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#tranchées
philoursmars · 18 days
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Louvre-Lens : il y a une expo : "Mondes souterrains : 20.000 Lieux sous la terre".
les 4 premières : le triptyque d'André Devambez : "La Pensée aux Absents" - 1924
Otto Dix : "Champs de trous d'obus près de Dontrien, éclairés par des fusées" - 1924
Jacques Prévert : collage "La Belle et la Batte" - 1948
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fidjiefidjie · 1 year
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Bonne matinée 💙 🐦🆕️
Pierre De Maere 🎶 Les oiseaux
(Regarde-moi)
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rechab · 7 months
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Le poids des semelles est lourd de glaise - ( RC )
soldats de la bataille de Passchendaele Le poids des semellesest lourd de glaise,et d’amertume,en attendant que la viene reprenne le dessus,fleurisse au-dessus des tranchéeset des trous d’obus. C’est un champ closoù les arbres gardent la mémoire. Plus de cent années ont passé,leurs troncs, en s’épaississantont avalé les barbelés,suturé les blessures,porté leur ombre doucesur la terre…
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madnessofmen · 8 months
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trawling through my blog archive like wtf I used to be so funny
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mndvx · 5 months
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pov: tu es la liste d'events/animations d'un rp city en 2006 (a new york, donc. hein. soyons honnêtes. c'est soit new york soit los angeles de toute façon)
TREMBLEMENT DE TERRE!!!!!!!!!!! 🥳✨ concours de costumes halloween✨🤩✨😜 😍😘dîner de noël pour tous le monde 🥰🤩 ÉPIDÉMIE D'UNE MALADIE INVENTEE QUI SE TRANSMET DE TOUTES LES FACONS POSSIBLES ET IMAGINABLES, DES CENTAINES DE GENS MEURENT!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ✨🎉fête du nouvel an, WOOOOO!!!!!!!!! 💞💕 SERIAL KILLER ON THE LOOSE DANS LA VILLE DES DIZAINES DE GENS MEURENT!!!!! hihihi y a une gossip girl hihihi "vos secrets n'ont pas de secrets pour moi ☝🏻🤓" (elle devient ensuite un élément indispensable au forum, jouée par l'admin qui en profite pour powerplay un petit peu et ne dit jamais du mal de ses propres personnages, faut pas déconner.) Y A LE FEU DANS [Le Lieu:tm: du forum, probablement l'université/lycée où 99% des personnages sont situés, donc.] TOUS AUX ABRIS!!!!! DES DIZAINES DE GENS MEURENT!!!!!!! 🎉💃🏻 WOOOO!!!!!!! Une fête random dans le même endroit qui a cramé y a un mois!!!! (avec en featuring Le groupe à la mode de l'époque qui faisait crier tout le monde, insert whoever) 🎊🕺🏻
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asticot · 1 year
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on m'a dit tu vas te faire taper si tu dis chocolatine ou pain au chocolat au mauvais endroit mais on m'avait pas prévenu pour les crayons
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Can't wait for Lancelot to kill Méleagant ❤
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timeflow · 1 month
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En effet, let's indulge in macaroni au fromage, the great staple food of the American people
perhaps for dessert we can experiment the banane tranchée, a common yet exquisite dish from the region
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dixvinsblog · 9 months
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Haziel hzl - GUERRE DES TRANCHÉES
Je ne veux pas mourir adossé à ces tranchées boueuses les nuits d’hiverJe veux pas nourrir la terre de mes chairs en putréfaction et m’endormir malheureux quand sonne l’oripeau des canons.Je ne veux pas sentir la moiteur des pluies ruisselant de mon échine meurtrie ni la chaleur des poudres sur l’épiderme de mon trépas.Je ne veux pas pleurer sur les fleurs que l’on déposera un jour sur ma tombe…
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bizarty12 · 9 months
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cinemajoeposts · 1 year
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un soldat inconnu des soldats retrouvés
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philoursmars · 1 year
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Nouveau retour à mon projet de présenter la plupart de mes 55500 photos (et des brouettes).  Plus trop loin du présent….  
2016. En Artois, le parc du Mémorial canadien de Vimy. Les souterrains, les tranchées reconstituées et la forêt reformée sur les cratères d’obus...
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elmaxlys · 1 year
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Le Chad Gallimard
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VS
le Virgin Folio
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tracing-rivers · 2 months
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Les potes de la Francophonie vous avez le droit de répondre aussi, je vous fais la bise (chez moi c'est une)
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ekman · 1 month
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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skelethrash · 5 months
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Viktor,
J'espère réellement que tu liras ces mots, parce que c'est sûrement les seuls que j'écrirais avec le cœur si ouvert. Je t'écris avec toute ma sincérité, que j'ai rassemblée en valeurs structurées et organisées depuis près de quatre semaines pour en arriver ici, au fond de ma pensée.
Voici des jours que je m'isole seul avec mon esprit et mes souvenirs qui me consolent dans le seul but de savoir ce que je voulais, parce qu'au fond, je ne l'ai jamais sû. Viktor, j'ai pensé à tout ce qu'on manque, tout ce qu'on perd, tout ce qu'on pourrait ressentir seulement si j'avais réfléchi avant. On me l'avait dit, "réfléchis", et je répondais toujours l'avoir déjà fait, mais au final, ma réflexion n'a jamais été plus poussée que quelques mises en perspective d'événements.
J'ai pensé, j'ai beaucoup pensé. Pensé de la façon la plus simple et linéaire pour que je puisse enfin, aujourd'hui, mettre des mots sur mon ressenti. Mettre des mots sur mon amour pour toi, Viktor.
Sûrement penses-tu que quatre semaines sont trop peu pour arriver à une conclusion, que tu as déjà ton avis tranché sur la question et ce dès le 7 Novembre. Peut être penses-tu que, encore une fois, je n'ai pas de quoi authentifier mes propos, mais c'est avec la plus grande sincérité que je te dis aujourd'hui que je t'aime, que j'ai compris mes erreurs et peu importe qui sait tout croix en ce que j'avance tout haut.
Ça serait mal me connaître de penser que je lâcherais ce qui compte le plus à mes yeux, et même si, j'ai été égoïste, jaloux, indécis, maladroit, même con par fois. Je jure sur notre amour que j'ai compris, cette fois. Donc oui, sûrement as-tu déjà connu nouvel amour, quelqu'un d'autre qui fait battre ton cœur autant que je l'ai fait, et qui te rend encore plus heureux peut être. Mais moi, oui moi. Moi qui ai mal payé ton amour si longtemps dans l'étrange pensé que c'était le mieu pour nous. Moi je t'aime, toi.
Mais même moi qui pensais me connaître, je me suis vu changer, je dirais même renaître. C'est ironique je sais, que tout ce que je souhaite aujourd'hui je l'ai touché du bout des doigts avant que tu ne m'aimes plus, toi. Moi je t'aime, toi. Oui, je t'aime, moi.
Je t'aime du 2 jusqu'au 7, autant tes yeux que ce qu'il se cache dans ta tête. Je t'aime pour toutes ces petites choses que tu fais, pour toutes ces petites choses qu'on a faites du 2 jusqu'au 7. De cette journée durant laquelle le hazard nous a réunit, de cette journée durant laquelle tout s'est pas si brusquement finit.
Viktor, c'est avec un vent d'espoir que j'arrive devant ton cœur, avec une seule déclaration : celle de mon amour en malheur. Celui qui n'a jamais bougé mais qui pourtant m'a semblé à cent fois trop compliqué. Ce même amour qui a aimé Esteban, et qui aujourd'hui aime Viktor d'une flamme qui ne s'éteindra pas.
Je ne demande que ta confiance en mes sentiments, une nouvelle chance à mon cœur défaillant. J'attendrais, si il le faut, pour que mon amour soit à nouveau partagé. Pour que dans tes bras je puisse à nouveau me plonger.
J'attends ta réponse, avec mon amour le plus sincère. Je t'aime, Viktor.
-♥︎
@vikkt0r
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