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#assis au bord
petitmonsieur1 · 2 months
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Agreste
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antonio-m · 2 months
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"Jeune homme nu assis au bord de la mer, figure d'étude (Young naked man by the sea, figure study", c.1836 by Hippolyte Flandrin (1809-1864). French painter. Musée du Louvre, Paris. oil on canvas
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Hippolyte Flandrin (French, 1809-1864) Jeune homme nu assis au bord de la mer. Figure d'étude, ca.1835-36 Musée du Louvre
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homomenhommes · 2 months
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saga : SOUMISSION / DOMINATION 118
le WE arrive, Marc est là.
Pour lui faire plaisir, j'organise au pied levé une touze où Jimmy et Ed seront présents. J'invite aussi Ric, nos voisins Bruno et Arnaud ainsi qu'Igor et les jumeaux. Nous verrons arriver dans la soirée Eric après ses cours de conduite moto.
Dès 13h je ramenais Ed et Ric. Il est de plus en plus Gym-Queen ! Mais ça lui va bien. Igor dépose les jumeaux dès 14h et Arnaud nous rejoint après avoir entendu nos cris au bord de la piscine. Nous échangeons les nouvelles, car ça fait quelques temps que nous ne nous sommes retrouvés tous. Malgré qu'ils soient presque tous en période d'examens, ils n'auraient raté ce WE pour rien au monde. Sans " adultes " nous passons tous l'après midi entre nous à nager, bronzer et faire les cons (poursuites, bagarres, arrachage de maillot pour ceux qui en portent, ...).
Nous bandons tous par moment, surtout les deux petits nouveaux mais nous nous retenons pour la soirée. Ce qui n'empêche pas les pelles appuyées. Comme il fait bon, nous en sommes encore là quand les autres arrivent en fin d'après midi. Samir et Ammed servent l'apéritif sur la terrasse. Je fais attention à Ed et Jimmy, il ne faudrait pas qu'ils soient malades à trop boire ! Les " adultes " se mettent en maillot ou nu et nous passons un moment entre piscine, et terrasse. Evidement mes deux petits nouveaux sont le point de mire. Ils sont sollicités sans arrêt et bandent continuellement. Ric apprend à Jimmy à sucer sous l'eau. Il faut dire qu'avec ses capacités respiratoires, il est le spécialiste et tous ceux qui ont concouru contre lui se sont bananés. Nous rions tous aux apparitions en surface de la tête de Jimmy toussant ou rouge pivoine. La touze démarre sur la terrasse. A par nos deux serveurs, nous sommes tous nus et toutes les bites des actifs se trouvent une bouche ou deux pour s'occuper d'elles. Les jumeaux sont de plus en plus mignons, l'effet " copie conforme " se renforce et ils sont devenu encore plus indifférenciables. Sauf question sexe (pas les dimensions, les goûts). La partie, dégénère / commence vraiment avec l'arrivée d'Eric. Ses 26cm ont toujours accéléré les choses ! Ric lui saute dessus et s'enfile sa bite directe jusqu'aux couilles. Les deux jeunes n'en reviennent pas, il leur faut encore pas mal de préparation pour arriver à cela ! Eric s'empare de la tête de Ric et lui bourre la gueule le laissant à peine respirer. A 4 pattes Ric tortille du cul dans l'espoir que quelqu'un s'en empare. C'est chose faite dans les minutes qui suivent par Marc, puis Igor, puis Bruno. Comme Eric continu de s'enfoncer dans sa gorge, j'encule aussi Ric et Tac fait de même après moi. Pendant que Tac et moi nous occupions du cul de Ric, les trois " petits " se faisait entreprendre. Cotes à cotes, Jimmy, Ed et Arnaud à 4 pattes se faisaient enculer respectivement par Igor, Bruno et Marc. Comme Tic attendait son tour, je lui ai dit de rejoindre les autres et à coté de mon mec, je me suis mis à le sodomiser. L'ensemble faisait très " film porno ". Nous 8, en train de mater le trio Eric, Ric et Tac. Eric suffisamment lubrifié par la salive de Ric s'est kpoté pour remplacer Tac. Après échange de place, il s'est introduit en Ric (habitué au manche de son paternel, il s'est ouvert comme une fleur pour laisser passer la batte noire jusqu'aux couilles). Tac est venu se faire sucer successivement par notre brochette d'enculés. Au bout d'un moment, Tac, comme moi était en manque de queue dans son cul. Nous avons été nous placer en " jambon ". Lui entre Igor et Ed et moi entre Bruno et Jimmy. Tic pour ne pas être en reste et même si enculer n'est pas sa préférence, s'est intercalé entre Marc et Arnaud.
La partie étant bien lancée, personne n'a eu l'envie d'aller au donjon.
Avant qu'un de nous ai joui, nous avons redistribué les cartes. Jimmy s'est assis sur la queue d'Eric laissée libre par Ric. Comme il est encore débutant, je suis venu vérifier que tout se passait et que tout passait bien. Doucement, il s'est assis dessus, je n'étais pas le seul à mater la pénétration ! Ed admirait l'aisance de Jimmy à s'enculer, les autres amusés par la différence de gabarit (petit beur fin contre grand black musclé). Puis les corps ont exigé de juter et nous nous sommes remis les uns sur les autres, les autres dans les uns etc. Avec Tac en fin de partie, nous avons joint nos bites pour enculer Ric, pour Ed ce genre de plan c'est encore un peu tôt même si il prend des bites TTBM. La double sodo a été géniale. Son trou est souple tout en étant capable de serrer nos queues jusqu'à les bloquer, ce qu'il n'a pas manqué de faire. La douleur passagère est venue renforcer l'excitation. Après un bon moment, Tac et moi n'avons pu nous retenir et quand j'ai senti Tac juter, je me suis vider dans ma kpote. Ric a spasmé sur nos bites empêchant tout mouvement alors qu'il me jutait sur le ventre et le torse. Ce n'est que quand il a été complètement vidé qu'il nous a libéré. Etalés, encore emmêlés, nous avons matés les autres se finir. Eric à la demande d'Igor élargissait le cul de Tic, d'après ce que j'ai compris il souhaite pouvoir le double sodomiser avec Tac. Malgré quelques grimaces, Tic avait l'air de prendre son pied, nous l'entendions dire " encore, encore " à chaque pénétration.
Bruno se terminait dans le cul de Jimmy, Marc douchait au sperme Arnaud. Igor, après avoir enculé Ed, se finissait au fond de sa gorge. Au dernier moment nous l'avons vu se reculer et lui juter sur le torse. Tac s'est alors levé et est allé récupérer de sa langue le sperme paternel avant d'aller le partager avec Tic encore secoué des dernières contractions musculaires d'Eric.
J'attrapais Ed alors qu'il s'élançait pour plonger dans la piscine et leur apprenais que la douche était obligatoire après la touze avant de retourner à l'eau. La piscine ne devait pas devenir un aquarium à spermes.
Après une bousculade des plus jeunes pour se doucher, nous nous sommes tous retrouvés dans l'eau pendant que nos beurs de services faisait le barbecue.
Après dîner, nouvelle scission des tranches d'âges. Ed et Jimmy se sont fait questionner grave par les quatre autres. En premier de savoir qui ils étaient, puis comment c'est que de faire des passes. C'est surtout de Tic et Tac que venaient les questions. C'est deux là sont des vrais chaudasses ! La nuit qui a suivi, nous avons gardé avec nous Jimmy et Ed. Baiser sans kpote quel pied ! Mes deux poulains étant exclusivement passifs (même si bandant quand même), nous nous sommes retrouvés, Marc et moi collés des hanches aux épaules à enculer chacun un ptit cul après s'être bien fait raidir à coups de langues. Nous n'avons pas arrêté de nous échanger les culs, pour leur plus grand plaisir.
Cela nous a permis de tenir un bon moment, l'excitation subissant une baisse d'intensité à chaque changement ! Après quelques " galipettes " entre nous 4, je suis sorti dans le couloir de l'étage où l'oreille collée aux portes des différentes chambres, j'ai pu entendre bien d'autres bruits que des ronflements. D'après les voix, Tic et Tac s'occupaient d'Eric et dans la salle de baise (la chambre spéciale à deux très grands lits et paroi plus plafond en glace) j'ai deviné Igor et Bruno, baiser Arnaud et Ric.
Je les ai laissés à leurs turpitudes, vautrés dans la luxure et suis revenu vers mes amis pour dormir.
JARDINIER
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quelle météo pour la suite du mois de Mars ?
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tragediambulante · 7 months
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Jeune Homme nu assis au bord de la mer, Hippolyte Flandrin, 1835
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swedesinstockholm · 10 days
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5 avril
j'aimerais pouvoir instaurer un quota de temps de pensée quotidien consacré à un sujet. j'accorderais quinze minutes par jour au sujet r. par exemple, quinze minutes quotidiennes que j'aurais épuisées dès 8h15 du matin et hop je serais tranquille pour le reste de la journée. je lui ai parlé de pessoa et il m'a dit qu'en grand romantique il avait adoré le berger amoureux ou un truc comme ça, j'étais assise sur la marche devant la véranda au soleil et je me suis pris la tête dans les mains en gémissant. autre sujet: ce soir dans le train pour revenir de sète je parlais du sud avec maman, je disais que vivre ici était plus sain que vivre au luxembourg, et puis j'ai vu mon reflet dans la vitre avec ma casquette mes nouvelles lunettes de soleil et mon double denim et j'ai imaginé que c'était le reflet de mon moi d'ici. mon moi qui est là où elle est censée être.
6 avril
cet après-midi dans la voiture pour aller à pézenas je me disais que je devais rediriger mon énergie et remplacer r. par le sud de la france. ne plus tomber amoureuse que de territoires. me concentrer sur les arbres et les champs et les vignes qui défilent par la fenêtre ouverte de la voiture et le vent qui s'engouffre dedans et qui fait du bruit par dessus nostalgie et la colline de sète et celles d'agde et les bateaux qui rentrent dans l'hérault et ceux amarrés aux quais et sur le vocabulaire marin et le bruit des vagues sur la plage et l'odeur de marée et le pin du port de la pointe courte et les falaises du cap d'agde et les marais du bagnas et les flamants roses qui marchent avec la tête dans l'eau et les mouettes qui crient dans le ciel quand le soleil commence à se coucher. ne plus tomber amoureuse que de territoires et de littérature. j'ai trouvé la nouvelle édition décensurée de ravages dans une librairie à pézenas, le gros livre mauve qui trônait en exposition sur la table en ellipse de la librairie exc quand j'y avais lu géotropismes. maman me l'a acheté et je l'ai serré contre moi jusqu'à la voiture. autres cadeaux de la journée: une glace caramel beurre salé-chocolat à la mirondela, une vieille chemise de nuit à bords rouges que j'ai trouvée en triant des cartons chez mamie dans la pièce du fond, une bouteille de thé glacé rooibos-pastèque-menthe que h. avait déposée sur la table en bas parce que j'avais dit que j'adorais la bouteille rouge et rose quand on était chez elle.
ce matin j'étais encore en train de feuilleter le catalogue immobilier de sète et je me disais que quand je sortirais de ma non-vie, ce serait comme si je revenais de la mort. et quand on revient de la mort, tout est du bonus. quand on revient de la mort les choses sont moins graves et elles pèsent moins lourd, la gravité perd de son pouvoir, le centre de la terre n'a plus le même attrait. j'imagine. quand je reviendrai de la non-vie je veux faire les choses sans réfléchir. je sais pas quelle forme ça prendra de revenir de la non-vie, peut être que j'arriverai jamais à en sortir, mais dans ma tête ça va quand même finir par arriver.
8 avril
petit journal d'amour qui était caché dans ma banane toute la soirée d'hier dans les loges de la maison poème puis sur mes genoux pendant ma discussion intime interminable avec r. assis sur l'accoudoir du canapé puis sur la banquette du bar avec l., d. et c. et les autres et enfin sous la pluie de bruxelles pour rentrer chez m. en chantonnant don't go wasting your emotions lay all your love on me toute seule dans les rues de st. gilles. au bar l. m'a dit qu'elle adorait ma banane et je l'ai ouverte pour lui montrer sa meilleure qualité: mon journal rentre dedans! et elle a dit c'est de là que viennent tes poèmes! elle a fait une remarque sur le pendentif en perles et j'avais envie de lui raconter l'histoire de r. qu'y a derrière mais c'était pas trop le moment. ils se sont rencontrés hier soir. j'étais en train de discuter avec l. et d. quand je l'ai vu accoudé au bar en train de discuter avec la serveuse mais j'ai fait semblant de pas le voir, jusqu'à ce qu'il se retourne et me voie. je lui ai pas sauté dans les bras comme dans mes fantasmes, je l'ai pas serré fort contre moi, j'étais trop timide, et lui aussi était timide, c'était un peu bancal, et puis l. a dit mais tu connais des gens ici! et je me suis rapprochée de lui en disant c'est mon seul ami. elle a demandé comment on s'était rencontrés et j'ai dit ici à la maison poème et on aurait dit que je racontais une histoire de rencontre amoureuse très romantique.
j'ai passé la soirée à discuter avec lui au lieu de me joindre aux autres. il parlait beaucoup et parfois je m'ennuyais et je me disais est-ce que je suis vraiment amoureuse de lui au point de me priver de discussions avec mes pairs poètes? visiblement oui. il m'a confié plein de trucs intimes sur ses névroses et j'ai remis les deux pieds en plein dans la delulu. j'ai de nouveau réussi à me persuader qu'il était juste terrorisé de m'avouer et surtout de s'avouer à lui-même qu'il avait des sentiments amoureux pour moi. je veux pas en démordre. il m'a confié qu'il aimerait avoir une expérience homosexuelle et je me demandais s'il me disait ça parce qu'il me prend pour une lesbienne et que donc il a moins peur d'être jugé. il m'a dit que ça coinçait encore un peu parce qu'il craignait le regard des autres mais ok OK non mais j'y crois pas, est-ce que je suis vraiment en train de parler de la sexualité de r. alors que hier soir j'étais de retour sur les planches, derrière un micro, j'avais de nouveau les genoux qui tremblaient mais à part ça j'étais archi à l'aise, même avec les gens, quand j'étais pas prise en otage par les états d'âme de r. j'étais avec l. et d. et c. et j'étais normale et l. était un coeur avec moi, je me sentais même presque jolie, je portais mon double denim de sète et j'étais bronzée de la mer mon amour merci ma peau coopératrice. r. m'a écrit que j'avais l'air dans un méga mood en rentrant et je sais pas trop ce que ça veut dire mais j'ai dit ça c'est parce que je reviens de la mer lol. j'allais pas lui dire que c'était à cause de lui. ça c'est parce que t'étais là r. la vérité c'est que j'étais pompée à bloc parce que j'avais des interactions sociales avec des gens qui n'étaient ni des retraités ni des gens de ma famille, j'ai rencontré des nouveaux gens cool j'étais dans mon monde et les gens m'aimaient bien ET j'étais contente d'être avec r. c'était tout ça à la fois.
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firebirdxvi · 3 months
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Fils du Feu 09 ~ Flamme retrouvée
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- "Apporte ceux-ci à l'Emissaire, Jote. Je les ai spécialement triés selon les thèmes qu'il préfère !"
La petite fille attrapa la pile de livres que lui tendait l'archiviste et fit en sorte de mettre un pied devant l'autre sans tomber. Heureusement, elle connaissait par coeur le chemin jusqu'aux nouveaux quartiers que Joshua s'était choisis. Se glissant entre les Immortels qui circulaient dans les couloirs, elle parvint enfin à la grande porte autrefois scellée, et qui, grâce au pouvoir de l'Emissaire de Phénix, demeurait toujours ouverte dorénavant.
Elle entendait la voix du jeune homme qui indiquait aux acolytes où poser ses nouveaux meubles. Jote ralentit le pas afin de ne pas gêner les aller et venues. Elle jeta un oeil dans l'alcôve élue par Joshua ; elle se situait un peu plus profondément dans le bâtiment céleste que le reste des pièces de vie, le garçon l'avait repérée durant son périple avec Adalia. Elle était assez spacieuse pour recevoir un grand lit, une table, trois chaises ainsi que le fameux fauteuil en velours rouge - que Joshua semblait tant aimer - et des étagères de livres en nombre. Cette pièce disposait également d'une vasque encastrée, presque semblable à celle du Nid. On était en train d'installer une armoire pour lui permettre de ranger ses vêtements.
La petite fille, essoufflée, posa les volumes sur le sol et s'accorda un moment de répit. Depuis que l'Emissaire avait "éveillé" la cathédrale, les torches n'étaient plus nécessaires. Une lueur bleue suintait de tous les pans de roche grise. Elle ne nécessitait aucune variation car, que ce soit pour la veille ou le repos, elle demeurait d'une intensité parfaite. Les Immortels avaient donc remisé les torches ou les cristaux lumineux, préférant cet éclairage optimal pour toutes les taches de leur quotidien.
Quand Adalia lui avait raconté dans le détail leur voyage souterrain, Jote s'effraya beaucoup ; puis elle regretta de ne pas les avoir accompagnés. Les lieux semblaient receler quelques dangers pour l'heure encore endormis, mais cela avait été rapporté à Cyril, qui avait défendu à quiconque de pénétrer plus avant dans la cathédrale. Joshua aurait aimé explorer les profondeurs encore davantage, mais son humeur était si changeante que ses projets étaient constamment modifiés.
Il avait pris part à la vie du refuge, et déambulait parmi les adeptes avec une certaine aisance, essayant de se rendre utile. Cela rendait les Immortels nerveux ; leur dieu n'était pas censé les aider, même si sa seule présence parmi eux les mettait ordinairement en joie. Joshua était le premier à se précipiter dès que quelqu'un faisait tomber quelque chose, ou se blessait. Il semblait ne plus se souvenir comment guérir les blessures, et il restait alors, interdit et comme muet, tenant la main du fidèle blessé au bord de la syncope, qui n'en revenait pas que le Phénix lui-même lui fasse la grâce d'un simple contact physique.
Jote ne doutait pas qu'il retrouverait cette faculté mais il s'agissait avant tout de canaliser son énergie. Joshua pouvait se montrer d'une folle témérité, puis l'instant d'après se plonger dans un livre et dans le silence pendant des heures. Il prenait des décisions audacieuses par lui-même pour certaines choses, mais se comportait comme un petit enfant timide pour d'autres, quémandant la permission de faire ceci ou d'aller là à chaque Immortel qu'il croisait. Il courait parfois dans les corridors avec une idée fixe en tête, puis s'arrêtait en pleine course, songeur, s'appuyant contre le mur pour réfléchir et faire demi-tour. Ses cinq années de sommeil semblaient avoir quelque peu affecté sa capacité à prioriser les choses et à prévoir les dangers.
Il aimait par-dessus tout revêtir la bure grise des Immortels - il avait réussi à s'en procurer une - et se glisser parmi ses fidèles incognito. Jote l'avait déjà vu faire. Un jour, il s'était assis avec les adeptes durant une de leurs séances de prières, et s'était assoupi, comme mis en transe par les paroles douces et monocordes de Maître Cyril. Mais quand il se déplaçait dans les couloirs, les fidèles finissaient par le reconnaître car il avait une façon bien à lui de marcher, du genre de celle qu'on apprend dans les châteaux. Jote s'en amusait souvent, quand il se faisait démasquer et que l'Immortel qui le houspillait une minute plus tôt comme un vulgaire apprenti se confondait en excuses en s'aplatissant presque par terre.
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- "Vous devriez traiter tous vos semblables de la même manière que vous me traitez", expliquait alors Joshua avec patience. "Ou alors traitez-moi comme un des vôtres, cela m'est égal."
Cyril savait tout ceci mais il avait décidé de laisser l'Emissaire agir à sa guise.
Une semaine passa ainsi depuis que Joshua s'était installé dans son nouveau décor. La petite fille prévoyait qu'il aurait de nouveau la bougeotte d'ici peu. Elle le vit soupirer, les yeux levés, quand elle lui amena les cristaux pour son bain. Elle les posa sur la table et demanda la permission de s'assoir.
- "Jote, est-ce que vous croyez que je pourrais sortir ?"
L'Immortelle prit quelques secondes avant de comprendre ce que le mot "sortir" signifiait vraiment ici.
- "Vous voulez dire... dehors ?"
- "Oui, hors du refuge."
Elle saisit alors tous les sens que cette question pouvait revêtir. Il était bien évident que Maître Cyril n'empêcherait pas l'Emissaire d'aller où il voulait ; mais quant à savoir si Joshua était "capable" de sortir à l'extérieur, au soleil, sous le ciel, de retrouver ses semblables, des individus qui ne seraient pas des Immortels dévoués, c'était une autre histoire. Il semblait se porter relativement bien sur le plan physique, même s'il manquait encore d'exercice pour retrouver une pleine forme. Ses pouvoirs d'Emissaire semblaient revenus mais il était difficile de juger de leur puissance et de l'aide qu'ils pouvaient lui apporter en cas de besoin. L'usage de la magie était de toute façon très contre-indiquée dans et en dehors du refuge ; cela attirait beaucoup trop l'attention.
Jote avait entrepris de suivre des cours d'escrime avec leur maître d'arme mais elle n'en était encore qu'au commencement. Elle ne serait d'aucune aide pour le jeune garçon s'il était en danger. Pour l'instant... Jote se gifla mentalement ; Joshua exprimait le souhait de retrouver la vie et elle imaginait déjà le pire !
- "Vous devriez en parler avec le Maître", se contenta-t-elle de dire.
- "Bonne idée. J'aimerais voir Dame Adalia, elle me dira si je vais assez bien pour me risquer dehors..."
De nouveau, il avait adopté son attitude de petit garçon indécis, peu sûr de lui, alors que la veille il avait encore évoqué son idée de redescendre explorer les ruines célestes. Pour l'heure, il se dirigeait vers les quartiers du Maître d'une démarche pas aussi assurée qu'il l'aurait voulu.
Jote, de son côté, courut chercher la soigneuse. Elle ne gravitait plus autant autour de l'Emissaire mais se montrait toujours disponible dès qu'il avait besoin d'elle. Adalia se trouvait dans l'infirmerie et rangeait des flacons quand la petite fille vint presque se pendre à sa robe.
- "Ma Dame, Jo... l'Emissaire ! Il veut vous voir ! Il est avec Maître Cyril !"
- "Que se passe-t-il ?"
Jote pensa la rassurer en l'informant que le garçon désirait seulement quitter le refuge mais cela ne fonctionna qu'à moitié... Les deux Immortelles se hâtèrent dans le couloir, éveillant de nouveau l'inquiétude des acolytes qui les regardaient passer. Qu'avaient-elles encore en tête pour mettre le refuge sans dessus dessous ?
Joshua était sagement assis dans la chambre de Cyril et le Maître se tenait à ses côtés, l'air soucieux. Quand le jeune homme vit Adalia, ses traits se radoucirent et il lui sourit.
- "J'espère que vous êtes remise de notre petite aventure..."
Il s'était rendu compte par la suite du danger qu'il avait fait courir à la soigneuse en la laissant venir avec lui mais l'Immortelle ne lui en avait jamais tenu rigueur, même si elle avait eu grand peur.
- "Vous souhaitez sortir, Votre Grâce ?" demanda-t-elle en croisant les mains.
- "Effectivement, le Phénix trouve peut-être cet endroit trop... étroit pour sa grandeur", prononça Cyril sans aucun sous-entendu. "Je suis particulièrement heureux par la perspective de le voir régner de nouveau sur Rosalia, mais c'est encore un peu..."
- "Oh ! je ne compte pas me rendre en ville !" s'empressa de rectifier Joshua. "Juste... marcher sous le soleil, sentir le vent, écouter les sons de la nature... Je crois que tout cela me manque."
- "Si vous ne comptez pas vous éloigner des marais, cela ne devrait pas être trop dangereux. Je peux vous adjoindre une escorte," décida Cyril. "Je vais quérir de ce pas celui qu'il vous faut. En attendant, examinez Sa Grâce afin de vous assurer qu'il est... apte à cette excursion."
Le Maître s'éclipsa, laissant le trio dans son bureau. Adalia se pencha sur Joshua et commença un examen sommaire. Elle lui demanda comment il se sentait, s'il avait du mal à dormir, s'il avait bien mangé ses carottes, ce qui fit sourire de nouveau le jeune homme.
- "Jote m'en a fait manger. Je n'aime toujours pas ça mais j'ai voulu lui faire plaisir..."
- "J'aurais préféré que vous ne me disiez pas la vérité...", se renfrogna la petite fille.
Adalia regarda leur échange avec tendresse puis prononça son diagnostic.
- "Vous avez surtout besoin de vous dépenser. Vous êtes si jeune ! Vous ne pouvez pas rester ici tout le reste de votre vie. Cependant, ne vous épuisez pas trop. Vous êtes encore fragile, même si vous n'en avez pas l'impression... Dans votre état, tout est une question de dosage ; vous devez apprendre où sont vos limites. Vous l'auriez appris naturellement si vous n'étiez pas tombé dans le coma durant la phase la plus importante de votre développement de futur adulte..." Adalia soupira. "Vous allez devoir faire avec et rattraper ce temps perdu, mais à votre rythme. Inutile d'aller trop vite ou de chercher les ennuis. Vous me promettez d'être prudent ?"
Joshua hocha la tête.
- "Je vous donne mon autorisation alors, en tant que médecin. Je me demande qui va vous accompagner..."
Elle n'eut pas longtemps à attendre. Le Maître revint accompagné d'un Immortel d'âge moyen, à la courte barbe brune grisonnante. L'homme portait une petite épée dans les mains, et une autre était ceinte à sa taille.
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- "Votre Grâce, voici votre escorte. Cet homme sera votre fidèle serviteur tant que vous vous déplacerez en dehors de ces murs. Et même davantage si vous le souhaitez."
Joshua jaugea l'homme d'un coup d'oeil, lui sourit et lui demanda :
- "Comment vous appelez-vous ?"
Les quatre Immortels échangèrent un regard un peu gêné, ne parvenant pas à s'habituer aux manières si désinvoltes de l'Emissaire qui brisait toutes leurs règles.
- "Votre Grâce...", commença l'homme, décidé à obéir. "Vous pouvez m'appeler comme vous le désirez..."
- "Donnez-moi un nom, n'importe lequel ! Ce sera plus facile pour moi d'être en votre compagnie si je peux vous appeler par votre nom."
L'homme sembla réfléchir mais Cyril prit les devants.
- "Nommez-le Baden, Votre Grâce."
- "Baden", répéta le jeune garçon en scrutant l'homme silencieux. Celui-ci hocha la tête. "Bien, Sire Baden. Menez-moi donc à l'extérieur par des chemins sûrs."
- "Avant que vous ne partiez, précisa Cyril, veuillez prendre ceci." Il lui remit dans les mains la courte épée que tenait Baden. "Vous n'avez pas de formation particulière même si on vous a enseigné les rudiments des passes d'armes dans votre jeunesse. Mais je me sentirais plus rassuré si vous portiez une arme."
- "Y a-t-il quelques dangers ?" demanda Joshua en passant la ceinture autour de sa taille.
- "Des bandits peuvent rôder dans les marais. Nous avons du nous débarrasser de quelques-uns trop curieux déjà..."
Il se rapprocha du garçon, peut-être un peu trop même pour son rang.
- "Je tiens à ce que personne ne vous voit pour l'instant. Restez à l'écart des foules", murmura Cyril. "N'utilisez pas la magie. Personne ne doit savoir que vous êtes vivant."
- "Comme je vous l'ai dit, je ne tiens pas à me rendre en ville", répondit Joshua en reculant, presque effrayé.
- "Que le Fondateur vous protège."
Le Maître les précéda dans le couloir vers la sortie. Jote et Adalia les suivirent un moment mais furent sommées de retourner à leurs occupations. Face à la porte circulaire qui le séparait encore du véritable monde des vivants, Joshua prit une grande respiration. Il connaissait cette émotion ; il avait eu la même quand son père l'avait officiellement présenté au peuple rassemblé comme l'Emissaire de Phénix. Son coeur avait alors tambouriné dans sa poitrine avec la même force qu'à présent.
Il n'avait pas besoin de clef pour actionner les battants. Plaçant sa main au centre du motif gravé, il attendit que le verrou céleste se débloque sous l'action de sa magie. Un souffle d'air frais faillit le renverser en arrière, tandis qu'il se protégeait les yeux des rayons du soleil, qui lui semblèrent alors d'une violence inouïe. Il plissa les paupières, mais il ne put empêcher ses larmes de couler devant l'assaut de la lumière. En même temps, il sentit une énergie naturelle envahir ses membres à mesure que l'astre du jour le touchait. Il avança en dehors du refuge, les mains toujours tendues devant lui, ne sachant trop où il allait. Il savait juste qu'il sortait pour aller quelque part.
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La main de Baden saisit la sienne pour le guider et petit à petit, sa vue s'accommoda. Le soleil ne brillait pas autant qu'il le pensait ; des nuages gris couraient dans le ciel et le disque lumineux ne faisait que quelques apparitions. Il se souvient confusément d'un chiot dont la fourrure avait la même couleur... Ses oreilles furent assaillies par un son qu'il reconnut comme étant un coassement de grenouilles. Il regarda où il mettait les pieds et vit des herbes hautes ainsi que des joncs se balançant tranquillement au vent. Un grand échassier s'envola en les repérant et le bruit de ses ailes parut extrêmement fort aux sens de Joshua.
Il avait l'impression de renaître réellement au monde, après une longue absence.
Baden lui laissa le temps de vaguer parmi les roseaux à la recherche de grenouilles dissimulées. Joshua remarqua alors que le refuge se trouvait sur une petite falaise au flanc d'une chaîne de montagnes basses. Vues de l'extérieur, les ruines ressemblaient aux pétales écartés d'une rose tranchante. Une petite forme blanche voleta jusqu'à la structure et se posa quelque part hors de vue.
- "Un stolas", annonça Baden. "Pour Maître Cyril, je suppose."
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En contrebas, Joshua vit la zone des marais rosaliens, qui se situaient au nord du pays. Ses notions de géographies étant rafraîchies par ses lectures, il savait qu'ils se trouvaient éloignés du village de Lestange ainsi que de Fort Phénix de seulement quelques kilomètres. De là où il était, il apercevait l'auberge du croisement, situé sur une éminence rocheuse, bien pratique pour prévenir les attaques.
Mais aucune position stratégique ne pouvait résister à l'armée impériale. Que restait-il de ce charmant petit bourg, dont il se souvenait à peine pour ne l'avoir traversé qu'une seule fois, pressé par le danger ?
Il se déplaça un peu plus en avant et la tour en ruines qui lui cachait la vue lui offrit un paysage plus dégagé. Il porta la main à sa poitrine de stupeur. Ce qui aurait du être un des projets les plus novateurs de son père exposait ses entrailles aux oiseaux et aux intempéries, comme un monstre abattu qu'on aurait dépecé. Le gigantesque aqueduc qui aurait du traverser le pays de part en part avait été abandonné. S'il avait été achevé, il aurait permit à nombre de Rosaliens de se passer des cristaux et des Pourvoyeurs pour leur approvisionnement en eau. Le coeur de Joshua se serra ; son père était mort avant de concrétiser ce rêve...
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- "Tout va bien, Votre Grâce ?" Joshua hocha la tête, comme absent. "Rosalia est toujours vivante malgré tout. Le souvenir des Rosfield ne s'effacera jamais. Les Sanbréquois ont bien tenté de le démonter, mais... ses pierres sont bien trop puissantes pour eux."
Il marcha en direction du rebord du plateau.
- "Voulez-vous descendre ? Faites attention, les marches sont traitres."
L'Immortel disparu alors de sa vue et le garçon se précipita en avant. Il vit Baden suspendu à la muraille, les mains accrochées à des entailles profondes creusées dans la roche le long de la paroi. Prenant son courage à deux mains, Joshua suivit son exemple et du beaucoup se concentrer pour coordonner ses mouvements. Arrivé en bas de la descente, il rata une marche et l'acolyte le rattrapa de justesse avant qu'il n'aille s'étaler piteusement dans une mare stagnante.
Il ne se formalisa pas de si peu, déjà accaparé par tout ce qui l'entourait. Il aspira une longue goulée d'air et expira lentement, ravi par les odeurs et les sons. Enfin, de vieilles sensations lui revinrent. La pleine conscience de la vie qui fourmillait tout autour de lui, même la plus infime, la plus invisible, celle qu'il avait toujours été le seul à percevoir, le renversa presque en arrière. Il tourna sur lui-même, laissant ses bottes neuves s'enfoncer dans le sol mou, comme saoulé par ce trop-plein d'émotions.
Il plongea ses mains dans une mare d'eau croupie avant que Baden ait pu l'en empêcher et regarda les lentilles d'eau se coller à ses doigts. Un crapaud sauta près de lui et Joshua se mit à rire en passant sa main mouillée dans ses cheveux blonds.
- "Attention, les crabes de vase sont particulièrement agressifs... et venimeux", s'inquiéta l'Immortel.
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Mais Joshua s'en moquait pour l'heure. Il écarquillait des yeux émerveillés sur chaque brins d'herbes, chaque petite créature, et écoutait attentivement tous les bruits de la vie sauvage comme si c'était la première fois. Comme repu, il indiqua du doigt l'aqueduc inachevé.
- "Je voudrais m'approcher des fondations. Est-ce possible ?"
- "Nous devons traverser la route et atteindre l'autre côté des Jonchères. Ce n'est peut-être pas très prudent..."
- "Nous ferons attention alors."
Laissant l'homme le guider parmi les mares, Joshua ne put s'empêcher de traîner en route, demandant le nom des oiseaux qui s'envolaient à leur passage. Baden lui répondait de son mieux avec une infinie patience, puis ils finirent par atteindre la route. Celle-ci montait jusqu'à l'auberge du croisement mais les deux explorateurs ne se rendaient pas là-bas. Ils se cachèrent dans des buissons afin de guetter une opportunité de traverser sans être vus.
Joshua vit passer des hommes, des femmes et des enfants, à pied ou à dos de chocobo ; des soldats aussi, à la livrée étrangère. Probablement des Sanbréquois. Ils n'hésitaient pas à rudoyer les voyageurs ; un Pourvoyeur isolé s'attira même leurs foudres en ne répondant pas assez vite à leurs questions. Le garçon serra les poings. La colère ne lui était pas familière mais une émotion nouvelle se fit jour en lui.
Ces gens étaient des Rosaliens, ses semblables, son peuple. Cette évidence lui fit perdre ses moyens. Pourquoi se sentait-il soudainement si lié à eux ? La vision de ces êtres simples, essayant de vivre leur vie quotidienne sous le joug d'un envahisseur qui ne faisait rien pour améliorer leur existence, le mit hors de lui. Mais il se contint en sentant la main de Baden étreindre son épaule.
- "Gardez votre calme, Votre Grâce. Un jour, nous leur ferons payer..."
Ils laissèrent passer la dernière cohorte et attendit qu'elle soit assez éloignée pour tenter la traversée. Les assises de l'aqueduc se rapprochaient et ils purent davantage apprécier l'audace de l'ouvrage.
De retour dans le marais, Joshua escalada de petits monticules immergés afin de toucher les vieilles pierres glorieuses. Son père lui avait si souvent parlé de cet édifice, mais il n'avait jamais eu l'occasion de le voir de près. Il lui disait toujours que ce serait sous son règne, à lui, que ce formidable outil serait achevé. Elwin Rosfield était un visionnaire, comme tous ceux de sa lignée ; peu lui importait de voir par lui-même les résultats de ses réformes ou de ses travaux monumentaux, tant que ses fils seraient là pour perpétuer ses idéaux.
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Un monument destiné à relier tout le monde... Oui, c'était tout à fait Elwin. Son père était un homme bon, épris de justice, et sa mort ignominieuse continuait de hanter Joshua. Cette image le poursuivrait jusqu'à sa propre fin.
Le garçon continua de marcher le long des arcades gigantesques, insoucieux de l'état de ses bottes. Un troupeau d'antilopes rayées se dispersa à son approche, s'égayant dans les hautes herbes et les mares. L'une d'entre elles, cependant, ne sembla pas pressée de s'enfuir. Elle se dirigea péniblement vers les deux hommes - car elle boitait - et s'immobilisa à un mètre de distance, la tête basse.
Joshua sentit comme un puissant appel. Se déplaçant vers l'animal, il perçut immédiatement sa souffrance. Sa source n'était pas difficile à deviner, car son sabot arrière refusait de se poser dans l'eau croupie et restait en l'air, forçant l'animal à rétablir son équilibre précaire à chaque instant.
- "Votre Grâce, cette bête est peut-être dangereuse. Quand ils sont blessés, ils peuvent..."
- "Non, elle veut de l'aide..."
Il tendit la main vers l'antilope et la laisser flairer ses doigts. Ses grands yeux noirs et doux, ourlés de longs cils, exprimaient une sensation que Joshua comprit parfaitement. Elle était épuisée et ne tarderait pas à se coucher pour mourir. La main de l'Emissaire glissa le long de son flanc, puis sur sa cuisse, enfin il se pencha pour examiner la blessure. Là, juste au-dessus du paturon, une plaie ouverte suintante répandant une mauvaise odeur. Pas bon signe... La chair avait commencé à se nécroser, l'infection était en marche. Si la blessure avait été causée plus haut sur le corps, la bête aurait pu s'en sortir, mais l'habitude des antilopes de marcher dans l'eau des marais ne lui en laissait aucune chance.
Il remonta sur le flanc et sentit la fièvre qui le faisait trembler. Il savait ce qu'il devait faire mais n'était pas certain d'y arriver... Il devait d'abord débarrasser la plaie des saletés qui s'y étaient accumulées afin de sauver les tissus. Il guida la petite femelle antilope vers un endroit sec - elle se laissa faire - puis commença à se concentrer. Il ferma les yeux et tenta de visualiser toutes les impuretés qui s'étaient insinuées dans la plaie. Cela lui demanda de faire appel au pouvoir du Phénix ; lui seul pouvait lui permettre de déceler ce qui était invisible à l'oeil nu. Laissant l'oeil du Primordial le guider, le feu guérisseur se mit alors au travail.
Baden n'osait pas prononcer un seul mot, captivé par le processus. Il se mit même à genoux et commença à psalmodier des prières au Phénix, comme pour aider Joshua. Celui-ci n'entendait rien d'autre que le bouillonnement du sang, les battements de coeur entêtés de la bête. Quand il rouvrit les yeux, la plaie saignait de nouveau ; mais le sang était clair et sain, il avait vaincu l'infection.
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Il devait maintenant reconstituer les tissus détruits. C'était le plus délicat. Il devait entrer lui-même dans l'organisme malade pour "copier" en quelque sorte le membre sain. Il s'assit par terre et se colla tout contre le flanc chaud de l'antilope. Celle-ci, en retour, s'appuya contre lui, comprenant parfaitement ce qu'il tentait de faire. De ses longs doigts fins, il caressa la jambe blessée de haut en bas, comme pour en modeler une nouvelle, et il sentit que cela revenait. Cette sensation familière de restauration, de reconstruction de ce qui avait été défait, démonté... Il en soupira de satisfaction. Il avait retrouvé la voie de la guérison, il se souvenait comment faire. Cela lui était si facile, jadis... Il passait alors par toutes ses étapes sans y penser, en quelques secondes...
Il ne fit qu'un avec la douleur de la bête en lui murmurant des "ccchhh" lents et doux. La blessure se refermait et les chairs se reconstituaient sous ses doigts habiles. Tous les gestes les plus infimes lui revinrent en un instant et il en aurait pleuré de joie. Il ne supportait pas la souffrance de l'innocent.
Perdu dans sa transe, il serait bien resté ainsi pendant encore un bon moment, la joue pressée contre le ventre de la bête. Celle-ci, reconnaissante, lui fourragea gentiment les cheveux de ses lèvres mobiles, le ramenant au temps présent. Il se leva et plongea dans le regard noir et velouté de l'antilope. "Merci", crut-il entendre. Elle ne lui avait pas parlé bien sûr, mais il comprit que c'était son sentiment.
- "Merci à toi...", lui répondit-il, les yeux dans le vague.
L'animal s'éloigna alors en sautillant vers son troupeau qui attendait à quelques mètres. Elle ne boitait plus du tout. Joshua leva les yeux vers l'aqueduc inachevé et soupira :
- "On peut toujours reconstruire les choses tant qu'il reste quelqu'un pour y croire, n'est-ce pas ?"
Baden avait fini sa prière et se relevait avec lenteur.
- "A vos côtés, je pense que rien n'est impossible, Votre Grâce."
L'Emissaire de Phénix se pencha en avant et toussa fortement. Un froid mordant le saisit alors ; une partie de sa force vitale l'avait quitté pour passer dans un autre être, et jamais plus ne lui reviendrait.
Mais il savait que cela était juste. Il était le Phénix, il ferait ce qu'il devait faire.
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under-the-sulfur-sun · 4 months
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L'Amour coupant ses ailes by Jean Marie Bonaimé Bonnassieux and L'Amour assis au bord de la mer rassemblant les colombes du char de Vénus by Louis Claude Vassé except it's Gabriel and some Virtues
some sketches to snack on before i start school again
the former one does represent a rather young version of Eros so please be aware of that (Amour, or l'Amour is Eros' French name)
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aurevoirmonty · 2 months
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Il était un roi en Thulé, Fidèle jusqu’à la tombe, À qui sa maîtresse mourante Donna un gobelet d’or.
Il n’avait rien de plus précieux ; Il s’en servait à chaque banquet. Ses yeux se remplissaient de larmes Chaque fois qu’il buvait dedans.
Et quand il sentit sa fin, Il compta les cités de son domaine, Léguant tout à ses héritiers, Sauf le gobelet d’or.
Assis dans le banquet royal, Ses chevaliers autour de lui, Dans l’auguste salle ancestrale De son château au bord de la mer.
Là, le vieux buveur se leva, But la dernière ardente gorgée, Et jeta le saint gobelet Dans les flots en contrebas.
Il le vit chuter, remplir et couler Profondément dans la mer. Ses yeux aussi s’abaissèrent ; Il ne but plus une goutte de plus.
Goethe
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vitruvianmanbara · 3 months
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just curious but why are you so into st sebastian? like ive been following you for long enough to know your interests in the classical and in eroticism vary far and wide (as a true connoisseur's should 🫡) but why return to that particular iteration over and over
Hmmm this was a harder question to answer than I thought it would be! I think I initially became interested in the various depictions because I noticed how they have been and continue to be reiterated in all types of media, not just the visual arts....artists of all sorts do this with religious motifs, but Sebastian's historical associations with homosexuality (and his role as a plague saint) make those depictions particularly fascinating to me.
It's difficult for me to write a coherent analysis on this, but some aspects of his gay icon status I find really interesting - quotes are pulled from the fantastic article "Losing his religion - Saint Sebastian as contemporary gay martyr" by Richard A. Kaye:
That he is primarily depicted as a solitary figure, something that might seem at odds with the way even classical representations of him are read as gay or sexually ambiguous
A great quote about the above: "The martyr's self-absorbed detachment of visual affect is a fundamental aspect of his intricate mythology, for an archetypal image of an ecstatically self-preoccupied nude male would seem to grant erotic permission to nobody, and, yet, paradoxically to every viewer. In rough psychoanalytic terms, then, the martyr provides the opportunity for an unobstructed, unmediated erotization [...] As with the solitary youth depicted in Michelangelo's David or Hippolyte Flandrin's Jeune homme nu assis au bord de la mer [...], Sebastian's basic narcissism provides for what might be terms a polymorphously perverse response on the part of the viewer." (p.90)
Depictions are so frequently located at the intersection of alternative modes of male eroticism (the erotic as a solo activity, an invitation to freely regard the vulnerable exposed body, the "feminized" posing typical to some St. Sebastian art) and death, lending themselves to associations with gay sexuality and sadomasochism. The facts that 1) in the Bible, Sebastian continue to survive after being shot full of arrows, and 2) is so often depicted responding to penetration with either an expression of calm acceptance or with facial & body language that straddle the line between pleasure and pain, lend themselves to associations of voluntary participation in alternative, marginalized forms of pleasure.
There is some interesting scholarship on the way St. Sebastian's association with gayness track onto the medicalization of homosexuality - early sexologists like Hirschfeld actually explicitly identified images of St. Sebastian as ones that "inverts" tend to be drawn to.
The politicization of Sebastian imagery post-Stonewall and AIDS is something not often talked about (on here at least), but is really fascinating. Some people soured on him post-Stonewall, seeing him as too passive an icon for the politically charged moment.
With AIDS, "Sebastian the historic soldier comes to represent the militant, newly politicized homosexual, beautifully exposed to his fate but non-passively [...] In the late 1980s and early 1990s, one witnesses a double transformation of Saint Sebastian: first, as a saint invoked to ward off the plague [...] and, second, as a politically charged figure signifying not so much sado-masochism as government neglect and social hostility. As such, Saint Sebastian symbolically encapsulates (and partly resolves) what the critic Douglas Crimp has identified as two vital, supposedly irreconcilable, components of gay culture in the age of AIDS: the labour of mourning and the work of political activism." (p.98)
Something I haven't seen discussed in the scholarship on Saint Sebastian and AIDs is an analysis of Sebastian being tended by Saint Irene imagery...not sure if it's unexplored or if I just haven't found it yet, but I think of this a lot in association with lesbian blood drives, as well as a group of nuns & a female pastor I know who have shared stories with me about caring for men with AIDS (and eventually arranging their funerals and burials) when their families would not show up.
Anyway...you get the idea! I love the way the eroticism of Sebastian imagery has been received and richly interpreted in so many ways across history, the explicit tie ins to issues of gay self-identity and politics definitely make him of special interest to me! 🏹
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alexar60 · 6 months
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Le gouffre (histoire réécrite)
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(J'ai supprimé la précédente histoire parce qu'elle ne me plaisait pas)
Pendant les vacances, je suivais constamment mes potes. On faisait des tours de vélos dans le village ainsi que dans la campagne ou dans les bois. On allait loin, à dix kilomètres de chez mes parents. J’avais dix ans et personne ne s’en souciait. Certainement parce que dans les années quatre-vingt, l’insécurité n’avait pas la même définition. Surtout pour un groupe de garçons.
Ce jour-là, nous suivîmes Christophe dans la forêt. Il avait écouté sa grand-mère parler d’un lieu maudit mais oublié. Il s’agissait d’une grotte au cœur de la forêt, inaccessible par les chemins actuels. Et d’après elle, cet endroit serait maudit. Durant son enfance, il y vivait un ermite qu’on suspectait être un mangeur d’enfants. Alors, il voulait savoir si cette caverne existait réellement.
Nous passâmes une bonne demi-journée à chercher le lieu perdu. On privilégiait les anciennes carrières. Il y en avait quatre, sans trouver d’entrée pouvant correspondre. Je n’avais jamais autant fait de vélo de ma jeune vie, avant cette recherche. Malgré la fatigue, nous continuâmes jusqu’à un lieu appelé le chantoir.
L’endroit n’avait rien d’incommodant. Il n’existait aucune route pour y accéder, pas même de sentier officiel. C’était juste un creux entouré d’arbres. Cependant, une partie était composée de roches formant une sorte de falaise. Nous longeâmes les parois jusqu’à découvrir une faille caché par quelques plantes grimpantes.
C’est là ? demanda Mehdi.
Personne ne répondit. Christophe s’amusait à débarrasser le lierre pendant qu’Arnaud partit pisser contre un arbre. De mon côté, je restais assis sur mon vélo à attendre ce qu’on devait faire. Je regardais la brèche s’agrandir lentement après le nettoyage de mon copain. Il était évident qu’un adulte de taille moyenne pouvait entrer par cet endroit.
Les yeux de Christophe pétillaient devant l’entrée de ce qui ressemblait à une grotte. Nous restâmes derrière lui à attendre la suite. Il surprit le groupe en sortant de son sac à dos une lampe torche. Certain qu’on trouverait le site, il avait tout prévu. Il commença par allumer la lampe, la dirigeant vers la faille afin de voir au plus loin.
Et si l’ermite arrive ? intervint Mehdi.
Il doit être mort, répondit Christophe. Ma grand-mère m’a dit qu’il habitait ici quand elle avait notre âge.
Mais tu es certain que c’est ici ? rétorqua Arnaud.
On a trouvé une grotte, non ?
Puis, il avança. Il toucha du bout des doigts les parois avant de se retourner dans notre direction et d’ajouter :
Alors, vous venez ?
Je descendis de ma bicyclette. Par contre, Arnaud et Mehdi restèrent assis. Ils n’étaient pas convaincus par l’aventure qui s’offrait à nous. Dès lors, Arnaud expliqua qu’il commençait à se faire tard, préférant repartir et éventuellement revenir le lendemain. Je restais donc avec Christophe qui, trouva les mots pour me convaincre :
On entre cinq minutes, puis on revient demain avec les copains.
Ainsi nous pénétrâmes l’entrée de cette grotte inconnue. Nous étions comme Tom Sawyer et Huckleberry Finn à la recherche du trésor des pirates. L’idée de la présence de Joe l’indien titilla mon esprit, avant de disparaitre comme elle était venue.  Ce n’était qu’un dessin animé inspiré d’un livre, après tout.
Nous quittâmes le jour pour entrer dans la nuit. Seule la lampe torche permettait d’avoir un peu de lumière. Elle éclairait faiblement mais suffisamment pour entrevoir une distance de  quelques pas. Nous marchâmes lentement dans un court passage aux parois rugueuses. Je sentais les bords coupants de la roche presser contre mes vêtements. Enfin, nous arrivâmes dans ce qui parut être une salle.
C’est ici ! On a trouvé la grotte ! Cria de joie mon ami.
Je riais, heureux de notre découverte pendant qu’il sautait dans tous les sens. Nos clameurs résonnaient laissant croire que nous étions une centaine de personnes. Je proposais ensuite de rentrer. Soudain, mon pote découvrit un nouveau passage. Dès lors, il m’invita à le suivre.
Juste pour voir et après, promis, on fera demi-tour.
Résigné, je le suivis en pénétrant dans un petit couloir. Je devais légèrement m’accroupir pour éviter au plafond d’essuyer une couche moite sur mes cheveux. Nous marchions dans le noir complet, éclairé uniquement par un faisceau de lumière, lorsque je sentis le sol s’effondrer brutalement.
La chute fut, à la fois, rapide et longue. Nous n’avions pas eu le temps de hurler. Je me retrouvais étendu sur le dos au bord d’un précipice, une jambe pendant dans le vide. J’étais coincé sans savoir à quelle hauteur je me trouvais. Ma hanche ainsi que mon épaule droite faisaient horriblement mal. Chaque mouvement était insupportable.
A ce moment, je regrettais d’avoir suivi Christophe. Perdu dans le noir, je pensais à mes parents, à ma sœur. Je hurlais appelant à l’aide. Mais seul l’écho répondait. Tout à coup, une voix vint à mon oreille.
Ne panique pas, dit calmement Christophe.
Où es-tu ?
En dessous de toi.
Effectivement, sa main toucha mon bras gauche jusqu’à agripper mes doigts pour les serrer. Ce geste rassura mon esprit. Nous parlâmes de mes blessures et de leurs douleurs. Il me dit qu’il ne pensait n’avoir rien de cassé, quelques contusions. Mais il avait perdu la lampe et il ne pouvait nous éclairer. Puis il s’excusa de m’avoir emmené dans ce gouffre. De temps en temps, sa main serrait la mienne dans un geste fraternel.
Pendant des heures, nous restâmes à attendre, sans rien voir de ce qui nous entourait. Parfois, je m��endormais. Seulement au moindre mouvement, l’atroce douleur me réveillait. Christophe ne parlait jamais à moins de répondre à mes appels. Il attendait sagement, persuadé qu’une expédition viendrait pour nous secourir. C’était évident, on allait venir.
Quelle heure est-il ? questionnais-je.
Je ne sais pas… Deux heures, trois heures…
Il fait nuit ?
Oui.
J’ai peur, dis-je.
Il ne répondit qu’en serrant ma main encore une fois. Je ne savais pas où il trouvait cette force à croire en l’espoir. Il était toujours le premier à faire les conneries, on le suivait. Et finalement, on s’en sortait toujours. Il me rassura une dernière fois. Puis je m’endormis en l’entendant dire :
J’aimerais revoir ma mère.
Des murmures nous réveillèrent. Des échos perdus dans la cavité se rapprochaient de nous. Mon pote serra ma main lorsqu’une lumière éclaira mon visage. J’aperçus au loin, à une dizaine de mètres au-dessus de moi, des têtes casquées. Ils crièrent. Deux hommes descendirent en rappel pour me secourir. Je pus souffler. Aussi je fus surpris d’entendre une troisième personne demander si j’étais seul.
C’est trop profond pour continuer de descendre, annonça en criant un des sauveteurs. Il y a au moins cents mètres.
Mais Christ est juste là.
Désolé mais il n’y a que du vide. Tu as eu énormément de chance de tomber sur ce bord.
Comprenant son erreur, il ajouta : T’en fais pas, on va retrouver ton copain.
Il avait raison. Le corps de Christophe était bien plus bas.
J’ai mis plus d’un an à me remettre de mes blessures et dix ans à retrouver le moral sans penser à mon ami. J’ai gardé contact avec Mehdi et Arnaud pendant longtemps. Après cette tragédie, nous avions arrêté nos conneries. Cependant, Je ne les ai jamais remerciés d’avoir donné notre position. Sans eux, je serai aussi mort. De même, je n’ai jamais parlé de nos discussions dans le gouffre avec Christophe. Parce qu’elles n’étaient pas possibles d’après les secours. Le précipice était trop lisse pour qu’il puisse se tenir. Mais il était avec moi pendant tout ce temps, à attendre qu’on vienne me sauver.
Alex@r60 – novembre 2023
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homomenhommes · 12 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 149
Jean est passé l'autre soir. Cela faisait un bon moment que nous ne l'avions vu. Du coup il est resté diner car il avait plein de chose à nous raconter.
Tout d'abord le deal avec son " vieux " roule tout seul. Exigences correctes aussi bien coté temps passé que prouesses sexuelles. Financièrement le marché est aussi respecté, donc tout le monde est content (voir l'Audi A3 neuve dans la cour). Le seul défaut du système est le manque de diversité ! Baiser avec le même mec toute la semaine et toutes les semaines ça lui pèse un peu car il n'a pas beaucoup de temps pour aller voir ailleurs.
Nous en étions encore qu'à l'apéro. Marc, à l'entendre, s'est levé et placé devant lui. Il a ouvert sa braguette et a fait " suce ". Jean s'est jeté dessus et j'ai assisté à une fellation en règle. Jean, la gorge habituée à laisser passer du gros calibre, a avalé Marc entier dès le premier coup de rein avec une facilité que je ne lui connaissait pas. Marc les mains sur sa tête maitrisait le rythme et décidait de la profondeur voulue.
Comme Jean s'était assis sur le bord du canapé, je me suis glissé derrière lui et j'ai commencé à le dévêtir. Déboutonnage de chemise, retrait dévoilant un torse toujours aussi lisse. Ouverture du pantalon et avec sa coopération descente de ce dernier avec le shorty jusqu'aux genoux. Je me recule contre le dossier et libère ma queue qui bande depuis le premier coup de langue de Jean sur la bite de Marc. Je la kpote rapidement et soulevant Jean de mes mains sous ses fesses, je le fais s'asseoir de nouveau mais tout contre moi. Mon gland trouve tout seul l'entrée arrière et le poids de Jean fait le reste. Le gel lubrifiant de la kpote plus son excitation font merveille et je m'enfonce bien serré par ses muqueuses.
Pas un moment il n'a cessé de sucer Marc. Nous avons juste entendu des gémissements de plaisir couler le long de la verge qui encombre sa bouche. J'avais oublié quelle belle salope il faisait. J'ai pu l'enculer comme cela quelques instants avant que nous le mettions à 4 pattes. Un peu plus tard j'ai cédé ma place à Marc qui lui a limé le trou jusqu'à ce qu'il jute sur le cuir du canapé. Moi, j'ai juste eu le temps de me retirer de sa bouche vorace avant de lui tapisser les amygdales de mon jus et de le lui envoyer sur les cheveux. Marc s'est terminé en quelques coups de reins dans son trou resserré par la jouissance.
Samir nous a apporté des serviettes et a nettoyé le canapé pendant que nous finissions l'apéritif. Et Jean de nous dire que c'est ce genre de plan qui lui manque terriblement. Il me demande si je ne pourrais pas lui organiser un gang bang pour se faire un max de mecs. Il en a parlé avec son client et ce dernier est d'accord. Nous ne lui demandons pas comment il lui a arraché l'autorisation ! Mais il est sûr que cela l'aiderait à tenir avec son vieux.
Je me dis que puisque j'étais en train d'en organiser un pour Ric, je pourrais envisager un coup double. Doubler les participants et les faire jouir sur mes deux amis ensemble.
J'explique en deux mots, Marc et Jean trouvent ça jouable.
Nous dinons ensemble avec un Jean tout ragaillardi par le projet.
Le lendemain j'appelle André (le père de Ric). Après les échanges de nouvelles, je lui demande si le fait de mettre Ric en double avec Jean pour un gang bang le dérangerait. Il réfléchit quelques secondes avant de me répondre que non, ça pourrait même être très excitant vu la différence de gabarit entre les deux. Je lui dis que je le rappellerai plus tard.
Marc devant repartir une semaine, Emma nous a invités à diner chez elle. J'emmène Marc qui ne connaît pas la maison. Quand nous arrivons, je fais un bisou rapide sur les lèvres de notre hôtesse. Marc fait une drôle de tête. Il est vrai que la fois où ils se sont rencontrés, comme nous étions au restaurant j'avais été plus discret. Je m'empresse de lui faire pareil. En entrant dans le salon, nous avons la surprise d'y voir Kev assis dans un des canapés, seul. Il nous explique que son " boss " avait un diner d'anciens HEC où les conjoints n'étaient pas invités.
L'apéritif détend tout le monde et nous passons un bon moment. Le repas est délicieux et nous félicitons tous la vieille cuisinière qui en rougi de confusion. Au moment du café, Kev part aux toilettes non sans poser un regard appuyé à Marc. Pas besoin de faire un dessin, son cul est en manque ! J'en informe discrètement Marc qui n'avait surpris que la fin du mouvement. Il s'éclipse alors qu'Emma se rend à la cuisine. Quand elle revient, je suis seul. Elle m'interroge du regard et je l'informe sans fard que Marc est parti combler un besoin de Kev inassouvi par son boss. Elle comprend vite. Je la prends dans mes bras et lui dis que je suis tout prêt à faire de même avec elle. Elle reste un peu interloquée que je lui propose cela alors que Marc est dans la maison, puis se ravise, se rendant compte que ce dernier n'hésite pas à s'envoyer en l'air avec Kev.
Comme je suis sur un des canapés, elle m'enjambe et s'assoit face à moi sur mes cuisses. Roulage de pelle, je bande ! Mes mains glisses sous sa jupe retroussée et je m'écarte de sa bouche le temps de la traiter affectueusement de salope, elle ne porte pas de culotte ! Ses mains à elle s'acharnent sur ma ceinture et la fermeture de mon jean pour libérer ma queue. Quand elle y est arrivée, elle se redresse, se rapproche de moi et se rassoit. Ma bite est happée par son vagin. C ;"est à ce moment que la cuisinière entre au salon avec le plateau du café. Avec naturel, Emma, immobile, lui demande de le poser sur la table qu'elle fera le service elle même.
La seule chose visible était notre baiser et sa position sur mes genoux, la jupe cachant notre emboitement. Dès la porte refermée, Emma à repris sa cavalcade. Certain emballement me faisait sortir de son vagin pour y retourner aussitôt. J'ai profité d'un de ces instants pour glisser sur le canapé. Quand elle s'est rassise sur moi, mon gland s'est trouvé à l'aplomb de son cul et j'ai investi son anus, royal !! Emma sait que je préfère l'enculer. Elle même y a pris goût et arrive a jouir quand je la prends ainsi. J'ai décidé que je ne toucherais pas à ses seins. Par contre ma main droite passe sous la jupe et j'arrive à enfoncer mon pouce dans son vagin. Ce n'est pas tant l'occupation de ce dernier (vu la taille de mon pouce, rien avoir avec ma queue !) mais l'écrasement de son clito qui ajoute à son excitation.
Je la sens accélérer le rythme. J'essaye de la calmer mais elle a peur que Marc et Kev nous trouvent ainsi. Je la laisse faire et elle me fait juter alors qu'elle même atteint l'orgasme. Je la retiens de mes bras mais des bruits de pas dans le couloir l'alarment. Elle se relève et je finis juste de fermer ma ceinture qu'ils ouvrent la porte et entrent. Le maquillage d'Emma estompe sa rougeur et j'essaye d'être le plus naturel possible pour elle. Pour les deux autres, on devine aisément la complicité post éjaculatoire. Kev, alors qu'il passe près de moi, se penche me fait un bisou sur les lèvres et me remercie de lui avoir prêté Marc. Nous discutons de choses et d'autres, notamment de la procédure d'adoption de Kev par l'ami d'Emma. Il nous confie qu'elle est en bonne voie. Ce sera bientôt amusant de nous retrouver dans certains conseils d'administrations. A terme, je saurais m'appuyer sur lui.
Nous nous quittons tous content de notre soirée. Durant le trajet de retour, je demande à Marc comment c'était avec Kev. Réponse, très bon, bien serré et rappelant de bons souvenirs.
Le lendemain je mets tout en oeuvre pour l'organisation du Gang Bang double.
Je passe ma journée au téléphone afin de faire coïncider les contraintes de tous. Je fini par trouver une date correcte sous 15aine. Le plus facile étant la réservation du gite.
Ric au téléphone est très content de faire le centre d'attraction avec Jean. Il me dit que cela faisait déjà plusieurs mois qu'il tannait son père pour que j'organise cela. Il me dit qu'il passe à la maison, tout fier d'étrenner son permis tout neuf. Je le vois arriver dans une Alfa Roméo 8C cabriolet. Je descends dans la cour pour en faire le tour. Elle est superbe, même capotée. Il en sort tout content et me fait admirer le cadeau de son père. Je lui dis qu'il (André) est inconscient de confier une bête de 450 CV à un jeune fou comme lui. Ric me jure qu'il est très sage sur la route. Il me propose de l'essayer, je n'hésite pas longtemps ! Nous filons vers l'autoroute toute proche et je peux apprécier l'engin. Totalement différent de ma SLS, ce petit véhicule procure de sympathiques impressions. Sur le retour je pousse le moteur et nous trouvons les particularités des mécaniques italiennes, rageuse, bruyante d'une musique incomparable, un fun de petit engin.
Retour à la maison. Devant un café, Ric me confie n'avoir pas encore été aussi vite que moi avec sa voiture. Nous attaquons le sujet de son déplacement : le gang bang. Je lui dis que comme ils seront deux j'ai trouvé 20 mecs pour la soirée dont son paternel, Xavier, mes deux " flics " plus une bonne partie des clients des anciens Gang Bang. Il me dit que sans problème il assurera, ce dont je n'avais jamais douté. Pour me le prouver, il se déshabille. Strip-tease très excitant. Il est toujours aussi lisse, blanc, musclé et ses 20cm x 4,5 sont bien en forme.
Il tourne sur lui-même pour que je détaille la marchandise. Son dos est parfait, deltoïdes, dorsaux, lombaires, un fessier de rêve et les jambes qui vont avec. Je lui demande si, à sa salle de gym, ils ne veulent pas l'inscrire dans des concours. Il me répond que si mais qu'il a toujours refusé ne faisant cela que pour lui et son père et un peu moi. Je me lève et lui roule un patin pour le remercier. Il me prend dans se bras et je ne sais comment je suis nu quelques secondes plus tard (bon, il est vrai que je n'avais sur moi qu'un jeans et un t-shirt). Il est devenu sacrément fort ! je pèse quand même un bon 85Kg !
Il me pose sur mes pieds et glisse vers le sol jusqu'à me prendre dans sa bouche. Mes 20cm se retrouvent dans une chaleur moite, mon gland perforant sa gorge avec facilité. Je le relève et je passe un bon moment à lui rouler un patin. Nos langues se battent, nos bouches s'aspirent, nos bras nous serrent l'un contre l'autre. Cela fait longtemps ;que nous ne nous étions retrouvés seuls tous les deux. Je descends ma bouche sur ses pecs et attrape un de ses tétons pour le manger. Il crispe ses pecs, ma main droite s'occupe de l'autre et pince l'autre téton. Il vibre, je sais que c'est une de ses caresses préférées.
Il prend ma tête entre ses mains et me la relève devant son visage. Doucement il pose ses lèvres sur les miennes et nous sommes repartis pour nous manger nos langues.
Il me quitte pour se mettre à 4 pattes sur la table basse. Il est superbe ! Jeune mâle musclé, en position de salope intégrale, je ne peux plus me retenir. J'enfile une kpote et positionne mon gland sur son anus. Deux secondes plus tard je suis au fond, couché sur son dos, mes dents plantées dans son trapèze. Même habitué au gros calibre de son père, son cul moule ma bite impeccablement. Je reste quelques instants bloqué au fond de son trou. Je me redresse et mes mains crochetées à ses hanches j'entame un bourrage de cul en règle. De son coté Ric n'est pas inactif. Il bouge son boule comme il faut et je sens sur ma queue, les pressions internes qu'il arrive à produire.
Son discours m'excite encore plus. N'étant pas une " mauviette " non plus, je le soulève et l'envoie, dos sur le canapé. Je lui tire les fesses sur le bord, ses jambes sur mes épaules, je réinvesti la place. Je m'écrase sur lui et nous reprenons une pelle sans que nos hanches ne cessent leurs mouvements. Quand je sens que nous ne sommes plus très loin d'aboutir, je délaisse sa bouche et lui mords un téton. C'était juste ce qu'il lui fallait. Il a explosé, jutant une quantité impressionnante de sperme sur son ventre, le mien, jusqu'à mon cou. Ma bite bloquée à chaque éjaculation a laissé sortir mon jus dans son cul (bloqué par la kpote). Je reste quelques instant couché sur lui. Ammed arrive avec des serviettes et attend patiemment que nous nous décollions. Je sors de Ric alors que je suis encore raide (histoire de ne pas perdre ma kpote dans son cul) et laisse Ammed m'essuyer. Il s'attaque après à Ric, retirant les trainées de sperme de ses abdos.
Direction les douches du sous sol où nous pouvons nous laver à deux. Il profite de ce moment où nous sommes seuls pour se confier. Il sait que je comprendrais sans le juger (et pour cause, ne suis je pas celui qui lui a permis de vivre libéré de sa folle de mère). Il me raconte l ;"évolution de sa relation avec son père. Comme quoi il est toujours addict à sa grosse queue et à son autorité, qu'il sait maintenant parfaitement doser sa progression dans le plaisir et que certains soir il le canalise plusieurs heures avant de le laisser jouir. Je le félicite. Il me dit par contre craindre le futur. Si son père se lassait de lui, comment il ferait tout seul ... Je le prend dans mes bras et le rassure. Il se laisse aller et pose sa tête sur mon épaule. Je lui jure que quoi qu'il arrive je serais toujours là pour lui et qu'il peut compter sur moi. Il me remercie d'un gros palot et nous nous séchons. Quand nous remontons, Jimmy est là. il saute au cou de Ri pour lui claquer un bisou sur les lèvres. Son exubérance chasse les pensées noires qui pouvaient subsister dans la tête de Ric et nous rions tous les trois.
JARDINIER
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les-portes-du-sud · 10 months
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Assis tout au bord d’un nuage,
ça fait des jours que je voyage
et dans mes vagabondages,
j’ai le vent comme équipage…
Funambule au fil de l’eau,
je fais la papote aux oiseaux
et – il faut ce qu’il faut –
j’ai mis une plume à mon chapeau.
J’ai mon chapeau soleil,
mon écharpe arc-en-ciel,
j’ai tout oublié, je pense:
je suis en vacances
Christian MERVEILLE
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assis en ce jardin, peut-être déjà au bord de l'été, au bord d'un inconnu ; pressentiment d’un vide ; une couleur s’est décidée à naître, à fragmenter le proche immédiat en un lointain d’annonces, à être plus que les autres parmi la multitude qui flamboie ; l’automne alors qui tombe là au milieu de l’image ciselée par la force de son ressenti qui s’en est emparé ; rien ne résiste à la pression des basculements, tout est condamné à avancer dans une même immobilité
le deuil est une constellation de petites avancées imperceptibles qui sont aussi comme des replis et qui scintillent parmi la grande lumière
© Pierre Cressant
(mardi 15 août 2006 - mercredi 23 août 2023)
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 les he1. Bois un verre d'eau toutesures, tu te sentiras remplie.
2. Bois de l'eau très froide même glacée, ton corps devra brûler plus de calories pour ramener l'eau à une température digérable.
3. Bois 3 tasses de thé vert tous les jours, ça boost le métabolisme et en plus c'est un excellent anti-oxydant qui aide à avoir une belle peau.
4. Prends des vitamines tous les jours.
5. Mange de la glace quand tu as faim, ça fait croire au corps qu'il mange mais sans les calories.
6. Fais de l'aérobie quand tu sens que tu vas craquer.
7. Mange de la nouriture épicée, ça aide à hausser le métabolisme.
8. Prends de longues douches froides, ton corps doit brûler des calories pour revenir à une température normale.
9. Ne prends pas de laxatifs, ils ne t'aident pas à perdre du poids, ils dérèglent et sont très mauvais pour le métabolisme.
10. Ne prends pas de dirurétiques… Ils ne font que te déshydrater (et même chose que 9).
11. Brosse tes dents très souvent comme ça tu seras moins tentée de manger après.
12. Entoure ta taille avec un ruban ou une écharpe … ça va te serrer quand tu vas manger.
13. Nettoie quelque chose de dégoutant (toillette, litière du chat, la chambre de ton copain lol) avant de manger. Personne n'a envie de manger après avoir nettoyer quelque chose comme ça…
14. Garde tes cheveux en bonne condition comme ça personne ne suspectera rien.
15. Trouve une chose à faire qui te fera t'absenter durant les repas.
16. Fais plus d'exercice que le nombre de calories que tu manges.
17. Utilise de petits plats et de petits ustensiles comme ça tu auras l'impression de manger plus (par exemple, mange dans des assiettes à dessert, elles te paraîtront plus vite remplie…)
18. Prends une bouchée de nourriture pour deux gorgées d'eau comme ça tu seras remplie.
19. Dis que tu vas manger chez une copine et vas marcher à la place tu vas brûler des calories au lieu d'en prendre.
20. Achète des vêtements trop petits et accroche les bien en évidence comme ça tu seras motivée à pouvoir les enfiler !
21. Dors au moins 6h par jour sinon ça peut faire baisser ton métabolisme de 15%
22. Si tu commences à avoir faim fais des redressements assis et bouge toi !
23. Pomponne toi : donne-toi un facial, fais-toi les ongles, exfolliation, épile-toi à la pince. Fais-toi belle !
24. Fais ton lunch mais ne le mange pas, salis la vaisselle et jète les restes ou personne ne va les trouver, comme ça ton entourage croira que tu as mangé. Enfin, c'est vrai que c'est mieux quand t'es seule, comme ça, tu vas même pas dans la cuisine de la journée.
25. Prépare une liste d'excuse à dire quand tu ne veux pas manger : tu es malade, végétarienne, allergique, t'as trop mangé avant, etc…
26. Sors de ta maison ! Si tu ne reste pas assise sur ton cul à rien faire le monde ne pourra pas t'emmerder avec le fait que tu ne manges pas.
27. Rejoins un groupe Pro-Ana ou démarre le tien, n'importe quoi qui va te tenir motivée !!
28. Fabrique un scrapbook d'ANA, avec des photos de thinspiration etc tout ce qui pourrais te tenir motivée un espèce de journal de bord !
29. Une bonne posture te fait brûler 10% plus de calories que quand on s'avachit…
30. N'achète jamais de nourriture avec ton argent ou celui qu'on te donne, tu ferras des économies :p ! À la place d'acheter de la nouriture achète de nouveaux vêtements, une balance, tout ce que tu veux !
31. Fabrique une liste des mauvais aliments que tu aimes manger, et chaque jour tu en prends un et tu te jures de ne jamais le remanger ! Tu peux mettre cette liste dans ton journal de bord.
32. Jamais d'alcool ! L'alcool est bourré de calories un seul verre en contient au moins 120 … alors imagine les dégats après une soirée ! A moins, que tu vomisses tout…
33. Ne mange jamais rien de plus gros qu'une tasse !! Ton estomac pourait s'agrandir et tu aurais encore plus faim ensuite.
34. Mange devant un miroir. Vois comment tu es une grosse cochonne sans volonté…
35. L'odeur du café est sensé couper l'appétit
36. Porte parfaitement du lip gloss, tu seras moins tentée de manger n'importe quoi.
37. Prends le moins possible de repas par jour (petit-déj' essentiel, midi, jamais de goûter, et repas du soir à éviter).
38. Le chocolat chaud basse calorie te fera te sentir remplie sans pour autant prendre trop de calories.
39. Prends une photo de toi en maillot de bain et regarde-toi à chaque fois avant de manger, dis-toi que tu ne veux plus ressembler à ça…
40. Il faut 20 minutes au cerveau pour réaliser que l'estomac est plein, intérressant non ?
41. Mange beaucoup de fibres, ça te fait sentir pleine et aide à faire sortir le gras de ton corps.
42. Avant de manger un gâteau, bonbons, chips ou autres prends une grande respiration et compte jusqu'à 100 dans ta tête. Habituellement l'envie passe ou tu réussis à te convaincre que tu vas devenir une grosse truie (ou que tu en es déjà une) si tu manges ça !
43. Quand tu as faim bois deux verres d'eau chaude… Vraiment dégoûtant, ça fait passer la faim.
44. Lis l'information nutritionelle sur chaque aliment et renseigne toi sur les calories, les graisses saturées etc… Tout ce qui est mauvais pour ton corps !!
45. Si tu aimes boire de l'alcool fais toi une règle : Si la semaine, tu as atteint l'objectif que tu t'étais fixé, tu peux boire un peu, si au contraire, tu n'as rien réussi du tout, ou que tu as régressé, ne bois pas.
46. Ne mange pas devant l'ordinateur ou la télé, ça te distrait et tu ne sais pas quand tu n'as plus faim.
47. Épargne l'argent que tu prenais pour tes lunchs mets-le dans un pot et regarde le montant augmenter jour après jour ! Je peux te dire que ça fait plaisir !
48. Tiens toi loin de Slim-Fast et autres produits santé miracle pour faire perdre du poids. Jette seulement un regard aux renseignements nutritionels pour voir comment ces supposés shakes sont bourrés de calories.
49. Quand tu as faim bois de l'eau glacée avec du citron et compte jusqu'à 100 dans ta tête, tu n'auras plus faim.
50. Manger 4 repas de 100 calories est mieux qu'un seul de 400.
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tournesolaire · 3 months
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Après la barge je suis rentrée chez Pops, on s'est installés dans le lit et on a beaucoup beaucoup discuté
On a aussi fini par mettre 2 épisodes d'une série policière à la con avec un humour un peu à la The office
On était installés en cuillère, il me faisait des papouilles et il me serrait fort dans ses bras, et même si je sais que c'était pas la meilleure des idées de chercher du réconfort auprès de Pops vis a vis de toutes les histoires qu'il y a déjà eu, je me sentais en sécurité
Je me sentais en sécurité, je me sentais appréciée et sereine
Il a essayé de me faire manger un beignet aussi, c'était mims, mais c'est pas du tout passé j'arrivais même pas à le mâcher mdr
J'ai fini quand même par rentrer à l'appartement, parce que je voulais voir mon amoureux, je voulais faire abstraction de tout ce qui s'était dit avec Estelle, je voulais juste le voir, le serrer contre moi comme si je n'allais plus jamais le revoir, me blottir dans ses bras et qu'on s'endorme ensemble, paisibles
Finalement quand je suis arrivée (les escaliers étaient vraiment durs à monter mdrrrr) il n'était pas encore rentré du travail, je l'ai appelé et il m'a dit qu'il arrivait, qu'il était avec des collègues parce que c'était l'anniversaire d'un d'entre eux
Je me suis endormie super rapidement le temps qu'il rentre et je me suis réveillée quelques temps après
C'est sa présence qui m'a réveillé
Il était assis au bord du lit à côté de moi, et il me serrait fort dans ses bras. Sa respiration était saccadée, je crois qu'il pleurait. Il m'a couverte de baisers et il a fait que de répéter à quel point il m'aimait. Il m'a dit qu'au réveil il faudrait qu'on parle tous les deux, je me souviens avoir pleuré et le voir sécher mes larmes tendrement. Il s'est couché tout contre moi et on s'est endormis comme ça
Au réveil j'étais terriblement faible physiquement à cause du manque de nourriture (parce qu'Estelle est arrivée quand je m'apprêtais a manger, du coup j'avais rien avalé du tout de toute la journée, de toute la nuit et du reste de journée jusqu'à ≈15h), j'ai revomi plusieurs fois de la bile et j'ai fini par réussir à me motiver à aller acheter quelque chose à manger
Quand je suis rentrée on s'est installés confortablement dans le lit et on a eu notre discussion, la fameuse, celle qui me faisait si peur
Et on en a appris des choses
Les versions ne collent pas
Elle m'a menti
Elle a menti à Loane
Et elle a menti à Fred
Elle joue double jeu depuis le début, et on a des preuves concrètes et matérielles de ça
Fred était vraiment très en colère, et moi aussi
J'ai pas mal pleuré au début puis les révélations se sont enchaînées comme une tempête
On sait pas encore quelle sera l'issue de tout ça
On s'est dit que pour l'instant le mieux c'était de prendre de vraies distances, pas de la confronter de but en blanc mais de voir comme elle elle réagit vis à vis de tout ça
Mais le plus important
C'est que maintenant on sait
Et maintenant on est prêt à repartir
On est prêt à continuer à avancer
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