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#le nouveau rendez vous
nofatclips · 6 months
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Erreur 404 by L'Impératrice, live @ France Inter
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mistexpi · 7 months
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*se matérialise soudainement*
Une illu' toute niaise de Miku et Rin en ~rendez-vous~, parce qu'elles sont trop chous ensemble et qu'en plus leurs palettes de couleurs s'accordent super bien (c'est un SIGNE) o/
Au passage, je serais à nouveau à la Y/CON les 4 et 5 novembre ! Pour plusse d'infos je vous invite à faire un tour sur mon carrd :>
Niaiserie sur vous !!! :D
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coolvieilledentelle · 4 months
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Au rendez-vous avec le nouveau jour... Laissez les déceptions d'hier au lit et habillez vous de bonnes intentions et de petits bonheurs. Bon mardi chers amis ❄☕❄
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 114
La nouvelle routine s'est mise en place. Mes clients sont ravis que j'ai pu augmenter le rythme de nos rendez vous. A 4 passes par semaine vu qu'ils sont maintenant 8 ils y ont droit deux fois par mois. Avec l'augmentation de ma " disponibilité ", j'ai pu contenter 4 nouveaux clients pris pour la moitié dans les amateurs de gang bang et l'autre moitié par relation, tous TBM. C'est la marque de ma petite entreprise, la satisfaction des " hors normes " !
Marc entre dans une phase de travail intense avec déplacements et travail à la maison. Nous en discutons ensemble, ce sont des opportunités à ne pas laisser passer. Sacrifice temporaire ! Contrairement à la fois précédente, il ne sera pas obligé de m'organiser mon emploi du temps. Entre mon boulot de paysagiste, la gestion de mes deux poulains, mon taf d'escort officiel d'Emma, il ne me restera pas beaucoup de temps libre. Et là il me laisse libre de baiser avec n'importe lequel de nos amis. Juste quand ses déplacements dépasseront la semaine. Sinon je l'attendrai avec impatience. Mais je ne crois pas que je le ferais.
Je vais me retrouver donc seul un WE sur deux ! C'est Emma qui est contente, elle récupère ainsi mes samedis soirs libres pour sortir.
Mercredi dernier j'ai emmené Ed chez le grand black. A l'aller, il était content car c'était la condition que j'avais posé pour qu'il puisse à l'avenir participer à nos touzes. Quand nous sommes arrivés, Ed a été impressionné par le client. Faut dire que 2m, costaud, noir Kiwi, monté plus de 27 cm x un bon 6,5 de diamètre, ça de quoi impressionner un gamin d'1,66m par 48kg, blanc ! Le client était content que je puisse lui fournir deux jeunes hommes si semblables (âge, format) ;tout en étant si différents (origine). Il l'a tout de suite entrepris. Comme toujours, je reste dans un coin pour veiller sur ma " marchandise ". Ed se trouva nu en un temps record. Profitant de sa force et de la légèreté d'Ed, le client l'a empoigné par les hanches et l'a basculé, tête vers son sexe. Ajustement de la hauteur et Ed se retrouva la gorge empalée sur la mégabite noire. Pour pouvoir respirer et maîtriser un peu l'envahissement de sa gorge il prit appui de ses mains sur les genoux de son pineur. Le client de son coté la bouche posée sur l'anus d'Ed lui bouffait l'oignon à grand coup de langue. C'est la première fois que je voyais cette position à la verticale. Le plus impressionnant c'est qu'ils l'ont tenu un bon moment. Lorsque notre black a pensé qu'Ed était prêt, il l'a posé sur le lit et, profitant de sa position horizontale, s'est enfoncé jusqu'aux couilles dans sa gorge. J'ai entendu que chaque pénétration étranglait Ed. Je me suis approché pour lui dire de se calmer. Il s'est excusé. J'en ai profité pour vérifier la dilatation anale de mon ptit mec. Je ne tiens pas à ce que cette brute le déchire. Il lui avait bien salivé la porte et Ed s'était ouvert à presque 4 doigts. Ça plus un peu de poppers et il pourra prendre le black. Je me retire et disant que c'est Ok et qu'il peut y aller. Pour se faire pardonner, il se couche sur le dos et demande à Ed de venir lui même s'empaler sur sa queue. Malgré la préparation, je vois le visage d'Ed se crisper alors qu'il pousse pour faire entrer le gland. Je m'approche d'eux et lui passe le flacon sous le nez. Chaleur, grosse chaleur et de lui même Ed descend d'une bonne dizaine de cm. Il me réclame une nouvelle dose. Je repasse le flacon et il se retrouve les fesses collées aux cuisses noires. Là, il ne bouge plus. Je lui demande si ça va, il me répond que c'est dur mais que c'est bon aussi. Je m'écarte.
Il reste bien 2/3 minutes sans bouger. Il remonte mais n'ose pas encore sortir toute la bite de son cul. Par contre je l'entends demander plus de gel. Le client se tartine à nouveau la kpote et Ed se rassoit. Le contraste entre les deux protagonistes est total, bien plus qu'avec Jimmy. Ed s'enhardi et entame un " pas " puis un " trot " appréciant sa nouvelle " selle ". Quand son anus s'est bien dilaté, il tourne la tête vers moi et me fait un clin d'oeil. Le black commence à le traiter de " ptite salope ", de " cul à baiser "... il le prend par les hanches et rythme lui même le mouvement d'Ed. Il (le black) se glisse vers le bord du lit et s'assoit en demandant à Ed de serrer ses cuisses contre ses hanches et de s'accrocher à son cou. Là il se lève. Il vient vers moi, me félicite de lui avoir trouvé deux jeunes aussi salopes puis s'écarte et plaque Ed contre un mur pour le fixer alors qu'il reprend le pilonnage anal. Le mec est résistant et je sais qu'il va limer un bon moment. Il bouge encore et vient poser Ed sur le plateau d'une commode, le cul juste au bord. Il n'oublie pas de graisser régulièrement sa tige. Ed est bien parti et même sans poppers donne tout ce qu'il a. Alors que le client l'écrase un peu, il s'empare d'un des gros tétons et l'aspire, le suce, en un mot le tète. Quand il le relâche pour attaquer le second, il découvre un téton raide d'un bon centimètre de longueur. Ses doigts remplacent sa bouche et le client gémis tout en continuant à limer le petit cul blanc d'Ed. Soudain, il se jette en arrière arrachant ses tétons aux bons soins de la bouche d'Ed et se bloque au fond de son cul. Il tressaute 4 à 5 fois avant de sortir. C'est seulement quand il s'est arraché qu'Ed a jute, bon point pour lui ! Comme toujours, le demi-verre de sperme qui distend la kpote est impressionnant. Nous envoyons Ed se doucher et le client me reprend l'enveloppe qu'il m'avait donné dès l'entrée pour refaire le chèque. Ce qu'il y a de bien chez mes clients c'est qu'ils sont suffisamment honnêtes pour reconnaître que parfois ça vaut plus que la passe de routine. Quand il me tend le nouveau papier, j'ai le plaisir d'y lire un montant augmenté de 50%. Pas mal !
Quand je ramène Ed chez lui, il n'y a personne, le ptit frère est au foot. J'en profite pour l'accompagner jusqu'à sa chambre. Grande, dans les 25m², posters d'équitation au mur !!! Aspect très comme il faut. Comme il n'a pas arrêté de me malaxer le paquet pendant le trajet en moto, je bande encore comme un taureau. Je le pousse sur son lit. Il a compris et défait ceinture et boutons de son 501. Je lui baisse le slip et tâte son anus. Malgré ce qu'il vient de se prendre, il s'est bien refermé et je dois saliver pour le rouvrir. J'ouvre ma combi par le bas, sors mes 20cm et les lui mets profond. Malgré ce qu'il vient de se prendre, son cul s'est bien resserré et je ne " nage " pas dedans. Je lui dis qu'il va falloir qu'il s'exerce à refermer son trou sur un crayon de bois. Il me demande comment et je lui explique les exercices de contractions annales qu'il va devoir faire si il ne veut pas que son anus ressemble à une chatte baveuse. Je reprends mon enculade sans douceur. Ed encaisse comme un pro. Son cul est trop bon. Je finis par éjaculer dedans, mes mains retenant ses hanches pour donner tout au fond de son cul. Il jute dans sa main pour ne pas en mettre partout. Je lui fais bouffer son sperme. Après m'être lavé la queue, je le quitte.
Quand je rentre, je suis seul pour encore un bon moment. Je vais à l'appart et y trouve Jimmy devant la télé. Il ne fait pas très chaud mais la piscine est chauffée et nous allons nous y délasser. Je pars pour 1h à contre courant pendant qu'il nage trankil à coté. Nous sommes interrompus par Marc qui est arrivé avec les peignoirs. Nous rentrons et Jimmy toujours " serviable " tombe à genoux aux pieds de Marc et avant qu'il ait eu le temps de réagir, entame un pipe. La bite mole prend très vite de l'épaisseur et défonce rapidement la gorge de mon petit protégé. Le mercredi, c'est le tour d'Ed et du coup il est en manque ! De mon coté je roule une pelle à mon mec. 10mn de ce régime, Jimmy exerçant des aspirations de plus en plus fortes, massant le gland derrière son larynx, Marc explose et il le gave de jus. J'en récupère une partie en roulant un patin à Jimmy.
Marc décide de garder Jimmy pour la soirée.
JARDINIER
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itsamooncalf · 11 months
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Les bonnes pratiques de code : conseils et Q&A [live : 30 juin à 20h00]
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Hello ! J’espère que vous allez bien?
Je reviens vers vous cette fois-ci avec un nouveau cours / tutoriel en live twitch qui se portera sur les bonnes pratiques de code CSS/HTML dans le cadre de la création d’un forum sur forumactif. De mon expérience en tant que UI/UX designer et front-end developer, j’essayerais de vous donner les meilleures conseils sur comment écrire son code pour qu’il soit optimal et que le rendu soit user friendly ! 
Etant une introduction, le “cours” sera plutôt simple. Le sujet est quand même très très large donc je ne verrais pas tout en détails mais je dirais les grandes lignes de ce que je juge important à mettre en place. Voici le programme des différents points que j’aborderais :
UI/UX : Les principes fondamentaux du user friendly
CSS/HTML : Classes parents et classes enfants, kesako?
CSS/HTML : Comment bien nommer ses classes  (les conventions)?
CSS/HTML : Flexbox, ton meilleur ami
CSS/HTML : Position absolute et relative, comment l’utiliser?
Random tips and tricks
Par la suite, il y aura également une séance de Q&A pour que vous puissiez poser vos questions que cela concerne le CSS, l’HTML (ou même peut-être Javascript bien que cela ne soit pas mon fort!) et/ou UI/UX en général, pour des cas spécifiques ou points bloquants relatifs à votre code actuel. Je ne promets pas d’avoir réponse à toutes les questions mais je ferais mon maximum! Par ailleurs si il y a des fellow devs par ici, n’hésitez pas à prêter mains fortes durant ce Q&A, ça pourrait être une chouette séance de partage 🤩
Rendez-vous le vendredi 30 juin à 20h00 sur Twitch ! 
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tiger-willow · 2 months
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Hello everyone! Just here to say that I will be taking a 3-4 day break from Tumblr posting for a while because I think it would be good for my mental health and well-being because this week has been hell of a emotional roller coaster for me. However I will be back on the 8th with an art piece I’ve been working on for quite a while know so keep an eye out for that ;)
Anyways before I go I just want to say who has also had a hard week to just take a break, maybe draw a little and take care of yourself. Anyways I’m gonna go vod watching/draw shit or just vibe and play animal crossing! See you all on Friday and I hope to post qsmp stuff again very soon!
- Tiger
(I do hope things get better soon)
(French translations)
Bonjour à tous! Juste ici dire je vais prendre une pause de 3 à 4 jours de la publication sur Tumblr pendant un certain temps parce que je pense que ce serait bon pur ma santé mentale et mon bien-être parce que cette semaine a été une sacrée montagne russe émotionnelle pour moi. Cependant, je serai de retour le 8 avec une œuvre d’art sur laquelle je travaille depuis un certain temps, alors gardez un œil sur cela ;)
Quoi qu’il en soit, avent de partir, je veux juste dire qui a également eu une semaine difficile pour faire une pause, peut-être dessiner un peu et prendre soin de vous. Quoi qu’il en soit, je vais aller vod watching/dessiner de la merde ou juste vibrer et jouer au animal crossing! Rendez-vous tous vendredi et j’espère poster à nouveau des trucs qsmp très bientôt -Tiger
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equipe · 4 months
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Notes de mise à jour
🌟 Nouveautés
Le badge Signe du Zodiaque est disponible sur TumblrMart. Ce dernier a la particularité d'être personnalisable : c'est vous qui décidez de son apparence, en fonction de votre signe… ou de vos envies.
Les utilisateurs de Tumblr sans pub peuvent découvrir en avant-première une fonctionnalité en phase de test sur le Web, et qué s'appelerio "Patio". Il s'agit d'un nouveau menu du TdB donnant accès à un écran additionnel et paramétrable qui permet de combiner différents flux Tumblr. Si vous surfez sans pub, guettez la bannière donnant accès à Patio et dites-nous tout le bien ce que vous en pensez !
L'application Android (ver. 32.7 et plus) permet désormais de mélanger aléatoirement, mettre en pause ou relancer la mise en ligne des billets de la file d'attente.
🛠️ Correctifs
Dans la version 32.8 de l'application Android, il est à nouveau possible d'aimer un billet en tapotant dessus à deux reprises.
Correction dans la version 32.7 de l'application Android d'un bug qui empêchait la modification de réponses à des questions enregistrées en tant que brouillon.
Correction sur le Web d'une situation de compétition pouvant survenir dans la fenêtre des réponses qui ne récupérait plus le focus du clavier lorsque cette dernière tardait trop à s'afficher.
🚧 En cours
RAS chez nous. Et chez vous, qui a eu la fève ?
🌱 Prochainement
Rien de significatif actuellement dans les tuyaux à part un plombier moustachu qui s'y promène de temps en temps.
Vous rencontrez un problème ? Écrivez-nous (en anglais) et nous reviendrons vers vous aussi vite que possible !
Vous souhaitez nous faire part de vos commentaires ? Rendez-nous visite sur le blog Work in Progress et participez aux discussions de la Communauté !
Vous désirez soutenir financièrement Tumblr ? Consultez ce billet pour tout savoir, et jetez un œil à notre badge Mécène Tumblr directement sur TumblrMart !
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recapqsmp · 7 months
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Jeudi 21/09 - Les songes d'Aypierre
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Cucurucho est allé voir Fit pour lui donner une nouvelle mission : nettoyer et réparer un avant-poste nommé "Vitor" dans la neige. Dedans, il a trouvé un livre parlant d'une équipe qui a du être évacuée d'urgence à cause d'une tempête, ainsi que les statuts d'autres avant-postes : Bujan, Opona, Nawia sont actifs, Vitor, Viraj, Tyr, Wodan, Donar sont inactifs, et Mani et Frija sont sous maintenance. Les avant-postes sont aussi répartis en deux secteurs : A et B. Dans cet avant-poste, Fit a aussi trouvé les données des joueurs Polispol, Tinakitten et Tubbo, listant leur lieux de résidances ("QIsland_GirlVillage", "QIsland_Turbbo"…), une description physique, des statistiques… Le tout était accompagné d'une note disant d'apporter ces données à la salle des archives.
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Fred a à nouveau répondu à Tubbo. Fred a cru que Tubbo l'invitait en rendez-vous galant, et lui a dit qu'il ne le voyait que comme un ami. Il espère cependant pouvoir poser des jours de congés pour passer du temps avec lui. Tubbo lui a expliqué que c'était un quiproquo, qu'il ne souhaitait pas avoir une relation romantique avec lui, et qu'il espérait tout de même qu'il puisse se libérer pour manger avec lui.
Antoine a interrogé Baghera sur sa disparition. Comme aux autres, elle a expliqué qu'elle s'est réveillée dans un hôpital de la fédération avec un mot disant qu'elle avait été soignée, qu'elle n'avait pas eu le temps de noter les coordonnées et qu'elle n'a pas plus de souvenirs que ça. Antoine lui a appris que Cellbit avait un bureau à la fédération, et ils se sont demandés si Cellbit n'était pas un agent double.
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https://clips.twitch.tv/ColdbloodedWittyDugongLitFam-dBb3CFJtpAmLvzAH
Etoiles a réalisé la tâche que Cucurucho lui avait donné la veille : nettoyer un donjon pour retrouver un livre. Le code ne s'est pas pointé cette fois-ci, et la tâche fut assez simple pour lui. Le livre contenait un rapport du combat qu'il avait effectué contre deux codes la dernière fois. Il suppose qu'il est un sujet de test pour la fédération, et est allé raconter tout cela à Baghera et Antoine. Les deux se sont inquiété du fait qu'il puisse se faire corrompre par le code à cause de son bouclier qu'il ne quitte jamais, mais Etoiles les a rassuré. Il leur a fait part d'une théorie qu'il a à propos des Codes : il pense qu'il y a des codes méchants qui s'en prennent aux œufs et aux joueurs, et des codes gentil qui veulent aider les joueurs (d'où le message "protect" qu'il a reçu).
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Etoiles est allé parler à Fit qui voulait l'interroger à propos de l'horloge que le code a donné à Fit, vu qu'il connait le Code mieux que quiconque. Etoiles a émis l'hypothèse que c'était lié à Forever ou à Ramon, mais qu'il ne connaissait pas tant le Code que ça, il ne fait que l'affronter. Il lui a parlé de sa théorie sur les différents Codes, a proposé à Fit qu'il lâche un livre la prochaine fois qu'il voyait le Code apparaître, et se sont inquiété de la disparition de Philza. Etoiles est ensuite allé dans sa cave, et a reçu la visite de Cucurucho. Il lui a remis le livre, a refusé les duck coins, et l'a interrogé sur la disparition de Philza en échange. Cucurucho ne répondant pas, Etoiles est parti en l'insultant et en brûlant les duck coins.
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https://www.twitch.tv/etoiles/clip/HedonisticDeterminedHareTBTacoLeft-jGHl3SkuNku3zOQj
Aypierre a discuté de ses rêves avec Antoine. Il lui a demandé s'il pouvait lui faire une consultation à domicile, car il a crée une machine pour pouvoir prendre ses rêves en photo, et il nécessite d'entrer en méditation extrême. Antoine a accepté, et s'est rendu dans le domaine viticole d'Aypierre pour l'aider dans sa quête. Antoine lui a d'abord demandé d'imaginer sa "safe place", puis a pris une photo : lui cosplayé en McFurry est sorti de l'imprimante. La machine marche donc, ils ont pu continuer a discuter et imprimer des photos. Après avoir vu Cucurucho qui twerk et Aypierre en riche vigneron, Antoine a enfin pu voir un dessin correspondant aux rêves récurrents de son ami : Aypierre endormi sur un lit d'hôpital, avec un casque relié à des câbles. Antoine lui a demandé de se concentrer sur ses peurs, mais une image d'un contrôle fiscal est sorti de la machine. Après avoir continué a discuter du sujet, Antoine a vu une deuxième photo pertinante : Aypierre, attaché à un lit d'hôpital, toujours un casque sur la tête, mais dans une salle d'opération, entouré de 3 médecins sans visages qui manipulent du liquide rouge. Il y a écrit "ORDER" sur un mur. Enfin, après avoir imprimé une photo d'Aypierre matant les fesses d'Antoine et McFurry dans un vignoble, la troisième et dernière photo pertinente est sortie : Cucurucho qui observe l'opération à travers une vitre. Il y a des post-its sur le mur contenant des nombres : "9191", "5389", "8968", "4981", "1824" (ces deux derniers étant soulignés). Certains de ces nombres disent quelque chose à Antoine. Ils ont montré ces images à Baghera et BadBoy, et ont cherché ce que cela pouvait signifier : Est-il un ancien habitant de l'île ? Les nombres sont ils liés aux 5 français ? Sont-ce des coordonnées ? De plus, une des images a l'air de provenir d'un point de vue extérieur, sont-ce réellement les souvenirs d'Aypierre ?
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https://clips.twitch.tv/DeafStrongPotPMSTwin-R0Z8FKhoz9Zsug1r
Baghera a souhaité tout raconter à Fit, car il a été honnête avec elle. Elle lui a donné rendez-vous en haut de son château, et lui a directement annoncé qu'elle pense avoir grandi sur l'île. Elle se rappelle avoir été enfant ici, et pense que Fit l'a peut-être été aussi. Elle lui a dit qu'elle avait trouvé un livre signé de sa main d'elle en train de trouver un moyen de s'enfuir de l'île. Fit à son tour lui a raconté pour le travailleur sans visage lié à sa terre natale. Baghera a supposé que les travailleurs avaient peut-être des visages, mais qu'ils ne pouvaient pas les voir. Ils se sont promis de s'entraider, et Fit a conseillé à Baghera de raconter tout ça à BadBoy, même si elle a peur de sa réaction. Il lui a aussi parlé de son travail de la journée et des avant-postes qui existent sur l'île.
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https://clips.twitch.tv/ResourcefulApatheticSkunkKeepo-gySL48Tzk7U-EbwB
Baghera est allé raconter à BadBoy ce qui s'était passé. BadBoy ne lui en veut pas du tout, et comprends totalement qu'elle ai eu peur de lui dire son passé lié à la fédération. Baghera a aussi évoqué le fait qu'Aypierre pouvait être lié au passé de l'île, et a trouvé bizarre qu'Antoine rejette cette idée. Elle se demande s'il ne cache pas quelque chose lui aussi. Elle lui a enfin demandé comment se passait son enquête. Il lui a dit que ça avançait bien, mais qu'il avait un peu du mal a récupérer certaines informations. Il a accepté de lui montrer tout ça demain. Les deux ont discuté de la situation actuelle de l'île, en regardant les aurores boréales depuis le château.
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https://clips.twitch.tv/OriginalBumblingCheeseFailFish-Vxg2vboOBj-GdfIi
Cellbit a remarqué le livre laissé chez lui à propos du vol du chat Zeno. En suivant les coordonnées, il a compris l'origine de ce message : Bagi l'a écrit. Ils ont discuté de ce qui s'était passé, de son passé, du fait qu'elle a déjà vécu sur l'île, de l'origine des œufs.. Ils ont aussi discuté de Zeno, et du fait que même si Bagi était son propriétaire à l'époque, Cellbit s'en est tout de même occupé. Ils ont convenu de partager la garde du chat.
Forever a fait une surprise très mignonne à BadBoy : Il a crée une salle spéciale pour lui, comportant un trône, des fan-arts de son personnage, et des panneaux arrangés en forme de cœur avec des mots des joueurs écrits dessus. Il l'a ensuite invité a le rejoindre avec les joueurs présents à ce moment là pour lui faire la surprise. Badboy était très ému.
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https://www.twitch.tv/badboyhalo/clip/PlainGeniusPartridgeGivePLZ-4okn96xBGpopqiVh
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https://clips.twitch.tv/FamousSeductiveTildeTwitchRPG-VtS9_xpD9JpI5J9x
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mackenyufr · 9 months
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#NEWS | Découvrez un nouveau poster du Live Action One Piece
Rendez- vous le 31 août sur Netflix !
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claudehenrion · 28 days
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Enfin une bonne nouvelle ?
Vous n'allez pas me croire... Pourtant, parfois, à l'opposé complet de tout ce que racontent tous les perroquets officiels (et Dieu sait s'ils sont nombreux et ne reculent devant rien !), il arrive un moment où finit par surgir de la brouillasse ambiante une vraie bonne nouvelle. Celle dont je veux vous parler aujourd'hui ressemble un peu à une divine surprise : ''LA VRAIE BETISE EST AUTO-DESTRUCTRICE''... et cette révélation frappe nos pitoyables dirigeants comme une pandémie (mais une vraie, cette fois !).
Les exemples abondent, hélas, de la malveillance, intentionnelle à en être vicelarde et qui paraît parfois être ''par système''... avec laquelle nos incapables ''leaders'', irresponsables mais très coupables, mènent le pays à sa perte. Immigration, écologie, Europe, démographie, dette, fiscalité, paix civile et sécutité, école, etc... la bêtise de chacune de leurs décisions crève les yeux de qui veut bien ne pas garder les siens ''grands fermés''. La démonstration –si besoin était-- de leur inaptitude chronique à trouver de bonnes solutions aux problèmes qu'ils devraient résoudre vs. les mauvaises solutions qui semblent être les seules qu'ils soient capables d'imaginer, tient en un seul souvenir, lourd de honte et de bobards : le covid.
Quand un groupe d'êtres plus inhumains que humains, mais nuls, devient détenteur d'une autorité qu'aucun d'eux ne mérite... et a le culot –devant la face du monde, le jugement à venir de l'Histoire, et la totalité de ses contemporains (ravalés au rang de sujets traités en objets)-- d'oser formuler le tiers du quart des phrases qui nous ont été imposées ''H 24'' et ''7 s/7'' pendant des mois, sans aucune raison valable ni, d'ailleurs'' le moindre début d'excuse, de pardon ou de mea culpa... c'est qu'ils (ces nuls) s'imaginent tout permis et se croient protégés par une immunité ''de système'', elle aussi. Décidément, plus on creuse et plus la ''bonne nouvelle'' annoncée en titre de cet éditorial se révèle être une catastrophe, pour d'autres : ''LA VRAIE BETISE RAVAGE TOUT'' !
La volonté de destruction de ces nuisibles touche tous les secteur de l'activité et de la pensée : le but officieusement poursuivi officiellement (vous suivez ?) est que plus personne ne s'y retrouve : toutes les références doivent sauter pour soi-disant permettre à leur rêve cauchemardesque d'un hypothétique ''homme nouveau'', indéfini en tout, de pouvoir exister dans son inexistence. Les instigateurs-propagateurs de ces idées mortelles et sans le moindre sens vont donc ''détricoter'' l'un après l'autre tous et chacun des ''chapitres'' de l'activité humaine et de toute civilisation.
Nous avions mentionné plus haut le covid, mais les mêmes stratégies de recherche d'absurde à tout prix se retrouvent partout, de l'atome à l'immigration, de la dette nationale aux jeux olympiques (que Alain Bauer, pourtant pas un excité, qualifie de ''crime-tels-qu'ils-sont-envisagés''), du conflit russo-ukrainien aux fantasmes russophobes de l'Elysée, de l'Europe à... l'Europe (car là, avec la mère von den truc, on est dans la folie au carré !), de l'industrie à l'agriculture ou du soi-disant ''sociétal'' à la religion –ou, plus exactement, au seul christianisme, l'islam ayant toutes les faveurs de nos ravageurs : il est nettement plus proche de la volonté de destruction que, par exemple, le catholicisme qui bâtit sans cesse, transmet, s'améliore et veut le ''vrai bien'' des hommes !
Et puisqu'on vient de mentionner cet ''ennemi public n°1'' des vrais ennemis des peuples que sont nos actuels ''maîtres-à-penser-de-traviole'', laissez-moi partager avec vous un de mes grands sujets de tristesse du moment : vous rendez-vous compte que le promeneur moyen, de nationalité française (NDLR - Même s'il n'est pas un de ces ''français de papiers'', ces fruits blets de lois injustifiables et d'une administration pyromane, qui n'ont de français que leurs ponctions moralement indues sur notre richesse nationale), qui se balade le nez au vent dans les rues de Paris (si ce modèle ancien existe encore !) est incapable de savoir à quoi ou à qui correspond le nom de 90% des rues, des places, des avenues qu'il emprunte ou croise, et que, lorsque le même promeneur va tomber (et dans les villes françaises, c'est à peu près tous les kilomètres) sur une superbe église ou sur une de nos sublimes Cathédrales, il ne saura pas trop à quoi peut bien servir ce grand bâtiment ou à quoi correspond le drôle de nom dont on l'a affublé...
Mais puisque je parlais ''d'une bonne nouvelle'' dans le titre de cet éditorial, permettez-moi, s'il vous plaît, le grand bonheur de vous confirmer l'effondrement dramatiquement spontané donc raisonné des ventes de véhicules électriques, hybrides ou pas, dans tous les pays. Je crois avoir été l'un des très rares –et un des tout premiers-- à prendre dès le début une position très risquée sur ce sujet écolo-politique, et à vous parler, souvent, de cette ''arnaque du siècle''. Tant que des gouvernements, myopes au point d'en être aveugles, ont subventionné dans des proportions insensées les achats de voitures électriques, on a pu croire à un succès de la folie sur l'intelligence. Ça ne pouvait pas durer longtemps ! La raison, normalement, reprend ses droits et l'intelligence, ses prérogatives !
Dès que l'actualité a rendu obligatoire l'arrêt de toute urgence des conneries absolues, la vérité a surgi du puits, belle, calme, incontournable, majestueuse : on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif. Je suis si content de cette manifestation (très attendue, en ce qui me concerne) de la Justice immanente (dont les lecteurs réguliers de ce Blog connaissent l'importance pour moi...) que je vous en reparlerai très bientôt, ne serait-ce que pour vous confirmer –si besoin était-- que ''La Vraie bêtise est auto-destructrice'', CQFD !
H-Cl.
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pauline-lewis · 3 months
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Now I too can say that I've been happy
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J'aime bien, parfois, quand les films se suivent et s'emboîtent d'une manière un peu particulière. Ces dernières semaines, j'ai vu à la suite Past Lives de Celine Song, Nuits blanches de Luchino Visconti et revu Two Lovers de James Gray (je ne sais pas si parfois ça vous arrive de revoir les films et d'avoir l'impression de les redécouvrir sous un jour tout à fait nouveau comme si on vous avait remplacé les yeux, le cœur ou le cerveau — mais en y réfléchissant vous vous rendez compte que ce sont juste quinze ans de vie, de lectures, d'expériences qui ont réarrangé complètement votre manière de regarder).
Trois films, donc, qui racontent à leur manière la solitude, les amours dont on sait qu'elles n'existeront jamais, les cicatrices que laissent le passé sur le cœur et aussi une forme d'incommunicabilité qui rend mélancolique.
Je suis allée voir Past lives sans trop savoir de quoi il en retournait, j'étais intriguée par la hype. J'ai été surprise, donc, des émotions très fortes que le film faisait parfois naître en moi. Il a une façon très juste de raconter ces relations à distance qui se cristallisent autour de conversations qui remplissent cette solitude bizarre qui a pour moi été synonyme de la fin de l'adolescence. Le film retrace donc l'histoire d'une jeune fille qui quitte la Corée avec ses parents alors qu'elle n'a qu'une petite dizaine d'années et qui se retrouve des années plus tard à discuter en ligne puis sur Skype avec son crush de l'époque. Et puis iels arrêtent de se parler, les années passent, chacun rencontre quelqu'un d'autre, vit sa vie. Et, encore dix ans plus tard, le contact est renoué. Celine Song a une manière vraiment très douce de filmer le léger malaise ces retrouvailles, on peut presque voir se balader à côté des deux ami·es le fantôme de celleux qu'iels ont été. À 10 ans, à 20 ans. Elle rend palpable le temps qui passe et ce qu'il nous fait. J'ai adoré que dans l'invisible, dans les silences, flottent les années, les expériences partagées mais aussi tous les instants que l'on a raté de l'autre. Il y a une scène assez magnifique dans laquelle l'héroïne discute avec son mari et ils se demandent ce qu'il se serait passé s'ils ne s'étaient jamais rencontrés. Ils délient, comme ça, par les mots, tout ce qu'ils ont noué ensemble. J'ai moi-même eu cette conversation plusieurs fois, cette conversation qui nous met au bord d'un précipice, qui nous donne un vertige.
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Et puis quelques jours plus tard j'ai découvert Nuits blanches de Visconti et je pense que cela faisait quelques temps que je n'avais pas aimé un film aussi fort. Adapté d'une nouvelle de Dostoïevski, Nuits blanches raconte l'histoire d'un homme très seul, Mario, incarné par Marcello Mastroianni (définitivement l'un de mes acteurs préférés) qui, alors qu'il erre dans les rues de la ville où il vient d'emménager, croise le chemin d'une jeune femme un peu perdue. Tout le film se passe le soir et cultive ce sentiment d'entre-deux : entre la nuit et le jour, entre la fiction et la réalité, entre la vérité et le mensonge. La jeune fille dont Mario est amoureux en aime un autre : celui qui l'a elle-même sortie de la solitude et d'une famille qui contrôle ses moindres faits et gestes (elle raconte dans un rire triste que sa grand-mère aveugle attache sa jupe à la sienne avec une épingle à nourrice). Il lui a promis de revenir la chercher et elle l'attend, fébrile, comme au bord de la folie.
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Comme dans Two Lovers et dans Past Lives, les relations se répondent mais ne semblent jamais parfaitement alignées. Mario se persuade qu'il est amoureux et se jette à corps perdu dans cette relation qui semble pourtant vouée à l'échec, tant le fantôme du précédent amant (qui, en plus, est incarné par Jean Marais, forcément ça en jette) prend de la place entre elleux. Dans une scène vraiment magnifique, Mario aide Natalia à écrire une lettre d'amour pour cet autre homme et il a l'air de penser que ces mots d'affection pourront peut-être, par ricochet, s'adresser à lui. (Il m'est arrivé de conseiller des chansons d'amour à faire écouter à une autre et d'espérer que la même illusion se produirait) Ils se baladent le long du canal, dans la brume, vont danser. Mario veut y croire, espère jusqu'au bout l'absence de ce deuxième homme qui n'a pas de prénom. Rien ne peut lui arriver puisqu'il sait désormais qu'il peut être heureux. Il est beaucoup question dans le film d'un amour idéalisé, rêvé et de la façon dont il se mesure à la réalité. Une femme qui aime un homme dont elle garde un souvenir qui semble vague, un homme qui tombe amoureux d'une image dans la brume. J'ai évidemment adoré le décor fabriqué à Cinecittà qui donne aux éclairages de nuit un aspect parfaitement irréel — je crois que j'aime le cinéma quand il a cette fausseté là et qu'il sait s'en servir et en jouer.
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Je l'ignorais lorsque j'ai vu le film à sa sortie mais Two Lovers de James Gray est aussi fortement inspiré de la même nouvelle de Dostoievski ("J'ai trouvé cette nouvelle très émouvante. Cet homme souffre de toute évidence d'une sorte de trouble psychologique, mais l'histoire se penche avant tout sur son rapport à l'amour."). Quand je l'ai vu la première fois il semblait me dire qu'il existait deux choix dans la vie, l'un de la sagesse et un de l'aventure. La brune, la blonde. Quand je l'ai revu la semaine dernière il me semblait bien plus profond : j'y ai vu les souffrances des un·es et des autres, le poids de la famille contre un certain désir d'émancipation, la possibilité de la fuite, une violence de classe aussi (dans la scène, cruelle, du restaurant). J'y ai vu de nombreux parallèles avec le film de Visconti (Two Lovers aussi se passe surtout de nuit) même cette scène de l'opéra qui se déroule dans Two Lovers presque hors champ (le personnage de Gwyneth Paltrow est invitée par son amant à en écouter en live tandis que celui de Joaquin Phoenix écoute un CD des plus grandes arias chez lui) et qui est celle de la cristallisation émotionnelle dans Nuits Blanches — Natalia y est emmenée avec sa grand-mère par son amant et elle en profite pour se rapprocher de lui. C'est la scène de la véritable naissance du désir, de la signature d'un pacte silencieux. C'est aussi, dans les deux cas, une scène d'éloignement. Il y a quelque chose qui, avec le temps, m'a touchée d'une manière très différente dans le film, peut-être dans une forme d'incommunicabilité. Il m'est apparu qu'il ne s'agissait pas tant d'une question de "choix" de vie que de questionner une vision de l'amour. J'ai été touchée par la manière dont le personnage principal cherche une vérité pourtant impossible à trouver dans le flou des sentiments, dont il pense que l'amour va le réparer. Peut-être, me suis-je dit en le terminant, que tous les films que j'ai aimé dans ma vie mériteraient que je les revois ne serait-ce que pour que j'ai l'occasion de constater ce que le temps leur a fait et a fait à mon regard. Voilà une résolution comme une autre pour 2024 !
(Si vous êtes arrivés jusque là je vous recommande fortement la BO de Past Lives composée par deux membres de Grizzly Bear, Christopher Bear et Daniel Rossen, et qui est sublime ! Elle est partie direct dans ma playlist "musique pour écrire").
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eiffel21 · 8 months
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Anamorphose
L’œil rivé au judas, elle scrute le perron et son visiteur inattendu. Elle a horreur de cette vision déformée de la personne, une grosse tête qui prend la majeure partie du champ de vision et un petit corps en dessous, dans ce qui reste d’espace. Et pour peu que le visiteur s’approche trop près de la porte, vision cauchemardesque d’un œil, d’un nez ou d’une oreille en gros plan. Cette proximité physique entre les corps, bien que séparés par une porte, la rebute carrément.
Lui vient en tête que peut-être certaines personnes à sa place se délectent du spectacle un peu voyeuriste, de qui regarde sans être vu, matant les voisins, les voisines ou leurs invités. Elle se demande s’il existe un mot pour ce genre de penchant bizarre, note dans sa to-do liste mentale de chercher. Elle a le temps de toutes façons et on trouve tout sur Internet maintenant. Elle se dit alors que les Japonais ont forcément inventé un terme pour ça. Et peut-être même un mot pour ceux qui ont une aversion pour les anamorphoses, comme elle.
Sa divagation s’arrête net quand un second coup de sonnette retentit, la faisait sursauter. Merde. C’est qui, ce mec ? Elle a dû zapper un rendez vous, pour la chaudière ou la fibre. En même temps, il a l’air trop bien sapé pour un technicien. Un témoin de Jéhovah motivé peut-être. Elle a le temps, mais aucune envie de l’écouter déblatérer ses conneries, et l’envoyer bouler semble au dessus de ses forces. Un livreur ? Elle n'attend rien, rien ni personne d'ailleurs, dans sa petite vie lisse et terne.
Juste ne pas ouvrir, ne pas répondre et il finira bien par renoncer et partir.
Nouveau coup d’œil au judas. Le mec est toujours là. Malgré sa réticence, elle prend sur elle et l’observe un peu. Plutôt grand, la trentaine, le front dégarni, et quelque chose d’un peu taquin dans le demi sourire qu’elle distingue. Son visage lui rappelle de vagues souvenirs…
« Hey, Virginie, t’es là ? »
Mais putain, c’est lui ! Jérôme, son amour de jeunesse.
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laurierthefox · 4 months
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J'espère que vous avez toustes passé de bonnes fêtes de fin d'année, ou à défaut, pas trop épuisantes. Les miennes ont été sereines et joyeuses avec ma famille choisie, même si je suis complétement épuisé maintenant
Je profite de cette note pour faire un petit point annuel sur mon travail ! BILAN 2023
Cette année à été très riche en terme de rencontre, marchés, dédicaces, interventions, commandes ! Un atelier BD et une conférence dans une université à Amiens, le début de mes streams sur Twitch, des interventions auprès de lycéen'nes à Nantes, des dédicaces en Belgique, des marchés de créateurices à Nantes et au Havre, un salon du livre queer à Metz, Quai des Bulles à St Malo...etc
Cela fait 11 ans que je suis à mon compte et 2023 à été la première année ou j'ai pu enfin me dégager un vrai salaire ! Et c'est aussi en grande partie grâce à mes mécènes sur Patreon qui me soutienne depuis un an déjà. Ce soutien me permet de mieux choisir mes commandes ou interventions, de refuser du travail gratuit sous prétexte de visibilité et de pouvoir -parfois- prendre mes week end pour me reposer.
Dans les points moins joyeux, le stress et la fatigue m'ont amené à une crise violente de ma maladie de Crohn pendant les mois de Mars-Avril-Mai 2023 et j'ai dû changer de traitement, l'ancien ne faisant plus effet. Le nouveau est plus efficace mais à aussi plus d'effets secondaires du fait que c'est un immuno-modulateur. Il défonce mes défenses immunitaires, ce qui fait que le moindre rhume risque de me clouer au lit pour 15 jours.
Je vous parle de tout ça, non pour faire pleurer dans les chaumières mais juste pour vous tenir au courant.
RECONNAITRANS
Mon but en ouvrant une page Patreon, en plus de pouvoir payer mes factures pendant les mois ou je n'avais pas de commandes/BD/marchés..etc, était de pouvoir finir les derniers témoignages de ReconnaiTrans qui patientent dans ma boite mail depuis des mois et mettre un point final à ce projet (en tout cas pour l'instant). Mais comme cette année à été, de façon très positive, assez intense en terme de travail (mais aussi des soucis de santé) je n'ai pas réussi à atteindre cet objectif.
Je ne vais pas abandonner pour autant, ce projet est très important pour moi et surtout je ne veux pas laisser tomber les témoignant'es qui patientent pour que je fasse leur récits. Je vais donc essayer cette année de mieux maitriser mon emplois du temps pour pouvoir mener cela à bien et poster au moins tous les 2 mois un nouveau témoignage.
NOUVEAUX PROJETS ET RÉSOLUTION
Cette année j'aimerais beaucoup réussir à faire quelques unes des notes de blog / webcomics qui remplissent mes tiroirs. Niveau sujet il y à pèle-mêle : tranche de vie, sujets féministes, sujets LGBTIA+, sujets peronnels/autobio, fiction medfan (médieval fantastique).
Mon agente est toujours en train de démarcher plusieurs de mes projets BD et jeunesse mais pour l'instant cela n'a pas l'air d'intéresser les éditeurs. Je me dis que si ça continue je vais peut être devoir publier uniquement en ligne gratuitement, quitte à faire un Ulule si cela plait.
On viens enfin de nous installer la fibre, donc je vais pouvoir refaire des lives twitch de temps en temps. Mon objectif est surtout de streamer des dessins ou illus que j'aurais en cours, mais pour cela il faut que je me dégotte un meilleur micro que celui de mon casque et que je teste mon set up actuel. Donc si tout va bien (et selon mes finances pour le micro) peut être que je pourrais streamer correctement vers Mars/Avril.
CONCLUSION
Je sais qu'il ne faut pas que je me fixe des objectifs trop haut, qui du point de vue de ma santé et de ma vie quotidienne (gestion de la maison, ménage, animaux, administratifs, rendez vous médicaux, gestion de mon shop, dédicaces, commandes, relations amicales et amoureuses...) serait juste impossible à réaliser. Mais je vais faire du mieux que je peux ^^
Je vous souhaite une belle année 2024, pleine de promesses, douceur, bienveillance mais aussi de manifs, militantisme et d'humanité.
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peut-etre · 11 months
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Viens prendre un verre, change toi les idées. J’en ai tellement changé que je ne les repère plus bien, sais plus bien où elles se trouvent. Dans un coin de l’après-midi, sur un banc du boulevard. Puis je les perds à nouveau vers dix-neuf heures. Alcool nitrites puis on s’amuse un peu, les rires éclatent on casse les verres et puis quand la nuit tombe c’est le début du jour. Des messages qui n’ont plus vraiment de sens, jusqu’à la réalité, qu’il a dit : terriblement vide de sens. J’ai dit d’accord, que dire d’autre. Mes supplications amoureuses étaient devenues paresseuses. Quoi d’autre ! Alcool nitrite alcool d’autres qui font la cour. Ça ne mène à rien, je n’ai pas le temps d’y penser. Rarement seule sans être questionnée, portée disparue, traquée… Même ici, jamais plus libre, il lit les entrées, regarde les photos, je n’ai rien fait contre, toute surveillée, partout, assumer ce qu’il faut dire, penser, comme si le secret c’était devenu le mensonge. Répétition. Rien à dire, que dire, tout le monde sauf lui, et ce n’est pas pour toi. Lui c’est : tu es pénible, perverse, sautes d’humeur, vivre sa vie. Répétition, rendez-vous, certificats. Mail : la vie ne vous aura pas épargnée. Des entrées de journal flasques, molles, déplaisantes à la relecture. Pas retranscri les fous rires idiots dans le métro, dans le taxi, autour de trois verres, folie commune, délire collectif : à deux moitiés de folles on forme un fou. Tout le monde nous veut et sent les pensées qui fusent de l’une à l’autre de l’autre à l’une comme les fils électriques très hauts dans le ciel, ils sont évidents et grossiers pourtant il faut penser à lever la tête. Hilarité lorsque la porte se ferme, souffle retenu ou joyeuse suffocation, yeux embués. Des idioties complètement oubliées dix minutes plus tard, qui ont secoué les joues, la gorge, un petit soleil dans tout le corps, le temps d’oublier tout, que tout fonde sous la chaleur. Tout se sent dans l’atmosphère, les pieds sur la table, pas assez de force pour déboucher la bouteille de vin, et c’est même heureux lorsque la fin du rire est commune. Cela je peux l’écrire, oui. C’est d’une jolie naïveté et douce et sincère, qui ne fera de mal à personne. D’autres choses sont cachées ailleurs, par exemple dans ma cervelle. C’est pour cela que je la mets en veille douze heures d’affilée en dormant la journée. Terriblement vide de sens. Il n’y a pas de bonne manière. Grandis.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 97
Jeudi après midi :
Toute la journée je n'ai pensé qu'à mon rendez vous avec Emma et au fait que nous avons jusqu'au matin du vendredi ensemble.
Comme il fait sec (à défaut de faire chaud), je suis en moto. J'arrive et rentre direct dans le garage. Elle a entendu le portail s'ouvrir et me rejoint alors que je pose ma Ducat sur sa béquille. J'ai beau être gelé, elle se colle à moi pour me rouler un patin. Je referme mes bras sur son dos et de mes doigts gantés grossement, je lui caresse la colonne vertébrale jusqu'à son fessier que j'empoigne. Je bande dur et elle le sent. Elle attrape le zip du bas de ma combi et entreprend de le relever, dégageant ainsi mon shorty déformé par ma bite. De mon coté, mes mains gantées se sont coulées sous sa jupe et l'ont relevée jusque sur ses hanches. Malgré l'insensibilité de mon toucher du à l'épaisseur de mes gants d'hivers, comme je n'accroche pas de bord de culotte, je devine qu'elle n'en porte pas. De son coté elle est arrivée à sortir ma queue de son emballage. Quittant ma bouche, elle glisse à genoux pour me faire une pipe. Ça me réchauffe bien après le parcours en moto ! je pose mes mains sur sa tête pour bien imprimer le rythme que je désire. Pas trop vite, cool, nous avons tour notre temps. Elle pompe de mieux en mieux, rien ne vaut la pratique pour améliorer le " gestuel " ! elle prend le temps de sortir mes boules qui se contractent au contact du cuir encore frais. Elle prend plaisir à me bouffer la tige, glissant la langue entre le prépuce et le gland, jouant des deux avec ses dents, elle excite les milliers de terminaisons nerveuses qui partent de la surface de mon gland.
Le passage dans le fond de sa gorge commence à me faire trop d'effets. Il est temps de passer à autre chose je lui dis de fouiller une de mes poches pour trouver un préservatif mais elle avait prévu le coup et en sort un de son soutient gorge. Aussitôt après quelle me l'ai enfilé, je l'ai relevé et plié en travers de la selle de ma Ducat. Maintenant les pans de sa jupe sur ses reins et après m'être confirmé de visu qu'elle ne portait pas de culotte, d'une botte je lui ai écarté les pieds, ouvrant grand son entrejambe. Je pliais légèrement les genoux pour placer mon gland sur ses grandes lèvres et d'un coup de rein, je me suis enfoncé dans la moiteur de son vagin. température garantie, je la limais un peu histoire de bien lubrifier la kpote.
De mes mains encore gantées de cuir, j'écartais ses globes fessiers tout en les maintenant vers le haut pour bien me donner accès à sa chatte. Je maintenais un bon rythme, ce qui commençait à la chauffer grave. D'elle même, en prenant appui sur la selle, elle donnait des coups de reins pour venir à la rencontre de ma queue, augmentant ainsi le choc de nos corps.
En maintenant ses fesses écartées, j'ai sous les yeux le trou plissé et palpitant de son passage arrière. Il me tente !! il me tente tellement que bientôt je décide d'y faire un tour. Je sort de son vagin et pointe ma bite sur son anus. Elle ne fait pas de chichi et d'elle même, dès qu'elle a senti le gland se poser au bon endroit, elle recule et je l'encule. Je la laisse faire. Son premier mouvement n'a fait entrer que mon gland. L'anneau serré juste derrière la couronne, elle ondule du cul. L'effet est garanti, je bande encore plus fort. Puis progressivement, reculant par à-coups, elle " avale " mon sexe en entier (enfin jusqu'à sentir sur sa peau le métal du zip.
Je la laisse encore quelques instants gérer. Elle me retire d'elle presque complètement avant de se planter de nouveau plus violemment. Je pose alors mes mains sur ses reins, appuyant pour forcer sa cambrure, et commence un bon travail d'assouplissement de sa rondelle. Grand coup de reins et je la lime sur la totalité de mes 20 cm, petit coups à l'entrée, sortant puis emprisonnant mon gland seulement. Là elle me supplie de lui défoncer le cul. J'attends encore quelques instants qu'elle soit vraiment en manque, et je m'enfonce alors d'une seule traite, écartant ses fesses au maximum pour pouvoir entrer la partie la plus épaisse de ma bite (à la base je fais presque 6cm de diamètre).
Je recommence les grands coups de reins plusieurs fois, lui tirant des gémissements qui alerteraient les voisins si la porte du garage était restée ouverte ! Je passe mes mains sur ses seins, (avec mes gants, je ne m'autorise pas l'accès à sa chatte). D'un coup sec je déchire son chemisier, arrache son soutient gorge et commence à les lui pétrir. Je veux la faire jouir sans utiliser ni sa chatte ni son clito. Elle commence à haleter dur. J'augmente le rythme et elle finit par céder. Elle se contracte, ses seins durcissent et son anus étrangle ma bite. Moi même je n'arrive plus à me retenir et je jute dans ma kpote les couilles plaquées sur sa chatte.
Je quitte l'abri chaud de son corps avant de débander complètement et retire la kpote pleine. Elle se redresse et se tourne vers moi. Sa jupe encore entortillée autour de sa taille son chemiser et soutient gorge déchiré, on la croirait rescapée d'une agression ! mais quelle est bien foutu ! je baisse les yeux et je vois mon sexe rose pendre sur le cuir noir de la combi. Je rentre le tout pour la dézipper correctement du haut que je puisse l'enlever. Elle m'aide et je la laisse sur la moto avec mes botte et le casque.
Nous entrons dans la cuisine où elle me fait un café. J'ai faim !! j'ouvre le frigo et y pille un morceau de fromage (pâte cuite, pas question de puer de la gueule).
Elle se coule dans mes bras se serrant contre mon corps. Le café dans une main, je passe l'autre autour de sa taille et la maintient ainsi. Elle à l'air d'apprécier.
Nous papotons de choses et d'autres, ma semaine, mon taf, la sienne (de courses, musée...). Une fois restauré, je lui demande à nous doucher. En passant dans sa chambre, je vois préparé sur des cintres une robe de cocktail et un costume gris. Je l'interroge du regard. Elle me dit que puisqu'elle m'a à sa disposition pour la soirée complète, j'allais l' " escorter " dehors. Surprise, étonnement, stupéfaction. Je reste muet. Elle continue que comme je suis " escort " (je le lui avais confié quand mon banquier m'avait trouvé cette façon de déclarer mes rentrées annexes d'argent), et qu'elle me rémunérait, j'allais donc l'accompagner dans un grand restaurant avec les parents de Pierre. Ouf avec eux ça va, ils connaissent la réalité de notre relation et en réfléchissant, y'a peu de risque que j'y croise un autre de mes " clients ".
Je me venge sous la douche. Je la savonne, insistant sur ses seuls seins et tétons jusqu'à ce qu'elle crie grâce. Je descends alors mes mains sur sa chatte taillée/rasée récemment. Sa peau est douce, elle doit plutôt se faire épiler. Je masse ses grandes lèvres uniquement jusqu'à ce qu'elles soient gonflées de sang alors seulement je passe au clito. Il est déjà tout raide d'impatience. L'eau nous ayant bien rincés, toutes traces de savon parties, je glisse à genoux et ventouse mes lèvres aux siennes du bas.
Ma langue écarte les " obstacles " pour atteindre son clitoris. Quand je le prends entre mes dents, elle se cabre. Je le suce, l'aspire, le râpe de ma langue. Elle fléchit sur ses jambes, je la bloque de mes mains pour éviter quelle ne tombe. Ma langue s'enfonce dans son vagin, je l'étire au maximum au delà de mes dents pour la faire entrer le plus profondément possible. Plus je lèche plus elle se lubrifie ! Quand je me relève, elle glisse à son tour à mes pieds et s'acharne sur ma bite avec la même voracité avec laquelle je lui avais mangé la chatte. Mon gland passe dès la deuxième fois la barrière de sa glotte et je lui défonce la gorge. Je dois la maintenir écartée à bout de bras, j'ai faillit juter direct !!
Je la tire vers moi et nous nous roulons un patin d'enfer. Elle enjambe ma bite et fait glisser mon gland sur sa chatte puis son périnée jusqu'à son anus. Elle s'accroche à mon cou, lève une jambe après l'autre et me ceinture avec. J'écarte les pieds pour assurer notre équilibre. Elle se tortille jusqu'à ce que mon gland glisse et perfore son anneau. Un basculement de bassin et je me retrouve entier dans son cul. Elle s'appui sur mes épaules et mes hanches pour se limer toute seule. Je la laisse faire bien que sans kpote (elle n'a pas fait l'amour depuis des années avant que je la rencontre et moi je suis clean, analyses pour le prouver). Néanmoins, je titube jusqu'au lit et nous écroule dessus. J'en profite pour me retirer et me kpoter quand même. Je reprends là où nous en étions restés et nous partons une nouvelle fois pour une nouvelle jouissance. Elle est dos sur le lit, je relève ses jambes sur mon torse et m'enfonce de nouveau dans son cul. Elle aime cela ! je me penche pour trouver ses lèvres. Nous nous fixons par une longue pelle. Mes reins, indépendants ne cessent les va et vient de ma queue dans son anus. Trop trop bon !!
Elle écarte sa bouche de la mienne pour me demander dans un souffle de la prendre en levrette. Doucement je la fais pivoter sur ma bite et sans déculer, la place à genoux devant moi. Mes mains sur ses épaules, j'y vais franchement. Elle gémit, puis ses gras lâchent et je lâche ses épaules qu'elle pose sur le lit. En fait c'était pour pouvoir de ses mains écarter ses fesses et me permettre d'entrer le dernier cm de ma bite (ce cm le plus épais des queues). Je la sens chaude comme jamais. Je l'encule brutalement en prenant soin d'entrer à chaque fois au maximum. Elle est la première à jouir, et que du cul puisque mes mains sont sur ses hanches à aider au mouvement et les siennes posées sur ses fesses à les écarter. Je suis au bout moi aussi et m'enfonçant une dernière fois tout au fond, j'ai craché dans la kpote.
Exténués, nous restons un bon moment couchés l'un à coté de l'autre sur le lit, nos regards perdus dans le blanc du plafond.
Nous n'avons pas vu l'heure passer. Il faut se presser. Douche rapide pour nous laver de la sueur due à nos efforts passés, et nous nous habillons.
Outre le costume, elle a tout prévu, ne sachant pas comment je serais vêtu. Elle ouvre un tiroir d'une commode et j'y vois slips et chaussettes. Sans me demander mes mensurations, elle a deviné juste. J'ai le choix entre des Calvin Klein, des Aussiebum, des Unico pour les slips. J'ai un faible pour les Aussiebum wondeerjock qu'elle m'a acheté en " propriété française " bleus, ça met bien mon paquet en valeur (serait ce de la vanité ?? Non !).
Elle me tend une chemise blanche à bouton de manchette. Elle est obligée de me les mettre elle-même je n'en n'avais jamais portées avant. Les boutons de manchette sont de vrai bijoux, deux barrettes en or d'environ 2cm par 1/2cm pavées de diamant et rubis. J'enfile le costume. Il tombe super bien. Je n'ai pas l'impression d'avoir ce type de vêtement sur moi. Je suis aussi à l'aise avec que dans un jogging ! Quand je lui en fais la remarque elle me dit que c'est toute la différence entre un costume de prêt à porter et un taillé sur mesure. A ma question sur comment elle avait pu avoir mes mesures, elle me dit m'avoir " cartographié " en utilisant sa main comme instrument de mesure, et que le tailleur de feu son mari était un magicien.
Mon premier costume ! Je me tourne vers l'armoire à glace. Je n'y vois qu'un, frère, cousin.... Je ne me reconnais pas. Quelque part si je rencontre une de mes connaissances, au moins il ne pourra être sûr que ce soit moi.
Emma se colle à mon dos et je l'entends se murmurer à elle-même " j'en étais sûre ".
Je lui demande : sûre de quoi ? Elle me répond : sûre que je serais parfait avec.
Je tourne sur moi-même, m'inspecte sous toutes les coutures, ça me change vraiment. Je suis plutôt jeans / t-shirt, cuir moto. Mais je dois le reconnaitre dans un genre différent c'est pas mal ! (Je limite là à cause de mes chevilles lol).
Elle me sort une paire de chaussures tout cuir, noires, fines et pointues. L'ensemble en jette un maximum, quand je lui en fais la remarque, elle me dit que c'est fait exprès et qu'un escort doit savoir être à l'aise en toute circonstance. Et pour cela, elle compte bien me coacher. Je l'attrape, la serre contre moi pour l'embrasser. Elle proteste que nous sommes déjà en retard et que du coup il faut qu'elle se repasse du rouge à lèvres.
Elle me jette les clefs du cabriolet Mercedes. Pas mal, très différente du Z8 qu'elle m'a offert, mais pas mal dans le genre bourge plein de fric !
Je conduis doucement et nous rejoignons les parents de Pierre devant le restaurant. Je sors de la voiture en fait le tour pour ouvrir la porte pour Emma. Quand nous arrivons auprès d'eux, ils me regardent à deux fois avant de féliciter Emma pour ma transformation. Ça m'énerve un peu et je leur sors que sous l'apparence, il y a toujours le même mec, pas plus honorable à cause du costume. La mère de Pierre, Hélène, me prend par le bras et me " gronde " de ne pas me dire plus méchant que je ne le suis.
Je lui souris, et nous entrons tous les 4 dans le restaurant, les hommes en premier comme le veut la politesse.
Le père de Pierre, David, demande la table qu'il a réservé pour nous. Nous traversons la salle. Comme nous sommes décalés par rapport au début du service, toutes les tables sont déjà prises et je m'aperçois qu'une est occupée par mes parents !
Ils me regardent passer sans voir leur fils dans ce jeune homme stylé avec au bras une belle femme même si cela ce voit qu'elle est plus âgée.
Du coup je me place de façon à leur tourner le dos. Je ne tiens pas à entrer dans des explications vaseuses s'ils en venaient à me reconnaître.
Je les oublie vite et nous passons un dîner très agréable. La conversation passe de Pierre et son ami, pour nous dire qu'il n'avait jamais eu d'aussi bons résultats que depuis qu'ils étaient ensemble et que pour le BAC et l'entrée à l'école d'architecture, ça ne devrait pas poser de problème. Emma se fait résumer l'histoire et j'ai droit à un coup d'oeil amusé de sa part. Je pense qu'au retour il va falloir que j'explique un peu. Emma à ma gauche ne cesse de poser sa main sur ma cuisse. Heureusement que je suis en shorty, un simple caleçon laisserait ma trique pousser le tissus du pantalon de façon indécente. Je bande pendant presque tout le repas.
Evidement, à un moment, Hélène nous demande " et vous ça va ? ". Je ne suis pas à l'aise pour répondre, que dire de notre situation. Emma me paye toujours, je suis donc son " gigolo ". Mais il y a plus que cela aussi, une tendresse entre nous s'est installée doublée de sa part de beaucoup d'indulgence. Je pense que si je n'avais pas rencontré Marc, j'aurai pu aller très loin avec elle, sentimentalement parlant. Je suis toujours à chercher ce que je vais dire quand je l'entends distinctement dire que je suis son escort boy, juste ce qui lui fallait pour sortir de la torpeur où l'avait plongé la longue maladie de son mari. Je la regarde un peu surpris, elle me gratifie d'un clin d'oeil rassurant, ce qu'elle vien de dire c'est pour la façade. Ouf quelque part ça me rassure de savoir qu'il y a quand même un peu plus que cela. Dans mon dos mes parents partent, ils passent à mes cotés sans signe de reconnaissance, ouf ! Après avoir passé un bon moment, je raccompagne Emma chez elle. Comme elle m'a fait bander toute la soirée, je l'entreprends dès la cuisine, la poursuivant jusque dans la chambre ou nous faisons l'amour comme des bêtes, ça lui apprendra à me chauffer pendant des heures !!
Il n'est pas loin de 2h du matin quand je rentre à la maison. Le trajet en moto est plutôt hard, je n'ai plus de force ! Mais rester chez elle aurait changé le type de relation que nous avons ensemble, trop risqué !
JARDINIER
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Ma mère a un cancer. L'été dernier j'avais remarqué qu'elle avait un nouveau grain de beauté, qu'il était foncé, que c'était bizarre. Elle a pas voulu appeler de dermato. J'ai insisté, beaucoup, parce que moi aussi j'ai pleins de grains de beauté, et que c'est un truc qui m'inquiète. Elle a réussi à avoir un rendez-vous 4 mois plus tard, et c'est un cancer. C'est opérable, c'est pas si grave, mais c'est pas rien non plus. Je vais devoir l'aider avec ça, être un soutien moral, et j'ai l'impression que j'en ai pas le courage. Mais c'est pas moi qui suis malade, ça devrait pas m'impacter tant que ça. Je culpabilise beaucoup, mais je vais faire de mon mieu, comme toujours, être là pour les autres, faire face.
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