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#Saint-Siège
francebonapartiste · 3 months
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Le Traité de Tolentino : Avignon et le Comtat Venaissin entièrement français
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Après la réunion à la France d'Avignon et du Comtat Venaissin en 1791, résultat d’un référendum soumis aux habitants, le Pape a toutefois conservé une autorité spirituelle et religieuse sur ces territoires, mais il a perdu son autorité temporelle et politique.
Avant la Révolution française, Avignon et le Comtat Venaissin étaient des territoires sous la souveraineté du Pape, faisant partie des États pontificaux. Le Pape exerçait à la fois une autorité spirituelle en tant que chef de l'Église catholique et une autorité temporelle en tant que souverain temporel sur ces territoires.
Cependant, avec l'annexion de ces territoires par la France révolutionnaire en 1791, le Pape a perdu son autorité politique et administrative sur Avignon et le Comtat Venaissin. Ces territoires sont devenus des départements français et ont été soumis à l'autorité du gouvernement révolutionnaire français.
Le département de Vaucluse, le 89e département français, ne sera pourtant formé que quelques années plus tard, le 25 juin 1793.
Le Traité de Tolentino a été un accord signé entre la France et le Saint-Siège (le Vatican) le 19 février 1797, à Tolentino en Italie, durant les guerres de la Révolution française. Ce traité a été un événement significatif dans le cadre des conflits entre la France révolutionnaire et les États italiens, notamment les États pontificaux dirigés par le pape Pie VI.
Le traité de Tolentino fut négocié à la suite des succès militaires français en Italie, menés en grande partie par le général Bonaparte. Les forces françaises avaient remporté plusieurs victoires décisives, affaiblissant ainsi considérablement les États pontificaux.
Les termes du traité étaient très défavorables pour le Vatican. Entre autres dispositions, le Saint-Siège a dû céder plusieurs territoires au nord de l'Italie à la France, dont Avignon, ainsi que des œuvres d'art précieuses, y compris des peintures, des sculptures et des manuscrits, en guise de compensation pour les frais de guerre.
L’article 6 du traité dispose que « Le Pape renonce purement et simplement à tous les droits qu’il pourrait prétendre sur les villes et territoire d’Avignon, le comtat Vénaissin et ses dépendances, et transporte, cède et abandonne lesdits droits à la république française. »
Le traité de Tolentino a eu des conséquences majeures pour le Vatican et pour l'Italie. Il a marqué un affaiblissement significatif du pouvoir temporel du pape, réduisant considérablement les territoires sous son contrôle direct.
Pour la France, le traité de Tolentino a renforcé sa position en Italie et a contribué à l'expansion territoriale de la République française dans la région. Il a également symbolisé la montée en puissance de la France révolutionnaire sur la scène européenne, illustrant sa capacité à imposer ses volontés aux États traditionnels.
Par ses victoires militaires éclatantes, le rôle de Bonaparte sur les champs de bataille a été crucial dans la création de cette situation.
***
After the annexation of Avignon and the Comtat Venaissin to France in 1791, as a result of a referendum submitted to the inhabitants, the Pope nevertheless retained spiritual and religious authority over these territories, but lost his temporal and political authority. Before the French Revolution, Avignon and the Comtat Venaissin were territories under the sovereignty of the Pope, part of the Papal States. The Pope exercised both spiritual authority as the head of the Catholic Church and temporal authority as the sovereign ruler over these territories. However, with the annexation of these territories by revolutionary France in 1791, the Pope lost his political and administrative authority over Avignon and the Comtat Venaissin. These territories became French departments and were subjected to the authority of the French revolutionary government. The department of Vaucluse, the 89th French department, was only formed a few years later, on June 25, 1793.
The Treaty of Tolentino was an agreement signed between France and the Holy See (the Vatican) on February 19, 1797, in Tolentino, Italy, during the French Revolutionary Wars. This treaty was a significant event in the conflicts between revolutionary France and the Italian states, notably the Papal States led by Pope Pius VI. The Treaty of Tolentino was negotiated following French military successes in Italy, largely led by General Bonaparte. French forces had achieved several decisive victories, significantly weakening the Papal States.
The terms of the treaty were highly unfavorable to the Vatican. Among other provisions, the Holy See had to cede several territories in northern Italy to France, including Avignon, as well as valuable works of art, including paintings, sculptures, and manuscripts, as compensation for the costs of war. Article VI of the treaty stated that "The Pope purely and simply renounces all rights that he might claim over the cities and territory of Avignon, the Comtat Venaissin and its dependencies, and transfers, cedes and abandons said rights to the French Republic."
The Treaty of Tolentino had significant consequences for the Vatican and Italy. It marked a significant weakening of the Pope's temporal power, reducing the territories under his direct control. For France, the Treaty of Tolentino strengthened its position in Italy and contributed to the territorial expansion of the French Republic in the region. It also symbolized the rise of revolutionary France on the European stage, demonstrating its ability to impose its will on traditional states. Through his brilliant military victories, the role of Bonaparte on the battlefield was crucial in creating this situation.
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citationsdumonde · 2 years
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La pire crainte du Saint-Siège est que les Chrétiens libanais, en vivant dans une entité chrétienne indépendante, ne s'isolent du peuple auquel ils sont rattachés vigoureusement du fait de la civilisation et de la langue, faisant du message dont ils sont porteurs une lettre morte.
Monseigneur John Minet, directeur régional de la mission apostolique, 1975
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jloisse · 1 month
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"Le Saint-Siege n'a jamais approuvé le projet de faire de la Palestine un foyer juif."
Cardinal Luigi Maglione , secrétaire du pape Pie XII - le 3 mars 1943
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francepittoresque · 1 year
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LÉGENDE | Roi des lys détruisant les ennemis de la France ➽ http://bit.ly/Prophetie-Roi-Lys Érigée au XIIe siècle en symbole de la royauté française à partir du règne de Louis VII, la fleur de lys apparaît dans une légende mettant en scène Clovis, premier roi chrétien du royaume des Francs. D’anciennes prophéties font état de l’avènement, vers la fin des temps, après la chute de la moderne Babylone que constitue Paris, du Roi des lys, issu du royaume de France et détruisant tous les ennemis du Saint-Siège
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lisolo1973 · 2 years
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Le cardinal Pietro Parolin est arrivé à Kinshasa
Le cardinal Pietro Parolin est arrivé à Kinshasa
Kinshasa le Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a reçu ce samedi matin le Cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d’État du Vatican. Ce dernier en visite officielle en RDC est porteur d’un message du Pape François pour le Président Tshisekedi. https://twitter.com/Presidence_RDC/status/1543213268675842049?t=9Zx3z-kXSlV-8zaYp8ASbw&s=09 Le Secrétaire d’État du Saint-Siège a décollé du…
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jbrasseul · 2 years
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Vers Caen
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sieclesetcieux · 8 months
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This site compiled their addresses here though Barère's page is missing (here are some of his addresses), Lindet's address is different than the one give here, and though some mail was sent to Couthon where Robespierre lived, I think he had another address too? (Hérault is also just not listed but the site is centered around Thermidor.)
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Copy-pasted below for convenience. I added their birthdates and astrological signs (for those who care about that):
Jean-Baptiste Robert Lindet
Age : Né à Bernay (Eure), 48 ans en thermidor. [2 mai 1746 ♉]
Adresse : 68, rue de la Sourdière.
Métier : Avocat
Fonctions : Député de l’Eure, membre du Comité de salut public du 6 avril 1793 au 7 octobre 1794
Antoine Louis Léon de Saint-Just
Age: Né à Décize, 26 ans en Thermidor an II [25 août 1767 ♍]
Adresse: 3, rue Caumartin, 2ème étage (depuis mars 1794), à la même adresse que Thuillier. Il demeurait auparavant à l’hôtel des États-Unis, rue Gaillon.
Fonction(s): Député de l’Aisne à la Convention depuis le 5 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 10 juin 1793.
Georges-Auguste Couthon
Age : Né à Orcet, 38 ans en thermidor [22 décembre 1755 ♑]
Adresse : 366, rue Saint Honoré
Profession : Avocat
Fonction(s) : Elu député du Puy-de-Dôme à la Convention le 6 septembre 1792. Membre du Comité de salut public du 10 juin 1793 au 9 Thermidor an II.
André Jeanbon, dit JEAN BON SAINT-ANDRÉ
Age : Né à Montauban, 45 ans en thermidor [25 février 1749 ♓]
Adresse :  7 rue Gaillon
Profession : Marin, puis pasteur
Fonction(s) : Elu député du Lot à la Convention le 5 septembre 1792, membre du Comité de salut public depuis le 10 juin 1793. Fréquemment en mission pour superviser les opérations maritimes, il est absent de Paris le 9-Thermidor.
Pierre-Louis Prieur, dit PRIEUR de la MARNE
Age : Né à Sommesous (Marne), 37 ans en thermidor [1er août 1756 ♌]
Surnom : Appelé Prieur de la Marne (pour le différencier de Prieur de la Côte-d’Or)
Adresse : 11, rue Helvetius
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de la Marne à la Convention depuis le 3 septembre 1792, membre du Comité de salut public du 10 juillet 1793 au 13 thermidor an II (31 juillet 1794), puis à nouveau du 15 vendémiaire au 15 pluviôse an III (6 octobre 1794-3 février 1795).
Absent de Paris au moment du 9-Thermidor.
Maximilien Marie Isidore de Robespierre
Age : Né à Arras, 36 ans en thermidor. [6 mai 1758 ♉]
Adresse : 366 rue Saint-Honoré (numérotation actuelle : 398)
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de Paris à la Convention nationale depuis le 5 septembre 1792 ; membre du Comité de salut public depuis le 27 juillet 1793
Claude-Antoine Prieur-Duvernois, dit PRIEUR de la CÔTE-d'OR
Age : Né à Auxonne, 30 ans en thermidor [22 décembre 1763 ♑]
Surnom : Appelé Prieur de la Côte-d’Or (pour le différencier de Prieur de la Marne)
Adresse :  5, rue Caumartin
Profession : Ingénieur militaire
Fonction(s) : Elu député de la Côte-d’Or à la Convention le 5 septembre 1792. Membre du Comité de salut public du 14 août 1793 au 16 vendémiaire an III (7 octobre 1794).
Lazare Nicolas Marguerite Carnot
Age : Né à Nolay, 41 ans en thermidor. [13 mai 1753 ♉]
Adresse : 2 rue Florentin
Métier : Mathématicien, physicien, militaire
Fonction(s) : Elu député du Pas-de-Calais à la Convention nationale le 5 septembre 1792 ; membre du Comité de salut public depuis le 14 août 1793, il le quitte le 7 octobre 1794 mais y siège à nouveau un mois plus tard, jusqu’au 6 mars 1795.
Jacques-Nicolas Billaud, dit BILLAUD-VARENNE
Age : Né à La Rochelle, 38 ans en Thermidor an II [23 avril 1756 ♉]
Adresse : 40 rue Saint-André-des-Arts
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de Paris à la Convention depuis le 7 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 5 septembre 1793
Jean-Marie Collot, dit COLLOT d'HERBOIS
Age : Né à Paris, 45 ans en Thermidor an II [19 juin 1749 ♊]
Adresse : 4 rue Favart (3ème étage)
Métier : Acteur, directeur de théâtre
Fonction(s) : Elu député de Paris à la Convention le 6 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 5 septembre 1793.
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claudehenrion · 2 months
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De l'âme
Une surprise : plusieurs lecteurs, sans doute ébranlés par le vide abyssal qui caractérise notre temps –et avec une inquiétante tendance à l'aggravation– m'ont demandé récemment de “parler de l'âme”. Mais si je me sens très capable de donner un avis –qui n'est que le mien, corrigé par nombre de lectures et d'emprunts– … je tiens à préciser que je suis évidemment tout-à-fait incapable de répondre à la question multiple “Existe-telle ? Quelle est-elle ? Que recouvre-t-elle –ou pas ?”, et surtout de me livrer à cet exercice… en une page “A4’‘ ! Mais quel meilleur moment qu'une Semaine Sainte pour esquisser un début de réponse 
Le mot ’'âme” lui-même, tiré du latin (“anima = l'air, le souffle, la vie”), recouvre tant de notions différentes que “ne pas y croire” ne peut avoir aucun sens : qui parle de “croire” à l'air, au ciel bleu, au chocolat… ? S'agit-il de l'Ame des peuples (André Siegfried) ? de l'Ame des choses (Auguste Blondel) ? des “objets inanimés” de Lamartine ? de l'Ame du monde (Frédéric Lenoir) ? (NB : je pourrais continuer longtemps). Ecoutons plutôt Camus : “Ne pas croire à l'âme est une absurdité”.
A ce moment où l'humanité semble “flirter” avec sa chute dans des abîmes qu'on peut craindre définitifs, l'âme –qui était un peu sortie de nos préoccupations consumérisées– semble faire un retour sur le devant de la scène, et nos lecteurs ne s'y sont pas trompés, en m'en parlant. Il faut reconnaître que sa définition a bien varié à travers les siècles : dans l'Antiquité, les grecs en avaient une vision bipartite (“corps et âme”)… alors que pour la tradition biblique, la vision était tripartite (“corps, esprit –pneuma en grec et spiritus en latin–, et âme –psychè, en grec et anima en latin, ce dernier mot animant la vie intérieure et la personnalité, mais aussi ce qui donne vie au corps. Ne ’‘rend-on pas son âme”, au moment du grand départ ? Mais n'allons pas trop vite : avant de la “rendre”, il faut la définir.
Pour les philosophes, l'âme est souvent une notion qui permet de parler de l'être humain dans sa totalité. Pour Platon, l'âme est en conflit avec le corps qui l'emprisonne, alors qu'Aristote insiste sur une conception non dualiste entre “âme” et “corps”, chacun étant plus ou moins indépendant de l'autre. Plus tard, pour le christianisme, qui tient un rôle de toute première importance dans cette “dissertatio” (que je voudrais tellement ne pas être une “disputatio”!), le mot “Ame” veut décrire comment est formé un être humain dans et par ses expériences fondamentales : la vie, l'amour, le désir, la maladie et la souffrance, le questionnement sur “après la vie –ou après la mort”, et l'âme se définit donc comme “autre” que l'esprit : d'un côté, un principe de vie, “ce qui anime le corps”, siège des émotions et des passions, et de l'autre, vie intérieure, et personnalité. On peut dire : raison, ici et liberté, là…
Mais en 1621, Descartes introduit une rupture dans la conception traditionnelle, en traduisant “âme” par “mens” : l'homme est d'abord un être pensant, et le mens latin, qui désigne d'abord le cerveau, l'intelligence, la raison, l'esprit… va peu à peu replacer l'ancienne “âme” au profit de ce nouvel arrivant, le “cogito’' . Une nouvelle logique bipartite est née, le corps et la pensée, séparés mais liés : ’'Cogito, ergo sum”.
Le mouvement phénoménologique, qui se targue d'appréhender la réalité telle qu'elle se donne ou se montre, considère que le corps, seul, joue un rôle (“Le monde n’est pas pour moi autre chose que ce qui existe et vaut pour ma conscience”, écrit Husserl en 1937), ce contre quoi réagit la grande Edith Stern, juive devenue carmélite et morte à Dachau : “On ne peut vivre sans âme, c'est-à dire avec une âme paralysée ou en sommeil’’… phrase où nous retrouvons ce qui est visible tout autour de nous… et ce dont l'humanité est en train de crever
Il fallut attendre 1953 pour que Crick, Watson et Rosalind Franklin, découvrent l'ADN, cette part d'éternité qui est en chacun de nous. Inséparable de nous, elle nous contient tout entiers et nous résume, tout en nous rattachant à nos origines… Question jamais posée mais qui me taraude depuis longtemps : ’'Se pourrait-il que cet acronyme, l'ADN, soit, en fin de compte, le support matériel de notre âme ? Son caractère ’'iso-éternel’'et son identité parfaite avec notre ’'être”, notre “avoir été” mais aussi notre “devoir être”, en font une parfaite réponse à ce que pourrait être ce “Corps glorieux” si difficile à imaginer mais sous lequel, disent les chrétiens, nous entrerons un jour dans notre éternité
En 1979, Joseph Rätzinger, grand théologien et futur grand Pape Benoît XVI, posa (“La Mort et l'au-delà” )que “il n'y a aucune raison sérieuse de rejeter le mot âme , cet outil verbal indispensable dans la foi des chrétiens… ce qui se vérifie à travers la prise de conscience actuelle… que une conscience, justement, ne peut exister sans objet pour la percevoir et sans sujet pour la traduire et l'expliquer”. Et voilà l’ “âme” qui fait à nouveau partie du vocabulaire de la philosophie, le besoin de cet éditorial en étant un début de preuve en soi.
Un dernier point, peut-être : en 2016, l'académicien François Cheng avait écrit un fort beau “De l'Ame” (Albin Michel) où il écrivait “A part le bouddhisme dans sa version la plus extrême, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle : l'âme de chaque être est reliée au souffle primordial qui est le secret de la vie-même. Animée par un authentique désir d'être, elle nous rappelle donc, quelle que soit notre croyance –ou notre non-croyance– combien notre vie participe d'une aventure unique, le Tao –la Voie– qui ne connaît pas de fin, contrairement à la vie”.
J'admets que tout cela n'est pas simple… Mais le moyen, s'il vous plaît, de parler de sujets eschatologiques avec nos seuls mots humains, et en un temps et un espace si réduits ? Par prudence, je vais donc demander à d'autres que moi de conclure. D'abord George Meredith : ’ L'âme est tout, ici-bas; le reste n'est qu'illusio'n’’… Puis Rivarol : “Sans le corps, l'âme n'aurait pas de sensations, mais sans l'âme, le corps n'aurait pas de sentiment”... Libre à ceux qui ont décidé de ne pas y croire, de vivre “sans”. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi : je suis si bien, “avec”, surtout en cette Semaine, qui est Sainte pour un bon tiers de l'Humanité.
H-Cl.
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empiredesimparte · 11 months
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First official appearance of H.I.M Emperor Napoléon V and Charlotte
By Point Royal
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Emperor Napoléon V and his fiancée, Charlotte de Mortemart, enter Paris City Hall © Francesim Presses
H.I.M, accompanied by his fiancée, went to meet the Pope Gregorius XIX, who had come to Paris to celebrate the couple's imminent religious marriage. Once again, they showed just how well matched they are.
Having just returned to the capital for the final preparations for their wedding, the future imperial couple welcomed the Pope to French soil. As godchildren of His Holiness, the Emperor and his fiancée were granted a rare honour: the right to wear white clothes. In fact, in the presence of the Pope, interlocutors and guests are not normally allowed to wear white. Clearly, there is a good relationship between the Pope and his imperial godson.
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Emperor Napoléon V shakes hands with His Holiness, Pope Gregorius XIX of the Holy See © Francesim Presses
Emperor Napoléon V spoke French to the Pope, who had a perfect command of the language. By republican tradition, the sovereign did not kiss or bow to the Pope, unlike his fiancée, who did not yet have the title of Empress.
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Emperor Napoléon V is concerned about His Holiness, Pope's safe journey to Francesim © Francesim Presses
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Charlotte bows before His Holiness, meeting him for the first time © Francesim Presses
The group didn't stay long at Paris City Hall, just thirty minutes or so. The Christians therefore did not have the opportunity to see the Pope. The Emperor ensured that his prestigious guest quickly returned to the Tuileries Palace, no doubt to discuss marriage and politics.
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The Emperor's fiancée, Charlotte, in conversation with the Mayor of Paris © Francesim Presses
During their trip, the Mayor of Paris approached His Majesty's fiancée to tell her about the gift made by Francesim's officials: a set of jewellery for the imperial wedding. The future Empress Charlotte asked the Mayor of Paris not to order the set, and to devote the sum allocated to the gift to charity. This generous gesture did not go unnoticed, and the news was widely reported by all the journalists.
Traduction française
Première apparition officielle de l'Empereur Napoléon V et Charlotte
Par Point Royal
L'Empereur Napoléon V et sa fiancée, Charlotte de Mortemart, entrent à la mairie de Paris © Francesim Presses
Sa Majesté Impériale, accompagné de sa fiancée, vont à la rencontre du Pape, venu à Paris afin de célébrer le très proche mariage religieux du couple. L'Empereur et sa promise ont à nouveau démontré à quel point ils sont bien assortis.
Tous juste rentrés à la capitale pour les derniers préparatifs du mariage, le futur couple impérial accueille le Pape sur le sol français. Etant le filleul de Sa Sainteté, l'Empereur et sa fiancée se sont vus accordés un rare honneur : pouvoir porter des vêtements blancs. En effet, en présence du Pape, les interlocuteurs et invités ne sont normalement pas autorisés à porter du blanc. De toute évidence, il existe une relation chaleureuse entre le Pape et son impérial filleul.
L'Empereur Napoléon V serre la main à Sa Sainteté, le Pape Gregorius XIX du Saint-Siège © Francesim Presses
L'Empereur Napoléon V échange en français avec le Pape, qui maîtrise parfaitement cette langue. Par tradition républicaine, le souverain n'embrasse ni ne s'incline devant le Pape, contrairement à sa fiancée qui ne possède pas encore le titre d'impératrice.
L'empereur Napoléon V se préoccupe du bon déroulement du voyage de Sa Sainteté le Pape en Francesim © Francesim Presses
Charlotte s'incline devant Sa Sainteté, elle le rencontre pour la première fois © Francesim Presses
Le groupe n'est pas resté longtemps à la mairie de Paris, une trentaine de minutes. Les chrétiens n'ont donc pas eu l'occasion d'apercevoir le Pape. L'Empereur s'est assuré que son prestigieux invité rejoigne rapidement le palais des Tuileries, certainement afin de discuter mariage et politique.
La fiancée de l'Empereur, Charlotte, discute avec le maire de Paris © Francesim Presses
Durant leur déplacement, le maire de Paris a approché la fiancée de Sa Majesté afin de lui faire part du présent réalisé par les fonctionnaires de Francesim : une parure pour le mariage impérial. La future impératrice Charlotte a demandé au maire de Paris de ne pas commander cette parure, et de dévouer la somme allouée à ce cadeau pour des œuvres de charité. Ce geste généreux n'est pas resté inaperçu, et l'information fut vivement relayé par tous les journalistes ayant assisté en direct au refus de Charlotte.
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mybeingthere · 9 months
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Pablo Picasso 1881-1973, Max JACOB’s Le Siège de Jérusalem- Grande Tentation Céleste de Saint Matorel, 1914 219 x 151 mm.
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mescharmantsouvenirs · 8 months
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Lee Miller
1927 : New York : Possédante peut-être du visage et de la silhouette les plus classiques de sa génération...
1929 : Paris : Protégée et amante de Man Ray, elle invente avec lui sa technique de photographie solarisée...
1935 : Le Caire : Lassée de sa vie d'épouse d'homme d'affaires égyptien, elle voyage sans fin à travers l'Egypte...
1939-45 : Europe
Elle devient et accréditée correspondante de guerre américaine et couvre le siège de Saint-Malo et la libération de Paris...
Ce ne sont là que quelques-uns des vies de Lee Miller, intimement et entièrement enregistrées ici par son fils, Antony Penrose. C'est le premier livre à révéler son extraordinaire vision en tant que photographe.
Il donne également vie à l'histoire d'un femme qui a traversé de nombreux mondes -
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percehaies · 5 months
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Sainte Geneviève, Vierge.
Geneviève naquit à Nanterre, près de Paris, vers l’an 420. Elle avait sept ans à peine, quand saint Germain d’Auxerre, de passage dans le village, remarqua la petite fille et l’invita à se consacrer à Dieu.
On attribue à sainte Geneviève de très nombreux miracles ; sa popularité grandissait de jour en jour dans la population parisienne. Lors des dangers de toutes sortes qui menaçaient la cité – invasion des Huns d’Attila, siège de Paris et famine – elle fut, par ses conseils et ses initiatives courageuses, la providence de tous les habitants. Son influence s’exerçait même sur le roi des Francs, Clovis, qui suivait souvent ses conseils. Geneviève mourut vers l’an 500, un 3 janvier. Son tombeau est resté l’objet du culte des Parisiens, qui la considèrent toujours comme leur patronne et recoururent souvent à elle dans les calamités publiques.
Jean Claude Rey, dans son livre "donnez-vous votre saint quotidien", (Credel) note que depuis la destruction des reliques de sainte Geneviève, Paris a été envahi en 1815, 1870, 1940.
Jamais, auparavant, il n'avait été envahi !
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francepittoresque · 7 months
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4 novembre 1429 : Jeanne d'Arc est victorieuse au siège de Saint-Pierre-le-Moûtier ➽ http://bit.ly/Siege-StPierreLeMoutier Blessée deux mois plus tôt aux côtés du roi de France lors du siège de Paris qui s'était soldé par un échec, Jeanne d'Arc se voit confier par Charles VII, qui toutefois ne participe cette fois pas à l'opération, le commandement d'une expédition visant à reprendre des villes de Haute-Loire aux Anglo-Bourguignons : mise en difficulté, elle refuse de se retirer et rend miraculeusement le courage à ses hommes qui reviennent à la charge avec furie
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congratulationsgeorge · 6 months
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Retournons à la mer
Retournons à la mer, retournons à l’étang, là où une entreprise prophétique nous a Promises. Par la concordance des cigales, et du ciel rouge qui s’appose sur ton front la taule, et le mal, et la peine que nous ignorions encore. L’accent rond, les : pain, main, hein, tarpin, pneu peneu pe neu mélodiques.
Retournons à la mer, en ton sein, puisque nous avons regardé le même film, dans la même salle, sans le savoir, à quelques rangées, quelques sièges d’écart, tu étais trois rangs avant moi. puisque nous avons une expérience commune : ces plaies béantes, ces gencives saignantes, et ces cheveux gominés, ces accusations, ce venin anxiogène, qu’iels jetaient sur nous parce que nous étions noires.
La crainte de t’aimer, de poser encore sur toi, tes yeux, ta peau pégueuse à la D’Angelo, beaucoup trop huilée par la coco, un regard qui me trahirait.
Retournons à la mer, je ne pourrai que le répéter, au fond de la cour, tu l’as si bien dit, il y avait les pins, tiens, les pins, la cour qui se tenait juste là, en pente, le petit jardin clos où l’on faisait pousser des fruits et des légumes, là où seul.e.s les CE2 A/ B/ ou C avaient le droit d’aller.
Je pleurais de rire, dans ces innombrables épines de pins, parsemées sur le sol brûlant, je me souviens du regard flou, flouté par les feux de joie, les cages de foot et les zygomatiques tendues.
Je taclais les garçons au foot, m’asseyais dans le creux des ondulations du bitume/du ciment blanc anthracite et aucun d’eux ne m’aimait.
Retournons à la mer, je t’emmènerai près de l’étang, l'odeur des œufs pourris de Berre nous frappe les narines entre deux pétards. Dans les sanglots, la solitude, et l’abandon, d’être une femme noire dans une famille blanche, d’être une femme noire qui aime les femmes c’est près de l’étang que tu te réfugiais.
Une dizaine d’années plus tard des ellipses parmi les vagues et les éclaboussures de la piscine de la mamie de Clara en juillet des bougies d’anniversaire numériquement trop trop nombreuses à souffler chaque année.
Retournons à la mer, puisque j’ai dit tout bas des signes, des choses inavouables.
Ils disent que « l’amour ça ne s’apprend pas », que « l’amour ça se vit » et pourtant j’aurais aimé apprendre.
Moi, fille de Mars, qui n’ai jamais appris que l’impatience, le drame et le chaos élevé par le kayamb, son frère tam tam, et les chants de guerre qui les accompagnent. Moi, fille de Mars, j'aurais voulu me sentir capable d’exprimer l’amour dans le calme, de sortir des sentiers tumultueux ancestraux de m’écarter de la voie de la surveillance, de la méfiance, de la gangrène routine, de CELUI OU CELLE QUI CRIERA LE PLUS FORT
Moi, fille de Mars, j’ai cherché à t’atteindre et à te montrer la plaine verte qui s’étend à l’infini, la végétation et le colibri la profondeur et l’abondance de la rivière en avançant mes lèvres, les extrémités tendues et riches des mots à te donner, en plongeant la tête la première dans le Gouffre des esprits à Terre Sainte, en serrant nos corps tandis que Les Déesses chantaient notre histoire.
(Nous étions ces deux gamines amies en primaire unies par un zouk après dix années de silence.)
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Retournons à la mer, 2019, George Eperonnier
publié dans The Black Lesbian Rises Issue pour le magazine Lesbians Are Miracles (USA) en 2021
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homomenhommes · 8 months
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La recette de la sauce Choron
Alexandre-Etienne Choron, dont le nom est passé à la postérité pour avoir inventé la fameuse sauce éponyme, est un cuisinier français de la fin du 19e et début du 20e siècle, qui officie au restaurant Voisin, rue Saint-Honoré.
En 1870, lors du siège de Paris par les Prussiens, les habitants sont affamés et contraints de manger tout ce qu’ils trouvent... Même leurs animaux.
Choron, lors d’un mémorable repas de Noël, prépare des animaux prélevés au Jardin d’acclimatation !
On peut ainsi se régaler d’une tête d’âne farcie, de chameau rôti, de côtes d’ours sauce poivrade, de cuisse de loup.
Choron accommode aussi l’éléphant : en bourguignon, en consommé de pieds ou avec la fameuse trompe sauce chasseur...
Quant à la sauce Choron, elle voit le jour un peu par hasard dans ses cuisines. Sur une base de béarnaise, il ajoute des tomates à la préparation.
Ingrédients :
- 5 cl de vinaigre blanc
- 5 cl de vin blanc sec
- 2 échalotes
- 3 gr de poivre mignonette
- 2 jaunes d’œuf
- 100 gr de beurre (clarifié de préférence)
- 3 c. à s. de purée de tomates
- Estragon
1. Faire réduire le vinaigre et le vin avec les échalotes ciselées, le poivre et de l’estragon
2. Lorsqu’il n’en reste qu’1/3, filtrer
3. Ajouter les jaunes d’œufs à cette réduction (feu très doux ou bain-marie) fouetter et monter avec le beurre bien froid
4. La texture doit approcher celle d’une mayonnaise
5. Ajouter la purée de tomates
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micompostela · 8 months
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La poste espagnole recommande 10 choses à faire durant votre séjour à Compostelle :
1. Dès votre arrivée Venez au bureau de poste CORREOS (Rúa do Franco, 4) pour laisser votre sac à dos (avant de vous rendre à votre auberge/hôtel/casa/whatever), votre vélo ou votre canne/vos bâtons dans le débarras ou pour les renvoyer chez vous. Vous ne pouvez pas entrer dans la cathédrale avec un sac à dos et la ville est bien plus agréable sans fardeaux. Nos horaires sont du lundi au vendredi de 08h30 à 20h30 et nous sommes fermés les samedis, dimanches et jours fériés.
2. Entrez dans la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle. Cela se fait généralement par la Plaza de Platerías, sauf pendant les années saintes où cela se fait par la Porte Sainte. Embrassez l’îcône de l’Apôtre ou descendez voir le tombeau. Vous pourrez profiter de la messe des pèlerins à 12h00 et 19h30.
3. Faites le tour de la la cathédrale pour découvrir la Plaza del Obradoiro avec l'Hostal de los Reyes Católicos et le Pazo de Raxoi, la fontaine des chevaux de Platerías, le Seminario por la Azabachería, ou pour vous asseoir et vous reposer dans la Quintana.
4. Ne manquez pas le Mercado de Abastos avec le meilleur de la gastronomie galicienne : poissons, fruits de mer, légumes, poulpes... que vous pourrez déguster sur place.
5. Traversez l'Alameda. Vous pouvez prendre une photo avec les « Dos Marías » et profiter des belles vues depuis « Eucalipto del Amor ».
6. Buvez un verre de vin… ou deux, accompagnés des meilleures tapas. Dans toute la ville, vous trouverez des bars et des restaurants, dont beaucoup sont concentrés dans le centre-ville le long de la Rúa do Franco, de la Rúa da Raiña et des environs.
7. Visitez le siège de l'Université de Saint-Jacques-de-Compostelle avec son jardin-cloître, et si vous êtes amateur de bibliothèques, ne manquez pas celle de la Faculté d'histoire.
8. Perdez-vous dans le vieux quartier pour découvrir la vie de ses rues : Rúa Nova avec ses théâtres, les arcades de Rúa do Vilar, le Preguntorio,…
9. Découvrez San Martín Pinario, l'escalier, les gargouilles et la façade plateresque. Dans le quartier vous découvrirez des bars avec de belles terrasses et jardins pour profiter des beaux jours.
10. Promenez-vous dans la Puerta del Camino : profitez du parc Bonaval, visitez le Museo do pobo Galego pour découvrir la culture galicienne, ou le Musée d'art contemporain (CGAC), et si vous avez le temps, montez à la Ville de Culture sur le Mont Gaiás.
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