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#nécrophage
wingedjewels · 1 year
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Le Messager (Corvus Corax)
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Le Messager (Corvus Corax) by Martial Kaczurak
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collaredkittyboy · 10 months
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woah that french in the tags 😳 didn't know you were a poet
Yeah that is the beginning of a poem I wrote in my French class last year 😅 Let's see I think I have it saved.
Les racines des arbres serpentent une toile
Vaste et étouffant sous la vielle neige
Pour garder la pourriture des étoiles.
Les vers dans leur prison superficiel
Savent pourquoi, quand ils voient les nuages,
Les racines des arbres serpentent une toile.
De la terre une chanson discordiale
Tends ses vrilles en haut avertir les anges
Pour garder la pourriture des étoiles
Que mange le feu, son peau et sa moelle.
Et, pour piéger ce mal nécrophage,
Les racines des arbres serpentent une toile.
Meprisant la croissance des spores floréals,
Les cieux luttent retenir les nuages
Pour garder la pourriture des étoiles.
Avec la pulse des étoiles cardiales
Le champignon embrasse, léche, aime, et mange
Les racines des arbres serpentent une toile
Pour garder la pourriture des étoiles.
And the translation:
The roots of the trees weave a web
Vast and suffocating under the old snow
To keep the rot from the stars.
The worms in their superficial prison
Know why, when they see the clouds,
The roots of the trees weave a web.
From the earth a discordant song
Stretches out its tendrils to warn the angels
To keep the rot from the stars
That eats the fire, its skin and its marrow.
And to trap the evil scavenger
The roots of the trees weave a web.
Despising the spread of the floral spores,
The skies fight to clutch the clouds
To keep the rot from the stars.
With the pulse of the cardial stars
The fungus kisses, licks, likes/loves, and eats
The roots of the trees weaving a web
To keep the rot from the stars.
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mysteriis-moon666 · 1 month
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NECROPHAGIA - 𝗠𝗼𝗿𝗶𝗯𝘂𝗻𝗱𝗶𝘀 𝗚𝗿𝗶𝗺
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Necrophagia se popularise dans la scène underground et le genre metal extrême au début des années 1980. Leur premier album, Season of the Dead, est enregistré et publié en 1987. En 1990, ils publient Ready for Death, enregistré en 1986, qui devait initialement être le premier album.
Le groupe a sorti son nouvel "Moribundis Grim" viaTime To Kill Records, 40 ans après la sortie de leurs premières démos !
« Moribundis Grim » présente les dernières prestations vocales de Killjoy Aka Frank Pucci (1969-2018) décédé en 2018. Composé de Killjoy Desade, Serge Streltsov, Shawn Slusarek et Jake Arnette, ainsi que l’invité spécial John McEntee et les membres précédents Titta Tani et Mirai Kawashima, les titres sont les démos, se sont greffées des versions retravaillées des chansons du premier album et une reprise de Samhain.
C’est craspec, vitreux, pris directement dans le garage de la grotte avec des morceaux de tripes oldschool, les nécrophages capturent dans une barrique de sang, le suc du death et ‘’la véritable essence de ce qu’est Necrophagia. Killjoy et Fulci Live! Gore Forever!’’ avec des tributes appuyés aux bobines qui tachent “The House by The Cemetery”, “Scarecrows”, “ Halloween 3”, “Sundown”.
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magouka · 7 months
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26 Mars
J’ai été injuste à l’égard des autochtones de Monga. Lutten et Larget m’expliquent que j’ai mal compris l’histoire du cimétière. Moins nécrophage que je ne croyais, ces gens n’ont pas déterré les cadavres. Ils ont mangés tout frais ceux des deux officiers massacrés, et l’on a enterré les restes. Presque tous les hommes, sur la route, portent la lance, y compris ceux qui sont vêtus comme des Européens. Quelques-uns ont des accordéons ; toutefois, ce ne sont pas les mêmes. A la sortie de Bouta la « route royale », qu’on nous avait annoncée si bonne, n’est pas fameuse. Franchement mauvaise même, car elle est défoncée par les camions, qui l’ont plissée comme une tôle ondulée. Festin dans un petit village dont nous ne parvenons pas à obtenir le nom. Pour dessert, un ananas plus gros qu’une tête humaine, et pour moi du vin de palme qui sent bon le végétal, avec un petit goüt aigrelet et arrière-fond de sperme. Nous achetons quelques objets (plusieurs couteaux, deux beaux mortiers). On vient nous en offrir de toutes sortes, et l’on veut même nous vendre un vieux smoking, veston et pantalon. Nous croisons l’après-midi un chef indigène qui se déplace en chaise précédé d’un garde portant le drapeau belge, suivi d’une file de porteurs, dont l’un est chargé d’une table de jardin pliante en métal peint en rouge. À part quelques beaux coins, tout est lamentablement déboisé. Étape à quelque trois cents kilomètres de Bouta ; nous nous installons au dispensaire médical, où il n’y a pas un chat. Une femme, puis deux autres femmes viennent s’offrir, escortées par un ou deux maris, dont l’un en bas cyclistes et l’autre en uniforme. Nous les repoussons, mais chacune d’elles reçoit un cadeau de dix sous. Elles n’en demandaient guère plus.
dans L'Afrique Fantôme. Michel Leiris. Editions Tel Gallimard. 1930-1932.
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lalignedujour · 11 months
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Je comprenais pas pourquoi les gens voulaient se marier. Et puis, je me suis levé·e cette nuit pour vomir, et j'ai compris. Tu as quand même bien vite fait de t'étouffer dans ton vomi et de te faire retrouver par les mouches nécrophages avant les humains.
En fait, j'avais pas si peur de mourir, j'avais plutôt peur de manquer de discernement pour distinguer quel état est sous contrôle, et quel état nécessite de faire le 15 car il y a un risque vital - ce qui revient au même... Le simple fait que je distingue la peur de mourir de la peur de mourir par manque de discernement prouve un manque de discernement.
Enfin, on est peu de chose t'as vu, et faudrait penser à s'aimer (je voulais écrire s'amuser, mais mon ugocorrect a écrit s'aimer et j'aime donc je garde).
Donc, pour récupérer de ma nuit, j'ai continué mon grand ménage de printemps perlé : c'est la 3ème session en 2 mois et demi, il reste l'équivalent d'une session de travail avant le 21 juin. Jouable.
J'ai notamment écouté un livre sur la compersion en polyamour, en lavant le sol. Je trouve ça particulièrement sain cette idée de s'organiser pour s'aimer (et ça marche aussi pour s'amuser). J'aurais aimé que les couples de Disney partagent par écrit leurs attentes mutuelles (car ne pas avoir d'attente, c'est du bullshit, et - pire - attendre de l'autre qu'iel n'ait pas d'attente, c'est peut-être la plus grande et irréaliste des attentes), on serait plus heureux·ses et on pourrait faire le ménage en écoutant autre chose.
Et donc, comme j'avais vomi dans la nuit, je trouvais ça pas ouf de passer la journée seul·e. Donc pour me rassurer, j'ai été au village à la rencontre de ma famille de choix (même si c'est pas elle qui va composer le 15, c'est peut-être elle qui s'inquiètera avant les mouches). J'ai croisé les enfants des voisin·es qui revenaient de l'école et du collège. J'ai croisé un copain qui bricolait au café asso. J'ai croisé un autre groupe de jeunes qui revenait du collège. Et j'ai croisé une nouvelle personne aux containers, avec qui on a eu un small-talk agréable (un small-talk plaintif, un small-talk bien français, je me sentais dans un genre d'adéquation culturelle comme quand on nous sert une énorme bière en Allemagne ou un bon plat de pâtes en Italie).
Enfin, je suis revenu·e en réalisant que j'avais un grand sourire. C'était la même chose à Tanger : je captais dans les escaliers que j'avais figé un sourire. C'est parce que j'avais fait du small-talk à la boulangerie, dit bonjour aux vendeurs des boutiques de vêtements en bas, et à la vieille concierge (qui a de bonnes chances d'être morte aujourd'hui, mais dont l'entourage se sera alerté avant les mouches donc bon ça va lhamdoullah c'est ok pour la sépulture).
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zehub · 1 year
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Ce vautour est un des rapaces les plus rares de France
Ce petit vautour, grand migrateur intercontinental, revient d’Afrique au mois de mars pour nidifier dans nos montagnes du sud de la France. Mais l’espèce, au rôle de nécrophag
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younisos · 1 year
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Une armée de steaks mutants aux dents pointues s’abat sur les claires franges du jour. À coups de dents ils déchirent. L’immonde biologie fait des gargouillis au creux amniotique du silence. Œsophagite, charcuterie, et autres moelleuses équations. Qui veut du boudin ?
Le gosier enfin troué, Vlanck crachera le sang doux de son délicieux cadavre. Les hackers nécrophages se chargeront de ses restes dans le Cloud. Qui veut du boudin ?
Le cosmos est une grosse farce obscène, fripouillerie lugubre, ridicule, pensa Vlanck en débitant une belle tranche de fesse en tendres petits lardons appétissants.
Les foies mutants envahissent les ascenseurs des startups où ils branlent l’anus du futur, pendant que des milliards de verges et de vulves dégorgent des flots immondes de pixels recyclés en monnaies amorphes.
Extrait de La Chair crue qui s'illumine
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salemaweyard · 2 years
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Crocotta - créatures et légendes du monde
Crocotta – créatures et légendes du monde
Hello! La dernière fois, nous avons vu la légende du terrible Camazotz. Aujourd’hui, nous quittons les Amériques et nous partons à la rencontre du Crocotta. Le Crocotta est un chien-loup nécrophage que l’on retrouve dans les croyances d’Inde et d’Éthiopie. Il tue les animaux et les humains.Il se nourrit à l’aide de sa puissante mâchoire soit en déterrant des cadavres, soit en attirant ses proies…
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vincentdelaplage · 2 years
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LA RAISON D'ÊTRE DE L'ESCARGOT Le régime alimentaire est variable : phytophage (plantes), détritivore (débris d'animaux ou végétaux), nécrophage (animaux morts) et parfois même cannibale ! Il s'alimente grâce à une langue dentée appelée "radula" qui possède 1500 à 2500 dents. Regardez "James Paisible - Recorder Sonata in D Minor" sur YouTube https://youtu.be/CKXI4aAW2Ds Son activité, liée au temps, dépend de la chaleur et de l'humidité ambiante. Ainsi par temps froid ou très sec, il se réfugie sous terre (température et degré d'humidité plus ou moins constant), d’où une activité exclusivement nocturne en été. #culturejaiflash https://www.instagram.com/p/CdsUiGdM5Oe/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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labioaulabo · 5 years
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Tom Ratz, @TomRatz01, doctorant à l'Université d'Edimbourg en biologie évolutive
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Retrouvez la semaine de Tom ici
Je suis Tom Ratz, doctorant en biologie évolutive à l’université d’Édimbourg, en Écosse.
Je me suis passionné très tôt pour l’entomologie —l’étude des insectes. Cela m’a amené plus tard à commencer des études de biologie à l’université de Tours. J’ai vite découvert des domaines de recherche qui m’ont fasciné, tels que l’écologie, la biologie évolutive et le comportement animal.
J’ai ensuite continué en master, ce qui m’a permis de faire mes des projets de recherche dans ces domaines à Édimbourg et Mayence. J’ai aussi eu l’opportunité d’aborder la théorie en écologie et évolution en faisant le master 2 «Modélisation en Écologie » de Rennes et en un stage à l’Institute of Zoology d’Oxford.
A la fin de ce stage et avant de commencer un doctorat, j’ai brièvement rejoint l’équipe de Yves basset au Smithsonian Tropical Research Institute au Panama pour travaillais à l’analyse des données d’abondance d’espèces de papillons de nuit récoltés pendant plusieurs année. Je suis finalement arrivé à Édimbourg pour entamer ma thèse, il y a trois ans maintenant.
La recherche me passionne toujours et j’envisage à terme de devenir chercheur dans une institution publique. Dans l’idéal, j’aimerais inclure un peu plus d’écologie dans mes recherches et allier des thématiques de recherche en écologie et évolution. Je pense aussi que les recherches sur le terrain en biologie évolutive sont encore beaucoup trop rares. J’espère donc pourvoir sortir de temps en temps du laboratoire pour développer ce type de recherches et aller étudier les insectes dans leur milieu naturel.
Mon sujet de thèse porte sur l’évolution de comportements parentaux et des interactions parents-progéniture. Ce sujet tourne autour des grandes questions dans le domaine : « quelles sont les conditions environnementales qui favorisent l’émergence et l’évolution des comportements de soin à la progéniture ? », « pourquoi évoluent-ils chez certaines espèces et pas d’autres ? », « certains organismes ont-ils des caractères ou un mode de vie qui les prédispose à développer ces comportements ? ».
En outre, je m’intéresse au rôle que joue la flexibilité dans l’évolution de ces comportements. On parle ici de « plasticité comportementale ». En interagissant les uns avec les autres, les individus doivent souvent ajuster leur comportement en fonction des individus qu’ils rencontrent. Les interactions sociales dépendent donc généralement du comportement de chaque acteur et l’issue d’une rencontre est très souvent imprévisible. La plasticité comportementale est par conséquent le mécanisme clé qui permet à un individu de coordonner au mieux son comportement lorsqu’il rencontre un congénère.
Dans le contexte des soins parentaux je suis amené à me demander comment les parents ajustent-ils leurs soins à la progéniture quand les facteurs environnementaux et sociaux changent. Par exemple, chez de nombreux animaux les parents approvisionnent leur portée en nourriture en fonction de l’abondance en ressources alimentaires, qui peuvent varier d’une année à l’autre, ou même entre deux saisons. Les parents doivent aussi accommoder leur approvisionnement en fonction de nombre de petits à nourrir, de leur âge ou besoins nutritionnels. 
En répondant à ces questions, nous espérons pouvoir mieux comprendre les processus plus généraux qui régissent l’évolution des comportements sociaux. De manière générale, l’étude de la plasticité comportementale peut nous permettre de mieux appréhender l’effet des changements climatiques sur les populations.
Pour répondre à ce type de questions, j’utilise comme modèle d’étude une espèce de nécrophore, un scarabée nécrophage. L’avantage de travailler avec cette espèce, aux comportements de soins extrêmement développés pour un insecte, est qu’il est facile de manipuler leur environnement écologique et social. On peut ainsi contrôler l’accès à la nourriture, le nombre, l’âge et l’état nutritionnel des larves, etc. En ce moment, je teste l’effet d’une infection par un pathogène sur les soins parentaux et les comportements de quémande des larves.
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claudehenrion · 2 years
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Décidément, tout va ''de traviole''...
 Et si on oubliait, pour 5 minutes, l'anti-poutinomania obligatoire ? Nous avons déjà parlé à deux reprises, mais avec la ''mesure'' qui caractérise ce Blog (''Mais non... J'rigole'', disent mes petits enfants !), de ce gigantesque scandale de l'histoire économique... et nous en reparlerons encore, car ses conséquences sont telles que même les esprits les plus tordus et les plus complotistes --auxquels je rêve d'appartenir, un jour...-- ne peuvent les imaginer : il s'agit du remplacement de tous les moteurs thermiques par des moteurs électriques et de la fausse bonne idée qu'est ''le moteur électrique''.. . Ce drame absolu a été cent fois annoncé, mais rein n'y fait : ses conséquences, toutes mortelles, se mettent en place, devant nous...
Comme pratiquement tout ce qui provient du microcosme nécrophage des faux écologistes/vrais éconoclastes, ce n'est pas une idée, c'est une absurdité ! De manière inexplicable, nous avons laissé une caste de dystopistes sans pudeur, s'emparer --quitte à le dénaturer jusqu'à en faire une menace pire encore que l'islamisme-- de ce concept qui était intrinsèquement beau dans ses fondements et qui aurait pu le rester sans leur intervention ''100 % catastrophique'' et leur ''OPA inamicale'' sur le mot Ecologie et sur son utilisation. Ce dévoiement mortifère vers le ''pire absolu'' et contre la Nature, se révélera le plus grand drame de l'Histoire...
Le scandale de l'auto électrique est sans doute à hisser tout en haut du podium de la folie des hommes, avec cet autre triomphe de la bêtise qu'a été l'abandon du nucléaire : seul Hollande pouvait être à la hauteur d'une telle ânerie, mais, en tout respect de la vérité, Macron ne s'est pas fait prier pour le poursuivre... Certains vont dire que j'exagère... mais ce n'est pas si sûr que ça : regardons ce qui se passe en ce moment même, sous nos yeux : l'hiver que nous vivons a été, jusqu'à cette moitié du mois de Mars, anormalement doux. Un joli enneigement, mais du soleil sur les pentes... des tempêtes et des eaux en furie, mais des températures généralement agréables... des crises de folie sur les fournitures d'énergie, mais une accalmie dans les transports (''télétravail'' oblige) et des besoins de chauffage domestique raisonnables. Or, malgré ces conditions plutôt  ''statistiquement moins pires'' que d'habitude, nous faisions face dès avant la crise russo-ukrainienne à un manque criant d'électricité : la France, traditionnel exportateur d'énergie, en est réduite à devenir importatrice (et tant pis pour notre balance des paiements, déjà si souffreteuse !). Et le sujet des ''coupures de courant'' refait brutalement surface.
A cela, plusieurs explications sont invoquées, dont une seule tient vraiment la route : sous la pression de ces écologistes qui se foutent pas mal de l'écologie mais se cachent derrière un mot qu'ils ont privé de son sens pour poursuivre une vieille œuvre de destruction de notre civilisation... des illuminés de la citrouille ont fait croire aux braves gens que l'éolien et le solaire pouvaient être une alternative viable à l'atome --déclaré hors-la-loi par une poignée de fanatiques allemands (''Atomkraft ? Nein, Danke !''). Les idiots qui leur ont emboîté le pas (suivez mon regard !) ont décidé la fermeture de Fessenheim, ce qui s'est révélé être un véritable crime contre l'humanité --puisque notre Président a l'air d'aimer cette insulte. Et on a laissé ''filer'' l'entretien des autres centrales, puisque la moitié devait  disparaître... Carlos Tavarès, président de Peugeot-Fiat-Chrysler --pas un énarque, lui !-- crie depuis deux ans que la catastrophe absolue est le seul chemin que les pouvoirs publics ont laissé ouvert... En vain ! Le même Tavares explique qu’il faudrait qu’une voiture électrique roule au minimum 70 000 km pour être plus écologique qu’une voiture non électrique....or on roule de moins en moins, et il faudra donc des années à un acheteur de voiture électrique pour se dire, finalement, que ''passer à l'électrique était tout, sauf écologique''.   (NDLR : les réseaux sociaux hurlent de rire devant la dernière c... de nos Excellences, qui se déplaçant en véhicules électriques --bêtise oblige--... qui ont besoin de  groupes électrogènes au diesel pour les recharger ! Un très bel exemple de ce gag s’est passé à la Préfecture de Lyon, début février. Mais ils n'en sont plus à une près...)
Après deux quinquennats d'abandon de tout ce qui était intelligent et de tout ce qui avait un sens, le réveil est pénible... mais il faudra des années pour rattraper autant de mauvaises décisions. Conclusion : on n'est pas sortis de cet... emmerdement que notre Président a envie d’offrir à ses sujets insoumis. Or, c'est le moment choisi pour rendre obligatoires les bagnoles électriques. Tout est simple, au fond : en cette période de disette et de manque, les ennemis de toute intelligence décident de ''N-tupler'' la consommation d'électricité. C'est-y-pas magnifique, ça, Madame ?
Autrement dit : on n'a pas la plus petite chance de s'en sortir... sauf à abandonner une autre de nos libertés fondamentales : le droit, le plaisir et la possibilité de se déplacer en dehors des trains (en grève à chaque congé), des bus (bondés et peu pratiques), et des transports dits ''en commun'' (c’est le rêve idiot des théoriciens du socialisme : tous égaux, tous nivelés vers le bas, tous traités en masses anonymes de fourmis --sauf les chefs, ça va de soi !). Il ne fait pas de doute que c'est la seule issue au problème, posé tel qu'il est : nous sommes ''en Marche''... vers une catastrophe (même Ursula Van der Leyen, pourtant doctrinaire, mal-pensante --et conne, a vu la taille de drame en préparation et a revu son catéchisme. Trop tard !).
Les thuriféraires du régime tentent de se rassurer : le Chef se dédit une fois de plus et se raconte qu'il va lancer un immense programme de construction de centrales nucléaires.. confirmant par là-même l'immensité de la nullité intrinsèque de nos anti-élites --et la sienne : ils ne savent pas  (on ne leur a appris, à l'ENA, que des modes de raisonnement faux ou inutiles) qu'il n'y a pas le moindre point commun entre un délai annoncé, un prix de revient budgété, une prévision faite sur des critères ''officiels''... et ce qui va réellement se passer, dans la dure vérité des faits, toujours cruels ! Par exemple, une foule de petits malins est en train de basculer, en écoutant les voix trompeuses des sirènes gouvernementales : ils vont se précipiter pour vite acheter un véhicule électrique ''puisque l'essence est si chère''... sans penser que demain, après-demain au plus tard, la pénurie mondiale et définitive d'électricité leur fera regretter le prix à la pompe de leur vieux 4 cylindres diesel !
 A titre d'exemple, et pour sourire dans cet univers de mensonges... aux temps lointains où je dirigeais de grandes entreprises, dans des univers de vastes projets, j'avais mis au point une soi-disant ''méthode'' de réévaluation des engagements pris par ''ceux qui savaient''. Et comme c'était une non-méthode exclusivement ''pifométrique'', je l'avais baptisée ''la méthode des irrationnels'' : on prend les chiffres annoncés par les ''experts'' (ouaf, ouaf, ouaf !), et on multiplie le coût prévu par l'irrationnel ''π'' (arrêté à 5 chiffres : 3,1416), et le  délai ''gravé dans le marbre des budgets prévisionnels'' (une galéjade !) par l'irrationnel ''e'' (= 2,7183), aussi dit ''constante de Neper'' ou ''exponentielle 1''... voire, parfois, par son contraire : si ''π'' fois les délais... alors ''e'' fois les coûts. L'expérience montre qu'on se trompe très rarement ... encore que pour la première des futures centrales qui assureront la relève vue par Macron, Flamenville, il s'agisse plutôt de ''π'' fois ET les coûts ET les délais. Moralité : pour répondre aux besoins monstrueux d'un parc obligatoirement 100 % électrique en 2030, les premières sources d'énergie produiront AU MIEUX  20 ans plus tard. Quand je vous dis qu'on est mal barrés ! Scandale du siècle ? Il semblerait que ce soit encore bien plus grave : on tourne sciemment le dos à toute intelligence... et à l'intérêt de la Terre.
Même le super-suiviste Pujadas, parangon du progressisme ignare et de la bien-pensance larmoyante, a récemment été contraint de devenir brièvement intelligent par des invités qui connaissent le sujet et qui ont expliqué que la fabrication des véhicules électriques nécessitait des masses considérables de lithium et de cobalt, dont l’extraction est parfaitement anti écologique… La question suivante est : ''pour qui roulent vraiment les mauvais génies européens qui imposent des décisions aussi anti-intelligentes ?''. Il y a  une urgence à tous les chasser vite de tout pouvoir de nuisance, à grands coups de pompe où vous voudrez.
H-Cl.
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mrlafont · 3 years
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Les universitaires sont des nécrophages désincarnés. Ils dissèquent, à tour de rôle, le cadavre de la littérature. Ce sont d’éternels explicateurs, des dérouleurs insatiables et inutiles d’explications. Ils n’ont pas le goût de la synthèse, ni et paradoxalement de l’enseignement. Ils lisent, énormément, des livres, des études, à n’en plus finir, ils sont bourrés d’études mais n’apprennent finalement rien de ce qu’est la vie et de comment l’humanité se porterait mieux à vivre. Non, c’est décidé, je refuse tout net de vivre parmi eux. J’irai faire ma poésie ailleurs, dans mon coin, bien seul, bien malheureux. Je sais que je vais me foutre dans une merde terrible. C’est mon choix. Pas de concessions, non, pas de bouffonnerie, pas d’adhésion ni de compromis. Comment peut-on se dire amoureux de la littérature, chant de la mort, et vivre et jouir dans l’espace de la bêtise ambiante. Il y a une nécessité physique d’être en marge du monde pour celui qui est vrai. Je renonce !
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mysteriis-moon666 · 7 months
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CANNIBAL CORPSE - Chaos Horrific
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Bonjour les Grands malades,
Alors vous avez besoin de votre ration d'hémoglobine à avaler ?
Mais jamais comme l'exécute le raffinement d'un vampire aristocratique en suçotant, vous c'est la délectation d'en boire jusqu'à la lie et directement le groin dans la tripaille sonique.
Ce disque entre dans votre sang sans aucune excuse. Presque impitoyablement. Il bat à la tempe d'une pulsation sonique, chavirant le cœur d'une dimension entropique.
Le death metal est un genre qui a transformé le corps musical dans ce que ce phénomène a de plus répugnant pour l'humanité. Il n’y est pas question que de dépouille humaine mais de la bestialité d’une charogne…C'est la radicalité de la corruption de la chair. Et pour cela Cannibal Corpse est parfait dans la vision répugnante du cadavre avancé. Et cela fait 35 ans qu'il remue le couteau dans la plaie. Le death metal de Cannibal Corpse est une confusion des sensibilités, il provient de cette vie luxuriante et répugnante à la fois que l'on retrouve dans le grouillement des multiples bestioles nécrophages.
C'est une scène d’entomologie-médico-légale faite par un thanatologue de service. Jamais affadi par la teneur profonde de l'auscultation du cadavre car cela correspond aux métamorphoses de la vie et de la mort selon les cycles naturels. Cela rappelle l’opération de l’alchimiste qui soumet la matière de l’œuvre au feu de l’athanor.
Soyez grands malades une fois de plus ravis par toute l’odeur pestilentielle qui accompagne la putréfaction, et qui rend la perception matérielle du cadavre et de la mort encore plus insupportable. Le chaos horrifique du 16ème opus de charogne infâme aux noirs bataillons ne vous laissera jamais de marbre, car la finalité stylistique c'est que vous serez semblable à cette ordure que Cannibal Corpse mutile et persiste dans son imagerie mortuaire. Mouahahahahahahah !
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norbertpoesie · 4 years
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Sans titre 8
Tremblement des villosités macabres à l'orée du penchant.
La vilaine a ourdi le pétrissoire des vilebrequins.
J'ai chanté la louange fantasque jusqu'au sang de la pirogue bleu.
Maudit, rassit et à genoux dans l'ossature du terra mondium.
Chargé de hyène en battue, les phoques galants se sont tus. J'ai ourdi la mitraille déchirant le bas cordonnier de la mégalomane.
Citron de serpent en perte absente.
J'aime le nerveux, le sacré et le rassasiant.
La patte du loup donné au saint des nécrophages attend encore son destin.
J'idolâtre le mauvaiseté en loque putride.
Vive le sot qui divague, au moins lui se rend utile.
Le roi des médecins a ordonné la mort du toucan et vite.
Que ça presse un peu là dedans, rentabilité. Les flots apaisent les salures gercées de moignons utiles.
Technique de subterfuge pour aller au grand salut des oursins.
Chronique d'une vivisection sur une œuvre majeure.
La foule est toujours la foule, rien n'en ressort qui soit consubstantiel.
Christ des douaniers pleure le transsubstantiation égale du maître au sur-maître.
La diagonale des flots et des flux vous picotent un peu le mou du gras.
Absente, muette, désengorgée de ton écrin de velours.
Ça et là le grognon se pétrifie de convexes illusions.
Je roule pour ne pas feindre l'abolition.
Hors champ, hors cadre, hors tout.
Or tu demeures vive et sirupeuse pour mon regard.
Houle pilée de glace tiède et d'écorchure bredouille.
Chaland des espérances gardées jusqu'à la prochaine fois.
Détruisant ta vague brune.
J'ai honni les coupures de tes yeux.
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apolloniaan · 5 years
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« tu penses à quoi quand je te dis amour?
- j’pense au bleu de ses yeux, au camaïeu de sa peau. j’pense à la courbe de ses lèvres, à son ombre funèbre et aux paroles qu’il murmure dans chacun de mes rêves. j’pense à la mélodie qu’il fredonne, à son sourire qui rayonne. j’pense aux roses qui poussent entre mes côtes, au goût du mercurochrome, à qui la faute? j’pense aux épines qui griffent mon œsophage et j’pense à la couleur dont sera son sarcophage. comme c’est dommage, que j’sois nécrophage »
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franckdoutrery · 5 years
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Eloge d’une bonté intelligente
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Parmi le flot d’hommages qui ont déferlé à l’annonce de la mort de Michel Serres, j’ai noté celui-ci, qui s’en démarque par sa tonalité faussement rétive, figure rhétorique qu’aurait certainement appréciée le grand disparu : « Michel Serres se moquait souvent de ceux qui disent que c’était mieux avant. Il avait tort. C’était mieux avant, quand Michel Serres était là, parmi nous, éclairant le monde de son intelligence, de sa douce humanité. » Comme c’est bien dit ! Intelligence et humanité. Encore qu’on pourrait ajouter que chez lui, ces deux qualités se renforçaient mutuellement : une intelligence d’autant plus éclairante qu’elle était nourrie non par des connaissances spéculatives éthérées, mais par une humanité bienveillante ; une humanité d’autant plus tolérante qu’elle s’enracinait non dans des émotions passagères ou des idéologies à la mode mais dans l’étude approfondie des sociétés humaines.
En 1990 Michel Serres fut élu à l’Académie française. Il devait y occuper le dix-huitième fauteuil, où avaient siégé des personnalités aussi illustres que le maréchal Foch, l’ambassadeur François-Poncet et le président Edgar Faure. Fidèle aux coutumes séculaires de l’institution, le nouvel élu prononça un discours dans lequel il évoqua pour l’essentiel les mérites de son devancier immédiat. Et que dit à cette occasion Michel Serres parlant d’Edgar Faure, mais qu’avec le recul nous pouvons attribuer à Michel Serres lui-même ? « Parmi les sens nombreux de l’épithète positif, il me semble que manque, en langue française, celui qui désignerait ou décrirait l’idiosyncrasie d’un homme, qui, par une prédisposition naturelle heureuse ou une force morale constante, s’attacherait à tirer de chaque personne, de toutes choses et des circonstances rencontrées, même et surtout les pires, le maximum de bonté. » Comment mieux cerner la nature profondément bienveillante d’un homme très doué, qui n’excipe pas de son talent pour se retirer sur son Aventin, mais s’intéresse d’abord à ses congénères, à leur manière toujours changeante de faire société, à leurs façons de penser, de peser et de parler. Et cela dans un pays qui se fait depuis toujours un point d’honneur à penser contre, au détriment de l’interlocuteur, voire à son abaissement. Écoutons encore Michel Serres cherchant dans le même discours la raison de ce mot manquant : « Nous ne disposons pas de ce vocable parce que notre tempérament porte à la diatribe et au ressentiment. Pis, la dénonciation, procédé abominable, a même pris des lettres de noblesse, chez nous, en philosophie et en morale. Nous n’affirmons pas seulement nos libertés de manière agressive : la face convulsive de la Marseillaise de Rude excellemment l’exprime. Prêts sans cesse à contredire, nous prenons les attitudes négatives pour de la profondeur et de l’indépendance, de sorte qu’il nous paraît léger celui qui construit vraiment. » Était visé par là, non pas le fameux principe d’Alain disant que « penser c’est dire non », que penser vraiment c’est soumettre toutes les idées reçues à un examen critique, que c’est remettre en question tout ce qui fut jusque-là admis par conformisme, accord tacite ou sagesse coutumière. N’était pas davantage concerné Sartre avouant dans Les Mots : « Je fus amené à penser contre moi-même au point de mesurer l’évidence d’une idée au déplaisir qu’elle me causait ». En revanche, la charge visait ceux qui, convaincus d’avoir déniché la vérité totale, n’en accordent pas la moindre partie à leur contradicteurs. Ceux qui, pour se grandir, ne trouvent pas d’autre moyen que de diminuer ou d’écraser l’autre. Encore heureux si leur pouvoir se limite à un éphémère succès d’estime. Mais que dire de ces rois-philosophes, de ces philosophes-empereurs (qui dans son Kremlin, qui dans sa Cité interdite), assénant des vérités définitives grosses de millions de morts ? Prêtons encore l’oreille au discours de Serres faisant l’éloge de Faure, éloge que nous pouvons une fois de plus appliquer sans peine à l’orateur lui-même : « Quand les théoriciens se contentaient de la spéculation et fermaient les yeux devant le sang que leur abstraction répandait, (il) gouvernait à l’estime. Certes, l’histoire, nécrophage, consacre grands les hommes d’État et les philosophes qui tuent innombrablement : dramatique expérience du siècle. Les solutions qu’il préconisa, au contraire, toujours réduisirent les tensions et ouvrirent à la paix. Reconnaissons donc les philosophies saines et les bons politiques à ce qu’ils minimisent le chiffre des victimes. »
Oui, décidément, c’était mieux avant ! Quand Michel Serres était encore parmi nous, en bonne intelligence avec ses semblables, des plus illustres aux plus modestes. Une intelligence de la bonté, en somme. Soutenue par une bonté intelligente.
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