vivre dans la douceur disparue ; le soleil a trouvé une voie parmi le ciel ; ses rayons qui sont entrés un instant jusqu’ici pour me dire de recroire ; le plus simple arrive encore à me pousser vers ta vie qui vacille ; je me dis encore que tout est possible l’espace de cette lumière
Ce qu’on peut dire de sûr en tout cas, c’est qu’avec Annajo Janisz, on ne s’emmerde pas. Ici on rigole, et avant tout pour des conneries. Alors si tu n’es pas vraiment second degré, il vaut mieux t’en aller. Sinon, assieds-toi confortablement et prépare-toi à bien te marrer !
Remarquable, ça nous change des haïkus débilitants et de la poésie femelle. Pour apprécier réellement ce poème il faut connaître les règles de poésie, notamment la diérèse et la synérèse, la diérèse étant remarquablement utilisée ici plusieurs fois, exemple : "persUadées" - règles que personne ou presque ne connaît plus, et personne ne veut apprendre.
J'ai régulièrement essayé ici et là, c'est comme pisser dans un violon...
Conséquemment, les gens qui s'essayent à la poésie, ne voulant pas apprendre les règles, reproduisent leurs poèmes idiots, balourds, futiles.
Basile Pesso, 9 juillet 2 023 (Fb)
Avec poème de Julien Schricke : “Couvrir les Reflets”
27 décembre 1585 : mort du poète Pierre de Ronsard ➽ http://bit.ly/Pierre-Ronsard Placé au premier rang des poètes français par les savants les plus distingués, Pierre de Ronsard, figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance, s’attira l’affection et suscita les éloges de plusieurs souverains, parmi lesquels Charles IX qui ne voulait pas voyager sans l’avoir à ses côtés
show me a more poetic way to talk about making love than "elle a bâtit des ponts, entre nous et le ciel, et nous les traversons, à chaque fois qu'elle, ne veut pas dormir, ne veut pas dormir, je l'aime à mourir" (Je l'aime à mourir, Francis Cabrel) ("she has built bridges between the sky and us, and we cross them every time she doesn't want to sleep, doesn't want to sleep, i love her to death")
[...] dussent les éléments faire foi de ma vertue, dussé-je être déesse / sombrer dans l'engouffrement des flots céruléens / braver l'igné à la danse endiablée; la fatalité ne cesse / de disperser nos cendres à ce même vent léthéen.
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Ho Ho Off To The Sabboth, 1926 - William Mortensen.
Wind Fire; Thérèse Duncan on the Acropolis, 1921 - Edward Steichen.
Season of the Witch; The Bubble, 1909 - Anne Brigman.
Tu aimes observer les étoiles
qui brillent dans le ciel,
des tâches dans l'espace infini.
Il y a longtemps, tu m'as dit,
que tu voudrais y aller.
J'ai souri, rit,
« Un jour, peut-être. »
Tu ne m'as pas vu,
quand je t'ai dit « Salut ! » l'autre jour.
Tes yeux regardaient fixement à travers moi.
J'ai souri encore, répétais le mot.
Rien.
Je me demandais si tous mes nouveaux yeux
ressemblaient aux étoiles que tu adores.
Tu regardes les photos que tu trouves
partout chez ta maison, où je n'ai jamais été,
sauf dans les photographies.
L'aire triste autour de toi
est brisé seulement par le sourire sur tes lèvres,
quand tu chuchotes,
« J'espère que tu aimes les étoiles,
et que tu es là quand je te rejoins un jour. »
Tu n'entends pas ma réponse,
« Je suis les étoiles maintenant. »
Tous mes yeux clignent.
« On se verra. »
13 avril 1695 : mort du fabuliste et poète Jean de La Fontaine ➽ http://bit.ly/Jean-La-Fontaine L’inimitable fabuliste ne se fit remarquer, jusqu’à l’âge de 19 ans, que par une extrême insouciance. Son éducation, d’abord confiée d’abord à de simples maîtres de village, ne lui inspira que le plus grand mépris pour les pédants, et ne fit pas soupçonner son génie