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#séduction
9-alex-9 · 6 months
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marinalaurel · 2 months
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marcusmonroe22 · 2 years
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#writer #writersofinstagram #wordporn #slowhandfriday #friskeyfriday #spreadtheword #lickitysplit #thoughtsofhim #séduction #therules #hewrites #silentknight #darkknight #slowhand https://www.instagram.com/p/CjsjGJtO0GY/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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vicomte2valmont · 1 year
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Vicomte de Valmont, je suis un homme de la haute société française, aimant l'art, la littérature et la musique, mais aussi le pouvoir et l'intrigue.
Grand maître de la séduction et des liaisons dangereuses, je suis un joueur habile dans le jeu de l'amour et de la manipulation, et je sais comment gagner le cœur des femmes les plus convoitées de la société.
Suivez-moi pour découvrir mon monde séduisant et imprévisible.
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jaimelagrenadine · 1 year
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F*ck n*des. Envoie-moi tes identifiants netflix - #jaimelagrenadine ©
☀️ > www.instagram.com/jaimelagrenadine_off 🛍️ > www.jaimelagrenadineshop.com
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marinalaurel · 2 months
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francepittoresque · 2 months
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MODE | Gorge saillante : indispensable attribut matérialisant la beauté féminine ? ➽ https://bit.ly/Mode-Gorge-Saillante Où l’on rappelle qu’une belle gorge « est un attrait enviable et qui attire tout de suite les regards du sexe irrespectueux », et qu’un tel attribut sut inspirer les esprits malicieux toutes époques confondues
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n-a-colia · 2 years
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Premier Rendez-vous
Nouvelle du : 10/10/22
Défi : Réaliser une nouvelle à partir d'une image aléatoire.
         La végétation nous encerclait mais nous continuâmes de suivre le chemin de terre. La route était parfois boueuse à cause de la pluie de ce matin et l’odeur de verdure fraiche revigorait mon esprit, malgré les indélicatesses de Luc…
« As-tu perdu ta langue, Sophie ?
— Quoi ? »
Il souffla de lassitude et me perça du regard en continuant de marcher.
« Ça fait une heure déjà et j’ai l’impression de faire la randonnée accompagné d’une tombe…
— Ah oui ? Eh bien tu devrais peut-être continuer seul dans ce cas ! »
Je tournai les talons et partis dans la direction opposée. Le rustre m’avait vexée la fois de trop ! J’empruntai un pas déterminé pour bien lui faire comprendre que j’allais réellement partir… Mais, n’entendant que le son de mes bottines sur la terre, je me retournai. Luc était resté figé à l’endroit où je l’avais laissé. Il regarda ses pieds, les mains sur les hanches. Il était plongé dans une profonde réflexion. Va-t-il réellement m’abandonner là ?! Je me jurai de lui cracher toutes les insultes du monde s’il le faisait. Après un court instant, j’opérai de nouveau un demi-tour pour continuer notre route. Je repris, d’une voix faussement assurée :
« Bon reprenons ! Et, pour ta gouverne, quand on marche on s’essouffle ! Il faut bien économiser nos forces si on veut arriver en haut, non ? »
Il me sourit, puis, en reprenant son bâton planté dans le sol, il me lâcha :
« Je ne vois vraiment pas pourquoi ce site de rencontre nous a mis ensemble. »
Il débuta sa marche et je le suivis de prêt.
         Luc n’avait pas tort. J’avais l’impression que nous n’avions rien en commun, si ce n’était une attirance physique évidente. Il n’arrêtait pas de reluquer ma poitrine et, sans qu’il le sache, je regardais ses fesses en contrepartie. Cela dit, c’était loin d’être suffisant.
         Ce site avait la réputation de créer des couples solides en les mettant à l’épreuve dès le départ. Il fallait jouer le jeu pour que ça marche et j’y avais cru… Quelle idiote ! Le propriétaire du site est encore une personne qui vend du rêve aux pauvres cœurs en peine ! J’aurais dû le voir venir…
« Et puis, ajouta-t-il, pourquoi devons-nous partir en forêt ? Un bon verre de vin en terrasse, suivi d’un restaurant n’aurait pas été plus approprié pour un rendez-vous galant ?
— Oui, peut-être… Mais vu tes conversations râleuses, je préfère encore les entendre en pleine nature. »
Il laissa s’échapper un rire moqueur, le visage tourné vers le soleil que l’on ne voyait qu’à peine entre les feuillages des arbres immenses.
« C’est la meilleure ! C’est moi qui râle maintenant ?
— Je ne crois pas m’être déjà plainte depuis le début.
— Et les “ j’ai mal aux pieds ! ” ou “ il fait trop chaud ! ” ? Ou encore les “ si seulement quelqu’un était assez fort pour me porter jusqu’en haut ! ” »
Il imitait ma voix de façon ridiculement aigue. Agacée, je grognai puis l’attaquai à mon tour :
« Peut-être qui si tu étais un peu plus gentil homme, tu m’aurais portée lorsque mes pieds me faisaient souffrir ! Peut-être qu’une jeune femme s’est inscrite sur ce site débile parce qu’elle espérait y trouver un beau et preux chevalier !?
— Pff… Un chevalier qui lèche les bottes de sa dame… On aura tout entendu !
— Pause��! On fait une pause. »
Je m’arrêtais et lançai mon bâton au sol.
Quand le site nous expliquait qu’il nous mettrait à l’épreuve, j’avais imaginé autre chose que notre première dispute… C’était une façon bien étrange de former des couples. Luc s’immobilisa à son tour avant de me dire :
« Sont-ce tes pieds qui te font encore souffrir, ma belle ?
— “ Ma belle ” ?! Pour qui tu te prends ? Je ne suis pas “ ta ” belle !
— Et la belle de qui es-tu alors ?
— Certainement pas celle d’un prétentieux mal luné ! »
Il éclata de rire avant de s’approcher du tournant de terre qui nous faisait face. Le silence que nous laissions me mettait mal à l’aise. Je croisai le bras et lui fis dos. J’avais envie de partir mais la lueur d’espoir de trouver l’âme sœur m’en empêchait. Je tournai mon regard vers lui, l’air mécontente et il coupa enfin le silence, me faisant un signe de la main.
« Viens voir ça, ma belle !
— Pff… »
Quand je me plaçai à ses côtés, je fus prise d’admiration pour le paysage.
         Nous étions au bord d’une falaise, cachés par les arbres. Entre leur feuillage, nous pouvions voir la vallée en contre bas. Les maisons éparpillées sur les prairies étaient minuscules et le soleil éclairait parfaitement le val. Parfois, un nuage passait au-dessus et on discernait ses contours sur le sol. Je restai bouche bée devant cet horizon clair. C’était un lieu magnifique qui semblait si paisible...
« Allez viens. On continu, dit-il en partant.
— Attends ! Et mon bâton ? »
Il me tendit le sien en me souriant.
« Ils ne servent pas à grand-chose seuls. Prends les deux, peut-être que cela te permettra de faire plus de cent mètres sans t’arrêter. »
Je décidai de ne pas répondre. Pouvait-il faire preuve de courtoisie sans tout gâcher avec une remarque indélicate ? Je l’ignorais, mais j’appréciai tout de même son geste.
         Nous continuâmes notre route un long moment. Étrangement, nous devenions plus bavards avec le temps, mais pas plus complices pour autant ! Nous nous reprochions tout un tas de choses et même s’il nous arrivait parfois de rire ensemble, nous ne manquions pas une occasion de nous moquer de l’autre.
         Nous arrivâmes à un coin de verdure particulièrement joli. La végétation était dense, pleine d’arbres gigantesques et de buissons aux grandes feuilles. Le chemin de terre était remplacé par des planches de bois sombres et mouillés et le soleil se reflétait sur les flaques d’eau. Il pourfendait le sommet des arbres pour rayonner auprès de nous. Les planches formaient un petit escalier qui grimpait autour de la montagne, tandis que des petites poutres de bois, attachées les unes aux autres avec des ficelles, faisaient office de barrières sur les côtés du chemin. En outre, de la mousse fraiche recouvrait ces barrières et ses effluves m’enivraient d’un sentiment de plénitude… Nous étions sur la route du paradis, au beau milieu d’un lieu sauvage où nous pouvions retourner à la nature sans nous préoccuper du malheur du monde.
Je m’arrêtai et posai mes bâtons contre les poutres de bois, puis je glissai mes doigts sur la mousse fraiche. Pour la première fois depuis le début de notre aventure, Luc me regarda, immobile et sans rien dire. Il me laissait profiter de cet instant magique. Il s’approcha de moi et il se plaça dans mon dos. Je sentais contre mon cou, son souffle court du fait de notre longue marche. Puis, il déposa sa main sur la mienne pour sentir la mousse chatouiller nos doigts.
« Quel bel endroit… murmurai-je.
— Ce site nous aura au moins permis de savourer un instant… »
Ses mots m’envahirent le corps. Après tant de confrontations, cette gentillesse en valait dix et la chaleur de sa main contre la mienne était d’un réconfort tel, que je crus que j’allais pleurer. Mon cœur s’embrasait et il blottit son buste contre mon dos avant de caresser mon épaule de son autre main. Contrairement à ce que j’aurais pu penser, j’adorais l’attitude entreprenante de Luc en ce moment heureux. Je sentais ma respiration se saccader sous ce rapport charnel et un frisson parcourut mon dos. Je me tournai lentement vers lui. Nos visages furent proches.
« Tu es très belle lorsque tu t’émerveilles devant la nature. »
Mes paupières se fermèrent, doucement et sans que je n’y pusse rien faire. Il devenait si doux et restait si brut à la fois. J’avais l’impression d’être l’exception à ses règles. Il mit sa main sous mon menton, releva mon visage, puis il déposa un baiser sur mes lèvres que je m’empressai de maintenir en encerclant sa nuque de mes bras. Je voulais en profiter le plus longtemps possible… Après ce baiser éternel, je lui souris et il me susurra :
« Ma belle, allons boire un verre plutôt. Cette application ne sait vraiment pas y faire en matière de premier rendez-vous… »
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