifiés immobiles.
Des mots qui franchisse le mur de la souffrance, des mots déterminés. Nouveau coup, l’esprit s’engage dans une plus longue promenade.
Des yeux témoins horrifiés immobiles qui ne font rien.
Un silence peut-être. Le mur est trop haut maintenant. Le poing, comme une masse, s’abat, encore.
Des yeux témoins horrifiés immobiles qui ne font rien et résignés.
Nouveau coup, il ne s’arrêtera plus.
Des yeux témoins horrifiés immobiles qui ne font rien et résignés semblent aveugles.  
Travail autour du corpus, chercher des références artistiques et créer un texte à partir de celles-ci. Forme libre, on y insuffle ce que l’on veut, sensation, ce qui nous a marquer etc...
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alexar60 · 4 years
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Les secrets de l’oncle Charles
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Dans la famille, on s’est toujours posé la question sur la fortune de l’oncle Charles. Quand le frère de je ne sais plus quel arrière-grand père mourut, il avait plus de cent ans et vécu dans le luxe et l’opulence. Il avait une magnifique villa dans la partie la plus huppée de la région. De même, il passait généralement ses vacances dans des hôtels de luxe sur la croisette ou dans les plus beaux palaces internationaux. Il avait visité presque tous les pays du monde y compris ceux qui n’existent plus. Et tout ça, sans travailler une seule fois dans sa vie ; enfin, sans vraiment pas travailler car c’était une question qu’on entendait durant les diners de famille quand il n’était pas présent : Mais que faisait-il comme métier ? On raconta qu’il fut un simple ouvrier, petit photographe dans le monde du cinéma. On pensa à un héritage secret d’une galante fortunée avec qui il entretenait une relation intime. On suspecta de lui, malgré sa petite taille et son aspect maigrelet, qu’il jouait un double-jeu, criminel notoire cambriolant les riches demeures pendant la nuit. D’ailleurs, des cousins criaient partout qu’Arsène Lupin était de notre famille. C’est vrai qu’il avait un côté Georges Descrières.
Peu après son décès, nous eûmes la charge de faire un état des lieux de sa propriété afin de la mettre en vente et partager plus facilement l’héritage. La maison était immense, trop immense pour un seul homme. Il n’invitait pratiquement pas la famille alors, cette journée fut pour nous comme la visite d’un musée. Nous découvrîmes de nombreux tableaux avec plus ou moins de la valeur. Dans le hall, il y avait son portrait fait par un peintre inconnu. Mais de chaque côté, c’était bien un Picasso à gauche et un Matisse à droite. Des tableaux qui ne figuraient nulle part dans les registres de recensements, soutenant encore plus l’idée qu’il fut un gentleman-cambrioleur.
Nous parcourûmes les salles les unes après les autres. Nous fûmes émerveillés par la décoration quoi qu’un peu surfaite. Les dorures sur la vaisselle. Je vis pour la première fois de l’argenterie, réalisant que c’était plus lourd qu’une vaisselle classique. Partout où nous nous dirigeâmes, nous restions abasourdi. Notre oncle avait une bibliothèque comme dans tous les châteaux. Les livres protégés derrière des vitres, ornaient les étagères. J’en feuilletai un et fus stupéfait de lire la date de parution ; c’était un traité de médecine de 1774. Incroyable !
Une journée ne suffit pas. Nous décidâmes de rester dormir pour une partie d’entre nous, les plus vieux de la famille préférant rentrer et revenir le lendemain. Mais nous savions qu’il fallait une voire deux semaines afin de tout évaluer. Je restai ainsi avec quelques cousins. Nous partageâmes un frugal repas version hamburger bon marché puis, nous décidâmes de continuer notre exploration. La villa était composée de trois étages, ajouter à cela un grenier et une cave interminable, c’était six niveaux de la taille d’un terrain de football que nous avions à ranger. Alors, nous ne perdîmes pas de temps et après le diner, nous reprîmes notre inventaire.
Aucune chambre ni salle de bain ne se ressemblait en couleur. Elles avaient toutes des murs de couleur différente. La chambre rose, la bleue, la verte pomme… La salle de bain jaune, la bleue azure... Nous crûmes visiter un hôtel car chacune contenait le même mobilier, un double lit à baldaquin identique. C’était déroutant quand on savait qu’oncle Charles était plutôt du genre à aimer la simplicité. Il s’habillait toujours avec le même costume, pourtant, son dressing comportait une quantité incroyable de vêtements, principalement de la haute couture. C’est à côté du dressing que nous découvrîmes une porte secrète.
Cette dernière menait à une salle sans fenêtre, totalement fermée et isolée. Après avoir cherché et trouvé à tâtons l’interrupteur, la vision d’inquiétantes machines nous perturba. C’était des machines de torture, faites pour attacher, humilier ou rabaisser son ou sa prisonnière. Plus loin, un atelier comprenant différents objets nous intrigua. En effet, nous trouvâmes une incroyable collection de fouets et martinets. Mais surtout, des godemichets de différentes tailles. En continuant nos recherches, un bureau dérogeait au mobilier présent. Forcément, ce bureau avait une utilité. Et après avoir forcé les serrures des tiroirs car n’ayant pas trouvé de clé, nous découvrîmes à notre grande surprise de nombreux dossiers accompagnés de photos. Nous perçâmes ainsi le secret d’oncle Charles.
Notre grand oncle avait des dossiers intimes sur les prestigieuses personnes de la haute société. Ainsi nous trouvâmes celui d’un ancien président de la troisième république dont certaines photos en compagnie de petites filles indiquaient ses tendances pour les enfants. Un autre dossier concernait une femme d’un riche politicien photographiée dans le même lit qu’une autre femme. Leur position était sans équivoque. Je n’y croyais pas : Oncle Charles était un maitre-chanteur. Et il faisait aussi chanter des artistes, des chanteurs, des hommes, des femmes de tous bords. Apparemment il fit sa fortune grâce à ces photos dont je ne sais comment il en a obtenu la possession.
Sur des cahiers, je pus lire des détails croustillants, des anecdotes au sujet de soirées fines organisées dans sa demeure. La plupart des partenaires participèrent contraints par une menace de dévoiler un péché ou une action inavouable. Ils s’enfonçaient encore plus dans un chantage sans fin car à ce moment, Charles ajoutait des photos aux dossiers déjà imposants. Et vu la liste, on peut dire qu’il y avait du gratin. Par la suite, nous trouvâmes des films comportant des scènes lubriques en noir et blanc. Parfois les acteurs habillés souriaient avant de laisser place à une orgie dont on pouvait reconnaitre les visages. Je vis ainsi un ministre des années cinquante se faire sodomiser par un grand acteur de la comédie française pour son plus grand plaisir. Si cela était tombé dans les mains de l’opposition, cela aurait annoncé le suicide du ministre et la fin de la carrière de l’acteur ou inversement.
Plus nous découvrîmes des informations, plus nous étions à même de réécrire l’histoire de France et sa culture. Surtout avec le contenu des cahiers de comptabilité. On apprit que son premier « bon client » était un richissime industriel, et amateur de jeunes prostitués nubiles qui profita de jeunes juives pendant la seconde guerre mondiale. Il justifia leurs emplois au sein de son entreprise en les soi-disant cachant au nom de la résistance. Seulement, il avait des affinités auprès de dirigeants nazis et partait souvent en voyage d’affaire pour récupérer de la main d’œuvre dans un camp de concentration. Cela parut insensé, impossible à croire tellement il y avait d’informations. Mais qui était réellement oncle Charles pour en savoir autant ? Un agent secret ? Rien n’affirmait cette hypothèse mais c’était possible, car nous découvrîmes aussi des renseignements sur des personnalités étrangères, des soviétiques, des américains, des africains… On se demanda comment il avait fait pour ne pas avoir été assassiné et mourir centenaire.
A la longue, les photos devinrent fatigantes à voir. De nombreux clichés se ressemblaient présentant des personnages et leurs victimes dans toutes les positions sexuelles. Toutefois, l’une m’intrigua énormément. Il s’agissait d’une jeune femme dont les charmes étaient sans équivoque. Elle était sur de nombreuses photos datant des années 1920, nue ou habillée. Contrairement aux autres, elle affichait un bonheur parfait et semblait même s’amuser quand elle était fouettée. Cela m’interpela, surtout que derrière une des photos prise pendant qu’elle se déshabillait, il y avait un message à moitié effacé mais encore lisible qui contrastait avec le reste du donjon : « Cher ami, je ferai tout pour vous plaire et vous satisfaire combien je vous aime ».
Alex@r60 – mai 2020
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Bonjour Tu donnes ton opinion sur l’obligation d’être scolarisé. Désolée que tout soit si compliqué pour toi. Cela signifie qu’il manque des sections adaptés à des enfants qui ne fonctionnent pas comme tout le monde et ont besoin de plus de temps, d’attention, ou d’une scolarité adaptée à leur niveau intellectuel. Tu omets deux détails : Steiner Waldorf c’est bien sympa mais après le primaire l’enfant fait quoi ? Il doit réintégrer un cursus « classique ». Et la seconde : le coût de ces écoles.
Oh ne t’excuses surtout pas ! D’une certaine manière ça me fait savourer la fac, et je suis bien contente d’y terminer ma “scolarité”. Faire un mémoire c’est parfois la galère, mais j’adore travailler seule, sans pression, ni jugement extérieur (sauf à la soutenance). Mon directeur de recherche est une perle, je suis tellement contente de (presque) terminer mes études avec lui. Je viens de passer une super après midi à apprendre à utiliser Photoscan, je vais galérer faire les relevés de ma tour, mais cette après midi, je me suis éclatée comme une gamine en faisant la reconstitution 3D d’un mur. Et d’une certaine manière, c’était assez pittoresque de passer un bac S alors que je ne suis pas scientifique, tout en faisant seule le programme d’un bac L. Je n’ai pas pété un plomb, je n’ai jamais eu de gros soucis, j’ai eu mon bac, et, surtout, je ne me suis jamais fait harcelée, ce qui n’est pas le cas de tout le monde. Il n’y a pas à être désolée pour moi, j’ai eu de la chance et je m’en suis bien sortie.
Tout à fait d’accord avec toi, c’est assez absurde qu’à l’école on nous demande tous de rentrer dans le même moule ,d’acquérir les mêmes connaissances en même temps, alors que tous les enfants sont censés être différents à la base ( tous les bébés n’apprennent pas à marcher, ni à parler au même moment). On sait qu’il existe 8 formes d’intelligences, et tous ne vont pas choisir le même métier, ni les mêmes ambiances/conditions de travail. C’est quasiment mission impossible de faire du sur mesure pour tout le monde, mais déjà admettre que tous les enfants ne s’épanouissent pas dans le système scolaire actuel, sans qu’ils soient jugés comme des “cas”, ce serait déjà un pas. Il y a des instits qui font tout ce qu’elles peuvent, mais sans investissement financier (au sein des écoles et dans la formation des enseignants) on n’arrivera à rien.
Pour être honnête avec toi, moi aussi je suis assez sceptique sur la pédagogie Steiner- Waldorf, tout comme le unschooling, pour ce qui est de leur application dans l’enseignement “formel”. Perso, si j’avais un gosse, j’aurais trop peur de le pénaliser pour la suite et qu’il ne puisse pas faire les études qu’il souhaite. Comme philosophie de vie, à la maison en revanche, c’est cool.
En même temps il y avait une école Steiner pas très loin de chez moi, ils faisaient le collège, si mes souvenirs sont bons (peut-être aussi le lycée). Je connaissais vaguement un frère et une sœur qui y étaient, je suis quasiment sûre qu’ils ont fait des études supérieures (ils étaient issus d’un milieu très aisé). Et l’école Steiner Waldorf de la Silicon Valley remporte aussi un certain succès. Cela semble marcher... chez les riches (et ça m’énerve un peu)....
Les écoles hors-contrat coûtent une blinde (l’école Steiner à côté de chez moi coûtait 6000 euros par an !) et oui, c’est injuste, il y a une famille (le père est paysan-boulanger) qui s’en voit financièrement pour que leur enfant dys aille dans l’école Montessori du coin. L’école à la maison coûte moins cher, mais ça a aussi un prix. Les écoles privées sous contrat coûtent cher en général. Et quand à l’école publique..je me fais du souci... ce ne sont que des observations, mais j’ai remarqué qu’il y a un vrai “marché” dans l’éducation (cours à domicile, stages de révisions payants). La plupart des sites sur lesquels j’allais récupérer les cours des L en 1e-Tle (il y a 6-7 ans) sont payants aujourd’hui ! De mon temps on avait juste des annales, le cousin qui t’aides pour les maths au collège-lycée, et quand ça se corse une prof de maths d’une assoc‘ vient t’aider. J’ai bien peur que dans les années à venir, si l’on continue, seuls les élèves pour qui les parents auront payés obtiendront une mention au bac.
A mon avis, il faudrait tout d’abord donner plus de moyens financiers à l’Education nationale, pour donner de meilleurs salaires et de meilleures formations aux profs, réduire les effectifs par classe, acheter du matériel (pour enseigner en  CE1 ma mère avait dans la salle aucun matériel...RIEN), faire de petites écoles avec des bâtiments et un extérieur correct (et pas juste une dalle de béton comme quand j’étais gosse pitié). Il faudrait aussi, je pense donner une plus grande liberté pédagogique aux instits/profs (je ne l’ai pas dit mais j’en ai eu aussi des bons !) contrôlée bien sûr.
Désolée pour le pavé et pour les fautes, j’ai ma journée de 11h dans les pattes, il est 1h du matin, je n’ai pas le courage de tout re-relire et synthétiser 😅
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neant-blanc · 3 years
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JOUR 44
Le monde tourne toujours au ralenti au pays des confineux. Le grand T se lève et rassemble ses affaires. La nuit se prolonge tard dans la chambre à cause du volet velux. Quand je descends le grand T est douché et rasé de près. La carcasse d’Antonin est déjà vissée à la chaise devant son pc. Je prends un bol de yeux et désembue mes céréales encore petits de fatigue.
Mes chaussettes se relaient sans relâche quand je les prends au petit bonheur la chance près de mon lit. Je crois bien que la poupée unijambiste observant la table à manger a bougé pendant la nuit. Les portes continuent de s’ouvrir toutes seuls. Le liquide vaisselle coupé à l’eau ne ressemble plus à du liquide vaisselle. Les torchons sales et propres s’entassent dans un coin de la cuisine. Une rose en plastique a élu domicile dans un goulot au milieu de l’océan de bières vides. Si ma mamie venait on ne sait comment à passer le pas de la porte elle froncerait sûrement ses sourcils et murmurerait des grossièretés en gallo.
Des pas précipités font trembler les meubles. Il y a des cris. Le grand T essaie de s’enfuir. Antonin et moi le pourchassons pour le forcer à rester et manger ses cornichons. Rien à faire. Il nous assomme d’un seul coup de ses poings terribles et détale. Pour soigner notre migraine et notre cafard, Antonin et moi, Dimitli et EvanCojac, seuls rescapés du radeau de la confiméduse qui prend l’eau, ouvrons une bière.
Ça y est. Le tripode soutenant la maison de mamieCombourg n’est plus. La baraque s’affaisse sans bruit, nous poussant presque dehors. Cela ne nous empêche pas de maintenir les traditions. La bilig et le cidre sont sortis.
En se couchant, la pluie tambourine contre le velux. Il y a un peu d’écho dans la pièce un peu trop vide. Heureusement Mme Karembeu en petite tenue et David Beckham les cheveux rasés sont encore là, accrochés au mur, pour nous tenir compagnie.
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MARDI 9 JUIN 2020 – (Billet 3 / 4)
Quand le journaliste du Monde écrit pudiquement (voir plus bas) : « […] Anne Hidalgo est violemment rejetée par une partie des Parisiens… », il faut préciser que cette « partie » représente 63% des Parisiens qui n’en veulent plus !!!
Lisez ci-dessous l’extrait de l’article puis regardez la courte vidéo ci-dessus (1 minute 12), il y a de quoi vraiment se taper la tête contre les murs ! Mais bon, il faut y croire… et surtout voter pour Rachida Dati et qu’on soit débarrassés une fois pour toutes de « Notre Drame de Paris » !!!
Mais c’est pas gagné…
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Municipales 2020 : un premier sondage promet une large victoire d’Anne Hidalgo à Paris
Si les Parisiens votaient aujourd’hui pour le second tour des municipales, Anne Hidalgo serait largement réélue. C’est ce qui ressort du premier sondage réalisé depuis la reprise de la campagne électorale après 55 jours de confinement. Réalisée pour Le Journal du Dimanche et Sud Radio par IFOP-Fiducial auprès de 974 électeurs interrogés du 2 au 5 juin, cette enquête confirme la nette avance de la maire socialiste sortante sur ses deux adversaires, Rachida Dati (Les Républicains, LR) et Agnès Buzyn (La République en marche, LREM).
Dans ce sondage dévoilé samedi 6 juin, les listes « Paris en commun » soutenant Anne Hidalgo recueillent 44 % des intentions de vote à l’échelle de Paris, contre 33 % pour celles de Rachida Dati et 20 % pour celles d’Agnès Buzyn.
Alors qu’Anne Hidalgo est violemment rejetée par une partie des Parisiens, elle pourrait être ainsi réélue avec un score plus faible que ses 53,3 % de 2014, lorsqu’elle a succédé à Bertrand Delanoë. La clé de ce paradoxe ? Elle tient à la configuration politique parisienne née de l’émergence de LREM. Anne Hidalgo a réussi à unir autour d’elle toute la gauche, à l’exception de La France Insoumise (LFI). L’opposition, en revanche, reste éclatée en deux blocs irréconciliables, LR et LREM.
Lors du second tour, prévu le 28 juin, cette division va se traduire par une multiplication de triangulaires, voire de quadrangulaires. Dans 15 arrondissements, les listes de gauche désormais fusionnées se retrouveront confrontées à celles menées par Rachida Dati d’un côté et Agnès Buzyn de l’autre. Un accord de fusion LR-LREM n’a été trouvé que dans un petit arrondissement, le 5e.
(Source : « lemonde.fr »)
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