Tumgik
fragmentsdememoire · 5 months
Text
"In Vietnamese, đất nứớc, the term for country, designates 'land' and 'water', but just saying 'nước' or water already refers to a country. A common place to start would be to say: land records, water dissolves. The forces of preservation and oblivion go hand-in-hand." Trịnh Thị Minh Hà
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media
Little Saigon, Orange county (USA)
10 notes · View notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
"Di nha" disait mon père dans son sommeil. "Aller à la maison". Nha, ce mot valise qui veut tout dire en vietnamien, la maison, le pays natal, la famille. L'endroit réel ou imaginaire que l'on habite, qui nous habite. Revenir à la maison, di nha, se dit heimta en danois. C'est de ce verbe, que nous vient le mot "hanter". Ce voyage, c'est un retour dans le nha de mes parents, une visite à nos fantômes. Nous sommes, au sens propre, des "Revenants".
Doan Bui, Le silence de mon père, 2016.
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media
Lê Công Kiều Street, rue des Antiques. Photos vernaculaires ?
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media
1 note · View note
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media
Moustiquaire côté verso + vue de l'intérieur
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media
"Paris, des étudiants vietnamiens manifestent pour soutenir la République du Viêt-Nam vivant ses derniers moments.
A l’initiative de Trần Văn Bá, président de l’Association Générale des Etudiants Vietnamiens de Paris, “Une journée pour la terre natale” (“Một ngày cho quê hương”), dédiée aux événements historiques qui se déroulent au Viêt-Nam est programmée le 27 avril 1975 alors que le Sud Viêt-Nam s’effondre. Une marche silencieuse est organisée pour célébrer le sacrifice des soldats du Sud morts dans la guerre civile qui oppose le Sud et le Nord Viêt-Nam. La marque du deuil est évoquée par le bandeau blanc porté par les manifestants et les banderoles noires qui indiquent en lettres blanches : “Grande journée de deuil”, “Honneur à nos soldats morts pour la liberté”…
Quelques trois cents étudiants vietnamiens des facultés du Quartier Latin, d’Orsay et de Nanterre convergent vers la Sorbonne. Le défilé  démarre de la Résidence universitaire Lutèce dans le 5e arrondissement, passe rue Gay Lussac (d’où est prise la photo par l’étudiant Trần Đình Thục) pour se rendre place de la Concorde. La marche silencieuse traverse le jardin du Luxembourg, se poursuit rue d’Assas où est localisée l’ambassade de la République du Viêt-Nam puis rejoint le Sénat. A proximité de l’ambassade américaine des slogans sont scandés : “A bas les Américains”, “A bas les communistes vietnamiens” …
Dans le quartier du Sénat, les étudiants vietnamiens manifestent dans une certaine tension craignant d’être pris à partie par les deux jeunesses françaises aux positions radicales opposées et prêtent à en découdre : l’extrême-gauche soutenant la lutte contre la guerre du Viêt-Nam et favorable au Viêt-Công et à Hanoi et l’extrême-droite, anticommuniste, soutenant l’intervention américaine et le régime de Saigon. Les jeunes vietnamiens qui défilent possèdent leur propre vision du conflit loin des extrêmes et des totalitarismes.
Après la chute de Saigon, le cliché de Trần Đình Thục est tombé dans l’oubli. En 2014, soit 39 ans après, l’écrivain Huy Phương publiait aux Etats-Unis un carnet de souvenirs liés au 30 avril 1975 avec en couverture la photo de Thục. De nouveau mise à l’honneur par l’édition de ce livre, Trần Đình Thục décide de l’offrir et de la dédicacer à la communauté vietnamienne exilée de Little Saigon en Californie. Une façon de dire à tous ceux qui souhaitent l’avènement d’un Viêt-Nam libre et démocratique : “Nous sommes toujours là” (Chúng ta vẫn còn đây)."
Article extrait de : https://indomemoires.hypotheses.org/26772
1 note · View note
fragmentsdememoire · 1 year
Text
"[...] Private ancestral altars, which honor photos of the departed who fought on separates sides, reunify the dead in kinship memory. This practice of kinship memory is a process that tacitly opposes official state history. As practiced by the Vietnamese families featured in Kwon’s ethnography, kinship memory sutures treacherous political bifurcations that persist beyond the war’s end and despite the nation’s reunification."
Thy Phu, Warring Visions, 2022
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media
Scooter immatriculé 30 avril (T4) 1975, date de la Chute de Saigon, confisqué par les autorités vietnamiennes.
(https://vietnamnet.vn/chiec-xe-may-bien-so-30-thang-4-1975-gay-sot-527580.html)
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media
Bao Vuong, Torn serie.
2 notes · View notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media
Duy Phuong, Holding Water, no.07, 2012, digital file, archival pigment ink, 40 x 60 cm.
0 notes
fragmentsdememoire · 1 year
Text
Tumblr media
Tumblr media
Tumblr media
Tumblr media
Tumblr media
Mai Nguyen Anh, Gửi anh Tuyền (63 Years), 2015-2018
"Then I realised that all this time I had simply been trying to capture what is in front of my camera. Yet the actual story isn’t factual or visible. It lies within my family members’ imaginations and expectations. This realisation evolved the series in so many ways and opened up a new idea for me: documenting fiction through the use of various mediums. This was my first time experimenting with so many mediums and definitely not the last."
Mai Nguyen Anh in https://matca.vn/en/mai-nguyen-anh-tai-hien-lich-su-gia-dinh/
0 notes