Tumgik
#mais c’est ce qui le rend si mignon
luma-az · 9 months
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Tes taches de rousseur
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 26 août 
Thème : dix-sept/tout au milieu des étoiles
. .
« Cinq… six…
— Qu’est-ce que tu comptes comme ça ?
— Tes taches de rousseurs. Sept, huit, neuf…
— Mais pourquoi tu fais ça !
— Ça fait trop longtemps que je me posais la question, je veux savoir combien tu as de taches de rousseurs !
— Quoi, partout ?
— Non, pas partout ! Je vais y passer la nuit sinon !
— …
— Déjà, sur ton visage.
— C’est bizarre.
— Dix, onze, douze… Qu’est-ce qui est bizarre ?
— Que tu me regardes comme ça. Aussi… intensément. C’est bizarre.
— Mais… Bizarre bien ou bizarre t’aimes pas ?
— Je sais pas.
— Je peux arrêter si tu veux.
— Mmh. Peut-être.
— Bon. J’arrête alors.
— …
— …
—...
— …
— Tu me regardes encore bizarrement ! Tu comptes dans ta tête !
— Moi ? Non… c’est pas mon genre !
— J’en suis sûr ! Et puis pourquoi tu  veux compter mes taches de rousseurs d’abord ? C’est pour te moquer de moi ?
— Mais non ! Pourquoi je me moquerai de toi pour tes taches de rousseur ?
— Parce que tout le monde se moque de moi avec ça. Depuis que je suis tout petit.
— Parce que tout le monde est un imbécile. Elles sont trop belles, tes taches de rousseur.
— N’importe quoi.
— Mais si ! On dirait des étoiles ! Des constellations !
— N’im-por-te-quoi.
— Mais si, je te dis ! On voit ça, c’est comme de regarder le ciel, et puis d’un coup…
—... quoi d’un coup ?
— D’un coup on voit, tout au milieu des étoiles, tes yeux qui…
— Qui… qui quoi ?
— Qui… qui rien.
— …
— J’avais juste envie de regarder, c’est tout.
— …
— Et il y en a dix-sept.
— Dix-sept ? C’est tout ?
— Oui, moi aussi je pensais qu’il y en aurait plus… Mais si tu veux, je peux recompter.
— Ok. Si c’est toi, je veux bien. »
.
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pourlemeilleur · 2 years
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Mais si je retiens le positif, c’est : les deux concerts de Coldplay en juillet. Montréal pour qui mon envie d’y vivre n’a fait que confirmer l’évidence. Je pourrais dire que j’ai été à New-York, à 24 ans. Que j’ai vu le coucher du soleil sur le toit d’un building. Que j’ai fait de la balançoire à Central Park. Que j’ai donné à manger à un écureuil. Que j’ai assisté au plus beau couché de soleil de ma vie à Wilmington, ville où a été tournée une de mes séries favorites. Ça rend le moment encore plus marquant. J’aurais voulu y rester pendant des heures, dommage que le soleil se couche aussi vite. J’ai été à des endroits où des personnages, acteurs de cette série, étaient il y a 18 ans. J’ai eu Morgane en appel vidéo quand j’étais à Montréal et ça… comment oublier. La seule amie avec qui j’ai fait ça. J’ai fêté mes 24 ans au parc d’attraction que j’ai adoré. Et pour finir, Diana me l’a souhaité en me faisant un gros câlin. C’est le genre de journée qui restera marqué. Je voulais que ça reste une journée comme une autre, mais j’aurais bien aimé avoir un câlin d’un.e des mes ami.es si j’étais en France à ce moment-là, et finalement Diana l’a fait d’elle-même. Ça m’a trop touchée. 🫶🏻
et je me suis fait tatoué aussi à MTL!!!!! par une tatoueuse trop safe et qui avait un chien supra mignon dans son stud 🐕 🤍
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minashiro-mcl-etc · 2 years
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Épisode 1 - Un souvenir bien vivant (solution)
Rosa
Bon du coup, on se voit demain? Pour déjeuner?
A. Ça marche. Je vous embrasse, à demain. +5 B. Pas sûr, j’ai pas mal de boulot. On verra, d’accord? C. Y’a de grande chance qu’on se croise, oui.
Objectif N°1 - Va te promener
Aller au Cosy Bear : On évoque Kentin.
Tata
Condition: après évocation de Kentin Lieu: Sweet Amoris Cadeau: Oursons amoureux Coût: 14 PA
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Kentin n°1
A. Tu as... Tu as changé! Mais pas... tellement, tu es... +5 B. Je ne m’attendais pas à te voir! Ça fait bizarre! C. Je... Je suis en Master. Ici, à Anteros. Depuis la rentrée.
Kentin n°2
Oh... non en fait... Maintenant que tu le dis...
A. Tu crois que c’est un truc de narcissique inconscient? B. Maintenant, tu ne pourras plus ne pas le voir. C. J’aime bien, c’est mignon et cohérent. +5
Objectif N°2 - Rends-toi au Cosy Bear Café pour boire un verre.
Choix de la tenue: Strong Day (160G) Boutique de vêtement à la fin de l’épisode (chemise 44G, Top 36G, pantalon 60G, Bottines 20G)
Kentin n°3
A. Tiens, il reste des places en terrasse, on s’assoit? +5 B. Tu veux qu’on regarde s’il reste des places à l’intérieur? C. Tu préfères t’installer? ou on prend à emporter?
Kentin n°4
Enfin, si ça ne t’ennuie pas de m’en parler, évidemment...
A.Je ne sais pas... Je me disais que je pourrais jouer la fille un peu mystérieuse... +5 B. Ça ne m’ennuie pas, c’est... Enfin, c’est un peu personnel... C. Non, au contraire! C’est plutôt moi qui ai peur de t’ennuyer, en fait...
Kentin n°5
A. (Je lui ai tendu ma serviette pour qu’il s’essuie le chocolat.) B. (J’ai tendu la main vers son visage pour le lui essuyer.) +5 C. Tu... Attends, il t’en reste encore un peu, juste là.
Kentin n°6
Super! Ne bouge pas, je vais payer, et on pourra y aller.
A. Non attends, ça me gêne, je peux payer mon chocolat... B. Ok! Je t’attends, alors, je garde les chiens! +5 C. (J’ai sorti un billet de ma poche et lui ai tendu.)
Objectif N°3 - Rentre à la fac.
Kentin n°7
Non, il ne m’a rien dis non plus. Pourquoi?
A. Je ne sais pas, je me demandais si vous parliez de moi... B. Tu ne te serais pas arrangé avec lui pour organiser notre rencontre, n’est-ce pas? C. Pour rien, par curiosité. Je suis un peu surprise, c’est tout. +5
Kentin n°8
Oui, tu as peut-être raison... Je ne serais jamais aussi mignon...
A. Joker et Siska le sont bien assez pour toi! B. Il y a peu de chance effectivement. Mais je suis sûre que tu as d’autres qualités. C. Si tu ne peux pas promettre, il va falloir que tu trouves autre chose pour te faire pardonner... +5
Kentin n°9 (Illustration)
A. Tu devrais y aller, tes parents vont finir par s’inquiéter. B. À plus tard, alors. Appelle-moi vite, d’accord?
C. J’ai... J’ai passé un très bon moment. Vraiment, je...
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Coût de l’épisode 1146 PA (avec Tata)
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Deux ou trois choses sur la différence entre "la connaissance" (S2) et le savoir (S1—>S2), du point de vue de la psychanalyse
«Le savoir ne s’acquiert pas par le travail, et moins encore la formation qui du savoir est l’effet.
Ce qui n’est nullement dénier le savoir du travailleur, voire si l’on veut, du peuple, mais affirmer que pas plus que les savants, il ne l’acquiert par son travail.
Galilée, ni Newton, ni Mendel, ni Gallois, ni le mignon petit James D. Watson ne doivent rien à leur travail, mais à celui des autres, et leurs trouvailles se transmettent en un éclair à qui a seulement la formation qui s'est produite de court-circuits du même ordre, et numérisables, même si l’ennui scolaire en a éteint la mémoire.
N’importe quelle mère de famille sait que la lecture est un obstacle à son travail, le premier manœuvre venu que s’en est l’échappatoire, l’ouvrier communiste, qu’il y prend ses lettres de noblesse.» (Jacques Lacan)
La différence entre le savoir à proprement parler et l’acquisition des connaissances, qui elle procède de l’apprentissage, est probablement ce qui fait que dans la psychanalyse, on enseigne ; on continue d'enseigner tout en sachant que c'est intransmissible.
Cela ne veut pas dire que l’on enseigne quoi que ce soit.
Autrement dit que l’enseignement soit une transmission de savoir.
Il se pourrait même que l’enseignement soit l'obstacle principal à la conquête du savoir.
Le plus important, dans l'enseignement, c'est ce qui se passe, la valeur du savoir tient de l'usage que l'enseignant en fait - et donc sa façon singulière d'en jouir, plutôt que de son prétendu échange.
C’est pourquoi Lacan est si sévère avec le discours universitaire qui est dans un rapport radical d’antipathie avec la psychanalyse en tant que telle.
L'acquisition de connaissances est à mettre au compte de la passion de l'ignorance, le savoir concerne autre chose, ce bout de Réel dont, en tant que sujet, je EST affligé.
«Apprendre, c'est une chose terrible, il faut passer à travers toute la connerie de ceux qui vous expliquent les choses, et ça, c'est pénible à soulever.»
(Jacques Lacan)
Nietzsche notait déjà en 1885: encore un siècle de journalisme et tous les mots pueront... Encore un siècle de lecteurs et l'esprit lui-même puera...
Céder sur les mots c'est toujours avoir déjà cédé sur les choses.
Pour le parlêtre, toute activité s'inscrit à l'intérieur d'un horizon de signification qui seul la rend possible.
Le diktat de l’opinion, le psittacisme qu’il induit, les énoncés médiatiques, le laxisme lexical, les approximations syntaxiques... contaminent les actions en surdéterminant l'horizon de leur sens.
Ceux qui ne comprennent rien comprennent mieux que ceux qui comprennent mal. Et ceux qui ne lisent rien sont plus cultivés que ceux qui lisent les médias.
C'est seulement en cherchant le mot juste par rapport à sa propre position d'énonciation, en prononçant "la parole vraie", que le sujet introduit une rupture dans la chaîne signifiante dans laquelle s'inscrivent ses actions, il ne peut donc plus dès lors continuer à agir de la même façon car il ne peut plus dès lors "penser" de la même façon.
«La science nous trompe de trois manières: en transformant ses propositions en normes, en divulguant ses résultats plutôt que ses méthodes, en passant sous silence ses limitations épistémologiques.»
(Nicolás Gómez Dávila, Les Horreurs de la démocratie)
Ce qui n’ex-siste pas in-siste.
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lavillelanuit · 8 months
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Les fils d’or
Et c’est comme ça que je me suis retrouvé à errer entre le rayon lessive et confiture, un lundi à 15h. Je vous passe les détails, une sale histoire. Une connerie. On devrait jamais commencer des histoires si on oublie à chaque fois qu’un jour ce sera la fin. Je suis parti de chez elle ce matin, et depuis j’ai fais trois ou quatre supermarchés. Je ne sais absolument pas ce que je cherche, mais je compte pas rentrer tant que j’ai pas trouvé cette petite envie qui me tient depuis ce matin. Les hauts-parleurs crachotent un fond sonore andalou à la Kenji Girac. Rien qu’à travers l’écran de ma télé j’ai souvent envie de le buter ce con-là, mais alors là ça devient presque insoutenable. On entend un mot sur deux dans ces putains de bouches béantes de grands magasins, entrecoupés quelques fois par une annonce de gosse perdu. Entre ces mômes chialeurs et les deux accords de guitare répétés en boucles, j’arrive plus à penser. Et en faisant ce constat, je me dis que c’est peut-être pas si mal.
J’arrive au rayon fausse viande. De la nourriture pour lapin que je mangeais pour faire plaisir à mon ex et qui est désormais une habitude. A la caisse, je dis mon nom : j’ai un compte ici. “Etienne Bouleau”, je dis. Putain, qu’est-ce qu’ils mettent dans ce faux bout de steak pour que j’ai un compte ici ? C’est addictif le soja ? Sûrement de la weed pour clapier. Tous drogués à la non-souffrance animale. Des fois, j’ai envie de pas avoir d’âme et de leur dirent d’aller se faire foutre à eux aussi. Je vois pas pourquoi on devrait préserver des boules de poils au nom de la grande “humanité”, et moi je trouve quand même que ma vie non plus elle est pas très humaine en ce moment. Mais évidemment, je pense pas ça, elle est là l’astuce : c’est justement parce que c’est des boules de poils toutes mignonnes qu’il faut pas les manger. La dictature des trucs mignons. Alors je paye mon steak de tofu “tomates basilic de nos producteurs” et je me casse. Dehors, il fait plus frais. Je me rends compte que j’ai oublié mon écharpe chez Emilie.
Emilie, c’est une grognasse. Elle m’a appris que j’avais des pronoms l’année dernière, elle a les cheveux colorés en bleu qui tournent au vert parce qu’elle s’en occupe plus depuis longtemps, elle écrit des pages wikipédia pour se divertir et elle a souvent des problèmes pour payer son loyer. Y’a pas à pleurer pour ses gens-là. Même si c’est plus compliqué que ça, évidemment. J’en ai marre de penser à elle. Elle a eclipsé Kenji pour se refaufiler discrètement dans ma tête. J’essaye de la chasser mais plus petite, plus agile, elle reste accroché quand même. Alors je la laisse, parce que j’ai pas trop le choix. Je rentre chez moi.
Chez moi, ça sent la poussière. Je suis éloigné de la ville alors ça fait longtemps que je ne venais plus trop. Ca emmerde personne. C’est la maison de mes parents, alors j’ai pas de loyer et mon chat à une gamelle automatique qui lui donne des croquettes 3 fois par jour. Il fait froid, mais on est en mars et les températures sont sensées remonter alors je m’interdis de monter le chauffage. Je range les courses dans mon frigo qui pue. Tout me parait détestable.
Il ya des mèches bleus qui bloquent ma vision. J’essaye de me concentrer, de passer outre, de destabiliser ma petite envahiseuse en faisant autre chose. Je décroche mon téléphone et mon cerveau. Mon médécin appelle ça une machine du diable. Elle a peut-être pas tord. C’est l’apogée des vidéos courtes sur internet, du divertissement par tranches de 8 secondes. Franchement, c’est exactement ce dont j’ai besoin. C’est une forme de drogue aussi. Il y a du désespoir dans la petite fênetre qui m’annonce que j’ai déjà passé 2h aujourd’hui sur cette putain d’app, et plus de 12h la semaine dernière. “Ignorer”, je dis. Il y a pas 36 moyens de rendre un cerveau étanche, et j’en ai besoin, là.
Je refuse de lâcher, je refuse de pleurer. Il faudrait pourtant, peut-être qu’il n’y a qu’un torrent de larmes pour faire se noyer le bout d’humain pas plus gros qu’une pensée qui traine dans ma tête. Je veux pas perdre contre elle. Je pensais pas que je devrais me battre contre sa petite peau douce un jour. Si seulement on pouvais recommencer. Mais j’en ai déjà eu trente des chances, il faut se faire une raison, mon pauvre Etienne. C’est ma faute, en plus. Mais il y’a des choses qu’on peut pas affronter tout de suite. Toutes ces nuits passées à recevoir des cours sur la masculinité toxique, à penser comprendre et évoluer pour se rendre compte finalement que c’est gravé dans ma chair. La remise en question, c’est pas vraiment mon délire.
Moi, on m’avait dit que l’amour c’est inventer un langage et qu’une rupture c’est couvrir ses blessures de fils d’or. Ca devrait être interdit de raconter des salades pareilles, parce que là, je me sens juste misérable. Misérable et triste. Pour une boule de cheveux bleus, putain. Je vois pas de l’or, je vois du bleu, moi. Bleu commes mes larmes qui ne veulent pas couler mais qui pourtant sont pas loin de la commisure de mes paupières. Mais les laisser couler sur mes joues c’est du suicide. Je fais quoi après, hein ? Je tente d’oublier, je laisse couler et hop un beau jour ça va mieux ? Je veux pas passer par là. Peut-être parce que je suis persuadé que non, ça pourra pas aller mieux. J’ai des moments de faiblesse. Il est tard, je suis douché, rasé court et je suis nu sous mes draps, et j’ai l’impression d‘être nu dans mon coeur aussi. Je me sens comme une merde, misérable et nu. Y’a plus de couleurs. La rupture, c’est.. POF, tu disparais. Je sens une larme me couler sur le torse. Je pense à ses petites mains qui ne le toucheront plus jamais. Les larmes se ruent vers la sortie tout d’un coup. Je veux la sentir contre moi, pouvoir l’embrasser encore et jouer avec ses cheveux, lui dire que ça ira et lui sourire de toutes mes dents. J’en n’ai pas eu assez le temps. Ca aura duré 10 mois, et j’aurais voulu 10 ans de plus. On se rend toujours trop tard du bonheur qu’on avait. et le pire c’est que ça, on le sait. Je pense que je l’aime tellement, et je pleure.
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mellowmoonsublime · 1 year
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Un jour de pluie Chap 4
Pov Allen
 Le lendemain je pars tôt laissant encore une fois un gâteau pour les remercier. Par chance le soir même je peux rentrer chez moi et croise Lavi dans le hall d’entrée. 
-”Hey Allen-kun!” 
-”Salut!” Je dis lui offrant un sourire fatigué. 
-”Ta voiture sera prête demain soir, Yû pourra t’y emmener, je lui ai déjà demandé.” J’hoche la tête en le remerçiant. On parle de deux trois choses jusqu’à ce que l’on parle d’un sujet commun.
-"LA COÏNCIDENCE !"crie Lavi.
-"Gueule pas baka usagi!" Lavi me regarde avec un visage choqué, je venais de l’appeler comme Kanda. En vrai c’est sortit tout seul, mais c’est mieux que ce que j’avais en tête de base. Je suis poli de base mais faut pas pousser non plus.
-"Toi tu vas arrêter de côtoyer Yû hein!" Il me juge de la tête au pied et ça avait l’air d’être marrant pour le grand-père Bookman qui nous avait rejoint puisque Lavi prenait trop de temps pour rentrer.
-" En tout cas si tu as besoin d'un truc, demande nous, on doit se soutenir entre voisins." Reprend Lavi.
-"Merci!" Il sourit avant de rentrer chez lui, et moi bah par personne. J’ai déjà pensé à prendre un animal, mais je n’ai déjà pas à manger pour moi, ça ne serait pas juste pour une petite bête de ne pas recevoir la nourriture qu’il mérite.
Je ferme la porte derrière moi et le silence m’étouffe presque. Bizarrement c’est maintenant que je me rends compte que j’étais vraiment bien avec Kanda. J’étais apaisé.
Je n’ai rien à manger dans mon frigo et de toute façon, je n’ai  rien pour acheter de quoi manger alors de l'eau me suffira. 
Le lendemain comme promis après le travail, Kanda m’amène au petit garage du quartier. Je peux enfin revoir ma  voiture. Kanda était partit presque instantanément, ne me proposant même pas de m’accompagner. J’ai fait quelque chose de mal? Je ne le comprends pas pour le coup. 
Lavi m’a fait un prix d’ami pour la voiture, je le remercie grandement. Ça me permettra d’acheter des pattes pour les deux prochaines semaines.
J’ allais donc au travail tous les jours, tous les jours se ressembler. Et je me sentais petit à petit proche de ma limite mais faisait en sorte de ne pas m’écouter. Je vais bien. 
J’ai pas revu Kanda pendant plusieurs semaines après qu’il m’est déposé. 
Son père venait toujours à la boutique, toujours gentil et souriant, mais lui resté dans la voiture. Et puis d’un coup il a remontré le bout de son nez par moment avec lui, il me parlait un peu, simple bonjour et aurevoir. Ça me suffisait en vrai. 
D’un autre côté, je passais beaucoup de temps à parler avec Lavi. Je suis bien plus jeune que lui, et en vrai je devrais être à l'université mais je n’ai jamais aimé ça alors j’ai arrêté après un semestre et puis pour d'autres raisons aussi. Je fais tout par moi même et, même si je refuse de l’aide la plupart du temps, je fais toujours en sorte de rendre l’appareil. Je  ne pouvais pas non plus en faire trop. J’aide Lavi pour ses devoirs et les révisions puisqu’à côté de travailler au garage il est étudiant, lui. Je  fais aussi un petit casse-croûte pour la journée.
Je suis  complètement émancipé, donc je me démerde du mieux que je peux mais je n’ai aucun soutien autre que mon cul. Mais quand je savais qu’il venait,  je faisais en sorte de faire des courses pour manger un bon repas avec lui et son grand-père. Et puis Lavi est assez proche de Kanda même si le noiraud ne l’avouera pas. Même si ces deux-là jouaient au chat et à la souris, ils s'appréciaient vraiment. Un jour à la boutique quand  j’étais en train de remettre en rayon des pâtisseries et petit pain,  Kanda rentra dans la boutique sans son père, mais accompagné de Lavi tout sourire.
Naturellement je les gratifie d’un de mes plus beaux sourires toujours claqué, je n’arrive plus à dormir du tout. Mais le maquillage est là pour m’aider un peu à cacher tout ça. Maquillage gentillement offert par Lenalee pour mon anniversaire, l’hiver dernier. 
-”Ouah Allen t’es trop mignon avec ce petit tablier.” Je me  sens rougir sous la réflexion de Lavi, et cache mon visage derrière deux baguettes que j’avais dans les mains.
-”C’est pas vrai.” Je dis ultra gêné, andouille! 
-”Mais si c’est vrai! “ confirma Lavi une deuxième fois,  mais il avait l’air plus intéressé par les gâteaux que par moi et encore heureux. Il était à la  limite de baver en regardant les pâtisseries pour le coup. Je souris lui tendant le petit gâteau que j’avais gardé pour moi.  Il le prit tout joyeux mais un peu hésitant.
-”Merci beauté.”  Kanda à la rescousse, il lui écrase son poing sur le crâne et me dit la fameuse phrase. 
-”T’es long crétin. Comme d’habitude s’il te plait.” Ouah première fois que j’ai le droit à un “s’il te plait”. Je lui souris préparant le tout. Il ajoute: 
-”Et mon père voudrait faire une commande d’un gâteau pour la semaine prochaine pour l’anniversaire de ma mère.” Je souris heureux, j’aime bien les anniversaires et lui donne le catalogue gentillement et le laisse regarder. Il s'attable avec le rouquin  et regarde attentivement, je viens les rejoindre tous les trois penché au-dessus des différentes photos de gâteau. 
-”Chocolat tout le monde aime le chocolat!”  Dit Lavi ultra sûr de lui montrant un super jolie gâteau et bouré de chocolat que même moi je ne pourrais pas manger une part entière sans me sentir sur le point d’exploser.
-”Ma mère n’aime pas ça, et moi non plus.” Et une personne choquée! Une! Lavi lui était sur le point d’argumenter je lui enfourne une chouquette dans la bouche pour éviter qu’il ne se fasse tuer par Kanda en hurlant des choses sans vraiment de sens.
-”Fruit de la passion alors?” Proposa  Lavi montrant le jolie gateau au mélange de couleur pâle et pétillante à la fois. 
-”Pourquoi pas. “ Il me regarde comme pour avoir mon avis. Et moi en vrai de mon côté, je  pensais juste  au fait que j’avais faim et ça se fit entendre. Un énorme bruit sortit du plus profond de mon bidou, j’étais vraiment très gênée et m'éclata la tête contre la table murmurant un petit “pardon” quand les deux garçons me regardèrent les yeux grand ouverts.
-”Tu n’as pas mangé ce midi Allen?” Demande Lavi un tout petit peu inquiet mais surtout très impressionné par le bruit que mon estomac a fait. Je secoue la tête. Ouais et puis hier soir non plus et ce matin  j’ai  avalé rapidement une chouquette en cachette.
-”Non.” Je n'ose pas dire que ce qu’avait mangé le rouquin quelques minutes plus tôt était censé être mon repas, je ne veux pas qu’il se sente mal pour moi. 
-"Idiot, nourris toi mieux!” Ça c’était Kanda. Je le sais déjà ça!  Mais je ne pouvais pas faire autrement, je n'ai  pas assez d’argent pour prendre à manger cette semaine   et dire que je suis  sur la paille n’est pas si loin de la vérité. Je  décide de passer outre. Me relevant et regardant la composition du gâteau avec attention, comme si de rien était. 
-”Je pense que fruit de la passion c’est très bien et puis c’est léger pour la fin d’un repas et pas trop sucré. “ Il hoche la tête et le commande pour la semaine qui suit. Kanda serra les poings et dit avant de partir. 
-”Au fait, ma mère à insisté pour que vous veniez toi et Moyashi. Elle a envie de vous revoir. -”Merci mais mon nom c’est Allan Bakanda.” Je rajoute tout sourire. Je me  tourne vers le noiraud, souriant.
-”Ça sera avec plaisir.” Je souris et lui tend ce qu’il avait pris pour le club. Il me paye glissant une pièce dans la paume de ma main. Ses doigts frôle ma main et je me rends compte qu'ils sont vraiment chauds contrairement aux miens. 
-”Et tu devrais arrêter de donner ce que tu dois manger, Moyashi, tu as la peau sur les os.” 
-”Abuse pas non plus.” Je le fâche, il fait un  tch et part. J’espère juste que Lavi n’a pas entendu. Je ne veux pas qu’il se sente coupable pour ça, en vrai voir ses petites joues rosies en mangeant me fait bien plus plaisir qu’autre chose. C’est le moins que je puisse faire pour lui et pour eux en général.
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Voilà pour aujourd'hui!
Crédit : cutespacew0lf on wattpad
#allen walker#kanda yuu#d gray man#yullen#fiction#fandom ships
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succoflood · 1 year
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Je ne suis pas la fille parfaite
Cher journal,
Je n’ai jamais été la fille parfaite.
Ma mère a rempli un carnet à ma naissance. Dedans, elle écrit qu’elle voulait un garçon. Et quand j’ai été une fille, une petite fille, une jeune fille, j’étais “un garçon manqué” pas féminine. Parait-il également que mon grand-père paternel à ma naissance aurait dit que, je cite je serais “Miss France 2020″. Résultats, on est en 2022 : je ne suis pas assez grande, et trop grosse pour participer à Miss France.
Au collège, j’étais la fille bizarre. Toujours habillée pas à la mode, ni très féminine ... Bully même pour ça. Le Soleil qui disparaît, caché par des masques qui crient comme dans un match de catch “UN, DEUX, TROIS !” et j’ai déjà perdu la partie. Mais j’avais des bonnes notes, et le pire pour la famille : sans vraiment travailler. Pas adaptée socialement au collège, j’ai une meilleure amie harcelée par ses camarades dans une autre classe que la mienne dont les parents s’en branlent qu’elle soit mal dans sa peau à cause d’eux. A 16 ans, elle a déjà avorté. Elle fume. A 18 ans, elle a un enfant et un CAP fleuriste. Moi, je n’ai plus d’amis parce que j’ai “un sale caractère”, et que c’est ma faute si je n’ai plus d’amis. Je suis trop étrange, avec un sale caractère, seule, et non sociabilisée comme il faudrait : je suis une mauvaise fille.
J’ai 10 ans, je vais entrer au collège à la rentrée, et je stresse stupidement tout l’été parce que je vais me tromper de salle pour les cours à la rentrée. En janvier, mon père quitte la maison de ma mère. Je tombe malade, j’ai un mal au ventre inexplicable. On me dit que c’est du stress, mais je ne comprends pas. On veut que je sois triste parce que mon père part, mais moi, ça me rend heureuse : je suis une mauvaise fille.
Mon père se trouve une nouvelle compagne. Les peu de fois où je vais chez lui, je rappelle ma mère pour venir me chercher. C’est aussi la première fois que j’entends un de mes parents vomir le matin. Je suis traumatisée, je ne comprends pas. Je n’ai plus envie de voir ou de parler à mon père. Je n’appelle jamais pour prendre des nouvelles : je suis une mauvaise fille.
Au lycée, je tombe amoureuse d’un garçon metalleux aux cheveux longs. Quand il vient le week-end, il ne faut pas qu’il mange chez mamie le dimanche. Il est si timide qu’il ne parle pas, et dit à peine bonjour. Il ne faut pas que mamie le voit porter des t-shirt à la mode santaniste : je suis une mauvaise petite fille.
A la fac, j’ai un nouveau copain, cheveux rasés, et lui il travaille contrairement au premier. Je le quitte, parce que j’ai besoin de prendre confiance en moi-même, seule, et je veux vivre des aventures alors que lui est casanier. “Tu n’es plus avec lui ?” : je suis une mauvaise petite fille.
C’est un repas de Noël. Je n’ai qu’un cousin d’environ 2 ans de plus que moi. Il a fait un bac pro, maintenant il bosse à Toulouse chez Airbus, il fait des avions et il gagne bien sa croute. J’ai fait un bac général, mais c’est un bac L, spé théâtre en plus. Post bac, je fais une licence, mais c’est une licence de philosophie. Il a fait un bac pro, mais gagne bien sa vie. J’ai fait un bac général, mais c’est un bac L. J’ai une licence, mais “tu fais quoi avec ça ?”. Je suis une mauvaise cousine.
On m’a toujours dit quand je partais à l’école “travaille bien”. Pour, je cite “avoir des bonnes notes donc faire le métier que je veux faire plus tard, être heureuse et bien gagner ma vie”. Je fais un bac L : ça ferme des portes pour les études supérieures. Je fais une licence de philo : ça ne donne aucun travail stable. Je décide de réaliser mon rêve : théâtre et doublage. Bien travailler à l’école ne permet pas de réussir dans le métier et être stable financièrement : je suis une mauvaise fille.
Ces métiers d’intermittents du spectacle sont considérés comme du chômage : je suis une mauvaise fille.
Un jour, je mets du phare à paupière bleu, c’est coloré, c’est mignon, ça met de la couleur dans la vie des gens qui voient mes yeux. Mais c’est trop extravagant, c’est “mal fait”, trop, et pas “nude” : c’est moche et vulgaire. Je suis une mauvaise filleule.
J’ai 20 ans. On fait un énorme repas de famille, je revois la cousine de ma mère, et j’ai mes cheveux colorés en violet avec un maquillage goth. Mon maquillage et mes cheveux ne lui plaisent pas. Mais “elle m’aime quand même”, n’est-ce pas ? Je suis une mauvaise petite cousine.
J’ai 20 ans, bientôt 21. Je me fais mener en bateau par un garçon, j’ai quitté mon ex il y a 3 mois et j’en souffres encore. Un jour, je me questionne sur mon orientation, et si j’aimais les filles ? J’ai 21 ans. ma mère est mon seul repère, je viens d’arriver à Paris depuis 4 mois, et je suis seule, sans repère. Elle est mon seul soutient moral. Je lui demande “et si j’aimais les filles, tu dirais quoi ?”. Et elle me dit “on préfère ça chez les autres”, mais bon, si je suis heureuse ... N’empêche que je ne devrais pas. Je suis une mauvaise fille.
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just-wanna-them · 2 years
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18+ Iwaizumi Hajime x reader pt 2
Ce x reader est traduis par mes soins, la version original se trouve au compte ci-dessous  
@queen-pudi​
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I don’t say meow
Tu avais fait le tour de la pièce pendant environ 10 minutes en essayant de planifier ton prochain mouvement. Tu avais une idée de ce pour quoi il venait mais tu avais encore des doutes. Je veux dire pour autant que tu saches, il pourrait venir ici pour tu dire qu’il était dégoûté de ce qu’il a vu et qu’il ne voulait plus jamais te parler !
C’est un peu irrationnel mais ça pourrait quand même arriver ! Honnêtement, aussi fous que tous les scénarios que tu avais imaginé, ils ne pourraient pas te distraire du résultat le plus réaliste et le plus effrayant de tous : il ne ressent pas la même chose et tu perds ton ami. C’était plus que suffisant pour te mettre au bord des larmes.  
Décidant de te couvrir avec un survêtement afin que tu puisses attendre et voir comment cela se passe, tu t’asseyais sur le canapé, attendant anxieusement son arrivée.  En vérité, tu te préparais à tout. Essayant de te ressaisir pour ne pas craquer devant lui.
Enfin, tu entendis frapper à la porte. Tu t’es figée, incapable de rassembler le courage de bouger de ta place. Sachant qu’à la seconde où tu ouvrirais la porte, rien ne serait pareil que ce soit pour le meilleur ou pour le pire. Un autre coup vient de la porte.
Maintenant ou jamais
A contrecœur, tu te diriges vers la porte, la main posée sur la poignée. Tu prends une profonde inspiration pour te ressaisir et ouvres la porte pour révéler Iwaizumi.  En costume, avec les 3 boutons du haut de sa chemise habillée défaits révélant un peu de sa poitrine, te menaçant de juste finir le travail et de révéler le reste. Il a l’air de s’être précipiter pour arriver ici et cela a procurer un léger battement dans ton cœur.  
Putain il avait l’air magnifique  
En remontant tes yeux vers son visage pour ne pas avoir l’air de baver, tu t’es éclairci la    gorge.  
« Hey Iwaizumi qu’est-ce qui t’amène si tard ? » dites-tu, en essayant de ne pas laisser   transparaître ta nervosité. Iwaizumi se moqua de ce que tu étais si manifestement en train de mettre en place. Vous saviez tous les deux pourquoi il était ici, mais c’était mignon de voir à quel point tu essayais d’agir en toute innocence.
« Eh bien, tu sais que je passais juste un dîner avec mes collègues, je m’amusais quand j’ai reçu le meilleur message de ma vie et que j’ai décidé de venir voir ce que faisait ma petite vache », dit-il, la confiance dégoulinant dans sa voix alors qu’il te regardait vers le bas te faisant vaciller sous son regard intense.    
« Eh bien, il n’y a pas de vache ici, alors peut-être que tu devrais aller regarder dans un champ loin d’ici, d’accord ? Ok, bien, contente de t’avoir vu !  Au revoir ! Fait attention à toi ! » Tu es immédiatement allé fermer la porte, mais avant que tu ne puisses le faire, il a poussé la porte et s’est laissé entrer.  
« Non, non, non, je suis à peu près sûr que je suis là où je dois être, n’êtes-tu pas d’accord ? » 
« Eh bien, cela dépend du pourquoi tu es ici ... » murmuras-tu, n’osant pas rencontrer ses yeux car tu avais trop peur de perdre ta détermination. Soudain, tu entends des pas se diriger vers toi avant de s’arrêter à quelques centimètres de toi. La main atteignant ton menton alors qu’il te forçait à le regarder.
« Je pense que nous savons tous les deux pourquoi je suis ici bébé » et avec cela, il t’attira pour un baiser brûlant, le genre qui te rends faible aux genoux et qui menace ton cœur de sortir. Tu as failli fondre dans le baiser jusqu’à ce que tu te retires, stupéfaite de ce qui venait de se passer.
Ce n’était certainement pas ce à quoi tu t’attendais.  
Il te regarda confus, l’inquiétude remplissant ses yeux à la pensée qu’il avait mal comprise.    
Décidant de laisser tes émotions te guider, tu l’avais tiré vers le bas et l’avais amené pour un baiser. Cette fois, ressentant toutes les émotions que tu avais eues au cours des dernières années, en t’assurant qu’il ressentait chacune d’entre elles. Il a rendu la pareille avec autant de passion, si ce n’est plus. Plus besoin de dire des mots pour savoir à quel point vous vous aimiez.
Lentement, ses lèvres ont commencé à descendre jusqu’à ta mâchoire, déposant de tendres baisers jusqu’à ton cou, laissant des morsures d’amour et des marques dans son sillage. « Mienne » murmura-t-il, les lèvres se frayant un chemin jusqu’à ton oreille. « Toute mienne » lâcha-t-il, te mordant légèrement l’oreille dans le processus, te faisant gémir légèrement.    
Tu avais forcé ses lèvres à revenir vers les tiennes alors que tu allais le tirer à nouveau, dans l’espoir de ressentir à nouveau l’euphorie que tu avais obtenu de son baiser original.  
Soudain, il s’éloigna, le coin de ses lèvres se dessinant en un sourire narquois alors qu’il regardait ta tenue.  
« Tu sais que je suis venu ici avec comme promesse une mignonne petite vache et pourtant je suis accueilli par une belle femme en survêtement gris ? »
Merde, tu espérais qu’il oublierait ça
Rougissant abondamment, tu as murmuré un demi-remerciement avant de lui prendre la main et de l’amener sur ton lit. Toujours en rougissant, tu lui avais dit d’attendre là pendant que tu es allé dans la salle de bain. En prenant une profonde inspiration, tu retiras ton survêtement et   te fixas, te donnant une dernière fois du courage avant d’ouvrir légèrement la porte.
« Fermes les yeux s’il te plaît ! » t’es-tu exclamée même sans le survêtement et cette lingerie   étriquée, tu te sentais toujours au chaud partout comme si tu allais exploser.  
« Ce n’est pas comme si je ne l’avais jamais vu avant chérie ! » son rire remplissait l’air pendant que tu roulais des yeux. C’est peut-être vrai, mais cela ne change pas la légère gêne que tu ressens à l’idée qu’il le voie en personne.  
« S’il te plaît, fais-le ! » Tu l’as supplié, tu l’as entendu glousser avant d’entendre un petit ok. Ses mains couvrant son visage pour prouver qu’il ne triche pas.  
Tu t’es frayée un chemin à l’extérieur de la salle de bain, attrapant les oreilles sur la commode et les plaçant pour compléter le look. Tu te tenais entre ses jambes, marmonnant pour qu’il les garde fermés pendant que tu prenais ses mains et les plaçais nerveusement sur tes hanches. Finalement, tu lui avais donné la permission de regarder.
Il ouvrit les yeux et fut accueilli par le spectacle le plus paradisiaque qu’il ait jamais vue. A vrai dire, il ne savait pas où regarder, entre les jarretières autour de tes belles cuisses. Au   haut délicat qui ne couvre presque rien sur tes seins mais qui couvre encore trop à son goût. Jusqu’à ton visage saupoudré de la plus jolie nuance de rose qu’il ait jamais vue. Il y avait tellement de choses à regarder mais heureusement, il avait le temps.    
« Alors, ça te plait ? » dis-tu avec la voix étouffée alors que tu frissonnais légèrement à son contact.  
Il a commencé à placer des baisers de tes cuisses jusqu’à ta poitrine avant de te retourner   sous lui pour qu’il puisse commencer par le haut. Les lèvres fantôme sur les tiennes, à quelques centimètres de l’endroit où tu les voulais vraiment.  
« Et si je te montrais » et avec cela il a encore une fois volé tes lèvres dans un baiser enflammé. Cette période a été remplie de tant de passion qu’elle t’a laissé la tête sous le choc.  Ses mains se déplaçaient le long de ton corps, ne sachant pas où s’installer.  Enfin, il posa ses mains sur tes seins, les pétrissant à travers ton haut avant de les plonger.  La main chaude enveloppant ton sein alors que tu gémissais tranquillement contre ses lèvres.
Il a de nouveau traîné ses lèvres le long de ton corps avant de s’installer sur ton autre sein. Ses yeux fixaient les tiens alors qu’il prenait ton mamelon dans sa bouche. Ton dos se cambrait de plaisir alors que tu étais submergée par les sensations que sa bouche et sa main te procuraient.
Sa main effleura à nouveau ton corps avant de trouver prise entre tes cuisses. Ton souffle s’est interrompu alors que tu sentais ses doigts appuyer contre tes plis vêtus. Il pouvait sentir à   quel point tu étais mouillée à travers ta culotte, ce qui le faisait gémir de satisfaction d’être celui qui causait cela.
Dans un mouvement rapide, il tira ta culotte sur le côté et plongea 2 doigts en toi, tes hanches ont cédé à l’intrusion soudaine. Il faisait de lent vas et vient, te laissant t’habituer à la sensation avant d’accélérer le rythme. Son pouce dessinait des cercles sur ton clitoris pour ajouter plus de plaisir intense.
Ta voix devenait plus forte à chaque poussée, criant pour lui, espérant la douce libération que tu savais qu’il serait capable de te donner. Juste au moment où tu étais sur le point de jouir, il s’est éloigné. Tes gémissements ont été remplacés par des gémissements de plainte, prêts à l’insulter jusqu’à ce que soudainement tu le sentais arracher ta culotte et poser ses lèvres là où se trouvaient ses doigts.
« PUTAIN HAJIME » tu as crié, les hanches se mouvant contre son visage alors qu’il te léchait l’intimité comme si c’était son dernier repas. Des mains agrippaient tes cuisses au point où tu savais que cela laisserait des marques, mais tu t’en fichais.  C’est juste un autre rappel que tu lui appartenais.
Sa langue entrait et sortait de toi, sentant tes murs se serrer autour de lui à chaque poussée.  Ses lèvres se sont installées sur ton clitoris alors que ses doigts s’enfonçaient à nouveau en toi dans un rythme effréné, s’enroulant à l’intérieur de toi à chaque poussée.   « JE VAIS JOUIR » cela l’a amené à aller plus vite qu’il ne le faisait déjà, voulant t’amener sur ses doigts et sa langue.  
D’une dernière poussée, tu avais soulevé tes hanches, les mains tirant sur ses cheveux alors que tu atteignais ton plus haut point. Ta vision se replissait de blanc alors que la tension dans ton estomac s’est finalement relâchée.   Iwaizumi n’a jamais arrêté ses soins, chevauchant ton orgasme tout au long de ton orgasme alors qu’il buvait chaque goutte. Une fois que tu t’es calmée, il a relevé son visage, ton essence dégoulinait le long de son menton alors qu’il avait l’air aussi heureux que toi. Il enleva sa chemise à la hâte et se débarrassa de son pantalon. Tes yeux tombaient sur le renflement de son sous-vêtement, c’était en quelque sorte plus impressionnant que tu ne le pensais, ce qui était déjà très très impressionnant.   Il s’est moqué de toi, la main serrant son renflement alors qu’il se penchait pour te mettre au-dessus.  Avec un sourir narquois, il te regarda avec domination alors que tu levais les yeux vers lui en attendant des instructions.   « Tu sais quoi faire bébé » Tu n’avais pas besoin d’autres instructions, tirant joyeusement son sous-vêtement pour révéler son membre palpitant, l’eau à la bouche par cette vue. Tu l’avais pris d’un seul coup, t’étouffant légèrement alors qu’il frappait le fond de ta gorge. Tu levais les yeux vers lui, sa tête rejetée de plaisir alors que sa main se dirigeait vers tes cheveux.
Putain sait-il même comment ne pas avoir l’air si parfait ? Tu balançais ta tête de haut en bas, creusant tes joues afin de t’adapter à sa taille.  Avec la façon dont tu allais, il n’allait pas durer longtemps. Ne voulant pas encore jouir, il t’a tirer vers le haut, les lèvres s’écrasant sur les tiennes alors qu’il te retournait sur le dos.   Aligné avec ton entrée, il te regarda, à la recherche de toute sorte d’hésitation, mais ne rencontra que la délicieuse vue de tes jambes écartées, les mains grandes ouvertes tâtonnant ta poitrine en le regardant, la luxure remplissant ton visage.  
C’était suffisant pour qu’Iwaizumi plonge en toi, ne te laissant pas le temps de t’habituer à sa taille avant de s’enfoncer en toi à un rythme brutal.  Ta chatte dégoulinait sur sa bite alors que tes murs se ressaieraient si étroitement autour de lui.
Tu te sentais si bien qu’il se demandait comment il avait pu rester si longtemps sans ressentir cela. Tes seins rebondissaient alors qu’il s’écrasait en toi, la bouche grande ouverte car le seul son que tu pouvais gérer était quelques gémissements essoufflés.
Tu le regardais, ses yeux étaient plissés de concentration alors que la sueur coulait sur son visage. Des grognements quittèrent sa gorge alors qu’il se concentrait sur le fait de vous amener tous les deux à votre apogée. Tu l’as tiré vers le bas et avais attrapé ses lèvres. Vos langues dansaient l’une avec l’autre.
Il a soulevé tes jambes jusqu’à ta poitrine, frappant plus profondément qu’il ne l’avait fait avant de vous faire tous les deux hurler de plaisir. Vous étiez tous les deux à votre point final.
« Je vais- MERDE- Je vais jouir » gémissais-tu, à peine capable de prononcer les mots.  Iwaizumi savait déjà que tu étais proche juste par la façon dont tu te resserrais autour de lui.  
« Tu veux jouir ? », demanda-t-il, en poussant ses hanches aussi fort qu’il le pouvait. Tu hochais la tête avec enthousiasme, espérant qu’il te laisserait faire. Ses doigts ont soudainement tourné autour de ton clitoris, provoquant un cri de ta part.
« Alors jouis, salope » Cela t’a fait crier son nom. Tes ongles lui griffaient le dos pendant que tu atteignais ton apogée. Il a continué se mouvoir en toi avant d’arrêter soudainement tous les mouvements, peignant tes murs en blanc.    
Il s’est lentement retiré de toi, les yeux attirés par la façon dont sa semence s’est répandue en dehors, ce n’était pas intentionnel mais putain la vue lui a donné envie de te remplir autant   que possible.  
Il est allé à la salle de bain et est revenu avec une serviette, te nettoyait doucement. Tu frissonnais à la sensation du chiffon qui touchait tes plis. Le silence remplissait l’air alors qu’il nettoyait tout, tes yeux ne quittaient jamais son corps, craignant que si tu clignais des yeux, tu te réveillerais et que tout cela aurait été un rêve.
Il se réinstalla sur le lit, te rapprocha de lui alors que ses bras caressaient de haut en bas les tiens.
  « J’espère ... J’espère que tu sais que je ne veux pas que ce soit une chose unique. Je t’aime   y/n » souffla-t-il, alors qu’il semblait calme, tu pouvais entendre son rythme cardiaque s’accélérer, attendant ta réponse.
Tu avais ris de sa nervosité, te penchant pour placer un doux baiser sur ses lèvres.
"Je t’aime aussi Hajime »
Tous deux détendus, le sommeil vous submergeait, tous les deux orné de ces sourires niais. Les cœurs se contentent de pouvoir enfin exprimer leurs sentiments.
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chezledawson · 2 years
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Saison 4 épisode 16 Mind Games
Olala. 
Je vous jure au visionnage de cet épisode je me suis levée du canapé (rare) en criant J’EN PEUX PLUS D’EUX
L’épisode commence avec Joer et Pacey à la cantine en train de discuter de la possibilité d’aller faire du sexe dans le placard à balais du lycée. 
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Mais ils sont interrompus par DROUE qui a les résultats d'un wtf sondage pour la gazette du lycée sûrement, sondage du meilleur couple du lycée et c’est JOEY ET DOSSONNE!
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Joey est très énervée par sa mauvaise blague de Droue. Elle est over Doson OKER?
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   De son côté Pacey en a un peu rien à carer, lui ce qu’il a envie c’est de passer une nuit avec Joey maintenant qu’ils ont mis le petit jésus à la crèche. Il convainc Gretchou d’aller passer la nuit ailleurs que chez eux.
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Gretchen comprend alors que ça y est, c’est consommé. 
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Joey s’assure qu’elle ne dira rien à personne (c’est à dire DOSSONE). 
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     Et comme la nature est bien faite, Mitche et Guèle sont partis en week-end (ce qui arrive souvent quand tu viens d’ouvrir un resto y’a pas un an). 
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Donc DOSSONNE a AUSSI la maison pour lui tout seul et invite Gretchen. 
 Quand Gretchenne dit à Joer et Pacey qu’elle les laisse trankchil et qu’lle va chez Dossnne bien sûr Joey est quand même un peu chokerdessu.
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Quelle tartignole.
  Gretchen se radine donc à la Leery’s house, mais entre deux films, Dawson se rend compte que Gretchen a pris avec elle son pijou et sa brosse à dents! ce qui veut dire qu’il est possible qu’elle reste dormir oalala il n’avait pas envisagé cela!
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ça me rend maboule, autant Pacey et Joer que Dossonne et Gretchen, au lieu d’être contents et de niquer comme des ados non il faut en parler, être choké, se demander qu’est-ce qu’on va faire, parler, se faire la gueule, se réconciler. PTN. Just do it. 
   D’ailleurs pour crever l’abcès Gretchen dit on va parler de sex mais dossonne est encore plus mal à l’aise.
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 Il finit par lui parler de Joey car quoi de mieux pour une tite ambiance de lui parler encore et toujours de son ex et de si elle a déjà fait du sexe ou pas et il dit qu’il sait que Pacey et Joey ont pas fait de sexe parce que Joey le lui a dit. 
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   Gretchen est colère parce qu’elle sait que c’est faux et que Joey a menti à dossonne!
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Du coup mauvaise ambianss sur le canapé, elle se barre (??)
  Le lendemaing, Dossonne au petit matin va chez Gretchen, et donc Pacey, pour se #réconcilier. 
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  et manque de tomber sur Joey qui a passé la nuit là dans le péché. 
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   Gretchenne a passé la nuit chez Doug. Dosson est rassuré et se barre. 
 Puis,Gretchenne qui rentre, engueule Pacey puis Joey parce qu’elle en a marre de toutes ces histoires (nous aussi). 
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olala mais quel drama. 
 Et à la fin de l’épisode Dossonne bosse pour le journal du lycée pour mettre Joey et Pacey et meilleur couple de l’année à la place des résultats du sondage de Drou.
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   Su-père!
  Sinon side story, Jen et Jack espionnent le nouveau psy de Jen parce qu’elle veut en savoir plus sur lui vu que lui commence à tout savoir sur elle (et sûrement parce qu’elle a un crush sur son psy comme tout le monde). 
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ces deux mimis:
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Ils le suivent jusqu’à la librairie où ils le grille.
et les invite à une lecture de poésie (?).
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 Jack et Jen sont trop mignon tous les deux heureusement qu’ils sont là.
Ils vont au truc de poésies et c’est super chiant, 
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ET découvrent qu’en plus la meuf qui lit la poésie c’est la meuf du psy.
Finito le crush de Jen. 
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claudehenrion · 2 years
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Mauvaise nouvelle : on a retrouvé la Gauche
   Pour avoir l'air intelligent (?) aujourd'hui, il faut répéter, d'un air componctueux, que les partis politiques ont disparu. C'est une manière de voir les choses. Une autre serait de constater que si on ajoute aux quelque 27 % d'abstentionnistes les bulletins nuls (non-comptabilisés), on tangente  les 30 %, ce qui suffit à mettre en doute la validité de toute victoire. Selon une étude Ifop/Reboot parue hier,19 avril, 14% des Français (et 30% des électeurs de Le Pen et de Zemmour) pensent que l'élection présidentielle est/ a été/ va être "truquée", ce qui devrait se suffire, comme beigne donnée à notre ''démocratie'' de pacotille. Allons plus loin dans la réflexion...
Ce qui crève les yeux, beaucoup plus que toute autre désinformation faite par le ''Microcosme'' germanopratin et la Presse, c'est que cette ''caste'' nous présente tous ceux qui ne sont pas d'accord avec les diktats du ''politiquement correct'' comme étant des ''extrêmes. En d'autres termes, soit vous votez  ''Socialiste'' ou ''Les Républicains''  --et vous représentez donc (4,78 + 1,75) = 6,53  % des électeurs-- et le Système vous qualifie de ''Parti de Gouvernement''... soit vous faites partie des 57,6 % qui avez voté le Pen, Mélenchon ou Zemmour (et même Lassalle et Dupont-Aignan), et vous n'êtes qu'un ''extrémiste''. C'est-y pas beau, ça, Madame ? On est tombé à un point de ridicule tel que Emmanuel Macron lui-même, se sentant très seul sur son ilot peuplé de quelques conformistes qui se croient progressistes, a déclaré (hier) que ses électeurs se situaient à ''l'extrême centre'', ce qui est un gag : si les mots ont encore un sens, un ''extrême centriste'' est forcément un ''extrémiste'' ! Quand je vous dis que ''le monde est fou'' !
Jamais le gouffre sans fond qui sépare le vulgum pecus et la plèbe des lumières-qui-savent n'a été aussi profond. Il est in-combable, ce qui veut dire qu'on ne voit pas, avec les mots qui sont les nôtres, d'issue possible à ce divorce déjà largement consommé... même s'il n'est pas encore officiel ! Et il n'existe pas de ''Plan B''... alors que jamais le besoin d'en avoir un n'a revêtu un tel degré d'urgence... ''extrême'' ! Le pauvre ''français moyen’’ tente de survivre dans un univers que chaque jour, chaque mot, chaque discours présidentiel rend encore plus absurde.
''Surréaliste'' est le mot qui décrit parfaitement cette petite portion de notre histoire récente : c'est dans ce moment de déchirure nationale et de guerre intra-européenne que notre Président n'a eu en tête qu'une seule ''urgence'' : à moins d’une semaine du second tour, il n'y avait rien de plus important que de ''tuer'' ce qu’on appelait le "corps diplomatique" en France. Le Journal Officiel a aussitôt publié cette énormité : la France va être le seul grand pays occidental sans diplomates professionnels. Une histoire de plusieurs siècles s’achève dans la honte, mais la porte est désormais ouverte aux nominations à l’américaine, aux petits copains, aux ''lèche-cul'', aux ''favoris'' ou aux ''mignons du roi''. Dame ! C’est qu’il va falloir recaser dans des sinécures juteuses tous ceux qui vont se retrouver mis à la porte ! De belles carrières de vrais non-professionnels sont en train de naître sous nos yeux. Les paris sont ouverts : dans quelle Ambassade ''Alexandre'' Bénalla va-t-il atterrir ? Pauvre France ! Nous remettrons-nous un jour des méfaits de cette république bananière (d'autres disent ''macronienne''. C'est tout un).
Mais revenons à notre sujet : il est grave ! Car enfin, souvenez-vous des chiffres qui circulaient il y a 2 mois encore : ils hésitaient entre 65 et 70 % de voix résolument engagées à droite et une disparition totale ou peu s'en faut de la gauche, alors que le résultat du premier tour a presque interverti ces chiffres. Et si la bonne vieille Gauche dite à tort ''de gouvernement'' avait été à peine un peu moins con, on se retrouvait avec une néo-Gauche en fait ''extrême'', qui pouvait caracoler largement en tête : (21,96 +4,63 + 2,25 +1,75 + 0,77 + 0,56) = 31,92 %... auxquels on peut ajouter entre 5 et 10 % de ces faux vrais socialistes qui se sont ''macronisés'' par arrivisme, ambition, entrisme, désir de survie, besoin de nuire ou envie de beaux postes, et même quelques abstentionnistes (5 % ? Davantage ?) qui ne se sont pas déplacés par rejet de tout ce qui n'est pas ''intrinsèquement pervers'', selon le mot célèbre du Pape Pie XI le 19 mars 1937 dans l'Encyclique ''Divini Redemptoris''. Reprenons les chiffres : (31,92 + 10  + 5) = ± 47 % pour la Gauche, devenue ''extrême''!  Tremblez rétrospectivement, braves gens : la Gauche la plus absurde et la plus malfaisante a failli être à une épaisseur de trait de l'emporter dès le premier tour. Je laisse chacun frémir à son rythme en imaginant l'étendue des dégâts... dont la France, c'est sûr, ne se serait jamais remise !
Dans notre guigne, pourtant persistante depuis deux quinquennats déjà (c'est... deux éternités !), nous avons finalement eu de la chance, car la présence d'un Mélenchon au second tour est la seule chose qui pourrait me faire voter ''Macron'' ! Mais bon, le pire évité, il reste le mal : un ''ticket'' dont personne n'a envie, un choix borgne entre, comme disent certains excessifs ''la peste et le choléra'' (NDLR - On n'a vraiment pas envie qu'ils attrapent l'un ou l'autre, quand on voit les  diarrhées qui frappent nos ''leaders'' lorsqu'ils sont confrontés à un tout petit virus SARS 2 !). Il n'empêche le verdict est là, terrible, menaçant, impitoyable : 22 % des français, 22 % de ces braves gens que vous croisez dans le métro, chez votre pharmacienne ou au supermarché... ont voté pour Mélenchon, et à ça, il faudra bien trouver une réponse, d'abord parce qu'on risque de le payer très cher aux Législatives, demain, et surtout pour arrêter ce mouvement suicidaire qui ramène nos contemporains à des comportements de ''Lemmings'' suicidaires.
Jamais, dans l'histoire, une seule idée qui pouvait s'inspirer de ce qui peut ressembler à des idées étiquetées ''à Gauche'', n'a fonctionné --même un tout petit peu : jamais, nulle part, et pas un instant, personne ne peut démontrer le contraire : la défaite de 1940, conséquence du Front populaire... les ''changements de braquet'' en catastrophe (et catastrophiques !) de Mitterrand, Chirac, Jospin, Hollande... les 75 millions de morts (chacun) de Staline  et Mao... les Pol-Pot, Castro, Ho, Tito, Hodja, les Kim... la liste est immense ! Mélenchon se fait passer pour le seul ''avenir de l'Homme'', le seul ''vivre ensemble'' (mais face à face ou ''le poing dans la gueule''), le seul horizon indépassable, le ''chantre'' de la démocratie (celle de Chavez ou celle de Castro ?), le sauveur de la jeunesse engagée, le Mahdi (= l'imam caché, le sauveur) de nos banlieues, et le druide des naturopathes antipathiques, des alternatifs de la bobine, des lgbt -et d’autres terrains de chasse, des végans déjantés et des libéro-conservateurs (qui sont une sous-branche des progressistes-populistes, canal christo-judéo-islamiste)... oubliant de citer les black-boks, les islamo-progressistes ou les faux Antifa vrais ultra gauchistes ravageurs...
Que vont donc chercher (avec la certitude de ne pas trouver) les jeunes gens dans ce cloaque de contre-vérités, d'analyse erronées, de non-solutions garanties et de faux espoirs pré-déçus qu'est une pensée ''à Gauche'' ? Sont-ils dupes de ce faux monopole du cœur que s'attribue la Gauche comme un droit imprescriptible... alors qu'elle se fout des gens comme aucun autre régime, jamais : elle est là pour appliquer les pages 1 à 156 du petit livre rouge qui a fait tant de mal à l'humanité, pas pour rendre la vie de chacun plus douce. Mais pour y arriver, elle sait larmoyer, émouvoir, faire appel à tous les mauvais ''bons sentiments'' qui traînent dans les caniveaux de l'actualité. Ne me dites pas que tant de français --et jeunes, en plus !-- se laissent avoir par la fausse empathie méprisante, par les revendications d'égalitarisme inégalitaire, par les vilaines promesses qu'on sait intenables, par les mots creux sciemment vidés de leur sens --de tout sens !  Ce serait trop affreux...
Pourtant quand je vois des pans entiers de notre belle jeunesse basculer dans ce culte de mots insensés, manifester --et de plus en plus souvent, détruire, au nom de concepts entièrement vidés de tout contenu, voire montrer une soif de violence à la limite du nihilisme--, je me dis que le mal est plus profond que tout ce qu'on nous raconte, pourtant déjà si ''extrême'' que nous refusons de croire ce que nous devrions voir, et cherchons des excuses introuvables aux propagateurs de ces malheurs-à-venir. Si je continue ce Blog (ce qui n'est pas certain, à cet instant), la réflexion que nous devrons mener ensemble, chers Amis-Lecteurs, est : tenter de sauver sinon la France (''vaste sujet'' !), au moins une partie des français !   Contribuer au retournement de ces tendances perverses est le seul objectif qui vaille la peine d'être poursuivi ! ''Ephètà'', disait le Christ. A nous d'ouvrir, le plus possible, nos contemporains à la vérité et au danger des mirages...
H-Cl.
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mwplanet · 2 years
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Mais C’est Ouf! T’es Sérieux Wsh??
Une guide courte à l’argot français.
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Photo créée par Ina Sugay
De Kristina Abbarin
Pour la plupart d'entre nous, l’argot et le langage des SMS sont difficiles à naviguer en tant qu'apprenants de la langue française. C’est quoi « wesh» ? Pourquoi dit-on « kiffer » ? « JPP », ça veut dire quoi exactement ? Dans l’article suivant, je vais vous présenter des mots souvent utilisés dans le français familier qui certainement vous donneront l’air d’un natif !
D’abord, on a des mots familiers qui sont utilisés souvent dans le français parlé:
Argot pour les choses :
Truc (nm) : Ce mot est utilisé assez souvent pour remplacer le mot « chose ».
Bagnole / Caisse (nf) : Ce mot signifie « voiture » en argot. Il est assez simple à utiliser de manière interchangeable et vous donne l'air plus cool si vous l'utilisez (lol).
Boulot (nm) : Un mot argotique pour « emploi » ou « travail ».
Bouquin (nm) : Un mot argotique simple pour « livre ». Cela rend le mot un peu plus mignon, vous ne trouvez pas ?
Voici quelques mots plus courants que les Français utilisent pour décrire les gens. Ils sont plus intéressants à utiliser que les mots ordinaires que l'on trouve généralement dans un dictionnaire.
Meuf / Mec (nf / nm) : Ce sont des mots super décontractés/ familiers qui sont utilisés pour les filles ou les garçons. Meuf signifie fille et mec c’est garçon. J'aime penser que mec est l'équivalent français du mot « dude » qu’on a en anglais.
Gars (nm) : Un autre mot pour garçon. Il peut être utilisé pour s'adresser à un seul garçon ou à un groupe de garçons en utilisant le pluriel « les gars ».
Pote (nmf) : Voici un terme neutre que vous pouvez utiliser pour remplacer le mot ami. Vous pouvez l'utiliser avec toute personne dont vous êtes proche ou que vous considérez comme un ami, comme « C'est mon pote! » , « Nous sommes des potes! », etc.
Flic (nmf) : Un terme argotique pour policier. Ce terme peut parfois être utilisé de manière péjorative.
Des verbes utiles:
Kiffer (v) : Il s'agit d'un remplacement argotique du verbe aimer.
Rigoler (v) : Ce verbe est souvent utilisé pour remplacer le verbe rire ou plaisanter.
Abonner/ Abonnement (v / nm) : L'équivalent français de « to subscribe » et « YouTube subscriber ».
Bouffer / Bouffe (v / nf) : Bouffer est une façon (un peu) plus grossière de dire manger. Bouffe devient un mot argotique pour la nourriture. Il est similaire au terme anglais « grub ».
Adjectifs importants
Ouf : Ce mot est en fait du verlan, un type d'argot français. Il vient du mot original fou, qui signifie en anglais « nuts, mad, crazy », etc. Il est utilisé assez souvent, surtout quand on veut exagérer quelque chose. Par exemple : « C'est un truc de ouf! », « Je te kiffe de ouf! », etc.
Con : C'est un mot utilisé pour traiter quelqu'un de stupide. C'est extrêmement grossier, donc faites attention si vous voulez l’utiliser!
Dingue (nmf): Ce terme peut être utilisé comme un nom ou un adjectif. Cela veut dire fou aussi. Vous pouvez l'utiliser pour décrire quelqu'un ou quelque chose qui est folle ou hors du monde.
L’argot que je trouve est souvent utilisé par les ados
Wesh/ wsh : Ce mot est utilisé BEAUCOUP en ligne et surtout dans la vie réelle chez les jeunes. C'est un mot polyvalent et c'est un de mes mots préférés sur la liste. Il peut signifier un million de choses différentes, mais il s'agit essentiellement d'une salutation argotique parfois utilisée de manière ironique par les jeunes. Il peut signifier « hey! » ou « quoi de neuf? ». Je l'entends si souvent utilisé par les Français et chez les Youtubers français que je le considère un peu comme l'équivalent français de « yo » qu’on utilise si souvent en anglais. Comme yo, wesh peut être utilisé de nombreuses manières différentes dans de nombreuses situations différentes. J'aime penser que l'on peut l'utiliser de manière interchangeable comme on peut le faire avec yo en anglais.
Askip/ askp (adv) : Ce mot vient de la phrase « à ce qu'il parait ». Il signifie essentiellement apparemment ou la rumeur raconte....
Texto:
Quelques mots d'argot texto français, avec leur sens et leurs équivalents anglais.
JPP: J'en peux plus = I can't - Utilisé lorsque quelque chose est tellement drôle ou incroyable.
MDR: Mort de rire = LOL
TKT: T'inquiète = dw / don’t worry
PSK: Parce que = bc / because
Il y a beaucoup d'autres mots que j'aimerais inclure, mais je ne peux pas le faire pour des raisons de longueur et parce que certains sont un peu plus vulgaires (que je ne peux pas inclure pour des raisons évidentes). Cela montre à quel point la langue française peut être colorée et intéressante. L'apprentissage de l'argot et des rouages d'une langue est un élément clé pour devenir de plus en plus fluide. Je vous encourage donc vivement à rechercher d'autres mots d'argot et de niche, que ce soit sur les médias sociaux français, les vidéos Youtube, les livres ou les émissions. Les possibilités d'apprentissage sont infinies, donc amusez-vous bien !
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kurodalee-mom · 2 years
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Samedi 14 – Récit d’une soirée
C’était beau, c’était magique. Cette soirée… Sera et est une soirée inoubliable sur tous les points. Ce rôle de mère : Envolé. Ce rôle de femme : Retrouvé. Je n’avais pas ressenti ce que j’ai ressentie depuis, au moins, mes années du lycée et bordel. Putain de bordel de merde ! ça fait tellement du bien de se sentir de nouveau une personne à part entière, se sentir libre de ces faits et gestes – Bon, ok, j’avoue que je me suis sentie aussi libre parce que j’avais bu. – Mais WAW ! Se sentir comme ça, se sentir femme et non « maman » qu’est-ce que ça fait du bien quand on est, justement, parent ! Evidemment, n'allez pas dire ça à quelqu’un qui essaie de se soigner pour des problèmes alcoolique… ça serait mal venu je pense… Mais vous voyez, et bien, cette soirée était sur le thème « une dernière fois » alors que ça fait 2 ans et 1 mois que mon fils est né. On rajoute à cela la grossesse donc + 8 mois et demi. On rajoute encore à cela mon côté fille coincée qui avait pris le dessus… Ou peut-être bien mes années d’addiction aux jeux vidéo… Enfin bref, on rajoute encore quelques années. Genre, je ne sais pas, 1 an ? Ou peut-être même 2 ? Voir 3 ? Je n’en sais rien en fait, mais, LONGTEMPS ! 
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 Je me pose une question : Est-ce que, avant d’être parent, on se rend compte de la chance qu’on a d’être jeune et irresponsable ? La chance de pouvoir faire plus ou moins ce que l’on veut sans se soucier du lendemain ou du surlendemain ? Parce que, jusqu’à aujourd’hui, je ne suis pas sûr d’en avoir eu conscience. Et puis même, il m’aura fallu 2 ans d’existence du petit machin - Ne Vous méprenez pas ! C’est affectif. - pour me rendre compte à quel point ça fait du bien de se lâcher même en étant parent et de ne pas se soucier du lendemain le temps d’un week-end ! – Je sais, je sais, faudrait-il déjà avoir la chance de pouvoir faire garder la mini crotte et ce n’est pas toujours donné à tout le monde… – Malgré tout, je réitère : ça fait du bien.Je disais donc – Avant de m’être égarée ; comme souvent d’ailleurs. – Que le thème de cette soirée était sur « une dernière fois », pas pour moi personnellement, mais pour l’homme que j’aime de tout mon cœur : Mon chéri. Parce que, oui, dans la vie ça arrive : on peut être malade… Malade alcoolique en l’occurrence. Quand on est malade alcoolique, on l’est pour toute la vie et parfois, souvent même, les rechutes arrivent. Mais ce n’est pas grave du moment que l’on accepte la maladie, qu’on accepte que l’alcoolisme es bel et bien une maladie. Et comme vous devez vous en doutez, mon chéri a rechuté après 8 mois d’abstinence et depuis bientôt 2 mois… Et c’était difficile de se battre dans ses mensonges jusqu’à aujourd’hui. – Je ne pourrais pas vous parler de son point de vue ni de son ressentie sur la chose, parce que se post parle de moi, parce que je ne veux pas parler en son nom, parce qu’il n’est certainement pas prêt non plus. – Dans tous les cas, notre soirée avait non seulement pour but de décompresser mais aussi pour « fêter », si l’on peut qualifier cela ainsi, la nouvelle démarche de soin qu’il n’acceptait pas jusqu’à présent. Et vous n’imaginez pas comme ça fait du bien de savoir que l’homme qu’on aime veut se soigner pour nous, pour lui aussi, je l’espère, parce que c’est avant tout pour soi que l’on accepte un soin qui peut être assez long, mais aussi pour notre couple, pour sauver notre amour… Avec du recul je trouve ça assez beau. Je trouve ça même presque mignon. Même si je suis consciente que la démarche de soin doit-être entreprise pour lui avant tout s’il veut que cela fonctionne. C’est déjà un grand pas. C’est difficile d’être malade en général. Mais la maladie addictive l’est davantage. Presque comme un cancer. Un cancer, c’est se préparer à dire au revoir à la personne qui est malade ; – je ne peux détailler ce qu’est la maladie cancéreuse n’ayant jamais été confrontée à cette situation, mais il s’agit de ma vision des choses, libre à vous de penser autrement évidemment. – c’est aussi, je pense, profiter des jours ou des heures comme si c’était la dernière. L’addiction, pas seulement l’alcoolisme mais tout type d’addiction, avant la démarche de soin c’est : Profiter à fond, voir avec une surdose, de ce qui nous rend addict, avant d’entrer en soin. – J’entends par « le soin » le fait de ce faire hospitaliser quelques semaines ou quelques mois dans un centre en addictologie, on appel cela une cure en hôpital psychiatrique suivie généralement d’une post cure pour consolider les quelques semaines passées en HP. – Et donc, qu’il est partagé cette dernière fois, ce samedi soir-là, ça m’a rendu heureuse, et j’ai pu aussi me dire que j’avais le droit à boire un peu de temps en temps pour me détendre sans pour autant être tout de suite dans l’addiction. Ayant la chance de ne pas en redemander dès que l’effet s’estompe – bien au contraire même… Vous n’imaginez pas ma gueule à l’instant où j’écris ce texte, ni même l’état de mon estomac qui se tord dans tous les sens. – ni même dès le lendemain ou quelques jours après. Je pense que je pourrais peut-être reboire d’ici 1 an, voir pas du tout pour soutenir mon chéri qui me donne là une belle preuve d’amour. On a tous besoin d’une raison pour se soigner, la mienne, avant de connaître mon chéri – Ouais ça fait peut-être lourd de lire tout le temps « mon chéri » mais je tairais son nom. Niark ! Diabolique ! Ouais… Ou pas… Je m’emballe, excusez-moi ! – ça a été : Mon fils. Je ne pouvais pas continuer de jouer aux jeux vidéo à outrance de la sorte tout en étant responsable d’un petit bout de à peine 1 an… ça me détruisait et ça piétinait le peu de relation que j’avais avec lui parce que j’étais avec un homme méchant, violent et égocentrique et que mon accouchement a été très difficile… Et donc début de relation difficile aussi… Mais là n’est pas le sujet, je vous en parlerais le jour où je m’en sentirai capable et peut-être que je me dirai « Mais pourquoi je ne l’ai pas fait avant ?! » En tout cas, voilà, je me suis soignée avec pour objectif d’être une maman heureuse, comblée, et non pas une maman malheureuse, qui n’accepte pas se rôle de mère, mais c’est une autre histoire là aussi.
Et donc voilà… Me voilà à 6h00 du matin devant mon ordinateur à taper ce texte sur Word en guise de première publication et qui sera peut-être et certainement jamais lu par quiconque.
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i7traductionfr · 2 years
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Carte d'Anniversaire d'Iori: 16 Idoles Album
part 1 / part 2 / part 3
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Partie 3 : Parfois, c'est comme si rien n'avait changé
Iori: Depuis ce jour, dès que quelque chose arrivait, Nii-san et moi demandions à l’ours en peluche de nous aider.
Iori: “Monsieur Nounours, s’il te plaît, fais qu’il fasse beau demain !” “Monsieur Nounours, s’il te plaît, fais que je cours plus vite !” “Monsieur Nounours, s’il te plaît, fait que les méchants qui nous embêtent deviennent de gentils enfants !” 
Iori: “Monsieur Nounours….”
Iori: En grandissant, j’ai réalisé que l’ours en peluche n’avait aucun pouvoir spécial. Mais…
Iori: Puisque j’avais l’habitude de demander, peut-être que d’une certaine manière cela le rendait magique.
Mitsuki: Ah, quel souvenir adorable ! À chaque fois qu’Iori était inquiet à cause de la maternelle et ne savait pas quoi faire, il demandait à l’ours en peluche !
Nagi: Oh ! C’est trop cute, Iori ! 
Riku: Est-ce que tu continues de demander à l’ours en peluche, aujourd’hui encore ?
Iori: Bien sûr que non. J’ai passé l’âge !
Riku: Pourquoi ? Parce que si tu demandes gentiment à l’ours en peluche, je pourrais te pardonner d’être tout le temps aussi arrogant.
Iori: Compris. La prochaine fois que j'irai chez mes parents, je demanderai à l’ours en peluche: “S’il te plaît, fais que Nanase-san se comporte en adulte”.
Riku: Hé, c’est pas sympa !
Iori: N’est-ce pas à moi de dire ça ?
Yamato: J’aurais aimé voir ça. Ichi, le gamin capricieux.
Mitsuki: Ahah, si seulement tu avais pu. Il était trop mignon ! Dès qu’il se passait quelque chose, il s’exclamait: “Onii-chan, Onii-chan”.
Iori: D-Désolé, Nii-san. Je n’étais qu’un enfant…
Yamato: M’enfin, un enfant de trois ans, c’est assez pénible. C’est normal.
Mitsuki: C’est vrai ! Et puis, j’étais heureux. Aaah, quand tu m’as dit que tu ne voulais pas que le fantôme me fasse “du mal”...
Mitsuki: Petit Iori n’était pas seulement inquiet pour lui-même, mais aussi pour moi.
Iori: Nii-san…
Riku: C’est pour ça que Mitsuki a dit que l’ours en peluche d’Iori lui rappelait quelque chose de spécial.
Mitsuki: Exactement ! Mais depuis ce moment, Iori a commencé à devenir de plus en plus confiant. Quand il est entré au jardin d’enfant, il pouvait déjà aller aux toilettes tout seul.
Sogo: Il pouvait vraiment aller aux toilettes tout seul aussi tôt ? Incroyable. Je me demande si c’est dû à la façon dont vos parents l’ont élevé…  
Tamaki: Vraiment ? Le papa et la maman d’Iorin étaient aussi stricts ? 
Sogo: Je… Je ne sais pas. 
Iori: Uh uh… Mon éducation était normale. J’étais juste indépendant.
Tamaki: Woah ! Aussi tôt ?! Incroyable !
Nagi: Maintenant que j’ai entendu ton histoire, j’ai le sentiment que tu as une famille très chaleureuse.
Yamato: Ok, tu pouvais aller aux toilettes tout seul, mais qu’en est-il du bain ? Jusqu’à quel âge tu les as pris avec ton frère ?
Mitsuki: Ah, ça, ça a pris un peu plus de temps.
Iori:…Je n’ai pas envie de répondre à ce genre de questions. Surtout venant de vous.
Yamato: Quoi ?! C’est quoi le problème avec le fait que ce soit moi qui demande ?!
Riku: Iori, t’es gêné ? C’est bon, peu importe jusqu’à quel âge tu prenais des bains avec un membre de ta famille. Tenn-nii et moi…
Iori: Vous pouvez vous arrêtez-la !
Riku: Mais ça me gêne pas !
Sogo: Attendez ! Je pense qu’on n’a pas à savoir ça. Le simple fait d’avoir ce genre de conversation…
Nagi: Oh, Sogo est entré en mode fanboy ! Ça va durer un moment…
Tamaki: Aah. Laissons-le dans son coin pour l’instant…
Mitsuki: Ok, Iori ! En souvenir du bon vieux temps, prenons un bain ensemble aujourd’hui !
Iori: Attends… C-C’est… Je veux dire… Ce n’est pas que je ne veux pas, mais…
Riku: Ahah! Iori est de nouveau tout gêné.
Mitsuki: Ahah, je plaisantais ! Mais, hé, je peux bien te chouchouter de temps en temps, comme quand tu étais enfant.
Mitsuki: Tu peux tout faire tout seul, maintenant. Et le fait que tu sois si doué me rend vraiment heureux, Iori. En tant que grand frère, j’ai le sentiment que je peux compter sur toi.
Iori: Nii-san, je suis désolé que tu sois obligé de t'occuper de moi… Tu… tu as toujours fait passer mes besoins avant les tiens.
Mitsuki: Iori…
Iori: Et puis, je… J’aime te regarder te donner à fond quand tu fais ce que tu aimes…
Mitsuki: Ce que j’aime ?
Iori: Lorsque tu as un objectif, tu te donnes tant de moyens pour y arriver… Pouvoir t’observer est si motivant.
Iori: Tu m’inspirais tellement quand j’étais petit, tu as fait battre mon cœur plus que n’importe quel jouet.
Nagi:…Les pouvoirs de Mitsuki sont impressionnants.
Iori:…Oui. Je savais que vous comprendriez ce que je veux dire, Rokuya-san.
Mitsuki: Ok, ça commence à devenir embarrassant…!
Sogo: Alors c'est pour ça qu'Iori-kun a commencé à faire plus de choses par lui-même ? 
Iori: Qui sait. J’ai dit un peu plus tôt que je ne voulais pas être une gêne, mais peut-être est-ce encore autre chose.
Yamato: Que veux-tu dire ?
Iori: Je pense que je désirais juste être comme mon frère.
Riku: Donc, ça veut dire que Mitsuki a aussi appris à aller aux toilettes tout seul rapidement ?
Mitsuki: Non, j’ai appris bien après être entré en maternelle… Je veux dire, la réponse est non !
Iori: Ahah… Maintenant, comme à cette époque, tu as la capacité de rassembler les gens autour de toi, de leur remonter le moral. Tu as un tel pouvoir.
Iori: En apprenant à tout faire par moi-même, je pensais pouvoir rester proche de mon frère et le soutenir.
Riku: Ah…Je comprends ce que tu veux dire…
Riku: Vouloir rester à leur côté et dire: “Hé ! Regardez ! Ma famille n’est-elle pas géniale ?"
Tamaki: Iorin, toi aussi t’es cool !
Iori:…Merci. Au vu de la situation, je pense pouvoir accepter un tel discours.
Sogo: Merci de partager un souvenir aussi spécial avec nous, Iori-kun.
Yamato:… Nah, le vieux croulant que je suis n’est pas doué pour ce genre de conversation.
Mitsuki: Merci, Iori. De toujours veiller sur moi et de me soutenir.
Iori: Non, j’étais juste…
Mitsuki: Et je pense que tu veux continuer à me soutenir, n’est-ce pas ?
Iori: Oui, évidemment…
Mitsuki: Alors, je compte sur toi !
Iori: Oui !
Mitsuki: Je réfléchis à aller demander à l’ours “s’il te plaît, laisse-moi traiter mon petit frère avec amour”. Tu veux qu’on y aille ensemble ?
Iori: A-avec amour…? C-C’est…
Mitsuki: Mon petit frère ressemble à un adulte maintenant, mais j’aimerais le gâter un peu de temps en temps. S’il te plaît, Monsieur Nounours, fais que mon souhait se réalise !
Tamaki: “Bien sûr ! Avec mes pouvoirs, ce sera un jeu d’enfant !”
Iori: Attendez, Monsieur Nounours n’utilisait des mots comme “jeu d’enfant”.
Sogo: “Je vais réaliser ce souhait grâce à mon vénérable pouvoir”. Que pensez-vous de ça ? 
Iori: Il ne parlait pas comme un ancien sage, non plus !
Nagi: Dans ce cas, dis-nous ! Qu’est-ce que l’ours en peluche dirait, Iori ?
Iori:…. O-….
Nagi & Mitsuki & Riku & Yamato & Sogo & Tamaki: … O…?
Iori: “Oui, je le réaliserai”…
Riku: Ah, c’est plus banal que ce que je pensais !
Iori: Ne le qualifiez pas de banal, s’il vous plaît ! Bon, c’est assez…
Mitsuki: C’est bon, Iori ! Dormons ensemble, ce soir, comme quand on était petit !
Iori: T-Tous les deux !?
Mitsuki: … J’ai envie de te gâter…
Iori:….!
Riku: Ah, trop bien ! Moi aussi, je veux dormir avec vous ! 
Nagi: C’est pas juste ! Laissez-moi me joindre à vous ! Ce sera comme au camp d’entraînement ! 
Yamato: Est-ce que les encas et les bières sont autorisés ?
Sogo: Iori-kun, si tu veux être chouchouté par Mitsuki-san, je pense que tu devrais dormir à ses côtés.
Tamaki: Oui, oui, oui, oui ! Je pourrai apporter un jeu !
Mitsuki: Ahah ! Ils sont tous pleins d’entrain ! Allez viens, Iori !
Iori: … Très bien, j’accepte le challenge. Après tout, il y a des personnes ici qui ont été plus gâtées par leurs frères que moi.
Iori: J’aimerais un pancake en forme d’ours, tu pourrais m’en faire un ?
Iori: Et aussi…
Mitsuki: Bien sûr ! Et puis ?
Iori: Parle-moi de Zéro jusqu’au lever du Soleil.
Mitsuki: Oui, pas de problème ! Une fois que je commence, je serai probablement incapable de m’arrêter. Restons ensemble comme on en avait l’habitude, parlons de ce dont on avait l’habitude de parler.
Iori: Oui, Nii-san…!
Fin
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skip-chiantos · 3 years
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Le Bruissement
Jour 3/03.08.2021
Thème : Le bruissement
Je me rappelle du bruissement des feuilles. Aussi loin que remonte ma mémoire, j’ai toujours habité près d’arbres. Même dans le centre-ville d’Agen où j’ai grandi il y avait un arbre. Jusqu’en 1999, mais c’est une autre histoire.
J’ai déménagé de la campagne pour Nancy afin de continuer mes études. Et c’est la première fois de ma vie que je m’entendais plus le bruissement des feuilles le matin. J’habitais une résidence universitaire miteuse, à la limite du salubre. Je me demande encore aujourd’hui comment le CROUS autorisait la location de logement rongé par la moisissure. Bref, j’habite au dernier étage, dans les hauts de Nancy, du coup j’ai une chouette vue sur la ville, mais pas d’arbres, juste un gazon mal entretenu. Mon étage est quasiment désert ; sur les 100 chambres disponibles, seules 6 sont occupées. Je m’entends quasiment jamais mes voisins. Seulement le bruissement de la ville. L’autoroute qui passe à quelques kilomètres, le ronron des moteurs au ralenti à chaque intersection, le bip des camions des livreurs.
Quand je me rends dans ma prépa, je passe à côté de parcs, mais le bruit de la ville est si assourdissant que je porte mes écouteurs dès que je sors. Et j’en profite pour danser quand je pense que personne ne peut me voir. Nancy est une jolie ville, j’aime beaucoup, mais la semaine, je passe la plupart de mon temps entre des salles de classes, des médiathèques et ma minuscule piaule moisie. On est encore au début de l’année, tous mes camarades de classe rentrent chez eux le week-end ; voir leur famille, leurs amis, faire la lessive… Je n’ai aucun des deux premiers qui m’attend, alors quand je vais faire ma lessive à la laverie du centre-ville, plus propre que celle de ma résidence.
Pendant que le linge tourne, je vais me poser dans le parc. J’espérais y retrouver le bruissement des arbres. Mais non, toujours le même bruit de fonds ; les moteurs au ralenti, les gens qui parlent, les enfants qui jouent. J’espérais pouvoir être au calme, mais à peine arrivée dans le parc, un homme d’âge mûr commencent à me draguer lourdement. Je l’envoie valser avec la grâce de la punkette que je suis. Finalement, le ronron des machines à laver n’est pas si dérangeant. La semaine suivante, je retente l’expérience, et je me fais à nouveau accoster dans le parc. C’est alors que je réalise ; je n’ai plus 16 ans, je me suis plus la petite fille grunge qui effrayés tout le monde. Mon corps a changé, j’ai pris de la confiance, et j’attire le regard des hommes. J’ai arrêté de fréquenter les parcs seules. J’en avais marre de m’énerver. Quand j’en ai parlé à mes camarades, elles m’ont confirmés vivre le même genre d’expérience. Finalement on a pris l’habitude de se poser ensemble. Et j’ai hérité du surnom de “Pitbull”. Moi qui aimais tant être tranquille dans les parcs, j’apprends à aimer y être avec des copines.
La plupart des bars de Nancy sont pris d’assauts le week-end par les étudiants. Il n’y avait pas moyen d’y être tranquille sans écouteurs. Mais une catégorie de bars résistaient à l’invasion des étudiants pochetrons ; les Bars PMU ! Et enfin, j’ai pu trouver le calme ; le bruissement des conversations autours des chevaux et des pronostics, le ronronnement du percolateur. Le bruit du second paquet de spéculoos que le serveur ajoutait, qui tombés immanquablement de l’assiette tant elle était petite. C’est vrai qu’il était plutôt mignon, il détonnait dans ce lieu, avec ses cheveux longs blonds, sa barbe de trois jours beaucoup trop bien entretenu, ses mains propres... Un jour, j’ai remarqué que je n’entendais plus le bruissement de ses conversations, mais un morceau de “Bonobo”. À cette époque, j’étais l’archétype de la métalleuse. Mais j’adorais Bonobo, alors je suis allée lui parler pour la première fois… Je suis retourné dans ce bar tous les jours, à faire la fermeture avec lui tous les week-ends, jusqu’à ce qu’il me propose de venir boire un dernier café chez lui.
Ce soir-là, j’ai découvert un nouveau bruissement ; celui des draps d’un presque inconnu. Je goutais à une forme de liberté dont je n’avais aucune idée ; C’est presque devenu une dépendance cette année-là. Je découvrais un tout nouveau pan de ma sexualité. Et malheureusement, je suis tombé malade. J’aurai pu éviter ça si je n’avais pas été si gourmande. Je m’étais évanoui, arasé par la fièvre, dans mes draps froids de ma chambre étudiante, pour me réveiller dans des draps propres de chambre d’hôpital. Et le bruissement des arbres. Malgré le bip des machines, le chuchotement des conversations des infirmières, j’étais au calme. Je pouvais apprécier le silence. Cette semaine à l’hôpital, le calme, m’a permis de prendre du recul, de me retrouver, et d’apprécier le bruissement unique de chaque lieu.
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1638 : Une terrible épidémie de scorbut touche les enfants de la ville de Lyon. Une procession est organisée à Fourvière, qui n’est pas encore dotée d’une basilique. La maladie disparaît petit à petit, et ne revint jamais à Lyon.
1643 : Une épidémie de peste ravage l’Europe. Les échevins s’engagent à offrir un cierge et un écu tous les ans si Lyon est épargnée. Ce fut le cas, et la tradition perdure encore, chaque 8 septembre.
1832 : Tous les départements entourant Lyon sont gravement touchés par le choléra. Des prières publiques ont lieu, à la demande de l’archevêque. Lyon est à nouveau épargnée, et un immense ex voto est réalisé par le peintre Victor Orsel. Il est visible aujourd’hui au fond de la basilique. 
1852: Fourvière ne dispose encore que d’une chapelle, mais celle ci est ornée d’une statue en bronze. L’inauguration est reportée à cause d’inondation au 8 décembre, jour où il y a un orage dans la soirée (!!!). Le feu d’artifice est donc annulé et les lyonnais placent des petites bougies à leur fenêtres. Le premier 8 décembre a lieu.
1870 : La France est en guerre avec la Prusse, et Lyon est menacée d’être envahie. Il est donc décidé qu’une basilique serait construite si la ville est épargnée. Les travaux commencent en 1872.
Aujourd’hui, environ 2 millions de personnes viennent tous les ans se promener autour de la basilique et environ 700 000 y rentrent. Des dizaines de petites bougies sont allumées par jour. La tradition s’est étendue jusqu’à chez moi. Parallèlement à la fête religieuse, s’est greffée la Fête des Lumières, où des bâtiments de la ville sont illuminés. Normalement ça attire plusieurs millions de spectateurs sur 3-4 jours.
En temps normal, j’aurais écrit un billet disant que j’allais m’amuser en ville, ou bien j’aurais fait un post tout mignon en disant que j’ai allumé des petites bougies, mais non j’avais envie de raconter tout ça car au-delà de l’aspect religieux, plusieurs aspects de cette fête m’intéressent cette année :
La tradition du 8 décembre est donc née d’une série d’épidémies. Quand on voit l’ampleur de cette fête, on se rend compte à quel point les épidémies ont marqué notre histoire (ce n’est pas dans le sujet, mais ça a aussi été les cas pour la Grande Peste), parfois en positif comme ici, avec la fête des Lumières qui est très festive. Ce sera le cas pour le Covid, il y aura un avant et un après, nous avons vécu une année historique.
Ensuite, ça fait vraiment du bien de faire cette fête cette année. Elle rappelle que nous n’avons pas été les seuls à vive ça au cours de l’Histoire.
Enfin, en regardant l’historique du 8 décembre, une chose me vient à l’esprit. Il me semble que ce qui a aidé et réconforté les lyonnais, c’est d’avoir fait des actions collectives, d’avoir fait quelque chose ensemble, autour de valeurs partagées et on pourrait en prendre de la graine. Pas forcément avec la religion, mais avec des valeurs communes. Avec la crise financière qui s’annonce, on pourrait tenter de se battre pour un monde plus juste, plus partager, chacun à notre manière. Et comme la cause de cette épidémie est en partie due à notre surexploitation de la Nature, et que les scientifiques appellent à des changements majeurs (notamment économiques) pour ne pas que ça recommence, on pourrait aussi se battre pour le développement d’une écologie plus radicale. Tout ceci est très personnel bien sûr, mais peut-être ne suis-je pas la seule à le penser ce soir.
Sur ce, belle soirée du 8 décembre à tous
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chaoticdean · 3 years
Note
Qu'est que tu pense du 15x20? J'ai besoin d'en parler 😂 Honnêtement je suis trés mitigée. Bon déjà la perruque de Sam, vraiment un gros non, 😂. Mais la mort de Dean me choque pas plus que ça et je suis heureuse qu'il puisse trouver la paix honnêtement, qu'il n'aurait jamais eu sur terre. C'est toujours Sam qui a plus rêver d'être "normal" (même si seileen bordel 😭, il lui ont donné une femme sans visage 🙄) mais on sait que cas n'est plus coincé, et il n'est pas la? Ça vraiment j'comprend pas
Mdr je viens tout juste de voir ce ask, je suppose qu’il est arrivé après le 15x20 et que dans mon état de détresse insurmontable je l’ai tout simplement OUBLIÉ. 
Je ne sais pas si tu as lu ce que j’ai posté depuis la diffusion de l’épisode, mais pour moi c’était un ENORME raté. Depuis des années je disais que je voyais Dean mourir à la fin de la série, donc je n’étais pas spécialement surprise......... Mais mourir COMME ÇA ? Empalé sur un putain de clou rouillé, sur une chasse random, probablement moins d’un mois après que Cas se soit sacrifié pour le sauver ? C’est donc comme ça qu’on veut nous faire croire que Dean Winchester, 41 ans, qui a battu Lucifer, Dieu, the Darkness, des centaines de démons, d’archanges, d’anges, et de monstre, meurt ? Seul, sur une chasse de merde, avec son frère ? C’est quoi le message qu’on cherche à nous faire passer dans ce cas précis, qu’un personnage comme Dean ne peut pas évoluer ? Que toute l’évolution de ce personnage qu’on nous présente depuis 15 ans, que tout ça c’était pour du vent, pour qu’il meurt comme un connard au milieu d’une putain de chasse de merde ? (*respiiiiiiire*)
Je suis d’accord avec toi dans le sens ou Sam a toujours été celui des deux Winchester qui était le plus à même de retourner vivre une vie plus “normale”, mais pour ma part je trouve la façon dont ils ont voulu montrer la vie de Sam après la mort de Dean absolument HORRIBLE. Il passe le reste de sa vie à faire le deuil de son frère, on nous montre pas sa femme mais on apprend qu’il a eu un gosse qu’il a appelé Dean......... super mignon hein, mais putain la co-dépendance ne s’arrête donc JAMAIS. On nous montre Sam qui pleure dans l’Impala au moins 20 ans après la mort de Dean, pour bien nous montrer qu’il ne fait jamais son deuil et qu’il vit toujours dans la tristesse de la perte de son frère, et quand il meurt il n’y a littéralement AUCUNES photos de lui avec Cas et Jack, aucune photo de lui avec sa femme, uniquement des photos de lui avec Dean, ou avec son fils. L’excuse de la prod c’était que “Sam n’a pas de photo de lui avec Cas et Dean, la seule qu’il avait c’était celle avec les Harvelles et Bobby mais ils l’ont brulés dans un épisode”, en revanche ils ont trouvé le moyen de nous foutre une photo de John, Mary, Dean et Sam qui est en fait une photo BTS qui a été partagée par Jeffrey Dean Morgan........... Mais ils pouvaient pas faire de même pour représenter Cas, évidemment.
Ca m’ammène à mon dernier sujet : aucune mention de Cas, aucune mention d’Eileen. Ca me rend absolument malade. On efface la représentation queer, et on efface la représentation handicapé, et on utilise l’excuse du Covid....... alors qu’elle n’est pas valable. Admettons que Misha et Shoshanna n’ai pas pu être présent pour le tournage du 19 et du 20, ça n’empêchait pas d’avoir les photos dans la pièce chez Sam, ça n’empêchait pas d’avoir plus de mention de Cas que le simple “Cas helped” de Bobby et le half smile de Dean... Ca n’empêchait pas d’engager une actrice qui ressemblait vaguement à Shoshanna pour l’avoir en arrière plain, tout comme ajouter des photos d’elle dans le background. L’excuse des producteurs et du network c’est de dire que “l’interprétation est laissée ouverte”, mais la vérité c’est qu’ils s’en carrent le cul de nos interprétations. Avoir Cas dans le 20 était “trop gay”, et avoir Eileen dans la vie de Sam à la fin ne convenait pas à ce qu’ils avaient envie de communiquer.
Pour répondre à ta dernière question, Castiel est bien dans le paradis de Dean, mais on ne le voit pas à l’écran... Du coup c’est laissé à notre imagination. Pour ma part, je pars du principe que Cas est peut être un peu timide au début quand Dean arrive, et qu’ils finissent se retrouver après quelques temps... Et que Dean lui dise que lui aussi :) 
Désolée pour ma réponse longue et tardive, et désolée à mes non-french speaker haha
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