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#plaisir des yeux
clipper777 · 8 months
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Vive la plage sur la Côte d'Azur.
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imortellekim · 5 days
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cricridu59 · 8 months
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Je fête mes 4 ans sur Tumblr 🥳
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wsh le sang c pas pour faire la meuf mais je fais 100x mieux hyn mais merci pour les compliments ca ft plaisir je suis tjrs dure avec moi meme c la vieeeee #aigrie #inesdarksasuke
LMAOOOOOOO
c’est dur la vie d’artiste 😔 là où son public voit ses plus belles oeuvres on ne voit que des défauts 😔 mais tqt sasuke je te ramènerai du bon côté de la force
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forget-17 · 3 months
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Le plaisir des yeux c'est de savourer le charme de la très belle risa yukihira modèle japonaise 💐❤️
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coovieilledentelle · 22 days
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Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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borgien · 28 days
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Nous déambulions dans la rue de cette ville où nous nous étions donnés rendez-vous et le printemps qui pointait son nez n’était pour rien dans le désir qui couvait entre nous. A un moment, elle me prit la main pour m’entraîner dans l’impasse étroite qu’elle venait de repérer et avec une douce fermeté, elle m’a plaqué contre le mur, s’est collé à moi et m’a chuchoté, son regard planté dans le mien : « tu ne bouges pas et tu ne me touches pas... au moindre geste de toi, nous repartons... ». Elle pencha son visage vers le mien pour un baiser, alors que nos yeux se fermaient, nos lèvres encore serrées et sa main agrippait mon cou. Ses lèvres pressèrent doucement les miennes, nos lèvres s'ouvraient juste assez pour qu'elles se glissent l'une dans l'autre, le baiser devenait plus fort et sa langue poussa mes lèvres et j'ai commencé à lui rendre son baiser, j'ai senti son autre main se presser contre mon sexe au travers du pantalon. Elle massait me couilles, puis s’emparait de mon sexe, le faisant durcir tout en m’embrassant à pleine bouche. L’envie de la toucher, de la caresser à mon tour, de relever sa robe pour toucher ses fesses m’envahissait, me torturait mais j’avais décidé de lui obéir et je ne tentais pas le moindre geste, plaqué contre le mur, je lui offrais mon corps... Quelques minutes voluptueuses passèrent, je dégustais sa bouche, sa langue et sa caresse langoureuse... je savais qu’ainsi je ne pourrais tenir plus très longtemps, que j’allais jouir, mon regard affolé le lui disait, j’imaginais ce qui pourrait arriver si elle continuait, la souillure de mon plaisir qui tacherait mon pantalon dans la rue où nous repartitions vers la chambre d’hôtel qui nous attendait... mais je compris aussi que c’est ce qu’elle voulait... 
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crococookie · 2 months
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Tips pour RP avec des personnages ayant des troubles dys.
Je parle surtout avec mon vécu et les difficultés que je retrouve au quotidien.
(Mon texte ne sera pas corrigé via un correcteur en ligne. Risque de faute.)
• Éviter un maximum d'utiliser des polices avec des empâtement.
C'est aussi agréable pour nous que lire un pavé barré. (Lexend de Google font... Just perfect).
• Prenez le temps de séparer les lignes de dialogue du reste du texte.
Changer de couleur ne suffit vraiment pas. Sautez au moins une lignes avant et après. Surtout si l'espacement des lignes est petite.
• l'écriture inclusive c'est ok, mais pas pour tout. Le mélange de mots (celleux, createurices etc...) c'est juste une difficulté en plus pour nous.
Comme certains point médian ! Au mieux, demandez a la personne avec qui vous jouez si iel préfère le •, le . ou encore le bon vieux - (mon pref ! Celui qui le convient me mieux). Et le TOP DU TOP ! Utilisez des mots neutres, tout simplement. Genre "Les hommes et les femmes" dire "les personnes" aux lieux de celleux. (C'est mieux si l'écriture inclusive était vraiment inclusive pour un max de gens).
• Essayez d'être assez bref.
Genre ça sert vraiment a rien de broder le texte en rajoutant des mots inutiles pour dire que Eugène mange une tranche de pain de mie. Joliment le décrire, oui. En faire une tonne, non. Pas besoin de remonter jusqu'à la pouce du blé.
• Si on répond a côté de la plaque, nous le dire avec bienveillance.
Il arrive (souvent) qu'on lisent mal une phrase, ce qui peut changer le sens de la réponse qu'on nous a envoyé. Ce n'est pas un manque d'attention mais juste que parfois, certains mots se changent en d'autre mots, ce qui est problématique pour la conpréhension su texte.
• Écrire et surtout lire nous prend plus de temps et plus d'énergie.
Nous pressez ne sert a rien a part nous mettre mal. Quand le texte devant vos yeux, même avec la plus grande concentration au monde, est illisible (fatigue, stresse...). Bah on ne peut rien y faire.
• Nous rattraper sur nos fautes sans notre accord peut être... Extrêmement vexant et baisser notres estimes de nous.
On sait qu'on fait des fautes, et même avec une super explication on l'a refera au premier coup de fatigue. Écrire est surtout un plaisir, on n'as pas forcément envie d'avoir un court de français, même si de base le geste était bienveillant.
• Surtout... SURTOUT laissez nous une chance.
Personnellement j'ai souvent ressenti de la honte a cause de ça. Je fais des fautes, je passe mes RP au correcteur orthographique, mais certaines fautes restes.
Bien-sûr, chaque dys est unique. Certaines choses dites ici ne sont pas valable pour tout le monde. C'est surtout mon vécu et ce que j'ai pu entendre en parlant avec d'autre dys rpgiste (trop rare malheureusement, souvent pas honte).
C'est pour ça que le mieux à faire, c'est d'en parler en amont. A vous, personnes dys, de prévenir en cas de problème. Et a vous, les autres, d'être cool pour que tout le monde puisse partager un passe temps/passion dans la joie et la bonne humeur.
Les dys (et autres), n'ayez pas honte. Ce n'est pas parce que votre écriture n'est pas parfaite que vous écrivez mal. Nous ne sommes pas bête, pas fainéants, et non, nos troubles dys ne sont pas une "simple excuse pour mal écrire" mais bien un handicap.
N'hésitez pas a rebloguer si vous voulez rajouter quelque chose (surtout des petits conseils) ou a tout simplement le dire en commentaire.
Et soyez bienveillant, il y a déjà trop de colère en ce moment.
La bise ! ♥
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mama-29 · 2 months
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After several months of absence following an accident I was going to go back to high school. I phoned my best friend. We had worked together on a presentation before my accident. Since then we hadn’t seen each other. She picked up the phone. My throat was tight. We had finished our evening work in a very ... pleasant way with great pleasure.
She answered me by saying, is it you? Yes I’ll be back tomorrow.
She said, It’s really wonderful
I could show you the result of our work!
I have so much breast pain right now, but I don’t blame you. It’s so wonderful if you knew!
We hung up. I didn’t quite understand the relationship with her breasts and our presentation—
The next day I arrived at the entrance of the school. She was waiting for me. I stopped sharp, eyes wide open! She was .... Pregnant! So pregnant! And her breasts so huge and tight! I got her pregnant the first night! But she was so happy and grateful. Her belly was so round and big.
She approached me and whispered in my ear: I missed you so much, darling. Let’s go home and make up for lost time in my room...
She lowered her head looking at my pants. She smiled and told me I think you are willing to come inside me...
—————————-——————————————
Après plusieurs mois d'absence suite un accident j'allais retourner au lycée. J'ai téléphoner à ma meilleure amie. Nous avions travaillé ensemble sur un exposé avant mon accident. Depuis nous ne nous étions pas vue. Elle a décroché le téléphone. Ma gorge était serrée. Nous avions terminé notre soirée de travail d'une façon très ... agréable avec beaucoup de plaisir.
Elle m'a répondu en me disant, c'est toi ? Oui je reviens demain.
Elle m'a dit, C'est vraiment merveilleux
Je pourrais te montrer le résultat de notre travail !
J'ai tellement mal aux seins en ce moment, mais je ne t'en veux pas. C'est tellement merveilleux si tu savais !
Nous avons raccroché. Je ne comprenais pas trop le rapport avec ses seins et notre exposé...
Le lendemain je suis arrivé à l'entrée du lycée. Elle m'attendait. Je me suis arrêté net, les yeux grand ouvert ! Elle était .... Enceinte ! Tellement enceinte ! Et ses seins tellement énorme et serré ! Je l'avais mise enceinte le premier soir ! Mais elle était tellement heureuse et reconnaissante. Son ventre était si rond et gros.
Elle ses approché de moi et m'a murmuré à l'oreille : tu m'as tellement manqué mon chéri. Rentrons chez moi rattraper le temps perdu dans ma chambre...
Elle baissa la tête en regardant mon pantalon. Elle sourit et me dit je crois que tu est disposé à venir en moi...
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jacquesdor-poesie · 2 months
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Quelle joie profonde, en longeant les vitrines du monde, de m'apercevoir que rien ne me fait plus envie. Plus aucune tentation, plus aucun besoin de désirer des choses : je n'ai besoin de rien de matériel, j'ai déjà l'essentiel. Qu'est-ce qui me ferait plaisir, qu'aurais-je envie d'avoir, d'acquérir, de rapporter chez moi ? Rien, sincèrement, profondément, absolument rien, désolé je ne suis plus client. Besoin d'autres choses, besoin de paysages, besoin de voir la mer ou un beau visage, oui, ça oui. Besoin de profiter du silence ou d'une belle voix, oui, ça oui. Besoin du mouvement de la rivière et de l'odeur des sous-bois, oui, ça oui. Besoin de voir l'ocre d'une belle façade sous le soleil, la profondeur d'une ruelle déserte baignée de nuit, oui ça, oui. Besoin de laisser naître en moi une belle idée et peut-être d'en faire trois lignes qui se perdront elles aussi : oui, ça oui, cent fois oui. Pire encore ou mieux encore —c'est au choix : depuis peu je n'attends plus rien, ni personne. Et pourtant... si "plus rien, ni personne"  frappaient à ma porte, j'irais ouvrir et je serais heureux de ce qui suivrait. Je les accueillerais avec plaisir "rien, ni personne", même si à nouveau ils venaient à disparaître. J'en suis arrivé là, je suis capable de ça. Capable de laisser arriver ce qui arrive. Et si cet état devait disparaître avec les acteurs responsables de cet état, ce ne serait pas un drame. Je ne regarde plus dans les vitrines, j'oublie, c'est comme si je gardais les yeux fermés en marchant. Je ne fabrique plus aucune attente, ni aucun de ses produits dérivés : le manque, les frustrations, les désirs incomblés et tout cet inassouvi ravageur qui en découle. Je prends ce qui veut bien venir à moi et me reconnaître. Et sans jamais l'attendre je sais qu'elle existe la minuscule tribu de ceux qui finissent un jour par arriver, s'ils arrivent. L'âge offre ça, ce cadeau, quel cadeau, quelle paix, quel pied (de randonneur) ;  ça doit s'appeler finalement le détachement, ça doit s'appeler finalement la Liberté.
jacques dor
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Pour le plaisir des yeux...
La création orne l'âme de beauté intemporelle...
#au-jardin-de-mon-coeur
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clipper777 · 9 months
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coolvieilledentelle · 2 months
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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pleasecallmealsip · 2 months
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Marat's Address to the Parisians
Le Junius Français, no .1, June 2 , 1790.
O Parisiens ! hommes légers, faibles & pusillanimes, dont le goût pour les nouveautés va jusqu’à la fureur, & dont la passion pour les grandes choses n’est qu’un accès passager ; qui raffolez de la liberté comme des modes du jour ; qui n’avez ni lumières, ni plan, ni principes ; qui préférez l’adroit flagorneur au conseiller sévère ; qui méconnaissez vos défenseurs ; qui vous abandonnez à la foi du premier venu ; qui vous livrez à vos ennemis sur leur parole ; qui pardonnez aux perfides et aux traîtres, au premier signe contrition ; qui dans vos projets ou vos vengeances, suivez sans cesse l’impulsion du moment ; qui êtes toujours prêts à donner un coup de collier ; qui allez au bien par vanité, et que la nature eût donné de la judiciaire et de la constance : faudra-t-il donc toujours vous traiter comme de vieux enfants ? Les leçons de la sagesse, et les vues de la prudence ne sont plus faites pour vous. Des légions de folliculaires faméliques vous ont blasés à force de sottises et d’atrocités ; les bonnes choses glissent sur vous sans effet : déjà vous ne prenez plaisir qu’aux conseils outrés, aux traits déchirants, aux invectives grossières : déjà les termes les plus forts vous paraissent sans énergie : et bientôt vous n’ouvrirez l’oreille qu’aux cris d’alarme, de meurtre, de trahison. Tant de fois agités pour des riens, comment fixer votre attention ; comment vous tenir en garde contre toute surprise ; comment vous tenir continuellement éveillés ? Un seul moyen me reste, c’est de suivre vos goûts, et de varier mon ton. O Parisiens ! Quelque bizarre que ce rôle paraisse aux yeux du sage, votre ancien ami ne dédaignera pas de le prendre, il n’est occupé que du soin de votre salut ; pour vous empêcher de retomber dans l’abîme, il n’est point d’efforts qu’il ne fasse, et toujours le Junius Français sera votre incorruptible défenseur, votre défenseur intrépide.
my translation:
O Parisians! Lightweight, feeble, and pusillanimous men, your appetite for novelties reaches furious excess, and your passion for grand things is but a brief flicker; you craze after freedom as if crazing after fashions of the day; you have neither insight, nor plan, nor principles; you prefer the skilful sycophant to the stern advisor; you disregard your defenders; you let yourselves be swayed by whosoever comes along first; you hand yourselves over to your enemies over their word; you forgive the perfidious and the treacherous at the first sign of contrition; through your projects or your vengeance you are unceasingly following your impulse of the moment; you are always ready to give another push; you seek to do good out of vanity, and nature ought to have given you judiciousness and constancy: will you forever need to be treated like overgrown children?
The lessons of wisdom, and the views of prudence are no longer made for you. Legions of famished fillers of periodical papers have wearied you with silliness and with atrocities; the good things are sliding over you unnoticed: already you only feel pleased with the overblown advices, the agonising remarks, the gross invectives: already you find the strongest words to lack energy: and soon you will only open your ears to cries of alarm, of murder, of treason. So often agitated by nothing, how could your attention be fixed; how can you be put on guard against all surprises; how can you be kept continually awake? I have been left with only one way, and that is to conform to your appetites and to vary my tone. O Parisians! However bizarre this role might seem to the eyes of the wise, your old friend will not begrudge to perform it, he is occupied but with your very survival; to prevent you from relapsing into the abyss, no single effort will he not make, and always the Junius Français will be your incorruptible defender, your defender undaunted.
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orageusealizarine · 1 month
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Je voudrais, parfois, que personne d'autre que toi ne lise ce que je t'écris. Paroles perdues, paroles proférées à la nuit : tu es mon grand arbre, tu es mon grand vent, tu es le feu qui brûle et disperse mes paroles tues. Mais tous ces mots ne font-ils pas plus que te dire ? Et n'est-ce pas mon devoir de désigner au monde ta beauté ? (Comme je désigne le ciel et les végétations, amie prise par la main sur le parvis familier pour lui montrer cerisier et tulipes invisibles).
Survivrais-je un monde où ta beauté n'a pas été dite ? Plus que ta beauté - ta ferveur, ta soumission consentie à mes mots et mes mains, ta nudité claire et neutre à louer comme un présage salutaire. Oui, comment vivre dans un monde où s'ignore la générosité de tes paumes ouvertes et offertes ?
Je renonce à l'ignorance coutumière, à l'aveuglement : il faut, par mes paroles, dessiller l’œil solaire - répandre sur toi nos rayons d'or ; t'avoir en pleine lumière - en plein cri de joie : percer yeux et tympans et louer jusqu'aux parties les plus blanches de ton être (les plus fades, les plus inutiles - celles que mes baisers chérissent deux fois plus pour les rendre combles).
Doré par mes mots, par mes prières - par mes avidités et mes songes liquides ; oint de mon désir nouveau-né, tu resplendis. Fleurs de sueur humectées par leur germination, tu fais, pour qui sait sentir, le printemps plus réel. On marche, et la nature brille de tes mémoires : la terre exhalée et humide, crevée tout à coup de mille germes, rappelle ta chair ravinée de caresses. Fléau moite que ce printemps qui gorge les ruisseaux (mois détesté des bergers idéaux, des bucoliques oisivetés), qui te dégorge à son passage - divinité océane que tu contrefais ou concrétises.
Salive solaire ablution, nos doigts, nos ventres, nos cuisses - regards délavés éternels - gaieté, la terre grasse la chair ébranlées à plaisir - tes paupières, rivières sur-emplies, coulures épaisses bordées d'astres : fonte printanière que rien n'entrave. Mais comment dire ton corps ? confondu aux floraisons dans mon langage chimique.
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forget-17 · 3 months
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Le plaisir des yeux c'est de savourer le charme de la très belle risa yukihira modèle japonaise 💐💞
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