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Bilan des thématiques
Depuis la création de l’internet, les technologies ainsi que les différents médias ont pris un envole très impressionnant. En effet, les médias numériques sont devenus une partie très importante de nos quotidien. Aujourd’hui, il est pratiquement possible d’affirmer que tout ce que nous faisons, dépend d’internet d’une certaine façon. En effet, les médias numériques sont rendus si développés que nous pouvons les rattacher à presque toutes les sphères de nos vies. Mais lorsque quelque chose devient si important, il arrive qu’il y ait certaines problématiques qui y sont reliées.
Premièrement, selon moi, la plus importante problématique qui y est reliée est sans aucun doute «Vie privée, sociabilité et vie en ligne au temps de Facebook». La raison est fort simple, avec l’arrivée des médias sociaux, notre vie est beaucoup moins privée qu’elle ne l’était avant. De plus, comme l’affirme Casilli,les entreprises comme Google et Facebook peuvent se servir de nos archives numériques dans le but de retracer nos habitudes de vie. Deuxièmement, je trouve que la deuxième problématique la plus importante est «S’informer à l’ère de Google et des médias sociaux». Comme les médias sociaux sont devenus une partie importante de notre vie et qu’une bonne partie de la société se tient informée à l’aide de ceux-ci, il va de soit que cette thématique soit l’une des plus importante, spécialement avec les «fake news» qui peuvent affecter grandement l’opinion des gens. Selon moi, en troisième position, vient la problématique « Visibilité et «plateformisation» de soi». Cette thématique est très rattachée à la première. Cette thématique est importante car de nos jours les gens veulent de plus en plus s’afficher sur le Web avec des photos et des vidéos. On parle ici de capital social. Ensuite, je dirais que la quatrième thématique la plus importante est  «Médias numériques et démocratie». La raison est fort simple, Comme Cardon l’a si bien dit, «l’internet est né des besoins de ses inventeurs, essentiellement des chercheurs et des informaticiens, « valorisant une culture de l’échange et de la coopération » au détriment des règles de centralisation, de hiérarchisation et de sélection.»( Cardon, 2012) C’est donc dire que l’internet a permis et va continuer de permettre à plusieurs groupes de personnes de travailler ensemble pour atteindre leurs buts. En cinquième position, de placerais la thématique «Vertige du numérique», car  avec l’émergence des médias et réseaux sociaux, nous ne plus autant à l’abri par rapport à nos vies privée et le meilleure exemple pour prouver ceci est sans aucun doute l’affaire Snowden. Pour finir sur cette partie, je placerais sur un pied d’égalité les deux dernières thématiques, soit «panorama des médias numériques et promesses et vertus du numérique», car bien qu’elles soient importantes et intéressantes, ces deux thématique ne me touchent pas vraiment personnellement. 
Alors pour conclure avec ce billet, j’ai réalisé avec le temps que le Web était un outil indispensable à ma vie. En effet, avec le Web 1.0 je peux m’informer, ce qui est une nécessité dans mes études et pour mes intérêts personnels. Pour ce qui est du Web 2.0, il me permet de garder contact avec mes amis très rapidement. Le seul problème c’est que parfois je dévoile peut-être trop d’informations sur le Web, ce qui pourrait jouer contre moi un jour.  En effet, comme le dit Casilli, « une autre dimension cruciale du capital social en ligne est l'influence sociale, c'est-à-dire tout changement dans les pratiques ou les comportements induits par le contact avec autrui».  Je peux bien rattacher cette citation à ma privée avec le «Story» que je partage sur les médias sociaux. En effet, ils ne restent pas nécessairement une seule journée, car les compagnies comme Facebook et Snapchat, eux, y ont toujours accès, alors il faut faire attention à ça que je publie sur celles-ci, car on ne sait jamais ce qu’ils peuvent en faire. Alors, pour ce qui est de mes résolutions, je compte à présent faire beaucoup attention aux traces que je laisse sur le Web afin de limiter le plus d’archives numériques possible. De plus, je vais maintenant essayer de toujours faire certain de vérifier mes sources lorsque je lis un article sur le Web. Et pour finir, je vais essayer de mieux choisir mon capital social que je publies sur le Web. 
CARDON, Dominique et Marie-Carmen, SMYRNELIS, « La démocratie Internet : Entretien avec Dominique Cardon », Transversalités, n°123, 2012, p.65-73.
Casilli, A. << contre l’hypothèse de la “fin de la vie privée”. La négociation de la privacy dans les médias sociaux.>>, Revue française des sciences de l’information et de la communication, 2013 
Casili, A., Être présent en ligne: culture et structure des réseaux sociaux d’Internet., Idées économiques et sociales, p.16-29, 2012
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Blogue 7 - Médias numériques et démocratie
De nos jours, dans notre société, le concept de démocratie est un concept qui rendu plutôt familier, surtout de la société occidentale. Mais maintenant, il n’y a plus que dans le monde de la politique que l’on parle de démocratie, il est maintenant possible de démocratie sur le web. L’un des plus importants fondements de la démocratie est la liberté d’expression. Avec l’émergence du web et des médias numériques, est née une grande liberté qui est accessible pour tous le monde et en tout temps avec les téléphones intelligents en particulier. Plusieurs pratiques influencent grandement la communauté numérique à exprimer leur liberté. À la base,  «l’internet est né des besoins de ses inventeurs, essentiellement des chercheurs et des informaticiens, « valorisant une culture de l’échange et de la coopération » au détriment des règles de centralisation, de hiérarchisation et de sélection.»( Cardon, 2012) Avec cette culture de l’échange et de la coopération est née cette liberté d’expression qui, aujourd’hui peut s’observer au-travers des différents blogues comme Tumblr et ainsi que des micro-blogues comme Twitter. En ce qui me concerne, j’exerce plus ma liberté d’expression sur Facebook en commentant ainsi qu’en partageant des articles et des publications en lien avec le monde du sport. Je participe aussi souvent à des discussions sur Twitter avec d’autres utilisateurs sur des publications en lien avec le sport encore une fois même en lien avec l’actualité politique internationale.
D’un point de vue plus politique, je suis d’avis que de permettre de faire des élections à partir de l’internet ne pourrait qu’être bénéfique pour une société. De cette façon le taux de participations serait sans aucun doute plus élevé, car les gens n’auraient pas besoin de se déplacer, ils pourraient tout faire simplement à l’aide de leurs téléphones. De plus ils faut prendre en considération que les gens se servent déjà de l’internet afin d’exprimer leur pensés. Le meilleur exemple est sans aucun doute le printemps arabe. C’Est donc pour ces raisons que je crois que la démocratie et le web sont deux choses qui seront associées l’une à l’autre pour encore bien des années.
CARDON, Dominique et Marie-Carmen, SMYRNELIS, « La démocratie Internet : Entretien avec Dominique Cardon », Transversalités, n°123, 2012, p.65-73.
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Blogue 6 - Visibilité et «plateformisation» de soi
Il y a de plus en plus de changements qui font surface dans le monde du web de puis maintenant plusieurs années. En effet le fait qu’il est désormais beaucoup plus facile d’avoir accès aux différentes plateformes en raison de l’apparition de différents moyens d’accès comme les tablettes, les téléphones intelligents jumelés à l’émergences des réseaux 3G et des réseaux wi fi, fait en sorte qu’il est beaucoup plus facile d’être actif sur le web et sur les différentes plateformes et réseaux sociaux. Le fait que ces plateformes et réseaux sociaux soient de plus en plus accessible fait alors en sorte que ces réseaux et plateformes sont de plus en plus populaires et utilisés. Les médias numériques sont des moyens pour des personnes d’exposer au grand publique leur personnalité.  D’autres se servent du web dans le but de se créer une identité virtuelle. Dans mon cas, je me reconnais dans la première exemple. Je ne suis pas du genre à créer une fausse image de moi sur les réseaux sociaux dans le but d’attirer des abonné sur mes pages ou même dans le but de récolter le plus de «likes» possible. Je garde vraiment mes réseaux sociaux pour mon cercle d’amis. De plus, je peux dire que je peux me rattacher à un type d’identité numérique de sorte que vue que je suis sur Facebook et Instagram j’ai ce que l’on peut appeler une identité narrative. Au niveau de mon identité numérique on peut même y conclure mes compte Twitter et Youtube à cette liste. 
Lorsqu’une personne se crée un compte sur un réseau social, peu importe lequel, cette personne a un but en tête pour ce réseau. Par exemple, quand j’ai fait mon compte Instagram c’était pour du divertissement. Tandis que lorsque j’ai fait mon compte LinkedIn, c’était dans un  but plus professionnel. Comme les deux réseaux sociaux n’ont pas le même objectif, il va de soi que les usagers de ces réseau ne sont pas les mêmes et ne dégagent pas la même. « Une autre dimension cruciale du capital social en ligne est l'influence sociale, c'est-à-dire tout changement dans les pratiques ou les comportements induits par le contact avec autrui». (Casilli 2012) C’est donc dire que nos identité numériques dépendent donc de la plateforme que l’on utilise et même du but pour lequel nous sommes sur ces réseaux. 
Casili, A., Être présent en ligne: culture et structure des réseaux sociaux d’Internet., Idées économiques et sociales, p.16-29, 2012
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Blogue 5 - Vie privée, sociabilité et vie en ligne au temps de Facebook
Depuis maintenant plusieurs années, les médias sociaux sont devenues une part importante de notre société. En effet, il n’est pas nécessaire de faire d’études approfondies dans le domaine pour savoir qu’une grosse partie de la société ont un compte sur les médias sociaux tels que Facebook, Twitter et Instagram. Mais avec ces médias sociaux vient un nouveau concept d’amis. Pour ce qui est de Facebook, mon réseau d’ami est beaucoup plus important en terme de nombre d’amis que sur Instagram. Sur Facebook, j’accepte tous le monde, à condition que je connaisse la personne. Au contraire, pour ce qui est d’Instagram, je suis abonné à beaucoup moins de personne et je refuse plus de personnes qui veulent s’abonner à mon compte. Tandis que pour Twitter, tout ce que je fais sur cette plateforme c’est de m’abonner à des personnalité qui couvre des domaines de mes intérêts. Au niveau de la sécurité, je suis quelqu’un qui prend beaucoup de précautions afin d’éviter que des gens se servent de mes informations et de ma vie privée. Pour ce faire, mon compte Facebook est privée, de sorte que seuls mes amis peuvent voir ce que je publie. Tandis que pour mon compte Instagram, celui-ci est privée à 100% aussi, afin d’avoir accès à mes publication, une personne doit m’envoyer une demande d’accès et je dois l’accepter. De cette façon je mets toutes les chances de mon bord afin d’éviter quelconque problème. Au niveau de mes publications, je ne publie pas beaucoup, sur Instagram, car je ne suis pas une personne qui aime être pirs en photo, c’est pourquoi je publie seulement 3 ou 4 photos par année. Mais par contre, j’aime beaucoup regarder les photos que mes amis publient. Pour ce qui est de Facebook je publies des articles afin que mes amis puissent voir certains sujets de l’actualité. 
Mais au niveau de la vie privée, elle n’est pas totale. En effet, bien que nous supprimons plusieurs choses et que nos comptes sont privés, les entreprises comme Google et Facebook peuvent se servir de nos archives numériques afin de retracer nos habitudes. (Casilli 2013) C’est donc pour cette raison que malgré tout, je suis d’avis qu’il faut vraiment faire attention avec ce que l’on publie sur le web.
Casilli, A. << contre l’hypothèse de la “fin de la vie privée”. La négociation de la privacy dans les médias sociaux.>>, Revue française des sciences de l’information et de la communication, 2013.
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Blogue 4 - S’informer à l’ère de Google et des médias sociaux
L’arrivée de Google dans la vie des des tout le monde a fait en sorte qu’il y a d’immense changement dans le domaine de l’information. Avec Google, il est maintenant beaucoup plus facile de s’informer et de rester à jour avec toute l’actualité, qu’elle soit locale et ou nationale/internationale. Mais n’est pas une plateforme qui crée ou publie de l’information, c’est une plateforme qui est un agrégateur de contenus. C’est-à-dire que Google n’est pas un média qui publie du contenus journalistiques, c’est un média qui rassemblent du contenus venant de plusieurs sites qui eux ont pour but de publier du contenus journalistique. Pour ma part j’utilise beaucoup Google pour m’informer car je trouve qu’avec Google, vient une facilité, une accessibilité ainsi qui rapidité d’accès à l’information et à l’actualité qui est sans égale. Mais depuis l’émergence des réseaux sociaux, tout a changé à ce niveau. Avec des médias sociaux comme Twitter et Facebook, j’ai donc commencé à délaisser Google pour m’informer car avec ces deux médias je peux désormais m’informer beaucoup plus facilement et rapidement. En tant que gros fan de hockey, je me suis abonné à plusieurs pages à  ce sujet sur lesquelles je suis informer des résultats des parties, des rumeurs et transaction ainsi que tout simplement des articles et vidéos sur la vie des joueurs. Pour ce qui est de Facebook, je ne publie pas une tonne d’information, mais j’en publies un petit peu car avec Facebook je peux envoyer ces informations à mes amis. Contrairement à Twitter, je n’ai jamais rien publier sur mon compte Twitter, je me sers uniquement de Twitter dans le but de rester informer. C’est donc dire que je rentre exactement dans le moule de l’étude qui a été fait en  2012 Nicole Gallant, Guillaume Latzo-Toth et Madeleine Pastinelli. Leur étude a démontré que la majorité de leurs répondants, tout comme moi, se servent plus de Twitter dans un but informatif que pour publier du contenus.
Latzo-Toth, G., Pastinelli, M. & Gallant, N. Circulation de l’information sur les médias sociaux pendant la grêve étudiante de 2012 au Québec. En ligne : http://espace.inrs.ca/2706/1/CirculationInformation.pdf
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Blogue 3 - Vertige du numérique
Le web et le numérique sont devenu des rouages les plus important dans notre société. En effet, de nos jours, il est pratiquement possible de tout faire sur le web. L’une des principales raisons de ce phénomène est sans aucun doute l’émergence de plusieurs médias numériques ainsi que les différentes recherches et avancées technologiques qui ont lieux depuis maintenant quelques années. L’émergence de ces médias numériques ont mené à l’utilisation de certaines pratiques par la population en générale et du même coup, de moi-même, qui doivent être prises avec plus de précaution. Plusieurs personnes exposent beaucoup trop leur vie personnelle sur le web. En effet, il y a des gens qui mettent beaucoup de leur information sur le web et ces informations sont facilement accessibles pour n’importe qui qui voudrait se les approprier. Le premier exemple qui me vient en tête dans ce cas-ci c’est le monde qui mettent des informations comme leurs adresses ou même leurs numéros de téléphones. Pour ma part, je ne suis pas quelqu’un qui s’affiche beaucoup sur internet, j’essaie de tracer une ligne entre ma vie sociale et personnelle versus ma vie sur le web. Bien que je sois quelqu’un qui soit, actif sur le médias sociaux, de sorte que je suis souvent sur ceux-ci, je ne suis pas quelqu’un qui publie beaucoup de choses sur mes réseaux sociaux. Je m’en sers plus por m’informer et pour divertissement. Depuis des révolutions comme celle de Snowden et même Wikileaks, sans oublier les groupes comme Anonymous, nous sommes beaucoup plus informer de tout les risques auxquels nous courons en s’affichant sur le web.(Caccamo,2014). Puis, sachant que toutes nos informations sont si facilement accessible je trouve qu’il important de promouvoir une pratique plus «restreinte» d’une certaine façon sur le web, dans le but qu’il y ait de moins en moins de vols d’identités, de fraudes de cartes de crédits et tout simplement éviter qu’un simple étranger puisse savoir tout sur nous tout simplement regardant les traces que nous laissons sur le web.   
& Caccamo, E. « L’emprise numérique. Comment Internet et les nouvelles technologies ont colonisé nos vies » de Cédric Biagini. En ligne : http://cygnenoir.nt2.ca/sites/cygnenoir.nt2.ca/files/cn_caccamo-biagini2012_0.pdf  
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Billet 2 - Rapports sociaux - Semaine 3
Depuis maintenant près d’une dizaine d’années, la société fait face à de nombreux changements au niveau des ses relations interpersonnelles. L’un des principaux facteurs de cette vague de changements, est sans aucun doute l’émergence des différentes nouvelles technologies numériques qui font maintenant partie du quotidien des gens des partout sur la planète. Ces changements touchent particulièrement les gens de notre générations, qui ont grandis avec ces technologies. Nos parents et nos grands-parents sont aussi touchés, mais beaucoup moins que nous le sommes pour la simple raison qu’ils utilisent moins ces technologies que nous. Pour ma part, je dois avouer que je suis bel et bien touché par ces changements, car oui, j’utilise de façon régulière les nouvelles technologies numériques. Depuis, l’émergence des téléphones intelligents, je fais de moins en moins d’appelles. En effet, quand je veux entrer en contact avec un ou des amis, contrairement à dix ans passés, je ne vais pas les appeler, je vais les «texter», que ce soit sur leurs téléphones cellulaires ou bien sur Facebook. Aussi, avec ces technologies numériques, il est maintenant beaucoup plus facile d’organiser des rencontres entre groupes grâce à Facebook, qui me permet de faire des conversations de groupes, dans lesquelles je peux être en contacts avec plusieurs personnes en même temps. Ceci facilite beaucoup ma vie pour mon travail, car moi et tous le gens avec qui je travaille avons créé une conversation dans laquelle il nous est possible d’envoyer nos horaires et de faire nos changements de «shifts» si il y a lieu à faire. Même chose pour mon équipe de hockey, nous avons une conversation de groupe dans laquelle on y publie notre cédule et dans laquelle nous pouvons aviser le reste de l’équipe si nous ne pouvons être présent pour une partie. Comme ces technologies numériques sont devenues sans aucun doute mon principaux moyen de communication dans pratiquement toues les sphères de ma vie, je peux affirmer sans hésitation que je ne pourrais plus vivre sans celles-ci. 
Pour ce qui est de la gratuité sur internet, je dois dire que je suis à 100% en faveur de celle-ci. Internet est devenue beaucoup trop important dans le vie sociale en 2018 pour que ça devienne payant. Je crois qu’en retirant la gratuité d’internet plusieurs personnes seraient négativement affectés par ce changement, car premièrement, ce n’est pas tous le monde qui ont les moyens de payer pour certains médias qui sont pour l’instant gratuit. De plus ça nuirait à plusieurs personnes et de plusieurs façons, notamment au niveau de la communication. « Comme l’ont montré plusieurs théoriciens du don, la gratuité apparaît essentielle à de nombreux échanges et modes d’expressions.» ( Proulx et Goldenberg, 2010)
Proulx, S., et Goldenberg, A. (2010). Internet et la culture de la gratuité. Revue du MAUSS, (1), 503-517.
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Mes pratiques sur le web - Blogue 1
Aujourd’hui, dans le cadre de ce blogue, je vous parlerai de mes pratiques en générale sur le web. Il sera question à la fois de mes pratiques sur mon ordinateur tout comme sur mon téléphone intelligent. Au début, quand les médias sociaux ont commencé à être très populaires, je dois avouer que j’étais quelqu’un qui était très actif sur ceux-ci. Bien évidemment, le premier sur lequel je me suis inscrit était Facebook. Par la suite je me suis abonné à Snapchat et Instagram. Lorsque j’ai commencé à fréquenter Facebook j’étais très actif et j’étais vraiment souvent en ligne. Avec le temps, j’ai commencé à prendre beaucoup moins de photos et beaucoup m’afficher su Facebook. Facebook est alors devenu un média qui me servait de rester information sur tout, sur l’actualité tout comme sur la vie de mes amis avec qui je ne suis plus autant en contact. Pour ce qui est de Snapchat et Instagram, comme je n’ai jamais été quelqu’un qui aimait prendre des photos ou se prendre en photo, j’ai eu un certain temps ou j’étais actif sur ces médias, mais cette période n’a pas vraiment durée. Aujourd’hui, bien que je les aie encore, je ne m’en sers plus vraiment pour être honnête.  
Les médias numériques ont eu un gros impact au niveau de mon quotidien. Premièrement, le simple fait d’avoir un téléphone a fait en sorte que l’accessibilité à ceux-ci était désormais beaucoup plus facile, ce qui fit en sorte, que même si je ne suis pas vraiment actif sur ceux-ci, j’ai créer une sorte de dépendance à ceux-ci.Un autre exemple de ce phénomène est ma dépendance à Youtube, une plateforme de partage de vidéos. J’ai commencé à toujours regarder des vidéos tranquilles sur Youtube à de me coucher car ça m’aide à me relaxer et me détendre. Cette pratique à fait que désormais, j’ai beaucoup de difficulté à m’endormir si je ne regarde pas quelques vidéos Youtube avant de dormir. 
  Comme Facebook est une plateforme conversationnelle, plusieurs articles de différents sujets y sont publiés, dont des articles de hockey. Étant de grands fans de hockey, mes amis et moi, lisons plusieurs articles sur les rumeurs d’échanges dans la LNH est c’est un de nos principaux sujet de conversations. Je peux affirmer sans aucun doute que cette plateforme a eu un impact sur ma vie sociale à cet égard. 
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