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#secrétaire général
farafinetmedia · 2 months
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Ibrahima Blasco Barry nommé Secrétaire général de la Fédération Guinéenne de Football
La Fédération Guinéenne de Football (FGF) a annoncé aujourd’hui la nomination d’Ibrahima Blasco Barry en tant que Secrétaire général. Cette décision, prise par Aboubacar Dinah Sampil, président de la FGF, a été rendue publique via la plateforme officielle de la fédération. Ibrahima Blasco Barry succède ainsi à Lancinet Kabassan Kaba à ce poste clé de l’organisation du football en Guinée. Avant sa…
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malibuzz · 4 months
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BUREAU EXECUTIF NATIONAL SYNDICAT NATIONAL DE LA PRODUCTION : Issa Touré de l’Office du Niger élu Secrétaire général à l’Unanimité
Le Syndicat national de la production (SYNAPRO) a tenu son 14e congrès ordinaire le jeudi 28 décembre 2023 dans l’amphithéâtre de la Maison des Aînés de Bamako sous le thème «Souveraineté alimentaire, gage d’un développement durable et de stabilité sociale». Tous les départements en charge concernés ont répondu présents au 14e congrès ordinaire du Syndicat national de la production (SYNAPRO) tenu…
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lisolo1973 · 2 years
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Le Secretaire général de l'UDPS Augustin Kabuya a lancé les travaux de l'atelier de réflexion sur l'avenir de l'UDPS
Le Secretaire général de l’UDPS Augustin Kabuya a lancé les travaux de l’atelier de réflexion sur l’avenir de l’UDPS
Lancé par le Secrétaire général Augustin Kabuya les travaux de l’atelier de réflexion sur l’avenir de l’UDPS, mettent ensemble les délégués de l’exécutif national, la ligue des femmes, la ligue des jeunes, la CEP, la Commission de discipline,CDP ainsi que certaines fédérations du parti. le Parti Présidentiel a eu trois jours de réflexion sur les préparatifs des échéances électorales mais aussi…
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iweb-rdc001 · 3 months
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Jean-Pierre Lacroix appelle le M23 à une cessation immédiate des hostilités dans l’Est de la RDC
Le Secrétaire général adjoint aux opérations de paix, Jean-Pierre Lacroix, a appelé le M23 à cesser immédiatement son offensive dans l’Est de la RDC et à respecter la Feuille de route de Luanda.   « M. Lacroix s’est rendu dans la partie est du pays, notamment à Goma, Beni et Bukavu, du 2 au 5 février. Au cours de sa visite de terrain, il a rencontré les autorités provinciales, des représentants…
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kingonews · 1 year
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LE DISCOURS RASSEMBLEUR DU SGN/BR M. ABDOULAYE BIO TCHANÉ À L'OCCASION DE L'INVESTITURE SOLENNELLE DES CANDIDATS DU PARTI.
LE DISCOURS RASSEMBLEUR DU SGN/BR M. ABDOULAYE BIO TCHANÉ À L’OCCASION DE L’INVESTITURE SOLENNELLE DES CANDIDATS DU PARTI.
ALLOCUTION DE MONSIEUR ABDOULAYE BIO TCHANE SECRETAIRE GENERAL NATIONAL LE 19 NOVEMBRE 2022 ▪ Monsieur le Secrétaire Général Adjoint, Général Robert GBIAN; ▪ Mesdames et Messieurs, membres du Bureau politique; ▪ Mesdames et Messieurs les candidats du Bloc Républicain (BR) pour les législatives du 08 janvier 2023; ▪ Camarades militantes et militants; ▪ Distingués Invités; ▪ Mesdames et…
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letssiweulnetus · 2 years
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Mamadou Ndoye, ex-secrétaire général de la LD : « tous les actes posés par Macky vont dans le sens d’un 3e mandat »
Homme de gauche, acteur des plus grandes luttes démocratiques et progressistes et observateur averti de la scène politique, Mamadou Ndoye s’est penché, dans une interview avec le quotidien L’INFO, sur la situation politique et socio-économique du pays. L’ancien Secrétaire général de la Ligue démocratique a déclaré que tous « les actes posés par Macky Sall vont dans le sens d’un troisième…
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Maria Zakharova à Emmanuel Macron. Concernant les déclarations d'Emmanuel Macron sur la possibilité d'envoyer des troupes de l'OTAN en Ukraine. Je voudrais vous rappeler qu'il y a à peine un mois, le chef du ministère français des Affaires étrangères avait nié l'implication de Paris dans le recrutement de mercenaires pour le régime de Kiev et avait qualifié les preuves directes de « propagande russe grossière ». Il existe un fort sentiment que le président français, en principe, n'est conscient ni de ce que disent ses subordonnés ni de ce qu'il dit lui-même
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🌍 Le secrétaire général de l’OTAN, Stoltenberg, s’est désolidarisé des propos du président français, en annonçant qu’il mentait.
🇩🇪 Olaf Scholz, le chancelier allemand, tourne également le dos à la France. Il affirme que le président Macron a tout inventé et qu'il n'y aura pas d'offensive militaire contre la Russie.
🇪🇺 La Grèce, la Pologne, l’Autriche et la Suède ont également démenti la « fake news », du président français.
🔎 Les propos ont été repris par les journaux du monde entier ce matin. De son côté, le porte-parole du Kremlin annonce que la Russie est prête à la guerre et que celle-ci semble inévitable, au vu des déclarations de la France.
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francebonapartiste · 6 days
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Nous sommes heureux de vous dévoiler l'affiche des #Historiales, premier salon du livre d'histoire et d'histoire militaire qui se tiendra le samedi 25 mai prochain au Château Effiat et organisé par les Amis du Château d'Effiat et du Musée De l'Ecole Royale Militaire.
Nous vous y attendons nombreux, dans ce lieu d'exception qui fut jadis école royale militaire où l'un de ses élèves les plus illustres fut un certain général Louis Charles Antoine #Desaix, ayant combattu sous les ordres de #Bonaparte, héro et mort au combat de la bataille de #Marengo.
Christopher DESTAILLEURS-HENRY, Président de notre association historique et Maryse SABATIER, secrétaire générale, seront présents à cet événement qui en appellera d'autres.
Toutes les informations sont mentionnés au sein de cette très belle affiche :
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aurevoirmonty · 2 months
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L’entrée au Panthéon des époux Manouchian est une nouvelle humiliation publique pour la France et pour son Histoire.
La panthéonisation officielle du « groupe Manouchian », une bande de terroristes et d'assassins communistes violant toutes les lois de la guerre et de l’honneur, est un nouveau crachat sur l’idée-même du rôle du Panthéon et sur la mémoire et l’identité nationales.
Le gouvernement et les descendants des membres du « groupe Manouchian » sont d’ailleurs fidèles à cette ligne antinationale lorsqu’ils dénoncent la présence des pourtant très tièdes Jordan Bardella et Marine Le Pen à cette cérémonie.
Le Parti de la France ne participera pas à l’hommage rendu à une bande de terroristes et d’assassins communistes et appelle de ses vœux la valorisation de véritables héros français.
Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France
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icariebzh · 3 months
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Voilà une semaine que le monde agricole exprime sa colère au grand jour et en acte : celui d'un métier devenu quasiment impraticable, croulant sous la brutalité des dérèglements écologiques qui s'annoncent et sous des contraintes économiques, normatives, administratives et technologiques asphyxiantes. 
Alors que les blocages se poursuivent un peu partout, nous soumettons quelques mises au point sur la situation depuis le mouvement des Soulèvements de la terre.
Nous sommes un mouvement, d'habitant·es des villes et des campagnes, d'écologistes et de paysan·nes, installé·es ou en installation. Nous refusons la polarisation que certains essaient de susciter entre ces mondes. Nous avons fait de la défense de la terre et de l'eau notre point d'entrée et d'ancrage. Ce sont les outils de travail des paysans et des milieux nourriciers. Nous nous mobilisons depuis des années contre les grands projets d'artificialisation qui les ravagent, les complexes industriels qui les empoisonnent et les accaparent. Soyons clair·es, le mouvement actuel dans son hétérogénéité même, a été cette fois initié et largement porté par d'autres forces que les notres. Avec des objectifs affichés parfois différents, et d'autres dans lesquels nous nous retrouvons absolument. Quoi qu'il en soit, lorsque que les premiers blocages ont commencé, nous avons, depuis différents comités locaux, rejoint certains barrages et certaines actions. Nous sommes allé·es à la rencontre de paysan.nes et d'agriculteurs.rices mobilisé·es. Nous avons échangé avec nos camarades de différentes organisations paysannes pour comprendre leurs analyses de la situation. Nous nous sommes retrouvé·es nous-mêmes dans la digne colère de celles et ceux qui refusent de se résigner à leur extinction.
    Nous ne pouvons que nous réjouir que la majorité des agriculteurs.rices bloquent le pays aujourd'hui. Qu'ils et elles soient représenté·es par la FNSEA et des patrons de l'agrobusiness dans les instances de négociation avec le gouvernement est consternant, à l'heure où les cadres du syndicat majoritaire sont copieusement sifflé·es sur certains blocages et où ce dernier ne peut plus retenir ses bases. De nombreuses personnes sur les barrages ne sont pas syndiquées et ne se sentent pas représentées par la FNSEA. 
"Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs" - Michel Debatisse, secrétaire général de la FNSEA, 1968
    Fondé après guerre, ce syndicat hégémonique a accompagné le développement du système agro-industriel depuis des décennies, en co-gestion avec l'État. C'est ce système qui met la corde au cou des paysan·nes, qui les exploitent pour nourrir ses profits et qui finalement les poussent à s'endetter pour s'agrandir afin de rester compétitif·ves ou disparaître. En 1968, Michel Debatisse, alors secrétaire général de la FNSEA avant d'en devenir le président, déclarait [1] : "Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs". Mission plus que réussie : le nombre de paysan.nes et de salarié.es agricoles est passé de 6,3 millions en 1946, à 750 000 au dernier recensement de 2020. Tandis que le nombre de tracteurs dans nos campagnes augmentait d'environ 1000%, le nombre de fermes chutait lui de 70% et celui des actifs agricoles de 82% : autrement dit, ce sont plus de 4 actifs sur 5 qui ont quitté le travail agricole en seulement quatre décennies, entre 1954 et 1997. Et la lente hémorragie se poursuit aujourd'hui...
    Alors que la taille moyenne d'une exploitation en France en 2020 est de 69 hectares, celle d'Arnaud Rousseau, actuel dirigeant de la FNSEA, ancien courtier et négociant tout droit sorti d'une business school, s'élève à 700 hectares et il est à la tête d'une quinzaine d’entreprises, de holdings et de fermes, président du conseil d'administration du groupe industriel et financier Avril (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.), directeur général de Biogaz du Multien, une entreprise de méthanisation, administrateur de Saipol, leader français de la transformation de graines en huile, président du conseil d'administration de Sofiprotéol... 
    Les cadres de la FNSEA tout comme les dirigeants des plus grosses coopératives agricoles - abondamment représentés par la "Fédé" et ses satellites - se gavent [1] : le revenu moyen mensuel des dix personnes les mieux payées en 2020 au sein de la coopérative Eureden est de 11 500 €. 
       Les revenus moyens des agriculteurs brandis sur les plateaux et le mythe de l'unité organique du monde agricole masquent une disparité de revenus effarante et de violentes inégalités socio-économiques qui ne passent plus : les marges des petits producteurs ne cessent de s'éroder tandis que les bénéfices du complexe agro-industriel explosent. 
    Dans le monde, le pourcentage du prix de vente qui revient aux agriculteurs est passé de 40 % en 1910 à 7 % en 1997, selon l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO). De 2001 à 2022, les distributeurs et les entreprises agroalimentaires de la filière lait ont vu leur marge brute s'envoler de respectivement 188% et 64%, alors même que celle des producteurs stagne quand elle n'est pas simplement négative. 
    Une des raisons qui poussent le monde agricole à bloquer les autoroutes, à ouvrir des bouteilles de lait à Carrefour (Epinal-Jeuxey) ou à bloquer les usines Lactalis (Domfront, Saint-Florent-le-Vieil, etc.), à labourer un parking (Clermont-l'Hérault), à bloquer le port de la Rochelle, à vider des camions venus de l'étranger, à asperger de lisier une préfecture (Agen), à retourner un Macdo (Agens), à osrtir c'est que les industriels  intermédiaires de l'amont (fournisseurs, vendeurs d'agroéquipements, semenciers industriels, vendeurs d'intrants et d'aliments) et de l'aval des filières (les coopératives de collecte-distribution comme Lactalis, les industriels de la grande distribution et de l'agroalimentaire comme Leclerc) qui structurent le complexe agroindustriel les dépossèdent des produits de leur travail.
    C'est ce pillage de la valeur ajoutée organisé par les filières qui explique, aujourd'hui, que sans les subventions qui jouent un rôle pervers de béquilles du système (en plus de profiter essentiellement aux plus gros) 50% des exploitant·es auraient un résultat courant avant impôts négatif : en bovins lait, la marge hors subvention qui était de 396€/ha en moyenne entre 1993 et 1997 est devenue négative à la fin des années 2010 (-16€/ha en moyenne), tandis que le nombre de paysans pris en compte par le Réseau d'information comptable agricole dans cette filière passe sur cette période de 134 000 à 74 000 [2]...  
    Les accords de libre échange internationaux (que dénoncent et la Confédération paysanne, et la Coordination rurale) mettent en concurrence les paysanneries du monde entier et ont accéléré ces déprédations économiques. Nous savons bien que, aujourd'hui, lorsque l'on parle de "libéralisation", de "gains de compétivité", de "modernisation" des structures, c'est que des fermes vont disparaître, que la polyculture élevage va régresser (elle ne représente plus que 11% des exploitations actuellement), ne laissant plus qu'un désert vert de monocultures industrielles menées par des exploitant-es à la tête de structures toujours plus endettées de moins en moins maîtres d'un outil de travail et d'un compte en banque qui finit par n'appartenir plus qu'à ses créanciers.
    Le constat est sans appel : moins il y a de paysan·nes, moins ils et elles peuvent gagner leur vie, sauf à agrandir toujours et encore leur surface d'exploitation, en dévorant au passage les voisin·es. Dans ces conditions, 'devenir chef d'entreprise' comme le promet la FNSEA, c'est en réalité se trouver dans la même situation qu'un chauffeur Uber qui s'est endetté jusqu'au cou pour acheter son véhicule alors qu'il dépend d'un donneur d'ordres unique pour réaliser son activité... Ajoutons à cela la brutalité du changement climatique (évènements climatiques extrêmes, sécheresses, incendies, inondations...) et les dérèglements écologiques entraînant dans leur sillage la multiplication de maladies émergentes et autres épizooties, et le métier devient presque impossible, invivable, tant l'instabilité est grande.
    Si nous nous soulevons, c'est en grande partie contre les ravages de ce complexe agro-industriel, avec le vif souvenir des fermes de nos familles que nous avons vu disparaître et la conscience aiguë des abîmes de difficultés que nous rencontrons dans nos propres parcours d'installation. Ce sont ces industries et les méga-sociétés cumulardes qui les accompagnent, avalant les terres et les fermes autour d'elles, accélérant le devenir firme de la production agricole, et qui ainsi tuent à bas bruit le monde paysan. Ce sont ces industries que nous ciblons dans nos actions depuis le début de notre mouvement - et non la classe paysanne. 
    Si nous clamons que la liquidation sociale et économique de la paysannerie et la destruction des milieux de vie sont étroitement corrélées - les fermes disparaissant au même rythme que les oiseaux des champs et le complexe agro-industriel resserrant son emprise tandis que le réchauffement climatique s'accélère - nous ne sommes pas dupes des effet délétères d'une certaine écologie industrielle, gestionnaire et technocratique. La gestion par les normes environnementales-sanitaires de l'agriculture est à ce titre absolument ambigüe. À défaut de réellement protéger la santé des populations et des milieux de vie, elle a, derrière de belles intentions, surtout constitué un nouveau vecteur d'industrialisation des exploitations. Les investissements colossaux exigés par les mises aux normes depuis des années ont accéléré, partout, la concentration des structures, leur bureaucratisation sous contrôles permanents et la perte du sens du métier.
    Nous refusons de séparer la question écologique de la question sociale, ou d'en faire une affaire de consom'acteurs citoyens responsables, de changement de pratiques individuelles ou de "transitions personnelles" : il est impossible de réclamer d'un éleveur piégé dans une filière hyperintégré qu'il bifurque et sorte d'un mode de production industriel, comme il est honteux d'exiger que des millions de personnes qui dépendent structurellement de l'aide alimentaire se mettent à "consommer bio et local". Pas plus que nous ne voulons réduire la nécessaire écologisation du travail de la terre à une question de "réglementations" ou de "jeu de normes" : le salut ne viendra pas en renforçant l'emprise des bureaucraties sur les pratiques paysannes. Aucun changement structurel n'adviendra tant que nous ne déserrerons pas l'étau des contraintes économiques et technocratiques qui pèsent sur nos vies : et nous ne pourrons nous en libérer que par la lutte. 
    Si nous n'avons pas de leçons à donner aux agriculteur·rices ni de fausses promesses à leur adresser, l'expérience de nos combats aux côtés des paysan·nes - que ce soit contre des grands projets inutiles et imposés, contre les méga-bassines, ou pour se réapproprier les fruits de l'accaparement des terres - nous a offert quelques certitudes, qui guident nos paris stratégiques. 
    L'écologie sera paysanne et populaire ou ne sera pas. La paysannerie disparaîtra en même temps que la sécurité alimentaire des populations et nos dernières marges d'autonomie face aux complexes industriels si ne se lève pas un vaste mouvement social de reprise des terres face à leur accaparement et leur destruction. Si nous ne faisons pas sauter les verrous (traités de libre-échange, dérégulation des prix, emprise monopolistique de l'agro-alimentaire et des hypermarchés sur la consommation des ménages) qui scellent l'emprise du marché sur nos vies et l'agriculture. Si n'est pas bloquée la fuite en avant techno-solutionniste (le tryptique biotechnologies génétiques - robotisation - numérisation). Si ne sont pas neutralisés les méga-projets clés de la restructuration du modèle agro-industriel. Si nous ne trouvons pas les leviers adéquats de socialisation de l'alimentation qui permettent de sécuriser les revenus des producteurs et de garantir le droit universel à l'alimentation.
    Nous croyons aussi à la fécondité et à la puissance des alliances impromptues. A l'heure où la FNSEA cherche à reprendre la main sur le mouvement - notamment en chassant de certains des points de blocage qu'elle contrôle tout ce qui ne ressemble pas à un agriculteur "syndiqué fédé" - nous croyons que le basculement peut venir de la rencontre entre les agriculteur·ices mobilisé·es et les autres franges du mouvement social et écologique qui se sont élevées ces dernières années contre les politiques économiques prédatrices du gouvernement. Le "corporatisme" a toujours fait le lit de l'impuissance paysanne. Comme la séparation d'avec les moyens de subsistance agricoles a souvent scellé la défaite des travailleur-ses.
Peut-être est-il temps de faire céder quelques murs. En continuant à renforcer certains points de blocage. En allant à la rencontre du mouvement pour celles et ceux qui n'y ont pas encore mis les pieds. En poursuivant ces prochains mois les combats communs entre habitant·es des territoires et travailleur·euses de la terre.
Les Soulèvements de la Terre  - le 30 janvier 2024  source
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albad · 9 months
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NOUVEAUX MINISTRES : TOUR D'HORIZON CAUCHEMARDESQUE
En plein été, Macron joue aux chaises musicales avec son gouvernement. Lundi soir, il invitait tous ses ministres à dîner en leur annonçant que certains seraient virés dans la semaine sans leur dire qui. Juste pour rigoler, pour les humilier, à la façon d'un manager pervers. Ce jeudi, les annonces sont tombées.
⚫Commençons par les têtes coupées. Pap Ndiaye, utilisé, puis humilié et viré, juste après avoir retrouvé un petit morceau de courage en critiquant timidement la chaine d'extrême droite Cnews. Il y a encore quelques années, Pap Ndiaye était un chercheur reconnu, spécialiste du racisme, qui dénonçait régulièrement les violences policières. Aujourd’hui, il est carbonisé : c'est un clown pitoyable qui a été le Ministre éphémère d’un gouvernement d’extrême droite. Il a continué à massacrer l'enseignement public, il a couvert les pires reculs et défendu une police criminelle. Il n'a pas fait preuve d'une once de dignité : il a montré à tout le pays qu'il n'avait aucun honneur, et a piétiné sa propre carrière de chercheur. Bon débarras.
⚫Autre victime du remaniement, Marlène Schiappa. Malgré toute sa bonne volonté et sa soumission sans faille au monarque, elle subit les conséquences de l'affaire du Fonds Marianne. Elle avait profité de l'assassinat atroce de Samuel Paty en 2020 pour détourner des millions d'euros et les donner à ses copains réacs. Tout le monde était au courant et trouvait ça marrant au sein du gouvernement. Mais maintenant que l'affaire a éclaté, c'est elle qui paie l'addition.
⚫Le nouveau ministre de l'éducation : Gabriel Attal. Le Ministre chargé de l'école publique n'a jamais mis un pied à l'école publique ! Comme son prédécesseurs Blanquer d'ailleurs. Attal, c'est le macronisme incarné. Fils d'un producteur de cinéma, élève dans une l'école privée parisienne, l'école Alsacienne – où Pap Ndiaye a aussi placé ses enfants –, il fait un tour à Science Po avant d'entrer en politique. Millionnaire depuis l'âge de 25 ans, il n'a jamais travaillé de sa vie. C'est l'incarnation de de la richesse et de la domination sans aucun mérite. Au printemps 2023, il dit à propos des manifestants contre la réforme des retraites : «ce ne sont pas les Français qui travaillent».
Quel est son projet pour l'école ? Ça tient en deux mots : privatisation et militarisation. Il déclare régulièrement que l'école doit apprendre l'obéissance et «l'autorité» aux enfants. Il se dit «favorable» à une expérimentation du port de l'uniforme à l'école. Il est le promoteur du Service national Universel, qui vise à envoyer des adolescent dans des stages militaires où l'on pratique le bourrage de crane, les défilés au pas cadencé et le lever de drapeau.
En aout 2022, un collaborateur gouvernemental déclare dans la presse : «à l'école du vice, Gabriel devait être major de promo.» Il est en couple avec Stéphane Séjourné, macroniste hardcore, qui était déjà conseiller de Macron au ministère de l'Économie et qui est aujourd'hui secrétaire général de Renaissance.
⚫Du côté de la santé, Aurélien Rousseau, 47 ans devient ministre. Énarque passé par le PCF puis proche de Valls avant de finir conseiller d'Elisabeth Borne, il est à l'image des macronistes : sans scrupules, sans valeur, sans loyauté.
Il est directeur général de l'Agence régionale de santé Île-de-France pendant le COVID, puis membre du Conseil d’État. Ses liens familiaux sont intéressants pour un homme chargé des hôpitaux publics. Il est marié à Marguerite Cazeneuve, une ancienne de chez McKinsey qui a «piloté» la réforme des retraites, et qui a été directrice de l'assurance maladie. Le beau papa du ministre est député LREM, et belle maman est carrément l'ancienne directrice commerciale d'un laboratoire pharmaceutique privé. L'entreprise Lilly, cotée en Bourse à plus de 400 milliards de dollars, qui a passé un juteux contrat durant le COVID sur les «anticorps monoclonaux» qui ne fonctionnaient pas. Le beau frère du ministre est, quant à lui, conseiller de l'Elysée. Le macronisme est une mafia familiale en même temps qu'un cercle de lobbyistes.
⚫Aurore Bergé : «Elle a tellement fait chier qu'ils vont lui filer un truc, genre les solidarités» avait lâché un ministre avant le remaniement. Elle reçoit ce portefeuille plutôt secondaire des Solidarités. Et elle s'y connait dans le domaine. Elle réclamait par exemple le «démantèlement» de l'ONG Amnesty International qui lutte pour les droits humains, en 2022, parce que l'organisation avait dénoncé l’État israélien. En 2020, elle répond sur twitter à propos de la création de lits de réanimation : «plus de lits de réa, ce sont plus de personnes intubées, plus de décès». Pas bête, supprimons tous les lits d’hôpitaux, il n'y aura plus de malades ! Elle a été mariée à un chroniqueur chez Hanouna, accusé de harcèlement, de gestes inappropriés lorsqu’il était député LREM.
⚫Enfin, Macron a propulsé une Ministre de la ville : Sabrina Agresti-Roubache. Il y a quelques semaines, cette élue marseillaise soutenait les idées de Jean-Marie Le Pen sur le plateau de CNews. D'ailleurs une députée RN vient de saluer «la liberté de ton» de la nouvelle ministre qui fait «les mêmes constats que Marine Le Pen sur la politique migratoire». Pendant la campagne, elle a été enregistrée en train de traiter son adversaire de «fils de pute». Alors que les banlieues souffrent comme jamais de la misère et des violences policières, ce poste lui va comme un gant...
Il reste 4 ans de mandat.
Contre Attaque
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malibuzz · 8 months
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COMITE SYNDICAL UNTM DE L’INPS : Oumar Djibril Diakité dit Jean succède à Seyba Sissoko comme secrétaire général
Le Comité syndical UNTM (Union nationale des travailleurs du Mali) de l’Institut national de prévoyance sociale (INPS) a procédé au renouvellement de son bureau jeudi dernier (31 août 2023). C’était en présence du Secrétaire général de l’UNTM, Yacouba Katilé. Aux termes des travaux, c’est M. Oumar Djibril Diakité dit Jean  qui a été élu Secrétaire général en remplacement de Seyba Sissoko, admis à…
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lisolo1973 · 2 years
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Après l'incendie d'une aile de l'immeuble ex ONATRA le bilan commence à tomber
Après l’incendie d’une aile de l’immeuble ex ONATRA le bilan commence à tomber
Le ministre par intérim de l’économie nationale Nicolas Kazadi sur les lieux de la catastrophe avec son équipe. Suite à l’incendie de l’immeuble de l’ex ONATRA dans la journée du 25 juillet 2022 à 2h00 le Secrétariat Général à l’Économie Nationale a commencé à dresser le bilan des dégâts, sont considérables, constat fait par aussi le Ministre par intérim de l’économie nationale Nicholas Kazadi…
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iweb-rdc001 · 3 months
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Jean-Pierre Lacroix appelle le M23 à une cessation immédiate des hostilités dans l’Est de la RDC
Le Secrétaire général adjoint aux opérations de paix, Jean-Pierre Lacroix, a appelé le M23 à cesser immédiatement son offensive dans l’Est de la RDC et à respecter la Feuille de route de Luanda.   « M. Lacroix s’est rendu dans la partie est du pays, notamment à Goma, Beni et Bukavu, du 2 au 5 février. Au cours de sa visite de terrain, il a rencontré les autorités provinciales, des représentants…
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kingonews · 2 years
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SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L'OPEP: MUHAMMAD SANUSI BARKINDO EST DÉCÉDÉ.
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L’OPEP: MUHAMMAD SANUSI BARKINDO EST DÉCÉDÉ.
Le secrétaire général de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, Muhammad Sanusi Barkindo, est décédé. Il est décédé mardi vers 23 heures. Sa mort a été annoncée dans les premières heures de mercredi par NNPC GMD, Mele Kyari. Kyari a tweeté : « Nous avons perdu notre estimé Dr Muhammad Sanusi Barkindo. Il est décédé vers 23 heures hier 5 juillet 2022. Certainement une grande perte pour…
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jloisse · 2 months
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Agression israélienne contre le Liban: le Hezbollah met en garde Israël
🔻 Le secrétaire général du Hezbollah libanais a déclaré que le régime israélien "paiera par le sang" le récent massacre de civils dans le sud du pays
▶️ Écoutons le point de vue d'Ayssar Midani, analyste franco-syrienne des questions internationales
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