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#petit bestiaire
fashionbooksmilano · 2 months
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Les Écrits du du vent
Hans Silvester
Éditions de La Martinière, Paris 2003, 144 pages, 31x22,8cm, ISBN 978-2732429809
euro 20,00
email if you want to buy [email protected]
Les écrits du vent offrent pour qui sait les voir une nouvelle interprétation du monde. Au rythme des saisons, Hans Silvester a su saisir tout le mystère et la splendeur des paysages de Camargue, continuellement remodelés par le vent : ondoiement subtil à la surface d'un étang, infimes craquements terrestres, nuées d'oiseaux... autant d'images qui confondent notre perception de l'infiniment grand et de l'infiniment petit. Des textes issus de civilisations diverses accompagnent ces images surprenantes et explorent la poétique des éléments. En célébrant la beauté sauvage et le cycle éternel du monde, ils nous emmènent sur le chemin du rêve et de la méditation. Que nous révèlent et que nous enseignent ces paysages ? C'est à cette double et fascinante interrogation que veulent répondre Les Écrits du vent.
Né en 1938 en Allemagne, Hans Silvester fait ses premières photos à l'âge de douze ans. Défenseur inconditionnel de la nature, il publie en 1960 un livre remarqué sur la Camargue avec un texte de Jean Giono. Membre de l'agence Rapho, il a notamment publié aux Editions de La Martinière Les Chats du soleil, Les Chats du bonheur et Sieste et Tendresse, tous des succès internationaux. Les derniers reportages de ce grand voyageur l'ont mené en Inde, au Rajasthan, où il a photographié les peuples du désert de Thar et l'incroyable bestiaire des fresques du Shekhawati. Ce travail a donné lieu à deux livres, Les Filles de Mirabai et Les Cavaliers du Shekhawati. Son dernier ouvrage paru aux Éditions de La Martinière en 2002 s'intitule Chevaux de Camargue.
29/03/24
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the-ninth-moon · 24 days
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(( 𝟿𝔱𝔥 𝔪𝔬𝔬𝔫 ))
Petit instant pub pour the ninth moon, un forum rpg med-fan aux diverses magies. 💜
9th moon, c'est quoi ? C'est une RPG jeu de rôle, c'est un univers complètement inventé en crossover entre différents univers med-fan, c'est des membres qui vous accueillent, les bras grands ouverts, c'est des boutiques et des trocs entre joueur⸱ses, c'est des cristals d'étain à réclamer, c'est un bestiaire de fou, c'est des personnages qui se font régulièrement croquer le cul par des monstres (mais en redemandent ???), c'est des liens qui se tissent tout seul, un discord smooth et tout doux, comme l'est la communauté, c'est des joueur⸱ses qui reviennent au RP et en quémandent encore et toujours.
(petit point statistiques après la suppression des fantômes) 9th moon, c'est aussi, et actuellement 41 comptes enregistrés, dont 1 Comte Vicar - le MDJ, 29 joueur⸱ses qui se régalent parmi nous, et 11 multicomptes. 9th moon, c'est aussi 2645 parchemins envoyés, parmi lesquels se cachent et se tissent dans les plumes 34 RPs démoniaques, 2 défis d'écriture en cours et 5 quêtes. 
9th moon, c'est enfin un lore à explorer à l'infini, qui s'étend sous les impulsions de ses membres, c'est un guidebook vachement pratique pour vous aider à vagabonder en ses méandres, c'est une navigation rapide afin de rendre tout cela plus malléable.
On vous attend, plein de pré-liens vous tendent les bras, des postes vacants cherchent preneur⸱ses. Je vous assure que vous ne regretterez pas votre aventure dans les ruelles d'Atalan. ✨
https://ninthmoon.forumactif.com/
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philoursmars · 6 months
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Il y a une petite quinzaine, je suis allé avec Julien et Katie, au Louvre-Lens pour une expo temporaire : "Animaux Fantastiques". Une très belle expo !
Ici des dragons.
bestiaire latin - Angleterre, 1250
Paolo Uccello - "Saint Georges combattant le Dragon" - Florence, 1465
plaque émaillée d'autel, guerrier contre un dragon - Vallée de la Meuse, 1150
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icariebzh · 2 months
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BESTIAIRE ÉROTIQUE
"Des caps pris en beauté malgré les déferlantes, Larguée, un peu cramée, quarantaines rugissantes, Se laisser glisser pour ressurgir en grande orque, Une ode au punk à l’aube des cinquantièmes hurlantes.
Envie folle d’un bestiaire érotique et braque, D’alexandrins stylés qui déchirent et qui claquent. D’un poème utérin sur fond de ménopause, De plombs fondus, fantasmes, et de métamorphoses.
Loin des mines compassées, de la pondération, Des salons trop feutrés, de la mort des saisons. Le délire situé d’une nature ni douce, ni con.
Y fourrer l’illusion de complétude visuelle, Qui défait le réel et oxyde la raison. Un brin de rêves mystiques et de cauchemars séquelles, Raptus anxieux passé sous les démangeaisons.
Canines vulpines, cauchemars, corps de chiens mutilés, Avenir radieux fuyant à vives et grandes foulées.
L’hystérie née d’esprits tordus de mâles pétés, Imagine les fureurs viscérales d’un loir, Bestiole en quête de sang, s’agitant tard le soir De la tête à la vulve de la femme infertile, Fou de manque, vomissant l’aménorrhée, fébrile. Vives bouffées de chaleur, subite mélancolie, Bûchers, internements, vapeurs et insomnies.
Musculosité crasse et flambées d’urticaire, Herbacées maléfiques et vipérine vulgaire, Hermaphrodite velue, érigée, narcotique, Mucosités visqueuses et rêv(es) fous de mastic.
Là, des licornes en joie chient des paillettes dorées, De petites chattes bourgeoises suc(ent) des cadavr(es) rongés, Une foule de galériens accrochée à leurs pieds.
La glande supra-caudale de renardes violettes, La danse d’animalcules sur une peau offerte, Créatures de ténèbres, de chimères, de nuées - Noms féminins pluriel aux racines emmêlées.
Les flashs lubriques de mille lucioles dévergondées, Leur désir débridé, palpitant et veiné Luminescences fiévreuses pleines de luciférine Diaboliques femelles déguisées en ballerines.
La flamboyance de nos crises clastiques et cosmiques, L’endurance inouïe de la manie psychotique. Imperturbablement. « Le jour, le soir, la nuit ».
Orques ménopausées au mitan de leur vie, Lourdes globicéphales, bélugas aquatiques, Libérées des contraintes et rapports domestiques, Menant leur espèce en cheffes claniques respectées. Elles arborent au melon, comme un grand vit dressé, Une palanquée d’humaines pleurant leur puits séché.
Un troupeau de mille poulpes, cerveau tentaculaire, Et des pieuvres mourantes qui ne seront qu’une fois mères. Des castors résistant à la binarité, Munis d’un habile trou polyactivités, L’œuvre d’un dieu foutraque, nommée pseudo cloaque.
Le moine d’Alexandra David-Neel au Tibet, Enfanté de rêves zen et de méditation, Le Morel de Gary et sa Mademoiselle Repeuplant les bloks d’un camp de concentration. Les mésanges de Rosa, le lierre de Cyrano, Les mouches de Jack London et de son vagabond, Des tulpa, des chenils, des égrégores, des vifs, Notre insatiable besoin d’une consolation..."
Corrine Morel Darleux-Masto
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samhain-sioc-rpg · 7 months
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Une réécriture du contexte et des groupes est en cours pour revenir à l'essence même de mon projet, vous partager la culture et la magie dans laquelle j'ai grandi dans un rpg ludique avec des systèmes de jeux pouvant faire évoluer vos personnages progressivement et laisser à tout le monde la possibilité d'accéder aux mages les plus puissants sans pour autant que ça se fasse en 3 jours.
Petite Informations en Teaser :
- Le Rpg se fera à Kilkenny ( 26 000 habitants en Irlande)
- Il y aura au moins 5 Coven différents à intégrer
- Un bestiaire non jouable diverse et varier (on est dans un fantasy après tout)
- Possibilité de jouer un descendant de l'une des 3 sorcières de Killkenny (dans les limites du raisonnable)
- Un explicatif détaillé de la Wicca et de ses différentes branches jouables sur le rpg (Il y a une dizaine de branches mais nous nous concentrerons sur 3 ou 4 maximum)
- Un explicatif complet de l'éducation magique des mages, depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte.
- Une liste plus ou moins exhaustive des types de magies jouables ou non. (je ne suis pas fermée aux suggestions)
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grandboute · 2 years
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Gentille petite bête #animal #bestiaire #art #animalFantastique #carvedStone #beast #creature #medievalArt #pierreTaillee #moyenAge #artiste #sculpteur #enFlanant #leNezEnLair https://www.instagram.com/p/CjVrBYDq65t/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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J1▪️Brunswick - Wolfenbüttel
23,3 km ▫️ 26 °C
Bon, il faut le dire derechef, nous ne sommes pas en Bavière, pas encore. Nous sommes en Basse-Saxe, et demain aussi, mais c’est moins drôle. Et puisqu’on en parle, on n’en a pas vraiment bavé. Il a fait chaud mais, sitôt quitté les faubourgs de Brunswick, un vent rafraîchissant s’est mit à souffler. Puis nous avons quitté les champs pour le couvert ombragé de la forêt. Et il n’a fait que 26 °C (pensée pour les pèlerins du Camino de Santiago).
Sinon quoi dire d’autre ? Ah si, nous avons vu un écureuil traverser un large boulevard de Brunswick sur le passage piéton. Il a bien sûr attendu que le petit bonhomme roux passe au vert (nous sommes en Allemagne, je vous le rappelle). Et puisqu’on est à la rubrique bestiaire, nous avons croisé une cigogne, un faucon crécerelle et une alouette didier (les footeux comprendront).
Ben là je crois qu’on a fait le tour des événements marquants. Et c’est donc ainsi que nous arrivâmes à Wolfenbüttel, ville charmante aux maisons à colombage et au château à la façade de fenêtres serrées ceintes de parements amarante (pas de s au pluriel car c’est un adjectif de couleur qui provient d’un nom commun). Vous ne verrez pas ces lieux magnifiques en photos parce que le chemin ne passait pas par là et qu’après, avec la bière, la lessive, le tour de France et la finale de Wimbledon, on n’avait pas vraiment le temps de faire du tourisme, d’autant que l’hôtel disposait d’un avenant restaurant !
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“Boîte à Musique de Forme Ovale : L'Oiseau Chanteur” de Georges Rémond et Rochat Frères en or, émail, diamants et plumes et "Petite Boîte à Musique avec Oiseau Chanteur" en or, plumes, émail et perles fines (circa 1800-15) à l'exposition “Musicanimale - Le Grand Bestiaire Sonore” de la Philarmonie de Paris, janvier 2023.
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lifextime · 4 months
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Mon top 10 2023
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Un petit poste qui arrive en retard, mais vaut mieux tard que jamais. J'ai hésité à changer la mise en place du classement des 10 jeux que j'ai le plus aimé aux 10 jeux que j'ai découvert en 2023. Cela ne va pas changer grand-chose puisque l'année 2023 a été, une année, incroyables en ce qui concerne le gamin, et voici mon petit top 10 ! (je rappelle que cela n'est que mon avis concernant le classement, mais j'ai essayé de mettre un peu de tout.)
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(10) Suhoshin | Voir trailer
Suhoshin est sortie en 2022, mais à bénéficier d'une release en physique en 2023. Il s'agit tout bonnement d'un visual-novel où nous devons mener l'enquête sur une série de meurtres via différents embranchements. C'est un jeu qui se suffit à lui-même et qui est vraiment complet pour le coup (et aussi, en français, comme ça, on évitera de râler). Il possède une excellente rejouabilité (ce que j'ai adoré) et puis l'univers est vraiment prenant, design enjoué au passage angoissant voir même creepy par moments, Sohoshin possède les bons codes du visual novel, malheureusement il reste encore méconnu.
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(09) Atelier Ryza 3: Alchemist of the End & the Secret Key | voir trailer
La conclusion des aventures de Ryza, sans doute une sacrée surprise, après deux opus surprenants, l'histoire se conclut enfin avec une aventure vraiment étonnante et incroyable. L'univers est vraiment riche, et il complète indirectement certains mystères laissés en suspens depuis le premier opus, puisqu'il fait le lien direct. Le gameplay est toujours aussi agréable et confortable à prendre en main, on se perd un peu dans la partie open world ( non, mais à force vous savez que je n'ai aucun sens de l'orientation). Et je ne parlerais pas de la différence entre l'ambiance du jour et celle de la nuit qui fait bien le contraste. Ce que j'ai aimé avec cet opus c'est qu'on ressent l'évolution depuis le premier opus, et puis les personnages, et puis Ryza, cela va être assez difficile de passer à une autre trilogie Atelier !
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(08) Final Fantasy XVI | voir trailer
Alors que j'avais adoré la démo, et bien le jeu en soit ma refroidi avec une histoire un peu trop fade et prévisible. J'ai trouvé le gameplay assez pauvre en soi, j'ai passé un bon moment sur le jeu, mais ce n'est pas le Final Fantasy qu'on nous avait vendu depuis son annonce. Il manque quelque chose à ce Final Fantasy, surtout lorsque l'on compare avec Final Fantasy VII Remake qui était remarquable, et ensuite on passe à ce Final Fantasy, autant dire que la douche froide je l'ai sentie passé au bout de quelques heures de jeu.
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(07) Lies of P | voir trailer
Lies of P est assez difficile à qualifier, car il se veut soûl like sans l'être vraiment. Il possède quelques mécaniques similaire à Bloodborne, mais sans plus. Néanmoins son histoire est vraiment prenante, avec de nombreux clins d’œil à d'autres jeux, l'univers est très dark fantasy où les marionnettes/robots ont pris le dessus sur l'espèce humaine (qui est en voie de disparition) se retrouve confrontée à un bestiaire assez varié et chaque boss possède sa personnalité et donc forcément c'est à nous de nous adapter. La BO est vraiment discrète pour le coup, enfaite on y fit plus attention lorsqu'on doit collecter les morceaux orchestrions. Ce que j'ai apprécié c'est le fait que son gameplay repose sur des interactions à dire un doux mensonge ou à cracher la cruelle vérité. Parfois les choix sont difficiles et demandent une longue réflexion. Par contre la caméra est un ennemi omniprésent, car la réécriture de Pinocchio colle très bien à cet univers sombre où il y a une certaine morale à en retirer !
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(06) PROJECT ZERO: Mask of the Lunar Eclipse | voir trailer
L'épisode manquant de la saga Project Zero est tout de même sortie sur PS4/PS5 15 ans après sa sortie initiale sur Wii ( ce fut même un bordel monstre avec le changement d'éditeur). Un remaster qui corrige pas mal d'erreur, mais qui propose tout de même une traduction propre. Il reprend tous les codes de la saga, il fait toujours aussi peur, car mine de rien on n'est jamais à l'abri d'un esprit malveillant, ce qui procure un sentiment d'insécurité en permanence, le fait de contrôler personnage reste un bon moyen d'explorer les différents gameplay et aussi le lore du jeu. J'ai juste à lui reprocher , parfois, sa lenteur dans certains déplacements (lenteur qui fut patchée pour le 5ème opus). En tout cas, ce fut un honneur d'accueillir cet opus en Europe.
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(05) Sea of Stars | voir trailer
Petite pépite qui mérite amplement sa place dans le top des 10. SOS un jeu rétro inspirait fortement des anciens rpg. Un jeu qui propose de se replonger dans les mécaniques des anciens rpg avec une touche de modernité. L'histoire est vraiment touchante et on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer, car les évènements s'enchainent assez rapidement ! Je ne ferais pas de critique sur la DA qui frôle la perfection, la bande sonore est vraiment entrainante sans compter les personnages si différents et hauts en couleur. Autant dire que ce jeu à tous les codes pour plaire et j'ai vraiment passé un bon moment dessus !
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(04) Theatrhythm Final Bar Line | voir trailer |
Final Bar Line est LE jeu musical de l'année 2023. Proposant ainsi plus de 530 pistes, le jeu nous replonge dans divers moments palpitant de la saga Final Fantasy avec ses thèmes emblématiques. La plupart des final fantasy y sont représentés, même si parfois cela est un peu injuste (notamment Crisis Core qui possède une OST incroyable et bien là on se contentera de peu de thèmes). mais heureusement que sa (re)jouabilité est infinie, malgré un mode online assez brouillon (à fuir). Je pense avoir cumulé trop d'heures sur ce jeu . . . Mais c'est une valeur sûre !
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(03) Wo Long : Fallen Dynasty | voir trailer
Il aurait mérité son top 1 avec le nombre d'heures que j'ai passé sur Wo Long, qui reprend toutes les mécaniques d'un soûl, mais avec beaucoup plus de difficulté si on s'attarde vraiment sur les niveaux de difficulté du jeu. Certaines personnes diront que c'est un mauvais soûl like, à cause de sa difficulté, mais la base du jeu s'apprend avec l'échec. L'histoire quant à elle est vraiment prenante avec une touche de Dark Fantasy, les boss sont incroyablement bien mis en scène et l'environnement nous donne envie d'aller visiter chaque endroit de la map ( surtout la partie de Hu Lao). Le jeu possède également trois DLC bien distinct qui nous entrainent dans des évènements clés de l'histoire des Trois Royaumes, sans pour autant spoiler l'histoire, car les dlc servent (selon moi) d'épilogue ou de contenu endgame. La seule chose que j'ai amèrement regrettée, c'est la feuille de route qui s'est terminée en décembre. Mais rassurez vous le jeu revient en Fevrier 2024 avec une Complète Edition.
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(02) Mortal Kombat 2023 | voir trailer
Pour moi, Mortal Kombat est le jeu de combat de l'année, je me suis surprise à reprendre gout aux jeux de combat (le dernier que j'avais dosé était Injustice 2 -2018), le casting est complet, il y a plusieurs modes de jeux ( Histoire / Invasion / Tour ), une boutique qui ne se résume pas à de la microtransaction, mais plutôt en guise de point que l'on gagne à chaque victoire en mode invasion | évènement saisonnier | / Tour / Online. Il s'adapte également à tous les niveaux de jeux, n'ayant pas honte de commencer en très facile puis d'augmenter la difficulté (quoique le mode normal est vraiment parfait pour commencer). Même si on ne connait rien à la saga, ce jeu fait un parfait résumé avec son mode Histoire et il y dépose également de nombreux easter eggs provenant des films afin de proposer une parfaite corrélation entre les continuums.
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(01) The Legend of Heroes: Trails into Reverie | voir trailer
Et là on touche au Graal ! Je ne peux pas m'étaler sur le sujet, mais Trails into Reverie fut mon GOTY 2023 ! C'est LE jeu sur lequel j'ai vécu de nombreux ascenseurs émotionnelles. Entre l'histoire incroyable, une bande sonore majestueuse ( oui je ne me lasserais jamais de Lost Soul , ou encore de Those Who Live in the Blue Earth ). Beaucoup lui ont reproché ses graphismes qui sont moches (oui j'ai lu ça) et bien on ne juge pas un jeu sur ses graphismes (je préfère un jeu moche sans bug, qu'un jeu ultra réaliste qui est hyper buggé). Sincèrement, Trails into Reverie est une excellente conclusion qui explore tous les codes d'un rpg. On ne peut qu’apprécier son casting, son histoire, son lore, l'environnement . . . Bref, le GOTY était là dès le milieu de l'année ! Et il a éclipsé pour moi la plupart des RPG de cette année!
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helene-tolden · 5 months
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Malgré la mignonne petite araignée Lucas, j'ai du mal à trouver ces petites créatures mignonnes.
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Cela ne s'arrange pas si j'ai le malheur de tomber sur une vidéo qui montre un spécimen gigantesque d'Australie semblant tout droit sortir d'un bestiaire fantastique.
#inktober #inktober2023 #inktober2023day2
#inktoberchallenge #inktoberchallenge2023 #adrawingaday #cafegaudi #grangaudi #tolden_ln #toldendegrangaudi
#spiders #araignees #aranas
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adamads · 6 months
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“Notre place à nous n’est ni dans l’ombre ni dans la lumière.Elle est entre les deux, là où il y a la couleur. Là où il y a la vie.”
“Furiale” [Bestiaire]
Voici une petite créature née d’un rêve que j’ai fait il y a plusieurs années : une Furiale. 
Dans mon rêve les Furiales fonctionnaient par groupe et voletaient dans une nécropole dont il était impossible de savoir si elle était à l’endroit ou à l’envers, munies de minuscules poignards de forme légèrement incurvée, dont la lame dépassait à peine de leur main. 
Quand elles détectaient un intrus, elles se précipitaient dessus et le déchiquetait avec leurs toutes petites lames indestructibles. 
J’ai eu l’impression qu’elles gardaient la nécropole et, bien que la version de la Furiale de ce rêve était beaucoup plus menaçante, j’ai eu envie de travailler sur cette idée. 
Les Furiales fonctionnent un peu comme un essaim : elles volètent tranquillement à leurs affaires tant que rien ne vient les déranger, mais elles sont capables de basculer d’un coup dans une furie meurtrière comme si on venait d’appuyer sur un interrupteur. 
Quand elles sont tranquilles elles sont souvent très jolies, petites et d’aspect frêle. Mais elles piquent des colères monstrueuses et font trembler la terre sur ses fondations quand elles tapent du pied. Leur cri de rage suraigu oblige leurs ennemis à se protéger les oreilles. 
Les Furiales existent normalement dans le royaume des morts, où elles gardent et prennent soin des âmes des défunts, mais on raconte que, lors du grand exode, certaines auraient passé la porte menant au monde du milieu en compagnie d’autres habitants de leur monde.  
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lespresseslitteraires · 8 months
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Grands brassages - Petit bestiaire fantastique Claude Watel / Anatole Blondiaux
À quoi ressemble le Castortue ? Qu’est-il arrivé à la Sourhinocéros ? Pourquoi le Guéparesseux a-t-il disparu ? Vous le découvrirez dans ce recueil qui raconte leur histoire, ainsi que celle d’autres animaux tout aussi fantastiques. Sous la plume inventive de Claude WATEL et le crayon habile d’Anatole BLONDIAUX, ces récits font la part belle à l’humour et à la poésie.
Claude WATEL, né en 1960 dans le Pas-de-Calais, a travaillé à la SNCF en tant qu’ingénieur qualité. Il profite maintenant de sa retraite professionnelle pour exercer sa passion de l’écriture et de la poésie en particulier. Il vit actuellement avec sa compagne à Amiens.
Anatole BLONDIAUX, né en 1997 est artiste, illustrateur amiénois, spécialisé en bande dessinée. Il est diplômé du DU Création en bande dessinée et de la Licence Métier de la bande dessinée de l’Université Picardie Jules Verne. Son approche artistique est axée sur la pédagogie et la sensibilisation scientifique. Il s’est spécialisé dans les dessins d’animaux en tous genres et a réalisé récemment les illustrations de la bande dessinée pédagogique « Super Espèces », dans le cadre d’un projet de la région Hauts de France.
ISBN : 979-10-310-1401-2 13,5 X 21, 46 pages, 11,00 €
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chezveronalice · 10 months
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Bestiaire et coquillage
Bestiaire et coquillage
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Une poésie de de Claude ROY que Jean René à repris en musique La comptine est courte et facile pour des tout-petits, j'y ai rajouté les accords au ukulélé Vous pourrez l'accompagner du coloriage que vous trouverez "Le coquillage" Le pdf est à télécharger plus bas en cliquant sur l'image. n'hésitez pas à cliquer sur la pub, c'est un moyen de participer à la vie du site chez veronalice. MERCI Pour télécharger le fichier pdf cliquez sur l'image ci-dessous.
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Voici un enregistrement audio afin que vous ailliez l'air de la chanson N'hésitez pas à venir nous rejoindre sur le groupe de bricolage et activités pour les tout-petits et découvrir des idées d'activités pour les tout'petits à très vite Veronalice Read the full article
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mysteriis-moon666 · 1 year
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HAMMER SMASHED FACE
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Après un week-end mémorable où le quinze tricolore a cagué dans la litière de Twickenham le samedi 11 Mars 2023, puis a labouré la gueule au Rolling stone de la rose, figurez vous que nous n’étions pas encore assez rassasié.es de violence. Que nenni !
Ce mardi 14 mars 2023 ce n’était pas du Tchoupi à la salle du Bikini à Tolosa, c’était tripoux sonique, grattons de canard rythmique et chiffarnasse, Cannibal Corpse en personne était venu des grandes contrées de l’ouest pour étourdir avec sa hache de boucher ses mélodies carnassières.
Pour ceci nous devons remercier une fois de plus et heureusement encore, l’association NOISER, qui contre vent et marée de merde combat chaque année, round après round pour honorer le spectacle vivant le plus sculptural qui soit dans une région de rugbymen, tel que Jean-Pierre Rives, Jean-Claude Skrela, Fabien Pelous, Xavier Garbajosa, Magyd Cherfi et Ticky Holgado (exclusivement pour la 3ème mi-temps).
Au menu du soir : la barbaque bovine et chevaline de la famille de psychopathes sanguinaires Spanghero avec : CANNIBAL CORPSE + DARK FUNERAL + INGESTED + STORMRULER
La soirée débutait à 18h30, conséquence simple, nous sommes 4 et venons après le travail de Castres (« houuuuuuuuuuuuuuuu » dixit les stadistes) donc désolé mais le duo Black Metal STORMRULER est passé au ball-trap.
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INGESTED est un quintette de (brutal) Death Metal/deathcore en provenance de Manchester. Oui des Anglais d’Angleterre. Héhéhé…Les coqs tricolore 53 et un petit 10 pour les Rosbifs je le rappelle à toute fin utile.
Bon les gars d'Ingested c’étaient foutus des pinces de batterie calées sur chaque testicule avec un bon voltage triphasée pour ce conert. Je regarde mon pote Waz d’un coup d’œil après 2 titres, il remonte et baisse ses épaules pour m’annoncer « Ouaie c’est du rap quoi » puis se marre de sa couillardise. C'est vrai que c'est marrant. Siiiii. Peu après il compare Ingested à du Devil Driver lyophilisé. De fait, prenez celle qui vous va le mieux. Perso, je penche pour la seconde, notamment pour ce genre de coups de reins adipeux dans un groove thrashy 90’s avec des breakdowns deathcore et cette approche 2.0 pour la volumétrie d’un son déshydratée.
D’ailleurs côté vocal, du gruiiiiig au growl il n’y avait parfois que le vase communiquant d’une écluse du canal du midi, et Ingested sait combiner les styles musicaux des 90’s avec le 2.0. et il le fait super bien. Le bassiste avait l’air d’avoir 15 ans, il ne doit pas écluser autant de pinte que le batteur c’est certain. Dans le pit ça s’éclate bien les côtes flottantes, surtout pendant un wall of death plantureux, où un gars (très certainement du Gers, élevé en plein air) a mélangé tous les régimes, dunkan pour la viande, Tony Micelli pour les pâtes, et Maïté pour la cuisine des mousquetaires à la graisse d’oie et au cognac, avait planté sa carcasse de 140 kg contre des végétaux élevés comme une courgette. Qu’est-ce que vous voulez que ça fasse ? sinon de la purée de ratatouille…
Selon la légende Lemmy Kilmister : « Une guitare est un aimant à chattes. » Okay Lemmy si tu le dis…Saches toutefois que dans le death metal elles sortent les griffes, ne leur file pas du whiskas pour chatte difficile ça sert à que dalle, elles se vautrent dans les viscères avec délectation.
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Les malfaisants Suédois de DARK FUNERAL ont revisité leur 28 ans de carrière disco et leur 7ème album “We are the Apocalypse” de 2022 via Century Media, avec leur Black Metal rupestre et mélodique, qui évoquait au final rien de très exceptionnel, mais demeure efficace. Ça puait le cuir, les clous d’une crucifixion, les chaînes (pas en or), avec des rythmes rapides, guitares saturées où le guitariste fondateur Lord Ahriman attisait le bestiaire classique. Le chanteur Heljarmadr (ex GRÁ) a percé l’acmé du dark tout en conviant le macabre dans cette ode de metal noir et de métaux lourd. Son chant est gorgé de milles sépultures de valeureux guerriers sataniques. Il a aussi cette diction de vieux prof de théâtre tyrannique et la camaraderie d’un instructeur des classes du service militaire. Les blasts de Jalomaah ont quadrillé l’enceinte du Bikini à la mitraille, toutefois, la caisse claire en début de set avait la sonorité d’un baril de calgon. Le groupe a de super visuel, des pochettes chiadées, leur t-shirt déchirent la symbolique blasphématoire.
Sur scène les gars étaient habillés avec des clous en acier du moyen-âge, (il manquait la cartouchière de chasseur Corse) mais avec tout leur bordel ils ont dû clignoter au détecteur de métaux comme un strobo à l’aéroport de Blagnac. Ils occupaient l’espace comme l’aveugle de la petite maison dans la prairie. La posture était en châtaignier, bien ancrée à la terre du milieu, orienté Hail Satan, avec la mano qui pulse en branlant le manche. Si leur black metal mélodique est sans grande surprise, il est bien construit, avec des variations intrusives malfaisantes, puis ce décorum mystique est mythique, les mystères sont très malins, ils se cachent dans la lumière, et le black metal féroce et satanique du quintet est appréciable. Quand ça ripait dans la speederie black oldschool sweden, dark Funeral glissait dans la gorge de Satan de milles flammes ardentes, avec des guitares à cisaille comme un millier d’abeilles asiatique armées de sabre. C'était un concert exécuté façon grand classique, un peu chiant parfois, mais au final c'était du grand spectacle.
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Il existe plusieurs styles et sous-genre de films d’horreur et l’univers du metOl est similaire. Pour faire simple dans la comparaison, le cinéma d'horreur navigue autour de l’épouvante, fantastique, slasher, survival, giallo, etc…Bon bennnnnnnn CANNIBAL CORPSE c’est du gore. Un scénar de pâte à crêpe avec de la bidoche qui sort de l’écran et le fun de looping de l’agence tout risque.
Fondé en 1988 Cannibal Corpse est le mastodonte du brutal death metal, son évolution musicale est à ranger avec celle d’AC/DC, Motörhead,etc...Le seul truc que le groupe change c’est de t-shirt entre leurs concerts. De toute façon tout le monde est content, Cannibal fait du Cannibal et c’est le meilleur à le faire, à croire qu'il bouffe chaque rookie. Leur quinzième opus est une fricassée de onze titres à défoncer les maxillaires au niveau du rectum. En live ce sont des saigneurs. Une précision à couper le souffle avec une férocité technique immersive, la fragmentation des ténèbres pour un flamboiement d’hémoglobine, et pour ce set le groupe n’a pas retiré la graisse et les tendons, c’était cru, lourd, velu, avec un broyage du cerveau, du cartilage, de l’ouïe, et ceci sans difficulté, tu repartais de là avec des acouphènes de sirène de pompier jusqu’au passage des éboueurs à 5h00 du mat le surlendemain.
Émaillé d’un son plantureux Cannibal a dépiauté ses tranches de carpaccio, ses superbes paupiettes avec des seaux de sang, tu pouvais en tirer au moins une année de boudin de tous les charcutiers de Lacaune. Quand je dis un son de dingue je ne plaisante pas hein. Les trois groupes antérieurs avaient en comparaison une table de mixage de poche, tu pouvais jouer au mieux à Donkey Kong sur cette game boy. Pour Cannibal, l’ingé son avait une table de ping pong truffé de bouton, que les jumeaux Gersois Bogdanoff n’auraient pas été foutu d’interpréter dans leur émission Temps X. C’était un immeuble de 30 étages qui s’écrasait sur nous à chaque titre. Le lendemain j’avais encore des gravats qui obstruaient les cages à miel : Brutaaaaal deAth metOoooooooool.
Pour les gros morceaux le groupe a offert ses plus larges carcasses à découper, et donc le recours à la scie de boucher était essentiel. Vous savez quoi, il fallait bien trois groupes avant pour attendrir la viande hachée du pit, en d’autres termes, de rendre la texture de la fibre musicale plus souple pour qu’elle soit, par la suite, tendre et facile à mâcher. L’attendrisseur permet aux viandes à griller une meilleure pénétration lors de la marinade, et quand ce fut au tour de Cannibal Corpse, ça a juté sévère sur le grill. Feuille de boucher en main le son qui sortait des enceintes a permis de débiter les carcasses de viande du pit. Heyyyyyyyyyyy, tu ne crois pas que le groupe était juste venu en Europe pour ramener des clopes et un parfum de fête des mères du duty-free ?
Leur CV est simple. Le bassiste a chié 3 fois son C.A.P agent de sécu chez l’épicerie SPAR, le batteur s’est fait caresser les couilles par son cousin avant de sodomiser une tanche, les guitaristes quand ils sortent de leur grotte respective c’est uniquement pour éventrer tout ce qui bouge en moins de 3km juste pour se nourrir à l’apéro, et le cou de buffle à la chevelure vidal sassoon tournicotant façon pâle d’hélicoptère de béret vert , lui il a une corde vocale aussi pansue qu’un clitoris de vache. Bref un putinnn de ramassis de sauvages. Ce gang aurait très bien pu être dans la distribution d'un film de Rob Zombie, et pourtant c'est dans «  Ace Ventura, détective chiens et chats » que le groupe apparaît pour le titre « Hammer Smashed Face ».
Devant ce parterre de viande haché le groupe a lesté, tranché dans le vif, et le public de segpa a répondu avec mordant. Une pute de bestiasse du pit a fait une razzia de plaquage au garrot spécialement sur des rouquins, histoire de fêter la St Patrick en avance…Je pense que c’était pour rigoler avec les coupaings de l’ovalie dans un style porno amateur dans un champ de trèfle. Y’avait aussi un rasta blanc cerné de substrat plus mou au coin des yeux et munit de dreadlocks qui s’est allumé avec un jeune, il devait se croire à un concert de Six Feet Under et faire sa crise de la quarantaine. Sinon un bataillon de gars se sont pétés les cervicales, c’est certain.
Cannibal Corpse est un bulldozer chirurgical. Le bassiste Alex Webster a magnifié ses obus en traçant des lignes de scud d’outre-tombe. Paul Mazurkiewicz le batteur et membre fondateur est d’une précision de folie, il te découpe des tranches d’escalopes gourmandes avec la finesse d’un chirurgien pendant une résection de l'intestin grêle. Les solos d’Erik Rutan (ex Morbid Angel, Hate Eternal) volaient en rase motte dans le pit comme des vautours assoiffées de tripes. Le guitariste rythmique Rob Barrett a atomisé un riffing d’intensité millimétré (comme Malcolm Young, James Hetfiled, Scott Ian, Pete Townshend). Avant de rentrer sur scène le broyeur de cadavre George Fisher, doit boire au moins un litron d’éther qui a macéré avec des boyaux d’alligator en croûte de sel. Peut-être qu’en France il remplace l’ensemble par du beaujolais aux tripes avec des cuisses de grenouilles marinées à l’armagnac, l’effet doit être doublé même. Pour la nuque je ne sais pas ce qu’il se fout, il doit se masser avec des clous rouillés, des tessons de Kronenbourg ou de Pelforth, je ne sais pas, mais c’est efficace, faut le reconnaître.
Les ricains ont fini de racler la graisse restée au fond la plancha avec un supplément de sauce barbecue pour un final de psychopathe.
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Pour les photos : Charlotte Candido pour Pozzo-live.
Merci à la salle du Bikini, à l'association Noiser, à Stormruler, Ingested, Dark Funeral, Cannibal Corpse, et à ce public fan de Saw, Evil Dead, Cannibal Holocaust, Tucker & Dale fightent le mal, la colline a des yeux, Hostel, de la boucherie-charcuterie chez Francis à Tolosa et de l'abattoir de Saint Gaudens.
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double-croche1 · 1 year
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[INTERVIEW #382] VOYOU
Notre bien aimé Voyou est de retour aujourd’hui avec son très chouette nouvel album ‘Les Royaumes minuscules’. On est partis en exploration avec lui pour parler de ce disque, du comportement des animaux et de films de science-fiction des années 90. Pour retrouver notre précédente interview avec Voyou, c’est par ici. Quelles ont été les idées de départ pour l’écriture de l’album ? Thibaud : J’écris tout le temps. Les morceaux se sont empilés, ils ont été écrits à des moments différents. Quand j’ai écrit le morceau Les Royaumes minuscules, je me suis dit : « Je crois que j’ai l’impression de savoir de quoi je suis en train de parler depuis un moment dans les morceaux que j’écris. » Avant cela, je ne savais pas où j’allais, j’écrivais juste des choses qui sortaient de moi. A partir de là, j’ai pu faire des liens entre les choses, en réécrire certaines et en écrire de nouvelles. J’ai pu créer un tout avec ces chansons.  Quand a eu lieu la période de l’écriture ? Thibaud : J’ai écrit le premier morceau pour cet album pendant le confinement. C’était Là-haut. Après il y a eu Huis clos, puis une grosse pause pendant laquelle j’ai fait le disque instrumental ‘Chroniques terrestres (Vol.1)’ (2021). J’ai donc écrit ces deux morceaux et après je me suis rendu compte que je n’étais pas prêt à mettre des mots sur les choses. J’étais avec très peu d’humains et donc dans un contexte vraiment particulier à cette époque-là. J’avais besoin d’être au contact des autres et voir les gens vivre pour pouvoir écrire des choses dessus. J’ai recommencé à écrire après ce disque instrumental. Cela m’a permis de ne pas m’arrêter d’écrire mais sans écrire des paroles. Sur le nouvel album, il y a justement plusieurs morceaux avec des désirs d’exploration [Huis clos, La Nuit, le jour et Une île]. Thibaud : Je pense que ce n’est pas spécialement lié à la pandémie mais cela fait tout de même un peu sens parce que ça m’a fait me déplacer à l’extérieur des villes. Mais en fait quand je parle d’enfermement dans les morceaux, je parle plus du fait de me retrouver d’un coup dans un 30m² à Paris qui est finalement une sorte de petite prison en soi, la prison des villes qui coûte cher comme ici. Le morceau Tombe la pluie parle par exemple du fait que tu as chaud à Paris en juillet. [“Calme est la ville. C’est normal, c’est fin juillet sous les toits. On décède de chaleur, on ne sort pas. [...] Marre on se dit un peu d’air ferait vraiment pas de mal, déjà que passer l’été à la capitale à se traîner sous ce soleil infernal quand d’autres voient la mer.”] Thibaud : Par exemple ! J’ai toujours vécu dans des villes et vu que j’ai été confiné à la mer dans les Landes, je me suis retrouvé d’un coup à vivre avec les éléments. J’ai toujours aimé les animaux et les insectes, mais là soudainement j’ai eu un vrai temps long pendant lequel j’ai vraiment pu observer ces choses-là. Je pense que la notion d’observation qu’on retrouve beaucoup dans l’album vient de là : me rendre compte que je vis dans un monde au jour le jour qui est assez abstrait alors que d’un coup je me suis retrouvé face à du réel, du concret avec des choses qui fonctionnent et qui œuvrent pour un dessein beaucoup plus grand. Ce ne sont que des choses qui ne sont pas basées sur l’ego et ma petite personne. Je pense que ça a fait du bien de se sentir juste observateur. La musique est très axée depuis quelques années sur l’ego, la réussite personnelle, le fait de gagner du fric, de baiser, de tout cela. Remettre les choses à leur place et faire un album parlant soit des petits sentiments ternes, soit des petits éléments autour de nous en enlevant l’ego de tout cela, ça me semblait assez logique. En tout cas, c’est le ton que j’avais envie d’utiliser. Dans l’album, il y a un bestiaire incroyable : des oiseaux [Deux oiseaux, La Nuit le jour, Là-haut, Une île et Les Royaumes minuscules], des insectes [Les Insectes et Les Royaumes minuscules]… Il y a des animaux dans au moins trois quarts des morceaux. Est-ce que tu fonctionnes avec des images en tête au moment de l’écriture ?  Thibaud : J’ai toujours des images soit liées à mon imaginaire, soit à des choses de l’enfance. Quand j’étais petit, j’ai habité dans une petite banlieue populaire du Nord de la France et j’avais un petit jardin. Pour moi c’était gigantesque, mais en fait c’était tout petit. C’était un endroit où il y avait des fourmis, plein d’oiseaux, de la vie quoi. Je passais énormément de temps à regarder cela. Et du coup cela m’a créé des images et je pense que ce sont des images dans lesquelles je suis allé puiser. Je passe aussi beaucoup de temps dans la nature à me balader, j’essaie de beaucoup sortir de Paris et du coup j’ai plein d’images d’animaux, d’insectes et d’oiseaux. J’aime bien me dire qu’ils agissent sans penser à eux-mêmes. Ce sont quand même des espèces qui sont extrêmement évoluées.
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Ils ont parfois des comportement humains. Thibaud : Exactement, et je trouve très prétentieux de notre part de nous dire que ce sont des comportements humains parce que nous avons des comportements de fourmis ou d’oiseaux parfois. (Rires) C’est normal que nous soyons la référence pour nous-mêmes parce qu’on ne connaît rien mieux que les humains finalement. Par contre, je pense qu’on aurait beaucoup à apprendre des fourmis ou des abeilles pour plein de choses ! Comment écris-tu les morceaux ? Tu fait d’abord les texte et ensuite les instrumentations ? Thibaud : Non, c’est l’inverse. J’ai déjà les instrumentations qui sont assez rapidement quasiment arrangées comme cela va être sur le disque. Ce qui a changé par rapport au premier album, c’est que déjà j’ai eu le temps d’apprendre de nouveaux instruments et d’écouter énormément de musiques différentes. Aussi, j’ai eu ce truc de l’album instrumental [‘Chroniques terrestres (Vol.1)’ (2021)] qui a été un vrai terrain de recherche pour moi. J’ai pu faire de la musique extrêmement librement, aller chercher d’autre textures et manières de concevoir des mélodies et de structurer les morceaux. Ce disque instrumental a été un vrai petit laboratoire. J’ai continué avec le nouvel album. Il y a ce qui existe sur ce disque, qui a été fait très rapidement, mais justement dans un truc où vu que tout est permis, ça va vite parce que tu fais les choses sans jamais te poser de question. Tu n’as pas besoin de laisser de la place pour de la voix. Tu n’as pas besoin de faire cohabiter les éléments. Le travail a continué après le disque et je pense que cela m’a amené tout doucement vers d’autres instrumentations qui d’un coup me racontaient vraiment des choses. En les écoutant, je savais que c’étaient des choses qui se structuraient comme des vrais morceaux et sur lesquelles j’avais de vraies histoires. Les instrumentations me soufflaient ces histoires. A partir de là, je me suis mis à composer et à écrire les textes. Après, la partie la plus longue a été d’écrire les textes, d’essayer d’être le plus précis possible dans tout ce que je voulais raconter, d’essayer de faire rentrer exactement tout ce que je voulais raconter dans ces petites cases que sont les chansons.  Les chansons du disque sont relativement courtes mais bien fournies en paroles effectivement ! Thibaud : Oui, il y en a vraiment beaucoup. C’est comme cela que je compose mes mélodies. Mon premier langage mélodique est la trompette. C’est un instrument qui fuse en termes de mélodies, du coup il y a plein de découpages partout. C’est comme cela que je conçois mes mélodies. Quand j’en écris une sur un morceau, elle va devenir la mélodie pied pour pied de ce que je vais écrire après. En effet, je ne change jamais le nombre de pieds des mélodies que j'écris parce qu’elles doivent être comme ça et cela ne peut pas changer, je me débrouille pour trouver les bons mots. Il se trouve donc que ce sont des segments très découpés avec beaucoup d’espace pour le texte, ce qui m’arrange parce que j’ai besoin de raconter beaucoup de choses. J’ai besoin de pouvoir décrire des paysages, des décors, des couleurs, des odeurs, de plonger au maximum dans un endroit. Tu joues de la trompette et de la basse. Tu as appris d’autres instruments ?  Thibaud : Mon premier instrument, c’est la trompette. Après, j’ai appris la basse, la guitare, le piano, la batterie et les percussions. Maintenant, je joue aussi de la clarinette, un peu de flûte traversière et du trombone. Tout cela me permet de composer des choses et surtout de me passer de beaucoup de masse synthétique. Je peux aller créer des impressions d’arpégiateur [plus d’infos par ici] avec des synthés, le faire avec des flûtes traversières ou des clarinettes. Je trouvais assez logique d’aborder avec des instruments organiques ces thèmes qui contiennent autant de choses organiques, beaucoup de décors naturels.  Le morceau La Nuit, le jour semble plus électronique. Thibaud : En fait, il y a des choses que j’ai faites à la bouche et il y a quand même un snare [= “une caisse claire”]  électronique, la boîte à rythmes mais c’est la seule chose. Pour le reste, tout est fait avec des vrais instruments. Tous les trucs percussifs qui pourraient être faits avec des synthés, en fait ce sont des cuivres qui le font et on ne s’en rend même pas compte. Tout ce qui sonne comme de la basse, ce sont des voix que j’ai enregistrées sur l’iPhone, que j’ai samplées et triturées dans tous les sens. En fait, il n’y a qu’une boîte à rythmes, qui est une caisse claire et un kick, et tout le reste c’est Atou Kada qui joue. Ce ne sont que des vraies percussions.
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Crédits photo : Emma Birsky  Tu fais des voix aussi sur le morceau d’ouverture Intro et sur Les Insectes. Tu vas le sortir en single ? Thibaud : Non, pas celui-là. En fait, je vous avoue que c’est hyper compliqué le choix des singles parce que personne n’avait les mêmes morceaux en tête. Parmi tous les gens à qui j’ai fait écouter, chacun avait ses préférés. J’ai plein de potes pour lesquels c’est La Nuit, le jour. Ils me disent que cela devrait être un single. Il y a L’Hiver qui est sorti et on risque de sortir Deux oiseaux, Huis clos ainsi que Soleil Soleil avec November Ultra. On va aller piocher dans ceux-là. On est sur ces questions en ce moment. Ce sont aussi des trucs de retours de radio. On envoie aux radios avec qui on a l’habitude de travailler, qui diffusent ma musique depuis le début. On a des liens de confiance avec certaines radios comme France Inter par exemple qui a diffusé beaucoup de titres. Ce sont des gens qui ont toujours été très proches de la musique et du coup on trouve de bon ton d’aller leur demander ce qu’ils pensent et les morceaux sur lesquels il y a possibilité de faire quelque chose. Il se trouve qu’il y a eu les mêmes retours morceaux entre France Inter, Nova et FIP. A partir de là, on s’est dit que vu que ce sont les trois radios dont on est très proches, il faut les écouter et c’est ce qu’on fait. Je pense que c’est leur métier de savoir les morceaux qui vont plaire aux gens. Comme on a des retours tellement différents, autant écouter des gens dont c’est le métier qui savent ce qu’ils font. Quand tu composes et enregistres les morceaux, c’est toi qui joues les instruments même sur les versions finales ? Qu’en est-il de la batterie ? Thibaud : En fait, j’ai enregistré des versions des morceaux où je joue aussi la batterie. Je fais des démos où j’enregistre tout sans exception, puis je refais des versions où j’enregistre tout sauf les violons et les cœurs de filles. Enfin si, même les cœurs de filles, je les ai enregistrés en pitchant ma voix. Je fais donc des versions des morceaux où il y a quasiment tout et je suis allé réenregistrer en live au Brésil la batterie et les percussions. J’étais à la basse et il y avait un batteur et un percussionniste. Ce sont des gens avec qui j’avais déjà travaillé sur la tournée d’avant et je suis vraiment allé chercher le son spécifique à ces musiciens incroyables que je connais et que j’adore. Ils ont un groove très particulier. On a tout enregistré quasiment en une prise, c’était assez fou. C’est allé hyper vite. Je suis revenu en France avec les enregistrements. Mon ingénieur du son n’avait pas pu venir sur la session et du coup c’est Diogo Strausz, un Brésilien avec qui j’avais fait le premier album [‘Les Bruits de la ville’ (2019)], qui s’est occupé de faire l’enregistrement là-bas au Brésil. Je suis revenu avec tout cela, on a retravaillé sur les enregistrements avec Michael Declerck qui avait déjà collaboré sur mon premier disque. J’avais hyper peur parce qu’on avait une seule prise de tout. On a tout posé comme cela sur les morceaux et rien n’était dans la grille. Tout était ultra décalé de partout mais impossible de changer quoi que ce soit. (Rires) Tout sonnait exactement comme on l’entend sur le disque. Ils ont tellement un groove particulier que lorsqu’ils jouent, tout a l’air exactement à sa place. On a l’habitude en France et encore plus maintenant avec les ordinateurs et la musique électronique que tout soit vraiment sur la barre de temps. On a l’habitude de tout recaler parce que si jamais un truc est décalé de la barre de temps, on présuppose que c’est parce que le mec a mal joué. Là, tout était devant, derrière. Et en fait, on a mis tout ensemble et il n’y avait rien à toucher, tout était vraiment parfait dans les grooves. C’est juste que les grooves sont différents. Du coup, on n’a pas du tout retouché à la batterie, cela n’arrive jamais de faire comme cela ! On était trop contents. On a juste dû faire un tri pas possible dans les percussions parce qu’on a bien sûr fait des réenregistrements. Une fois qu’on a fait toute la session à trois en live, le percussionniste a réenregistré de nouvelles percussions. On avait donc des montagnes de percussions et ensuite il a fallu qu’on taille dans le lard.  Dans certains de tes morceaux justement, notamment le dernier Les Royaumes minuscules, tu varies le tempo en cours de route.  Thibaud : C’est aussi l’idée de faire de la musique d’une manière un peu différente. Les logiciels de musique, c’est ma vie. Je suis tellement heureux que cela existe. Cela permet de faire tellement de choses. Par contre, avec les logiciels, il y a plein de choses que tu ne fais plus. J’ai essayé de prendre une certaine liberté par rapport à cela. Ce qui m’a bien plu. 
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Comment a été réalisée la pochette de l’album ? Thibaud : La pochette a demandé beaucoup de travail. C’était un sacré délire ! Avec le label et ma manageuse, on a fait appel à Juliette et Charlotte Castay pour la direction artistique du disque. On a tout de suite eu cette idée très précise ensemble d’avoir cette espèce de maquette de mini décor avec moi qui me place au-dessus et qui regarde tout cela. On avait donc cette idée de pochette depuis le tout début. On savait exactement ce qu’on voulait faire. Après il fallait le faire, et là c’était plus compliqué. (Rires) Au départ, on s’était dit qu’on allait faire une vraie maquette, sauf qu’il y a plein de choses dans les vidéos qu’on a voulu rattacher à la maquette : on voulait faire des vidéos où on part du point de vue de la pochette, on avance et on arrive à un endroit de cette maquette où il y a une situation qui se passe qui rappelle le morceau. Il fallait donc prévoir ces emplacements spécifiques sur la pochette qui correspondent à différents moments de mes chansons. C’est donc un décor multiple dans lequel on peut retrouver pas mal de décors de l’album. On avait dès le départ cette idée de pouvoir rentrer dedans et d’aller naviguer pour se poser à un endroit précis où le décor correspond à ce que je raconte. C’était assez ambitieux ! Cela paraissait extrêmement compliqué et cela coûtait hyper cher de faire la maquette en vrai. On a donc commencé à budgéter de faire une maquette en 3D et on s’est dit qu’on allait filmer dedans. Sauf qu’on a eu une première version de cette maquette qui esthétiquement ne ressemblait pas du tout à ce que j’avais en tête et ce que je voulais. Du coup, j’ai moi-même refait toute la maquette en collage, c’est-à-dire que je suis allé récupérer des centaines d’images de maquettes de petits trains et en fait je découpais exactement les parties qui m’intéressaient, je retaillais dedans et je reformais le truc sur le logiciel. J’ai recréé exactement comme je voulais. Ce truc ressemble quasiment à l’identique au résultat final, en tout cas en termes de formes, de couleurs et d’emplacements des choses. Après, Arthur, qui a fait toute la 3D, s’est basé là-dessus et a reconstitué exactement tous les décors comme il voulait et les couleurs, la forme des arbres, des maisons, etc. C’était hyper compliqué à faire, les textures, avoir les bonnes couleurs pour chaque chose, le bon emplacement. C’était un sacré bordel ! Je suis trop heureux de cette pochette. En fin de compte, c’est exactement la pochette qu’on avait en tête au départ, ce qui est fou. On est trop contents !   Dans la première interview faite avec toi en 2018 [à retrouver par ici], tu nous avais dit à l’époque que tu utilisais beaucoup Paint ! Thibaud : (Rires) Effectivement ! Maintenant, j’ai découvert ProCreate, les tablettes et les stylos. C’est comme un Photoshop en fait, mais sur une tablette où tu dessines directement sur la tablette, donc c’est génial. Du coup, je fais tout avec cela maintenant et je peux faire aussi bien des collages et des découpages, que des dessins ou illustrations. Je travaille avec cela maintenant et cela me fait gagner un temps monstrueux.   Pour les lives, au début de ton projet tu avais des projections sur certains morceaux.  Thibaud : C’est vrai, j’avais fait un live à l’époque où j’avais créé des animations pour chaque morceau. Cela projetait mes animations que j’avais faites justement sur Paint à l’époque. Depuis, il y a eu un live en groupe et là il y a encore une nouvelle formule live qui est encore avec un décor que j’ai dessiné et qui est en fabrication en ce moment. Il n’y aura donc plus de lumière mais maintenant il y a des musiciens, il n’y a plus besoin d’avoir de la vidéo sur scène. On va être cinq sur scène et on va jouer vraiment les morceaux. C’est cool. L’idée est de rester dans un processus de jouer la musique telle qu’elle est sur l’album, c’est-à-dire quelque chose où c’est joué, il y a des instruments de musique. Ce sera le cas sur quasiment tout le live à part sur quelques morceaux électroniques de l’ancien album.  Comment se sont passées les répétitions récentes ? Thibaud : Très bien. On sait très précisément ce qu’on doit faire, mais ce qu’on veut faire est très compliqué ! Cela demande beaucoup de dextérité parce qu’on joue tous plusieurs instruments. On chante beaucoup, il faut apprendre toutes les paroles et il y en a plein. Il faut aussi qu’on apprenne à tous jouer ensemble.
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Crédits photo : Emma Birsky  Tu y arrives au niveau du souffle, notamment entre la trompette et le chant ? Thibaud : Je me prépare physiquement pour la scène depuis des mois, je travaille mon cardio pour être capable de chanter et faire tout ce que j’ai à faire en même temps. (Rires) Là, j’ai envie que ce soit sérieux ! En fait, l’idée c’est de présenter un vrai show comme on a perdu l’habitude d'en faire. Il y a quand même des artistes qui le font mais disons qu’en France, c’est devenu de plus en plus rare d’avoir des shows où tout est joué, où tu privilégies l’aspect musical et pas l’image avec une scénographie de 40 000 m² pour masquer le fait qu’il n’y a plus personne qui joue de la musique sur scène. Et s’il y a quelqu’un qui joue de la musique sur scène, c’est planqué derrière je-ne-sais-quoi. Revenir à un truc où les gens kiffent quand ils voient des gens jouer de la musique et s’amuser à la faire. On ne va pas jouer les versions studio parfaites, pour cela il faudrait un budget de Parc des Princes. (Rires) Sur le disque, il y a tellement d’éléments, il faudrait au moins deux percussionnistes, deux flûtistes, cinq cuivres, deux quatuors à cordes, plus les musiciens et musiciennes que j’ai déjà : basse, batterie et guitare. Là, on pourrait commencer à penser à jouer les morceaux tels qu’ils sont sur l’album. Dans la réalité de l’économie du projet, impossible ! Est-ce que tu as vu des bons films plus ou moins récemment ? Thibaud : J’ai pas mal aimé des trucs belges comme ‘Une vie démente’ d’Ann Sirot et Raphaël Balboni (2020) et ‘Fils de plouc’ de Harpo et Lenny Guit (2021) dans un autre délire. Il faut s’accrocher parce que c’est assez absurde. C’est bizarre, le second film n’a pas eu de distribution en France alors qu’il a été présenté au festival Sundance. Ce sont deux belges qui viennent de Youtube à la base qui ont fait un film. C’est une sorte de ‘Napoleon Dynamite’ (de Jared Hess, 2004) à la belge. Dans les films récents, j’avais bien aimé ‘La Main de Dieu’ de Paolo Sorrentino (2021, Netflix) dont je suis fan. Dans les réalisateurs contemporains, j’aime beaucoup Ruben Östlund. Je n’ai pas encore vu ‘Sans filtre’ (2022), mais ‘Snow Therapy’ (2014) et ‘The Square’ (2017) sont deux films que j’ai adorés. [Nos chroniques de ‘Snow Therapy’ (2014), ‘The Square’ (2017) et ‘Sans filtre’ (2022) sont à retrouver respectivement par ici : #1, #2 et #3.] Il y a eu une période où je regardais trois films par jour, principalement des films que je n’avais jamais vus. Alors qu’en fait là récemment, j’ai une petite phase où je me suis remis à regarder des films que j’avais déjà vus. J’avais envie de revoir certains films, de me rappeler de choses. C’est toujours agréable de revoir des films. J’ai revu ‘Birth’ de Jonathan Glazer (2004) par exemple. Personne ne connaît ce film mais je l’ai adoré ! La musique d’Alexandre Desplat est incroyable dedans. Il y a des scènes très fortes, comme celle où Nicole Kidman est à l’opéra et il y a un plan fixe sur elle. Cette scène m’a détruit ! De façon plus improbable, j’ai revu récemment le film ‘Stargate, la porte des étoiles’ (Roland Emmerich, 1995). Tout le monde connaît la série pourrie ‘Stargate SG-1’ (Jonathan Glassner et Brad Wright, 1997-2007) qui passait sur M6 quand on était jeunes, mais le film par contre est trop stylé ! Il y a des théories d’égyptologie super bizarres dedans. L’image est étrangement super belle, c’est de la science-fiction des années 90 avec Kurt Russel, un peu à l’ancienne. C’est improbable ! Dans le même genre, il y avait aussi ‘Starship Troopers’ de Paul Verhoeven (1997). Je suis hyper fan des films de science-fiction des années 90 comme ‘Total Recall’ (Paul Verhoeven, 1990) et ‘Demolition Man’ (Marco Brambilla, 1993), pour moi c’est le meilleur film d’humour avec Sylvester Stallone ! C’est le film d’action le plus drôle que j’ai vu de ma vie. (Rires) Il y a aussi Welsey Snipes et Sandra Bullock dedans, casting de fou ! Ça se passe dans le futur où tu n’as plus le droit de dire des gros mots et il y a de la violence, c’est hyper drôle ! J’adore ces films, même certains avec Steven Seagal. J’aime beaucoup tous les films de science-fiction des années 80 un peu abusés, dès que c’est un peu moche comme ça, j’ai bien. Mais pourquoi ‘moches’ ? C’est hyper beau en fait ! J’ai une attache particulière. Dans cette période-là, il y a quand même des trucs cool comme ‘RoboCop’ (Paul Verhoeven, 1987), ‘Terminator’ (James Cameron, 1985) ou encore ‘Last Action Hero’ (John McTierman, 1993). C’est une autre partie du cinéma mais ce sont des petits bonbons ! Crédits photo de couverture : Emma Birsky Le nouvel album ‘Les Royaumes minuscules’ de Voyou est maintenant disponible et hautement recommandé ! L’artiste est en tournée française à partir du vendredi 24 mars, avec notamment une date parisienne le mardi 16 mai au Trianon. Evénement : https://bit.ly/3l11zko Billetterie : https://bit.ly/40prCSJ Et comme on vous aime bien, on vous fait gagner des places par ici ! Les autres dates de la tournée française : * 24/03 : Lyon / Les Chants de mars * 25/03 : Genève (Suisse) / Festival Voix des fêtes * 31/03 : Nancy / L’Autre Canal * 01/04 : Lille / L’Aéronef * 13/04 : Brest / La Carène  * 14/04 : Nantes / Le Stereolux * 15/04 : Rennes / Mythos Festival * 19/04 : Bourges / Le Printemps de Bourges * 10/05 : Bordeaux / Le Krakatoa * 11/05 : Toulouse / Le Metronum * 18/05 : Strasbourg / Pelpass Festival * 09/06 : Esch-sur-Alzette (Luxembourg) / Les Francofolies * 15/07 : Cahraix / Les Vieilles Charrues  * 23/07 : Spa (Belgique) / Les Francofolies A&B
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maxwelltait · 3 years
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Zoo Piece (Marker, 1990)
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